Muteb Mukoj
Muteb Mukoj
Muteb Mukoj
À mes parents Mukoj yav et Yvonne maseng, pour ses précieux conseils et soutiens
inestimable qui ont guidé ma réflexion tout au long de ce travail.
À mes mon frère Samuel mukoj, mes soeurs priscille kaseng et Horine kakung et mes
collègues, pour leur collaboration et leur encouragement qui ont contribué à enrichir mes
idées et à améliorer la qualité de ce mémoire.
À mes proches, pour leur patience et leur compréhension pendant les longues heures passées
à travailler sur ce projet.
À mes professeurs, pour leur expertise et leurs retours constructifs qui m'ont permis de
progresser et d'approfondir mes connaissances.
À toutes les personnes qui ont croisé mon chemin et ont contribué, à leur manière, à
l'aboutissement de ce travail, je vous adresse ma plus sincère reconnaissance.
REMERCIEMENTS
Je remercie mon Dieu pour la force et la vie qu’il m’a accordé, je tiens encore par la
présente à vous exprimer ma profonde gratitude pour le soutien précieux que vous m'avez
apporté tout au long de la réalisation de mon Travail de Fin d'Études (TFE). Votre expertise,
vos conseils avisés et votre disponibilité ont grandement contribué à la réussite de ce projet
académique.
Votre implication et votre accompagnement ont été d'une aide précieuse pour surmonter les
difficultés rencontrées et pour orienter mes recherches dans la bonne direction. Vos retours
constructifs m'ont permis d'améliorer la qualité de mon travail et d'approfondir mes
connaissances dans le domaine étudié.
Je tiens également à souligner l'impact positif de nos échanges et de nos discussions sur ma
réflexion et ma démarche de recherche. Votre expertise a été une source d'inspiration et m'a
permis d'enrichir mes analyses et mes conclusions.
Enfin, je tiens à vous remercier chaleureusement pour votre disponibilité, votre écoute et
votre bienveillance tout au long de ce projet. Votre soutien a été essentiel pour mener à bien
ce travail académique dans les meilleures conditions.
Je vous prie d'agréer, cher Professeur KATOND, ASS DEO, Mr EDGOR… l'expression de
ma profonde reconnaissance et de mes sincères remerciements pour votre précieuse
contribution à la réalisation de mon TFE.
SOMMAIRE
I.1.Introduction ...........................................................................................................................2
I.41Caracteristique technique…………………………………………………………………10
I.5.1.1 Unité
centrale .................................................................................................................13
I.5.2.2. Mémoire……………………………………………………………………………..14
I.6 Interfaces
d’entrées ..............................................................................................................15
I.7 Interfaces de
sorties .............................................................................................................16
I.8 Module logique et analogiques des entrées sorties ........................................................... 17
II.1
Introduction ........................................................................................................................24
II.2.3.1 Groupe de
soudure ........................................................................................................35
II.2.4 La quatrième
partie ..........................................................................................................36
II.3 Composante de la
machine .................................................................................................38
44 II.6.1. Partie
opérative .............................................................................................................. 45
49 II6.6.
Vérins ............................................................................................................................. 50
II.6.7 Les
pressostats .................................................................................................................51
II.6.12 La partie
liaison..............................................................................................................56
II.3.3.1. Programmateur à
cames ...............................................................................................58
II.7 Le cycle de la
machine ........................................................................................................59
61 III.7.3. Coupage
ruban ..............................................................................................................62
II.7.4 Placement du ruban dans la zone de
cintrage ...................................................................63
II.7.5 Cintrage...........................................................................................................................
64
II.7.7
Extraction ........................................................................................................................66
Conclusion ................................................................................................................................6
7
III.1.Préambule ………………………………………………………....27
III.2.2.définition ……………………………………………………......27
III.2.2.5.réceptivité…………………………………………………......31
III.6. Conclusion
Chapitre IV : Simulation avec logiciel STEP7
IV.1Introduction ...................................................................................................................... 84
IV.4 Comportement d un
programme............................................................................................. 87
FigureII.10. Lubrificateur……………………………………………………………109
La concurrence croissante à la quelle font face les entreprises d’aujourd’hui, leur exige de
fabriquer des produits de meilleure qualité en grande quantité avec le moindre coût. De ce
fait, ces entreprises ont recours aux Systèmes Automatisés de Production (SAP) afin
d’atteindre les exigences du marché mondial en termes de qualité, de rapidité et de
performance.
Dans ce contexte, notre travail, consiste en l’étude et l’automatisation d’une soudeuse à grille
de table.
Après avoir étudié et analysé cette machine nous avons constaté qu’une automatisation
s’avère nécessaire afin de pallier à certains problèmes notamment ceux liés au rendement.
Dans ce sens, notre travail, consiste en l’automatisation d’une soudeuse à grille de table à
l’aide d’un logiciel de simulation STEP7.
