AVANT PROPOS (Récupération Automatique)
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REMERCIEMENTS
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DEDICACE
Je dédie ce travail :
A Dieu, maître des lieux et des circonstances pour la vie, la force et la santé
qu’il nous accorde tout au long de ce stage.
A mes parents
✓ MR N’GUETTA BERNADIN, mon père pour son soutien indéfectible
tant moral et financière
✓ Mme TCHOUMOU BROU ODETTE, ma mère et Mme KOUADIO YAH
LUCIE, ma marâtre pour leur soutien spirituel et affectif.
✓ MR N’GUETTA KOUA MICHEL, mon oncle pour les moyens
financières et les conseils.
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LISTES DES FIGURES
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LISTES DES TABLEAUX
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SIGLES ET ABREVIATION
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INTRODUCTION
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PREMIÈRE PARTIE
GENERALITES
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CHAPITRE I : PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE
1- situation géographique
2 -aspects physiques
2.1 -la végétation
La végétation de la zone d’étude est dominée par les palétuviers que nous
croisons en bordure de la lagune Ebrié et dans les marécages.
2.2- le climat
La zone d’étude est soumise à un climat de type attiéen à régime bimodal
nous avons :
➢ Une grande saison de pluie d’avril à juillet
➢ Une petite saison sèche qui s’étend d’Août à septembre
➢ Une petite saison de pluie allant de septembre à octobre
➢ Une grande saison sèche de novembre à mars.
La température moyenne annuelle à Bingerville oscille autour de 26° C.
En 2005, selon le centre national de recherche agronomique (CNRA) de
Bingerville, cette température est au maximum à 29°C sur presque toute la
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commune et au minimum de 24 °C avec une amplitude estimée à 5°C.
les précipitations sont rebordant allant de 1292 mm à 2957mm de pluie dans
l’année de 1998.
2.3- le sol
Le sol recouvrant notre zone d’étude est un sol argilo-sableuse et aussi des
sols limoneux propices à l’agriculture.
2.4- le relief
A Bingerville, le relief est peu accidenté constitués de plateaux et de plaine.
2.5- l’hydrographie
La commune de Bingerville dispose dans son sein les lagunes Ebriés et adjin,
lui permettant de bénéficier d’un important réseau hydrographique, ce qui
constitue une source de richesse pour la population riveraine
3- aspects économiques
L’économie de Bingerville est basée sur l’agriculture et l’élevage. Cela grâce
aux trois (03) prestigieuse école à savoir ESEMV-B, CAPP et ERA SUD. Mais
de nos jours ils sont en voie de disparition à cause de l’urbanisation
galopante.
3.1- l’agriculture
Au plan agricole on y trouve des produits maraichère (laitue, tomate,
concombre, aubergine…) les cultures vivrières (banane, manioc, taro…) et
les culture pérennes (palmier à huile, hévéa…).
2.3- élevage
Au niveau de l’élevage, on dispose les fermes de porcs, de volailles, de
bovins normandia et pisciculture qui ait pratiquée de façon traditionnelle.
3.3-l’infrastructures
Au plan économique, Bingerville dispose de plusieurs structures bancaires à
savoir la SGBECI, la BAO.CI, NSIA, COOPEC et divers micros finance telles
Western union, Money gram, Orange money, Mtn money, Moov money…
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Au niveau des structures d’encadrement, CNRA, ANADER, LANADA…
Au plan administratif : Sous-Préfecture, Mairie, Brigade De Gendarmerie,
Commissariat de Police…
Au plan éducatif on dénombre plusieurs Lycées et collèges (Lycée garçon,
Lycée jeune fille, collège moderne…) ainsi que des écoles professionnelles :
ESEMV-B, CAPP, ERA-SUD, école des beaux-arts…
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CHAPITRE II : GENERALITE SUR LA STRUCTURE D’ACCEUIL
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CHAPITRE II : GENERALTE SUR LE POULET DE CHAIR
3.1 Taxonomie
Règne Animalier
Embranchement Kortebré
Classe Oiseau
Sous classe Carinates
Orâre Galliforme
Famille Phasianidé
Genre Gallus
Espèce Domesticus
Sous-espèce Gallus Gallus
domesticus
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CHAPITRE I : METERIEL ET METHODES
1- Matériel
1.1- matériel technique
Le matériel technique est constitué d’infrastructure d’élevages et de petits
outillages reparties dans le tableau ci-dessous
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Photo : figure 2 : poulet de chair de souche Cobb 500
2 -METHODE
2.1- activité avant l’arrivée des poussins
Les poussins ont été commandés auprès de la société de fabrication
d’aliment composé ivoiriens (FACI).
