Document Marées
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LES MARÉES
Comment les marées sont-elles générées, et qu'engendrent-
elles ?
Introduction
I. Astronomie
A. la cause des marées
B. les différentes marées
Expériences
Lexique
Sources
Introduction :
Les marées, phénomène naturel, fut étudié pour la première fois au IV siècle
avant JC par l’explorateur et marin grec originaire de Massalia, anciennement
Marseille, Pythéas. Il reconnut dans les marées un phénomène astronomique et
notamment l’influence de la Lune et du Soleil. Les recherches se précisent
ensuite a travers les siècles : Kepler, au XVII siècle évoque un magnétisme
lunaire et solaire, Galilée y voit une conséquence de la rotation de la Terre.
Newton avec sa théorie de la gravitation universelle met en place les bases
mathématiques des mouvements des astres du système solaire, ce qui permit à
Halley d’expliquer les marées par une différence d’attraction exercée par la
Lune au centre de la Terre et à sa surface. Puis Laplace au XIX siècle établit des
calculs et des prévisions de marées. L’océanographie moderne voit le jour. Enfin,
d’autres physiciens et mathématiciens, comme Kelvin, Poincaré et Harris a la fin
du XIX siècle, développent une théorie harmonique encore utilisée aujourd’hui.
Les marées auront finalement été comprises en 2500 ans.
La marée est un mouvement périodique journalier tout à fait prévisible : la mer
monte et descend selon des critères bien précis, comme le lieu et le temps. Le
soleil, et surtout la Lune sont à l’origine de ce phénomène exerçant sur la Terre
des forces. Ces forces créent ainsi une ascension de la mer, traduit par les
marées mais aussi de la Terre, de 40 cm non perceptible par l’Homme, du fait que
la couche terrestre soit trop rigide.
Ces mouvements marins sont également source d’énergie. Aujourd’hui, l’Homme
sait utiliser ces mouvements à des fins énergétiques. En effet, grâce à des
technologies sans cesse en évolution, du moulin jusqu'à l’hydrolienne, Il peut ainsi
produire de l’électricité, de l’énergiemécanique…
Cependant ils sont aussi une contrainte de vie. Effectivement, beaucoup
d’espèces animales et végétales vivent au gré des marées sur le littoral, et
doivent s’adapter aux conditions du milieu. Pour cela ces espèces adoptent des
« stratégies » différentes. Certains suivent le mouvement de l’eau, d’autres
s’enfouissent dans le sable…
Il conviendra d’étudier dans un premier temps l’astronomie, l’énergie liée aux
marées dans un deuxième et enfin les marées, source de vie.
I. L’astronomie
A. Les causes des marées
La lune ainsi que le soleil exercent une force sur la Terre, la force
gravitationnelle.
La force gravitationnelle est une force s’exerçant sur tout corps ayant une
masse et pour laquelle deux corps s’attirent l’un vers l’autre. Dans notre
situation, les deux cas de figuresont la Terre et la Lune ou la Terre et le Soleil.
Cette force se traduit entre autre par les marées.
Ainsi la Lune exerce son attraction sur la Terre, créant un bourrelet d’eau qui
devient plus important que le niveau théorique, qui serait celui des océans si
aucune force n’était exercée sur la Terre, mis à part la force de pesanteur. De
ce fait, lorsque le bourrelet d’eau est au dessus du niveau théorique se créent les
marées hautes.
La force centrifuge est la force ressentie lorsque l’on se trouve dans un manège.
On a tendance à être poussé vers l’extérieur du manège lorsque la vitesse
augmente.
Si aucune force n’était exercée sur la Terre, cette dernière rentrerait en
collision avec la Lune. Mais la force gravitationnelle intervient ainsi que la force
d’attraction, ce qui garde les astres a une certaine distance.
: Force centrifuge
: Force d’attraction
: Force des marées
Terre Lune
A l’inverse, les marées basses, ou dépressions, présentent un niveau des océans
inférieur au niveau théorique. A l’opposé du bourrelet formé par la force
gravitationnelle de la Lune, un autre bourrelet se forme, provoqué par la force
centrifuge. En effet la force centrifuge, constante en tout point de la Terre, est
due à une rotation de la Terre, ainsi que la Lune, autour d’un axe appelé le
barycentre, situé à environ 4700km du centre de la Terre. Les bourrelets ne
sont pas symétriques, du fait que la Lune ne soit pas, en général, dans le plan
équatorial.