Le SIMATIC constitue une vaste plateforme d’automatisation offrant des solutions à des
problèmes complexes pour tous les secteurs d’activité. Le logiciel Plc STEP7 a été conçu dans
un souci d’homogénéité et de complémentarité avec un système de contrôle et de commande,
offrant des fonctions conviviales de conduite et de simulation du processus, ce qui simplifie
d’une manière considérable la mise en œuvre de nombreuses caractéristiques du système de
commande, notamment la gestion de base de données communes.
Le premier chapitre présente une vue d’ensemble sur les systèmes automatisés, la
description et le mode de fonctionnement sont abordés dans le deuxième chapitre. Dans le
troisième chapitre on effectue la modélisation de la machine en faisant appel à l’outil de
modélisation qui est le GRAFCET (Graphe fonctionnel de Commande Etape-Transition), on
utilise pour la programmation le logiciel STEP7 décrit dans le quatrième chapitre, Enfin
nous terminons par une conclusion.
27
Chapitre 1 GENERALITE SUR LES SYSTEMES AUTOMATISES
I.1 INTRODUCTION
Les systèmes automatisés de production (SAP) ont amélioré l’efficacité et la productivité dans
de nombreux secteurs, réduisant les couts de main-d’œuvre et minimisant les risques pour les
travailleurs .Les technologies de l’automatisation continuent d’évoluer avec l’intelligence
artificielle, la robotique avancée et l’internet des objets, offrant de nouvelles
possibilites.Cependant ,leur utilisation soulevé des questions sur l’impact sur l’emploi et les
compétences requises pour concevoir, installer et maintenir ces systèmes.
L’automatisation est considérée comme l’étape d’un progrès technique où apparaissent des
dispositifs techniques susceptibles de seconder l’homme.
TRAITEMENT
CAPTEURS
COMMUNICATION
La partie opérative :
Actionneurs : ils exécutent les ordres reçus, ils agissent sur le système ou son
environnement.
Capteurs : sont capable de détecter un phénomène physique dans son environnement
(déplacement, pression, chaleur, lumière…).
La partie commande :
C’est l’automatisme qui élabore en sortie des ordres destinés au processus et en reçoit des
informations en retour, afin de coordonner ses actions.
I.3 CAHIER DES CHARGES
Saisie des
informations
Interfaces
Capteur
Le cahier des charges d’un système automatisé est la description de son comportement en
Il décrit :
I.4.1Caractéristiques techniques
• Ct ou modulaire ;
• Tension d’alimentation ;
• Taille mémoire ;
• Temps de scrutation ;
• Sauvegarde (EPROM, EEPROM, Pile) ;
• Nombre d’entrées /sorties ;
• Module complémentaire (analogiques, communication) ;
• Langage ;
I.5 ARCHITECTURE D’UN API
Partir d’information d’entrées (signaux issus de capteur, bouton poussoir, clavier, signaux
numériques de communication) ; l’API assure la commande d’actionneur selon un programme
de séquence défini par l’utilisateur.
Pour remplir correctement la fonction d’un API, l’automate intègre des fonctions de base
incontournables.
Console
PC ,API
Secteur
Mémoire de
Cartes d données(bits,
Capteurs boutons Cartes de
entrées mots,tempos, Pré actionneurs
sorties
compteurs) …
Bus Bus
Figure I.5 architecture matérielle d’un api.
Les tensions qui dépassent 24 volts comme pour les capteurs, actionneurs et voyants
lumineux sont fournies par des blocs d’alimentations ou transformateurs supplémentaires.
La tension provenant des capteurs est appliquée aux bornes du module d’entrée. Le
processeur de l’unité centrale traite le programme qui se trouve dans la mémoire et interroge
l’état des entrées pour s’avoir si la tension est présente ou non, et en fonction de l’état de ces
entrées et dm :ù !u programme en mémoire, le processeur instruit le module de sortie afin
qu’il applique la tension aux connecteurs correspondants.
Caractéristiques principales
• Vitesse de traitement : c’est la vitesse de l’UC pour exécuter 1K-instructions logiques
(10 à 20 ms/K mots).
• Temps de réponse : scrutation des entrées, vitesse de traitement et affectation des
sorties
I.5.2.2. Mémoiren
Un circuit électronique complexe qui n’enregistre que des données binaires (données
élémentaires appelées « bits »).
La mémoire centrale est l’élément fonctionnel qui peut recevoir, conserver et restituer.
M MU Contrôleurs
Mémoire
De disques
But
Adresses physiques
Les entrées reçoivent des informations en provenance des éléments de détection (capteurs) et
du pupitre opérateur.
+5V
R1 R2 R3
Dx1
LED 1
D T
Donc lors de l’activation d’une entrée automate, l’interface d’entrée envoie un O logique à
l’unité de traitement et un 1 logique lors de l’ouverture du contact du capteur (entrée non
actionnée).
