TPE:

Transfert radiatif
(Etude sur le rayonnement solaire)

Réalisé par :
Chibani Oumayma
Energétique 2 Groupe 1

Année universitaire :2020-2021

 Sommaire

I) Etude bibliographique :

1. Les caractéristiques et la composition spectrale du rayonnement solaire

2. La composition de la couche atmosphérique terrestre

3. Analyse des principaux phénomènes d’interaction de la couche

atmosphérique avec le rayonnement solaire

4. Etude bibliographique sur les modèles de calcul de l’éclairement solaire sur

la surface de la terre.

II) Calcul de l’éclairement solaire global sur les parois d’un bâtiment :

1. Choix du modèle de calcul de l’éclairement solaire.

2. Description et présentation des équation détaillées du modèle choisit pour

une surface inclinée.

3. Calcul de l’éclairement solaire global sur un toit du bâtiment (surface

horizontale).

4.Calcul de l’éclairement solaire global sur la surface d’un mur (surface

verticale) pour :
a/ L’orientation Sud.

b/ L’orientation Ouest.

c/ L’orientation Nord

5. Comparaison et interprétation des courbes obtenues

I) Etude bibliographique :
1- Caractéristiques et composition spectrale du rayonnement
solaire :
Le rayonnement solaire est distribué sur un large spectre d'amplitude
non uniforme avec la forme typique d'une cloche, comme cela est
typique du spectre d'un corps noir avec lequel la source solaire est
modélisée. Par conséquent, il n'est pas concentré sur une seule
fréquence.

Le maximum de rayonnement est focalisé sur la bande de

rayonnement ou de lumière visible avec un pic à 500 nm en dehors de
l'atmosphère terrestre selon la loi de Wien, qui correspond à la
couleur verte cyan.

La bande de rayonnement photosynthétiquement active oscille entre

400 et 700 nm, correspond au rayonnement visible et équivaut à 41%
du rayonnement total. Dans le rayonnement photosynthétiquemen t
actif se trouvent des sous-bandes avec rayonnement:

 bleu-violet (400-490 nm)

 vert (490-560 nm)
 jaune (560-590 nm)
 rouge orange (590-700 nm)
Lors du franchissement de l'atmosphère, le rayonnement solaire est
soumis à des phénomènes de réflexion, de réfraction, d'absorption et
de diffusion par les différents gaz atmosphériques à un degré variable
en fonction de la fréquence. Par conséquent, le sol du spectre solaire
est irrégulier par rapport à celui détecté dans les seuils externes de
l'atmosphère avec la présence de bandes d'absorption ou de réflexion
typiques.

Le Soleil est l’étoile centrale de notre système solaire. D'après la classification

astronomique, notre étoile est de type naine jaune. Elle est
composée essentiellement d’hydrogène (78,4 % de la masse) et d’hélium (19,6
% de la masse), les 2% restant étant composé d'autres éléments
chimiques dont les principaux sont l'oxygène et le carbone. Autour de lui
gravitent la Terre, et sept autres planètes (Mercure, Vénus et Mars qui sont
comme la Terre des "planètes telluriques", et Jupiter, Saturne, Uranus et
Neptune qui sont des planètes dites "géantes gazeuses") au moins cinq
planètes naines (la plus connue étant Pluton), de très
nombreux astéroïdes et comètes ainsi qu'une bande de poussière. Le Soleil
représente à lui seul 99,86 % de la masse du système solaire ainsi constitué
(Jupiter représentant plus des deux tiers de tout le reste).

Le Soleil émet un rayonnement de type électromagnétique. La lumière

blanche nous parvient en très peu de temps (elle met en moyenne environ 8
minutes et 19 secondes a nous parvenir) (1) car il se déplace à la vitesse de la
lumière, soit 299 792 458 m/s.
Ce rayonnement constitue un spectre continu allant des ultra-violets à
l'infrarouge en passant par le visible ou il émet avec le maximum
d'intensité (2). Cependant, en traversant la chromosphère du Soleil et
l'atmosphère de la Terre, les atomes qui les composent absorbent certains
photons.

Le spectre alors observable depuis la surface de la Terre est donc un spectre

de raies d'absorptions (voir ci-dessous)
 Ainsi, à la surface de la Terre le rayonnement solaire comprend : 5% d'ultra-
violet, 40% de lumière visible et 55% d'infra-rouge, les IR étant porteurs de
l'essentiel de l'énergie thermique.