B. Les différentes marées
a) les marées de mortes-eaux
Lorsque le Soleil et la Lune sont à 90 degrés l’un de l’autre, leurs forces de
gravitation se contrarient produisant les marées les plus basses, et les plus
faibles mouvements d’eau : ce sont les marées de mortes-eaux.
Ces marées ont lieu lors des premiers et derniers quartiers de Lune, phases
appelées syzygies.
b) les marées de vives eaux
Lorsque le soleil et la Lune sont alignés dans l’axe de la Terre, leur force
gravitationnelle se conjuguent produisant les plus grandes marées et les plus
grands mouvements d’eau : ce sont les marées de vives-eaux.
C’est marées de vives-eaux, ont lieu lors des nouvelles Lune et de la pleine Lune,
phase appelées quadrature.
Les plus grandes marées d’équinoxes sont appelées marées du siècle. En effet
tous les quatre ans et demi, ces marées sont particulièrement fortes dépassant
le coefficient 115. La prochaine marée du siècle aura lieu en 2015 avec un
coefficient de 119.
• Fonctionnement :
Contrairement à la force du vent, les courants marins sont une énergie constante
et prévisible. Ainsi les hydroliennes sont constituées de pales, construites de
façon minutieuse afin que chaque caractéristique (longueur, forme…) optimise la
récupération d’énergie, qui sont actionnées grâce à l’énergie cinétique libérée par
la force du courant. Elles sont reliées à des turbines, comme les éoliennes, qui
comprennent un alternateur capable de transformer l’énergie mécanique, captée
par les pales, en énergie électrique. Ensuite, cette énergie est transportée dans
un câble jusqu’au rivage, où il est distribué.
Une hydrolienne peut être placée à partir de 35 mètres de profondeur, dans un
lieu où il ne gèle pas. Lors de disfonctionnements de la turbine ou des pales il est
possible de les remonter hors de l’eau afin de les réparer.
b) Avantages / Inconvénients
Les hydroliennes présentent de nombreux avantages. En effet, l’énergie du
courant qui les faits fonctionner est une énergie renouvelable et non-polluante.
Elles sont beaucoup plus petites que les éoliennes, du fait que le mouvement d’eau
qu’elles subissent est 800 fois plus puissant que la force de l’air. De plus,le
courant marin est totalement prévisible, grâce à des techniques, telles que celles
citées ci-après, ainsi on peut prévoir la quantité d’électricité qui sera produite.
Néanmoins, l’entretient des pales s’effectuent à l’aide de produits toxiques, et
les hydroliennes peuvent avoir des répercussions sur la faune et la flore du
secteur où elle se trouve.
B. Les usines marémotrices
L’usine marémotrice est un barrage établie en travers d’une baie ou d’un
estuaire, ce qui crée un bassin. A marée montante, ce barrage laisse passer l’eau
qui envahie les bassins de retenue. Puis lors de la marée descendante, le barrage
est fermé en ne laissant qu’une issue, celle ou se trouve la turbine. Ainsi, l’eau en
passant par cette issue actionne la turbine, ce qui crée de l’énergie mécanique
convertible en électricité.
La première usine marémotrice française fut inaugurée en 1966 en Ille-et-
Vilaine, à l’estuaire de la Rance. Cette usine marémotrice s’étend sur 750 mètres
de longueur et produit 500 GWh/an.
*la force des vagues : Quand la marée monte, les vagues sont très fortes et les
organismes sont soumis à une très forte pression due à ce mouvement incessant
et du ressac.
*la température : Dans la vie à marée haute, le milieu est frais et relativement
constant (exemple : à Roscoff l’eau est entre 9 et 16°) mais à marée basse, la
température peut changer totalement, ainsi sous le soleil, la température peut
atteindre des valeurs très élevées (notamment en été mais aussi en hiver ou le
froid et le gel sont problématiques).
*la dessiccation : Pendant la marée basse, les organismes sont sujets à la
dessiccation (élimination de l’humidité d’un corps en attendant la marée haute).