Les sorties transmettent des informations aux pré-actionneurs (relais, électrovannes ...etc.) et
aux éléments de signalisation (voyants) du pupitre.
R4
R3
D1
Unité de commande
T2
R1 R5
R2 Led1
Donc, pour commander une sortie automate l’unité de commande doit envoyer:
Lecture du programme (située dans la RAM programme) par l’unité de traitement, lecture des
variables (RAM données), traitement et écriture des variables dans la RAM données.
• Phase 4 : Emissions des ordres Lecture des variables de sorties dans la RAM
données et transfert vers le module de sorties.
Traiter le programme
Le choix de l’API se fait après avoir établi le cahier des charges du système à automatiser
cela en considérant un certain nombre de critères importants :
L’unité de traitement est un composant clé des systèmes automatises et est largement utilisée
dans de nombreux domaines pour contrôler les machines, responsable de la gestion des
informations et instructions nécessaires a la réalisation des taches réguler la température, gérer
les programmes, etc..
Elle est donc en constante évolution pour répondre aux besoins croissants de l’automatisation
dans différents secteurs.
I .8.3 Choix de l’unité de traitement
I.9 CONCLUSION
Dans ce chapitre nous nous sommes intéressé aux constituants d’un API et à leurs
organisation interne et à son fonctionnement.
II.1INTRODUCTION
Avant de procéder à l’automatisation de la machine pour obtenir les périmètres des grilles de
table, aussi appelée GE48, nous allons présenter les différentes parties qui la composent ainsi
que son cycle de fonctionnement et fonctionnement et aussi les raisons qui m ont poussé à
automatiser la machine
1. Productivité limitée: La machine actuelle peut présenter des défis en termes de vitesse et
d'efficacité de soudage, entraînant des temps d'arrêt ou des retards dans la production.
2. Flexibilité restreinte : La configuration existante peut avoir des limitations en termes de
possibilité d'ajustement pour différents types de grille de table, ce qui pourrait entraver la
diversification de la production.
Dimension
Caractéristiques techniques
• Production : 10+15 pc par minute ;
• Puissance totale installée : 53.5kW ;
• Poids total : 60quintaux .
II.2.1 PREMIERE PARTIE
Cette partie est constituée de deux groupes, groupe d’avancement et le groupe à redresser le
fil.
Description
Le groupe d’avancement sert à tirer le fil métallique. Il est constitué d’un moteur hydraulique
qui effectue l’avancement du fil, commandé par une station hydraulique lui appartenant. Un
encodeur de mesure est fixé sur le groupe d’avancement, son disque est placé sur le fil,
relevant donc la mesure directement à son passage.
Tous les paramètres sont ultérieurement vérifiés par un circuit électronique câblé à l’intérieur
de l’appareillage électronique.
Caractéristiques techniques
• Vitesse max. d’avancement : 70m/min ;
• Puissance moteur station hydraulique : 5.5Kw ;
• Débit pompe hydraulique : 241/min ;
• Précision d’avancement ruban : ±0.1mm .
Description
Le groupe à redresser le fil sert à redresser le fil métallique tiré par le groupe d’avancement,
il est formé de deux blocs distincts : le premier contient l4 molettes, il est positionné avant le
groupe d’avancement, le deuxième contient l8 molettes, il est positionné après le groupe
d’avancement. Le réglage de chaque molette est possible à l’aide de grains de registre. Tous
ces facteurs permettent d’obtenir un redressement toujours constant.
Caractéristiques techniques
• Développement max ruban : 2500mm ;
• Dimension max du ruban : l2x6mm .
Cette partie est constituée de trois groupes : groupe presses, groupe coupe ruban et le groupe
de transport pièces.
Description
Le groupe presses sert à l’étampage des bosses sur le fil métallique qui ne servent de points
d’appui pour la grille.
Le réglage horizontal des espacements entre les presses se fait simplement en desserrant les
brides de blocage, permettant ainsi aux presses de glisser sur un guide. Le positionnement est
facilité par la présence de traits millimétrés.
Caractéristiques techniques
• Puissance moteur station hydraulique : ;5.5Kw.
Description
Le groupe coupe ruban sert à couper le fil métallique, c’est en fait un vérin
Caractéristiques techniques
Description
Le groupe transport pièces permet de placer avec extrême précision la barre de ruban coupé
dans la zone de cintrage.
Ce groupe contient deux petits vérins pneumatiques fonctionnent en même temps et font
déplacer une barrière verticalement, cette dernière descend pour permettre au ruban de se
positionner et monte quand le ruban est maintenu par deux pinces, pour libérer le chemin au
ruban et le placer dans le groupe de cintrage. Les pinces sont actionnées par deux petits vérins
pneumatiques.
Cette partie comprend le corps principal de la machine et elle est constituée de deux groupes :
groupe de cintrage et groupe de soudure.
