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Encadré par Mr :
Elaborée Par :
Nahla Zaiter
Dédicaces
Je dédie ce travail
A mes chers parents ;
Au président de jury
Conclusion Générale
Introduction Générale
Introduction
Introduction
1 : 2ème conférence de l’OCDE des ministres en charge des PME, « promouvoir l’entreprenariat et les PME innovantes
dans une économie mondiale : vers une mondialisation plus responsable et mieux partagée ; Istanbul, Turquie, 2004
22: ꞌꞌCaractéristiques individuelles et intention d’achat sur internetꞌꞌ Ousleti, Ellaouadi (2007)
1
Introduction
Ces dernières décennies, le commerce électronique est entré dans une phase de
croissance exponentielle et l’utilisation de plus en plus systématique d’internet dans le
processus de décision de consommateur fait en sorte que les commerçants recourent
davantage à cet outil et oblige les décideurs de mettre en cohérence leurs stratégies dans
le monde réel et virtuel.
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Introduction
L’enjeu primordial pour ces entreprises est la relation de proximité avec ses
clients. En effet, être proche de ses clients est un enjeu majeur pour les entreprises, un
actif de plus en plus important, même s’il est intangible et difficile à évaluer. Le défi est
alors de disposer d’un large portefeuille de clients loyaux. Or gagner cette loyauté suppose
une proximité avec l’entreprise et avec la marque, qui est de plus en plus difficile à obtenir
dans un environnement mondialisé.
Le fameux exemple d’ꞌꞌApple ꞌꞌ peut illustrer cette relation: Apple dispose d’une
base de clients, véritables “fans”, qui ont une connaissance approfondie des produits et
services, sont acheteurs des nouveautés et sont également des défenseurs ardents de la
marque. Steve Jobs a d’ailleurs tenu à informer les fans de l’évolution de son état de santé.
En juin 2011, a été lance le site CUpidtino.Com, un site de rencontres dédié aux fans
d’Apple, qui doivent d’abord répondre à un questionnaire sur les produits Apple qu’ils
possèdent avant de s’inscrire. L’idée est que l’attachement à la marque Apple constitue
une garantie d’affinité entre les individus.
C’est ainsi que le digital et les medias sociaux constituent désormais un canal de la
relation client: ils permettent de la faire évoluer d’une approche client qu’on gère à une
approche relationnelle d’un client qu’on écoute, qu’on conserve, qui Co construit, qui
3
Introduction
4
Introduction
Problématique
Objectifs de la recherche
déterminants sur son comportement dans la vie réelle .Ceci dit, la question principale de
notre problématique est la suivante : dans quelle mesure la séquence attitude –
attachement explique l’intention d’achat du consommateur?
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Introduction
Une partie théorique : qui est composée de deux chapitres. Le premier traitera les
fondements théoriques du web social ainsi que les différentes stratégies Marketing
développés sur ces nouveaux médias.
Le second chapitre sera consacré à une revue de la littérature expliquant nos variables
clés à savoir : l’intention d’achat- l’attitude envers la marque et l’attachement à la marque.
Une partie empirique : qui sera devisée en deux chapitres. Le premier porte sur le modèle
conceptuel et la définition de nos hypothèses de recherche et l’explication notre
démarche méthodologique
Le dernier chapitre sera consacré à la validation des hypothèses et la discussion des
résultats.
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Chapitre I :
Les médias sociaux : fondements et applications
Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
Introduction
Dans l’univers numérique, l’apparition de nouvelles pratiques marketing suite à
l’évolution des usages a donné naissance à une forte imbrication entre technologie, usage
et marketing. Cette imbrication bien que relativement complexe, témoigne de la
prégnance de la technologie dans l’activité du marketing digital.
Pour cela, l’E_marketeur doit rester vigilant quant à l’apparition de cette nouvelle
technologie, de ce nouvel outil ou de ces nouveaux usages car ce sont des pistes
prometteuses pour ses actions de marketing digital.
La popularité des médias sociaux est en pleine croissance. En effet, selon Thureau
et al, (2013) « le pouvoir des médias sociaux a commencé à influencer les
consommateurs et les entreprises et à continuer à le faire avec une vitesse à couper
le souffle ».
Par conséquent, les hommes de marketing doivent maintenir une présence cohérente et
planifiée sur ces médias en se focalisant sur l’équilibre entre deux principaux objectifs :
protéger l’image de marque et réussir une relation de proximité avec les clients basée sur
une communication directe facilitée par ces nouveaux canaux. Ceci offre l’opportunité aux
entreprises d’établir des liens plus étroits entre le consommateur et la marque.
Dans ce premier chapitre, nous allons aborder, dans une première section les
fondements théoriques des réseaux sociaux ainsi que ses dimensions stratégiques, en
essayant d’expliquer les facteurs qui motivent les consommateurs à utiliser ses nouveaux
outils de communication. Par la suite et dans une deuxième section ; nous traiterons
l’intégration des médias sociaux dans la stratégie de communication des entreprises en
se basant sur les nouvelles applications qu’offre l’univers digital.
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
C’est en septembre 2004 que Tim O’Reilly, directeur d’une maison d’édition
spécialisée dans l’informatique évoque le terme « web2.0 ». Son effet a très rapidement
envahi le web, générant ainsi une diffusion de plusieurs définitions. Afin de pouvoir
comprendre les fondements techniques des réseaux sociaux, nous allons aborder
quelques définitions :
Pour Musser et O’Reilly (2005) « le web2.0, est « un ensemble de tendances
économiques, sociales et technologiques qui forment collectivement la base de la
prochaine génération de l’internet, un milieu plus mature distinctif caractérisé par
la participation de l’utilisateur, l’ouverture et les effets de réseau ».
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
devient, grâce aux outils mis à sa disposition, une personne active sur la toile. Le web 2.0
est donc l’évolution du web vers l’interactivité mais permettant plus de simplicité
d’utilisation, les connaissances techniques et informatiques n’étant pas indispensables
pour les utilisateurs ».
Nous nous intéresserons dans les développements qui suivent, à comprendre la
contribution de ce nouveau concept dans le fonctionnement des médias sociaux ainsi que
les communautés virtuelles.
Certains chercheurs affirment que toutes les nouvelles pratiques du marketing
dites du web 2.0 sont générées par des évolutions technologiques de ce nouveau web
(Scheid et al 2012). En effet, ces auteurs estiment que cette nouvelle logique est un point
de départ pour « faire bouger les lignes et de pousser des acteurs « traditionnels » vers
de nouvelles pratiques ». C’est le cas par exemple, des sites de presse en ligne qui se sont
peu a peu ouverts aux commentaires des internautes sur leurs articles.
Cette nouvelle avancée technologique a engendré beaucoup de mutations
désormais plus profondes axées primordialement sur la place qu’occupe ‘’l’internaute’’.
En effet, Scheid et al(2012) estiment que la sphère web a défini un nouveau paradigme,
celui de « l’internaute-roi »impliquant une nouvelle orientation de la
discipline ꞌꞌmarketingꞌꞌ vers le client.
Le « web2.0 » remet en cause le mode de communication des organisations offrant
ainsi l’occasion pour les entreprises des nouvelles perspectives et des nouveaux outils
pour l’aider à affronter l’enjeu de proximité client. Selon ces chercheurs, ces services sont
basés sur deux principaux axes à savoir : l’internaute est replacé au centre de l’internet et
l’aspect relationnel est au cœur de la logique’2.0’. Ils ajoutent que cette logique est fondée
sur trois usages centraux à savoir :
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
populaires et nous assistons, en fait, à une rapidité de l’utilisation de ces médias pour le
partage de l’information ce qui a déclenché un regain d’intérêt académique (Osatuvi, 2013).
Dans le paragraphe suivant nous allons définir ces nouveaux outils.
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
complexe les uns aux autres. Les liens sociaux sont des éléments essentiels dans la
structuration du réseau ».
Avant d’approfondir notre recherche dans le domaine de réseaux sociaux, il nous semble
impératif d’évoquer la confusion entre réseaux sociaux et médias sociaux. En fait, Stenger
et Coutant (2011) affirment que la généralisation de l’appellation des « médias sociaux »a
touché la presse comme le monde des affaires voire même dans certains milieux
académiques. Ils ajoutent que ceci est dû au moins à trois raisons :
⮚ Ces sites sont qualifiés de médias sociaux
⮚ L’expression est utilisée pour affirmer l’existence d’un phénomène massif de
participation sur internet ;
⮚ Des dispositifs très différents se trouvent ainsi regroupés sous cette« bannière ».
L’émergence de ces médias sociaux était le centre d’intérêt de plusieurs recherches
académiques. Ceci a fait qu’une multiplicité de définitions de ce nouveau concept est
apparue.
Nombreux chercheurs se sont intéressés à ce sujet par exemple :
▪ Robinson (2007), Erdogims et Cicek (2012) définissent les médias sociaux
comme « des outils utilisés pour la communication possédant des attributs
web 2.0. ce sont des outils participatifs, collaboratifs, favorise le partage des
connaissances. Ces médias sociaux représentent aussi des outils
d’autonomisation disponibles pour le Web.
▪ Sayko et Brake (2009) ; Erdogmus et Tatar(2015) définissent les médias
sociaux comme « les activités, les pratiques et les comportements au sein des
communautés. Des personnes qui se réunissent en ligne pour partager des
informations, des connaissances et des opinions en utilisant le médias
conversationnel ».
▪ Kaplan et Henlein (2010) ; Rahman et al(2015) définissent les médias sociaux
comme étant « un groupe basé sur des applications d’internet qui est
construit sur les fondements idéologiques et technologiques du web 2.0 et qui
permettent la création et l’échange de contenu générée par l’utilisateur ».
De ce fait, la création des relations interpersonnelles est fondée sur le partage des
idées, des contenus, des pensées. Ceci n’est valable que par la présence des médias
sociaux qu’offrent à toutes les personnes utilisant ces technologies de l’information Scott
(2010) ; Jucaityte et Mascinskeine(2014).
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
L’émergence de ces nouveaux outils dans le monde virtuel a fait que plusieurs
chercheurs ont tenté de définir ce nouveau concept.
Pour Wikipédia, les communautés en ligne sont considérées « comme étant des
communautés virtuelles qui constituent des agrégats sociaux qui émergent du net
lorsqu’un nombre suffisant de personnes mènent des discussions publiques assez
durables pour former des réseaux interpersonnels dans le cyberspace ».
Alors que Reingold et al (1999) ; Dholakia et al (2004) considèrent que les
communautés virtuelles comme étant « des groupes de consommateurs, de différentes
tailles qui se rencontrent et interagissent en ligne pour le bien de la réalisation
personnelle, ainsi que des objectifs communs de leurs membres ».
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
Les médias sociaux donnent au marketing un moyen d’interaction directe, ce qui constitue
un environnement idéal pour la création de communautés de marque Scarpi, (2010) ;
Labrecque (2014).
Selon, Muniz et O’guin(2001) ; Zaglia (2013) Les communautés de marque sont
une forme particulière de communautés de consommateurs et représentent un centre
d’intérêt dans les études en marketing qui s’intéressent aux liaisons entre la marque et la
communauté.
A cet égard, Valette-Florance et al (2009) ; Zaglia (2013) définissent les
communautés de marque comme étant « des communautés de consommateurs
spécialisées ; ils diffèrent des communautés traditionnelles en raison de leur caractère
commercial, l’intérêt commun des membres, l’enthousiasme, ou même l’amour pour une
marque.
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
▪ Les médias de relations : en se basant sur le profil, les services de médias sociaux
consistent essentiellement en des messages personnalisés et sont étiquetés
comme des relations, ce qui inclut des services tel que : Facebook, Linked in et
mobile apps tel que line et whatsapp.
En médias sociaux les relations de connexions sont faites par connaissance, les
internautes publient des messages sur les pages de l’autre, laisser des
commentaires sur la photo d’un ami ou mettre à jour leurs statuts à un cercle fermé
d’amis. Les messages sont personnalisés pour une personne ou un petit groupe
d’amis et sont fonctionnellement équivalents aux appels téléphoniques et e-mails.
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
Certes, l’intégration des médias sociaux dans la vie quotidienne attire des millions
d’utilisateurs qui profitent de plusieurs formats en ligne pour communiquer à travers des
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
blogs, des broadcasts, réseaux sociaux, babillards et wikis dont l’objectif est de partager
des idées sur un produit, un service ou une marque et communiquer avec d’autres
consommateurs qui sont considérés comme plusieurs sources d’informations kozinets
2002 ; Ioanàs et Stoica(2014). En effet, selon quelques données fournies lors de l’ICT
(2014)4Hudson (2015) plus de 2,7 billion de gens sont globalement en ligne soit environ
40% de la population mondiale. Ainsi, ces personnes ou groupes de personnes connectés
interagissent avec différents motifs de connexion dans le but de décrire des relations qui
vont identifier les caractéristiques d’un réseau social Doyle(2007) ; Zaglia (2013). Ces
changements nous amènent à nous poser une question, qui sera traitée dans ce qui suit,
qu’est-ce qui motivent les gens à utiliser les médias sociaux ?
Les évolutions des usages d’internet à travers les médias sociaux ont induit à une
progression énorme dans l’acclimatation du l’homme de 21ème siècle à son nouvel
environnement digital : la diversification des moyens de connexion à distance a eu pour
effet de renforcer les ressorts même de son humanité. Plus il utilise son PC, son mobile ou
sa tablette, plus il recherche du contact, des avis, partage d’expériences et plus il accepte
de se dévoiler. Nous cherchons à présenter, dans ce qui suit, les différentes motivations
qui incitent les gens à se dévoiler.
2.1. L’interactivité :
Traditionnellement, l’interaction sociale est définie comme « un phénomène
complexe où interagissent plusieurs dimensions (cognitives, sociales et culturelles)
dans un cadre spatio-temporel historiquement et culturellement situé et marqué par
des règles et par des valeurs » Gharbi (2011).
En d’autres termes, l’interaction est la coprésence de deux individus au moins, dans
des situations bien déterminées, en produisant des conduites mutuellement
réciproques.
4 : Etude effectuée par le Groupe de Recherche Numérique sur les médias, 2012
Source : Exploring knowledge sharing in virtual communities ; Lio et al, 2013
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
Il n’y a pas un consensus parmi les chercheurs sur la définition de l’interactivité sur ces
nouveaux supports technologiques (Kumar et al, 2006) Labercque (2014) .Certains ont
essayé de la définir selon plusieurs perspectives. En effet,selon Noort et al (2012) ; Lin et
Shrun(2002) qui étaient les premiers à décrire une vision complète concernant
l’interactivité en se basant à la fois sur la littérature de communication et du marketing.
Ces auteurs, stipulent que l’interactivité peut être définie comme « le degré auquel deux
ou plusieurs parties communicantes peuvent agir l’une sur l’autre, sur le support
de communication sur le message et la mesure dans laquelle ces influences sont
synchronisées ».
Un aperçu sur la multidimensionnalité du concept de l’interactivité a été évoquée par (Lin,
2003, Lin et Shrun 2000 ; Mcmillan et Hwang 2002, Song et Zinkhan 2008 ; Noort et al,
2012).Ces chercheurs ont subdivisé cette multidimensionnalité selon trois Critères:
Pour approfondir notre compréhension, nous nous appuyons sur les travaux de Dholakia
et al (2004) qui ajoutent que le maintien de la connectivité interpersonnelle se réfère aux
avantages sociaux qui proviennent de l’établissement et le maintien d’un contact avec
d’autres personne au sein d’une communauté. En effet, comme nous l’avons déjà évoqué
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
le soutien social élabore l’amitié et l’intimité afin de dissiper la solitude (Mc kenna et al,
1999 ; Dholakia 2004).
Dans ce même ordre d’idées, Baumeister (1998), Dholakia (2004), pensent que l’adhésion
et l’acceptation des membres offrent aux participants de la communauté l’occasion de
gagner un certain standing social ainsi qu’une amélioration de son statut social au sein
de cette communauté en raison de ses contributions.
Nous pouvons également ajouter que le maintien de la connectivité interpersonnelle met
l’accent sur les avantages sociaux de la participation Dholakia et Bagozzi (2002). Ainsi,
trois influences sociales poussent l’individu à participer dans les communautés : la
conformité (c’est à dire l’influence normative des attentes des autres) ; l’intériorisation
(objectifs de congruence du participant avec ceux des membres de groupe) et
l’identification (la conception de soi-même en termes de caractéristiques définissant le
groupe). Ces deux auteurs ont constaté que l’identification et l’intériorisation prédisent
significativement la participation tandisque la conformité s’avère non significative du fait
que les membres ne voient pas la nécessité de se conformer aux attentes des autres
membres. Nous allons retenir seulement deux influences sociales pour expliquer la
participation aux communautés.
Le fondement théorique de ces deux facteurs se réfère à une recherche sociologique qui
stipule que la participation dans la communauté exige une compréhension et un
engagement de l’individu dans le cadre d’un ensemble de valeurs, croyances et des
conventions partagées avec les autres membres de la communauté c’est ce qu’on appelle
l’intériorisation (Dholakia et al 2004). Alors que l’identité sociale est « la partie du
concept de soi des individus qui découle de leur connaissance de leur appartenance à un
groupe social (ou des groupes) ainsi que la valeur et la signification émotionnelle attaché
à cette adhésion » (Tjafel 1982, Zaglia 2013).
Pour conclure nous déduisons que l’interactivité est considérée comme un antécédent
primaire pour l’engagement à une communauté de marque c’est ce que nous cherchons à
développer dans une 2ème section.
Toutefois, l’interactivité n’est pas le seul facteur qui motive les individus à rejoindre les
médias sociaux, la recherche d’information représente aussi un facteur très important.
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
les communautés virtuelles. En effet, les études ont montré que de nombreux participants
rejoignent ces médias afin de partager, et répondre aux questions des autres dans
l’objectif de fournir des informations (Hars et Ou, 2002 ; Dholakia et al, 2004).
Nous assistons davantage à un pouvoir de création de contenu et de transmission de
conseils utiles entre les membres d’une communauté (Fuller et al, 2009 ; Hajli 2014). Ce
nouveau développement a fait que le partage d’informations via les plateformes sociales
se fait d’une manière rapide et à l’échelle mondiale (Molly et al, 2005 ; Hajli, 2014). Il faut
signaler que plusieurs chercheurs se sont intéressés à ce sujet de partage de l’information
sur les médias sociaux comme un facteur motivant les consommateurs.
Dans ce qui suit nous allons nous pencher sur la diversité de la littérature sur ce sujet.
Lio et al, (2013) déclarent que plus que 50%des consommateurs en ligne sont affectés
par les informations fournies par les communautés virtuelles ou blogs pour faire du
shopping.
Ils ajoutent qu’une étude faite par la Commission d’Evaluation et de Développement de
la Recherche (2011)5 indique que 17% des internautes qui utilisent l’internet
fréquemment, dont 33,3% d’internautes occasionnels, posent des questions ou cherchent
des connaissances dans les communautés virtuelles. Tandis que 22% des internautes
partagent de l’information et 4.4% de ces internautes partagent fréquemment les
connaissances.
Dans ce contexte, Muller et al, (2011) Hajli, (2014) ajoutent que l’une des principales
caractéristiques de ce monde virtuel est l’apprentissage par la pratique. Cet
environnement offre aux internautes l’occasion d’apprendre en pratiquant. Cette pratique
se manifeste lors de l’interaction entre les membres d’un groupe grâce aux échanges de
plusieurs motifs (par exemple l’échange de j’aime, commentaire, les photos, des tags, les
sondages, les évènements, les messages de la boite de réception, le bavardage enligne)
favorisant ainsi la création de contenu et le partage des informations et des expériences
avec d’autres utilisateurs (Chen et al, 2011 et Hajli, 2014). Ces derniers ajoutent que les
plateformes ont facilité le partage de l’information en illustrant l’exemple de Wikipédia
comme étant la plateforme la plus populaire à servir cette finalité. Dans ce même ordre
de pensées Killian et McManus (2015) stipulent que les plateformes microblogging
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
offrent aux utilisateurs un moyen condensé de rester à jour sur les évènements actuels.
