Entrainement Vitesse Variable
Entrainement Vitesse Variable
Entrainement Vitesse Variable
Prof. BOULMANE
Plan
2
Cours 3GE-Op1 & Op2
Rappels: Constitution
Rappels: Principe
4
Cours 3GE-Op1 & Op2
Il en résulte alors:
𝑓 = g𝑓
6
Cours 3GE-Op1 & Op2
Puissance utile
Puissance absorbée
Puissance mécanique P
Puissance transmise P
P =P −𝑝 −𝑝
P
𝑝 é
𝑝
P
𝑉 𝑝 =
𝑝 =3 𝑔
𝑅
𝑝 = 3𝑅 𝐼 ²
𝑉
𝑄 =3 + 3𝑁 ω 𝐼
L ω
𝑅
𝑝 𝑔
𝐶 =3 𝑉
𝜔 𝑅
+ 𝑁𝜔
𝑔
10
Cours 3GE-Op1 & Op2
3 𝑝 𝑉
𝐶 =
2𝑁 𝜔
11
C
𝑝 𝑅
C =3 𝑉 C Ω
𝜔 𝑅 + 𝑁𝜔
C
Ω
Ω
g
1 g 0
Figure I.3: Allure de la caractéristique mécanique de la machine asynchrone 12
Cours 3GE-Op1 & Op2
𝑅
𝑝 𝑔
𝐶 =3 𝑉
𝜔 𝑅
+ 𝑁𝜔
𝑔
Les paramètres sur lesquels on peut agir pour modifier la caractéristique mécanique sont:
La tension d’alimentation 𝑉
La résistance rotorique 𝑅
La pulsation 𝜔 (ou fréquence)
13
Gradateur triphasé
Réglage de la vitesse d’un moteur
asynchrone
Action sur la tension d’alimentation
Réseau triphasé
Pour régler la vitesse lorsqu’on utilise ce
procédé, on place entre le réseau et le MAS
moteur un gradateur triphasé.
M
3~
Transformateur
Figure I.7: Schéma de principe de la cascade hyposynchrone 17
Ω >Ω >Ω
Réglage de la vitesse d’un moteur
C
asynchrone Ω Ω Ω
𝑅 𝜔
𝐶 = 3𝑝Φ
𝑅 + 𝑁𝜔
Introduction
Commande scalaire
20
Cours 3GE-Op1 & Op2
Commande scalaire
I R N ′ω I
R I
𝑝 g R
C =3 V² V L
ω R g
+ N ′ω
g
R
Commande scalaire C (𝑁. 𝑚) 𝑝 g
C =3 V²
ω
• Pour un glissement faible: R
+ N ′ω
𝑝 g C g
C ≅3 V²
ω R
Une variation quasi-linéaire du couple en
fonction du glissement
Commande scalaire
23
C
Garder le rapport constant revient à garder
le flux constant.
Quand la tension atteint sa valeur
nominale, on commence alors à décroître
ce rapport ce qui provoque une diminution
du couple que peut produire la machine
Régime de défluxage.
Ce régime permet de dépasser la vitesse
nominale de la machine, on l'appelle donc g
0 1
aussi régime de survitesse Ω > Ω
Figure II.3: Déplacement de la caractéristique Couple-
glissement en fonction de la fréquence d’alimentation
24
Cours 3GE-Op1 & Op2
Commande scalaire V
25
𝜔 = 𝜔 − 𝑝Ω
26
Cours 3GE-Op1 & Op2
Dans le cas d’un fonctionnement en survitesse, le flux statorique diminue ainsi que le
couple maximal développé par la machine.