Description
Ce groupe est formé de quatre têtes de cintrage, où sont assemblés tous les composants qui
permettent de réaliser la cinématique pour effectuer la rotation d’où nait le cintrage.
La tête de cintrage est actionnée par des vérins hydrauliques convenablement dimensionnés.
Le groupe a été projeté de façon à rationaliser et à rendre moins pénibles les taches de
l’opération en cas de fabrication de châssis différent.
Le déplacement des têtes de cintrage se fait à l’aide de moteur asynchrone, en agissant sur
des boutons poussoirs de commande placés sur la console.
Le blocage de la pièce est garanti par deux vérins hydrauliques, ainsi que tous les
mouvements de cintrage se produisent de façon hydraulique.(1)
Description
Ce groupe glisse pour prendre la pièce cintrée grâce à deux vérins pneumatiques, il saisit
cette dernière grâce à deux pinces actionnées par deux petits vérins pneumatiques, et il réunit
les deux bouts de la pièce avec un vérin pneumatique pour le souder.
Caractéristique techniques
• Vitesse ruban transporteur : 30m/min.
Cette partie est constituée d’un seul groupe qui est le groupe d’extraction.
Description
Ce groupe est formé d’une courroie en mouvement permanent, actionnée par un moteur
asynchrone, faisant fonction de bande transporteuse.
Caractéristiques techniques
• Ruban transporteur : 30m/min.
II.2.4.1 Dérouleur
Le dérouleur motorisé n’est pas un groupe implanté dans la machine GE48, c’est une petite
machine auxiliaire qui aide le groupe d’avancement dans la fourniture ruban.
Description
Le dérouleur est constitué d’une partie pivotante supportée par un soutien approprié,
convenablement dimensionné, monté sur des roulements à rouleaux coniques et actionné par
un moteur électrique.
Au moyen d’une moto variateur hydraulique de vitesse lié à un réducteur, la vitesse de
rotation est instantanément proportionnée selon la demande du ruban de la part de la machine.
Le dérouleur peut dérouler le ruban soit dans le sens des aiguilles d’une montre soit dans le
sens inverse.
Le dérouleur est en effet doté d’un système de sécurité qui intervient en cas de secours, en
bloquant instantanément soit le touret soit la machine.
Caractéristiques techniques
• Poids Vitesse de rotation : de 0à70 tours/min .
La machine pour l’obtention des périmètres des grilles de table utilise pour son
fonctionnement de la force pneumatique qui est produite par une station de compression d’air
centrale de l’usine, de la force hydraulique produite par la station hydraulique de la machine,
ces forces assurent le fonctionnement normal de son système automatisé de production.
Toute installation pneumatique assurant une production et une distribution d’air comprend :
Figure II.4 ci-dessous décrit la structure générale d’une ligne d’alimentation pneumatique :
Soupape de securite
Manometre
lubrificateur
Réservoir
Detendeur
Purgeur
M
Energie Eletrique
Filtre
Commande du moteur
Atmosphere
II.4.3Traitement de l’aire
Pour le traitement de l’air, le matériel utilisé est une unité de conditionnement d’air
comprimé appelée FRL (Filtre — Régulateur — Lubrificateur), qui est destinée à préparer
l’air en vue de son utilisation dans les systèmes en le débarrassant des poussières, d’eau et
autres particules nuisibles qui risqueraient de provoquer des pannes dans l’installation.
3
1
1
2
Representation simplifiee
Cet ensemble est constitué de 3ou 4 appareils montés en série dans un ordre déterminé.
Le rôle du filtre est de soustraire du système tous les éléments nuisibles au bon
fonctionnement comme l’eau, l’huile et les poussières dégagées par les transformateurs.
Symbole
Le régulateur de pression
Le rôle de cet appareil est de maintenir l’air comprimé à une pression constante, quelles que
soient les fluctuations en air du réseau. Il doit réguler la pression en fonction de la demande. Il
est souvent associé à un manomètre qui permet de contrôler la pression.
Un manomètre
Il indique la pression de l’air du service dans les différents organes pneumatiques. Dès que le
moteur est mis en marche le manomètre donne une indication précise.
Le lubrificateur
La 3ème étape du traitement de l’air comprimé consiste à injecter dans l’air une quantité
d’huile afin de permettre la lubrification des parties mobiles des composants entrant dans la
constitution des systèmes pneumatiques pour éviter la corrosion et à améliorer le glissement
des organes pneumatiques de l’équipement.
FigureII.10. Lubrificateur
Sectionneur
C’est une vanne de type 3/2, qui est manœuvrée manuellement ou électriquement. Son rôle
couper l’alimentation en air comprimé et le mettre à l’échappement afin de mettre les
systèmes en ou hors énergie.
• symbole
Démarreur progressif
Il assure une montée progressive de la pression dans l’installation en agissant sur la vitesse
du remplissage du circuit. Monté en sortie du FRL et avant le sectionneur général, il protège
les personnes d’une brusque remise en service des actionneurs.
