CPS - Lot 4 - G1 - VD - 2023
CPS - Lot 4 - G1 - VD - 2023
CPS - Lot 4 - G1 - VD - 2023
المملكة المغربية
Ministère de l’Agriculture, de la Pêche وزارة الفالحة والصيد البحري والتنمية القروية والمياه
Maritime, de Développement Rural et des والغابات
Eaux et Forêts
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***** المكتب الجهوي لالستثمار الفالحي
OFFICE REGIONAL DE MISE EN VALEUR لسوس ماسة بأكادير
AGRICOLE DE SOUSS MASSA AGADIR
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- ENTREPRENEUR : désigner-la ou les personnes, firmes ou sociétés dont l’offre a été acceptée par
la commission d'appel d'offres et comprend ses représentants personnels, successeurs et
mandataires autorisés.
- INGENIEUR : désigne la ou les personnes ou l’organisme, chargé par le Maître d’ouvrage de faire
fonction en son lieu et place.
- MONTANT DU MARCHE : désigne la somme totale mentionnée dans l’offre qui sera le total des
sommes indiquées dans le devis estimatif et mentionnées à la fin de ce devis sous réserve de toute
addition ou déduction qui pourrait y être apportée en vertu des stipulations du marché.
- MATERIEL : désigne tous les engins ou appareils de quelque nature que ce soit, nécessaires à
l’exécution, l’achèvement et l’entretien des travaux et ouvrages définitifs ou provisoires prévus au
Marché à l’exclusion des matériaux, ou de toute autre fourniture destinée à faire partie ou faisant
partie intégrante des ouvrages définitifs.
- PLANS : désignent les plans ou dessins dont il est fait mention dans le marché, y compris toutes
modifications de ceux-ci approuvées par écrit par l’Administration. Cette définition s’entend à tous
les autres plans ou dessins qui pourraient être, en cours de travaux, fournis ou approuvés par
écrit par le Maître d’ouvrage.
- CHANTIER : désigne les emplacements ou terrains où les travaux doivent être effectués et tous
les autres emplacements ou terrains mis à disposition par le Maître d’ouvrage aux fins d’exécution
et tous les terrains publics utilisés par l’Entreprise aux fins d’exécution.
- ORDRE DE SERVICE : désigne une notification par écrit par le Maître d’ouvrage. Cette notification
est à considérer comme pièce contractuelle postérieure à la conclusion du marché à moins que la
notification n’ait pas fait l’objet de constatation de la part de l’Entrepreneur.
Dans le cadre du programme PMH III pour la reconversion collective en irrigation localisée au niveau
des quatre secteurs Atlas, Azhar, Fayed et Aoulouz relevant de la zone d’action de l’ORMVA/SM et
gérés respectivement par les quatre AUEAs Atlas, Azhar, Fayed et Aoulouz et situés dans les territoires
des Communes Territoriales d’Aoulouz, d’El Fayed et d’Idaougmad appartenant à la province de
Taroudant.
- Etendu du périmètre : Le périmètre G1 est réparti en quatre (4) secteurs et s’étend sur 10 km
dans la direction Nord Sud, du village d’Aoulouz jusqu’au chef-lieu de la commune rural El
Fayed. Le long de la rive gauche de l’oued Souss, le périmètre s’étend sur 15 km d’Est en Ouest.
- Accès : L’accès au périmètre, à partir d’Agadir, se fait par la route nationale RN10 goudronnée
(sur 161 km), soit un trajet d’environ deux heures. Outre cette route qui mène d’El Fayed à
Aoulouz qui constitue la limite Est de l’oliveraie.
- Climatologie : La pluviométrie moyenne est de 339 mm/an avec une forte irrégularité intra et
interannuelle. Les températures moyennes mensuelles oscillent entre 14°C en janvier et 27°C
en juillet/août avec une moyenne annuelle de 19,7°C.
- Topographie : Les élévations au niveau du périmètre par rapport à la mer varient de 690 à 710
m NGM. La pente générale est de direction Nord - Est au Sud – Ouest.
Lot n°1 : Réalisation du génie civil et la fourniture et Installation des équipements des ouvrages
de tête du périmètre G1 ;
Lot n°2 : Réalisation d’un réseau d’adduction sous pression en conduites enterrées de grands
diamètres ainsi que les ouvrages annexes ;
Lot n°3 : Réalisation d’un réseau d’irrigation sous pression en conduites PVC enterrées de
petits diamètres, ainsi que les bornes d’irrigation et ouvrages annexes.
Le nombre de bornes d’irrigation objet des travaux objet du lot n°3 sont réparties comme suit :
Secteur Nb de bornes ou de blocs d’irrigation
Aoulouz 69
Atlas 48
Fayed 65
Azhar 36
Total 218
Lot n°4-1 : Réalisation des réseaux de conduites de distribution internes aux blocs, en PEHD
des secteurs Atlas et Azhar ainsi que les prises d’irrigation et les ouvrages annexes ;
Lot n°4-2 : Réalisation des réseaux de conduites de distribution internes aux blocs, en PEHD
du secteur Fayed ainsi que les prises d’irrigation et les ouvrages annexes ;
Lot n°4-3 : Réalisation des réseaux de conduites de distribution internes aux blocs, en PEHD
du secteur Aoulouz ainsi que les prises d’irrigation et les ouvrages annexes.
L’infrastructure objet du Lot n°4-1 de travaux ainsi projetée, porte sur la réalisation des ouvrages et
des équipements ci-après :
- Les raccordements des conduites de distribution intra-blocs aux bornes d’irrigation réalisées
dans le cadre des aménagements externes (Lot n°3) au niveau des deux secteurs Atlas (48
bornes) et Azhar (36 bornes) ;
- Les réseaux de conduites de distribution intra-blocs à l’intérieur de chaque bloc d’irrigation des
deux secteurs Atlas et Azhar, desservis par les bornes d’irrigation, y compris les pièces de
raccordement, sur un linéaire total d’environ 70,4 km, de DN 50 à 250 mm, en PEHD, PN 16
bars ;
50 46 21 67
65 139 197 336
- Les Prises – Propriétés individuelles alimentées à partir des conduites des réseaux de
distribution intra-blocs :
50 16 11 27
65 49 82 131
80 13 11 24
100 0 2 2
150 1 1 2
- Les Prises - Propriétés groupées, au sein de groupes d’irrigants, alimentées à partir des
conduites des réseaux de distribution intra-groupes :
Nb Secteur
DN (mm) Nb Secteur Atlas Total Lot 4-1
Azhar
50 213 100 313
65 682 1164 1846
L’infrastructure objet du Lot n°4-2 de travaux ainsi projetée, porte sur la réalisation des ouvrages et
des équipements ci-après :
- Les raccordements des conduites de distribution intra-blocs aux bornes d’irrigation réalisées
dans le cadre des aménagements externes (Lot n°3) au niveau du secteur Fayed (69 bornes) ;
- Les Prises – Propriétés individuelles alimentées à partir des conduites des réseaux de
distribution intra-blocs :
50 55 55
65 122 122
80 16 16
100 3 3
150 1 1
- Les Prises - Propriétés groupées au sein de groupes d’irrigants, alimentées à partir des conduites
des réseaux de distribution intra-groupes :
50 329 329
65 1542 1542
L’infrastructure objet du Lot n°4-3 de travaux ainsi projetée, porte sur la réalisation des ouvrages et
des équipements ci-après :
- Les raccordements des conduites de distribution intra-blocs aux bornes d’irrigation réalisées
dans le cadre des aménagements externes (Lot n°3) au niveau du secteur Aoulouz (69 bornes) ;
Nb Secteur
DN (mm) Total Lot 4-3
Aoulouz
50 31 31
65 322 322
- Les Prises – Propriétés individuelles alimentées à partir des conduites des réseaux de
distribution intra-blocs :
Nb Secteur
DN (mm) Total Lot 4-3
Aoulouz
50 10 10
65 123 123
80 9 9
100 5 5
150 1 1
- Les Prises - Propriétés groupées au sein de groupes d’irrigants, alimentées à partir des conduites
des réseaux de distribution intra-groupes :
Nb Secteur
DN (mm) Total Lot 4-3
Aoulouz
50 134 134
65 1699 1699
Les plans types des Prises – Groupes et des Prises - Propriétés sont joints au dossier d’appel d’offres.