En effet, les sites de microblogging comme Twitter peuvent être bénéfique pour les
gestionnaires dans le but de partager d’importantes nouvelles et informations en temps
opportun en mettant l’accent sur leur intérêt pour les consommateurs (McCan, 2014,
killian et Mc manus ,2015). Par exemple,plusieurs participants utilisent Twitter pour
encourager une action immédiate de la part des consommateurs avec des finalités ciblant
un besoin particulier du public.
A cet égard, Ridings et Gefen (2004) ; Hajli (2014) pensent que les recommandations sont
des outils qui ont facilité le partage de l’information. En fait, les consommateurs potentiels
s’intéressent plus par les recommandations des autres utilisateurs plutôt que de
l’information générer simplement par le fournisseur du produit.
Nous ajoutons aussi les travaux de (Ma et Chan, 2014) qui pensent que les gens
apprennent à travers l’interaction sociale. En effet, pour expliquer cet apprentissage ils se
réfèrent aux travaux ultérieurs de (Vygostsky 1987) sur la construction sociale en tant
que mécanisme d’apprentissage. Selon, (Palincsar Brown 1984, Freemen, Karker 1985,
Bivens, 1990) le processus d’interactions sociale favorise le changement cognitif et par
conséquent, le partage des connaissances. Ce partage joue un rôle important dans la
conversion des connaissances sociales en connaissances individuelle. Par conséquent, il
joue un rôle important dans le développement des communautés (Zhang et al 2010, Lio
et al, 2013).
D’une autre perspective, Vijayasarathy,(2004) ; Lio et al (2013) suggèrent que l’auto
efficacité constitue un facteur important affectant le partage des connaissances. A noter
que L’auto efficacité se réfère, aux croyances d’un individu quant à leur capacité
d’entreprendre un certain comportement (Bandura 86 ; Lioet al, (2013). Par contre dans
le contexte du partage des connaissances l’auto efficacité est définie comme l’évaluation
de leur capacité à fournir la connaissance.
Alors que Bartol, et Srivastava, (2002) et Lio et al, (2013) ajoutent que la motivation clé
du partage des connaissances est la récompense organisationnelle. Les récompenses se
réfèrent à la mesure dans laquelle nous croyons que nous pouvons recevoir des
incitations extrinsèques pour partager l’information sur ces médias.
Toutefois, peu d’études ont porté sur la motivation du partage des connaissances à partir
des perspectives utilitaire et hédonique. En effet, la motivation utilitaire dans le contexte
du partage des connaissances découle des résultats attendus de cette participation en vue
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
sentiments associés à aider les gens (kankanhalli et al 2005, Lin2007, Wasko et Faraj
2005 ; Lio et al 2013).
Zaglia (2013) ; Habibi et al,(2014) montrent que l’une des principales motivations est
d’obtenir les informations ou les compétences nécessaire pour mieux utiliser le produit
de leur marque préféré.
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
Pour cela, les entreprises font recours aux experts et aux consultants des médias sociaux
qui concentrent leurs efforts et leurs activités dans ces médias. Ces experts tentent
d’attirer l’attention des consommateurs afin que les cœurs et les esprits de ces derniers
seront capturés et fidéliser à la marque (Coon, 2010 ; Erdgums et Cicek 2012).
Partant de leur originalité sociale, les médias sociaux sont acquis en tant que canal de
communication (Jucaity et Mascinkien, 2014). La sincérité de la communication sur les
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
médias sociaux est basée sur le principe de montrer l’identité de la marque plutôt que
d’essayer de contrôler son existence dans chaque canal de communication de ces médias
tel que (Facebook, Twitter, Blogs et Forums (Gordhamen, 2009 ; Erdogums et Cicek
2012).
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
⮚ La cohérence :
Pour atteindre l’authenticité dans les médias sociaux il faut que l’interaction d’un
consommateur soit compatible avec d’autres interactions liées à la marque. En effet un
décalage peut laisser le client se demander quelle interaction représente le vrai caractère
de la marque. Le développement d’une image de marque cohérente au sein d’une
plateforme expérimenté est un défi pour l’entreprise. En effet Les interactions sociales
doivent être cohérente dans leurs contenus et Les médias sociaux d’une entreprise
doivent comprendre intimement les attentes de ses clients ce qui rend le contenu de la
marque plus dynamique et en mesure de communiquer avec eux d’une manière qui
s’aligne avec la personnalité de la marque.
⮚ La personnalisation :
Pour générer, l’engagement, les messages des médias sociaux devraient être adaptés et
pertinents pour les besoins actuels du client et les forces de la plateforme. L’objectif est
de déplacer les clients dans l’entonnoir de décision. Les stratégies des médias sociaux
peuvent aligner les objectifs organisationnels avec ce but de manière pertinente. En effet,
l’utilisation des médias sociaux offre au gestionnaire l’occasion d’occuper un
emplacement en ligne qui correspond aux intérêts et aux besoins du consommateur. Ils
permettent aux gestionnaires de comprendre les motivations des consommateurs d’une
façon directe grâce à l’interaction sur ces plateformes. Une approche personnalisée aux
différentes plateformes et les médias sociaux peut faciliter des connexions plus profondes
avec les clients dans différents points de décision dans leurs processus d’achat.
⮚ L’engagement :
Avant de commettre une plateforme sociale, les gestionnaires de marque doivent
comprendre le type d’utilisateurs et les conversations qui sont menées au sein de la
plateforme. L’engagement reflète une nécessité d’engager à la fois la plateforme et les
clients de la marque sur cette plateforme. Du moment où cette plateforme est un nouveau
centre intérêt, l’entreprise doit assurer une maintenance fréquente du contenu sur celle-
ci.
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
Enfin, il est à noter que le succès d’une compagne de marketing viral à cibler dépend de la
structure du réseau Bampo et al (2008) et Van et al (2010).
Selon Bampo et al (2008), les entreprises doivent cibler les clients qui pourraient alors
fonctionner comme des « hubs ». Ces clients seront responsables de faire de cette
compagne virale une propagation plus rapide. Dans l’ensemble, les études antérieures
montrent que le succès d’une compagne de marketing viral dépend fortement de la
stratégie d’ensemencement de l’entreprise à savoir le contenu émotionnel du message et
la structure du réseau social.
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
« Les marques, comme les humains, peuvent établir de légitimes relations avec ses
partenaires » (Smith et al, 2013).
L’importance des relations qui s’établissent avec la marque réside dans le fait qu’elle
fournit aux consommateurs des ressources nécessaires qui leurs permettent de prendre
leurs décisions, répondre à leurs besoins et les motiver.
Malgré que le processus de l’établissement des relations avec la marque demeure difficile
et complexe, il s’avère très important dans l’observation de comportement de
consommateur relativement lors d’une décision d’achat (Smith et al, 2013).
Dans ce même contexte, Chen et al, (2011) suggèrent que les entreprises doivent profiter
des dimensions interactives et d’engagements des médias sociaux. En effet, ces auteurs
pensent que ce nouveau canal de communication facilite l’établissement des relations de
consommation et la promotion de leurs marques.
En conséquence, nous pouvons dire que les entreprises tirent profit de la possibilité de
recueillir des informations comportementales détaillées sur la prise de décision de
consommateur (Smith et al, 2013).
La conceptualisation des relations de consommation avec les marques a été abordée par
Fournier (1994-1998) c’est leꞌꞌ BRQꞌꞌ. Cet auteur, à souligner le rôle des facteurs affectifs
dans le développement des relations consommateurs- marques. Dans cette métaphore, un
consommateur et une marque sont théorisés comme étant dans une relation dyadique
semblable à une relation entre deux personnes (Smith et al, 2013).
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
Pour conclure, Hudson et al, (2015) ajoutent que l’interaction avec une marque via
les médias sociaux peut fonctionner comme une interaction sociale interpersonnelle qui
favorise un attachement émotionnel, un sentiment d’intimité et amélioration de la qualité
de la relation.
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Chapitre I : les médias sociaux : fondements et applications
Conclusion
L’apparition du Web social a permis aux internautes d’utiliser le web 2.0 pour faciliter les
activités sociales telles que le partage, le marquage et la collaboration (Chi, 2008 ; Chtioui,
2014). Aujourd’hui, les réseaux sociaux sont devenus un espace commercial qui fournit
une expérience de magasinage unique caractérisée par une forte collaboration et
interactions sociales entre les commerçants et les consommateurs.
Ces nouveaux outils (réseaux et communautés virtuelles de marque) se composent d’un
grand nombre de personnes qui sont génératrices potentiels de contenus et sont aussi
une source considérable d’informations. Ils offrent aux cyber-consommateurs l’occasion
d’accéder à une quantité illimitée d’informations, de communiquer et interagir avec les
autres partout dans le monde. Ce qui fournit un sentiment d’autonomisation chez le
consommateur, lui aidant à jouer un rôle plus important dans les échanges avec les
entreprises. (Ernest et al, 2010).
Etablir des relations avec la marque suite à ses interactions virtuelles va engendrer des
effets sur le comportement de consommateur lors de son processus d’achat
particulièrement son intention d’achat à travers l’internet. C’est ce que nous allons
étudier dans le second chapitre.
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Chapitre II :
Les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la
séquence : attitude–attachement à la marque
Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Introduction :
Le comportement d’achat du consommateur a suscité plusieurs travaux dans le domaine
de la psychologie, les sciences sociales, le Marketing et les systèmes d’informations.
L’étude de ce concept est très intéressante, aussi bien dans le cadre des achats
traditionnels que celui des achats en ligne. Ces études visent la compréhension du
processus par lequel le consommateur recouvre ses attentes, ainsi que les déterminants
de ce comportement.
Dans un continuum de l’approche traditionnelle, l’approche expérientielle développée
par Holbrook et Hirschman, (1982), vient remettre en cause la vision ꞌꞌrationnelleꞌꞌ du
consommateur en introduisant un volet émotionnel significatif dans le processus de
décision de celui-ci.
Selon Triandis (1977), le comportement dans toute situation est une fonction en partie de
l’intention, en partie des réponses habituelles et en partie des contraintes et conditions
de situation.
Pour ce faire l’étude de l’intention d’achat aussi bien dans la vie réelle que dans le monde
virtuel nous ramène à un balayage des principales définitions et concepts des différents
déterminants qui contribuent à la formation de cette dernière. En effet, l’attention des
chercheurs en marketing se détournait vers ce concept d’intention afin de prédire le
comportement réel d’achat. En effet, plusieurs chercheurs tel que Limayem et al, (2000) ;
Oueslati et Ellouadi, (2007) ont pu démontrer une relation significative entre l’intention
d’achat sur internet et l’achat effectif.
Par ailleurs, Wells et Prensky (1996) avancent que les caractéristiques d’un acheteur
potentiel sur internet peuvent être divisées en deux grandes catégories à savoir : les
caractéristiques de base du consommateur et les processus comportementaux. Selon ces
auteurs, les caractéristiques de base du consommateur représentent son côté inné. Ce
sont des caractéristiques à aspect stable de la vie des consommateurs qui permettent
leurs descriptions et leurs catégorisations. En revanche, les processus comportementaux
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
sont les motivations, les perceptions, l’attitude et l’ensemble de décisions permettant aux
consommateurs de satisfaire leurs besoins.
Tout au long de ce chapitre, nous allons nous intéresser aux processus comportementaux
du consommateur. Notre étude portera sur le rôle joué par la séquence attitude-
attachement dans la détermination de l’intention d’achat en essayant d’effectuer une
revue de la littérature de chaque concept et des études qui se sont intéressés aux relations
entre ces variables.
Selon Drappy (1997). L’intention est activée par un désir ou un besoin. Le désir est
considéré comme un actif (O’shuaughnessy, 1992) à l’intention d’achat. Cette dernière se
rapporte à ce que l’individu tente de faire dans l’opposition qui s’installe entre le motif et
la pensée (Allport1970). A ce niveau du processus, le produit à acheter est choisi et
verrouillé mentalement. Il s’agit d’une anticipation du comportement.
O’shaughnessy (1992) définit alors l’intention d’achat comme « le résultat d’un
désir qui a été traité cognitivement ». Ainsi, l’intention d’achat fait intervenir les
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
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les intentions peuvent être très accessibles et facilement disponibles pour guider la
performance du comportement.
L’intention déclarée est alors une variable aléatoire avec une moyenne qui tend
vers l’intention réelle (Morrison, 1979).
Triandis (1980), reprend la théorie de l’action raisonnée pour élaborer sa théorie
des comportements interpersonnels. Il intègre à son modèle la force de l’habitude et
introduit la notion des conditions extérieures à l’individu, facilitant ou compliquant
l’adoption du comportement souhaité. Le modèle démontre que les intentions de
comportement sont déclenchées par les sentiments que l’individu a envers le
comportement (affect), ce qu’il pense devoir faire devoir (facteurs sociaux) et par les
conséquences attendues du comportement. Le comportement est influencé par ce que
l’individu a souvent fait (habitudes), par les intentions et par les conditions facilitatrices.
Le modèle de Triandis a été utilisé pour expliquer l’adoption des ordinateurs personnels
(Thomson et Al 1991), l’adoption de l’internet dans le travail (Cheung et al, 2000) et
l’achat sur internet (Frini et Limayem, 2000).
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attachement à la marque
Nous pouvons dire que, Fishbein et Ajzen (1980) rejoignent les propos de Triandis
et affirment que l’attitude du consommateur n’est pas directement corrélée avec son
comportement mais plutôt avec son intention (Limayem et al, 1994) ; (Gharbi et Janouri
,2008).
Nous ajoutons que la théorie de l’action raisonnée a été la base du modèle de
l’acceptation de la technologie TAM développé par Davis (1998). C’est un modèle
spécifique qui vise à étudier et expliquer l’acceptation et l’usage des technologies de
l’information. Nous concluons ce paragraphe par dire que point commun entre tous ces
modèles consistent dans le fait de considérer l’intention comme étant l’élément prédictif
du comportement de l’individu.
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
De leur part, (Eagly et Chaiken, 1993) ;(Gharbi et Janouri, 2008) affirment que « les
intentions d’achat sont déterminées par les attitudes envers l’objet du comportement
(attitude envers le site marchand) ».
Pour aller au- delà de la prévision et de fournir une explication du comportement,
la littérature traite aussi les facteurs qui conduisent à la formation de l’intention. Bien que
les théories diffèrent dans le détail, il existe une convergence de plus en plus significative
sur un petit nombre de variables qui représentent une grande partie de la variance qui
expliquent la formation des intentions de comportement (Triandis,1980 ; Fishbein et
Ajzen,2001). Ces variables peuvent être considérées comme représentent les trois grands
mobiles qui influencent la décision d’engager un comportement donné : les conséquences
positives ou négatives probables du comportement, l’approbation ou la désapprobation
du comportement par des individus ou des groupes respectés et les facteurs qui peuvent
faciliter ou entraver l’exécution du comportement. Les conséquences probables d’un
comportement ont été appelées croyances comportementales ( Ajzen et fishbein,1980).
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
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Dans ce contexte, Fournier (1998) ; Tafani et al (2014) mettent l’accent sur le rôle
central des relations à la marque dans le comportement des consommateurs. Fournier
(1998) définie cette relation comme « une interdépendance volontaire ou imposée
entre une personne et une marque caractérisée par une histoire unique des
interactions et une anticipation des
événements futurs, qui est destiné à faciliter les objectifs socio-affectifs ou
instrumentales des participants impliquant un certain type de liaison de
consolidation».
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Alors que nous allons du niveau intérieur au niveau extérieur, la marque devient
de plus en plus significative pour le consommateur. Selon ce modèle, le consommateur
passe par cinq processus liés à la marque qui sont : l’identification, l’intégration, la
signalisation, l’expérience et la connexion avec la marque.
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Toutefois, Park (2009) remarque que les résultats sont contrastés selon le coût des
comportements (effort consenti pour réaliser le comportement). En effet, lorsque ces
comportements nécessitent d’importants efforts de la part du consommateur,
l’attachement apparaît comme un meilleur prédicteur des comportements que l’attitude.
A l’inverse, l’influence de l’attitude est supérieure à celle de l’attachement quand les
comportements sont considérés comme faiblement coûteux (Park, 2010).
Nous constatons ainsi que les liens qui relient la marque au soi sont à la fois cognitifs et
émotionnels. Les expériences personnalisées et les souvenirs autobiographiques de la
marque évoquent des schémas cognitifs riches (Sperling et Berman 1994) avec des liens
reliant la marque à des éléments personnalisés caractérisés par leurs pertinences et qui
font intervenir des implications fortes avec le soi. La force de ces liens engendre selon les
travaux de Priester et al (2006), deux effets à savoir :
- Le premier effet s’articule autour de la liaison de la marque aux pensées et aux
sentiments qui deviennent très accessibles et qui sont automatiquement
récupérables à partir de la mémoire chaque fois qu’il y a implication de soi
Mickulincer et al (2001).
- Le deuxième effet se manifeste dans la forte accessibilité à ces pensées et sentiments
qui reflète une grande volonté d’allouer des ressources de traitement pour une
marque à laquelle l’attachement est élevé, ceci rend la marque associée à
l’information (pensées et sentiments) (Holmes 2000). Ces informations seront
récupérées automatiquement lorsque les repères de la marque pertinents implicites
ou explicites sont présents.
Selon ces issues théoriques, nous allons essayer dans ce qui suit d’expliquer l’intention
d’achat du consommateur selon deux routes à savoir une route affective (l’attachement) et
une route cognitive (attitude). Notre travail se basera sur le fondement théorique de ces deux
concepts en précisant le rôle joué par ces derniers dans la détermination de l’intention
d’achat ainsi que la différence qui peut exister entre ces deux concepts.
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
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2.1. L’attitude
Les recherches antérieures ont révélé quand les attitudes sont fortes et favorables
c’est qu’ils sont le plus étroitement liés au comportement (Petty et Cacioppo 1986 ;
Eagly et Chaiken 1993 ; Cohen et Reed ; 2006 ; Priester et al 2006).
La définition de l’attitude, sous cette catégorie, est axée sur les aptitudes
comportementales des individus pour répondre d’une certaine manière à différents
objets. En d’autres termes, certains auteurs appréhendent l’attitude par son rôle sur le
comportement, elle est alors définie comme « un état d’empressement moral exerçant
une influence dynamique qui oriente la réponse d’un individu » (Allport ,1935).
Ainsi, l’attitude est définie comme « une disposition acquise envers un comportement
pour laquelle les états appris créent une inclinaison pour une réponse particulière»
(Campel ,1963).
De leurs part Stratham et al (1991) ; Gharbi et Janouri (2009) la considèrent comme étant
« Les évaluations des objets, problèmes ou personnes relativement durables. Ces
évaluations peuvent se fonder sur des informations ou expériences
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
La rencontre dans une situation donnée, d’un objet générateur d’attitude active
simultanément et automatiquement deux types de construits mémoriels à savoir :
● Un construit dont l’attitude exerce une influence sur la perception de l’individu à
l’égard de cet objet dans une situation précise.
● Un construit où les informations normatives influencent la manière dont l’individu
définit la situation.
Selon Fazio (1990), l’impact automatique de l’attitude sur le comportement se fait selon
cinq étapes :
- Etape1 : l’activation automatique de l’attitude suite à la rencontre avec l’objet
générateur d’attitude. Cette activation n’est possible que si l’attitude est accessible en
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provoquée par un conflit entre notre comportement et nos attitudes. En outre, la relation
entre nos cognitions peut être dissonante, consonante ou non pertinente.
Les développements précédents nous permettent de déduire que le concept d’attitude
permet de comprendre la relation entre l’individu et les objets de consommation. Nous
terminons ce paragraphe par une définition de Triandis (1979) qui affirme que peut être
considérée comme étant un affect et il la définit comme « la sensation de joie, de plaisir,
de gaité, de dégoût, de mécontentement et de haine qu’associe l’individu a un
comportement donnée ».
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
détermination de l’attitude se fait par le biais des valeurs subjectives des attributs de
l’objet à laquelle est ajoutée la force des croyances aboutissant ainsi à une association
entre la force des croyances et les attributs de l’objet.
