TP Grade 1 Elm Groupe 1 - 065630

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REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

UNIVERSITE DE KOLWEZI
FACULTE POLYTEHNIQUE

DEPARTEMENT ELECTROMECANIQUE

TRAVAIL PRATIQUE

Cours de Méthode des éléments finis


Promotion : Grade 1, INGENIEUR CIVIL

Année académique 2023-2024


REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO
UNIVERSITE DE KOLWEZI
FACULTE POLYTEHNIQUE

DEPARTEMENT ELECTROMECANIQUE

Cours de Méthode des


éléments finis

Grade 1, INGENIEUR CIVIL

Année académique 2023-2024


GROUPE 1
Presentation
— KAHOZI MALOTA Bodrick
— ILUNGA MUTOMBO Guedalia
— KASAJ MALONG Grâce
— ILUNGA KABWE Benedi
Avant-propos
Le contenu de ce support de cours est destiné aux étudiants de premier
grade polytechnique en électromécanique, dans le but de bien comprendre
les differents aspects théoriques et comment la méthodes des éléments finis
(MEF) traite les problèmes d’ingénieur.

Le cours sera donné pendant 45 heures selon, le programme académique


(pondération 3). Durant cette période nous tenterons de faire comprendre à
l’étudiants, la méthode des éléments finis, dans ses procédures et étapes, qui
sont dans la plupart des cas, dissimulées dans les logiciels.

Ce cours est subdivisé en 4 chapitres, le tout débutant par une introduc-


tion présentant les base ; l’approximation par des éléments finis de dimension
un, deux et trois. Elle prendre fin par une série d’application de la méthodes
par des problèmes de barres, poutres et d’élasticité plane. Ce qui permettra
à l’étudiant d’avoir un compréhension des étapes dans la MEF pour le calcul
des structures.
Ce cours est un outils de travail pour les étudiants.
Chapitre 1

Apercus

Nous aurons pour objectif dans ce chapitre de présenter à quand remonte


l’utilisation de la méthode des éléments finis, et pourquoi étudier la MEF.
Nous chercherons plus particulièrement à présenté les différences de la MEF
d’avec les autres méthodes, et de regarder plus profondement la notion de
l’approximation par l’usage des éléments finis.

1 Introduction
Certains problèmes avait pour réputations d’être difficile à resoudre, voir
même impossible par l’utilisation des méthodes analytiques classiques. Ceux-
ci peuvent et̂re resolus à l’heure actuelle avec plus de facilité, grâce à l’utilis-
tions des méthodes numériques par lesquelles une se distingue : Méthodes
des éléments finis (MEF).

1.1 Objectifs du cours


— Saisir les fondamentaux de la MEF.
— Parvenir à mettre en évidence le comportement et l’utilité de chaque
type d’élément.
— Pouvoir expliquer clairement le comportement physique d’un probème
en présence.
— Parvenir à faire une approximation d’un problème donné par éléments
finis qui soit acceptable.
— Mettre en avant où se limite l’aproximation par la MEF (en utilisant
l’outil numérique).
— Etre suffisament outillé par les théories proposé afin de pouvoir dire
comment fonctionnent les logiciles et d’avoir face aux messages d’er-
reur une facilité de les traités.

1
— Etre en mesure de lire sans peine tous livres ou receuils qu’on trouve
sur le net en rapport avec la MEF.

1.2 Idée fondamentale de la MEF


Il est coutume dans les études d’ingénieurs d’apprendre le calcul de surface
et de volumes de corps de differentes formes par la décomposition de celle-ci
en un certain nombre d’éléments de taille reduite (élémentaire) et de forme
regulière pour le cacul de moments d’inertie ou de centre de gravité. Cette
manière de procedé a aidé à l’élaboration de la méthodes des éléments(analyse
par éléments finis).
On peut utiliser cette approche pour des problèmes du quoditien tout
comme en technologie ainsi que pour des problèmes lier au domaine de l’in-
génieur. les exemple ci-après illustre bien cette idée :

— Lego (chose qui s’assemble par morceaux)

— Construction de batiments

— Calcul d’une circonférence et d’un cercle par utilisation d’éléments


finis :

Figure 1.1 – Calcule de la circonférence (a)

Figure 1.2 – Calcul de la surface d’un cercle(b)

Facilement par ces deux figures on observe l’idée caché derrière éléments
finis par les mathématique anciennes :

2
— Dans la FIGURE 1 on observe le calcul de la circonférence par approxi-
mations par un polygone (un supérieur à la circonference et l’autre
inférieur). Plus nombreux sera le nombre de coté du polygone plus
exacte sera l’approximation.