Ainsi, à la surface de la Terre le rayonnement solaire comprend : 5% d'ultra-

violet, 40% de lumière visible et 55% d'infra-rouge, les IR étant porteurs de
l'essentiel de l'énergie thermique.
 Le rayonnement ultra-violet émis par le Soleil est classé en 3 types d'ultra-
violet :

 Les UV-A ayant une longueur d'onde de 380 (cette valeur peut varier
légèrement selon la source) à 315 nanomètres (1nm=1 x 10¯⁹mètre)
 Les UV-B dont la longueur d'onde est comprise entre 315 et 280 nm
 Les UV-C qui ont une longueur d'onde allant de 280 à 200 nm.
Cependant seuls les UV-A et une petite partie des UV-B parviennent
jusqu'à la surface de la Terre car en traversant l'atmosphère la totalité
des UV-C et la majeure partie des UV-B sont soit absorbées,
soit réfléchies. Ainsi le rayonnement solaire que
nous recevons comprend seulement 5% d'ultra-violet, ces
5% étant composés à 95% d'UV-A et à 5% d'UV-B.

Le rayonnement solaire peut être considéré comme un ensemble de

photons, particules transportant chacune une quantité d'énergie appelée
"quantum d'énergie" et notée "∆E ".L'énergie d'un photon de fréquence υ (en
hertz), dont la longueur d'onde λ (en mètre) est égale à la célérité divisée
par υ , est exprimée par la relation ∆E= h x υ = (h x c) / λ , h étant la constante
de Planck c'est-à-dire 6,63*10^-34 Joules par seconde. Ainsi, les photons
composant le rayonnement ultraviolet, du fait de leur longueur d'onde,
transportent un quantum d'énergie plus important que les photons composant
le rayonnement infrarouge.
2-La composition de la couche atmosphérique
terrestre :
On appelle «atmosphère» l'enveloppe gazeuse qui entoure certains
corps célestes comme, par exemple, la Terre, Vénus ou Mars. Les gaz
sont retenus autour de ces corps célestes par la force gravitationnelle
qui les retient et les empêche de s'échapper dans l'espace.

Profil vertical de l'atmosphère (extrait de l'animation "La structure verticale de l'atmosphère")

L'atmosphère peut être divisée en cinq couches qui sont la troposphère, la

stratosphère, la mésosphère, la thermosphère et l'ionosphère. En général, le
climat de la Terre dépend étroitement des effets qui existent entre la chaleur
du Soleil et toute l'atmosphère.

Cependant, la météorologie et la climatologie s'intéressent plus

particulièrement aux événements qui se produisent dans la couche la plus
basse, la troposphère. Ce sont eux qui constituent le temps; ils comprennent
les changements de température et d'humidité, le mouvement de l'air (vent)
et l'état physique (solide, liquide ou gazeux) dans lequel se trouve l'eau
atmosphérique.
Bien que ses gaz soient constamment agités, l'atmosphère n'est pas
homogène, tant dans sa composition que dans ses caractéristiques physiques.
Au niveau de la mer, il est composé de 78,11% d'azote, 20,953% d'oxygène et
0,934% d'argon pour les principaux gaz. Les gaz mineurs, dont la proportion
varie avec l'altitude, sont principalement de l'eau sous forme de vapeur, de
dioxyde de carbone, de dioxyde de soufre et d'ozone.

La majeure partie de la masse atmosphérique est proche de la surface: l'air se

raréfie en altitude et la pression diminue; cela peut être mesuré au moyen
d'un altimètre ou d'un baromètre.

L'atmosphère est responsable d'un effet de serre qui réchauffe la surface de

la Terre. Sans elle, la température moyenne sur Terre serait de -18 ° C, contre
15 ° C actuellement. Cet effet de serre résulte des propriétés des gaz vis-à-vis
des ondes électromagnétiques.

Les couches atmosphériques

L’ionosphère

Zone de la haute atmosphère d'une planète, en particulier de la Terre,

caractérisée par la présence de particules chargées (électrons et ions),
formées par photoionisation sous l'effet du rayonnement solaire.

La base de l'ionosphère se situe entre 350 et 800 km d'altitude en

fonction de la température à la thermopause, qui est liée à l'activité
solaire. L'hélium et l'hydrogène sont les éléments prédominants.

Il s'étend jusqu'à la limite extrême de l'atmosphère, soit 50 000

kilomètres. Il n'y a que quelques atomes d'hydrogène là-bas. C'est
dans cette couche que la plupart des satellites sont placés en orbite.

La thermosphère

Zone de l'atmosphère d'une planète située au-dessus de la mésosphère

et caractérisée par une forte augmentation de la température avec
l'altitude. (La thermosphère terrestre est située entre 85 et 600 km
d'altitude.)
 Entre 100 et 150 kilomètres d'altitude, l'oxygène moléculaire absorbe
les ultraviolets solaires à des longueurs d'onde très courtes (entre 100
et 200 nm). Il en résulte une augmentation de la température avec
l'altitude qui oscille entre 300 ° C et 1600 ° C en fonction de l'activité
solaire. Les températures sont élevées, mais la densité du matériau est
extrêmement faible.