Lesdits plans sont donnés à titre indicatifs et ne sont pas contractuels. Les plans d’exécution
proprement dit seront réalisés par l’entreprise adjudicataire du marché et mis à la disposition du
Maître d’Ouvrages pour approbation.
Les équipements internes aux parcelles des agriculteurs ne font pas l’objet des présents lots.
Le rétablissement des voies de circulation qui auraient été coupées (remblais, enrobés, etc.) ;
La métallisation des parties métalliques et les peintures ;
La protection par peinture bitumineuse de toutes les parois béton en contact avec les remblais ;
Les essais en usine des conduites et des appareillages des prises ;
Les essais d’étanchéité et de pression des conduites en tranchée ;
Les études complémentaires nécessaires pour l’exécution des travaux, en particulier les
sondages et prospections, essais et analyses géotechniques des sols de fondations des
différents ouvrages (conduites, ouvrages, etc.) ainsi que les travaux topographiques
complémentaires, qui sont à la charge de l’entrepreneur ;
Les sondages et puits de reconnaissance du terrain au niveau des ouvrages et le long du tracé
des conduites ;
Le nettoyage et la remise en état des lieux à l’achèvement des travaux ;
L’essai général de mise en service des équipements ;
La mise en service industrielle des équipements ;
La remise du dossier technique de récolement ;
La fourniture de caisses d'outillage contenant tous les outils nécessaires pour les opérations
d'entretien des équipements des prises (démontage, remontage, etc.) ;
La réalisation d'une formation de deux (2) jours pour vingt personnes, sur le fonctionnement
et l'exploitation des équipements des prises (fonction, montage, entretien et réparations
courantes des équipements livrés). Le public cible de cette formation seront les membres du
conseil d'administration des AUEA, leurs ouvriers spécialisés et les représentants de
l’ORMVA/SM.
La liste ci-dessus n’est pas limitative. L’Entrepreneur s’engage à livrer et mettre en service un réseau
de distribution intenres aux blocs avec ses ouvrages en parfait état de marche.
1- Le règlement fixant les conditions et formes de passation des marchés de l'ORMVA/SM ainsi
que les modalités relatives à leur gestion et à leur contrôle visé le 11 Mars 2014 ;
2- Le Décret n° 2-14-394 du 6 chaabane 1437 (13 Mai 2016) approuvant le Cahier des Clauses
Administratives Générales applicables aux marchés des travaux exécutés pour le compte de
l’état (CCAG-T).
4- Le Décret 2.86.99 du 14 Mars 1986 pour l’application de la loi n°30.85 relative à la taxe sur la
valeur ajoutée promulguée par le Dahir 1.85.347 du 7 Rabia II 1406 (20 Décembre 1985) ;
5- Le Dahir 1-03-195 portant promulgation de la loi 69-00 relative au contrôle financier de l’Etat
sur les entreprises publiques et autres organismes ;
8- L’Arrêté du 1er Ministre n°3.14.08 du 2 Rabia I 1429 (10mars 2008) fixant les règles et les
conditions de révision des prix des marchés de travaux ou de services portant sur les prestations
d’études passés pour le compte de l’Etat ;
9- Arrêté du Chef de gouvernement n°3-309 du 27 novembre 2015 fixant les règles et les conditions
de révision des prix des marchés publics ;
10- Le Guide Marocain des Terrassements Routiers (GMTR) rendu applicable par la note circulaire
de la DRCR n°214.22/40900/1896/2002 du 11/07/2002 ;
11- Les normes en usage au Maroc, ou les normes du pays d'origine des fournitures, ou à défaut
les normes Françaises ;
15- Note DR n°215-20/96/08 du 05/11/2008 relative à l’imprégnation des assises en graves non
traitées à l’émulsion de bitume ;
16- Le Dahir du 1-15-05 du 29 Rabii II 1436 (19 février 2015) portant promulgation de la loi 112-
13 relative au nantissement des marchés publics.
17- Les règles pour l’attribution de marchés de fournitures et de services dans le cadre de la
L’acte d’engagement ;
Le cahier des prescriptions spéciales ;
Lebordereau des prix détail estimatif ;
Le C.C.A.G.T ;
Le mémoire technique d’exécution ;
Les dossiers d’exécution des ouvrages.
La déclaration d’engagement.
L’ORMVA/SM se réserve le droit d’encaisser le montant des cautions si le titulaire ne remplit pas ses
engagements, sans mise en demeure préalable.
La retenue de garantie cessera de croître lorsqu’elle aura atteint sept pour cent (7 %) du montant initial
du marché.
Toutefois, cette retenue de garantie ne sera pas effectuée dans le cas où l’Entrepreneur produira un
cautionnement de garantie, constitué par un établissement bancaire agréé par le Ministère de
l’Economie et des Finances.
La retenue de garantie ou le cautionnement de garantie sera libérée à la réception définitive, sous
réserve que le titulaire ait satisfait à toutes ses obligations.
1) La liquidation des sommes dues par l’ORMVA/SM sera opérée par les soins du Directeur de
l'Office Régional de Mise en Valeur Agricole du Souss-Massa.
2) Le fonctionnaire chargé de fournir au titulaire du Marché ainsi qu'aux bénéficiaires des
nantissements ou subrogations les renseignements et états prévus à l'article 8 du Dahir du 19
février 2015, est le Directeur de l'Office Régional de Mise en Valeur Agricole du Souss-Massa.
3) Les paiements prévus au marché seront effectués par le trésorier payeur de l'Office Régional de
Mise en Valeur Agricole du Souss-Massa, seul qualifié pour recevoir les significations des
créanciers du titulaire du marché.
4) En cas de nantissement, l’ORMVA/SM délivrera aux frais du soumissionnaire retenu une copie
originale du marché qui sera conservée et enregistrée à la charge de l’attributaire.
Responsabilité civile ;
Accidents de travail ;
Le montant total des travaux réalisés depuis le début des travaux jusqu’au terme de paiement
prévu.
Le montant des décomptes précédemment liquidés par le Maître d’ouvrage.
Les paiements seront calculés compte tenu des retenues et éventuellement des pénalités ou de toutes
sommes à la charge de l’Entrepreneur.
ARTICLE 24. CARACTERES DES PRIX - IMPOTS, TAXES, FRAIS DOUANIERS ET AUTRES
L’Entrepreneur sera entièrement responsable de toutes taxes, droits de timbre, patente, et autres à
payer à l’extérieur du Maroc et/ou au Maroc avant et pendant l’exécution des travaux faisant l’objet
du marché.
L'Entrepreneur est réputé connaître en détail avant l'établissement de ses prix, toutes les incidences
des lois fiscales et douanières en vigueur à la date de la remise de son offre et qu'il est tenu de les
régler intégralement.
Les prix du marché comprennent le bénéfice ainsi que tous droits, impôts, taxes, frais généraux, faux
frais et d’une façon générale toutes les dépenses qui sont la conséquence nécessaire et directe du
travail et ce conformément à l’article 53 du CCAG-T.
P = {0,15 + 0,25 x S (1+ChTp) + 0,25 xPe + 0,10 x Ta + 0,05 x Mc3 +0,05 x Mtn + 0,10 x G + 0,05 x Cs} x {100 +T} }
P0 S0 (1+ChTp0) Pe0 Ta0 Mc30 Mtn0 G0 Cs0 {100+T0}
S : Index salaire ;
Pe : Index polyéthylène ;
G : Index gazoil ;
Les valeurs des indices sont celles publiées par le Ministère de l’Equipement du Royaume du Maroc,
respectivement à la date de base qui est la date de la soumission et la date de la révision des prix.
Les formules proposées ci-dessus, doivent être acceptées par l’Entrepreneur sans modifications.
Le calcul du rapport P/Po sera arrêté à la quatrième décimale par défaut.
En cas de retard dans l’exécution des travaux dont la responsabilité incombe à l’Entreprise, il ne sera
tenu compte d’aucune majoration des salaires, de fournitures ou de charges nouvelles survenues après
l’expiration du délai d’exécution.
Les prix à appliquer aux travaux exécutés hors délai seront en vigueur à la date du délai, stipulée dans
le marché ou dans l’ordre de service relatif à ces travaux.