*la salinité : Dans les océans elle est en moyenne de 35g de sel par litre à marée
haute. Elle est très importante pour les animaux marins car leur teneur en sel
doit rester la plus stable possible. Dans la mer la teneur en sel varie (due à la
météorologie : pluie) mais elle varie davantage dans les cuvettes (pluie et
évaporation du au soleil). Pour garder leur teneur en sel stable, les organismes
vivants ont développé leur capacité à réguler leur taux de salinité dissous dans
leurs fluides internes. C’est l’osmorégulation. Pour ça, deux stratégies
s'affrontent : soit l'espèce tend à avoir une osmolarité interne proche du milieu
extérieur et elle est dite « osmoconforme », elle s’adapte donc à son milieu, soit
l'espèce cherche à conserver une osmolarité propre et elle est dite
« osmorégulatrice ». Malgré ces adaptations, les animaux marins possèdent des
capacités très limitées en la matière. Ils ont besoin pour vivre d'une fourchette
de salinité bien précise.
*la lumière solaire : A marée haute, l’eau absorbe une partie de la lumière : les
rayons ultra-violets. Mais dans les cuvettes à marée basse, il n’y a plus le même
filtre absorbant et la lumière atteignant les organismes peut être plus vive
entrainant des malformations, des endommagements de l’ADN et chez quelques
espèces, la mortalité.
La vie dans l’estran suppose donc une grande tolérance physiologique des
organismes face aux variations d’hygrométrie, de salinité, de température, de
pH, de lumière et d’agitation de l’eau présents dans ce « milieu extrême ».
B.Face aux contraintes : plusieurs stratégies
1) Adaptations morphologiques
Certains individus ont déjà des atouts majeurs pour faire face aux marées :
*la taille : Au sein d’une même espèce, les grands individus perdent plus d’eau que
les plus petits. De plus, un corps compact et flexible permet de mieux résister
aux vagues.
*la forme du corps : Certains chauffent très rapidement comme la patelle qui a
un pied large et qui conduit facilement la chaleur du substrat mais se régule
grâce à une coquille large qui intercepte beaucoup des radiations solaires.
D’autres, comme le bigorneau, ont un corps d’une forme globuleuse qui
intercepte peu de radiations solaires mais grâce à un plus petit pied, il compense
les excès de chaleur.
*la couleur : Les organismes intertidaux de couleur claire s’échauffent moins car
ils absorbent moins de radiations contrairement aux animaux plus sombres qui
s’échauffent plus vite et sont donc bien adaptées aux climats plus froids…
*Passer une partie plus ou moins longue émergée à marée basse et immergée à
marée haute. C’est le cas des organismes fixés comme les algues ou peu mobiles
comme les mollusques. Pour cela, certains s’enfouissent dans le sable comme les
praires et les coques, se protègent dans une coquille comme le bigorneau,
d’autres se recouvrent de mucus comme la blernie et la baveuses ou se fixe sur
les rochers comme la moule pour éviter de se faire emporter par les vagues
montantes et descendantes.
*Ou l’intermédiaire : Survivre dans les flaques à marée basse. C’est le cas de
nombreux crustacés comme les crabes et les étoiles de mer même si le crabe est
un animal pouvant survivre hors de l’eau. En effet, comme bon nombre d’animaux
aquatiques, les crustacés disposent de branchies qui sont les structures les plus
efficaces pour capter l’oxygène de l’eau. Pour survivre aux exondations, le crabe
a alors développé des structures spécialisées qui lui permettent de
consommer l’O2 de l’air. Pour ça, il lui suffit de garder des branchies humides,
ainsi il peut supporter de longues émersions.
Etage supralittoral - Il n’est mouillé que par les embruns salés ou lors des
grandes marées d’équinoxe. Elle est appelée aussi zone des embruns.
Les côtes rocheuses peuvent être constituées de versants rocheux abrupts ou en pente douce,
de plates-formes inondées par la marée et parsemées de flaques, éboulis de roches de
plusieurs tonnes. Les organismes qui se fixent sur la pierre nue dans la zone des marées
subissent l’assèchement durant des heures, voire des jours, où les pleines mers de vive-eau
sont les plus hautes : le froid, le soleil, la pluie et le gel leur infligent des conditions de vie
extrêmes. Les espèces animales et végétales qui peuplent les surfaces rocheuses sont adaptées
à la force des flots, à l’orientation par rapport au Soleil, à l’inclinaison de la pente et aussi à la
nature de la roche. Les plantes à fleurs ne survivent pas aux conditions de vie très
rigoureuses des rochers de bas-fond.
• L’étage infralittoral
• L’étage médiolittoral
C’est sur les côtes rocheuses et surtout dans cette zone que l’on peut distinguer très
visiblement
un étagement caractéristique des organismes.