La mésosphère

Zone de l'atmosphère d'une planète, située entre la stratosphère et la

thermosphère et caractérisée par une diminution de la température avec
l'altitude (La mésosphère est située entre 50 km d'altitude, au-dessus de la
stratosphère et 90 km d'altitude.). Les températures les plus basses de
l'atmosphère terrestre se trouvent à sa limite supérieure: elle peut atteindre
200 kelvin, soit - 73 ° C.

C'est une zone de transition entre la Terre et l'espace. En y pénétrant, pour

descendre sur Terre, les météorites, les satellites, etc. se réchauffent contre
les quelques particules d'air qu'ils rencontrent et sont détruits avant
d'atteindre le sol, à l'exception des plus gros morceaux.

Dans le globe terrestre, une zone située sous l'asthénosphère, dont le toit fait
environ 600-700 km de profondeur (correspondant à la limite de la présence
des tremblements de terre les plus profonds), et allant au centre de la Terre.

La stratosphère

Zone de l'atmosphère d'une planète située au-dessus de la troposphère et

caractérisée par une faible croissance de la température avec l'altitude. (La
stratosphère terrestre s'étend, en moyenne, entre 12 et 50 km d'altitude.
Elle doit son nom à l'existence de courants essentiellement horizontaux.
Elle renferme la quasi-totalité de l'ozone atmosphérique.)
La température dans la stratosphère varie en fonction de l'altitude, car
celle-ci est réchauffée par l'absorption des rayons ultraviolets provenant du
Soleil. À l'intérieur de cette couche, la température augmente au fur et à
mesure qu'on s'y élève en altitude. Au point le plus haut de la stratosphère, la
température tourne autour de 270 K, ce qui avoisine le point de congélation de
l'eau. Cette partie de la couche se nomme la stratopause, où la température
recommence à chuter lorsque l'on monte. Cette stratification verticale fait en
sorte que la

stratosphère soit dynamiquement stable : il n'y a aucune convection régulière

ni de turbulences associées à cette partie de l'atmosphère. Le réchauffement
est causé par l'ozonosphère, qui absorbe les radiations ultraviolettes du Soleil,
ce qui a pour conséquence de chauffer les couches supérieures de la
stratosphère. Le bas de la stratosphère est caractérisé par un équilibre entre la
chaleur transmise de la couche d'ozone par conduction et la chaleur transmise
de la troposphère par convection. Cela implique que la stratosphère commence
à basse altitude près des pôles, car la température y est moins élevée.

La troposphère

Zone de l'atmosphère terrestre située entre la surface du globe et une

altitude d'environ 8 à 15 kilomètres, selon la latitude et la saison. Il est
plus épais à l'équateur qu'aux pôles. La frontière entre la troposphère et
la stratosphère s'appelle la tropopause.

La troposphère terrestre présente trois caractères essentiels qui la

distinguent des autres régions de l'atmosphère : 1d c'est la couche la plus
troublée (d'ou son nom) ; 2d le brassage assure une constance relative de la
composition sur toute l'épaisseur (on y trouve les trois quarts de la masse
atmosphérique, pratiquement tous les corps solides en suspension et toute
l'eau sous ses trois états) ; 3d la température décroît rapidement, de 0,6 dC
par 100 m, en moyenne, avec l'altitude.
 Diagramme de l'atmosphère montrant la stratosphère
La distance couvrant la surface de la Terre jusqu'au sommet de la
stratosphère (50 km) représente un peu moins de 1 % du rayon de la
Terre. Cette couche atmosphérique contient 90 % de la masse totale de
l'atmosphère, elle est importante car on y trouve l'air qu'on respire. On
trouve dans cette couche la plupart des phénomènes météorologiques.
C'est donc dans cette couche que le cycle de l'eau peut se développer,
on y trouve une masse importante de vapeur d'eau (H2O).

3- Les principaux phénomènes d’interaction de la

couche atmosphérique avec le rayonnement solaire :
Avant que le rayonnement utilisé pour la télédétection n'atteigne la surface
de la Terre, il doit traverser une certaine épaisseur de l'atmosphère. Les
particules et les gaz dans l'atmosphère peuvent dévier ou bloquer le
rayonnement incident. Ces effets sont causés par les mécanismes de diffusion
et d'absorption. La diffusion se produit lorsque le rayonnement incident
interagit avec des particules ou de grosses molécules de gaz dans
l'atmosphère. Les particules détournent le rayonnement de son trajet initial.
Le niveau de diffusion dépend de plusieurs facteurs tels que la longueur
d'onde, la densité des particules et des molécules et l'épaisseur de
l'atmosphère que le rayonnement doit traverser. Il existe trois types de
distribution:
  la diffusion de Rayleigh
 la diffusion de Mie
 la diffusion non-sélective.