Toutefois, si les prix pratiqués après la date d’expiration du délai d’exécution subissent une baisse, le
Maître d’ouvrage appliquera dans la formule de variation des prix les indices publiés au moment de
l’exécution des travaux.
Les indices sont ceux de la liste des indices économiques publiés chaque mois par le Ministère des
Travaux Publics conformément aux dispositions de la circulaire 5.038 TP du 9 décembre 1953, et
circulaire qui l’ont modifiée ou complétée, notamment les circulaires 5.038 TP bis (IB 3.087) du 20
juin 1960, 6.11 TP du 2 mars 1962 et IB 3/7 du 22 février 1972.
Le Maître d’ouvrage remet à l’Entrepreneur, après l’ordre de service de commencer des travaux, les
plans et autres documents réalisés dans la phase d’étude du projet. Ces documents sont donnés à
titre indicatif.
L’entrepreneur doit établir, dans un délai de 60 jours maximum après l’ordre de service précité, toutes
les études d’exécution ou autres études nécessaires à la réalisation du projet. Ces études
comprenderont :
- Les notes des calculs hydrauliques pour le dimensionnement des conduites de distribution des
réseaux intra-blocs et intra-groupes et leurs équipements. Ces notes détaillent pour chaque
bloc :
Les nœuds des réseaux des conduites de distibution intra-blocs et intra-groupes ;
- Rapport des résultats d’essais et d’analyses géotechniques réalisés par le laboratoire agréé ;
- Les prospectus et la documentation technique des matériels proposés, qui doivent être
conformes à ceux présentés dans l’offre technique ;
- Le manuel d’entretien, de maintenance et de service après-vente de tous les appareillages et
équipements, qui doivent être conformes à ceux présentés dans l’offre technique ;
- Protocoles des essais en usines et sur sites ;
- Organisation et composition des équipes du chantier ;
- Liste des moyens humains et d’encadrement du chantier. Cette liste doit être conforme à
celle présentée dans l’offre technique ;
- Liste des moyens matériels à mobiliser pour les travaux. Cette liste doit être conforme à
celle présentée dans l’offre technique ;
- Plan assurance qualité.
Tous ces documents (notes, schémas, plans d’exécution et d'équipement et nomenclatures, rapports,
planning, etc.), devront être soumis à l’approbation du Maître d’ouvrage, avant exécution.
L’étude du béton armé est à la charge de l’entrepreneur, qui doit être établie par un bureau d’études
agrée et approuvée par un bureau de contrôle.
Le programme d’exécution dont les postes principaux sont arrêtés chronologiquement, doit préciser
les dates de démarrage et de fin d’exécution de chaque poste principal, dans le planning de réalisation
des travaux, qui constituera le premier planning et qui aura un caractère contractuel.
Le Maître d’ouvrage se réserve le droit de remanier ce planning après examen avec l’Entrepreneur des
délais nécessaires à une bonne exécution des travaux.
Périodiquement, et au moins tous les mois, une mise à jour de ce planning sera effectuée qui permettra
de se rendre compte de la conformité de l’avancement des travaux avec les prévisions.
L’achèvement de toutes les installations du chantier doit intervenir 1 (un) mois après la
notification de l’ordre de service.
Il appartiendra à l’Entrepreneur, dans le cadre de son programme de travaux, de se prémunir à sa
convenance contre des retards éventuels de ses sous-traitants. De convention expresse, il ne pourra
arguer du retard d’un de ceux-ci pour éluder une quelconque de ses obligations.
La remise des dossiers sera effectuée en trois phases :
a. Fourniture des plans et de documents d'exécution :
A compter de la date de notification de l’ordre de service de démarrage des travaux ; l’Entrepreneur
remettra au Maître d’Ouvrage dans un délai maximum de 60 jours, le dossier d’exécution des travaux
qui comprend le mémoire technique des études d’exécution et le mémoire technique d’exécution des
travaux à réaliser.
Les plans et les documents d’exécution doivent être livrés sous forme de dossier en cinq exemplaires
et sur support numérique. L'ensemble des documents techniques établis par l’Entrepreneur pour
l’installation du matériel d’équipement des prises seront soumis à l'agrément de l’ORMVA qui fera
part de ses éventuelles observations dans un délai de 30 jours à compter de la réception de ces
documents.
b. Fourniture des plans et de documents en cours d'exécution des travaux :
En cas d’éventuels changements ou de modifications au moment de l’exécution des travaux,
l’Entrepreneur est appelé, à établir tous les documents (note de calcul, rapport, etc.) et tous les plans
rectificatifs nécessaires pour l’exécution des dits prestations.
Ces documents et plans doivent être soumis à l’approbation du Maître d’Ouvrage, dans un délai de
10 jours à partir de la date de la prescription des modifications à apporter par le Maître d’Ouvrage.
c. Fourniture des dossiers après exécution (dossiers de récolement) :
Avant la réception provisoire et après l’achèvement des travaux et la réalisation des essais,
l’Entrepreneur remettra au Maître d’Ouvrage sous forme de dossier classé en 5 exemplaires et sur
support numérique un dossier de récolement complet comportant :
Un mémoire explicatif de changements éventuels du projet d’exécution fait au cours des
travaux ;
Les notes de calcul hydrauliques et de dimensionnement des conduites et des équipements des
ouvrages ;
Les plans d’implantation, d'installation, de génie civil des ouvrages réalisés etc. ;
Les notices techniques d’entretien et d’exploitation avec une liste des pièces de rechange ;
Les catalogues et les prospectus détaillant les spécifications techniques de tous les apapreils
et équipemenst installés ;
Le manuel d’utilisation de réglage, d’entretien, d’exploitation, de maintenance et de
fonctionnement pour chaque matériel installé ;
Les procès-verbaux et les comptes rendus de tous les essais, en usine et sur site ;
Un album photos retraçant l’avancement des travaux et illustrant les principaux ouvrages.
Le prononcé de la mise en service normale des matériels sera subordonné à la remise de ces plans et
documents.
Tous les dessins doivent être complets et indélébiles entièrement côtés, établis d'une façon
parfaitement lisible et doivent porter toutes les indications permettant une identification rapide et sûre
de leur objet. Chacun d'eux doit indiquer notamment :
Le nom de l’Entrepreneur (et éventuellement de son sous-traitant) ;
La désignation de l’ORMVA/SM ;
La désignation de l'installation ;
Une codification à mettre au point avec l’ORMVA/SM ;
La désignation précise et complète du plan ;
La mention précise de la ou des échelles utilisées ;
La nature des modifications s'il y a lieu. Tout plan modifié devant obligatoirement porter un
nouvel indice et la date de modification.
NB : Ces documents devront être en langue française et fournis en cinq exemplaires et deux
copies en format numérique sur supports informatiques (clé USB ou disque dur externe).
La salle de réunion de chantier sera équipée d’une table de réunion pour dix personnes, avec chaises,
une armoire de rangement, un PC portable, une imprimante et écran d’affichage..
Par ailleurs, l’Entrepreneur est tenu de signaler à l’entrée du chantier, par un panneau, toutes les
indications relatives à la nature du projet, le maître d’ouvrage, le bailleur de fonds, l’Entreprise, et les
autres intervenants.
En outre, il doit construire et équiper un ensemble d'installations sociales (infirmerie, cabines de
douches, lavabos et sanitaires) raccordés par les soins de l'Entrepreneur aux réseaux d'eau potable et
d'eaux usées.
Tous les travaux de V.R.D. correspondants aux installations précitées sont à la charge de
l’Entrepreneur et doivent être réalisés conformément aux textes et règles de l'art en vigueur.
L'Entrepreneur aura à proposer au Maître d’ouvrage pour agrément l'emplacement des terrains pour
l'ensemble des installations de chantier.
L'Entrepreneur devra, le cas échéant, se pouvoir à ses risques et péril, des autorisations nécessaires
pour faire les installations de chantier sur le domaine public. Il se conformera aux prescriptions des
arrêtés de cette nature et paiera à l'organisme compétent des redevances fixées par celui-ci.
En cas où ces installations de chantier se font sur un domaine privé, l'Entrepreneur supporte tous les
frais d'occupation temporaire des terrains privés sur lesquels les installations de chantier seront
effectuées.