La réception des poussins intervient généralement entre une à deux (02)
semaine après la commande.
A la ferme nous avons réalisé les activités suivantes :
- Nettoyage et désinfection du bâtiments (muret, sol, abord et matériel à
l’aide de grésil, omo, eau de javel, la chaux vive et du virunet).
- Fermeture du locale avec une bâche noire juste après la désinfection
observant un vide sanitaire de 15 jours au minimum et 30 jours au
maximum qui consiste à laisser reposer le bâtiment.
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2.2 -mises en place de la poussinière
2.2.1- la poussinière
C’est un espace délimité à l’aide d’une bâche à caractère évolutif qui abriter les
poussins durant la période de chauffage.
A l’intérieure du bâtiment, nous avons construire la poussinière en forme
rectangulaire avec une bâche a raison de 10 poussins par mètre carré (HOP).
La superficie de la poussinière est de 15 m2 dont 5 netude long et 3 mètres de
large (L= 5 mètre et l= 3 mètres).
Deux jours avant l’arrivée des poussins, le carpeau de bois à été mise en place.
La désinfection du bâtiment, pour la poussinière, le carpeau avec de l’eau
contenant une désinfection (virunet)
2.2.2- la litière
La litière doit-être installer dans la poussinière mais de fine couche et
échangeable chaque 3 à 5 jours dont 2 à 3 fois par semaine si nécessaire pour
éviter aux poussins d’être en contact direct avec le sol dans le seul souci de
réduire les risques de refroidissement qui veut engendrer des maladies
parasitaire, fongique et respiratoire tel que l’aspergillose et la coccidiose.
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2.2.3- le chauffage
Avant l’installation des poussins, la poussinière a été surchauffé deux heures
avant leur arrivée après l’installation des poussins dans la poussinière, ils ont
été chauffés à l’aide d’un radiant qui est installé à 1 m du sol. Le chauffage à
duré 1 semaine au cours desquels nous veillons au côté des poussins surtout
à l’aube où les visites se faisaient régulièrement toutes les 1 heure à 2 heures
pour vérifier le comportement des poussins en présence de la lumière qui
illuminait le bâtiment 24 heures sur 24.
Au cours du chauffage, il est conseillé de suivre la température dans la
poussinière à l’aide d’un thermomètre mais vue qu’on n’avait pas de
thermomètre, nous avons apprécié la température en observant l’ambiance des
qui régnait dans la poussinière à travers le comportement des poussins.
Chaleur correcte Chaleur excessive Chaleur mal répute Chaleur mal insuffisante. La
Bonne répartition Le radias est trop Courant d’air ou radiant ne chauffe pas
des poussins bas ou chauffe trop lumière mal dispose assez ou est éteint
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2.2.5- le pédiluve
Le pédiluve a été installé après nettoyage et désinfection du bâtiment pour
assumer la protection des pieds en entrant et en y sortant. Il contient de l’eau
et un antiseptique (grésil) et renouvelable après souillure.
2.3- Activité à l’arrivé des poussins
- contrôler la qualité des poussins livrées (l’état des duvets) et du bec,
cicatrisation de l’ambiance, poids et vivacité au poussin)
- vérifier la conformité du nombre du poussin commandés
- mettre à la disposition des poussins un antistress
-surveiller le comportement des poussins dans la poussinière
2.4- le cycle d’élevage
L’élevage de volaille chair s’est réalisé sur 28 jours qui s’est établi comme
suit :
- Période de démarrage (JO à J 18)
- Période de transition (J à J 21)
- Période de croissance (J 21 à J 28)
2.5- alimentation
Les sujets ont été nourris et abreuvé à volonté. Les heures pointes du service
doivent être respectées et établies comme suite :
- Le matin 6h à 7h
- Le soir 16h à 17h
- Au démarrage, l’aliment miette à été distribué aux sujets
- A la croissance, l’aliment granulé a été distribué au sujet
- Chaque jours l’eau fraiche est donnée au sujet mais à volonté.