Lorsque la taille des particules est inférieure à la longueur d'onde du

rayonnement, une diffusion Rayleigh se produit. Il peut s'agir de particules de
poussière ou de molécules d'azote ou d'oxygène. La diffusion Rayleigh
disperse et dévie les courtes longueurs d'onde dans une plus grande mesure
que les longues longueurs d'onde. Cette forme de diffusion existe
principalement dans les couches supérieures de l'atmosphère. Ce phénomène
explique pourquoi on sent le ciel bleu pendant la journée. Lorsque la lumière
du soleil traverse l'atmosphère, les courtes longueurs d'onde du spectre
visible (correspondant au bleu) sont diffusées et déviées plus que les grandes
longueurs d'onde. Au lever et au coucher du soleil, le rayonnement doit
voyager plus longtemps dans l'atmosphère que pendant la journée. Les
longueurs d'onde courtes ont une plus grande diffusion. Ce phénomène
permet à une plus grande proportion de grandes longueurs d'onde de
pénétrer dans l'atmosphère.

Lorsque la particule est presque aussi grande que la longueur d'onde du

rayonnement, nous l'appelons diffusion Mie. Cette propagation est
généralement causée par la poussière, le pollen, la fumée et l'eau. Ce type de
diffusion affecte les longueurs d'onde plus longues et se produit
principalement dans les couches inférieures de l'atmosphère, où les grosses
particules sont plus abondantes. Lorsque le ciel est nuageux, ce processus
domine.

Le troisième mode de transmission est la transmission non sélective. Cette

diffusion se produit lorsque les particules (gouttelettes d'eau et grosses
particules de poussière) sont beaucoup plus grandes que la longueur d'onde
du rayonnement. Nous appelons cette diffusion "non sélective" parce que
toutes les longueurs d'onde sont diffusées. Les gouttelettes d'eau dans
l'atmosphère diffusent le bleu, le vert et le rouge presque uniformément,
produisant ainsi un rayonnement blanc (bleu + vert + rouge = blanc). C'est
pourquoi le brouillard et les nuages nous paraissent blancs.

L'absorption est un autre phénomène qui se produit lorsque le rayonnement

électromagnétique interagit avec l'atmosphère. L'absorption se produit
lorsque les grosses molécules de l'atmosphère (ozone, dioxyde de carbone et
vapeur d'eau) absorbent de l'énergie de différentes longueurs d'onde.
L'ozone absorbe les rayons ultraviolets nocifs pour les êtres vivants. Sans
cette couche protectrice, notre peau brûlerait au soleil.

Vous avez peut-être entendu dire que le dioxyde de carbone est un gaz qui
cause l'effet de serre. Ce gaz absorbe beaucoup de rayonnement dans la
partie infrarouge thermique du spectre et emprisonne la chaleur dans
l'atmosphère.

La vapeur d'eau dans l'atmosphère absorbe une bonne partie du rayonnement

infrarouge de grandes longueurs d'onde et des hyperfréquences de petites
longueurs d'onde qui entrent dans l'atmosphère (entre 22 et 1 mm). La
présence d'eau dans la partie inférieure de l'atmosphère varie grandement
d'un endroit à l'autre et d'un moment à l'autre de l'année. Par exemple, une
masse d'air au-dessus d'un désert contient très peu de vapeur d'eau pouvant
absorber de l'énergie, tandis qu'une masse d'air au-dessus des tropiques
contient une forte concentration de vapeur d'eau.

Parce que ces gaz et ces particules absorbent l'énergie électromagnétique dans
des régions spécifiques du spectre, ils influencent le choix de longueurs d'onde
utilisées en télédétection. Les régions du spectre qui ne sont pas influencées de
façon importante par l'absorption atmosphérique, et qui sont donc utiles pour
la télédétection, sont appelées les fenêtres atmosphériques. En comparant les
caractéristiques des deux sources d'énergie les plus communes (le Soleil et la
Terre) avec les fenêtres atmosphériques disponibles, nous pouvons identifier
les longueurs d'onde les plus utiles pour la télédétection. La portion visible du
spectre correspond à une fenêtre et au niveau maximal d'énergie solaire. Notez
aussi que l'énergie thermique émise par la Terre correspond à une fenêtre
située à près de 10 mm dans la partie de l'infrarouge thermique du spectre.
Dans la partie des hyperfréquences, il existe une grande fenêtre qui correspond
aux longueurs d'onde de plus de 1 mm.

Maintenant que nous comprenons comment l'énergie électromagnétique se

rend de sa source à la surface de la Terre (et nous pouvons constater que c'est
un voyage difficile), nous allons examiner ce qu'il advient du rayonnement une
fois qu'il atteint la surface.