Fishbein et Ajzen, 1975 ; Malhotra, 2005 affirment que les évaluations, selon le modèle de
la valeur attendue, se produisent de façon spontanée sans aucun effort de conscience. En
effet, même en absence d’un objectif explicite de faire de tel jugement, l’activation
automatique de l’attitude peut se produire (Bargh et Chartrand, 1999).
Malhotra, 2005 concentre ses travaux sur les explications de la formation des évaluations.
A cet égard, il stipule qu’il y a une grande différence entre les jugements évaluatifs et les
jugements non évaluatifs. Il distingue aussi que les individus diffèrent dans leurs besoin
d’évaluer (cité par Jarvis et petty, 1996).
Selon une optique raisonnable, l’évaluation de la cible se forme lorsque les gens
représentent les qualités descriptives de la cible sur un continuum évaluatif (Bien –Mal
–aimer- détester).
L’effet des facteurs personnels et contextuels sur les attitudes est bien reconnu. Le modèle
de la valeur attendue indique que les croyances accessibles sont saillantes dans la
formation des attitudes actuelles, relativement stables. Cependant, les facteurs
personnels et contextuels peuvent augmenter ou diminuer l’accessibilité des différentes
croyances (cité par Rutcliff et al 1999). Il a également constaté que les attitudes formées
dans des conditions de forte implication sont plus accessibles par rapport à celles qui sont
formées dans des conditions de faible implication (cité par Kokkinaki et Lunt 1999).
Cette ambivalence reflète la coexistence de dispositions positives et négatives à
l’égard de l’objet de l’attitude. Cela peut résulter d’un conflit entre la cognition et l’affect
ou entre des croyances simultanément contradictoires (les cognitions) (Mc- Gregor et al
1999).
En effet, l’attitude qu’ils présentent à un moment donné peut ne pas ressembler à
l’attitude qu’ils présentent à un autre moment du fait que la nouvelle attitude dépendra
des sous-ensembles de données à laquelle ils assistent (wilson et Hodges 1992).
A cet égard, les attitudes représentent des évaluations simples assemblées à partir des
signaux cognitifs et des sentiments plutôt qu’être expliquées par des évaluations stockées
qui guident le comportement (Cohen et Reed, 2006).
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
❑ Une composante affective : elle fait intervenir un jugement global, des évaluations et
des sentiments à l’égard de l’objet orientés de manière positive ou négative et selon
une extrémité pouvant signifier que l’objet est mauvais ou bon (Drappy et Volle,
2007).En d’autres termes, cette composante fait référence à la manière avec laquelle
l’individu aime un objet ou ne l’aime pas.
Attitude
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Evaluation de l’objet
Action
Cette approche exclue les dimensions cognitives et conatives. Dans ce cas, l’attitude est
distincte des croyances et des comportements, elle est principalement formée par la
composante affective (Bagozzi ; Burkrant1973 ; Norman 1975 ; Rosenberg 1968). Les
tenants
de cette perspective affirment que l’attitude est l’association d’une évaluation affective à
un objet spécifique (Fazio et Alii1983). Dans cette même ligne de pensée, Trustone(1931)
avance que l’attitude est une prédisposition affective, ainsi le lien entre croyances, affect
et intention devient causal. Le cognitif et le conatif deviennent respectivement des
antécédents et des conséquences de l’attitude comme le montre la figure qui suit :
Source : D’Astous, A et alii (2002) comportement du consommateur, Edition McGraw-Hill, Canada, p140
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attachement à la marque
Les psychologues ont tenté d’enrichir du lien entre attitude et comportement par
l’intégration de la composante « la force de l’attitude » en tant que variable modératrice
(Davidson et al 1985 ; Fazio et Zanna 1978a ; Fazio et al, 1989 ; Fazio, Chen, McDonel,
Shermen, 1982, Priester et al 2006).
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Dans ce qui suit nous allons adopter les propositions de Bressoud (2008) qui cite quatre
conceptualisations de la force de l’attitude fondée sur les mesures attitudinales à savoir :
La force de l’attitude peut être abordée aussi par le concept d’expérience directe ou en
d’autres termes par ses conséquences (Fazio et Zanna, 1978a, 1981 ; Regan et Fazio,
1977). L’expérience directe reflète une attitude fondée sur une expérience antérieure de
l’individu avec l’objet de l’attitude. Tandisque l’expérience indirecte représente la
formation d’une attitude sur la base d’informations non liées au comportement. Les
conséquences de l’expérience directe sont :
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Des recherches antérieures ont montré que la force de l’attitude de la marque prédit des
comportements dans l’intérêt des entreprises y compris les considérations de la marque,
l’intention d’achat ; le comportement d’achat et le choix de la marque (Fazio et Petty,
2007, Smith et al, 1995, Priester et al 2004).
Le modèle de la valeur attendue de l’attitude proposé dans les travaux de Malhotra (2005)
suppose que les jugements évaluatifs sont formés en fonction des processus cognitifs qui
lient l’objet de l’attitude et les attributs importants.
Ces jugements évaluatifs sont influencés à la fois par des processus cognitifs et processus
affectifs à savoir:
- Les processus affectifs sont automatiques, moins susceptibles d’être affectés par la
disponibilité des ressources de traitements et diffèrent par l’intensité et la valence
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
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(négative ou positive). La valence de l’attitude. Elle est définie comme étant «le degré de
positivité ou de négativité avec laquelle un objet d’attitude (dans le contexte actuel une
marque) est évaluée.
- Les processus cognitifs sont plus contrôlés, plus susceptibles d’être affectés par la
disponibilité des ressources de traitement et entrainer des cognitions sur les
conséquences de faire un choix.
Les modérateurs affectant le type de réaction qui se produit sont les modes de
présentation et les impulsives de personnalité (Shiv et Fedorikhin, 1999 ; Malhotra,
2005).
La cognition ainsi que les composantes affectives peuvent différer en termes
d’accessibilité. En effet, les aspects affectifs étant plus facilement accessibles dans la
mémoire (Haddock et Zanna2000, Verplanken et al 1998 ; Malhotra, 2005). Ainsi, il est
probable que l’effet relatif de la cognition par rapport à l’affect varie selon les individus.
Selon Malhotra (2005), il y a des preuves que les gens effectuent également des
évaluations en surveillant leurs réponses subjectives et affectives (humeurs, sentiments,
émotions) envers la cible.
Dans cette ligne de pensée, Lacoeuille (2000) met l’accent sur la différence entre
la notion de l’attitude et l’attachement en stipulant que l’attitude constitue une notion plus
large que l’attachement à partir du moment où l’attitude est un concept tridimensionnelle
comme nous l’avons déjà évoqué précédemment.
2.2. L’attachement
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
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❖ L’approche de Cristau :
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Selon ce chercheur, l’attachement puise ses fondements dans les travaux portant sur les
relations interpersonnelles et plus précisément individu-objet. Heilbrunn s’appuie sur le
rôle que peut jouer celui-ci dans le maintien et l’expression de soi (Ball et Tasaki, 1992).
Ainsi, l’attachement renvoie à une relation privilégiée d’un consommateur avec une
marque. Cette relation se caractérise par une forte intensité affective. Heilbrunn complète
son approche par l’intermédiaire d’une parution sémiotique des principales fonctions de
la marque. Tandisque la valeur instrumentale se réfère à des valorisations pratiques et
critiques.
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Ainsi selon Heilbrunn, l’attachement est défini comme « l’intensité du lien émotionnel et
affectif qu’un consommateur entretien à l’égard d’une marque ».
Heilbrun (2001) distingue deux types d’attachement : l’attachement fonctionnel et
l’attachement existentiel. Selon lui, seul le dernier serait l’expression des liens
émotionnels et affectifs tissés au cours du temps.
❖ L’approche de Lacoeuilhe :
affective durable et inaliénable (la séparation est douloureuse) envers la marque et qui
exprime une relation de proximité psychologique avec celle-ci » (Lacoeuilhe, 2000).
Ces trois approches francophones du concept d’attachement sont résumées dans ce
tableau :
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
A cet égard, (Rochberg, Halton 1986, Wellendrof et Arnold 1988, Kleine et al 1995,
Lacoeuilhe, 2000) ajoutent que l’attachement aux possessions répondent à « un besoin de
mémoire » puisqu’elles reflètent une « histoire vécue » ou une connexion avec « des
personnes désirables ».
Dans cette même veine, (Csikszentmihalyi et al, 1981) pensent que les possessions
représentant des figures d’attachement sont celles qui donnent du sens et une continuité
à la vie tel un lieu d’habitation, un cadeau (Belk1992). Par exemple une maison est
susceptible de représenter un symbole de notre histoire.
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Les travaux de (Thomson et al, 2005) nous permettent d’enrichir ce construit. En effet,
ils expliquent que les gens cherchent souvent une protection physique ou psychologique
contre le stress de leur environnement envers un objet auquel ils sont attachés.
L’attachement se fait à tel point qu’ils peuvent s’angoisser en se séparant ou en vivant
dans le risque de séparation avec l’objet de l’attachement. Dans ce même contexte, Hazen
et Zeifman (1999) notent que « le maintien de proximité et l’angoisse liée à la séparation,
ainsi que la recherche d’un ‘’abri’’ sûr et protégé sont les données à partir desquelles
l’existence et le rôle régulateur du comportement lié à l’attachement sont inférés ».
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Dans ce concept un lien est établi avec la marque en incluant le concept de soi. Ce
lien reflète un aspect critique de l’attachement se manifestant dans une connexion
cognitive et émotionnelle entre la marque et l’individu. En effet, nous observons que le
consommateur développe un sentiment d’unité avec la marque à travers des liens
cognitifs. En d’autres termes le consommateur va acheter une marque dès lors qu’elle
correspond à l’image qu’il se fait de lui-même. Ainsi, l’attachement reflète le degré auquel
la marque est intégrée dans le concept de soi de l’individu (Mercier et Roux). D’une
représentation cognitive, cette connexion de soi avec la marque est intrinsèquement
émotionnelle (Mikulincer et Shaver 2007, Park et al, 2005) impliquant des sentiments
innombrables et potentiellement complexes sur la marque y compris la tristesse, l’anxiété
de la séparation de la marque, le bonheur et le confort de la proximité à la marque. Nous
ajoutons encore une fierté envers les affichages de la marque.
● La proéminence de la marque :
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
1994) utilise ici les apports de Belk (1988-1990). Ces apports suggèrent que l’objet
symbolise l’identité.
Il permet de définir le ‘’moi’’ qui rattache l’individu à ses souvenirs d’antan en distinguant
son autonomie vis à vis d’autrui.
Selon Kessous et Roux (2006) trois fonctions principales sont assurée par des marques
générant la nostalgie à savoir :
- la définition et le maintien de son identité
- la volonté de revivre le passé
- transmettre son histoire
L’idée de base de la théorie de la congruence s’articule autour d’une idée développée par
Levy (1959) selon lesquelles : « les gens achètent des produits pas uniquement pour ce
qu’ils vont faire avec, mais pour ce qu’ils signifient ». L’importance de cette idée réside
dans l’évidence que la consommation est une réponse à des besoins. Il sert comme un
moyen de communiquer à posteriori un certains nombres de signes. Selon la théorie de la
congruence Sirgy (1982), l’individu s’attache à la personnalité, aux valeurs et l’image de
la marque qui sont en accord avec son concept de soi, c’est à dire avec l’image qu’il se fait
de lui-même ou qu’il veut donner aux autres ; nous assistons ainsi à un processus
d’identification.
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Fournier (1994) ajoute que, suite aux connexions qui s’établissent entre la marque
et le concept de soi de l’individu, la relation individu- marque se développe. De ce fait, la
marque apparaît comme une entité symbolique à laquelle les consommateurs attribuent
une personnalité par-delà de l’évaluation de son utilité (Aaker, 1997, Ferrandi et Valette
Florence, 2002). Elle sert comme une fonction d’expression de soi puisqu’elle permet au
consommateur d’exprimer une vision de lui-même de manière à lui procurer des
bénéfices symboliques valorisants (Keller, 1993).
✔ Satisfaction
Johnoson et al (1995), Aurier et al (2001) définissent la satisfaction « comme un construit
abstrait et cumulatif qui décrit l’expérience totale de consommation d’un produit ou d’un
service ». La première base de l’attachement émotionnel est la satisfaction (Thomson et
al, 2005). En effet, un individu attaché à une marque est généralement satisfait par elle.
Toutefois, l’attachement n’est pas synonyme de satisfaction, en d’autres termes un
individu satisfait d’une marque peut ne pas lui être attaché.
✔ La confiance :
Gurviez (2002) définit la confiance du point de vue du consommateur comme « la
présomption par celui- ci que la marque en tant qu’entité personnifiée s’engage à avoir
une action prévisible et conforme à ses attentes, et à maintenir cette orientation dans la
durée ». Ainsi, elle distingue deux principales composantes de la confiance à savoir :
- une composante cognitive : crédibilité perçue de la marque
- une composante affective : loyauté perçue de la marque qu’on
désigne également par bienveillance.
Souvent la confiance a été étudiée comme antécédent à l’engagement et à la fidélité à la
marque (Chaudhri et Holbrook, 2001 ; Frisou, 2000, Touzani, 2004). En revanche, elle a
été étudiée en concomitance avec l’attachement pour expliquer la fidélité (Chaudhuri et
Holbrook, 2001). Les recherches en psychologie sociale et en marketing relationnel
s’accordent à dire que la confiance est omniprésente dans l’établissement des relations à
long terme (Morgan et Hunt, 1994 ; Garbarino et Johnson, 1999).
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
La catégorie de produit :
Pays d’origine :
Selon Smaoui (2008), il existe une sensibilité des consommateurs au pays d’origine
des produits et des marques étrangères dans les pays émergents, tel que la Tunisie, sont
fréquemment cités. Les marques internationales notamment occidentales sont souvent
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
plus recherchées et mieux évaluées (Touzani et Laouiti, 2005 ; Smaoui 2008 ; Okechuku
et Onyemah, 1999 Etenson, 1993).
Pour conclure sur cette idée, ceux qui sont attachés devraient être plus
susceptibles d’adopter des comportements associés tels que l’utilisation des médias
sociaux pour parler à d’autres sur une marque, acheter un produit ou une marque à partir
de ce qu’ils ont lu sur les médias.
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
mettant l’accent sur la qualité des interactions entre la marque et le consommateur. Dans
ce même ordre d’idées Pine, Gilmore (1999), Wirtz et al (2013) affirment que lors des
interactions entre le consommateur et la marque, les entreprises devraient faire des
efforts pour des ‘’expériences scéniques’’ autour de leur marque.
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Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
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En effet, une attitude positive peut résulter des avantages liés à la marque qui dépassent
les attentes des consommateurs. Toutefois, cette attitude positive ne signifie pas
nécessairement que la personne se connecte à la marque avec son propre concept. En
revanche, cette connexion de soi à la marque représente le noyau de l’attachement. En
d’autres termes, malgré l’absence du contact direct avec l’objet, ces attitudes favorables
se développent. Nous déduisons ainsi qu’un consommateur peut avoir une attitude
positive envers l’objet sans jamais avoir été en contact avec.
Nous distinguons selon Priester et al (2006) que malgré un niveau faible d’attachement à
la marque, nous pouvons observer des attitudes favorables envers celle-ci. Dans ce cas,
les attitudes prédisent mieux le comportement d’achat que l’attachement. Les réactions
comportementales se manifestent par une faible volonté d’engager la perte de leur image
de soi ou des ressources discrétionnaires personnelles. Nous déduisons ainsi que ces
attitudes positives représentent des conditions nécessaires pour un fort attachement à la
marque.
D’une autre perspective, Park et al (2005) affirment que l’attachement émotionnel des
consommateurs implique qu’ils sont également enclins d’avoir une attitude favorable
envers elle.
L’attachement reflète la compatibilité entre le propre concept du consommateur et la
philosophie de la marque. Par conséquent, la formation de l’attachement est
principalement basée sur la propre perception des consommateurs.
66
Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
En se penchant sur les travaux de Lacoeuihle (2000), nous trouvons que ce dernier
précise que la distinction avec l’attachement doit essentiellement porter sur la
composante affective de l’attitude plutôt que sur l’ensemble du concept. En effet, la
motivation de cette composante se fait par des critères d’ordres instrumentaux
qu’affectifs. A contrario, l’attachement est prioritairement déterminé par des critères
affectifs. Lacoeuihle ajoute que la composante affective attitudinale traduit une
orientation positive ou négative envers la marque traduisant l’acceptation ou le rejet de
celle-ci du type « j’aime où je n’aime pas cette marque » ou cette marque « me plait ou ne
me plait pas ». Toutefois l’attachement, ne se confond pas évidemment avec une
connotation négative ou neutre. De plus une orientation positive n’est cependant pas
synonyme d’attachement. Celui-ci se manifeste par une grande proximité entre l’individu
et la marque et traduit un fort lien affectif qu’on ne peut se réduire à une simple
prédisposition envers la marque. Par conséquent, l’attachement correspond en effet à une
forme d’attitude favorable extrême.
67
Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Ces résultats affectifs et comportementaux impliquent qu’un individu qui est intensément
attaché à une personne ou un objet, notamment à une marque est susceptible d’être
engagé et désireux d’investir dans des interactions avec la marque ainsi que de protéger
et préserver ces interactions (Johnson, Rusbult, 1989, Vanlange et al, 1997). Ces
implications émotionnelles et comportementales sont extrêmement pertinentes dans un
contexte de marketing. En effet ils prédisent les résultats critiques d’intérêt pour les
décideurs de marketing y compris la fidélité à la marque, la volonté de payer un prix plus
pour obtenir le produit préféré, diffuser de favorable Bouche à Oreille et la volonté de
pardonner les incidents de la marque.
Tandisque les attitudes favorables ne signifient pas nécessairement l’implication des
motivations fortes ou manifestations comportementales. Dans ce cas, nous n’observons
pas des comportements explicites. En effet, la recherche montre que le lien entre l’attitude
et le comportement est subordonné à un certain nombre de facteurs situationnels et
dispositionnels (Sheppard et al1988, Eagly et Chaiken, 1993 ; Periester et al, 2006). Ces
derniers pensent que la construction de l’attachement peut offrir une nouvelle
perspective théorique vers le comportement des consommateurs qui va au-delà de la
construction de l’attitude traditionnelle et qu’il rend mieux compte de comportements
des consommateurs d’ordre supérieure dans un contexte d’échange entre marque et
consommateur.
Ces deux constructions similaires, représentant des réactions différentes vis à vis de la
marque, obéissent à une relation hiérarchique. L’attitude favorable est à la base de cette
relation suivie de l’attachement à la marque. Ainsi, nous assistons à un processus basé
sur un développement de la cognition et l’émotion des consommateurs avec cette
dernière. Pour démontrer ceci nous allons développer les travaux de Xinting et al (2013)
qui suggèrent que ce processus peut être conclu en trois phases :
- Être familier avec la marque
- Être au courant des actualités de la marque
- Être en amour avec la marque
Être familier avec la marque : Dans cette première phase, les consommateurs
rencontrent la marque dans le marché. Avec une interaction progressive avec celle-ci, les
consommateurs peuvent former une attitude générale envers la marque. Théoriquement,
l’attitude peut être modifiée par deux moyens principaux : soit par une voix centrale,
68
Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
caractérisée par un degré élevé d’information concernant la marque qui vient toujours
avec une forte participation. Soit par voie périphérique caractérisé par un procédé de
faible degré d’information envers la marque mais tout en étant sensible aux signaux
conjoncturels ou contextuels qui vient toujours avec la faible implication. Si le
consommateur considère que les attributs de la marque sont importants pour lui, il va
donner plus d’attention à l’information concernant la marque.
Être au courant des actualités de la marque : Dans la deuxième phase, les marques
établissent des relations de confiance avec les consommateurs. Ces derniers font une
attitude positive à l’égard de la marque qui les a satisfaits. L’accumulation des attitudes
positives dans l’esprit du consommateur favorise l’interaction avec celle-ci. Nous
déduisons ainsi que les consommateurs pourront se familiariser avec la marque en leur
faisant confiance surtout si les commentaires se maintiennent positives. Le processus par
lequel le consommateur passe de la satisfaction à la confiance est un processus de
quantité à la qualité. La confiance envers la marque constitue un élément essentiel pour
la relation entre les consommateurs et la marque. L’absence de confiance va exposer les
consommateurs à des incertitudes et des risques. Par conséquent, les consommateurs ne
feront pas leurs engagements aux marques. Dans l’ensemble, pas de confiance sans
attachement.