27
Commande scalaire
𝐕𝐬 = 𝒇 𝝎𝐬
Bus continu
Génération des
Génération
𝛚∗𝐫 + 𝛚𝐬 commandes
des tensions
des interrupteur
de référence
𝐒𝒊 , 𝐒𝒊
+ 𝒗𝐚 , 𝒗𝐛 et 𝒗𝐜
𝛚 i=1,2,3
Capteur de
vitesse
Commande scalaire
Commande de la machine en boucle fermée
29
Commande scalaire 𝐕𝐬 = 𝒇 𝝎𝐬
Bus continu
Génération des
Génération
𝛀∗ + Régulateur de 𝛚𝐫∗ + 𝛚𝐬 commandes
des tensions
vitesse des interrupteur
de référence
− 𝐒𝒊 , 𝐒𝒊
+ 𝒗𝐚 , 𝒗𝐛 et 𝒗𝐜
𝛀 𝛚 i=1,2,3
Capteur de
vitesse
Commande scalaire
La commande scalaire est caractérisée par la simplicité de son implémentation.
Elle ne nécessite pas l’identification de la machine ou la connaissance de son modèle et
ne demande pas un temps de calcul élevé.
⊗ Elle ne permet pas d’obtenir des performances élevées pour l’entraînement du moteur
asynchrone.
⊗ Elle ne prend pas en considération le modèle en régime transitoire, et se contente du
circuit équivalent d’une seule phase.
⇛ La réponse en basse vitesse est médiocre et des ondulations fortes apparaissent dans la
réponse du couple.
33
position. MCC
M
C =p Φ I −Φ I Figure II.9: Principe du découplage entre le
L
couple et le flux
35
On s'aperçoit que si l'on élimine le deuxième produit Φ I alors le couple ressemblerait fort
à celui d'une MCC Orienter le repère d-q de manière à annuler la composante de flux en
quadrature. Ce qui revient à choisir convenablement l'angle de rotation de Park de sorte que le
flux rotorique soit entièrement porté sur l'axe direct (d) et donc d'avoir Φ = 0 et
Φ =Φ .
L’expression du couple devient: C =p Φ I
36
Cours 3GE-Op1 & Op2
M
Commande vectorielle à flux C =p Φ I −Φ I
L
rotorique orienté 𝛽
q
Principe de la commande
I
𝛼
Figure II.10: Principe de l’orientation du flux
rotorique 37
dI M dΦ M
V =R I + σL − ω σL I + V = R + σL . s I − σL ω I − Φ
dt L dt LT
dI M M
V = ω L I + R I + σL +ω Φ V = R + σL . s I + σL ω I + ωΦ
dt L L
ransformation de LAPLACE M é
dΦ Φ =M I Φ ≅ MI
T + Φ = MI 1 + 𝑠. T
dt
M M M
ω = .I ω = .I ⟹θ = ω . dt = .I dt
T .Φ T .Φ T .Φ
M M
C =p Φ I C =p ΦI
L L
38
Cours 3GE-Op1 & Op2
Φ
Φ∗
+ ∗
𝐕𝐬𝐝
Régulateur de dq Génération des
−Ω Ω flux commandes
−
𝚽𝐫 des interrupteur
𝛀∗ + Régulateur de 𝐂𝐞∗ + ∗
𝐕𝐬𝐪 𝐒𝒊 , 𝐒𝒊
Régulateur de
abc i=1,2,3
vitesse couple
− −
𝐂𝐞
𝛀
Figure II.11: Schéma du contrôle vectoriel direct par orientation de flux rotorique 39