4-Les modèles de calcul de l’éclairement solaire :

Modèle de Atwater & Ball :
Calcul du rayonnement global :
La formule générale proposée par Atwater & Ball pour le calcul du
rayonnement solaire global est donnée par l’équation suivante:

où, TM est donnée par la relation suivante:

et, m est la masse d’air d’ozone donnée par

Le coefficient d’absorption du rayonnement direct par la vapeur d’eau est

donné par l’équation :

Uω est l’épaisseur d’eau condensable à w la verticale du lieu (cm) donnée par

l’équation :

Le coefficient de transmission après la diffusion par les aérosols est fourni par
l’expression suivante:

k est déterminé par l’équation :

Modèle de Capderou :
 Capderou proposa un modèle pour calculer le rayonnement solaire
incident sur un plan (α, γ ) , le rayonnement global étant la somme des
deux composantes directe et diffuse. Capderou utilisa l’angle
d’incidence donné par l’équation :

pour calculer le rayonnement direct à l’aide de l’équation suivante:

Le rayonnement diffus est lui-même décomposé en deux parties: celle

provenant du ciel et celle provenant du sol:

Les coefficients δ j sont les modules des différentes composantes du diffus,

associés aux facteurs de forme. Ils donnent le rayonnement diffus reçu par le
plan incliné considéré.

Modèle de Ashrae :
Les performances de la méthode ASHRAE pour estimer le rayonnement solaire
dans des conditions sans nuages sont évaluées, en utilisant des données
mesurées collectées en 1977 dans 31 stations de surveillance de la NOAA. Les
performances d'une version modifiée du modèle ASHRAE sont examinées, en
utilisant une masse d'air optique corrigée en élévation au lieu de valeurs de
clarté saisonnière. Sur la base des résultats comparatifs, une procédure révisée
pour estimer le rayonnement solaire par temps clair est suggérée. Les résultats
montrent que des erreurs de biais moyennes inférieures à 10% se sont
produites dans environ 90% des cas pour les deux versions du modèle. La
validité générale de l'approche ASHRAE pour estimer le rayonnement solaire
dans des conditions sans nuages est confirmée. La supériorité comparative
d'une version alternative du modèle ASHRAE est démontrée, en utilisant une
masse d'air optique corrigée en élévation plutôt que le concept de nombre de
clarté. Il est conclu que le modèle révisé permet une atténuation réduite en
raison de tous les constituants atmosphériques pertinents avec des élévations
de station accrues. La technique ASHRAE est étendue aux sites autres que ceux
pour lesquels des nombres de clarté sont disponibles.

II) Calcul de l’éclairement solaire global sur les parois

d’un bâtiment :

1/Le choix du modèle de calcul de l’éclairement solaire :

Modèle ASHRAE

2/ Description et présentation des équations détaillées du modèle choisit

pour une surface inclinée :
Le modèle ASHRAE Clear Sky a été initialement développé par Moon (1940)
puis modifié par Moon Threlkeld et Jordan (1958) et Stephenson (1967). Le
modèle de ciel clair ASHRAE est généralement utilisé comme outil de base
pour le calcul de la charge thermique solaire du système de climatisation et
conception du bâtiment dans les communautés d'ingénierie et de construction
dans différents pays du monde.

Cette méthode est basée sur l'équation suivante:

L'éclairement global est l'éclairement direct, l'éclairement diffus et

l’éclairement réfléchi :

Et=Et,b+Et,d+Et,r
Avec :

Et,b : L’éclairement direct a pour équation Et,b= Eb.cos(θ)

θ étant la valeur de l’angle du rayonnement incident du soleil.

Elle est définie par : Cos(θ)=cos(β) cos(γ) sin(Ʃ) +sin(β) cos(Ʃ)

 𝞢 est l’angle qui décrit l’inclinaison de la surface par rapport à la terre.

Lorsque la surface est verticale 𝞢 = 𝟗𝟎° alors Cos(θ)=cos(β) cos(γ)

Lorsque la surface est horizontale 𝞢 = 𝟎° alors Cos(θ)= sin(β)

 β est l’angle d’altitude solaire, elle est définie par :

Sin(β)=cos(L) cos(δ) cos(H) +sin(L) sin(δ)

Avec : -L : latitude de la région considérée

-δ : l’angle de déclinaison solaire :

δ=23.45sin (360°𝑛+284365)

Où n est le nombre de jours passés à compter du 1er janvier.

H : l’angle horaire H=(AST-12)

Où AST : le temps solaire exprimé en heures :

AST=LST+ET/60+(LON-LSM)/15

LST : le temps civil universel. Il s’exprime en heures et varie entre 1 et 24

LON : longitude de la région considérée

LSM : longitude du méridien standard égale à 15m

ET : équation du temps.