Être en amour avec la marque : Sur la base de la confiance, l’inclinaison psychologique
et comportementale des consommateurs va se stabiliser suites aux interactions. En
conséquence, les consommateurs éprouvent des comportements explicites tels que : une
préférence à la marque avec un engagement stable envers celle-ci. Selon les différents
motifs de préférence et d’engagement, le consommateur développera deux sous-
branches. La première est basée principalement sur la cognition. Ainsi la préférence et
l’engagement résulte d’un calcul de gain ou de perte.
Dans ce cas-là, les consommateurs montrent un comportement fidèle tel que le rachat,
reporter l’achat lorsque la marque est temporellement indisponible. La deuxième branche
est principalement basée sur l’affection. La préférence et l’engagement sont le résultat de
la résonnance émotionnelle. Dans ce cadre, les consommateurs prouvent leurs
attachements à la marque en montrant des comportements explicites tels qu’insensibilité
au prix, ignorer les marques des concurrents, s’engager activement dans la communauté
de la marque. La principale différence entre les deux branches est le degré
d’investissement émotionnel.
69
Chapitre II : les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–
attachement à la marque
Conclusion
En guise de conclusion, nous pouvons dire que, bien que le lien entre l’attitude et le
comportement est subordonné à un certain nombre de facteurs situationnels et
dispositionnels, l’attachement peut nous offrir une nouvelle perspective théorique vers le
comportement de consommateur qui va au-delà de la construction de l’attitude
traditionnelle et qu’il rend mieux compte de comportements des consommateurs.
La comparaison de ces deux constructions similaires représentant différentes réactions
des consommateurs aux marques nous montre qu’il existe une relation hiérarchique entre
eux où l’attachement à la marque est en haut de la hiérarchie. Il est en fait très lié à l’équité
de la marque.
70
Chapitre III :
Cadre Conceptuel et Méthodologie de la
recherche
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
Introduction :
Durant ces dernières années, la relation entre la marque et le consommateur a bénéficié
d’un intérêt croissant auprès de la communauté des chercheurs. Abordée par Fournier
(1998), Le fondement de cette relation s’appuie sur les liens affectifs et émotionnels qui
s’établissent au fil du temps et au fil d’expériences vécues entre le consommateur et la
marque. Toutefois, l’émergence des nouveaux outils de communication dans le monde
virtuel a bouleversé notre compréhension vis-à-vis de cette relation. En effet, nous
assistons à un usage croissant des réseaux sociaux, des sites commerciaux, sites de
marques et des communautés virtuelles de la marque lors de processus d’achat du
consommateur. Face à ce nouveau constat, plusieurs chercheurs tentent d’étudier les
changements qui affectent le comportement du consommateur lors de son processus
d’achat et particulièrement son intention d’achat.
L’objectif de ce chapitre est de formuler différentes hypothèses permettant d’éclairer
l’impact de l’exposition du consommateur à ce monde virtuel sur son intention d’achat
réel, particulièrement nous allons étudier le rôle de la séquence attitude-attachement
envers la marque comme déterminants de l’intention d’achat.
L’apport de notre recherche consiste en la considération d’un ensemble de variables qui,
jusqu’à présent ont été étudiées de manière isolée.
Dans ce cadre, nous avons fait usage de références provenant d’études antérieures sur les
déterminants de l’intention d’achat. Cela a permis de développer un certain nombre
d’hypothèses que nous allons tenter de valider à travers notre travail empirique.
Notre travail est devisé en deux sections : la première section sera consacrée à notre
cadre conceptuel, tandis que la deuxième s’intéressera à la méthodologie de recherche.
La première section sera devisée en deux paragraphes : la première s’articule autour de
la définition de chacune des variables choisies dans cette étude en spécifiant les relations
entre ces variables. L’explication du fondement de ce cadre conceptuel sera basée sur la
revue de la littérature. Alors que dans la deuxième, nous allons présenter notre modèle.
La deuxième section de ce chapitre sera quant à elle consacrée à l’explication de notre
démarche méthodologique.
69
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
70
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
Nous ajoutons que d’autres recherches, ont procédé par analogie avec les études menées
sur l’attitude à l’égard de la publicité, montrant que l’attitude à l’égard de la publicité est
le meilleur indicateur de son efficacité (Chen et Wells, 1990).
Ces auteurs, en transposant les effets observés dans les recherches publicitaires sur
Internet, affirment que les consommateurs qui perçoivent une publicité comme
divertissante, vont développer plus d’attitude positives envers la marque.
D’autres études menées par (Ha, 2008), traitant de la publicité en ligne, montrent que
cette dernière peut conduire à des évaluations positives de la marque. L’efficacité de cette
publicité est même supérieure à celle de la publicité traditionnelle. Il nous parait par
conséquent, raisonnable de supposer que la publicité sur Internet peut s’étendre au
monde réel et influencer le comportement du consommateur.
Les recherches menées sur le comportement du consommateur nous fournissent de
nombreuses preuves sur le fait que les consommateurs considèrent leurs activités en
ligne comme une part intégrante de leur vie et nous observons de ce fait qu’un transfert
de compétences s’opère du monde réel vers le monde en ligne et vice versa. Le transfert
de certains comportements familiers du monde réel au monde virtuel s’intègre dans le
cadre d’un phénomène nommée l’effet de « Porteus ».
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Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
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Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
source. Cette théorie stipule que les informations provenant des sources crédibles ont
tendance à être plus efficaces que celles issues de sources non crédibles (Hovland et
Weiss, 1951). Nous ajoutons que l’influence envers la publicité et envers l’annonceur sur
l’attitude envers la publicité résulte d’un processus de généralisation, par lequel les
réactions affectives générales des consommateurs influencent les attitudes envers
certains messages publicitaires. En se basant sur la relation de causalité attitude- marque,
nous considérons que la crédibilité de la marque influence l’attitude envers la marque sur
le site, notamment dans le monde réel et par conséquent sur son intention d’achat. Erdem
et Swait(2004), définissent la crédibilité comme la plausibilité des intentions d’une
entité à un moment spécifique. La crédibilité est composée de deux dimensions
principales : la capacité (c’est-à-dire l’expertise) et la volonté (c’est-à-dire la fiabilité) de
délivrer ce qui a été promis. Ces auteurs montrent que la crédibilité de la marque accroit
sa probabilité d’inclusion dans l’ensemble de considération du consommateur, ainsi que
le choix de cette marque dans cet ensemble de considération.
Concernant l’humeur, l’impact de celle-ci sur l’attitude envers la publicité (Apub) s’inscrit
dans une ligne de recherche qui montreque les sentiments temporaires subjectivement
perçues par les individus (c’est-à-dire l’humeur) ont une influence importante sur le
comportement du consommateur (Grander, 1985b). A cet égard, Kaplan et
Hanlein(2009) supposent que par analogie, l’attitude envers le magasin est influencée
par la crédibilité du magasin, l’attitude envers le commerçant, et l’attitude envers l’achat
sur Second Life et l’humeur.
Etant donné que nous avons choisi de travailler sur les sites commerciaux, nous allons
adopter quelques modifications dans le modèle de Kaplan et Hanlein afin de l’adapter à
notre contexte d’étude.
Rappelons que notre cadre est fondé sur le postulat suivant : l’exposition à un site de la
marque peut avoir une influence sur l’attitude et l’intention d’achat de la marque dans la
vie réelle.
Pour ce faire nous supposons, par analogie, que le site commercial joue le rôle du
commerçant et par analogie, la marque sur le site remplace le magasin phare Second Life.
Dès lors, nous pouvons émettre les hypothèses suivantes :
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Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
✔ H1 : L’attitude envers la marque est déterminée par l’attitude envers l’achat sur le
site, l’attitude envers le site, la crédibilité de la marque et l’humeur de
l’internaute.
- H11 : L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est positivement
influencée par la crédibilité de la marque.
- H12 : L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est influencée
positivement par l’achat sur le site.
- H13 : L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est influencée
positivement par l’attitude envers le site.
- H14 : L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est influencée
positivement par l’humeur.
✔ H2 : L’attitude du consommateur envers la marque dans la vie réelle est
influencée positivement par son attitude envers la marque sur le site.
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Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
A partir de ces constats, nous pouvons formuler les deux hypothèses suivantes :
✓ H4 : L’attitude du consommateur envers le site influence positivement son
attachement à l’e-marque.
✓ H5 : L’attachement à l’e- marque influence positivement son intention d’achat
dans la vie réelle.
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Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
N° Libellée de l’Hypothèse
L’attitude envers la marque est déterminée par l’attitude envers l’achat sur le site,
H1
l’attitude envers le site, la crédibilité de la marque et l’humeur de l’internaute.
L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est positivement
H11
influencée par la crédibilité de la marque.
L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est influencée
H12
positivement par l’achat sur le site.
L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est influencée
H13
positivement par l’attitude envers le site.
L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est influencée
H14
positivement par l’humeur.
L’attitude du consommateur envers la marque dans la vie réelle est influencée
H2
positivement par son attitude envers la marque sur le site.
L’attitude du consommateur envers la marque dans la vie réelle influence
H3
positivement son intention d’achat dans la vie réelle.
L’attitude du consommateur envers le site influence positivement son attachement
H4
à l’e-marque.
L’attachement à l’e- marque influence positivement son intention d’achat dans la vie
H5
réelle.
H6 Les gratifications influencent les attitudes des utilisateurs d’internet.
Les gratifications qu’attend un utilisateur du site modèrent l’impact des antécédents
H61
de l’attitude envers le site sur l’attitude envers la marque sur le site.
Les gratifications qu’attend un utilisateur du site modèrent l’impact de l’attitude
H62
envers un site de marque sur l’attitude envers la marque dans la vie réelle.
76
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
Attitude envers
l’achat sur le site
Crédibilité de la
H1.1 marque
H1.2
H1.3 Humeur H5
Attitude envers le H4
Attachement envers
site
l’e-marque
H6
Une fois que les hypothèses sont formulées, nous passons au développement de la partie
empirique de ce travail de recherche. Cela suppose de faire des choix méthodologiques
qui dépendent des objectifs que nous voulons atteindre.
77
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
Cette deuxième section a pour objectif d’opérationnaliser les variables de notre modèle.
Elle est subdivisée en 4 paragraphes:
Dans un premier paragraphe, nous nous sommes attachés à établir le type d’investigation
de notre étude empirique et de justifier le choix méthodologique effectué pour la
recherche. Nous présenterons les différentes étapes de la recherche et le choix du terrain
de l’étude ainsi que le type de questions posées.
Dans un deuxième paragraphe, nous allons présenter la méthode d’échantillonnage
choisie, nous décrivons la population mère, la taille de l’échantillon et l’explication de la
taille de l’échantillon sur lequel portera notre étude.
Dans une troisième étape, nous allons nous intéresser à l’opérationnalisation des
variables. Ce paragraphe se focalise sur les instruments; les échelles de mesure et la
formulation des items des différentes échelles en justifiant les choix effectuées.
Finalement, nous aborderons dans le dernier paragraphe les choix méthodologiques faits
de manière à pouvoir vérifier les différentes hypothèses de ce travail. Les analyses
choisies seront donc présentées et les principaux indicateurs qui seront retenus pour
effectuer le test des hypothèses seront rapidement commentés.
78
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
dans des pages Facebook tel que ‘’les bons plans de la Tunisie’’ ; ‘les Bons plans de Sousse
et Monastir’’ et ‘’la page de vente de téléphones, consoles et ordinateurs’’.
Le déroulement de l’enquête s’est effectué pendant le mois de ‘’Ramadan’’. Nous n’avons
pas pu collecter le nombre de questionnaire fixé au préalable. Pour cela, nous étions
obligés de compléter notre enquête par auto- administration. Nous avons complété notre
échantillon auprès des étudiants de ꞌꞌ l’Institut Supérieur d’Administration des
Entreprises de Gafsaꞌꞌ, des cadres dans les banques et les administrations de sud Tunisien
(Gafsa, Nefta et Sfax), et auprès d’entreprises travaillant dans le secteur informatique
situées à Tunis.
Il est à signaler que nous avons interrogé les répondants, avant de leurs donner le
questionnaire, s’ils utilisaient ou non l’internet dans leurs achats ou lors de leurs prises
de décision d’achat.
Finalement, nous avons pu atteindre un échantillon de 400 répondants dont nous avons
éliminé 30 questionnaires incomplets. La plupart des répondants ont choisi comme
marque préférée la marque ’’Samsung’’ soit 304 répondants, les autres répondants ont
été répartis en 40 qui préfèrent ‘’Apple’’ et 26 qui ont choisi ‘’Dell’’.
Dans le but d’avoir des résultats fiables, nous avons choisi de travailler uniquement sur
la marque ‘’Samsung’’ puisqu’elle est la plus préférée selon notre échantillon et par
conséquent nous avons éliminé les 66 autres répondants. Les résultats présentés ont
porté finalement sur un échantillon de 304 répondants.
2.2. L’échantillonnage :
Nous allons préciser, dans ce paragraphe, notre population étudiée, l’unité d’analyse, la
stratégie utilisée pour constituer notre échantillon et finalement la taille de l’échantillon.
79
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
2.3. Le questionnaire
Lors de l’élaboration du questionnaire, nous avons veillé à concilier deux objectifs
différents :
❖ Le questionnaire doit permettre de mesurer de manière précise l’ensemble des
variables du modèle théorique.
❖ Le questionnaire doit être clair et pas trop long pour les répondants.
Dans notre questionnaire nous cherchons à mesurés 9 variables. Nous l’avons structuré
selon une structure logique et cohérente.
Le temps moyen estimé pour remplir le questionnaire est de 15minutes.
80
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
Les répondants ont été invités à donner leurs niveaux de désaccord/d’accord ou bien
favorable / défavorable sur un continuum s’étalant sur cinq points avec un point neutre.
Notre questionnaire est divisé en deux grandes parties à savoir :
- La partie I : est consacrée à la mesure de l’attachement à la marque. Cette mesure
s’effectue en deux temps, nous mesurons premièrement la ‘’connexion de soi à la
marque’’ c’est-à-dire le degré auquel la marque est intégrée dans le concept de soi de
l’individu et dans un deuxième temps, nous mesurons la proéminence de la marque
c’est-à-dire les émotions les sentiments déclenchés par la marque.
La partie II : Elle est consacrée à mesurer l’attitude et l’intention d’achat dans le
monde virtuel et réel. Cette partie est subdivisée en 8 sous-parties comme suit :
● Partie1 : consacrée à la mesure de la crédibilité de la marque
● Partie2 : mesure l’attitude envers l’achat sur le site
● Partie3 : elle est consacrée à mesurer l’attitude envers le site
● Partie 4 : cette partie se rapporte à la mesure de l’humeur de répondants en
visitant le site.
● Partie 5 : concerne la mesure de l’attitude envers la marque sur le site
● Partie 6 : comprend des échelles relatives à mesurer l’attitude envers la
marque dans la vie réelle.
● Partie 7 : mesure l’intention d’achat du consommateur dans la vie réelle.
● Partie 8 : comporte des mesures relatives à la variable modératrice qui est
les gratifications obtenues suite à l’utilisation du monde virtuel. Elles sont
mesurées par : _ la diversion
_ Relations personnelles
_ Identités personnelles
Enfin, nous avons intégré, dans une partie du questionnaire, une fiche signalétique pour
avoir des statistiques descriptives de notre échantillon.
81
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
o Identifier et repérer les items qui posaient le plus de problème. En effet, les
questions qui posent des problèmes de compréhension à certains individus
peuvent être expliquées par l’enquêteur.
Echelle
Items Propositions Notation
d’évaluation
La marque Samsung représente une partie
Item1
de qui je suis
Je me sens personnellement connecté(e) à La connexion de
Item2
la marque ‘’Samsung’’ soi à la marque
Je me sens émotionnellement lié (e) à la
Item3 marque ‘’Samsung’’
La marque ‘’Samsung’’ éveille Echelle de Likert en 5 points
Item4 naturellement en moi de nombreux (complètement défavorable-
sentiments et pensées très favorable)
Lorsque je pense à la marque ’’Samsung’’,
Item5 beaucoup de choses me viennent La proéminence
automatiquement à l’esprit.
La marque ‘’Samsung m’évoque des
Item6 pensées positives au sujet du passé, du
présent et du futur.
82
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
Echelle
Items Propositions Notation
d’évaluation
La présence de la marque sur le site me fait penser à
Item1 quelqu’un qui est compétent et qui sait ce qu’il fait
Item2 La marque sur le site offre ce qu’elle promet
Echelle de Likert
Item3 Les slogans formulés sur le site sont crédibles
Crédibilité en 5 points (Pas du
Au fil du temps, mes expériences avec la marque sur le
à la marque tout d’accord- tout
Item4 site m’ont conduit à m’attendre à ce qu’elle tienne ses
promesses, ni plus ni moins à fait d’accord)
La marque ‘’Samsung’’ sur le site ne prétend pas à être
Item5
ce qu’elle n’est pas.
83
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
2.5.5. L’humeur ;
Elle mesurée par l’échelle de Swinyard (1993). Les items sont comme suit :
Nous avons adopté l’échelle de Grossbart, Muehling et Kangun (1986). Elle est composée
de 3 items répartis comme suit :
Items Proposition Notation Echelle d’évaluation
Echelle de Likert en 5
Item1 Mauvais/bon points (Pas du tout
Attitude envers la
Item2 Désagréable/ agréable d’accord- tout à fait
marque sur le site
d’accord)
Item3 Défavorable/ favorable
84
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
Items Proposition
Etre sur le site permet d’échapper à l’ennui de la vie
Item 1
quotidienne
Item 2 Etre sur le site me permet de m’échapper de moi
Item 3 Etre sur le site me permet de sortir de mes problèmes
Items Proposition
Item1 Les utilisateurs de site sont devenus des amis proches
Item 2 Etre sur le site est une bonne compagnie lorsque je suis seul
Item 3 Après avoir été sur le site, je me réjouis d’en parler avec les autres
Item 4 Etre sur le site est un sujet de conversation
Identité personnelle :
Tableau 15: l’échelle de mesure de l’identité personnelle
Items Proposition
Item 1 Etre sur le site me rappelle des choses qui se sont passés dans ma vie
Etre sur le site me rappelle des souvenirs de personne que je connaissais
Item 2
auparavant
Item 3 Etre sur le site me fournit la matière à réflexion
Item 4 Etre sur le site m’a aidé de gagner de l’argent dans la vie réelle
85
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
86
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
structures communes qui ait un sens (Roux et al 2000). En effet, si les variables étudiées
sont indépendantes les unes aux autres, l’analyse factorielle ne sert à rien car elle fournira
autant de facteurs que de variables. Dans ce cas, impossible de résumer l’information.
Trois indicateurs peuvent être employés pour déterminer si les corrélations existent à
savoir : l’indice de Kaiser, Meyer et Olkin (KMO).
Stewart (1981) présente deux tests qui permettent de supposer que les données peuvent
faire l’objet d’une analyse Factorielle : le test de sphéricité de Bartlett (mesure la précision
de l’échantillon) et KMO.
Le test de sphéricité de Bartlett
Ce test vérifie l’hypothèse nulle selon laquelle la matrice des covariances n’est pas égale à
une matrice d’identité. Nous devons donc tenter de rejeter l’hypothèse nulle. Le test est
significatif si p<0,05.Toutefois, ce test est très sensible au nombre de cas. Plus le nombre
de cas est important, plus il est significatif.
Le test de KMO :
Permet également de tester l’adéquation de l’échantillon d’analyse factorielle. Il est
inspiré d’une logique différente car il prend appui sur la notion de corrélation partielle
entre paires de variables. La corrélation partielle entre deux variables exprime la
corrélation qui existe entre elles lorsque l’effet des autres variables est enlevé. Elle
exprime en fait l’association qui est spécifique à ces deux variables (Jolibert et Jordon,
2006).