abc
𝛉𝐬 𝛚𝐬 +𝛚∗𝐫
∫ dq
+
𝛚
𝐩
Capteur de
vitesse
Figure II.12: Schéma du contrôle vectoriel indirect par orientation de flux rotorique 40
Cours 3GE-Op1 & Op2
41
dΦ
V =R I +
dt
dΦ
V =0=R I + − 𝑗𝜔Φ
dt
Il en résulte alors:
dΦ
V =R I +
dt
dΦ 1 M 1
+ − 𝑗𝜔 Φ = Φ
dt 𝜎T L 𝜎T
42
Cours 3GE-Op1 & Op2
dΦ
V =R I +
dt
dΦ 1 M 1
+ − 𝑗𝜔 Φ = Φ
dt 𝜎T L 𝜎T
En régime permanent:
M Φ
Φ =
L 1 + 𝑗𝜔𝜎T
43
Figure II.13: Polygone de commutation Figure II.14: Topologies de l’onduleur et vecteurs de tension
44 𝑉
Cours 3GE-Op1 & Op2
𝐄𝚽 𝐄𝐜 1 2 3 4 5 6 V
Φ∗+ 𝐄𝚽 𝐕𝟐 𝐕𝟑 𝐕𝟒 𝐕𝟓 𝐕𝟔 𝐕𝟏
1
− 1 0 𝐕𝟕 𝐕𝟎 𝐕𝟕 𝐕𝟎 𝐕𝟕 𝐕𝟎
+
𝐄𝐜
-1 𝐕𝟔 𝐕𝟏 𝐕𝟐 𝐕𝟑 𝐕𝟒 𝐕𝟓
−
1 𝐕𝟑 𝐕𝟒 𝐕𝟓 𝐕𝟔 𝐕𝟏 𝐕𝟐
𝐍
0 0 𝐕𝟎 𝐕𝟕 𝐕𝟎 𝐕𝟕 𝐕𝟎 𝐕𝟕
𝐂𝐞∗ −
Régulateur de
vitesse
+
𝛚∗ 45
Φ∗+ 𝐄𝚽
−
𝛀∗ 𝐂𝐞∗+ Table de vérité
+ Régulateur de 𝐄𝐜
− vitesse − 𝐍
𝒊𝐬𝛂 𝒊𝒂
𝐂𝐞 De la position θ = tan
𝒊𝐬𝛃 𝒊𝒃
et du couple électromagnétique αβ
C =p Φ I −Φ I
Capteur de
vitesse
Modélisation de l’onduleur
Le transfert d’énergie s’opère à travers un convertisseur dont la commande active séquentiellement des interrupteurs.
L’onduleur triphasé est utilisé comme variateur de vitesse pour la machine. En effet, la tension provenant du bus
continu est transformée en une tension alternative de fréquence et amplitude variables.
Le signal résultant est un signal en créneaux contenant en plus de la fondamentale des harmoniques de fréquences
multiples. Ce qui nécessite un filtrage approprié.
Il est souhaitable que le courant soit sinusoïdal afin d’éviter les couples harmoniques générateurs de pertes et de
vibrations. D’où l’intérêt de lisser le courant avec des inductances. Toutefois, l’inductance propre du stator de la
machine suffit généralement à assurer un filtrage convenable
Dans cette partie, nous nous intéressons à la modélisation du convertisseur de puissance constitué d’IGBT
et de diodes en antiparallèles dans le repère triphasé naturel.
47
Modélisation de l’onduleur
L’onduleur triphasé est un convertisseur
statique composé de trois bras dont 𝐒𝟏 𝐒𝟐 𝐒𝟑
chacun contient deux interrupteurs à semi-
conducteur (MOSFET, IGBT, Thyristors, … 𝒗
etc.). Le choix de ces semi-conducteurs se 𝐔 𝒗𝟐𝟏
𝒗𝟑
fait selon différents critères, en particulier, 𝐒𝟏 𝐒𝟐 𝐒𝟑
la gamme de puissance de l’application, la
fréquence de fonctionnement et le type de
commande.