Ces équipements devront être mis à la disposition du Maître d’ouvrage dans un délai d'un mois à partir
de la date de notification de l'ordre de service de démarrage des travaux objet du présent Contrat.
Pendant toute la durée des travaux, l'Entrepreneur doit assurer l'entretien des cités et des installations
sociales qu'il a réalisées. Les frais d'exploitation, d'entretien et de fonctionnement de l'ensemble de ces
équipements et installations sont à la charge de l'Entrepreneur.
A la fin des travaux, le Maître d’ouvrage se réserve le droit de conserver tout ou partie des installations
érigées par l’Entrepreneur.
travail, premiers secours ou soins aux accidentés et malades, protection contre l'incendie, dangers
d'origine électrique, etc.).
En conséquence, il appartient à l'Entrepreneur de donner l'instruction nécessaire à son personnel et
de lui prescrire les consignes à observer.
Il doit efficacement assurer, la sécurité de son propre personnel, des agents du Maître d’ouvrage et des
tiers, ainsi que des différentes installations.
En particulier l'Entrepreneur est tenu d'établir des voies de circulation suffisantes et d'assurer, d'une
manière permanente, des accès provisoires commodes et répondant aux normes de sécurité (échelles,
passerelles de circulation, etc.).
Dans le cadre de la sécurité et au titre de la prévention des accidents, l'Entrepreneur doit prendre
notamment toutes les mesures utiles et efficaces concernant la circulation et le stationnement sur
l'ensemble du chantier, les dispositifs d'alarme, la protection contre les chutes de matériaux ou autres,
L'Entrepreneur doit fournir à l’ensemble de son personnel les casques de protection, les bottes, les
cirés, les gants et doit rendre le port du casque obligatoire. L'Entrepreneur doit assurer la sécurité des
ouvriers. En particulier lors de travaux en tranchée, l'Entrepreneur doit réaliser les étaiements
nécessaires.
L’Entrepreneur doit prendre toutes les mesures et dispositions pour assurer la signalisation des
travaux. La fourniture de tous les panneaux et équipements nécessaires sont à sa charge.
L'Entrepreneur doit désigner un membre de son personnel parmi les cadres qui est chargé de la
sécurité sur le chantier. Ce cadre est l'interlocuteur direct du Maître d’ouvrage pour toutes les
questions relevant de la sécurité sur le chantier, de l'hygiène des cités et de toutes les dispositions à
prévoir dans le cadre du présent article.
Enfin, le Maître d’ouvrage peut refuser de faire la réception d'une fouille ou d'un ouvrage et arrêter les
travaux si les conditions de sécurité ne sont pas assurées. Tout retard qui en résulterait
éventuellement ne donnera aucun droit de réclamation à l'Entrepreneur.
Pour assurer cette qualité, il doit organiser la réalisation des essais prescrits définis en détail dans le
présent C.P.S par un laboratoire agrée au préalable par le Maître d’ouvrage.
De plus le laboratoire dans chaque usine de fabrication, devra être entièrement équipé pour permettre
la réalisation de tous les essais de réception des fournitures en usine.
Le Maître d’ouvrage déléguera ses représentants au sein de chaque usine de fabrication pour les
contrôles qualitatifs prévus.
Dans tous les cas, les modalités de déroulement des essais devront se conformer aux normes en
vigueur.
Le Maître d’ouvrage se réserve le droit de contrôler tous les essais qu’il juge opportun. L’Entrepreneur
doit se conformer aux décisions prises par le Maître d’ouvrage en vue des résultats de ces essais.
- Entendre les exposés de l'Entrepreneur sur l'avancement des travaux et sur les conditions
d'exécution. A l'appui de ces exposés ;
- Entendre les exposés de l'Entrepreneur sur le détail des travaux prévus pendant la période considérée,
comportant notamment l'estimation des quantités d'ouvrages à exécuter et des effectifs et moyens
nécessaires à rassembler à cette fin ;
- Entendre les exposés de l'Entrepreneur sur les difficultés rencontrées et les mesures à prendre pour
y pallier ;
- Discuter des solutions envisagées et permettre au Maître d'Ouvrage, sur la base de cette discussion,
de donner des instructions sur les dispositions à prendre ;
- Examiner l’échéancier de remise des documents techniques et entendre les justifications de
l'Entrepreneur concernant les modifications éventuelles apportées à cet échéancier ;
- Mettre au point le raccordement des ouvrages à la charge de l'Entrepreneur avec ceux confiés
éventuellement à d'autres constructeurs ou Entrepreneurs.
Les comptes rendus des réunions sont établis par le Maître d'Ouvrage. Ils sont soumis pour
approbation à la réunion suivante.
En plus des réunions mensuelles, des réunions hebdomadaires, appelées réunions de chantier, sont
tenues une fois par semaine pour régler les problèmes courant de chantier. Elles font l'objet d'un
compte rendu établi séance tenante et signé conjointement par l'Entrepreneur et par le Maître
d'Ouvrage.
Les comptes rendus des réunions mensuelles et des réunions de chantier ont un caractère contractuel.
Une notification sera considérée comme effectivement formulée quand elle aura été remise à la date
effective d'entrée en vigueur de cette notification, la plus tardive de ces deux dates étant retenue.
Les tuyaux, raccords et pièces spéciales en acier doivent être construits avec tubes en acier étirés sans
soudure, à section circulaire fabriqués en acier non allié de qualité, PN 16 bars et doivent être
conformes aux normes en vigueur (Normes NF EN 10216-1 et EN 10224 ou équivalent).
b. Caractéristiques géométriques et tolérances :
Les tolérances sur les différentes caractéristiques des tuyaux en acier sont comme suit :
- Epaisseur : ±10% ;
- Diamètre extérieur : ±1% ;
- Masse par tube : ±10% ;
- Longueur (métrage en longueurs courtes < à 6 m) : ±10 mm ;
- Flèche : ±0,2% de la longueur du tube.
c. Revêtements des tuyaux, pièces spéciales, raccords :
Tous les tuyaux, pièces spéciales et raccords doivent être construits avec un revêtement de zinc
galvanisé à chaud d’épaisseur 85 µm.
Les caractéristiques des tubes et des raccords en PEHD doivent être conformes aux normes suivantes
ou équivalents ;
2) TUBES EN PEHD
Les tuyaux en polyéthylène de haute densité (PEHD), destinés à transiter les eaux d’irrigation, doivent
être fabriqués à partir d’une résine de couleur noire, conformément aux normes NF EN 12201-1 et NM
EN12201-2 ou équivalents.
- Masse volumique :
Les tubes PEHD doivent résister d’une manière générale à la plupart des produits et matières
susceptibles d’être transportés par l’eau. Ils doivent avoir les caractéristiques physico-chimiques
suivantes :
Méthode
Caractéristiques Exigences
d’essai
Masse volumique de la
ISO 1183 ≥ 930 Kg/m3
composition
2 à 2.5% en
Teneur en noir de carbone ISO 6964
masse
Teneur en eau EN 12118 ≤ 300 mg/kg
Teneur en matière volatiles EN 12099 ≤ 350 mg/kg
Dispersion du noir de
ISO 18553 ≤ note 3
carbone
Temps d’induction à
ISO 11357-6 ≥ 20 min
l’oxydation
Le procédé de fabrication des tubes PEHD doit répondre aux exigences se faire conformément aux
normes en vigueur.
Les tuyaux PEHD sont fabriqués par le procédé d’extrusion. Les conditions ci-après doivent être
respectées tout le long du procédé de fabrication :
c. Caractéristiques générales :
- Aspect :
Conformément aux exigences de la norme, les surfaces interne et externe, examinées sans
grossissement, doivent être lisses, propres et exemptes de stries, cavité et autres défauts superficiels.
Les extrémités des tubes doivent être coupées proprement et perpendiculairement à l’axe des tubes.
- Couleur :
Les tubes en PEHD sont de couleur noir, signalés par des bandes bleu.
d. Caractéristiques géométriques :
- Diamètres extérieurs nominaux et épaisseurs avec leurs tolérances :
Les dimensions principales et les tolérances pour les tuyaux PEHD doivent être conformes à la norme
NM EN 12201-2 ou équivalent et seront comme suit :
- Longueur du tube :
3) RACCORDS
a. Fabrication des raccords :
Ils sont réalisés en résine PE100 compatibles quant à leur poly fusion avec toutes les résines PE 100
servant à la fabrication des tubes.
