TP Grade 1 Elm Groupe 1 - 065630
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UNIVERSITE DE KOLWEZI
FACULTE POLYTEHNIQUE
DEPARTEMENT ELECTROMECANIQUE
TRAVAIL PRATIQUE
DEPARTEMENT ELECTROMECANIQUE
Apercus
1 Introduction
Certains problèmes avait pour réputations d’être difficile à resoudre, voir
même impossible par l’utilisation des méthodes analytiques classiques. Ceux-
ci peuvent et̂re resolus à l’heure actuelle avec plus de facilité, grâce à l’utilis-
tions des méthodes numériques par lesquelles une se distingue : Méthodes
des éléments finis (MEF).
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— Etre en mesure de lire sans peine tous livres ou receuils qu’on trouve
sur le net en rapport avec la MEF.
— Construction de batiments
Facilement par ces deux figures on observe l’idée caché derrière éléments
finis par les mathématique anciennes :
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— Dans la FIGURE 1 on observe le calcul de la circonférence par approxi-
mations par un polygone (un supérieur à la circonference et l’autre
inférieur). Plus nombreux sera le nombre de coté du polygone plus
exacte sera l’approximation.
— Grâce à la MEF on retrouve dans la plus part des logiciels (qui sont
mis sur le marchet) à interface graphique un module aidant dans la
resolution de calcul des structures.
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— Problèmes d’onde (propagation) : Concerne tous phénomènes dont
l’évolution est dependant du temps.
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Cela est d’applications même dans l’ingénierie de cette manière l’in-
génieur peut resoudre des problèmes posé dont la solution est dé-
pendante des conditions aux appuis. Ces équations peuvent prendre
plusieurs formes :
(a) barre tendue
du
AE =N
dx
!
d du
A.E. =0 (1.1)
dx dx
on pose comme condition aux limite : u(a) = u(b) = 0 avec :
a≤x≤b
a≤x≤b
d2 u
= −w2 .u (1.2)
dx2
u(a) = α
u(b) = β
Cette équation (1.2) dépend des conditions : iniatiale et final
unidimensionnel (fait référence à un segment) linéaire du second
ordre.
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Le domaine d’applications sont bien plus nombreux que ce qui est
présenté ici. Pour ce cours nous nous limiterons souvent à des avec
valeurs initiales linéaires du 2eme et 4eme ordre, très important en
génie civil pour le calcul des structures. voici quelques exemple de ces
types d’équations :
(a) Flexion d’une poutre
0≤x≤l
d2 d2 u
!
EI. = F (x) (1.3)
dx2 dx2
du du
pour u(0) = 0 7→ dx
= 0 pour u(l) = 0 7→ dx
=0
∂ 2u ∂ 2u
+ = −2 (1.4)
∂x2 ∂y 2
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(c) Flexion d’une dalle
Table 1.2 – varaibles de calcul dans différent domaines pour l’analyse par
éléments finis
On note toute fois une différence entre la conduction de chaleur qui est un
prolème scalaire du fait que le champ ici la température n’est associé à aucune
direction à aucun sens contrairement au champ de déplacement en calcul des
structures qui est associé une orientation(direction et sens).
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torique sur des moteurs de recherche tel que google.
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on combine les caractéristiques de chaque éléments en respectant les
lois d’équilibre pour la résolution du sytème d’équations de tout le
système. Au-dela du treillis on peut faire une subdivision adéquate
pour un structure continue comme une plaque.
Figure 1.6 – Plaque de forme similaire au treillis avec une même charge
— Concept 1
Comme vu précédemment les problèmes dans l’ingénierie sont ex-
primés en terme :
— D’équations gouvernanates (généralement elles sont des équa-
tion différentielles)
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— Des probèmes d’élasticité ;
— D’écoulement hydraulique.
L(u) + f = 0 éqaution différentielle et B(u) + g = 0 conditions aux
limites L et B sont des opérateur :
d2 F (u)
— dx2
;
d2 F (u) d2 F (u)
h i
— dx2
+ dy 2
;
dF (x)
— dx
— Concept 2
K.U=F (1.6)
— K : matrice de rigidité (représente la propriété) ;
— U : Vecteur de dépalcement (représente le comportement) ;
— F : Vecteur force (représente la sollicitation).