Selon ces derniers, les valeurs de KMO qui sont inférieures à 0.5 sont inacceptables
tandisque, lorsqu’ils sont supérieure ou égale à 0.8 sont merveilleux et acceptables.
Si les deux conditions de KMO et le test de sphéricité de Bartette sont vérifiées, l’analyse
factorielle peut être effectuée.
Dénombrement des dimensions et choix de Rotation :
L'analyse factorielle exploratoire est une technique utile au développement d'échelle
pour réduire le nombre des items. Il existe plusieurs méthodes pour conduire une analyse
factorielle exploratoire: composantes principales, facteurs principaux, maximum de
vraisemblance…L'analyse en composantes principales (ACP) est la méthode utilisée dans
notre étude.
L'analyse en composantes principales, utilisée à titre exploratoire en tant que technique
d'analyse multidimensionnelle descriptive, vise à résumer l'information contenue dans
un ensemble de variables selon un certain nombre d'axes factoriels. Ces axes, appelés
87
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
facteurs, correspondent à des combinaisons linéaires des variables initiales. L'objectif est
de maximiser le pourcentage de variance de l'information initiale prise en compte par les
facteurs.
Plusieurs méthodes peuvent être identifiées pour l’extraction des facteurs. Nous avons
choisi le critère de Kaiser, selon lequel, ne sont retenus que les facteurs qui restituent un
pourcentage d’information significatif, c'est-à-dire dont la valeur propre est supérieure à
1.
Rotation des axes :
Il est pertinent d’effectuer une rotation pour une meilleure lisibilité des résultats et pour
pouvoir mieux interpréter les facteurs de L’ACP. Le principe de la rotation augmente de
manière artificielle les corrélations entre les items et les différents facteurs. Nous avons
choisi la rotation Varimax qui est une rotation orthogonale des axes, qui vise à optimiser
les ‘’structurations’’ ou ‘’Lodings’’ dans chaque composante en maximisant les écarts entre
saturations. En effet, Iacobucci et al (2001) suggèrent que lorsqu’il n’y a pas une forte
corrélation entre les facteurs, une rotation orthogonale sera effectuée car elle permet une
conceptualisation plus simple du modèle et maintient les axes de l’espace en angles droits.
De plus, ainsi que le notent les auteurs, une corrélation entre deux facteurs supérieurs à
0.7 peut indiquer qu’un trop grand nombre de facteurs a été retenu. La méthode Varimax
est particulièrement recommandée si le nombre de facteurs est inconnu à priori. Cette
méthode peut, en effet, minimiser le nombre de variable qui présentent une forte
contribution sur un axe afin de simplifier les facteurs.
L’appréciation de la qualité globale de l’analyse factorielle repose sur le pourcentage de
l’information restituée par les facteurs retenus. La variance expliquée totale doit être
supérieure à 60%.
Par ailleurs, trois règles apparaissent fréquemment lors de la vérification de la validité
des instruments de mesure : l’examen de la qualité de représentation (communalités),
la contribution factorielle (le loading) et la répartition des items sur les facteurs.
Ainsi, l’amélioration de la qualité d’une échelle passe par son épuration successive des
items présentant une communalité inférieure à 0.5 (Kinnear et Gray, 2005), ceux dont la
contribution factorielle est inférieure à 0.5 (Evrard, Pras et Roux, 2000) et ceux qui sont
associés à la fois à plus d’un facteur, c'est-à-dire, la différence de contribution entre l’axe
principal et un autre axe est inférieure ou égale 0.30 (Jolibert et Jourdan, 2006). La
procédure d’itération est arrêtée lorsque qu’on obtient une structure factorielle claire.
88
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
89
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
2.8.L’analyse confirmatoire
L’analyse factorielle Confirmatoire (AFC) a pour but de confirmer la structure factorielle
sous-jacente aux données.
Pour valider nos hypothèses, nous avons été amenés à utiliser des analyses multivariées
de la seconde génération, plus précisément des équations structurelles. L’utilisation des
équations structurelles se justifie surtout par le fait d’étudier les relations causales entre
plusieurs variables explicatives et plusieurs variables à expliquer, de plus, ces différentes
variables sont des variables latentes (Evrard et al, 2003). Parmi les différents modèles de
causalité existants, le modèle AMOS (Analysis of Moment Structures) issu des travaux de
Roussel (2000), est considéré parmi les plus récents. C’est donc ce modèle qui a été
employé pour plusieurs raisons: selon Evrard et al (2003), il s’agit de l’un des logiciels les
plus utilisés et présente l’avantage des liens avec SPSS.
La méthode d’équations structurelles représente une technique multivariée qui combine
entre les modèles de mesure et les modèles de structures tout en examinant de manière
simultanée une série de relations linéaires entre les variables observées et les variables
latentes d’une part, et entre l’ensemble des variables latentes d’autre part (Hair et al,
2009). Plus concrètement, dans le cadre de la validation de la structure d'une échelle de
mesure, il s'agira de vérifier si un construit (ou variable latente) est bien mesuré par un
ensemble d'indicateurs (les items composant l'échelle de mesure du construit) et
d'estimer la contribution de chacun des indicateurs (items) retenus dans la définition du
90
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
91
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
communément admis par les chercheurs en vue d’avoir un bon ajustement du modèle
testé.
92
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
93
Chapitre III : Cadre Conceptuel et Méthodologie de la recherche
Conclusion du chapitre
Ce troisième chapitre avait pour but de présenter notre cadre conceptuel ainsi que les
hypothèses de recherche. Ce chapitre a notamment permis de décrire les différentes
procédures et méthodes statistiques nécessaires pour notre analyse de données. Ainsi,
l’analyse exploratoire est choisie pour la purification des échelles à l’aide du logiciel SPSS.
Pour tester l’ensemble des hypothèses, nous avons choisi le recours à la méthode des
équations structurelles à l’aide du logiciel AMOS 21 et la régression multiple. L’objet du
chapitre suivant sera d’exposer les résultats de l’ACP et les tests des hypothèses.
94
Chapitre IV :
Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses
et discussion des résultats
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Introduction
97
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Fréquence Pourcentage
Homme 142 46.7
Sexe Femme 162 53.3
15-25 82 27
25-35 107 35.2
Age 35-45 66 21.7
45 et plus 49 16.1
Elève ou étudiant 110 36.2
Artisan ou commerçant 10 3.3
Profession libérale 35 11.5
CSP Cadre supérieur 88 28.9
employé 44 14.5
Sans activité professionnelle 17 5.6
100-500 122 40.1
500-1000 31 10.2
Revenu 1000-1500 56 18.4
1500 et plus 95 31.3
Notre échantillon se répartit en 46.7% de sexe masculin et 53.3% de sexe féminin. L’âge
dominant des répondants se situe dans la tranche d’âge de 25-35 ans avec un pourcentage
de 35.2% suivie de 27% des observations âgées entre 15-25 ans puis nous avons eu
21.7% qui sont âgées de 45 ans et plus.
Les cadres supérieurs sont les plus fréquents dans nos observations avec un pourcentage
de 28.9%. Tandisque la répartition de l’échantillon selon le revenu montre une fréquence
élevée soit de 41.1% chez les individus possédant un revenu qui varie entre (100-500) d.
98
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
- Le test de Bartlett qui doit être significatif pour que les données soient factorisables.
- Le test de KMO qui doit être supérieur à 0.7.
- L’alpha de Cronbach qui doit être supérieur à 0.7
Après avoir obtenu les résultats de l’ACP. Nous devons vérifier les résultats suivants :
- La qualité de représentation de la variable qui doit être supérieure à 0.5 pour qu’elle
soit retenue.
- La variable est bien liée à un facteur. C’est le cas lorsque sa contribution est
supérieure à 0.5
- Il faut s’assurer que l’analyse factorielle explique au moins 60% de la variance totale.
- La variable est liée uniquement à ce facteur. C'est le cas lorsqu'il existe une différence
de contribution de cette variable entre facteurs supérieure ou égale à 0,3 (Amine et
Forgues, 1993).
99
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
L’ACP réalisée sur l’échelle de mesure de l’attachement prouve la validité de cette échelle.
En effet, la valeur de KMO est 0.901, ce qui indique une bonne mesure, le test de sphéricité
de Bartlett est significatif donc les données sont factorisables. Les six items sont retenus
puisque leurs contribution à la formation de l’axe est très forte (> 0.5). L’axe retenu
explique 72.561% de la variance totale (>60%). Tandisque la cohérence interne est
acceptable avec un α de Cronbach de 0.924 (>0.7).
Qualité de la Composant
Items représentation e
Nous observons dans cette ACP qu’il existe une variable dont la qualité de représentation
est non acceptable. Elle se rapporte au dernier item « la marque Samsung sur le site ne
prétend pas à être ce qu’elle n’est pas », sa communalité est de 0.418 < 0,5. Donc nous
sommes obligés de mener une autre ACP en éliminant ce dernier item afin d’améliorer la
structure de l’échelle ainsi que le pourcentage de la variance.
100
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Nous remarquons encore qu’il existe une variable qui n’obéisse pas aux règles
d’acceptation de l’ACP. En fait, le dernier item représente une communalité de 0.432< 0.5
donc cet item doit être retiré. Nous allons effectuer encore une fois l’ACP jusqu’à
amélioration de la qualité de structure de l’échelle.
Nous rappelons que Dès lors qu'une variable ne remplit pas les critères cités ci-dessus,
elle est exclue de l'analyse factorielle et une nouvelle ACP est effectuée. Nous procédons
ainsi jusqu'à ce que toutes les variables restantes dans l'analyse satisfassent aux critères
évoqués ci-dessus.
Tableau 22: Le 3ème résultat d’ACP relative à l’échelle de crédibilité
101
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Les résultats de cette ACP prouvent que le test de sphéricité de Bartlett est significatif,
l’indice de KMO est de (0.676), Il atteint presque le seuil moyen, les facteurs sont donc
factorisables.
Les indicateurs de structure apparaissent acceptables, la communalité de chaque item est
supérieur e à 0.5 et les contributions sont largement supérieure à 0.5. Le pourcentage de
la variance expliquée s’est améliorée, elle est de 69.760% ce qui dépasse le seuil
recommandé.
L’alpha de cronbach est supérieur à 0.7. Nous assistons à une bonne cohérence interne
de l’échelle. Les trois items restants sont donc retenus.
Tableau 23: l’ACP de l’échelle de mesure de l’attitude envers l’achat sur le site
Nous observons que les deux indicateurs : l’indice de KMO (0.730) et le test de sphéricité
de Bartlett sont acceptables et suggèrent la factorisation des données. Toutefois, le
premier item « Lorsque j’achète sur le site c’est plus drôle que l’achat traditionnel » ne
représente pas une bonne qualité. Il doit être supprimé et une autre ACP doit être
effectué. Les résultats sont les
suivants :
102
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Tableau 24: Résultat 2ème de l’ACP de l’échelle de mesure de l’attitude envers l’achat sur
le site
103
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Nous remarquons que la qualité de la représentation des deux items : « ce site facilite
l’établissement d’une relation avec l’entreprise » et « naviguer sur ce site est un bon
moyen pour passer le temps » n’atteint pas le seuil recommandés donc ils seront
éliminées et une autre ACP est menée. Les résultats sont présentés comme suit :
Tableau 26: Résultat 2ème de l’ACP de l’échelle de mesure de l’attitude envers le site
Qualité de la
Items représentation Composante
Attsit2 : Je voudrais visiter ce site, à nouveau, dans le 0.599 0.774
futur
Attsit3 : Je suis satisfait (e) des services proposés 0.713 0.845
par ce site.
Attsit4 : Je me sens à l’aise en naviguant 0.597 0.772
Sur le site
Attsit6 : comparé à d’autres sites, je dirais que celui- 0.550 0.742
ci est un très bon site
Mesure de précision de l’échantillonnage de 0.773
Kaiser-Meyer-Olkin
Test de sphéricité de Bartlett: Chi-deux approché 347.024
Test de sphéricité de Bartlett : ddl 6
Test de sphéricité de Bartlett : Signification 0.000
Pourcentage de la variance expliquée 61.477
Cohérence interne : α de Cronbach 0.787
Le KMO qui est de 0.773 indique une mesure acceptable de précision de l'échantillonnage
suggérant que les données sont factorisables et qu'elles forment un ensemble
suffisamment cohérent. Le test de sphéricité de Bartlett est significatif.
Les valeurs de communalité sont élevées. Ils sont bien représentés et expliquent plus de
61.477 % de la variance totale. L’alpha de Cronbach est de 0.787 > 0.7 indique une bonne
cohérence interne de l’échelle. Les quatre items restants sont donc retenus.
104
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
105
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
L’indice de KMO (0.727) et le test de sphéricité sont significatifs et suggèrent que les
données peuvent être factorisables. L’ACP montre bien que les trois items figurent bien
dans la même dimension avec une bonne qualité de représentation (>0.5) et les valeurs
de communalités sont élevées.
Le facteur extrait explique 76,576 % de la variance totale. La cohérence interne de
l’échelle est excellente (α de Cronbach= 0,847). Les trois items seront donc retenus.
106
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
1.2.6. Les résultats de L’ACP de l’attitude envers la marque dans la vie réelle
Tableau 29: Résultats de L’ACP de l’échelle de l’attitude envers la marque dans la vie
réelle
L’observation des résultats de cette ACP montre que la structure de cette échelle est
excellente. L’indice de KMO est acceptable (0.721), le test de sphéricité est significatif les
données peuvent faire l'objet d'une analyse factorielle et forment un ensemble
suffisamment cohérent.La qualité de représentation des trois items est assez élevée et
contribue bien à la formation de l’axe. L’axe retenu restitue 74.878% de l’information. La
cohérence interne de l’échelle est bonne (0.832).
107
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
1.2.7. Les résultats de l’ACP de l’échelle de mesure de l’intention d’achat dans la vie
réelle :
Tableau 30: La structure de l’échelle de mesure de l’intention d’achat dans la vie réelle
Nous pouvons interpréter que les données de cet échelle sont factorisables puisque les
deux indicateurs KMO et le test de sphéricité sont acceptables. Les trois items sont
retenus, leurs qualité de représentation est bonne. Ils appartiennent tous à la même
dimension. L’axe retenu explique bien l’information avec une variance qui dépasse le seuil
recommandé soit de 69.049%.Sa consistance interne est très bonne du moment qu'elle
est supérieure à 0.7.
108
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
109
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Malgré que tous les indicateurs paraissent satisfaisants la variance expliquée par l’axe
retenue n’atteint pas le seuil recommandé soit 60%. Nous avons fait recours à
l’élimination de l’item « Etre sur le site est une bonne compagnie lorsque je suis seul »
possédant la moindre qualité de représentation (0.539) dans le but d’améliorer le
pourcentage de la variance. Pour ce faire, nous avons effectué une autre ACP, le résultat
est comme suit :
110
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Nous pouvons conclure de cette ACP que Le KMO (0.852) indique une précision
d’échantillonnage acceptable suggérant que les données sont factorisables. Les items
restants sont tous retenus puisqu’ils sont bien représentés et contribuent bien à la
formation de l’axe. Nous constatons que l’élimination de l’item à engendrer l’amélioration
de la variance expliqué (59.168%). L’alpha de Cronbach indique une bonne cohérence
interne de l’échelle du moment qu'elle est supérieure à 0.80.
L’application de l’analyse factorielle exploratoire sur toute les échelles de mesure des
variables nous a conduit à la purification des instruments et ne retenir que les items
pertinents à la recherche.
Le tableau ci- dessous récapitule les différentes échelles de mesure avec les items retenus
l’alpha de Cronbach correspondante et la dimensionnalité de chaque variable :
111
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
112
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
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Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
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Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
N° Libellée de l’Hypothèse
L’attitude envers la marque sur le site est influencée par la crédibilité de la
H1
marque, l’attitude envers l’achat sur le site, l’humeur et l’attitude sur le site.
L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est positivement
H1.1
influencée par la crédibilité de la marque.
L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est influencée
H1.2
positivement par l’achat sur le site.
L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est influencée
H1.3
positivement par l’attitude envers le site
L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est influencée
H1.4
positivement par l’humeur.
L’attitude du consommateur envers la marque dans la vie réelle est influencée
H2
positivement par son attitude envers la marque sur le site.
L’attitude du consommateur envers la marque dans la vie réelle influence
H3
positivement son intention d’achat dans la vie réelle.
L’attitude du consommateur envers le site influence positivement son
H4
attachement à l’e-marque.
L’attachement à l’e- marque influence positivement son intention d’achat dans
H5
la vie réelle.
H6 Les gratifications influencent les attitudes des utilisateurs d’internet.
Les gratifications qu’attend un utilisateur du site modèrent l’impact des
H6.1
antécédents de l’attitude envers le site sur l’attitude envers la marque sur le site.
Les gratifications qu’attend un utilisateur du site modèrent l’impact de l’attitude
H6.2
envers un site de marque sur l’attitude envers la marque dans la vie réelle.
Nous constatons deux types de relations dans notre modèle de recherche à savoir :
- Des relations linéaires comprenant les relations d'influence directe qui seront
testés à l’aide des équations structurelles.
- D’autre part des relations à effets modérateurs qui seront analysés par régression
multiple.
Dans un premier temps nous allons nous intéresser à la validation des effets directs
ensuite nous allons tester les effets modérateurs.
115
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
● Le modèle structurel :
Le modèle structurel à tester comprend une variable dépendante endogène (latente)
« l’attitude envers la marque sur le site » et une seule variable exogène « crédibilité
de la marque » l’équation se présente comme suit :
Y= 𝛾𝑋 + 𝜀
Y : Attitude envers la marque sur le site
γ : coefficient de régression à estimer
X : crédibilité de la marque
ε : terme d’erreur de la variable dépendante
● Qualité d’ajustement :
L’analyse du modèle structurel est présentée dans le tableau suivant :
Tableau 36: Indices d'ajustement du modèle structurel de l’effet de la crédibilité de la
marque sur l'attitude envers la marque sur le site
116
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
𝛾 SE C .R P
Attitudemqsite crédibilité 0.358 0.064 5.634 0.000
Le test de l’effet directe de la crédibilité de la marque sur l’attitude envers la marque sur
le site montre qu’une relation demeure significative (P<0.05), le test de student
t=(5.634) >±1.96.
La crédibilité de la marque influence positivement l’attitude envers la marque sur le site
(𝛾 = 0.358)
Nous pouvons donc conclure que cette hypothèse est validée.
H11 : L’attitude du consommateur envers la marque sur le site est positivement
influencée par la crédibilité de la marque. Validée
Ce résultat vient confirmer les travaux de Kaplan et Haenlein (2009) concernant les
antécédents de l’attitude. L’appui de ces deux auteurs prend source les travaux de Mac
kenzic et Lutz (1989) qui suggère que la crédibilité de l’annonce influence l’attitude
envers la publicité.
De même (Holand et Weiss, 1951) montrent que les informations provenant des sources
crédibles ont tendance à être plus efficace que celles issues des sources non crédibles.
Notre résultat peut être expliqué par la crédibilité des annonces de la marque sur le site
(ou sur n’importe qu’elle autre médias sociaux). Ces annonces de la marque influencent
positivement l’attitude du consommateur envers la marque sur le site.
2.1. 2 Validation de l’effet de l’attitude envers l’achat sur le site sur l’attitude
de consommateur envers la marque sur le site
L’étude de cet effet revient à étudier l’hypothèse H12 qui stipule que l’impact de l’attitude
envers l’achat sur le site influence positivement l’attitude envers la marque sur le site.
● Modèle structurel :
Le modèle structurel à tester comprend une variable dépendante « l’attitude envers la
marque sur le site » et une seule variable indépendante «Attitude envers l’achat sur le
site » l’équation se présente comme suit :
Y= γX+ε
117
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Les indices d’ajustement de ce modèle sont excellents. Le modèle s’ajuste bien aux
données. La GFI et l’AGFI sont supérieurs à 0.9 ; L’RMR et RMSEA se rapprochent voire
même égale à 0. Les indices incrémentaux dépassent les seuils recommandés et
finalement l’indice de parcimonie ne dépasse pas 3.