Les raccords en PEHD doivent être conformes à la norme de référence NM EN 12201-3 +A1 ou
équivalent.
Les raccords PE sont réalisés par injection ; opération qui consiste, grâce à « une presse à injecter », à
chauffer le PE à 210°C environ, et à le pousser dans une forme en creux dans laquelle ont été installés
les composants (résistances, etc.).
b. Pression nominale :
La pression nominale des raccords PEHD doit être similaire à celle des tubes PEHD.
c. Assemblages :
L’assemblage des tubes PEHD doit se faire par la technique d’Electro soudage dont le principe général
est la fusion.
Le raccordement entre tube PEHD et robinetterie doit se faire à l’aide des collets en PEHD et des brides
en acier galvanisé ou revêtues en plastique.
La mise en œuvre de ces techniques d’assemblage doit être effectuée par du personnel qualifié en
utilisant des matériels adéquats et conformément aux règles de l’art.
4) ESSAIS EN USINE
a) Normes :
Les essais de réception des tubes PEHD en usine doivent être réalisés conformément aux exigences de
la norme de référence NM EN 12 201-2 ou équivalent.
b) Caractéristiques mécaniques :
- Résistance à la pression interne :
Les tubes doivent résister sans éclatement ni fuite à la contrainte hydrostatique induite par la pression
hydrostatique interne lors des essais, en utilisant les conditions d’essai spécifiées dans le tableau ci-
après.
EN ISO 6259-1 ou
Allongement à la
équivalent Vitesse d’essai : 100
rupture ≥ 350%
EN ISO 6259-3 ou mm/min
pour e ≤ 5 mm
équivalent
EN ISO 6259-1 ou
Allongement à la
équivalent Vitesse d’essai : 50
rupture ≥ 350%
EN ISO 6259-3 ou mm/min
pour 5 < e ≤ 12 mm
équivalent
EN ISO 6259-1 ou
Allongement à la
équivalent Vitesse d’essai :
rupture ≥ 350%
EN ISO 6259-3 ou 25mm/min
pour e > 12 mm
équivalent
c) Caractéristiques physiques :
Les tubes PEHD doivent répondre aux essais pour vérification des caractéristiques physiques ci-après :
Tableau 5 : Essais pour vérification des caractéristiques physiques des tubes
Méthode
Caractéristiques Exigences Paramètres d’essai
d’essai
Température d’essai : 23 °C
Masse volumique ISO 1183 ou
≥ 930 Kg/m3 Nombre d’éprouvette : EN ISO
de la composition équivalent
1183
Modification du
Indice de fluidité à
EN ISO 1133 MFR après Charge : 5,0 Kg Température
chaud en masse
ou équivalent transformation d’essai : 190 °C
MFR pour PE 100
de + 20%
Température d’essai : 100 °C
Longueur d’échantillon : 200
<3% mm
Retrait
EN ISO 2505 Le tube doit Durée d’immersion : EN ISO
longitudinal à
ou équivalent conserver son 2505
chaud
aspect d’origine Méthode d’essai : au choix
Nombre d’éprouvette : EN ISO
2505
d) Marquage :
Tous les composants du système doivent présenter un marquage indélébile permettant la présentation
claire des caractéristiques principales et une traçabilité du produit (par la date de fabrication).
Lorsque les tubes sont livrés en couronnes ou sur touret, une indication doit permettre, après chaque
prélèvement, de constater la longueur restante.
Les tubes, de couleur noir, auront reçu d'extrusion d'au moins 3 bandes bleues longitudinales, afin
de les identifier comme conduites d'eau potable.
- Conditions d'installation :
La prise doit être raccordée au réseau ramifié intra-bloc de canalisations sous pression. Le
raccordement à la conduite principale sera effectué avec des accessoires en acier galvanisée aux
diamètres et classes de pression appropriés.
À la sortie des Prises- Propriétés, une bride pleine en tôle d’acier de 4 mm ou en PVC, ou un bouchon
fileté, selon les cas, sera placé pour éviter l’introduction de saletés, poussières ou animaux en
attendant l’installation des raccordements aux parcelles.
- Interchangeabilité et entretien : Toutes les pièces composant une prise d'un même type et
calibre, devront être parfaitement interchangeables pour permettre un entretien aisé. Les PG&
- Inviolabilité : Le démontage des organes de la prise ne doit pas être possible par les
utilisateurs. L’inviolabilité des équipements et des appareils sera assurée par des abris munis
d’accès en acier galvanisé et des systèmes de verrouillage ;
- Qualités générales des fournitures : Les fournitures devront être de bonne qualité pour assurer
le bon fonctionnement des installations et présenter toutes les garanties requises de
robustesse face aux chocs et à l'écrasement, d’insensibilité à la corrosion, à la chaleur, aux
variations de températures, au rayonnement solaire et aux poussières ainsi que de facilité
d'entretien et de remplacement.
(a) Protection contre la corrosion :
Tous les équipements et les appareillages des prises seront totalement protégés contre la corrosion
(peintures, vernis, badigeons, chapes, joints isolants, revêtements divers intérieurs et extérieurs, etc..).
L’Entrepreneur procèdera, sous son entière responsabilité et à ses frais, à l'étude et à la mise en place
de tous les dispositifs indispensables pour pallier aux risques de corrosion. Les prix du bordereau des
quantités tiennent implicitement compte de ces sujétions.
Sans aucune exception, tous les équipements, doivent disposer d’un traitement anticorrosion
approprié qui peut être :
Une peinture électrostatique de polyester époxy en poudre de 250 µm d’épaisseur sur toute la
surface en conformité avec la norme EN ISO 12944-1-8 d’octobre 1998 : Peintures et vernis -
Anticorrosion des structures en acier ;
Vanne fermée, l'un des biefs étant mis à l'atmosphère (épreuve d'étanchéité).
Ce sont des robinets vannes à opercule en caoutchouc, avec commande manuelle par volant de
manœuvre.
Elles devront être conformes aux normes EN 1074-1 - 2001 et ISO 7259 - 1998 ou équivalent, et
présenter les caractéristiques techniques suivantes :
o Pression nominale PN 16 bars ;
o Couple maximum à l'ouverture: 4.0 Kg.m (à 12 bars) et : 2.0 Kg.m (à 6 bars) ;
o Nombre minimum de tours de volant pour l'ouverture complète: 12 tours ;
o Vibrations : aucune (du débit nul au débit nominal) ;
o Corps et couvercle en fonte ductile sphéroïdale GS, à brides et revêtus entièrement par
poudrage époxy d’épaisseur moyenne 250 µm ;
o Obturateur : Fonte ductile, revêtement EPDM ;
o Opercule en fonte ductile, entièrement surmoulé EPDM ;
o Ecrou et étrier : en fonte ductile, revêtue de résines thermoplastiques ;
o Glissière de l’obturateur : Polymère Acétal ;
o Tige de manœuvre : Inox Cr 13 % ;
b) Limiteur de débit :
Le limiteur de débit à installer sera à action directe, à anneau modulant, admettant un différentiel de
pression DPL égal à 3 bars.
Les caractéristiques principales du Limiteur de débit sont comme suit:
Pression nominale PN16 bars ;
Corps : Fonte ductile avec revêtement époxy 250 µm ;
Limiter le débit pour la valeur nominale pour laquelle il est calibré ;
Avoir un fonctionnement indépendant des variations de la pression amont dans les limites
précisées par le constructeur ;
Etre préréglé en usine avant expédition sur chantier ;
N’engendre aucune vibration lorsque la différence de pression entre l’amont et l’aval du limiteur
reste inférieure ou égale à 8 mCE ;
Il est destiné à être monté en série dans une chaine d’appareillage et de manchettes. Il peut
être constitué d’une pièce avec brides de raccordement avec l’appareillage et les manchettes ou
d’une pièce sans brides mais qui peut être intégrée dans une manchette et peut être montée
entre deux brides ;
Au débit nominal, le limiteur de débit doit engendrer une perte de charge mesurée entre l’amont
et l’aval de la prise qui ne devra pas être supérieure à 0,3 bar ;
La tolérance de dépassement de débit est limitée à : 0 à + 20% ;
c) Ventouse Purge-air :
La purge-air est une ventouse à effet cinétique, qui permet la décharge et l’entrée d’air aux conduites
à haute vitesse.