Elle est définie par :

ET =2.2918(0.0075+0.1868cos(Γ)-3.2077sin(Γ)-1.4615cos(2Γ)-4.089sin(2Γ))

Où : Γ=360*((𝒏−𝟏)/365)
𝛾 est la différence entre l’angle azimutal du soleil ɸ et l’angle azimutal 𝛹 de la
surface réceptrice du rayonnement : γ=ɸ-Ψ

ɸ est l’angle azimutal du soleil, elle est déterminer par :

sin(ɸ)=sin(H)cos(δ)/cos(β)

cos(ɸ)=(cos(H)cos(δ)sin(L)-sin(δ)cos(L))/cos(β)

Et,d : L’éclairement diffus a pour équation Et,d= Ed.Y

Avec : Y=max (0.45 , 0.55+0.437cos(θ)+0.313cos²(θ))

Si Ʃ≤90° : Et,d= Ed(Ysin(Ʃ)+cos(Ʃ))

Ʃ>90° : Et,d= EdYsin(Ʃ)

Et,r : L’éclairement réfléchit a pour équation :

Et,r=( Eb+sin(β)+ Ed).ρg.𝟏−𝐜𝐨𝐬(Ʃ) 𝟐

Où ρg est la réflectance du sol. Elle varie selon la nature du sol. (Souvent prise à
0,2 pour un mélange typique de surface au sol).

On définit :

Eb : l’éclairement normal du faisceau (mesuré perpendiculairement aux rayons

du soleil) :

Eb=E˳exp(-τbmab)

Ed : l’éclairement horizontal diffus (mesuré sur la surface horizontale) :

Ed=E˳exp(-τdmad)

E˳: l’irradiance normale extraterrestre :

E˳=Esc {1+0.033cos(360(𝑛−3)365 )}

Où Esc est la constante solaire égale 433.3 Btu/h.ft² (1367 w/m²)

m : la masse d’air :

m=1/[sin(β)+0.50572(6.07995+β)-1.6364]

τb et τd : profondeurs optiques directes et diffus :

ab et ad = exposants de masse d'air directs et diffus :

ab=1.219-0.043 τb -0.151 τd -0.204 τb τd

ad=0.202+0.852τb -0.007 τd -0.357 τb τd

3/Calcul de l’éclairement solaire global sur un toit du bâtiment (surface

horizontale) :
On se propose de calculer l’éclairement solaire global sur une surface
horizontale (Ʃ=0, Et,r=0 , Et,d= Ed) à Tunis pour le 31 Octobre et tracer sa
variation heure par heure. Les coordonnées GPS de Tunis :

Latitude 36°80278" N

Longitude: 10°17972 " E

LON=10.17

L=36.80

δ LT (heures) LSM LON Γ 2*Γ sin (2*Γ) cos (Γ)

-15,056183 1 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774

-15,056183 2 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 3 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 4 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 5 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 6 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 7 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 8 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 9 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 10 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 11 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 12 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 13 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 14 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
 -15,056183 15 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 16 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 17 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 18 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 19 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 20 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 21 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 22 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 23 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774
-15,056183 24 15 10,71 298,849315 597,69863 -0,84524906 0,48250774

cos(2*Γ) sin (Γ) ET AST H cos (H) sin(l) cos (δ)

-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 0,98689376 -0,9668082 0,5990236 0,96567157
165,196594
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 1,98689376 -0,86773591 0,5990236 0,96567157
150,196594
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 2,98689376 -0,70952884 0,5990236 0,96567157
135,196594
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 3,98689376 -0,50296856 0,5990236 0,96567157
120,196594
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 4,98689376 -0,2621318 0,5990236 0,96567157
105,196594
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 5,98689376 -0,0034312 0,5990236 0,96567157
90,1965936
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 6,98689376 0,25550324 0,5990236 0,96567157
75,1965936
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 7,98689376 0,49702555 0,5990236 0,96567157
60,1965936
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 8,98689376 0,70467639 0,5990236 0,96567157
45,1965936
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 9,98689376 0,86430471 0,5990236 0,96567157
30,1965936
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 10,9868938 0,96503208 0,5990236 0,96567157
15,1965936
-
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 11,9868938 0,99999411 0,5990236 0,96567157
0,19659358
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-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 19,9868938 119,803406 -0,49702555 0,5990236 0,96567157
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 20,9868938 134,803406 -0,70467639 0,5990236 0,96567157
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 21,9868938 149,803406 -0,86430471 0,5990236 0,96567157
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 22,9868938 164,803406 -0,96503208 0,5990236 0,96567157
-0,53437256 -0,87589171 16,3736257 23,9868938 179,803406 -0,99999411 0,5990236 0,96567157

cos(l) sin (δ) cos β sin (β) β sin H sin(φ) cos (φ)