Mais il y a un changement de la répartition quand on passe d’un rocher abrité à un rocher
battu.
Ainsi, deux cas se présentent :
• Les rochers battus qui imposent le plus de contraintes particulières :
- très secs à marée basse.
- des vagues qui viennent se briser sur les rochers : le ressac.
Les animaux qui y vivent sont ceux qui sont les mieux adaptés à ces contraintes.
Ex : mollusques bivalves (moules, huîtres) et gastéropodes (bigorneaux, patelles).
Dans ce cas les organismes se fixent aux rochers ou vivent dans des anfractuosités. Ainsi, la
moule se fixe grâce au byssus, produit par une glande du pied : pour se déplacer, elle colle de
nouveaux filaments d’un côté et cassent les anciens. En revanche, la patelle, ou chapeau
chinois, peut se fixer, elle, grâce à un pied ventouse qui lui permet de se fermer
hermétiquement.
• Les rochers abrités, situés en zone calme à l’arrière des rochers par rapport à l’arrivée des
vagues. Ce milieu est colonisé par les algues, l’humidité reste importante sous celles-ci et la
force des vagues y est moins intense. Ainsi, beaucoup d’organismes se réfugient sous ces
algues.
Ex : le tourteau, le petit serpent de mer et le goémon noir.
Enfin, dans cette zone mediolittorale, il existe un troisième cas c’est celui de la cuvette
rocheuse : dans ce lieu se trouvent les organismes aquatiques tel que les crustacés (crevettes,
crabes, étoiles de mer) et des gastéropodes (bigorneaux). Ils y trouvent un abri et de la
nourriture.
L’étoile de mer, comme d’autres organismes des autres étages, possède des ventouses qui lui
permettent de s’accrocher aux rochers.
• L’étage supralittoral
Dans cette zone les organismes doivent pouvoir supporter une forte salinité qui est apporté par
les embruns. Cette zone est limitée par des plantes terrestres comme les œillets maritimes ou
la criste marine. Puis il y a les lichens qui marquent la limite des Pleines Mers de Vives- Eau.
Ex : Lichen vert ou ramaline, balane, ligie…
La balane est fixée dans cette zone des embruns car elle supporte la sécheresse puisqu’elle se
contente de quelques gouttes d’eau et peut surtout absorber l’oxygène de l’air. De même, la
ligie qui est un animal amphibie peut extraire aussi bien l’oxygène de l’eau que de l’air même
si elle a une respiration purement bronchiale.
Les côtes sableuses possèdent un relief quasi-inexistant, ce qui diminue les abris. Les
organismes peuplant ces côtes ont peu d’accroche : il y a donc peu d’algues. A cela s’ajoute la
sécheresse puisque à marée basse, le sable sèche très vite, et ayant très peu de marres, les
organismes sont obligés, pour la plupart, de s’enfouir dans le sable.
Par côtes sableuses, nous assimilons souvent les plages en général mais il existe aussi les
plages de
galets. Ici nous ne les étudierons pas car les organismes vivants dans cette zone y sont rares à
cause du roulement des pierres entraînées par des vagues.
• L’étage infralittoral
• L’étage médiolittoral
C’est un milieu particulier. Le sable constitué de particules fines sèche très vite en surface
mais conserve de l’eau en profondeur ou de l’humidité. Les vagues balaient la surface des
plages. Mais contrairement aux côtes rocheuses les algues ne peuvent se fixer sur l’étage
mediolittorale des côtes sableuses. A marée basse, il y a ceux qui s’enfouissent, les plus
nombreux.
Ex : les mollusques bivalves fouisseurs (palourdes, couteaux, praires)
Mais d’autres s’enfouissent pour rechercher l’humidité ou à la recherche de proies
minuscules.
Ex : ciliés, annélides, nématodes.
• L’étage supralittoral
On peut assimiler cette zone à une partie des dunes car la marée ne l’atteint pas entièrement
sauf pendant les grandes marées.
La vie y est surtout végétale. Il y a des plantes annuelles halophiles (qui aiment le sel) comme
le cakile.
Nous savons qu’il existe des côtes où se mêlent le sable et les rochers. La répartition des
organismes est la même que pour les côtes rocheuses là où se situent les rochers, et que les
côtes sableuses là où
se situe le sable.