● Relation attitude envers achat sur le site – attitude envers la marque sur le
site :
Le tableau ci- dessous présente les contributions factorielles et les corrélations
multiples des relations hypothétiques du modèle structurel.
Tableau 39: Résultats du modèle structurel de l'effet de l’attitude envers l’achat sur le site
sur l’attitude envers la marque sur le site
γ SE C.R P
Attitudemqsite attitudeachatsite 0.397 0.051 7.831 0.000
Nous pouvons déduire que la relation entre ces deux variables est significative
p<0.05 ; t > 1.96.
L’attitude envers l’achat sur le site a un effet positif sur attitude envers la marque sur le
site (γ= 0.397), t= 7.831
L’hypothèse H12 stipulant que « l’attitude du consommateur envers la marque sur le site
est influencée positivement par l’achat sur le site » est donc validée.
Ceci vient confirmer les travaux de kaplan et Haenlein (2009) qui montrent que l’attitude
envers l’achat sur Internet (site ou n’importe qu’elle autre médias sociaux) influencent
positivement l’attitude envers le magasin phare (marque) dans le monde virtuel. Nous
pouvons expliquer ceci par le fait que face à une attitude favorable envers l’achat sur le
118
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
γ S.E C.R P
Attitudemqsite attitudesite 0.892 0.102 8.744 0.000
119
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
2.1.4 Validation de l’effet de l’humeur sur l’attitude envers la marque sur le site
L’étude de cet effet revient à traiter l’hypothèse H14 qui stipule que « L’attitude du
consommateur envers la marque sur le site est influencée positivement par l’humeur ».
L’analyse de cette hypothèse sera présentée dans les paragraphes suivants.
● e modèle structurel :
Le modèle structurel traité est composé de variable dépendante à expliquer « l’attitude
envers la marque » et une seule variable indépendante explicative « l’humeur ».
120
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
● Qualité d’ajustement :
Les indices générés par la méthode d’estimation du maximum de vraisemblance
témoignent d’une bonne adéquation entre les données collectées et le modèle proposé.
Tableau 42: Indices d'ajustement du modèle structurel de l’effet de l’humeur sur l'attitude
envers la marque sur le site
γ SE C.R P
Attitudemqsite humeur 0.757 0.103 7.376 0.000
D’après les résultats affichés sur ce tableau, nous pouvons déduire une relation
significative entre l’humeur et l’attitude envers la marque sur le site p < 0.05 ; t > 1.96.
L’humeur constitue un antécédent puissant de l’attitude (𝛾 = 0.757). Nous affirmons que
l’H14 est confirmée.
La validation de cet effet corrobore avec la théorie selon laquelle les sentiments
temporaires subjectivement perçues par les individus (c’est-à-dire l’humeur) ont une
influence importante sur le comportement du consommateur (Gardner, 1985b).
Selon Kaplan et Haenlein (2009) l’attitude envers un magasin phare sur le monde virtuel
(par analogie un site de la marque) est influencé par l’humeur de l’internaute.
Ce résultat peut être expliqué par le fait que l’humeur que développe l’internaute lors de
son exposition au site de la marque influence son attitude envers celle-ci. Plus l’humeur
121
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
● Qualité d’ajustement
Les résultats de l’estimation sont dans le tableau suivant :
D’après l’ensemble des indices présentés ci-dessus, le modèle présente une bonne qualité
d’ajustement aux données. La valeur de chi deux normé est inférieure à 5, le GFI, l'AGFI,
le NFI, le TLI et le CFI sont tous dans les normes. Le RMSEA est à peine tolérable.
● Relation attitude envers la marque sur le site- attitude envers la marque
dans la vie réelle
La relation attitude envers la marque sur le site influence positivement l’attitude de
consommateur envers la marque dans la vie réelle à travers un coefficient de régression
122
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Tableau 45: Résultats du modèle structurel de l'effet de l’attitude envers la marque sur le
site sur l’attitude envers la marque dans la vie réelle
γ SE C.R P
Attmqvierelle attitudemqsite 0.510 0.076 6.730 0.000
2.1.6 Validation de l’effet de l’attitude envers la marque dans la vie réelle sur
l’intention d’achat dans la vie réelle
Il s’agit à ce niveau de vérifier l’hypothèse H3 : « L’attitude du consommateur envers la
marque dans la vie réelle influence positivement son intention d’achat dans la vie réelle »..
L'analyse de cette hypothèse est présentée ci-après.
● Le modèle structurel :
Le test de l’effet de l’attitude envers la marque dans la vie réelle sur l’intention d’achat
dans la vie réelle, consiste à tester la relation hypothétique entre une variable dépendante
" L’intention d’achat dans la vie réelle" et une variable indépendante " l’attitude envers la
marque dans la vie réelle"
L’équation de la relation structurelle se présente comme suit :
Y= γX+ε
Y : Intention d’achat dans la vie réelle
γ : coefficient de régression à estimer
123
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Les indices s’avèrent tous bons. Les indices absolus, incrémentaux et de parcimonie
confirment tous les seuils recommandés. Ces indices montrent que le modèle s’ajuste
bien aux données.
● Relation attitude envers la marque dans la vie réelle- intention d’achat dans
la vie réelle
Tableau 47: Résultats du modèle structurel de l'effet de l’attitude envers la marque dans la
vie réelle sur l’intention d’achat dans la vie réelle
γ SE CR P
intachtvieréelle attmqvieréelle 0.736 0.102 7.213 0.000
L’observation de ce tableau nous amène à dire qu’une relation entre ces deux variables
s’avère significatif (p< 0.05) ; t=7.213> 1.96. L’attitude envers la marque dans la vie réelle
est un déterminant puissant de l’intention d’achat avec un taux de régression γ= 0.736.
Nous déduisons ainsi que l’attitude envers la marque dans la vie réelle influence
positivement l’intention d’achat dans la vie réelle. Par conséquent H3 est validée.
Ceci est en conformité avec les travaux de (kaplan et Haenlein, 2009) qui se réfèrent à la
relation causale entre « attitude envers publicité – attitude envers la marque » et
« attitude envers la marque- intention d’achat » pour montrer que l’attitude envers le
magasin phare (une marque) dans le monde virtuel influence son attitude envers la
marque dans la vie réelle, ce qui par la suite influence son intention d’achat.
De même Machanda et Alii (2006) confirment que la publicité en ligne peut être un outil
efficace pour influencer les attitudes et l’intention d’achat de la marque, tant sur Internet
que dans la vie réelle. Ces derniers montrent que la publicité en ligne a un impact positif
sur la probabilité de réachat.
124
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
De même Shimp (1981), ajoute que l’attitude envers la publicité a une influence sur
l’intention d’achat, ceci nous amène à raisonner par analogie et de proposer que l’attitude
envers la marque sur le site influence positivement l’intention d’achat hors ligne des
consommateurs.
La validation de cette hypothèse rejoigne aussi les travaux de Seock et Norton (2007) qui
ont choisi les vêtements comme le produit faisant l’objet de leur recherche. Ils ont montré
que la relation entre l’intention de rechercher de l’information sur ce type de produit dans
le monde virtuel est positivement liée à l’intention de l’acheter en magasin dans la vie
réelle.
Cela s’explique par le fait que lorsque le consommateur est exposé à un site de la marque
ou n’importe quel autre média sociaux (page facebook par exemple), il est soumis à
l’influence de la publicité de la marque qui exerce un effet positif sur l’attitude envers
celle-ci et par conséquent sur son intention d’achat.
Nous pouvons ajouter que le consommateur Tunisien préfère utiliser l’Internet comme
un outil de recherche ou de navigation pour collecter des informations sur une marque
ou un produit tout en renonçant à tout achat en ligne.
Pour conclure après une recherche d’information, le consommateur aura tendance à avoir
une intention à acheter auprès d’un magasin.
125
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Qualité d’ajustement
Le tableau ci-après expose les indices d'ajustement du modèle structurel correspondant
à cette relation hypothétique.
Tableau 48: Indices d'ajustement du modèle structurel de l’effet de l'attitude envers le site
sur l’attachement à l’e-marque
Les résultats montrent un bon ajustement du modèle aux données. En effet, GFI et l’AGFI
sont supérieure à 0.9 ; le RMR se rapproche de 0. Tandisque le RMSEA s’avère tolérable
0.078 < 0.08.
Les indices incrémentaux sont tous supérieures à 0.9. L’indice de parcimonie est
légèrement inférieur à trois.
● Relation attitude envers site – attachement à l’e-marque
L’attitude envers le site exerce une influence significative et positive sur l’attachement à
le-marque (p <0.05 ; t > 1.96 ; γ = 0.954). Ce qui nous permettra de conclure que l’H4 est
confirmée.
Tableau 49: Résultats du modèle structurel de l'effet de l’attitude envers le site sur
l’attachement à l’e-marque
γ SE CR P
Attachement attitudesite 0.954 0.104 9.214 0.000
L’hypothèse relative à l’effet de l’attitude envers le site sur l’attachement a été confirmée.
Ce résultat rejoigne les travaux de Michel et Vergne (2004) suggèrent qu’il existe une
relation positive entre l’attitude envers le site et l’attachement à l’e-marque.
Ils montrent que plus le site Internet est apprécié plus l’attachement est fort.
Ceci s’explique par le fait que l’exposition du consommateur à un site de la marque
(notamment les sites de ventes de la marque) favorise l’interaction entre eux et
126
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
γ SE CR P
Intention achatvieréelle attachement 0.501 0.067 7.458 0.000
127
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
L’observation de ces résultats nous amène à constater que la relation hypothétique est
significative (p < 0.05) (t>1.96), l’attachement influence positivement l’intention d’achat
dans la vie réelle avec un coefficient de régression (γ= 0.501).
L’hypothèse H5 qui prévoit que L’attachement à l’e- marque influence positivement son
intention d’achat dans la vie réelle est validée.
Par analogie, nous pouvons dire que l’attachement à la marque (l’attachement à l’e-
marque) influence positivement l’intention d’achat dans la vie réelle du consommateur.
Ces résultats rejoignent les travaux de Park et al (2010) ; Priester et al (2004) considèrent
que l’attachement constitue un meilleur prédicteur des intentions et des comportements
effectifs de l’utilisation de la marque.
Nous pouvons lier ce comportement d’attachement du consommateur à la marque qui se
manifeste par une charge émotionnelle forte. Cette charge renforce la motivation des
consommateurs à investir leurs ressources personnelles, financières et temporelles pour
entretenir leur relation avec la marque.
128
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
Avec :
Y : attitude envers la marque sur le site
α 0 : constante
β1 : coefficient de régression de la crédibilité.
x1 : crédibilité
β2 : coefficient de régression de l’attitude envers l’achat sur le site
x2 : attitude envers l’achat sur le site
β3 : coefficient de régression de l’attitude envers site
x3 : attitude envers l’achat sur le site
β4 : coefficient de régression de l’humeur
x4 : l’humeur
ε : terme d’erreur de la variable dépendante
Les résultats de la régression du premier modèle sont affichés dans le tableau suivant :
Tableau 52: Résultats de la régression du premier modèle
D’après ces résultats affichés nous pouvons constatés que les valeurs de F sont
significatifs (p< 0.05). Les VIF ne dépassent pas fortement 1 ce qui indique l’absence de
problème de multicollinéarité. L’humeur représente l’antécédent le plus puissant. Son
influence sur la relation est positive avec un β4(0.307).
D’après la valeur de R2 ajusté, le modèle explique 42.4% de notre variable
indépendante « attitude envers la marque sur le site ».
Ensuite, nous avons introduit dans un 2ème modèle des termes interactifs pour tenir
compte de l’effet des gratifications sur la relation attitude envers le site et attitude envers
la marque sur le site.
Notre 2ème modèle se présente comme suit :
Y= α0+ β1x1σ+β2x2σ+β3x3σ+β4x4σ+ ε
Avec :
Y : variable dépendante « l’attitude envers la marque envers le site »
129
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
βi : coefficient de régression
xi : Les antécédents de l’attitude ; crédibilité, attitude envers la marque sur le site,
attitude envers le site et l’humeur
σ : Le facteur de gratification
ε : terme d’erreur de la variable dépendante
Les résultats sont affichés dans le tableau ci-dessous :
Tableau 53: Résultats de la régression du 2ème modèle
L’observation des résultats montre une baisse dans le R2 ajusté qui est devenu de l’ordre
de 5% avec un F non significatif. 3 taux de nos antécédents (crédibilité, attitude envers
site et attitude envers l’achat sur le site) sont devenus non significatifs dans l’explication
de la variable dépendante.
Nous pouvons donc rejeter l’hypothèse H6.1 selon laquelle les gratifications qu’attend un
utilisateur du site modèrent l’impact des antécédents de l’attitude envers le site sur
l’attitude envers la marque sur le site.
Ceci infirme les travaux de Ko, Cho et Roberts (2005) qui fournissent la preuve que les
gratifications influencent les attitudes des utilisateurs d’Internet modèrent envers les
sites de publicité interactive. Nous pouvons ajouter que notre résultat contredit aussi les
travaux de Liang et al (2006-2007) qui affirment que les gratifications liées à l’usage
d’Internet modèrent la satisfaction de l’utilisateur avec les services personnalisés en ligne.
Kaplan et Haenlein (2009) rejoignent aussi ces études antérieures et confirment que les
attitudes envers le magasin phare dans le monde virtuel diffère significativement en
fonction des grappes de gratification.
130
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
dans la vie réelle » et une seule variable explicative indépendante « attitude envers
la marque sur le site).
L’équation se présente comme suit :
Y= α0+β x+ε
Avec :
Y : la variable à expliquer ‘’ attitude envers la marque dans la vie réelle
α 0 : constante
β : coefficient de régression
x : variable indépendante ‘’attitude envers la marque sur le site’’
ε : terme d’erreur de la variable dépendante
Dans le deuxième modèle nous avons introduit des termes interactifs pour tenir compte
de l’effetdes gratifications sur la relation attitude envers la marque sur le site et attitude
envers la marque vie réelle.
L’équation du modèle 2 se présente comme suit :
Y= α0+β xσ+ ε
Avec :
Y : la variable à expliquer ‘’ attitude envers la marque dans la vie réelle
α 0 : constante
β : coefficient de régression
x : variable indépendante ‘’attitude envers la marque sur le site’’
σ : Le facteur de gratification
ε : terme d’erreur de la variable dépendante
Les résultats de la régression des deux modèles se présentent dans le tableau suivant :
131
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
L’observation des résultats montre que dans le 1er modèle, les valeurs de F sont
significatives (p< 0.05). Le VIF est égal à 1 ce qui indique l’absence de problème de
multicolinéarité. D’après la valeur R2 ajusté le modèle explique 15.1% de notre variable
dépendante (attitude marque dans la vie). Cette valeur nous semble très faible.
En introduisant les gratifications dans le modèle nous remarquons une baisse de la valeur
de R2 ajusté qui est devenu de l’ordre -1% ce qui indique que le modèle n’explique plus
notre variable dépendante (attitude envers la marque dans la vie réelle). Nous pouvons
ajouter que les résultats affichent des valeurs F non significatifs (p> 0.05). Nous pouvons
donc rejeter l’hypothèse H6.2 selon laquelle les gratifications qu’attend un utilisateur du
site modèrent l’impact de l’attitude envers un site de marque sur l’attitude envers la
marque dans la vie réelle.
Le rejet de cette hypothèse H6.2 vient confirmer les travaux de Kaplan et Hanlein (2009)
qui ont montré que les gratifications n’ont aucun effet sur la relation attitude envers la
marque sur le site- attitude envers la marque dans la vie réelle.
Ce comportement du consommateur Tunisien peut être expliqué par le fait que sa
motivation primordiale dans le monde virtuel est la recherche d’informations nécessaire
pour sa prise de décision. Ceci confirme les travaux de Zaglia (2013) qui montre que l’une
des principales motivations des consommateurs est d’obtenir les informations ou les
compétences nécessaires pour mieux utiliser le produit de leur marque préférée.
Nous pouvons expliquer également ce résultat par le fait que le côté relationnel sur le site
n’est pas encore développé en Tunisie. Le consommateur ne cherche pas à développer des
relations personnelles sur le site. Son seul objectif est la recherche d’informations surtout
lorsqu’il y a une forte implication de ce dernier envers sa marque préférée.
Une autre explication, d’un tel résultat, c’est qu’en Tunisie le e- commerce n’est pas
encore assez développé. La culture du commerce électronique est presque absente en
Tunisie particulièrement chez le consommateur Tunisien. D’ailleurs, d’après une étude
menée par le ministère de commerce, la qualité des sites marchands Tunisiens est
qualifiée de médiocre6. Nous ajoutons que le coût de création est notamment trop élevé,
et par conséquent, les sites ne sont pas bien conçus pour offrir des fortes gratifications
pour l’utilisateur.
132
Chapitre IV : Validation du modèle conceptuel test d'hypothèses et discussion des
résultats
133
Conclusion Générale
Conclusion Générale
Conclusion Générale
Nous avons trouvé que le consommateur tunisien ne sépare pas ses activités en
ligne de ses activités dans la vie réelle, mais les considèrent comme des formes d’auto
expression.
Nous avons constaté que les modèles traditionnels de comportement du consommateur
se révèlent très robustes même appliqués à un nouvel environnement. En effet, nous
avons confirmé que les quatre antécédents de l’attitude envers la marque, dérivée de la
littérature sur la publicité traditionnelle, influencent positivement l’attitude envers la
marque sur le site.
Les résultats de notre étude nous ont permis également de comprendre qu’il existe une
relation positive entre l’attitude envers la marque sur le site et l’attitude envers la marque
dans la vie réelle. Cela implique que les deux environnements sont étroitement liés dans
137
Conclusion Générale
l’esprit du consommateur et que les sites peuvent être amenés à remplir des fonctions
analogues à la publicité.
L’intention d’achat du consommateur est influencée positivement par l’attitude
envers la marque sur le site mais elle est influencée également par son attachement à la
marque.
Cela implique que l’attachement est un bon prédicteur de l’intention d’achat. Dans
ce même cadre de résultats nous avons pu montrer que l’attachement du Tunisien à la
marque sur le site est expliqué par son attitude favorable envers le site. En effet,
l’évaluation globale du site explique de façon significative l’attachement à la marque.
Finalement nous avons trouvé que les gratifications ne modèrent pas les relations
entre les antécédents de l’attitude et l’attitude envers la marque sur le site, ni la relation
entre l’attitude envers la marque dans le monde virtuel et dans la vie réelle. Cela indique
que soit le consommateur tunisien cherche seulement l’information lors de sa navigation
dans son processus de préachat, soit que la culture de l’e- commerce n’est pas encore
assez présente vue les contraintes financières (coût de création de site trop élevé) et les
contraintes ergonomiques liées à la conception du site.
138
Conclusion Générale
doit faire attention à la conception de son site. Plus le consommateur perçoit le site
internet (ou page facebook) comme amusant, attractif et sympathique plus il sera
attaché à la marque.
Nos résultats apportent une autre contribution managériale et théorique dans la
mesure où nous avons fourni des preuves empiriques d’effets d’imbrication entre
les mondes virtuels et réelle. Ceci permet de développer des recommandations sur
le design optimal des sites et réseaux sociaux dans le monde virtuels.
● Sur le plan méthodologique, nous avons pu montrer que les échelles de mesure
sont validées dans le contexte Tunisien.
Les limites
Quels que soient les apports de ce travail, il comporte néanmoins quelques limites.
Celles-ci concernent essentiellement le recueil des données. En effet, nous étions
contraints de complété notre enquête par une auto- administration du
questionnaire, alors que nous avons prévu une collecte auprès de
site « Ballouchi.com ». Ceci peut affecter l’intégrité de l’étude.