Corps : fonte, Laiton ou autre ;
Pression de service : 0.1 à 16 bars ;
Connexion : filetée ¾” ;
Complètement hermétique, sans fuites aux faibles pressions ;
Raccordement : filetage ¾ de pouces avec robinet.
d) Joint de démontage :
Pour assurer la maintenance des équipements installés, ou l’interconnexion des différents éléments
du réseau, des joints de démontage sont nécessaires au niveau des robinetteries.
Les joints de démontage devront présenter les caractéristiques minimales suivantes :
Corps et contre bride ; en acier ou en fonte ductile revêtue par poudrage époxy 250 microns,
conforme au standard NF A 49 – 713 ;
Tirants et écrous : en acier protégé par un revêtement à base de Zinc, Tirants protégés
mécaniquement par une gaine en PVC ;
b) Compteur :
Le comptage de volumes d’eau d’irrigation consommée sera individuel et se fera au niveau de la Prise
- Propriété pour comptabiliser les volumes d’eau consommée par chaque propriété. Il sera assuré
par un compteur du type à turbine Woltmann autonettoyant (axe horizontal). Parfait pour mesurer
l’eau d’irrigation équipé de tête émettrice d’impulsions.
Les caractéristiques principales de ce compteur seront comme suit :
c) Limiteur de débit :
Les caractéristiques du limiteur de débit à anneau modulant sont identiques à celles des limiteurs de
débit à installer au niveau de la Prise - Groupe alimentée par le réseau intra-bloc (voir ci haut).
Les caractéristiques de cette vanne sont identiques à celles de la vanne à installer au niveau de la Prise
- Groupe et de la Prise - Propriété alimentée par le réseau intra-bloc (voir ci haut).
b) Compteur Woltmann :
Les caractéristiques de ce compteur sont identiques à celles du compteur à installer au niveau de la
Prise - Propriété alimentée par le réseau intra-bloc (voir ci haut).
Corps et chapeau en fonte ductile revêtue par poudrage époxy (150 microns minimale) conforme
au standard NF A 49 – 713 ou équivalent ;
Flotteurs en ABS ;
Tuyère et purgeur de contrôle en laiton étiré ;
Vis corps chapeau en acier ;
Joint corps chapeau en Elastomère.
a) Brides et boulonnerie :
L'épaisseur des brides correspondra à leur usage sous les pressions d'essai spécifiées et les diamètres
interne et externe seront compatibles avec les dispositions des normes en vigueur.
Les raccordements entre les différents organes des Prises se feront par brides et boulonnerie en acier
cadmie. Le prix des brides et boulonnerie est inclus dans celui des équipements.
c) Caisses d'outillage :
L’Entrepreneur fournira des caisses d'outillage contenant tous les outils nécessaires pour les
opérations d'entretien des équipements des prises. La caisse d’outillage comprendra notamment:
o Un pied-de-biche ;
o Un mètre à ruban de 5 m ;
o Un pied à coulisse en acier inoxydable ;
o Une pince-étau.
- PG : Prise Groupe ;
- PPI : Prise Propriété Individuelle ;
- PPG : Prise Propriété Groupée.
Les essais en usine seront réalisés comme suit :
- Le nombre total des équipements à essayer (vanne à opercule, limiteur de débit et compteur),
destinés à installer dans le cadre des travaux du présent marché, fabriqués et déposés en
usines, sera scindé, par type d’appareil (vanne à opercule, limiteur de débit et compteur) et
par diamètre, en lot de 200 unités ;
- Au niveau de chaque lot, on choisira au hasard un échantillon d’appareils, qui fera l’objet des
épreuves sus-indiquées. Si le lot est inférieur à 200 unités, l’échantillon sera composé d’un
appareil uniquement ;
- Si la caractéristique contrôlée (pression, volume enregistré, débit, etc.) n'est pas conforme aux
spécifications, un nouvel échantillon sera prélevé dans le même lot de fabrication pour un
nouvel essai. Si ce nouvel essai ne donne pas satisfaction, l'ensemble du lot sera rebuté. Si ce
nouvel essai est satisfaisant, le lot sera déclaré « Accepté » ;
- Un procès-verbal sera dressé contradictoirement et signé par les représentants du Maître
d'Ouvrage, du fabriquant et de l’Entrepreneur.
Il appartiendra à l’Entrepreneur de prévenir le Maître d’Ouvrage par écrit, de la date des essais en
usine au minimum un mois avant la date prévue pour ceux-ci. Les procès-verbaux des essais en usine
de tous les appareils doivent être transmis au Maître d’Ouvrage et serviront de documents contractuels
pour le paiement après réception en usine.
Les essais doivent être réalisés en tenant compte des pressions de consigne de réglage des régulateurs
de pression aval installés au niveau des bornes d’irrigation.
Si les caractéristiques garanties n'étaient pas confirmées par les essais, l’Entrepreneur disposerait
d'un délai d’un (1) mois pour rendre conforme son matériel. De nouveaux essais seraient alors effectués
comme précédemment, aux frais de l’Entrepreneur.
Le Maître d’ouvrage se réserve le droit d'effectuer des tests auprès du service des expérimentations des
Essais et de la Normalisation du Ministère de l'Agriculture et de la Pêche Maritime (DIAEA).
S'il apparaissait, à l'issue de ces nouveaux essais, qu'un quelconque des organes testés ne répondait
pas aux normes du marché, toutes les prises du bloc seraient définitivement refusées et la réception
provisoire partielle de tout le lot de prises serait suspendue jusqu'à ce que le constructeur ait fourni
d’autres organes et que de nouveaux essais effectués à sa charge seraient conformes.
Si ces essais faisaient ressortir une défectuosité de fabrication, même partielle, du matériel, celui-ci
serait aussitôt remplacé aux frais de l’Entrepreneur.
L’Entrepreneur indiquera dans un mémoire descriptif et explicatif tous les résultats d'essais justifiant
les conditions de fonctionnement annoncées.
Un procès-verbal des essais sera établi et signé par le Maître d’Ouvrage et l’Entrepreneur. Ce dernier
pourra assister à tous les essais et faire procéder à ses frais à de nouveaux essais contradictoires dans
un laboratoire officiel.
c) Contrôles en période de garantie :
Au cours de la période de garantie définie, l’Entrepreneur est tenu de procéder à ses frais, en présence
des représentants du Maître d’Ouvrage, à quatre (4) visites techniques de révision et de contrôle du
bon fonctionnement de l'ensemble des équipements installés.
Ces frais comprennent la prestation du personnel, leur déplacement, leur séjour et la fourniture des
pièces de rechange et outillage nécessaires.
Si ces contrôles faisaient ressortir une défaillance ou dysfonctionnement de fabrication, même
partielle, du matériel, celui-ci serait aussitôt remplacé aux frais de l’Entrepreneur.
Un procès-verbal de ces contrôles sera établi et signé par le Maître d’Ouvrage et l’Entrepreneur.
Sauf prescription contraire du présent document, les provenances, les qualités, les caractéristiques,
les types, dimensions et poids, les modalités d'essais de marquage, de contrôle et de réception des
matériaux et produits fabriqués doivent être conformes aux normes homologuées au Maroc, aux
normes internationales reconnues par le Maroc, ou à défaut, pour les produits importés aux normes
du pays d'origine. L'Entrepreneur devra produire avec sa soumission un exemplaire de ces normes
traduites en langue Française.
En cas d'absence des normes et des prescriptions du présent document, l'Entrepreneur fournira ses
propres catalogues ou ceux de ses Entrepreneurs qui pourront devenir des documents contractuels.
L'Entrepreneur devra, dans ce cas, produire tous documents demandés par le Maître d'ouvrage de
façon à éclairer celui-ci sur les qualités et les garanties des matériaux et fournitures proposés.
Le Maître d'ouvrage se réserve, dans ce cas, avant agrément, de fixer lui-même les bases de calculs et
les règles de contrôle à respecter. Tous les essais jugés nécessaires par le Maître d'ouvrage pour donner
son agrément seront exécutés aux frais de l’Entrepreneur.