La figure illustre le schéma de l’onduleur Unité de commande
48
Cours 3GE-Op1 & Op2
Modélisation de l’onduleur
Les tensions composées de cette configuration sont données en fonction des états des interrupteurs par:
𝑢 = 𝑣 −𝑣 = S −S U 𝑢 −𝑢 = 𝑣 −𝑣 − 𝑣 −𝑣 = 2𝑣 − 𝑣 − 𝑣
𝑢 =𝑣 −𝑣 = S −S U⟹ 𝑢 −𝑢 = 𝑣 −𝑣 − 𝑣 −𝑣 = 2𝑣 − 𝑣 − 𝑣
𝑢 =𝑣 −𝑣 = S −S U 𝑢 −𝑢 = 𝑣 −𝑣 − 𝑣 −𝑣 = 2𝑣 − 𝑣 − 𝑣
En tenant compte du fait qu’il s’agit d’une charge triphasée équilibrée, nous obtenons alors la matrice qui relie les
tensions de sortie aux états des interrupteurs et à la tension continue d’entrée.
𝑣 S
U 2 −1 −1
𝑣 = −1 2 −1 S
𝑣 3 S
−1 −1 2
49
Commande de l’onduleur
Grâce aux progrès des semi-conducteurs de puissance et de leur commande, la technique modulation de
largeur d’impulsions (MLI) est le plus souvent utilisée. Chaque alternance est formée de plusieurs
créneaux dont la largeur et la position imposent les caractéristiques du spectre des grandeurs
alternatives.
Dans la mesure où l’on vise à produire une tension ou un courant aussi sinusoïdal que possible, la
commande MLI s’impose car elle facilite beaucoup le filtrage des grandeurs alternatives.
50
Cours 3GE-Op1 & Op2
Commande de l’onduleur
MLI intersective
La modulation de largeur d’impulsion
(M.L.I) sinus-triangle est réalisée par
comparaison d’une onde modulante
basse fréquence (tension de référence) à
une onde porteuse haute fréquence de
forme triangulaire. Les instants de
commutation sont déterminés par les
points d’intersection entre la porteuse et
la modulante. La fréquence de
commutation des interrupteurs est fixée
par la porteuse.
51
Commande de l’onduleur
MLI intersective
Si la référence est sinusoïdale, deux paramètres caractérisent la commande :
52
Cours 3GE-Op1 & Op2
Commande de l’onduleur
MLI intersective Algorithme de
des interrupteurs
𝒗𝐦𝟏,𝟐,𝟑
𝐒𝟏 , 𝐒𝟏
𝐒𝟐 , 𝐒𝟐
𝐒𝟑 , 𝐒𝟑
Génération de la référence
𝒗𝐩
Figure III.2: Principe de la modulation de largeur
d’impulsion intersective
53
Génération de la porteuse
Commande de l’onduleur
MLI par injection de la 3ème harmonique
Il est possible d’augmenter la valeur du fondamental de la tension composée 𝒖𝟏𝟐 en ajoutant le 3ème
harmonique à l’onde modulante sans qu’il y ait une sur-modulation. Cette technique est appelée modulation
de largeur d’impulsion par injection du 3ème harmonique.
Les moteurs synchrone et asynchrone ne sont pas sensibles à cet harmonique à condition que le neutre (en
montage étoile) ne soit pas utilisé.
54
Cours 3GE-Op1 & Op2
Commande de l’onduleur
Figure III.3: (a): Modulation de largeur d'impulsion (b): MLI par injection de la 3ème harmonique r=0.2
Figure III.4: Etat de commutation de S1 (a): Modulation de largeur d'impulsion (b) : MLI par injection de la 3ème harmonique 55
V
Commande de l’onduleur
MLI vectorielle
V U⁄ 2 V
Cette technique est caractérisée par le fait que les
signaux de commande sont élaborés en tenant
compte simultanément des états des trois bras de
II
l’onduleur. L’objectif du contrôle vectoriel est de I
III V
générer des tensions aussi proches que possible
d’une référence choisie. V V ,V θ
V
V
Il existe huit combinaisons possibles d’états de 2 U⁄ 3
commutation : Six états sont actifs et deux sont IV VI
passifs ou nuls. Ces états de commutation sont V
représentés respectivement par des vecteurs
d’espace formant ainsi un hexagone régulier avec
six secteurs égaux. Les vecteurs nuls se V V
positionnent au centre de l’hexagone.