● Nous avons aussi limité le choix des répondants à trois marques de produits
informatiques, alors que nous aurons dû laisser cette question ouverte pour avoir
plus de résultats fiables. Finalement, nous avons exclus plusieurs facteurs qui
peuvent expliquer l’intention d’achat du consommateur par exemple :
l’engagement, la fidélité à la marque, le prix de produits…
139
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Introduction 1
Introduction 6
1.2. 9
1.2.1. 9
1.2.2. 11
1.2.4. 13
2.1. 16
2.2. 19
2.3. 23
3.2.1. 28
3.2.2. 29
3.2.3. 30
3.2.4. 31
Conclusion 31
Chapitre II : 1
Les déterminants de l’intention d’achat : rôle de la séquence : attitude–attachement à la
marque 1
Introduction : 33
1.1. 34
1.2. 37
2.1. L’attitude 42
2.1.4. 50
2.1.5. 52
2.2. L’attachement 53
2.2.1. 53
2.2.2. 54
2.2.3. 58
2.2.4. 60
2.2.4.1. 61
Conclusion 68
1.1. 70
1.2. 71
1.3. 74
1.4. 75
1.5. 77
2.1. 78
2.2. 79
2.3. 80
2.4. 81
2.5. 82
2.5.1. 82
2.5.2. 82
2.5.3. 83
2.5.4. 83
2.5.5. 84
2.5.6. 84
2.5.7. 84
2.5.8. 85
2.5.9. 85
2.6. 86
2.6.1. 86
2.6.2. 86
2.7. 89
2.8.1. 91
2.8.2. 93
2.9. 93
2.10. 93
Conclusion du chapitre 96
Introduction 97
1.1. 97
1.2. 98
1.2.1. 100
1.2.2. 102
1.2.3. 103
1.2.4. 105
1.2.5. 106
1.2.6. 107
1.2.7. 108
1.2.8. 109
2.1.3 Validation de l’effet de l’attitude envers le site sur l’attitude envers la marque sur
le site. 122
2.1.4 Validation de l’effet de l’humeur sur l’attitude envers la marque sur le site 123
2.1.5Validation de l’effet de l’attitude envers la marque sur le site sur l’attitude envers
la marque dans la vie réelle 125
2.1.6 Validation de l’effet de l’attitude envers la marque dans la vie réelle sur
l’intention d’achat dans la vie réelle 126
Partie 1: 144
Partie 2: 145
Questionnaire
Dans le cadre d'un travail de recherche, je mène une enquête qui porte sur l'attachement et l'attitude envers la
marque et le lien avec le site web où la marque se vend. Compte tenu des contraintes géographiques, je suis
amenée à réaliser l'enquête en ligne. cette enquête se subdivises en deux parties. Je vous serai profondément
reconnaissante si vous tentez de répondre à l'ensemble des questions. Merci infiniment pour votre contribution.
Partie 1:
Dans cette première partie, vous aller répondre par rapport à votre marque ''préférée''. Veuillez indiquer votre
degré d'accord aux affirmations suivantes.
Dell
Samsung
Apple
*
Complètement Trés
Défavorable Neutre Favorable
défavorable favorable
La marque
Samsung
représente une
partie de qui je
suis
Je me sens
personnellement
connecté(e) à la
marque Samsung
Je me sens
émotionnellement
lié(e) à la marque
Samsung
*
Complètement Trés
Défavorable Neutre Favorable
défavorable favorable
La marque
Samsung éveille
naturellement en
moi de nombreux
sentiments et
pensées
Lorsque je pense
à la marque
Samsung,
beaucoup de
choses me
viennent
automatiquement
à l'esprit
La marque
Samsung m'
évoque des
pensées positives
au sujetdu passé,
du présent et du
futur
Partie 2:
Dans cette partie on désigne par site le lieu où la marque se vend en ligne par d'autres consommateurs comme les
sites de petites annonces (Ballouchi.com ;Tayara.tn, etc), les réseaux sociaux (les pages facebook qui vendent les
produits informatiques ou alors les sites deal (tel que Bigdeal.tn)
*
Pas du tout Plutôt pas Tout à fait
Sans opinion D'accord
d'accord d'accord d'accord
La présence de la
marque Samsung
sur le site me fait
penser à
quelqu'un qui est
compétent et qui
sait ce qu'il fait
La marque
Samsung sur le
site offre ce qu'il
promet
Les slogans
formules sur le
site sont crédibles
Au fil du temps,
mes expériences
avec la marque
Samsung sur le
site m'ont conduit
àm’attendre à ce
qu'elle tienne ses
promesses,ni plus
ni moins
La marque
Samsung sur le
site ne prétend
pas à être ce
qu'elle n'est pas
*
les utilisateurs du
site sont devenus
des amis proches
Être sur le site est
une bonne
compagnie
lorsque je suis
seul
Après avoir été
sur le site je me
réjouis d'en parler
avec les autres
Être sur le site est
un sujet de
conversation
*
Pas du tout Plutôt pas Sans Tout à fait
D'accord
d'accord d'accord opinion d'accord
Etre sur le site me rappelle des
choses qui se sont passés dans ma
vie
Être sur le site me rappelle des
souvenirs de personne que je
connaissais auparavant
Être sur le site m'aide parfois à
comprendre ma propre vie
Être sur le site me fournit de la
matière à réflexion
Être sur le site m' a aidé de gagner
de l'argent dans la vie réelle
De {26-35}
De {35-45}
De {45 et plus}
Elève ou étudiant
Artisan, commerçant
Profession libérale
Cadre supérieur
Employé
De {1000_ 1500}
1500 et plus
Annexe 2:
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
FACTOR
/VARIABLES conx1 conx2 conx3 prom1 prom2 prom3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS conx1 conx2 conx3 prom1 prom2 prom3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Qualité de représentation
Initial Extraction
La marque "Samsung" représente une partie de qui je suis 1,000 ,715
Je me sens personnellement connecté à la marque "Samsung" 1,000 ,721
Je me sens émotionnellement lié(e) à la marque"Samsung" 1,000 ,724
La marque "Samsung" éveille en moi de nombreux sentiments et pensées 1,000 ,744
Lorsque je pense à la marque "Samsung",beaucoup de choses me viennent 1,000 ,705
automatiquement à l'esprit
La marque"Samsung"m'évoque des pensées positives au sujet du passé,du présent et 1,000 ,744
du futur
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Variance totale expliquée
Composante Valeurs propres initiales Extraction Sommes des carrés des facteurs retenus
Total % de la variance % cumulés Total % de la variance % cumulés
1 4,354 72,561 72,561 4,354 72,561 72,561
2 ,539 8,988 81,549
3 ,314 5,237 86,786
4 ,311 5,191 91,977
5 ,257 4,286 96,263
6 ,224 3,737 100,000
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
RELIABILITY
/VARIABLES=conx1 conx2 conx3 prom1 prom2 prom3
/SCALE('ALL VARIABLES') ALL
/MODEL=ALPHA.
Fiabilité
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques de fiabilité
Alpha de Cronbach Nombre d'éléments
,924 6
FACTOR
/VARIABLES cred1 cred2 cred3 cred4 cred5
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS cred1 cred2 cred3 cred4 cred5
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Matrice des composantesa
Composante
1
La présence de la marque sur le site me fait penser à quelqu'un qui est compétent et qui sait ce qu'il fait ,783
La marque sur le site offre ce qu'elle promet ,748
Les slogans formulés sur le site sont crédibles ,773
Au fil du temps,mes expériences avec la marque sur le site m'ont conduit à m'attendre à ce qu'elle tienne ses ,718
promesses,ni plus ni moins
La marque "Samsung" sur le site ne prétend pas à être ce qu'elle n'est pas ,646
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
a. 1 composantes extraites.
Indice KMO et test de Bartlett
Mesure de précision de l'échantillonnage de Kaiser-Meyer-Olkin. ,725
Khi-deux approximé 476,123
Test de sphéricité de Bartlett ddl 10
Signification de Bartlett ,000
Qualité de représentation
Initial Extraction
La présence de la marque sur le site me fait penser à quelqu'un qui est compétent et qui sait 1,000 ,614
ce qu'il fait
La marque sur le site offre ce qu'elle promet 1,000 ,559
Les slogans formulés sur le site sont crédibles 1,000 ,598
Au fil du temps,mes expériences avec la marque sur le site m'ont conduit à m'attendre à ce 1,000 ,515
qu'elle tienne ses promesses,ni plus ni moins
La marque "Samsung" sur le site ne prétend pas à être ce qu'elle n'est pas 1,000 ,418
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES cred1 cred2 cred3 cred4
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS cred1 cred2 cred3 cred4
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Indice KMO et test de Bartlett
Mesure de précision de l'échantillonnage de Kaiser-Meyer-Olkin. ,723
Khi-deux approximé 349,689
Test de sphéricité de Bartlett ddl 6
Signification de Bartlett ,000
Qualité de représentation
Initial Extraction
La présence de la marque sur le site me fait penser à quelqu'un qui est compétent et qui sait 1,000 ,671
ce qu'il fait
La marque sur le site offre ce qu'elle promet 1,000 ,682
Les slogans formulés sur le site sont crédibles 1,000 ,613
Au fil du temps,mes expériences avec la marque sur le site m'ont conduit à m'attendre à ce 1,000 ,432
qu'elle tienne ses promesses,ni plus ni moins
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Variance totale expliquée
Composante Valeurs propres initiales Extraction Sommes des carrés des facteurs retenus
Total % de la variance % cumulés Total % de la variance % cumulés
1 2,399 59,980 59,980 2,399 59,980 59,980
2 ,738 18,457 78,437
3 ,528 13,209 91,646
4 ,334 8,354 100,000
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES cred1 cred2 cred3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS cred1 cred2 cred3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
Qualité de représentation
Initial Extraction
La présence de la marque sur le site me fait penser à quelqu'un qui est compétent 1,000 ,719
et qui sait ce qu'il fait
La marque sur le site offre ce qu'elle promet 1,000 ,768
Les slogans formulés sur le site sont crédibles 1,000 ,605
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
RELIABILITY
/VARIABLES=cred1 cred2 cred3
/SCALE('ALL VARIABLES') ALL
/MODEL=ALPHA.
Fiabilité
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques de fiabilité
Alpha de Cronbach Nombre d'éléments
,783 3
FACTOR
/VARIABLES attacht1 attacht2 attacht3 attacht4
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attacht1 attacht2 attacht3 attacht4
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
Lorsque j'achète sur le site c'est plus drôle que l'achat traditionnel 1,000 ,406
J'aime acheter sur le site 1,000 ,717
Mon achat sur le site n'est plus risqué que l'achat traditionnel 1,000 ,615
Je suis confiant(e) dans ma capacité à acheter avec succès sur le site 1,000 ,649
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Variance totale expliquée
Composante Valeurs propres initiales Extraction Sommes des carrés des facteurs retenus
Total % de la variance % cumulés Total % de la variance % cumulés
1 2,386 59,657 59,657 2,386 59,657 59,657
2 ,764 19,091 78,748
3 ,513 12,837 91,585
4 ,337 8,415 100,000
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES attacht2 attacht3 attacht4
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attacht2 attacht3 attacht4
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
J'aime acheter sur le site 1,000 ,763
Mon achat sur le site n'est plus risqué que l'achat traditionnel 1,000 ,607
Je suis confiant(e) dans ma capacité à acheter avec succès sur le site 1,000 ,733
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
RELIABILITY
/VARIABLES=attacht2 attacht3 attacht4
/SCALE('ALL VARIABLES') ALL
/MODEL=ALPHA.
Fiabilité
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques de fiabilité
Alpha de Cronbach Nombre d'éléments
,787 3
FACTOR
/VARIABLES attsit1 attsit2 attsit3 attsit4 attsit5 attsit6
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attsit1 attsit2 attsit3 attsit4 attsit5 attsit6
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
Ce site facilite l'établissement d'une relation avec l'entreprise 1,000 ,327
Je voudrais visiter ce site,à nouveau, dans le futur 1,000 ,563
Je suis satisfait(e) des services proposés par ce site 1,000 ,696
Je me sens à l'aise en naviguant sur le site 1,000 ,542
Naviguer sur ce site est un bon moyen pour passer le temps 1,000 ,487
Comparé à d'autres sites, je dirais que celui ci est un très bon site 1,000 ,511
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Variance totale expliquée
Compos Valeurs propres initiales Extraction Sommes des carrés des facteurs retenus
ante Total % de la variance % cumulés Total % de la variance % cumulés
1 3,127 52,123 52,123 3,127 52,123 52,123
2 ,958 15,963 68,086
3 ,569 9,483 77,570
4 ,563 9,378 86,948
5 ,411 6,852 93,799
6 ,372 6,201 100,000
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES attsit2 attsit3 attsit4 attsit6
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attsit2 attsit3 attsit4 attsit6
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
Je voudrais visiter ce site,à nouveau, dans le futur 1,000 ,599
Je suis satisfait(e) des services proposés par ce site 1,000 ,713
Je me sens à l'aise en naviguant sur le site 1,000 ,597
Comparé à d'autres sites, je dirais que celui ci est un très bon site 1,000 ,550
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
RELIABILITY
/VARIABLES=attsit2 attsit3 attsit4 attsit6
/SCALE('ALL VARIABLES') ALL
/MODEL=ALPHA.
Fiabilité
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques de fiabilité
Alpha de Cronbach Nombre d'éléments
,787 4
FACTOR
/VARIABLES hum1 hum2 hum3 hum4
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS hum1 hum2 hum3 hum4
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
vous avez développé une humeur triste/content par rapport au site 1,000 ,549
vous avez développé une bonne/mauvaise humeur par rapport au site 1,000 ,719
vous étiez content/irrité en visitant le site 1,000 ,711
vous étiez déprimé/joyeux en visitant le site 1,000 ,671
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
RELIABILITY
/VARIABLES=hum1 hum2 hum3 hum4
/SCALE('ALL VARIABLES') ALL
/MODEL=ALPHA.
Fiabilité
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques de fiabilité
Alpha de Cronbach Nombre d'éléments
,829 4
FACTOR
/VARIABLES attmqsit1 attmqsit2 attmqsit3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attmqsit1 attmqsit2 attmqsit3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
vous avez développé une bonne/mauvaise attitude envers la marque sur le site 1,000 ,737
vous avez développé une agréable/désagréable attitude envers la marque sur le site 1,000 ,776
vous avez déloppé une favorable/défavorable attitude envers la marque sur le site 1,000 ,785
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
RELIABILITY
/VARIABLES=attmqsit1 attmqsit2 attmqsit3
/SCALE('ALL VARIABLES') ALL
/MODEL=ALPHA.
Fiabilité
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques de fiabilité
Alpha de Cronbach Nombre d'éléments
,847 3
FACTOR
/VARIABLES attvie1 attvie2 attvie3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attvie1 attvie2 attvie3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
vous avez développé une bonne/mauvaise attitude envers la marque dans la vie réelle 1,000 ,731
vous avez une attitude agréable ou désagréable envers la marque dans la vie réelle 1,000 ,775
vous avez une attitude favorable ou défavorable envers la marque dans la vie réelle 1,000 ,741
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
RELIABILITY
/VARIABLES=attvie1 attvie2 attvie3
/SCALE('ALL VARIABLES') ALL
/MODEL=ALPHA.
Fiabilité
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques de fiabilité
Alpha de Cronbach Nombre d'éléments
,832 3
FACTOR
/VARIABLES intvie1 intvie2 intvie3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS intvie1 intvie2 intvie3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
Je tente d'essayer la marque ''Samsung" dans la vie réelle 1,000 ,594
Je compte acheter la marque "Samsung" si je la vois dans un magasin dans la vie réelle 1,000 ,803
Je cherche activement la marque"Samsung" dans la vie réelle pour l'acheter 1,000 ,675
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
RELIABILITY
/VARIABLES=intvie1 intvie2 intvie3
/SCALE('ALL VARIABLES') ALL
/MODEL=ALPHA.
Fiabilité
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques de fiabilité
Alpha de Cronbach Nombre d'éléments
,772 3
FACTOR
/VARIABLES gratdiv1 gratdiv2 gratdiv3 gratrp1 gratrp2 gratrp3 gratrp4
gratid1 gratid2 gratid3 gratid4
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS gratdiv1 gratdiv2 gratdiv3 gratrp1 gratrp2 gratrp3 gratrp4
gratid1 gratid2 gratid3 gratid4
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES gratdiv2 gratdiv3 gratrp1 gratrp2 gratrp3 gratid1 gratid2
gratid3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS gratdiv2 gratdiv3 gratrp1 gratrp2 gratrp3 gratid1 gratid2
gratid3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
Etre sur le site me permet de m'échapper de moi 1,000 ,564
Etre sur le site me permet de sortir de mes problèmes 1,000 ,571
Les utilisateurs du site sont devenus des amis proches 1,000 ,558
Etre sur le site est une bonne compagnie lorsque je suis seul 1,000 ,539
Aprés avoir été sur le site je me réjouis d'en parler avec les autres 1,000 ,554
Etre sur le site me rappelle des choses qui se sont passés dans ma vie 1,000 ,585
Etre sur le site me rappelle des souvenirs de personne que je connaissais auparavant 1,000 ,665
Etre sur le site m'aide parfois à comprendre ma propre vie 1,000 ,581
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES gratdiv2 gratdiv3 gratrp1 gratrp3 gratid1 gratid2 gratid3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS gratdiv2 gratdiv3 gratrp1 gratrp3 gratid1 gratid2 gratid3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
RELIABILITY
/VARIABLES=gratdiv2 gratdiv3 gratrp1 gratrp3 gratid1 gratid2 gratid3
/SCALE('ALL VARIABLES') ALL
/MODEL=ALPHA.
Fiabilité
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques de fiabilité
Alpha de Cronbach Nombre d'éléments
,884 7
FACTOR
/VARIABLES cred1 cred2 cred3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS cred1 cred2 cred3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/SAVE REG(ALL)
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
La présence de la marque sur le site me fait penser à 1,000 ,719
quelqu'un qui est compétent et qui sait ce qu'il fait
La marque sur le site offre ce qu'elle promet 1,000 ,768
Les slogans formulés sur le site sont crédibles 1,000 ,605
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES attacht2 attacht3 attacht4
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attacht2 attacht3 attacht4
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/SAVE REG(ALL)
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
J'aime acheter sur le site 1,000 ,763
Mon achat sur le site n'est plus risqué que l'achat 1,000 ,607
traditionnel
Je suis confiant(e) dans ma capacité à acheter avec 1,000 ,733
succès sur le site
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Variance totale expliquée
Composante Valeurs propres initiales Extraction Sommes des carrés des facteurs retenus
Total % de la variance % cumulés Total % de la variance % cumulés
1 2,104 70,121 70,121 2,104 70,121 70,121
2 ,555 18,500 88,622
3 ,341 11,378 100,000
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES attsit2 attsit3 attsit4 attsit6
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attsit2 attsit3 attsit4 attsit6
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/SAVE REG(ALL)
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
Je voudrais visiter ce site,à nouveau, dans le futur 1,000 ,599
Je suis satisfait(e) des services proposés par ce site 1,000 ,713
Je me sens à l'aise en naviguant sur le site 1,000 ,597
Comparé à d'autres sites, je dirais que celui ci est un très 1,000 ,550
bon site
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES hum1 hum2 hum3 hum4
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS hum1 hum2 hum3 hum4
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/SAVE REG(ALL)
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
vous avez développé une humeur triste/content par rapport 1,000 ,549
au site
vous avez développé une bonne/mauvaise humeur par 1,000 ,719
rapport au site
vous étiez content/irrité en visitant le site 1,000 ,711
vous étiez déprimé/joyeux en visitant le site 1,000 ,671
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES attmqsit1 attmqsit2 attmqsit3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attmqsit1 attmqsit2 attmqsit3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/SAVE REG(ALL)
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
vous avez développé une bonne/mauvaise attitude envers 1,000 ,737
la marque sur le site
vous avez développé une agréable/désagréable attitude 1,000 ,776
envers la marque sur le site
vous avez déloppé une favorable/défavorable attitude 1,000 ,785
envers la marque sur le site
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Variance totale expliquée
Composante Valeurs propres initiales Extraction Sommes des carrés des facteurs retenus
Total % de la variance % cumulés Total % de la variance % cumulés
1 2,297 76,576 76,576 2,297 76,576 76,576
2 ,388 12,929 89,505
3 ,315 10,495 100,000
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES attvie1 attvie2 attvie3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS attvie1 attvie2 attvie3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/SAVE REG(ALL)
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
vous avez développé une bonne/mauvaise attitude envers 1,000 ,731
la marque dans la vie réelle
vous avez une attitude agréable ou désagréable envers la 1,000 ,775
marque dans la vie réelle
vous avez une attitude favorable ou défavorable envers la 1,000 ,741
marque dans la vie réelle
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES intvie1 intvie2 intvie3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS intvie1 intvie2 intvie3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/SAVE REG(ALL)
/METHOD=CORRELATION.