La pression est assurée par une station hydraulique dont les composants sont :
Centrale hydraulique
• Moteur asynchrone
Pompe
Les pompes sont des appareils qui convertissent l’énergie mécanique en énergie hydraulique.
• Symbole:
Réservoir d’huile
• Symbole
Figure II.14 : un réservoir d’huile
Echangeur de chaleur
C’est un circuit ou circule l’eau froide pour refroidir l’huile dans le réservoir.
Accumulateur
Séparation entre le gaz et le fluide. Le gaz le plus souvent utilisé est l’azote inerte qui est de
bonne compressibilité.
Ce composant permet au fluide sous pression de circuler dans un sens déterminé. II lui
interdit le passage dans l’autre sens. Il assure le verrouillage étanche d’un ou deux orifices
Régulateur de pression
C’est la partie qui assure les transformations des matières d’œuvre permettant d’élaborer la
valeur ajoutée recherchée (produit fini).
Les pré- actionneurs servent à mettre en service ou hors service un actionneur, une machine
ou une installation, c’est un constituant de gestion d’énergie fournie à l’actionneur.
II.6.2 Électrovannes
• Les électrovannes dites « tout ou rien » sont des électrovannes qui ne peuvent s’ouvrir
qu’en entier ou pas du tout.
• Les électrovannes proportionnelles sont celles qui peuvent être ouvertes avec plus ou
moins d’amplitude en fonction du besoin. Elles sont généralement utilisées grâce à une
commande.
II.6.3 Distributeurs
Leurs fonctions sont de commander le départ, l’arrêt, la direction d’un débit et la réception
d’un signal de commande.
Si le vérin est à simple effet et ne comporte donc qu’un seul orifice à alimenter, on utilise un
distributeur ne comportant qu’un seul orifice de sortie : distributeur 3/2 à trois orifices
(pression, sortie, échappement) et à deux positions ;
Si le vérin est à double effet et comporte donc deux orifices sur lesquels il faut alterner les
états de pression et d’échappement, on utilise un distributeur comportant deux orifices de
sortie. (Voir Figure II.18)
Figure II.18: différents types de distributeurs
Les relais
Les relais sont des dispositifs électromécaniques qui ferment un interrupteur sur commande,
lorsqu’un courant électrique leurs parvient. Pour cela, les relais disposent de deux parties
principales : une lame métallique et un électro-aimant.
II.6.4 Contacteurs
Son rôle est de mettre en fonctionnement ou arrêter un actionneur, ses contacts de puissance
sont prévus pour supporter les arcs électrique (pouvoir de coupure) qui se créent lors des
arrêts.
II.6.5 Actionneurs
Un actionneur est l’organe fournissant la force nécessaire à l’exécution d’un travail ordonné
par une unité de commande distante.
II.6.6 Vérins
Le vérin pneumatique : est utilisé avec de l’air comprimé entre 2 et 10 bars dans un usage
courant. Simple à mettre en œuvre, il est très fréquent dans les systèmes automatisés
industriels.
Un vérin simple effet produit un effort significatif dans un seul sens, le rappel de la tige vert
la position de repos étant assuré par un ressort ou d’une force extérieure.
Le vérin double effet est un composant bistable (Stable dans deux positions). Ce type de vérin
peut produire un effort significatif dans les deux sens, le rappel de tige est obtenu par
inversion de l’alimentation des deux chambres.
Le vérin hydraulique : est utilisé avec de l’huile sous pression, jusqu’à 350 bars dans un
usage courant. Plus coûteux, il est utilisé pour les efforts plus importants et les vitesses plus
précises (et plus facilement réglable)
II.6. 7 pressostat
Ils sont destinés à contrôler la pression d’un circuit et fournir une information lorsque cette
pression attient la valeur de réglage du pressostat
L’image ci-dessous décrit décrit la vue intérieure et extérieure de pressostat
Les détecteurs sont des capteurs tout ou rien (TOR). Ils possèdent toutes les propriétés des
capteurs, excepté la nature du signal de sortie qui est binaire. Détecteur de proximité : délivre
une information logique de présence de l’élément à détecter sans contact physique
II.6.10 Flotteur
Le flotteur se maintient à la surface du liquide. II est solidaire d’un capteur de position qui
délivre un signal électrique correspondant au niveau. Sa position est peu dépendante de la
masse volumique de liquide.
II.6.11 Plongeur
Le plongeur est un cylindre immergé (fig. plongeur) dont la hauteur est au moins égale à la
hauteur maximale du liquide dans le réservoir. II est suspendu à un capteur dynamométrique
qui se trouve soumis à une force F (le poids apparent), fonction de la hauteur L du liquide.
