FR Nouvelles A Chute
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Il veut l’amener au brasserie ( plus de chose interessante) mais la fille refuse et veut aller au
mcdo car ca fait dp longtemps quelle n pas aller
Le garcon decrit comment il deteste toutes choses a mcdo (adj péjoratif) mais il est ému et
dois accepter ce que la fille kil est amoreuse de
Le mec reflechit bcp sur commence la fille pense sur lui est ou va t-il aller avec elle
Un garçon assez maigreux, souffreux et malheureux ramené tlj par sa mère mme Klara au
parc
Il fut moquer par les enfants au parc et lui donne Laitue comme nom
Un jour il ramène un fusil, les autres enfants avec l’intention de lui piéger l’invita à jouer à la
jeu de guerre avec eux
Sa mère lui demande ce qu'il a fait lui-même et pas les autres et se plaignait sur son fils
misérable, rachitique et sans courage et imagine son fils dans 15 ans, un bureaucrate(pejor.)
A côté il y a avait une mme qui lui regarder et s’apitoyer le pauvre petit garcon
La mère s'en fout et lui ordonne de rentrer et aller changer, c'était mme hitler qui parlait av la
mere.
Le roman que lit l'homme d'affaires parle d'un couple d'amoureux qui se retrouvent dans une
cabane dans les bois. Il a une blessure au visage causée par une branche et elle l'attend.
Elle veut le caresser mais il la rejette car ils ont prévu cette rencontre pour finaliser comment
ils allaient tuer quelqu'un. Ils revoient leurs alibis et éliminent les éventuelles erreurs. La nuit
approche. Dans le deuxième paragraphe, la femme se dirige vers le nord, tandis que
l'homme s'approche d'une maison du domaine. Armé du poignard, l'homme entre dans la
maison, tout comme prévu et voit sa victime : un homme assis dans un fauteuil de velours
vert en train de lire un roman.
A ce moment-là, les deux histoires se rejoignent, alors que le (vrai) lecteur se rend compte
que l'homme au fauteuil est la victime des deux amants du roman qu'il est en train de lire.
ICEBERG
Jaloux, il prémédite le meurtre de Georges. Comme chaque week-end, il invite Irène à sortir
et admirer les paysages normands, mais comme prévu, elle n'accepte qu'à condition que
Georges les accompagne. Après qu'Irène ait bloqué le frein du véhicule pour atteindre le
toposcope qu'ils utilisent habituellement, le narrateur relâche volontairement la pédale de
frein pendant que Georges est là. La voiture prend de la vitesse et se dirige tout droit vers le
bord de la falaise. Irène se précipite à la rescousse de Georges et le sauve au dernier
moment. Si l'identité de ce dernier restait floue et laissait croire que Georges était un homme
adulte, c'est seulement à cet instant que le lecteur comprend que le véhicule est une
poussette et que Georges se révèle être, à travers ses cris et ses larmes. , un
nourrisson(bebe) et l'enfant d'Irène.
Angèle a perdu l’homme que a vécu avec elle pendant vingt ans. Mais elle ne
semble pas triste. Vraiment, elle semble très confortable : quand sa voisine Cécile
lui demande se elle n'a besoin de rien, son pensée « de quoi aurait-elle pu avoir
besoin ? » semble indiquer que elle ne manque de rien ni de personne, malgré sa
récente solitude.
Au long de la lecture, on découvre qu'Angèle n’a pas été heureuse. Cécile un jour
lui avait dit « qu’il semblait avoir aperçu Baptiste discutant avec Germaine
Richard, près de la vigne ». Les mots de sa voisine semblaient suggérer qu'il y avait
entre Baptiste et Germaine plus que de l'amitié.
Bien que le récit ne soit pas à la première personne, le discours semble traduire
tout le temps les pensées d'Angèle. Des informations sont cachées au lecteur.
Comme la mort de Baptiste a été énigmatique (le médecin ne comprenait pas sa
maladie), on peut penser qu'Angèle a été la responsable de son mal – mais on ne
pourra jamais le savoir, ni l'affirmer mais on peut avoir des indices grace a la chute
a la fin du nouvelle( elle l’a tué avec des morts-aux-rats)