2016 Ordinaire

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QSM l’audit

Q1. L’audit est :

A. Un type de contrôle v
B. Un type de vérification v
C. Une sorte de comparaison v
D. Un processus méthodologique v
E. Aucune réponse

Q2. L’approche par les risques a pour objectif de :

A. Définir les zones de risques v


B. Orienter le travail de l’auditeur v
C. Déterminer les forces et les faiblesses de l’entreprise
D. Réaliser un diagnostic stratégique
E. Aucune réponse

Q3. Au cours de la phase de la prise de connaissance, l’auditeur s’intéresse au :

A. Risque lié au secteur d’activité de l’entreprise v


B. Risque de non détection
C. Risque lié à la structure organisationnelle v
D. La revue des procédures et le degré de respect ses procédures
E. Aucune réponse

Q4. Dans la prise de connaissance de l’entité quelle(s) information(s) vous emble(ent) nécessaire (ent) :

A. Les perspectives de croissance du secteur d’activité v


B. la réglementation liée au secteur d’activité v
C. le taux de croissance du secteur d’activité v
D. les coordonnées personnelles des dirigeants,
E. aucune réponse
Q5. Dans le cadre de la démarche générale de l’audit, une mission d’audit ne peut se réaliser :

A. Sans passer par la phase de la prise de connaissance générale v


B. Sans passer par 9la phase de l’évaluation du contrôle interne v
C. Sans passer par la phase de l’examen analytique v
D. Sans passer par les trois phases du processus d’audit v
E. Aucune réponse

Q6. Dans le cadre du contrôle réalisé par l’auditeur il s’agit d’un :

A. Contrôle de gestion
B. Contrôle stratégique.
C. Contrôle fiscal
D. Contrôle financier
E. Aucune réponse v

Q7. Lors de la phase d’évaluation du contrôle interne, l’auditeur se préoccupe d’analyser :

A. Le risque lié à la confusion des tâches v


B. Le risque au non, respect des dispositions législatives et réglementations mise en vigueur v
C. Les comptes de l’actif et du passif
D. Le manuel des procédures v
E. Aucune réponse

Q8. L’audit interne s’inscrit dans de le cadre d’une :

A. Politique globale du contrôle interne v


B. Démarche de vérification par rapport aux procédures v
C. Activités de contrôle réalisé d’une manière objective et impartiale v
D. Mission de commissariat aux comptes
E. Aucune réponse

Q9. La désignation d’un commissariat aux comptes estb


A. Obligatoire pour toutes les entreprises
B. Obligatoire uniquement pour les SA dont CA est inférieur à 50 millions DHS
C. Facultative pour toutes les entreprises
D. Facultative uniquement pour les SARL dont le CA est supérieur à 50 millions DHS
E. Aucune réponse v

Q10.le mandat d’un commissaire aux comptes ne doit pas durer

A. Une année
B. Deux années
C. Trois années
D. Quatre années v
E. Aucune réponse

Q11. La crédibilité de l’opinion exprimée par un CAC peut être remise en cause dans les cas suivants :

A. Exerce du métier de CAC pendant une langue durée.


B. Existence de liens familiaux avec le directeur générale de l’entreprise v
C. Respect des normes générales de l’audit
D. Incapacité de détecter les anomalies dans les comptes v
E. Aucune réponse

Q12. Lors de l’examen des comptes, l’auditeur :

A. Fait appel à la méthode de recoupement d’informations v


B. S’intéresse à la vérification de la réalité des éléments de l’actif v
C. S’intéresse à la vérification de la réalité des éléments passifs v
D. Réalise un contrôle exhaustive de l’information
E. Aucune réponse

Q13. Parmi les objectifs principaux de l’auditeur financier

A. La détection des fraudes


B. La détection des erreurs
C. L’amélioration da la gestion
D. La vérification de la régularité et la sincère des comptes v
E. L’élaboration des comptes réguliers sincère

Q14. Dans un objectif de vérification da la fiabilité des informations financières, l’auditeur peut comparer entre le CA en volume et :

A. Le chiffre d’affaire en valeur v


B. Le volume de la production et des stocks v
C. La capacité de production du concurrent
D. La TVA déclarée v
E. Aucune réponse

Q15. Lors l’accomplissement d’une mission d’audit, un auditeur doit systématiquement faire appel :

A. A une circulation auprès des clients et fournisseurs


B. A un circulation auprès des organismes sociaux
C. A une circulation auprès des banques
D. Aux apports d’audit antérieur v
E. Aucune réponse

Q16. Le montant des provisions constatés peut susciter une attention particulière de la part de l’auditeur parce qu’il peut s’agir d’un risque de :

