Plan de Matière TFH
Plan de Matière TFH
Plan de Matière TFH
Introduction
Partie informative
3) La pédagogie Freinet
1. La pédagogie traditionnelle
2. Définition de la pédagogie traditionnelle
3. Les caractéristique de la pédagogie traditionnelle
4. La centralité de l’enseignant
Partie argumentative
Conclusion
Bibliographie
Partie informative
Introduction
La manière dont les besoins des élèves sont pris en compte s’inscrit dans une
approche évolutive de lutte contre les difficultés d’apprentissage, dans
laquelle l’évaluation formative est encouragée. L’évaluation est à la fois
conviviale et rigoureuse et repose sur une observation attentive de la part des
enseignants pour identifier les acquis et les progrès des élèves, ainsi que
leurs difficultés. Points clés à retenir : les étudiants en difficulté sont suivis
immédiatement et un soutien adapté à leurs besoins est fourni.
C’est une notion nouvelle qui est apparue dans nos actions au milieu du
20ème ́siècle. Dans notre quotidien, nous fonctionnons avec des projets : des
projets d’avenir, des projets professionnels ou de reconversion, des projets en
laboratoire de recherche, etc… .
Quand on fait de la pédagogie par projet on fait de la recherche car chacun a
sa propre idée de ce qu’est le projet et de la manière dont il peut être réalisé .
L’objectif peut être de préparer spécifiquement les étudiants à des futurs
métiers et de les motiver. Les enseignants travaillent en équipe et
développent une approche par compétences. Il est difficile de trouver une
définition unique de cette méthode pédagogique mais en voici les traits
communs. Pour Philippe Perrenoud : “un apprentissage par projet est une
entreprise collective gérée par le groupe classe qui s’oriente vers une
production concrète au sens large”. L’enseignant accompagne les élèves en
leur proposant un fil conducteur leur permettant de mettre en place des
actions leur permettant de réaliser un objectif.
3. La pédagogie Freinet
Célestin Freinet a fait des recherches pour mettre en place une nouvelle
méthode d’éducation. Sa pédagogie a eu beaucoup de succès entre 1920 et
1940, même si ça semblait révolutionnaire. Les enseignants ont coopéré entre
eux ce qui a permis à la pédagogie Freinet d’évoluer en France et dans le
monde. Beaucoup de pédagogies alternatives se basent sur cette pédagogie.
“L’entraide” :
Ce que l’on retient le plus souvent de Freinet, c’est que la coopération est
importante, et les rares textes où il se réfère à lui-même contribuent largement
à indiquer toutes les possibilités offertes aux enseignants par les pratiques
collaboratives qu’il défend. Tout d’abord la coopération a une fonction, elle
établit une relation entre le professeur et l’élève, parce que leur relation sera
moins figée, les étudiants n’apprendront plus en suivant à un ordre
hiérarchique. Ils seront actifs et participeront à leurs propre processus
d’apprentissage. Il ne s’agit pas de renvoyer le professeur mais de s’entraider.
“L’écriture libre” :
En encourageant les élèves à écrire librement, Freinet leur confie une tâche
qui réponds au caractère ambiguë de la situation éducative. L’écriture libre
permet de reconnaître la liberté et la complexité de chaque enfant, même si
celui-ci n’est pas transparent ou a du mal à s’exprimer. C’est l’élève qui
avance en toute liberté vers l’écriture sans que l’enseignant est à le
différencier ou à laisser l’élève agir seul.
“L’organisation du travail” :
La centralité de l’enseignant :
Impersonnalité de la relation :