S'il était reconnu par le Maître d'ouvrage, avant l'expiration du délai de garantie, qu'une pièce livrée
présente un défaut provenant de fabrication ou d'une altération ultérieure imputable à la fabrication,
il serait procédé, dans un délai d'un mois de toutes choses en l'état, sauf cas de force majeure, à un
constat par procès-verbal.
Au cas où l'existence d'un tel défaut serait contradictoirement reconnue, l'Entrepreneur aurait à sa
charge soit les réparations nécessaires à la mise en état de service de la pièce défectueuse, soit la
fourniture et la pose d'une autre pièce semblable en remplacement de celle-ci, suivant les prescriptions
de l'ordre de service qui lui serait notifié et qui préciserait les délais de réparation ou de remplacement
imposé ainsi que les indemnités de retard correspondantes, compte- tenu pour les pièces non
courantes, des délais compatibles avec les possibilités techniques.
Les pierres de blocage devront avoir une dureté suffisante. Ils devront être homogènes, propres,
exempts de fissures, et ne présenter de façon générale aucune sensibilité à l’altération par l’eau ou par
l’air.
Leur dureté DEVAL humide sera supérieure à 4. Le pourcentage d’éléments altérés ne devra pas
dépasser 10% en poids.
Ils proviendront de carrières agrées par le Maître d'ouvrage et devront satisfaire aux prescriptions et
normes en vigueur ainsi qu'aux articles 2, 3, 4, 5 et 6 du fascicule n° 64 «Travaux maçonnerie».
Les moellons sont ébousinés à vif, leur préparation se fera sur le tas et consistera à faire disparaître,
au marteau, les irrégularités qui s'opposent à une bonne liaison.
Ils ont au moins dix centimètres d'épaisseur (0,10 m) sur vingt-cinq centimètres de queue (0,25m)
pour les massifs et trente centimètres (0,30 m) de longueur pour les parements. Pourles murs en
élévation la longueur de queue est comprise entre un tiers (1/3) et deux tiers (2/3) de l'épaisseur du
mur et la superficie de la face destinée à être vue n'est jamais inférieure à trois décimètres carrés
(0,03m2). Lesfaces des moellons employés en parements ne doivent présenter, ni saillie, ni flache de
plus de trois centimètres (0,03 m), par rapport au nu des parements.
i) Généralités :
Tous les matériaux pour bétons et mortiers proviendront de carrières définies, proposées par
l'Entrepreneur et agrées par le Maître d'ouvrage.
D'une façon générale, les agrégats seront durs, propres et sains et débarrassées par lavage et s'il y a
lieu par ventilation de tous les débris organiques ou terreux, argiles, micas, etc. criblés avec soins.
Leur forme sera à peu près cubique pour les concassés, ou sphériques pour les roulés ; tous matériaux
tendant à se casser en plaques ou en aiguilles seront éliminés.
Les granulométries et les caractéristiques de ces matériaux seront les suivantes : les sables et les
agrégats pierreux devront être conformes aux normes en usage au Maroc complétées éventuellement
par les normes françaises définissant leurs qualités mécaniques, etc.
ii) Granularité :
Tous les diamètres cités sont normalisés AFNOR.
v) Sable :
Le sable sera crissant, dense, stable, propre, exempt de poussières, de débris schisteux,
gypseux, argileux, micacés ou organiques. A sa livraison sur les aires de gâchage, il devra
avoir un degré d'humidité uniforme et, relativement constant.
- Argile 1 % en poids
- Matières charbonneuses 1 % en poids
- Marne 1 % en poids
- Ensemble des autres matières étrangères telles que mica, grains, 2 % en poids
impurs, particules tendres ou effritées
- Sulfate 0 % en poids
Le tableau ci-dessous précise le pourcentage en poids maximal d’élément fin (0.1 à 0.4 mm)
par rapport au poids total du sable et les dimensions maximales des grains déterminées à
l’aide de passoires.
vi) Propreté :
Lavage :
La totalité des granulats est prévue lavée. Des précautions particulières au niveau de la décantation
des eaux de lavage doivent être prises pour éviter tout risque de pollution.
Critères de propreté :
Dans les gravillons, graviers et cailloux, la proportion d'éléments inférieurs à (2 mm) doit être inférieure
à 3%, et ces éléments ne doivent pas être de nature argileuse.
L'équivalent de sable mesuré par la méthode avec piston sur la fraction inférieure à 5 mm (module 38)
de l'ensemble des granulats entrant dans la composition des bétons doit être supérieur à 80%.
Si ce critère n'est pas satisfaisant les mises en stock sont suspendues.
En cas de nécessité l'essai au bleu de méthylène peut être considéré. La valeur de bleu à admettre est
définie en temps opportun.
Les sables ne doivent pas contenir de matière organique: l'essai colorimétrique doit donner une
coloration moins foncée que la couleur type définie dans la norme P18301 AFNOR.
La teneur en soufre total, exprimée en anhydride sulfurique (SO3), ne doit pas dépasser 1% du poids
total des granulats; de plus, la répartition doit être uniforme et les grains les constituant avoir un
volume inférieur à 0,5 cm³ (selon la NM 10.03.5.009).
vii) Forme :
Le coefficient volumétrique des granulats de dimensions supérieures à 5 mm (module 38) doit être
supérieur à 0.21, ce qui peut nécessiter une étude particulière du matériel de concassage.
Sur un échantillon de 20 à 30 grains choisis de manière aléatoire on effectue une mesure :
- du volume total V des grains de l'échantillon ;
- des diamètres d de chacun des grains de l'échantillon ;
- de D3 = somme des cubes des valeurs de d mesurées.
On calcule le coefficient volumétrique de l'échantillon:
Cv = 6 V / x D3
Cet essai peut être remplacé par l’essai de mesure du coefficient d’aplatissement, dont le seuil
correspondant est fixé à 30% (A 30%).
Prélèvements :
Ils sont effectués dans les silos ou les compartiments de stockage de la centrale à béton, ou sur la
bande transporteuse d'alimentation du malaxeur.
Forme :
Un contrôle de forme est effectué en même temps que la granulométrie de la classe considérée.
x) Stockage :
Aires de stockage :
Les granulats de catégories différentes ou de classes granulaires distinctes sont stockés par lots
séparés de manière à ne pas pouvoir se mélanger.
Les silos, appareils de fabrication et de transport, ainsi que les aires de stockage des sables sont
obligatoirement protégés des intempéries (rayonnement solaire et pluies). L'accord pour la mise en
place des premiers bétons ne peut pas être donné si l'aire de stockage des sables n'est pas
convenablement protégée.
Les granulats de toutes catégories sont stockés sur des aires bétonnées inclinées, ou bien dans des
trémies ou silos, permettant l'évacuation des eaux d'égouttage par un orifice distinct de celui prévu
pour le soutirage des matériaux.
Toutes précautions sont prises pour éviter la ségrégation des granulats au cours du stockage ou de la
reprise et pour empêcher que les boues qui peuvent s'accumuler sur les aires de stockage et les fonds
de silos soient entraînées dans les bétons, ces aires de stockage et fonds de silos sont périodiquement
lavés.
En particulier, les aires de stockage sont organisées de manière à ne pas utiliser pour la fabrication
des mortiers et bétons la partie basse des stocks qui sont polluées par la migration des fines. Dans le
cas d'une reprise des stocks par souterrain, les buses d'alimentation dépasseront le radier de l'aire de
stockage d'un minimum de 1 m. Dans le cas d'une reprise extérieure par engin mécanique la première
couche de 1 m au minimum n'est jamais utilisée directement pour l'approvisionnement des silos de la
centrale à béton.
En outre, l'Entrepreneur met obligatoirement en place un dispositif qui assure l'essorage des sables
lavés, de façon à ce que leur humidité relative ne varie pas de plus de 1% de part et d'autre de leur
humidité moyenne, sans que les valeurs maximales mesurées puissent dépasser 8%.
Si les résultats obtenus ne sont pas satisfaisants, le Maître d’ouvrage peut exiger la construction aux
frais de l'Entrepreneur d'installations complémentaires permettant d'obtenir les valeurs demandées.