— Dans la FIGURE 2 Est illustré l’idéee d’un calcul approché de la sur-


face d’un cercle par des triangles avant même l’introduction d’éléments
finis :
cela consistera a déterminer premièrement la surface d’un triangle

Si = 12 R2 sin θi Et ainsi nous pourrons avoir :


PN
SN = i=1 Si = 21 R2 N sin( 2π
N
) 7→ πR2 pour N 7→ ∞

Avec N le nombre de traingle éléments finis. On en conclut qu’on peut


faire la représentation d’éléments compliqué par des formes simples.

1.3 Pourquoi la MEF ?


La conception a toujours été un procédé nécéssitant une analyse et le
cacul à la main mais aussi de l’expérienece. Avec l’avènement du numérique
le calcul peut se faire automatiquement par ordinateur avec possibilité de
simulation. qu’en est-il de la MEF :
— La MEF est beaucoup utiliser par les ingénieurs car elle permet la
simulation par ordinateur. Elle permet la représentation d’équations
gouvernantes (système d’équation différentielle) sous une forme ma-
tricielle adapter à une solution automatique via un ordinateur.

— Grâce à la MEF on retrouve dans la plus part des logiciels (qui sont
mis sur le marchet) à interface graphique un module aidant dans la
resolution de calcul des structures.

1.4 Domaines d’application


Les domaines d’application e la MEF (Non exhaustive) :
— Problèmes d’équilibre statique : Aucune variation du système dans le
temps.
— Problèmes de système dynamique stable (valeurs propres) : Extension
de problèmes d’équilibre ; pour certains paramètres dèterminés, ont
définis des valeurs spécifiques ou critique.

3
— Problèmes d’onde (propagation) : Concerne tous phénomènes dont
l’évolution est dependant du temps.

Table 1.1 – Résumé des domaines d’application de la MEF dnas l’ingénierie

1.5 Conditions aux limites


1. Equations gouvernantes La plus part des phénomènes sont repré-
sentés sous forme d’équations différentielles ainsi on peut les étudiers.

4
Cela est d’applications même dans l’ingénierie de cette manière l’in-
génieur peut resoudre des problèmes posé dont la solution est dé-
pendante des conditions aux appuis. Ces équations peuvent prendre
plusieurs formes :
(a) barre tendue

Figure 1.3 – barre tendue

du
AE =N
dx
!
d du
A.E. =0 (1.1)
dx dx
on pose comme condition aux limite : u(a) = u(b) = 0 avec :

a≤x≤b

Dans la plupart des cas ces équations différentielles peuvent


correspondre au type d’équations de poisson ou de Laplace à deux
ou trois dimension.
(b) harmonique simple
Cas d’équation du mouvement

a≤x≤b
d2 u
= −w2 .u (1.2)
dx2
u(a) = α
u(b) = β
Cette équation (1.2) dépend des conditions : iniatiale et final
unidimensionnel (fait référence à un segment) linéaire du second
ordre.

5
Le domaine d’applications sont bien plus nombreux que ce qui est
présenté ici. Pour ce cours nous nous limiterons souvent à des avec
valeurs initiales linéaires du 2eme et 4eme ordre, très important en
génie civil pour le calcul des structures. voici quelques exemple de ces
types d’équations :
(a) Flexion d’une poutre

Figure 1.4 – Poutre encastré aux extrémité

0≤x≤l
d2 d2 u
!
EI. = F (x) (1.3)
dx2 dx2
du du
pour u(0) = 0 7→ dx
= 0 pour u(l) = 0 7→ dx
=0

(b) Torsion d’une poutre

Ce cas est de dimension deux (problèmes bidimensionnel) L’équa-


tion gouvernante et de type poisson. Nous avons un domaine D
auquel appartient x et y. Γ est la limite du domaine D :

∂ 2u ∂ 2u
+ = −2 (1.4)
∂x2 ∂y 2

Avec la condition limite : u = 0

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(c) Flexion d’une dalle

Nous avons ici l’étude d’une dalle simplement appuyée sur Γ


limite de la zone d’appui sollicité par F (x, y)
∂2 ∂ 2u ∂ 2u ∂2 ∂ 2u ∂ 2u
! !
+ + + = F (x, y) (1.5)
∂x2 ∂x2 ∂y 2 ∂y 2 ∂x2 ∂y 2
avec (x, y) ∈ D
2. Autre problème par comparaison

On peut faire correspondre les fromules utilisés en calcul de struc-


tures à ceux d’autres domaines au dela du génie civil. Comme pour
le cas du transfert thermique ( conduction) aidant dans le calcul d’in-
cendie.

Table 1.2 – varaibles de calcul dans différent domaines pour l’analyse par
éléments finis

On note toute fois une différence entre la conduction de chaleur qui est un
prolème scalaire du fait que le champ ici la température n’est associé à aucune
direction à aucun sens contrairement au champ de déplacement en calcul des
structures qui est associé une orientation(direction et sens).