P4 : marche commande,
P5 : arrêt,
-presse/cyclo distributeur,
P6 : marche,
P7: arrêt,
-distributeur avance,
P8 : marche,
P9 : arrêt
-moteur extraction,
P10 : marche,
(programme,equations logiques)
Partie commande
Le cycle machine est le processus de conversion énergie d’une forme a une autre pour
effectuer un travail. Il se compose des étapes principales qui sont :
• Etampage bosses ;
• Avancement et dressage du ruban ;
• Coupage du ruban.
• Placement du ruban dans la zone de cintrage ;
• Cintrage ;
• Soudure ;
• Extraction de la pièce soudée.
La machine est programmée de façon telle que plusieurs pièces puissent se trouver en
exécution simultanément, ce qui permet une productivité élevée.
Le premier usinage mécanique se produit dans cette phase du cycle grâce au groupe presses.
Les bosses sont réalisées simultanément par quatre presses ayant été préalablement espacés
grâce à une règle millimétrique horizontale.
Le dérouleur motorisé A.M.I 1500 travaille uniquement durant cette première phase du cycle.
Pour raison de sécurité un capteur de proximité a été prédisposé pour détecter l’avancée du
ruban. Cette dernière autorise le coupage du ruban lorsque les quatre presses d’étampage sont
en position de repos.
Premièrement, une barrière décente pour permettre au ruban de se placer dans une place bien
déterminée, puis deux pinces tiennent celui-ci et la barrière se lève. Enfin le ruban est déplacé
vers la zone de cintrage au moyen de deux vérins pneumatiques.
II.7.5 Cintrage
Durant cette phase le ruban prend sa forme géométrique définitive au moyen des quatre têtes
de cintrage.
Une fois le ruban transporté par le groupe approprié il sera positionné sur le blocage (le
groupe de cintrage) ensuite les âmes sortent pour saisir le ruban comme un étau, le bloque et
l’outillage de cintrage effectuent le cintrage externe. Les blocages extérieurs lâchent le ruban
et les âmes extérieures rentrent pour libérer ce dernier pour le cintrage interne qui s’effectue
de la même façon que le cintrage externe.
II.7.6 Soudure
C’est la dernière opération mécanique du cycle de production, elle se produit grâce au groupe
de soudure.
Une fois la pièce est cintrée, le groupe de soudure se glisse pour saisir la pièce au moyen de
deux pinces, puis remonte pour libérer le châssis de la zone de cintrage afin de rendre cette
station opérative. Un vérin pneumatique est actionné pour joindre les deux bouts de la pièce
afin de commencer la soudure qui s’effectue en trois étapes, qui sont :
Le temps de pressurisation : c’est le temps de maintenir les deux bouts de la pièce sous la
pression avant d’alimenter les électrodes pour effectuer la soudure.il dure environ une
seconde ;
Temps de mis en électricité : c’est le temps de mettre les électrodes sous tension pour
effectuer le soudage qui dure environ deux secondes ;
Une fois la pièce soudée et avant de la lâcher on attend environ une seconde, c’est le temps
de détention.
II.7.7 Extraction
Dès que la dernière opération du cycle est achevée, la pièce finie est libérée des pinces qui la
retiennent pour l’évacuer grâce au tapis en mouvement. Fin de cycle
Voici les calculs pour faire fonctionné notre machine soudeuse des grilles
Sv=surface de vérin
∆ h= perte de charge
Qv=dedit
Ph=puissance hydraulique
ɳm=rendement mec
ɳh=rendement hydraulique
L= longueur de conduite
ρ=¿ Masse volumique
μ=viscosite
V=vitesse d’écoulement
ƛ =landa
Re=Reynolds
Selon le mécanisme de la machine on doit prendre les mesures de l’abaque comme suite ;
Qv
V=
Sv
2
πx D
Sv=
4
4 Q 4 ×55 × 10−3
V= 2= =6m¿
π D 60 ×3.14 × ¿¿
L V
∆H= ƛ × × P×
D 2
Pour savoir quel type d’écoulement je suis-je doit calculer Reynolds
VD 6 ×0.014 m −6
Re= = −6 = 2800 on sait que μ=30 st (santistoque)=30 m 2¿=¿30 ×10 ¿m
μ 30× 10
Nous sommes dans un régime d’écoulement turbulent lisse parce que je suis supérieur a 2100
0.316
ƛ= 4
√ℜ
ƛ=0.043
2 12
∆H=0.043 ×200 × =7320Pa =5bar
0.014 2
Cynl=S.L=12.56×2=25.Cm
Q× HMT 2× 45
Ph= = =0.245Kw
367 367
ph 0.245
ɳ h= = =0.4=40%
pm 0.6
Calculs des forces de rentrée et sortie de la tige
les éléments qui caractérisent un vérin:
D: diamètre du piston=100mm
d: diamètre de la tige=30mm
P: Pression de l’air=6bars
S: surface
La force de sortie
F=p. S
2
D
S= π . 100mm=0.1m
4
2
D
F=p . π . pour trouve la force en N on doit x105 donc F=6X105X π ¿ ¿ =4.71.105 N
4
Force de rentrée tige
2 2
D d
S= π .. −π .