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
Je tente d'essayer la marque ''Samsung" dans la vie réelle 1,000 ,594
Je compte acheter la marque "Samsung" si je la vois dans 1,000 ,803
un magasin dans la vie réelle
Je cherche activement la marque"Samsung" dans la vie 1,000 ,675
réelle pour l'acheter
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Variance totale expliquée
Composante Valeurs propres initiales Extraction Sommes des carrés des facteurs retenus
Total % de la variance % cumulés Total % de la variance % cumulés
1 2,071 69,049 69,049 2,071 69,049 69,049
2 ,613 20,419 89,468
3 ,316 10,532 100,000
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
FACTOR
/VARIABLES gratdiv2 gratdiv3 gratrp1 gratrp3 gratid1 gratid2 gratid3
/MISSING LISTWISE
/ANALYSIS gratdiv2 gratdiv3 gratrp1 gratrp3 gratid1 gratid2 gratid3
/PRINT INITIAL KMO EXTRACTION ROTATION
/CRITERIA MINEIGEN(1) ITERATE(25)
/EXTRACTION PC
/CRITERIA ITERATE(25)
/ROTATION VARIMAX
/SAVE REG(ALL)
/METHOD=CORRELATION
Analyse factorielle
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Qualité de représentation
Initial Extraction
Etre sur le site me permet de m'échapper de moi 1,000 ,601
Etre sur le site me permet de sortir de mes problèmes 1,000 ,603
Les utilisateurs du site sont devenus des amis proches 1,000 ,519
Aprés avoir été sur le site je me réjouis d'en parler avec les 1,000 ,527
autres
Etre sur le site me rappelle des choses qui se sont passés 1,000 ,605
dans ma vie
Etre sur le site me rappelle des souvenirs de personne que 1,000 ,698
je connaissais auparavant
Etre sur le site m'aide parfois à comprendre ma propre vie 1,000 ,589
Méthode d'extraction : Analyse en composantes principales.
Matrice des
composantes
après rotationa
a. Une seule
composante a été
extraite. La solution
ne peut pas subir
une rotation.
SAVE OUTFILE='C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav'
/COMPRESS
CMIN
Baseline Comparisons
Parsimony-Adjusted Measures
Parsimony-Adjusted Measures
Estimate
attitudemqsite <--- crédibilité ,402
cred1 <--- crédibilité ,772
cred2 <--- crédibilité ,840
cred3 <--- crédibilité ,614
attmqsit3 <--- attitudemqsite ,830
attmqsit2 <--- attitudemqsite ,815
attmqsit1 <--- attitudemqsite ,773
Estimate
e3 <--> e7 ,263
CMIN
Baseline Comparisons
Parsimony-Adjusted Measures
NCP
Model NCP LO 90 HI 90
Default model ,000 ,000 1,339
Saturated model ,000 ,000 ,000
Independence model 723,354 638,078 816,029
FMIN
Model FMIN F0 LO 90 HI 90
Default model ,011 ,000 ,000 ,004
Saturated model ,000 ,000 ,000 ,000
Independence model 2,437 2,387 2,106 2,693
RMSEA
AIC
Estimate
attitudemqsite <--- attitudeachatsite ,548
attmqsit3 <--- attitudemqsite ,834
attmqsit2 <--- attitudemqsite ,818
attmqsit1 <--- attitudemqsite ,766
attacht2 <--- attitudeachatsite ,839
attacht3 <--- attitudeachatsite ,612
attacht4 <--- attitudeachatsite ,783
Estimat
e
attitudemqsit
,300
e
attacht4 ,613
attacht3 ,374
attacht2 ,704
attmqsit1 ,586
attmqsit2 ,669
attmqsit3 ,695
CMIN
RMR, GFI
Baseline Comparisons
Parsimony-Adjusted Measures
NCP
Model NCP LO 90 HI 90
Default model 3,215 ,000 17,421
Saturated model ,000 ,000 ,000
Independence model 839,835 747,566 939,503
FMIN
Model FMIN F0 LO 90 HI 90
Default model ,050 ,011 ,000 ,057
Saturated model ,000 ,000 ,000 ,000
Independence model 2,841 2,772 2,467 3,101
RMSEA
AIC
ECVI
Model ECVI LO 90 HI 90 MECVI
Default model ,156 ,145 ,203 ,159
Saturated model ,185 ,185 ,185 ,190
Independence model 2,887 2,583 3,216 2,888
Estimate
attitudemqsite <--- attitudesite ,732
attmqsit3 <--- attitudemqsite ,832
attmqsit2 <--- attitudemqsite ,805
attmqsit1 <--- attitudemqsite ,781
attsit2 <--- attitudesite ,686
attsit3 <--- attitudesite ,823
attsit4 <--- attitudesite ,655
attsit6 <--- attitudesite ,626
Estimate
e5 <--> e8 -,506
Estimat
e
attitudemqsit
,536
e
attsit6 ,392
attsit4 ,429
attsit3 ,677
attsit2 ,471
attmqsit1 ,610
attmqsit2 ,648
attmqsit3 ,692
M.I Par
. Change
M.I Par
. Change
Model NCP LO 90 HI 90
Default model 3,215 ,000 17,421
Saturated model ,000 ,000 ,000
Independence model 839,835 747,566 939,503
Model FMIN F0 LO 90 HI 90
Default model ,050 ,011 ,000 ,057
Saturated model ,000 ,000 ,000 ,000
Independence model 2,841 2,772 2,467 3,101
CMIN
RMR, GFI
Baseline Comparisons
Parsimony-Adjusted Measures
NCP
Model NCP LO 90 HI 90
Default model 23,426 9,541 44,901
Saturated model ,000 ,000 ,000
Independence model 979,483 879,633 1086,725
FMIN
Model FMIN F0 LO 90 HI 90
Default model ,110 ,077 ,031 ,148
Model FMIN F0 LO 90 HI 90
Saturated model ,000 ,000 ,000 ,000
Independence model 3,302 3,233 2,903 3,587
RMSEA
AIC
Estimate
attitudemqsite <--- humeur ,648
attmqsit3 <--- attitudemqsite ,804
attmqsit2 <--- attitudemqsite ,832
attmqsit1 <--- attitudemqsite ,776
hum1 <--- humeur ,617
hum2 <--- humeur ,769
hum3 <--- humeur ,764
Estimate
hum4 <--- humeur ,716
Estimate
e6 <--> e7 ,256
e4 <--> e5 ,212
e3 <--> e7 ,213
CMIN
RMR, GFI
Baseline Comparisons
NCP
Model NCP LO 90 HI 90
Default model 20,466 8,136 40,326
Saturated model ,000 ,000 ,000
Independence model 815,953 725,213 914,091
FMIN
Model FMIN F0 LO 90 HI 90
Default model ,087 ,068 ,027 ,133
Saturated model ,000 ,000 ,000 ,000
Independence model 2,742 2,693 2,393 3,017
RMSEA
AIC
ECVI
Estimate
attmqvierelle <--- attmqsite ,476
attmqsit1 <--- attmqsite ,730
attmqsit2 <--- attmqsite ,833
attmqsit3 <--- attmqsite ,843
attvie3 <--- attmqvierelle ,766
attvie2 <--- attmqvierelle ,812
attvie1 <--- attmqvierelle ,803
Estimate
e2 <--> e6 -,184
e1 <--> e6 ,238
Estimat
e
attmqvierell
,227
e
attvie1 ,644
attvie2 ,660
attvie3 ,586
attmqsit3 ,711
attmqsit2 ,694
attmqsit1 ,532
CMIN
RMR, GFI
Baseline Comparisons
NFI RFI IFI TLI
Model CFI
Delta1 rho1 Delta2 rho2
Default model ,958 ,921 ,968 ,940 ,968
Saturated model 1,000 1,000 1,000
Independence model ,000 ,000 ,000 ,000 ,000
Parsimony-Adjusted Measures
NCP
Model NCP LO 90 HI 90
Default model 23,057 9,577 44,093
Saturated model ,000 ,000 ,000
Independence model 721,435 636,276 813,993
FMIN
Model FMIN F0 LO 90 HI 90
Default model ,102 ,076 ,032 ,146
Saturated model ,000 ,000 ,000 ,000
Independence model 2,430 2,381 2,100 2,686
RMSEA
AIC
ECVI
CMIN
Baseline Comparisons
Parsimony-Adjusted Measures
NCP
Model NCP LO 90 HI 90
Default model 58,888 34,159 91,264
Saturated model ,000 ,000 ,000
Independence model 1779,286 1643,281 1922,653
FMIN
Model FMIN F0 LO 90 HI 90
Default model ,300 ,194 ,113 ,301
Saturated model ,000 ,000 ,000 ,000
Independence model 6,021 5,872 5,423 6,345
RMSEA
AIC
Model AIC BCC BIC CAIC
Default model 136,888 138,621 222,380 245,380
Saturated model 110,000 114,144 314,437 369,437
Independence model 1844,286 1845,039 1881,456 1891,456
Estimate
attachement <--- attitudesite ,662
attsit2 <--- attitudesite ,726
attsit3 <--- attitudesite ,774
attsit4 <--- attitudesite ,656
attsit6 <--- attitudesite ,639
prom3 <--- attachement ,831
prom2 <--- attachement ,802
prom1 <--- attachement ,802
conx3 <--- attachement ,825
conx2 <--- attachement ,835
conx1 <--- attachement ,814
Estimate
e6 <--> e7 ,275
e6 <--> e9 -,215
Estimat
e
attachemen
,438
t
conx1 ,663
conx2 ,697
Estimat
e
conx3 ,680
prom1 ,643
prom2 ,643
prom3 ,691
attsit6 ,408
attsit4 ,431
attsit3 ,599
attsit2 ,527
CMIN
RMR, GFI
Baseline Comparisons
Parsimony-Adjusted Measures
Model PRATIO PNFI PCFI
Default model ,694 ,659 ,669
Saturated model ,000 ,000 ,000
Independence model 1,000 ,000 ,000
NCP
Model NCP LO 90 HI 90
Default model 60,665 36,237 92,690
Saturated model ,000 ,000 ,000
Independence model 1664,568 1533,265 1803,237
FMIN
Model FMIN F0 LO 90 HI 90
Default model ,283 ,200 ,120 ,306
Saturated model ,000 ,000 ,000 ,000
Independence model 5,612 5,494 5,060 5,951
RMSEA
AIC
ECVI
Estimate
intachtvierelle <--- attachement ,532
conx1 <--- attachement ,827
conx2 <--- attachement ,832
conx3 <--- attachement ,832
prom1 <--- attachement ,801
prom2 <--- attachement ,764
prom3 <--- attachement ,823
intvie3 <--- intachtvierelle ,707
intvie2 <--- intachtvierelle ,898
intvie1 <--- intachtvierelle ,622
Estimate
e4 <--> e5 ,348
Effectifs
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Documents\bas2.sav1.sav
Statistiques
Genre de Age du répondant Profession du Revenu mensuel
répondants répondant du répodant
Valide 304 304 304 304
N
Manquante 0 0 0 0
Tableau de fréquences
Genre de répondants
Effectifs Pourcentage Pourcentage valide Pourcentage
cumulé
Homme 142 46,7 46,7 46,7
Valide femme 162 53,3 53,3 100,0
Total 304 100,0 100,0
Age du répondant
Effectifs Pourcentage Pourcentage valide Pourcentage
cumulé
de {15-25} 82 27,0 27,0 27,0
de {26-35} 107 35,2 35,2 62,2
Valide de {35-45} 66 21,7 21,7 83,9
de {45 et plus} 49 16,1 16,1 100,0
Total 304 100,0 100,0
Profession du répondant
Effectifs Pourcentage Pourcentage valide Pourcentage
cumulé
élève ou étudiant 110 36,2 36,2 36,2
Artisan ou commerçant 10 3,3 3,3 39,5
profession libérale 35 11,5 11,5 51,0
Valide cadre supérieur 88 28,9 28,9 79,9
employé 44 14,5 14,5 94,4
sans activité professionnelle 17 5,6 5,6 100,0
Total 304 100,0 100,0
GET
FILE='C:\Users\MonPoste\Desktop\bas2.sav1.Nahla.sav'.
DATASET NAME Ensemble_de_données1 WINDOW=FRONT.
GET
FILE='C:\Users\MonPoste\Desktop\bas2.sav1.Nahla.sav'.
DATASET NAME Ensemble_de_données1 WINDOW=FRONT.
REGRESSION
/MISSING LISTWISE
/STATISTICS COEFF OUTS R ANOVA COLLIN TOL CHANGE
/CRITERIA=PIN(.05) POUT(.10)
/NOORIGIN
/DEPENDENT FAC_attitudemqsite
/METHOD=ENTER grathumeur gratcred gratattitusite gratattitudeachatsit
/RESIDUALS DURBIN.
Régression
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Desktop\bas2.sav1.Nahla.sav
Variables introduites/suppriméesa
Modèle Variables Variables Méthode
introduites supprimées
gratattitudeachatsi . Entrée
te, gratcredibilité,
1
grathumeur,
gratattitudesiteb
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
b. Toutes variables requises saisies.
ANOVAa
Modèle Somme des ddl Moyenne des D Sig.
carrés carrés
Régression 5,371 4 1,343 1,349 ,252b
1 Résidu 297,629 299 ,995
Total 303,000 303
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
b. Valeurs prédites : (constantes), gratattitudeachatsite, gratcredibilité, grathumeur, gratattitudesite
Coefficientsa
Modèle Coefficients non standardisés Coefficients standardisés t Sig. Statistiques de colinéarité
A Erreur standard Bêta Tolérance VIF
(Constante) -,054 ,065 -,822 ,412
grathumeur ,141 ,071 ,142 1,978 ,049 ,635 1,576
1 gratcredibilité -,063 ,059 -,071 -1,067 ,287 ,747 1,339
gratattitudesite ,041 ,076 ,042 ,539 ,591 ,548 1,825
gratattitudeachatsite -,049 ,067 -,053 -,731 ,465 ,614 1,629
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
Diagnostics de colinéaritéa
Modèl Dimensi Vale Index de Proportions de la variance
e on ur conditionnem (Constant grathume gratcredibili gratattitudes gratattitudeachat
propr ent e) ur té ite site
e
2,89 1,000 ,03 ,04 ,04 ,04 ,04
1
4
2 ,758 1,954 ,74 ,00 ,21 ,01 ,03
1
3 ,606 2,185 ,07 ,00 ,60 ,06 ,30
4 ,406 2,670 ,16 ,83 ,15 ,00 ,21
5 ,336 2,933 ,00 ,12 ,00 ,89 ,42
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
REGRESSION
/MISSING LISTWISE
/STATISTICS COEFF OUTS R ANOVA COLLIN TOL CHANGE
/CRITERIA=PIN(.05) POUT(.10)
/NOORIGIN
/DEPENDENT FAC_attitudemqsite
/METHOD=ENTER FAC_crédibilité FAC_attitudeachatsite FAC_attitudesite
FAC_humeur
/RESIDUALS DURBIN.
Régression
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Desktop\bas2.sav1.Nahla.sav
Variables introduites/suppriméesa
Modèle Variables Variables Méthode
introduites supprimées
REGR factor . Entrée
score 1 for
analysis 1, REGR
factor score 1 for
1 analysis 1, REGR
factor score 1 for
analysis 1, REGR
factor score 1 for
analysis 1b
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
b. Toutes variables requises saisies.
Coefficientsa
Modèle Coefficients non Coefficients t Sig. Statistiques de
standardisés standardisés colinéarité
A Erreur Bêta Tolérance VIF
standard
-1,001E- ,044 ,000 1,000
(Constante)
013
REGR factor score 1 ,135 ,049 ,135 2,726 ,007 ,776 1,289
for analysis 1
REGR factor score 1 ,156 ,052 ,156 3,022 ,003 ,712 1,405
1
for analysis 1
REGR factor score 1 ,254 ,056 ,254 4,557 ,000 ,611 1,636
for analysis 1
REGR factor score 1 ,307 ,053 ,307 5,853 ,000 ,688 1,452
for analysis 1
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
Diagnostics de colinéaritéa
Modèle Dimension Valeur Index de Proportions de la variance
propre conditionnement (Constante) REGR REGR REGR REGR
factor factor factor factor
score 1 score 1 score 1 score 1
for for for for
analysis 1 analysis 1 analysis 1 analysis 1
1 2,272 1,000 ,00 ,07 ,08 ,08 ,08
2 1,000 1,507 1,00 ,00 ,00 ,00 ,00
1 3 ,669 1,843 ,00 ,83 ,00 ,05 ,23
4 ,600 1,945 ,00 ,08 ,79 ,00 ,30
5 ,458 2,227 ,00 ,01 ,12 ,87 ,39
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
Statistiques des résidusa
Minimum Maximum Moyenne Ecart-type N
Prévision -2,1887529 1,6708210 ,0000000 ,65729475 304
Résidu -2,87825441 1,88788748 ,00000000 ,75363360 304
Erreur Prévision -3,330 2,542 ,000 1,000 304
Erreur Résidu -3,794 2,488 ,000 ,993 304
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
REGRESSION
/MISSING LISTWISE
/STATISTICS COEFF OUTS R ANOVA COLLIN TOL CHANGE
/CRITERIA=PIN(.05) POUT(.10)
/NOORIGIN
/DEPENDENT FAC_attitudemqviereelle
/METHOD=ENTER FAC_attitudemqsite
/RESIDUALS DURBIN.
Régression
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Desktop\bas2.sav1.Nahla.sav
Variables introduites/suppriméesa
Modèle Variables Variables Méthode
introduites supprimées
REGR factor . Entrée
1 score 1 for
analysis 1b
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
b. Toutes variables requises saisies.
Coefficientsa
Modèle Coefficients non Coefficients t Sig. Statistiques de
standardisés standardisés colinéarité
A Erreur Bêta Tolérance VIF
standard
-1,000E- ,053 ,000 1,000
(Constante)
013
1
REGR factor score 1 ,392 ,053 ,392 7,408 ,000 1,000 1,000
for analysis 1
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
Diagnostics de colinéaritéa
Modèle Dimension Valeur propre Index de Proportions de la variance
conditionnement (Constante) REGR factor
score 1 for
analysis 1
1 1,000 1,000 1,00 ,00
1
2 1,000 1,000 ,00 1,00
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
Régression
[Ensemble_de_données1] C:\Users\MonPoste\Desktop\bas2.sav1.Nahla.sav
Variables introduites/suppriméesa
Modèle Variables Variables Méthode
introduites supprimées
gratattitudemqsite . Entrée
1
b
ANOVAa
Modèle Somme des ddl Moyenne des D Sig.
carrés carrés
Régression ,719 1 ,719 ,718 ,397b
1 Résidu 302,281 302 1,001
Total 303,000 303
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
b. Valeurs prédites : (constantes), gratattitudemqsite
Coefficientsa
Modèle Coefficients non Coefficients t Sig. Statistiques de
standardisés standardisés colinéarité
A Erreur standard Bêta Tolérance VIF
-,018 ,061 - ,767
(Constante)
1 ,297
gratattitudemqsite ,052 ,061 ,049 ,847 ,397 1,000 1,000
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1
Diagnostics de colinéaritéa
Modèle Dimension Valeur propre Index de Proportions de la variance
conditionnement (Constante) gratattitudemqsite
1 1,350 1,000 ,32 ,32
1
2 ,650 1,441 ,68 ,68
a. Variable dépendante : REGR factor score 1 for analysis 1