Pour les différent domaines nous avons :
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— Concept 3
(5)
Il n’est pas facile d’obtenir un sytème d’équation pour tout
un domaine de ce fait :
— Diviser en élémnets (Avec noeuds : voir FIGURE 1.5 et 1.6) la
structure ;
— Concept 4
K e. U e = Fe
X X
(1.7)
— Concept 6
On passe à la résolution du sytème pour en déterminer les
varaibles inconnues(dépalement) aux noeuds
2. Procédures
Les images ci-après illustres les concepts ci-hauts :
Figure 1.7 – (
Discrétisatiion par éléments finis d’une ailes d’avion)
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Figure 1.8 – Poutre à caisons(structure originale)
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Figure 1.10 – Plaque rectangulaire avec ouverture (Modèle de base)
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3. Support informatique et logiciels incorporant la MEF :
— Exemples de logiciels :
— SAP, ETAPS,ROBOT : Analyse statique/dynamique, linéaire/
non-linéaire, effet de température, structures et sol... (logiciel
souvent utilisés dans les bureaux d’études de génie civil) ;
— ANSYS ;
— ABAQUS ;
— PAFEC ;
— MATHLAB ;
— MATHEMATICA.
Les propriétés non linéaires sont plus utilisés dans un processus
de conception et de calcul lorsqu’on veut une utilisation rationnelle
et économique et éconmique des matériaux. Il faut de ce fait des
utilisateurs aguerri dans le domaine qui savent retrouver dans les
logiciels la possibilté d’analiser les contraintes non linéaires pour
des problèmes ayant de grandes déformations, stabilité, plasticité
et retrais
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— Elle est utilisable pour n’importe quel type de matériaux( Les pro-
priétes peuevent être différente d’un point à l’autre) ;
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2. La MEF et les autres méthodes d’analyse Il y a les méthodes
analytique qui propose une solution simplifié d’un problème et Il y a
la MEF qui propose un solution approximative du problèmes. On a
donc le choix entre une solution non complète et une autre approxi-
mative pour laquelle on peut decider d’améliorer le modèle pour une
approximation encore plus précise.
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Figure 1.15 – Etapes de modélisation d’un poteau de section varaibles
illustrons maintenant l’application suivante d’une section variable de la
base (section 7A) à l’extrémité libre (Section A)
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On considère que les éléments chacun à chacun sont linéaire, élastique
et uniforme de longueur L (FIGURE 1.15). On écrit le déplacement
"u" par exemple de l’élément au milieu en fonction des déplacements
aux noeuds (2) et (1) sous la forme suivangte :
′ ! ′ !
x 2 x
u= 1− u + (1.8)
L L
′
x est une coordonnée axial prise le long de l’élément. L’équation
′
(1.8) traduit une variation linéaire de u dépendemment de x et nous
′ ′
avons u = u2 pour x = 0 et u = u3 pour x = L ; l’élément le plus à
droite avec les déplacement aux noeuds (3) et (4) et l’élément le plus à
gauche avec u1 = 0 car il y a encastrement à l’extrémité gauche (voir
sur la FIGURE1.16).
La relation containte-déformation nous permet d’avoir les expres-
sions des contraintes axiales :
u2 u3 − u2 u4 − u3
σ1−2 = E. ; σ2−3 = E. ; σ3−4 = E. (1.9)
L L L
Nous avons un problèmes élémentaire, il n’est pas utile ici de faire
usage de l’écriture matricielle (telque cela sera vu dans les restes des
chapitres). De ce fait on peut déduire les déplacement aux noeuds
d’une manière simple :
u=0
P.L
u2 =
6.A.E
P.L
u3 = u3 +
4.A.E
P.L
u4 = u3 +
2.A.E
On peut tout aussi bien exprimés les déplacements en fonction de la lon-
gueur LT . En divisant la charge P par les sections droites on peut vérifié
les contraintes obtenues. Au dessous observont sur la FIGURE 1.17 que la
solution par approximation de la MEF(segment de droite) est proche de la
valeur exacte(en pointillé)
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Figure 1.17 – illustration du raprochemment de la solution par la MEF à
celle de valeur exacte
On observe que les contraints sont exacte au milieu des éléments (gra-
phique en escalier). Elle est moins exacte lorsqu’on se base sur une forme
d’approximation des champs de déplacement et les contraintes sont aclculés
parfois par déduction à partir des déplacements.
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