4 4
π
S= ( D 2−d 2)
4
π 5 π
F=p. = ( D 2−d 2) = =6X10 . .((0.1¿2 -(0.03¿2 )
4 4
F=4.29.103N
C81
Start R1 R2 R3 2.1 R1 R2
R3 R3
R4
R2 R3 R4 SV4 SV2
R1
Neutre
II.9 CONCLUSION
Dans ce chapitre, nous avons présenté les différents composants de la machine ainsi que son
cycle de fonctionnement.
Pour ces raisons, la réussite et la performance d’une installation automatique pilotée par
l’automate industriel (API) repose essentiellement sur une bonne compréhension de
l’installation et de la qualité des actionneurs et capteurs qu’elle comporte.
III.1 INTRODUCTION
III.2.DEFINITION
Le GRAFCET est définit par un ensemble constitué d’éléments graphiques de bases suivant :
• Etapes
• Transition
• Liaison orientées
III.2. 1. Etapes
Une étape est une période de temps permettant de réaliser complètement une ou plusieurs
actions.
Chaque étape est représentée par un carré numéroté. La numérotation est réalisée par des
chiffres ou des nombres entiers positifs dans un ordre croissant. Deux étapes différentes ne
doivent jamais porter le même numéro, il existe deux types d’étapes :
Entré d’étape
20
10
Sortie d’étape
Une étape initiale est active au début du cycle, c’est une étape activé sans condition au
démarrage.
Par convention, une étape peut être active ou inactive .si une étape est inactive, toutes les
actions associer à celle-ci seront exécutées. Si une étape est inactive, les actions qui lui sont
associées ne peuvent en aucun cas être lancées. On peut associer à chaque étape une variable
binaire exprimant son activité :
Xi=0 si i est inactive i dans le cas présent. Le X étant le symbole d’une étape.
21 21
X21=0 X21= 1
III.2.2. Transitions
Une transition est une condition de passage d’une étape à une autre. Elle n’est que logique
(dans son sens vrais au faux), sans notion de durée. La condition est définie par une
réceptivité qui est généralement une expression booléenne (c-à-d avec des « ET » et des « OU
») de l’état des capteurs.
On représente une transition par un petit trait horizontal sur une liaison vertical. On note à
droite la réceptivité. Dans le cas de plusieurs liaisons arrivant sur une transition, on les fait
converger sur une grande double barre horizontale, qui n’est qu’une représentation du dessus
de la transition. De même pour plusieurs liaisons partant sous une transition. (4)
Réceptivité
Marche
III.2.3 Réceptivité
Les actions associées à une étape sont inscrite dans un rectangle d’action de façon à mettre en
évidence ce qui s’exécute lorsque cette étape est active. Souvent, il s’agira de commande
d’actionneur (vérin, moteur,…). Ce peut être aussi des commande de fonction auxiliaire
d’automate (compteur, tempos,…) elles peuvent aussi décrire des liens avec d’autre système
logique ou analogique (changement de vitesse exemple de moteur). (Voire figure II.2).
1 Action
Une liaison est un arc orienté (ne peut pas être parcouru que dans un sens). A une extrémité
d’une liaison il y a une seule étape, à l’autre une transition. On la représente par un trait plein
rectiligne, vertical ou horizontal. La ligne vertical est parcourue de haut en bas, sinon il faut le
préciser par une flèche.
III.2.5. réceptivité : une réceptivité associée à chaque (l’absence de réceptivité est en fait la
réceptivité toujours vrais). C’est une condition qui détermine la possibilité ou non d’évolution
du système par cette transition.
Une réceptivité s’exprime comme étant une expression booléenne écrite à l’aide de variables
d’entrées Ei, des variables d’étapes Ei, des operateurs logiques « ET », « OU », non ainsi que
de l’operateur à retard « t 1 /xn / t2 » auquel on peut ajouter les operateurs front montant et
front descendant. Ces operateurs permettent d’introduire le concept d’événement. (6)
Les arcs et la transition doivent strictement alterner grâce à des arcs orienté c.-
à-d deux étapes ne doivent jamais relie directement, et deux transition ne doivent
jamais relie directement.
Divergence en OU : l’évolution du système vers une bronche dépend des
réceptivités a et b associer à la transition.
ab
2 3
Convergence en ET :
La modification de l’état de l’automatisation est appeler évolution, est régie par cinq règles.
Regle1 : initialisation :
Elle précise les étapes actives ou début du fonctionnement .elle est avivée
inconditionnellement ou début de cycle.