1.6 Un bref historique de la MEF


le tableau ci-bas résume l’histoire de l’évolution de la MEF datant d’au-
dela les dates présentés dans le tableau. On peut trouver plus de détail shis-

7
torique sur des moteurs de recherche tel que google.

Table 1.3 – Evolution de la MEF en divers periode

1.7 Concepts de base et étapes de la MEF


1. Concepts

Hrenikoff proposa de subdiviseé n’mporte quelle structure dite


continue en élémnets (barre ou poutre) d’une certaine section inter-
connectés en nombre finis de noeuds entre élément. Avec cette idée
l’ingénieur de structure resout certains problèmes comme celui d’un
treillis, qui sera vue comme un ensemble d’éléments pour les quelles

8
on combine les caractéristiques de chaque éléments en respectant les
lois d’équilibre pour la résolution du sytème d’équations de tout le
système. Au-dela du treillis on peut faire une subdivision adéquate
pour un structure continue comme une plaque.

Figure 1.5 – Treillis

Figure 1.6 – Plaque de forme similaire au treillis avec une même charge

— Concept 1
Comme vu précédemment les problèmes dans l’ingénierie sont ex-
primés en terme :
— D’équations gouvernanates (généralement elles sont des équa-
tion différentielles)

— des conditions aux limites

Exemple : Voir FIUGRE 1.3 barre tendue.

De manière générale cela s’ecrit comme suite pour différent do-


maine traitant :

9
— Des probèmes d’élasticité ;

— Des problèmesde transfert de chaleur ;

— D’écoulement hydraulique.
L(u) + f = 0 éqaution différentielle et B(u) + g = 0 conditions aux
limites L et B sont des opérateur :

d2 F (u)
— dx2
;
d2 F (u) d2 F (u)
h i
— dx2
+ dy 2
;
dF (x)
— dx

— Concept 2

La résolution des équations différentielles passe par une écri-


ture algébriques avec les matrices en tenant compte de la MEF(5) :

K.U=F (1.6)
— K : matrice de rigidité (représente la propriété) ;
— U : Vecteur de dépalcement (représente le comportement) ;
— F : Vecteur force (représente la sollicitation).
Pour les différent domaines nous avons :

Table 1.4 – Matrices et valeurs caractéristiques pour certaines valeurs

10
— Concept 3

(5)
Il n’est pas facile d’obtenir un sytème d’équation pour tout
un domaine de ce fait :
— Diviser en élémnets (Avec noeuds : voir FIGURE 1.5 et 1.6) la
structure ;

— Choisir le paramètre de champs (déplacement, température ou


vitesse) reorésentant les degrés de libertés autravers l’approxi-
mation (polynomiale) sur chaque élément

— Les éléments qui se suivent partage ensemble les même degrés


de libertés aux d’intersections (Noeuds : voir FIGURE 1.5)

— Concept 4

Il est plus facilement d’obtenir le sytème d’équation de tout le


domaine en le faisant pour chaque élément et faire après un as-
semblage :

K e. U e = Fe
X X
(1.7)
— Concept 6
On passe à la résolution du sytème pour en déterminer les
varaibles inconnues(dépalement) aux noeuds
2. Procédures
Les images ci-après illustres les concepts ci-hauts :

Figure 1.7 – (
Discrétisatiion par éléments finis d’une ailes d’avion)

11
Figure 1.8 – Poutre à caisons(structure originale)

Figure 1.9 – Poutre à caison (Modèle par éléments finis : EF)

12
Figure 1.10 – Plaque rectangulaire avec ouverture (Modèle de base)

Figure 1.11 – Discrétisation par EF de différente forme de la plaque rec-


tangulaire

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3. Support informatique et logiciels incorporant la MEF :

— Exemples de logiciels :
— SAP, ETAPS,ROBOT : Analyse statique/dynamique, linéaire/
non-linéaire, effet de température, structures et sol... (logiciel
souvent utilisés dans les bureaux d’études de génie civil) ;

— ANSYS ;

— ABAQUS ;

— PAFEC ;

— MATHLAB ;

— MATHEMATICA.
Les propriétés non linéaires sont plus utilisés dans un processus
de conception et de calcul lorsqu’on veut une utilisation rationnelle
et économique et éconmique des matériaux. Il faut de ce fait des
utilisateurs aguerri dans le domaine qui savent retrouver dans les
logiciels la possibilté d’analiser les contraintes non linéaires pour
des problèmes ayant de grandes déformations, stabilité, plasticité
et retrais