- -
0,80073137 -0,25976609 0,42925321 -0,90318419 -1,12713056 -0,5747941
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- - -
0,80073137 -0,25976609 0,56282339 -0,82657718 -0,97299873
0,49702555 0,85277808 0,52227344
- -
0,80073137 -0,25976609 0,70995743 -0,7042446 -0,78135857 -0,9584884
0,70467639 0,28513152
- - -
0,80073137 -0,25976609 0,83874578 -0,5445232 -0,57582054
0,86430471 0,99509828 0,09889095
- -
0,80073137 -0,25976609 0,93360738 -0,35829774 -0,36644393 0,06037878
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- -
0,80073137 0,98739761 -0,15825917 -0,15892735 0,2086475
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-
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0,93444217
- -
0,80073137 -0,25976609 0,97349324 0,22871577 0,23075828 0,50900434
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- -
0,80073137 -0,25976609 0,92111929 0,38928044 0,39985028 0,66834992
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- -
0,80073137 -0,25976609 0,85856066 0,512712 0,53834059 0,8245994
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-
0,80073137 -0,25976609 0,80696535 0,59059879 0,63180066 -0,2621318 0,94952698
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-
0,80073137 -0,25976609 0,78646649 0,61763295 0,66572941 -0,0034312 0,99999113
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-
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-
0,80073137 -0,25976609 0,71365979 -0,70049247 -0,77608733 0,70952884 0,96008188
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-
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-
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φ m Tb Td ab ad m^ab m^ad

-
0,61235251
1,15433602 0,423 2,351 0,64293751 0,19091214 #NUM! #NUM!
-
1,02128162
1,26343027 0,423 2,351 0,64293751 0,19091214 #NUM! #NUM!
-
1,28165268
1,48983403 0,423 2,351 0,64293751 0,19091214 #NUM! #NUM!
-
1,47174348
1,94746321 0,423 2,351 0,64293751 0,19091214 #NUM! #NUM!
-
-1,5103808
3,03856861 0,423 2,351 0,64293751 0,19091214 #NUM! #NUM!
- -
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-
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-
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-
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-
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-
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-
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- -
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- -
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- -
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- -
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- -
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 E0 Eb Ed Et

1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!

1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
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1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1397,0859 #NUM! #NUM! #NUM!
1386,37851 #NUM! #NUM! #NUM!

cosθ, hori Et,b Y Et,d Et,r ET1

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0,22871577 114,094258 0,6663221 65,3206615 0 179,41492
0,38928044 255,736323 0,76754734 85,7232823 0 341,459605
0,512712 377,856362 0,85633458 98,090256 0 475,946618
0,59059879 458,717925 0,91726824 104,923514 0 563,641439
0,61763295 487,330869 0,93930585 107,154254 0 594,485123
0,59197216 460,165196 0,91837675 105,038474 0 565,203669
0,51536515 380,568593 0,85834776 98,3338835 0 478,902476
 0,39303256 259,314361 0,77010578 86,1331582 0 345,44752
0,23331116 117,751775 0,66899485 66,0029561 0 183,754731
0,0470857 6,72139322 0,57127039 28,8136906 0 35,5350838
-0,15295286 0 0,4904821 0 0 0
-0,35317224 0 0,45 0 0 0
-0,5399278 0 0,45 0 0 0
-0,70049247 0 0,45 0 0 0
-0,82392403 0 0,45 0 0 0
-0,90181082 0 0,45 0 0 0
-0,92884498 0 0,45 0 0 0

800
Horizontale
600

400

200
Horizontale
0
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23

4.Calcul de l’éclairement solaire global sur la surface d’un mur (surface

verticale) pour :
a/L’orientation Sud :

cosθ , 0 Et,b Y ET,d ET,r ET2

-0,35125707 0 0,45 0 0 0
-0,29394771 0 0,45 0 0 0
-0,20243124 0 0,47436379 0 0 0
-0,08294437 0 0,51590668 0 0 0
0,05637008 0 0,57562831 0 0 0
0,20601804 0 0,65331468 0 0 0
0,35580127 45,5936047 0,74510925 20,3464383 3,26835771 69,2084007
0,49551228 247,184994 0,84339052 55,0908265 17,941492 320,217313
0,61563 404,435819 0,93765741 80,3790705 34,1459605 518,96085
0,70796861 521,755769 1,016264 99,6855958 47,5946618 669,036026
0,76623537 595,134813 1,06861236 112,122564 56,3641439 763,621521
0,78645951 620,54007 1,08727911 116,506582 59,4485123 796,495165
0,76726278 596,42607 1,06955449 112,344371 56,5203669 765,290808
0,70995342 524,261241 1,01801224 100,105097 47,8902476 672,256586
0,61843695 408,031288 0,93996826 80,962435 34,544752 523,538475
0,49895008 251,819314 0,8459629 55,8360524 18,3754731 326,030839
 0,35963563 51,3372923 0,7476435 21,5423685 3,55350838 76,4331692
0,20998767 0 0,65556629 0 0 0
0,06020444 0 0,57744383 0 0 0
-0,07950657 0 0,51723419 0 0 0
-0,19962429 0 0,47523719 0 0 0
-0,2919629 0 0,45 0 0 0
-0,35022966 0 0,45 0 0 0
-0,3704538 0 0,45 0 0 0