Figure III.5: Représentation vectorielle des vecteurs d'états
56
Cours 3GE-Op1 & Op2
Commande de l’onduleur V
MLI vectorielle
57
𝐒𝟏 𝐒𝟐 𝐒𝟑 𝐯𝟏 𝐯𝟐 𝐯𝟑 𝐕𝐬𝛂 𝐕𝐬𝛃 𝐕𝐬
0 Commande
0 0 0de l’onduleur
0 0 0 0 𝐕𝟎 Vecteurs
1 1 1 0 0 0 0 0 passifs
MLI vectorielle 𝐕𝟕
𝟐𝐔 −𝐔 −𝐔 𝟐
1 0 0 .𝐔 0 𝐕𝟏
𝟑 𝟑 𝟑 𝟑
𝐔 𝐔 −𝟐𝐔 𝐔 𝐔
1 1 0 𝐕𝟐
𝟑 𝟑 𝟑 𝟔 𝟐
−𝐔 𝟐𝐔 −𝐔 𝐔 𝐔
0 1 0 − 𝐕𝟑
𝟑 𝟑 𝟑 𝟔 𝟐 Vecteurs
actifs
−𝟐𝐔 𝐔 𝐔 𝟐
0 1 1 − .𝐔 0 𝐕𝟒
𝟑 𝟑 𝟑 𝟑
−𝐔 −𝐔 𝟐𝐔 𝐔 −𝐔
0 0 1 − 𝐕𝟓
𝟑 𝟑 𝟑 𝟔 𝟐
𝐔 −𝟐𝐔 𝐔 𝐔 −𝐔
1 0 1 𝐕𝟔 58
𝟑 𝟑 𝟑 𝟔 𝟐
Cours 3GE-Op1 & Op2
Commande de l’onduleur
MLI vectorielle
Le vecteur de tension moyen est élaboré par application des vecteurs d’états de l’onduleur V et V
adjacents pendant les temps T , T respectivement. Les vecteurs nuls V et V sont appliqués durant T .
L’expression de la tension de sortie est exprimée par l’équation suivante :
1 T T
V = V dt + V dt + V dt + V dt = V + V
T T T
Avec:
T =T +T +T
• T ,T : Intervalles de temps alloués aux vecteurs adjacents V et V
• T : Temps alloué aux deux vecteurs nuls V et V
59
Commande de l’onduleur
MLI vectorielle
Tableau III.2: Séquence temporelle de vecteurs d’états
T T T T
T T T T
2 2 2 2
1 V V V V V V V V
2 V V V V V V V V
SECTEUR
3 V V V V V V V V
4 V V V V V V V V
5 V V V V V V V V
6 V V V V V V V V 60
Cours 3GE-Op1 & Op2
T
Vé π
Commande de l’onduleur T =
U
sin − α
3
T Vé
T = 2 sin α
MLI vectorielle U
V T =T −T −T
V V V V V V V V
S V
S
V α
T T T T T T T T V ,V
2 2 2 2
T T V
2 2 V
61
Commande de l’onduleur
MLI vectorielle
S1 T1 T2 T0 / 2 S 4 T0 / 2
1 S 3 T2 T0 / 2 S 6 T1 T0 / 2
S 5 T0 / 2 S 2 T1 T2 T0 / 2
S1 T1 T0 / 2 S 4 T2 T0 / 2
2 S 3 T1 T2 T0 / 2 S 6 T0 / 2
S 5 T0 / 2 S 2 T1 T2 T0 / 2 62
Cours 3GE-Op1 & Op2
Commande de l’onduleur
MLI vectorielle
𝑉é = 𝑉 +𝑉
𝑉
𝛼 = tan
𝑉
Etape 2 : déterminer les durées T , T et T ( durée d’application des tensions V , V , V et V )
Etape 3 : déterminer le temps de commutation de chaque interrupteur.
63