A. Surestimation des charges liées aux provisions pour dépréciations (actif) v


B. Surestimation des charges liées aux provisions pour risques et charges (passif) v
C. Sous-estimation des charges liées aux provisions pour dépréciation (actif) v
D. Sous-estimation des charges liées aux provisions pour risques et charges (passif) v
E. Aucune réponse

Q17. La mise en place d’une procédure d’achat a pour objectif :

A. De définir les étapes à suivre lors de toutes opérations d’achat v


B. De rationaliser les ressources financières de l’entreprise v
C. D’éviter complétement les risques de fraude
D. D’éviter complétement les risques d’erreur
E. Aucune réponse

Q18. Un auditeur d’achat peut

A. Mettre évidence le risque de forte dépendance d’un seul client


B. Mettre en évidence les risques liés au dysfonctionnement du processus d’achat v
C. Remettre en cause l’existence d’une procédure d’achat bien élaborée et bien respectée
D. Remettre en cause la confusion des tâches tout au long d’un processus d’achat v
E. Aucune réponse

Q19. L’audit informatique peut porter sur :

A. L’efficacité du site web de l’entreprise v


B. L’efficacité du choix des logiciels utilisés v
C. Les risques liés à la sécurité des informations v
D. Les risques liés à la performance du matériel informatique v
E. Aucune réponse

Partie II

SAFA S.A est une entreprise de pèche, elle réalise l’essentiel de son chiffre d’affaire à l’export notamment au niveau de l’union européenne

Le secteur d’activités se cararctérise par une forte concurrence au niveau mondial et une baisse continue des marges suite à une augmentation des coûts de revient
de ce fait le volume de production diminue sans cesse dans le tableau ci-dessous, on note les éléments liés à la situation financière de l’entreprise SAFA S.A (en
milliers)

éléments 2015 2014


Actif immobilisé 687 000 687 000
Créances clients 376 000 295 000
Trésorerie actif 345 856
Capital social 200 000 200 000
Réserve 12 00 12 000
Provisions pour risques et charges (1) 18 600 3 400
Dettes de financement 620 000 320 000
Dettes fournisseurs 41 260 49 150
Trésorerie passif 1 400 1 000

2015 2014
Résultat net 52 000 62 000
C.A 850 000 830 000
Q20. A la lecture des informations ci-dessus, en tant qu’auditeur, vous pouvez mettre en évidence, pour l’exercice 2015, les risques de :

A. Liquidité (trésorerie) v
B. Financement des emplois stables
C. Saturation de la capacité d’endettement v
D. Détérioration de la rentabilité financière v
E. Aucune réponse

Q21. Sur la base des informations financières de l’entreprise SAFA S.A, nous pouvons considérer que :

A. L’évolution des emprunts et celle des immobilisations sont cohérentes


B. L’évolution du résultat net et celle du CA sont proportionnelles
C. La stagnation du niveau de réserves est normale
D. L’augmentation des provisions pour risques et charges est justifiée v
E. Aucune réponse

Q22. L’auditeur a soulevé, lors d’un entretien avec Le PDG de l’entreprise SAFA S.A que la situation financière continue à se dégrader au cours de 2015, elle est
confrontée de plus en plus à des problème de rentabilité, de trésorerie, de pénurie de la matière première (poissons) et de commercialisation de ces produits, cette
situation peut :

A. Compromettre le principe de la continuité d’exploitation


B. Entraîne une sous-activité durable v
C. Entraîne une suractivité durable
D. Entraîne un risque de licenciement et de conflit v
E. Aucune réponse

Q23. Q23. Au cours de l’exercice 2015, les dirigeants ont arrêté les comptes annuelles de l’exercice après avoir procéder à une majoration importante de la valeur
des immobilisations et une minoration significative des provisions pour risques et charges dans cette situation, il s’agit

A. Du respect du principe de la réalité


B. Du respect du principe d’exhaustivité
C. D’une fraude v
D. D’une erreur
E. Aucune réponse

Q24. Q24. Lors de la rédaction de son rapport de fin de mission le CAC peut l’auditeur peut formuler pour l’entreprise

SAFA S.A les recommandations suivantes

A. Augmentation de l’effectif afin d’améliorer la productivité


B. L’exportation des produits à forte valeur ajouté v
C. La diminution des coûts de revient à travers la maîtrise des charges v
D. La révision éventuelle des techniques de commercialisation v
E. Aucune réponse

Q25. Q25. Le CAC se l’entreprise SAFA S.A peut éventuellement refuser de certifier les comptes de 2015 dans :

A. Le cas de respect de toutes les normes de l’audit


B. Le cas où le CAC manifeste un état d’esprit frauduleux v
C. Le cas où le CAC les principes comptables sont partiellement respectés
D. Lorsque l’entreprise ne déclare pas la totalité ses produits réponse

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