Appelé aussi niveau de la partie opérative, il tient compte de plus de détails des actionneurs,
des pré-actionneurs et des capteurs, présentation des actions et réceptivité est écrit en
abréviation et non en mots. Le niveau 2 sert en général pour la simulation. En effet, nous
avons réalisé une simulation pour l’automatisation de fonctionnement de la machine dans le
chapitre suivant.
GRAFCET niveau 1 de la machine soudeuse a grille de table
+
d
15 Monté du couteau
c
Couteau haut
16
Sortie vérin introduction
17
Fermeture des pinces cintrage interne et externe
18 19
Fermeture pince introduction Ouverture pince introduction
Barriere ouverte
20
Ouverture pince introduction
Pince introduction niveau bas
b
21 Retour vérin introduction
23 Cintrage interne
a
T1/X24 / 3S
27 Fin Soudure / T2
T2/X25 / 3S
28
Ouverture tète soudure relâchement pièce
Compteur
Nous avons présenté la modélisation de la machine par le GRAFCET. Après une présentation
des généralités sur le GRAFCET, nous avons modélisé le fonctionnement de la machine en
utilisant le niveau 1 de GRAFCET. Ceci est réalisé en 26 étapes tout en montrant les
différentes actions et transitions définissant le cycle machine. Cette partie est nécessaire pour
une simulation. Le prochain chapitre fera l’objet de la simulation de cette modélisation.
IV.1 INTRODUCTION
Dans le cadre de ce travail de fin etudes (TFE), nous allons aborder la simulation avec logiciel
STEP7.
Ce chapitre se concentre sur l'utilisation du logiciel STEP7 avec les PLCs Omron pour la
simulation. Nous aborderons les bases de l'utilisation de ce logiciel dans le cadre de la
programmation et de la simulation des automates programmables afin de développer une
compréhension approfondie de son fonctionnement, de son interface et de ses fonctionnalités.
Nous explorerons les étapes nécessaires pour configurer, programmer et simuler des PLCs
Omron à l'aide du logiciel STEP7. De plus, nous examinerons les avantages et les applications
de l'utilisation de ce logiciel dans le contexte de l'automatisation industrielle et de la
conception de systèmes de contrôle.
STEP 7 est un logiciel de Siemens utilisé pour programmer des automates programmables de
la gamme SIMATIC. Il offre une interface conviviale permettant aux ingénieurs et aux
techniciens de développer des programmes de logique de contrôle pour automatiser des
processus industriels. STEP 7 prend en charge différentes langues de programmation telles
que le langage ladder (LAD), le langage d'interface graphique (IL), le langage de texte
structuré (ST) et le langage de bloc-fonction (SCL), offrant ainsi une flexibilité et une
puissance de programmation étendues.
Après validation de la CPU, une fenêtre qui apparait permet de choisir les blocs et le
langage de programmation à insérer.
Une fois le projet crée, il est nécessaire de configurer le matériel à utiliser comme le
montre la (voir la figure. IV.1.f).
Voici comment ces éléments sont généralement représentés dans un programme PLC STEP7
:
Exemple :
--| |--
Exemple :
|--(T)--|/|--(ACC)--|
Il se charge dans la CPU et il contient toutes les fonctions nécessaires au traitement des taches
d’automatisation, il doit prendre en charge :
IV. 6 COMMENTAIRE
Dans ce chapitre, nous avons étudié les automates programmables industriels S7-300 de
SIMENS et leur logiciel de programmation STEP 7. Cette étude nous a permis de
comprendre leur fonctionnement et leurs rôles dans un système automatisé ainsi que de ce
familiarisé avec le logiciel et langage de programmation S7-300.
Le travail que j’ai effectué dans le cadre de ce projet de fin d’étude, avec l’appui du stage
pratique l’entreprise MMG KINSEVERE , m’a permis de découvrir la réalité de l’activité
d’un complexe industriel, de mette ainsi la mise en pratique de nos connaissances théoriques
et de me familiariser avec les automatismes industriels dans le but de concevoir une solution
programmable pour la machine soudeuse grille de table (GE48).
J’ai constaté aussi durant notre projet, que les facteurs de sécurité et fiabilité doivent être pris
en considération par l’ingénieur, c’est-à-dire qu’il faut s’assurer de la fiabilité des
composants, pour garantir un bon fonctionnement du procédé. Comme il doit penser à la
sécurité du personnel et du matériel par intégration de capteurs et de conditions d’arrêt
d’urgence. Ces mesures sont très importantes car elles permettent d’arrêter les actions pouvant
avoir des conséquences dangereuses en cas d’une défaillance humaine ou matérielle.
J’espère que ce projet puisse être réalisé sur le plan pratique et qu’il puisse être un guide pour
tout projet d’automatisation utilisant les API et le langage de programmation.
BIBLIOGRAPHIE
Les ouvrages :
• www.eniem.dz.com
• http://www.tecoltant.fr/grafcet/.
• http://philippe.berger2.
Free.fr/ automatique/cour/eltspneu/les_elements_pneumatique.htm.