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NB : les vaccins se faisaient très top le matin après avoir assoiffé les sujets 2
heures dans le but de les amener à boire la solution vaccinale. Les vaccins
sont retirés 2 heures après avoir mi au service des sujets.
Enfin un anti-stress est servi.
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2.8.2- l’homogénéité du lot (H)
L’homogénéité est une mesure de la variation du poids des animaux dans un
lot. Elle se calcule de façon suivante :
1- On calcule le poids moyen (PM) d’un effectif N considéré.
PM= (P1 + P2 + P3 + …+ Pn) / effectif (N)
3- Puis compter les sujets dont le poids est compris dans cet intervalle,
soit n ce nombre
Donc H = n x 100
N
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Il permet d’évaluer la quantité d’aliment apporter par jour a sujet pour avoir 1g
de poids vif. La formule est la suivante :
IC=quantité totale d’aliment consommé
Poids final- poids initial
IC= 1598
1474-45,92
IC= 1,11
TM= 7 x100
600
TM= 1,16%
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TV = 98,83%
Semaine
Paramètre Semaine 1 Semaine 2 Semaine 3 Semaine 4
De production
PM (g) 193 528 1018 1615
GMQ (g/j) 28 38 48 58
TY (%)
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CHAPITRE II : RESULTATS ET DISCUSSIONS
2.1- résultats
2.1.1 – le poids moyen
1 800
1 600
1 400
Nbre des Gbb
1 200 Terrain
1 000
800
600
400
200
0 S1 S2 S3 S4
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Nbre des Gbb
60 Terrain
50
40
30
20
10
0 S1 S2 S3 S4 S5
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Toutes ces remarques nous montrent que les causes du GMQ sont
identiques à celle du poids
2..1.3- l’indice de consommation (IC)
3 Terrain
Nbre des Gbb 500
2,5
1,5
0,5
1 2 3 4 5
99
98
97
96
95
94
0 S1 S2 S3 S4 S5
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2.2- Discussion
1 600
1 400
1 200
1 000
Bande témoins
800
Bande Terrain
600
400
200
0 S1 S2 S3 S4
70
60
50
Bande témoins
40 Bande Terrain
30
20
10
0 S1 S2 S3 S4
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Figure 8 : GMQ de la norme des Cobb 500 et la bande expérimentale
Le GMQ évolue avec l’âge. Il doit être supérieur à 40 g/j en fin d’étude. A la
troisième semaine déjà, le GMQ était de 45,54 g/j et en fin d’étude 51 g/j.
Et qui est largement supérieur a 40 g/j. la bande évolue très bien.
L’indice de consommation
3,5
2,5
Bande témoins
2
Bande Terrain
1,5
0,5
0 S1 S2 S3 S4
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A la deuxième semaine, l’IC de la bande expérimentale à considérablement
baissé jusqu’à la quatrième semaine. Nous pouvons donc affirmer en fin
d’étude que l’IC de la bande expérimentale a été meilleure que celui de la
bande des Cobb 500
3,5
2,5
1,5
0,5
0 S1 S2 S3 S4
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TROISIEME PARTIE
CRITIQUES ET
SUGGESTIONS
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CHAPITRE I : CRITIQUES ET SUGGESTIONS
I -CRITIQUES
Les critiques ci-dessous sont les fruits de l’observations faites sur la ferme
lors de notre stage
1.1- Critiques spécifiques
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- Pour remédier aux problèmes de poulets locaux à l’intérieur de la ferme,
l’établissement doit changer les filets en utilisant les mailles.
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CONCLUSION
Au terme de notre étude, nous pouvons affirmer que on peut faire l’élevage
de poulet de chair sans rencontrer de maladie si et seulement si les
performances zootechniques sont maitrisées ces maladies qui seraient alors à
la base aujourd’hui de la non rentabilité de l’élevage de poulet de chair.
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