Ces côtes sont essentiellement des estuaires et des lagunes, c’est à dire des étendues d'eau
séparées de la mer par un cordon littoral. C’est la zone la plus riche en végétation.
Sur cet estran se succèdent une zone à végétation ouverte ou même nulle, la slikke, recouverte
par toutes les marées quelle que soit leur amplitude, et une zone à peuplement dense,
uniquement inondée par les marées de vive- eau, le schorre. Chacune de ces deux zones se
subdivise elle-même en partie basse et partie haute.
• La slikke
• Le schorre
Nous avons vu que l’estran était principalement composé de petits organismes, or, nous
pouvons également observer de gros mammifères marins comme les phoques gris et les veaux
marins qui sont les plus gros animaux de l’estran. Cependant, nous n’avons pas étudié en
profondeur ces animaux puisqu’ils sont aussi biens adaptés à la vie marine qu’à la vie
aérienne.
En effet, ils nagent très bien et peuvent plonger longtemps et profondément.
De nombreux oiseaux viennent de poser, cherchant de quoi assouvir leur faim entre les
rochers ou dans le sable. De plus, lors des marées et avec les vagues, de nombreux organismes
sont ramenés, les oiseaux y trouvent donc de la nourriture. Nous n’avons pas étudié les
oiseaux du littoral en détail puisqu’ils ne subissent pas directement les marées : ils ne s’y
adaptent pas mais en tirent profit.
Experiences :
Dynanomètre
Poids
Lexique :
• Marnage :la différence de hauteur d'eau mesurée entre les
niveaux d'une pleine mer et d'une basse mer consécutives, mais aussi les
fluctuations du niveau de l'eau dans les cours d'eau, canaux, bassins et
retenues et le dénivelé sur lequel se font ces fluctuations.
• Coefficients de marées : technique de mesure des marées
• Estran : la patrie du littoral située entre les hautes et les
basses mers
• Equinoxe : période durant laquelle le soleil se trouve tout a
fait en face de la terre
• Dessiquation : déshydratation
• Jusant : terme maritime qualifiant la période pendant laquelle
la marée est descendante. Les professionnels de la mer utilisent de
préférence le mot jusant à son synonyme reflux.
• syzygie: position qu'occupe la lune en conjonction ou en
opposition avec le Soleil (terme général pour Nouvelle Lune et Pleine Lune).
• quadrature: position de la Lune et du Soleil quand leurs
directions par rapport à la terre forment un angle droit (Premier Quartier
et Dernier Quartier)
LEXIQUE A TERMINER
Sources :
-sources internet :
http://hmf.enseeiht.fr/travaux/CD0001/travaux/optsee/hym/20/projet.htm
http://refmar.shom.fr/fr/documentation/instrumentation/maregraphes-a-flotteur/maregramme
http://generationsfutures.chez-alice.fr/energie/hydrolienne.htm
http://marees.free.fr/
http://www.ostrea.org/maree.html
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mar%C3%A9e
http://www.kerignard.com/marees/#age
http://www.kerignard.com/marees/
max2.ese.u-psud.fr/epc/conservation/BEMA/La_maree_110304.pdf
http://www.aquaenergiebelgium.eu/infos/energie-maremotrice-hydrolienne-thermique-.html
http://astarus.free.fr/les_marees__un_phenomene_g.htm
http://membres.multimania.fr/tpesurlesmarees/newpage1.html
http://nico8386.free.fr/cours/BA/viezoneintertidale.pdf
http://www.ac-
amiens.fr/fileadmin/user_upload/IA02/Espace_professionel/Pedagogie/Sorties_Scolaires/Le_Grand_Larg
e/Pedagogie/estranmarees.pdf
http://www.bestioles.ca/invertebres/crabes.html
http://nico8386.free.fr/cours/BA/LittoralMarin/2%20Les%20etres%20vivants%20dan%20leur
%20milieu.pdf
http://www.fondation-nicolas-hulot.org/extras/dossiers-pedagogiques/eau/littoral-corail.php
http://vendee-globe-junior2008.vendee.fr/global/pdf/Fiche22.pdf
http://fr.wikipedia.org/wiki/Byssus
http://fnppsf.fr/peche-plaisance/ppn27le-profil-de-lestran.pdf
-Sources manuscrites :
Comprendre les marées de Odile Guérin, édition Ouest-France
Le grand livre de la voile , édition Gründ