— Support informatique pour la MEF


Il est important pour l’utilisation de logociels incorporant la
MEF d’avoir un ordinateur performant. La memoire, l’espace disque,
la vitesse du processeur ainsi que la résolution graphiques doivent
être adéquat pour une bonne exécution sur l’odinateur (la puis-
sance matérielle est très importante)
4. Avantages de la MEF

— Applicable à totu type de problème dit de champs, d’analyse de


contraintes , de transfert de chaleurs,etc

— Aucune restriction géométrique même si la forme du domaine est


irrégulier ;

— Elles utilisable pour n’importe qu’elle type de conditions aux li-


mites et chargement (sollicitations),

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— Elle est utilisable pour n’importe quel type de matériaux( Les pro-
priétes peuevent être différente d’un point à l’autre) ;

— On peut utiliser la méthodes même pour des corps avec différents


éléments c’est à dire qu’un seul modèle élément finis peut contenir
des barres, des poutres, des plaques,etc.

— Une strucure modéliser représente la structure réel, grâce au mo-


dèle on peut avoir l’idée de ce qui se produit sur une structure ou
se produira ou même qui s’est produit

— Plus on discrétise plus l’approximation devient proche de la valeur


exacte.

1.8 Notion de modélisation et comparaison de la MEF


à d’autres méthodes
1. Notion de modélisation (système continu et discret)

La FIGURE 1.12 Nous donne de manière bref comment faire une


approximation avec une erreur appreciable , dans un domaine préa-
lablement connu , du champ de déplacement. La modélisation d’un
modèle système continu vers le modéle système discret permet l’ob-
tention d’un nombre de degrés de libertés finis contrairement au sys-
tème continu qui donne un degrés de libertés infini.

Figure 1.12 – Schéma fonctionelle de modélisation

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2. La MEF et les autres méthodes d’analyse Il y a les méthodes
analytique qui propose une solution simplifié d’un problème et Il y a
la MEF qui propose un solution approximative du problèmes. On a
donc le choix entre une solution non complète et une autre approxi-
mative pour laquelle on peut decider d’améliorer le modèle pour une
approximation encore plus précise.

Figure 1.13 – Méthodes de résolution

Figure 1.14 – Schéma comparatif des processus d’analyse

3. Illustration du principe de la modélisation par un exemple


On va essayer de faire l’approximation du champ de déplacement
pour chaque éléments ui pris netre les intervalles des noeuds. La struc-
ture est isostatique avec une contrainte dans un suel axe (uniaxial).

16
Figure 1.15 – Etapes de modélisation d’un poteau de section varaibles
illustrons maintenant l’application suivante d’une section variable de la
base (section 7A) à l’extrémité libre (Section A)

Figure 1.16 – Discrétisation à base de trois éléments

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On considère que les éléments chacun à chacun sont linéaire, élastique
et uniforme de longueur L (FIGURE 1.15). On écrit le déplacement
"u" par exemple de l’élément au milieu en fonction des déplacements
aux noeuds (2) et (1) sous la forme suivangte :
′ ! ′ !
x 2 x
u= 1− u + (1.8)
L L

x est une coordonnée axial prise le long de l’élément. L’équation

(1.8) traduit une variation linéaire de u dépendemment de x et nous
′ ′
avons u = u2 pour x = 0 et u = u3 pour x = L ; l’élément le plus à
droite avec les déplacement aux noeuds (3) et (4) et l’élément le plus à
gauche avec u1 = 0 car il y a encastrement à l’extrémité gauche (voir
sur la FIGURE1.16).
La relation containte-déformation nous permet d’avoir les expres-
sions des contraintes axiales :

u2 u3 − u2 u4 − u3
σ1−2 = E. ; σ2−3 = E. ; σ3−4 = E. (1.9)
L L L
Nous avons un problèmes élémentaire, il n’est pas utile ici de faire
usage de l’écriture matricielle (telque cela sera vu dans les restes des
chapitres). De ce fait on peut déduire les déplacement aux noeuds
d’une manière simple :
u=0
P.L
u2 =
6.A.E
P.L
u3 = u3 +
4.A.E
P.L
u4 = u3 +
2.A.E
On peut tout aussi bien exprimés les déplacements en fonction de la lon-
gueur LT . En divisant la charge P par les sections droites on peut vérifié
les contraintes obtenues. Au dessous observont sur la FIGURE 1.17 que la
solution par approximation de la MEF(segment de droite) est proche de la
valeur exacte(en pointillé)

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Figure 1.17 – illustration du raprochemment de la solution par la MEF à
celle de valeur exacte

On observe que les contraints sont exacte au milieu des éléments (gra-
phique en escalier). Elle est moins exacte lorsqu’on se base sur une forme
d’approximation des champs de déplacement et les contraintes sont aclculés
parfois par déduction à partir des déplacements.

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