SUD
900
800
700
600
500
SUD
400
300
200
100
0
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23

b/L’orientation Nord :

cos θ , 180 ET,b Y ET,d ET,r ET3

0,35125707 0 0,74211776 0 0 0
0,29394771 0 0,70549999 0 0 0
0,20243124 0 0,65128869 0 0 0
0,08294437 0 0,58840006 0 0 0
-0,05637008 0 0,52636086 0 0 0
-0,20601804 0 0,47325491 0 0 0
-0,35580127 0 0,45 12,287993 3,26835771 15,5563507
-0,49551228 0 0,45 29,3942977 17,941492 47,3357896
-0,61563 0 0,45 38,575477 34,1459605 72,7214376
-0,70796861 0 0,45 44,1406152 47,5946618 91,735277
-0,76623537 0 0,45 47,2155813 56,3641439 103,579725
-0,78645951 0 0,45 48,2194143 59,4485123 107,667927
-0,76726278 0 0,45 47,2673131 56,5203669 103,78768
-0,70995342 0 0,45 44,2502476 47,8902476 92,1404952
 -0,61843695 0 0,45 38,7599212 34,544752 73,3046732
-0,49895008 0 0,45 29,7013302 18,3754731 48,0768033
-0,35963563 0 0,45 12,9661608 3,55350838 16,5196692
-0,20998767 0 0,47203707 0 0 0
-0,06020444 0 0,52482515 0 0 0
0,07950657 0 0,58672294 0 0 0
0,19962429 0 0,64970882 0 0 0
0,2919629 0 0,70426864 0 0 0
0,35022966 0 0,7414432 0 0 0
0,3704538 0 0,75484318 0 0 0

NORD
120

100

80

60
NORD
40

20

0
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23

c/ L’orientation Ouest :

cosθ, 90 ET,b Y ET,d ET,r ET,6

-0,24673221 0 0,46123246 0 0 0
-0,47996344 0 0,45 0 0 0
-0,68048596 0 0,45 0 0 0
-0,83463448 0 0,45 0 0 0
-0,93190404 0 0,45 0 0 0
-0,96566588 0 0,45 0 0 0

-0,93361919 0 0,45 12,287993 3,26835771 15,5563507

-0,83794789 0 0,45 29,3942977 17,941492 47,3357896
-0,68517183 0 0,45 38,575477 34,1459605 72,7214376
-0,48570244 0 0,45 44,1406152 47,5946618 91,735277
-0,25313323 0 0,4594367 48,2057131 56,3641439 104,569857
-0,00331341 0 0,54855548 58,7800528 59,4485123 118,228565
 0,24673221 191,795468 0,67687641 71,098065 56,5203669 319,413899
0,47996344 354,426396 0,83184824 81,798868 47,8902476 484,115512
0,68048596 448,969879 0,9923105 85,4708375 34,544752 568,985468
0,83463448 421,2387 1,13277568 74,7665432 18,3754731 514,380716
0,93190404 133,027503 1,2290654 35,4139101 3,55350838 171,994921
0,96566588 0 1,26387181 0 0 0
0,93361919 0 1,23081641 0 0 0
0,83794789 0 1,13595827 0 0 0
0,68517183 0 0,99636121 0 0 0
0,48570244 0 0,83609081 0 0 0
0,25313323 0 0,68067515 0 0 0
0,00331341 0 0,5514514 0 0 0

OUEST
700
600
500
400
300 OUEST

200
100
0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 101112131415161718192021222324

5/ Comparaison et interprétation des courbes obtenues :

900

800

700

600
Horizontal
500
SUD
400
NORD
300 OUEST

200

100

0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 101112131415161718192021222324
L’orientation sud a l’éclairement solaire globale le plus élevé par contre
l’orientation nord a le plus faible éclairement.

Les pics des courbes de l’horizontale et l’orientation nord et sud sont les
mêmes. Seule le pic de la courbe de l’orientation Ouest est décalé.

Références
https://lenergie-solaire.net/qu-est-ce-que-energie-
solaire/rayonnement-solaire

https://sites.google.com/site/tpesoleil2012/fayolle/composition-des-
rayons
https://meteo45.com/images/xatmosphere2.jpg.pagespeed.ic.MyaTeMu
wxi.webp
https://seis.bristol.ac.uk/~ggjlb/teaching/ccrs_tutorial/tutorial/chap1/
c1p4f.html
https://www.osti.gov/biblio/5705316
https://www.cder.dz/vlib/revue/pdf/v015_n3_texte_9.pdf