Capacité minimale :
Les capacités de stockage des différentes catégories de granulats ne sont pas inférieures à quinze (15)
jours de marche du chantier en période de pointe.
L'autorisation de démarrage de fabrication du béton n'est donnée que si le stock prévu ci-dessus est
constitué.
Autres dispositions :
Si les températures relevées sur le site dépassent 35 degrés à l'ombre, l'Entrepreneur doit prendre
toutes les dispositions nécessaires à l'abaissement de la température des gros granulats. Dans le cadre
des dispositions à prendre, l'Entrepreneur réalisera à sa charge des abris aérés sur tous les stocks
d'agrégats pour les protéger du soleil et de la poussière.
Un jeu de tamis est prévu au-dessus des silos de la tour à béton, de façon à ce que les matériaux lavés
puissent faire l'objet d'un dernier criblage, éliminant tous les éléments ayant pu subir des
modifications depuis la sortie de l'installation de concassage-criblage.
Dans le dossier d'agrément de la source d'agrégats proposée par L'Entrepreneur, doivent figurer les
résultats des essais de réaction aux alcalis, effectués conformément aux dernières normes en vigueur
(normes NF P18-588, P18-589 et P18-590). Les essais doivent être effectués sur agrégats et sur le
béton confectionné avec le ciment prévu pour le chantier.
6) AGREGATS PIERREUX :
Les granulats pour béton seront fournis par l’Entrepreneur, ils proviendront de carrières agréées par
le Maître d'ouvrage et seront conformes quant à leurs caractéristiques : granularité, propreté, etc. aux
prescriptions des articles 5.1, 5.3 et 5.4 du fascicule n°65 relatif à l’exécution des ouvrages en béton
armé.
Les installations de criblage, concassage, lavage dépoussiérage et d’une manière générale, toutes les
installations de préparation des agrégats devront faire l’objet d’une étude soumise à l’agrément du
Maître d'ouvrage.
Tous les granulats seront complètement purgés de terre, passés à l’eau et lavés si le maître d'œuvre
en reconnaît la nécessité. Le coefficient DEVAL de la pierre utilisée pour leur fabrication devra être au
moins égale à dix (10)
Les agrégats pierreux doivent être durs, stables, denses exempts de gangue fragile ou terreuse, et de
tous débris organiques ou terreux, argile, mica etc. La propreté des agrégats peut être assurée par
lavage et s'il y a lieu par ventilation.
Le pourcentage des matières étrangères ne devra excéder les valeurs ci-après :
Matières passant au tamis n°20 1% en poids
Argile 1% en poids
Matières charbonneuses 1% en poids
0,5% en
Marne
poids
Autres matières étrangères 1% en poids
De plus le pourcentage, de l'ensemble des matériaux impropres de quelque nature qu'ils soient, ne
devra pas être supérieur à 3% en poids des agrégats pierreux rendus aux bétonnières.
La dimension maximum des agrégats pierreux sera pour les mortiers et les bétons comme suit :
- Les gravillons pour mortier ne peuvent passer au tamis de mailles 5 mm (module 38) ;
- Les gravillons pour le béton armé sont retenus au tamis de maille 25 mm (module 45) ;
- Les gravillons pour béton ordinaire ou légèrement armé, coffré ou non coffré sont retenus :
i. au tamis de maille 31,5 mm (module 46) pour les épaisseurs de béton inférieures ou
égales à 0.25 m et ;
ii. au tamis de maille 40 mm (module 47) pour épaisseur de béton supérieure à 0.25 m.
- Pour l'équivalence tamis passoire, on admettra qu'un tamis est équivalent à une passoire dont
le diamètre des trous est égal à 1,25 fois l'ouverture de la maille.
La forme des agrégats doit être à peu près cubique pour les concassés ou sphérique pour les roulés.
Tout matériau tendant à se casser en plaques ou en aiguilles sera éliminé.
Les aires de stockages du chantier doivent être drainées et revêtues d'une couche de béton maigre de
0.10 m d'épaisseur. Toutes les précautions seront prises pour éviter la ségrégation au cours du
stockage ou de la reprise et, pour empêcher que les boues qui peuvent se déposer sur les aires de
stockage ne soient entraînées dans les bétonnières.
1. EAU :
L'eau employée pour la confection des mortiers et bétons, le cas échéant pour le lavage des agrégats
ou pour l'humidification des bétons, devra être exempte d'impuretés préjudiciables à la tenue des
mortiers et des bétons.
L'eau ne devra pas contenir plus de 15 grammes de sels dissous par litre, et 2 grammes d'impuretés
en suspension par litre tels que définis par la norme NM 10.03.F009. Les essais sur l’eau doivent se
faire au démarrage des travaux mais aussi à chaque fois que le Maître d’ouvrage le jugera nécessaire.
L'Entrepreneur procédera à ses frais, à l'analyse préalable de l'eau à utiliser en vue de déterminer si
son emploi ne présente pas d'inconvénient ou de risques pour la tenue des mortiers et bétons.
L'Entrepreneur devra se procurer par ses propres moyens et à ses frais l'eau nécessaire à l'exécution
des travaux et au chantier.
La teneur en sulfates de l'eau de gâchage pourra exceptionnellement être comprise entre 0,15 grammes
par litre et 0,80 grammes par litre et elle nécessite alors l'utilisation d'un ciment de classe ASTM 5
résistant mieux que le ciment Portland de qualité ordinaire, à l'action des sulfates.
Si à un moment quelconque de l'exécution des travaux la limite supérieure de cette tolérance était
atteinte, l'Entrepreneur devrait soit traiter l'eau de manière satisfaisante avant son utilisation, soit
modifier sa source. Ces modifications se feraient sans indemnité pour l'Entrepreneur.
2. CIMENTS :
Les ciments proviendront d'usines agrées par le Maître d'ouvrage et seront de la qualité Portland
artificiel à prise lente de la classe CPJ 45 ou d'une qualité équivalente ou supérieure. Ils devront
satisfaire aux prescriptions des circulaires officielles, normes ou Cahier des Charges pour la fourniture
des liants hydrauliques en usage dans les Administrations marocaines.
L'Entrepreneur est tenu d'effectuer toutes les vérifications utiles en ce qui concerne la qualité du
ciment et le Maître d'ouvrage pourra à tout moment, pendant la durée des travaux, prélever dans les
stocks ou sur le chantier les échantillons nécessaires pour faire vérifier dans ses laboratoires ou dans
des laboratoires agrées, la qualité des ciments approvisionnés et livrés, sans qu'il en résulte aucune
atténuation de la responsabilité de l'Entrepreneur.
Les lots de ciments qui ne répondent pas aux conditions de qualité spécifiées seront rebutés.
Le ciment sera obligatoirement stocké sur le chantier dans des magasins à l'abri de l'humidité selon
les prescriptions en vigueur.
3. ACIERS :
La fourniture des aciers fait partie de l'Entreprise. Les ronds lisses bruts de laminage, et les aciers à
haute adhérence ou adhérence améliorée, écrouis ou non, pour armatures de béton armé seront
respectivement des qualités Fe E 22 et Fe E 40 définies par le fascicule 4, titre I du Cahier des
Prescriptions Communes applicables aux travaux de travaux publics.
Les aciers à haute adhérence ou à adhérence améliorée seront choisis parmi ceux qui ont fait l'objet
de fiches d'agrément.
Tous les aciers proviendront d'usines agrées par le Maître d'ouvrage ou des concessionnaires de vente
de celles-ci. L'Entrepreneur sera tenu de présenter au Maître d'ouvrage, avant tout montage, les bons
de livraison (ou éventuellement des factures) de ces aciers, de façon à en justifier l'origine.
Le Maître d'ouvrage pourra faire transporter hors du chantier, aux frais de l'Entrepreneur, les lots qu'il
jugera défectueux.
Par dérogation admise par le Maître d'ouvrage, si l'Entrepreneur désire mettre en ouvrage des aciers
non conformes aux normes marocaines ou françaises (NM l0.01.F. 0,03, et 10.01.F. 012, NF A 35017)
mais à d'autres normes officielles, il devra préciser dès l'ouverture du chantier en même temps que
leur provenance et leur nuance, les caractéristiques de ces aciers le Maître d'ouvrage se réserve le droit
de faire vérifier par un laboratoire officiel les résultats portés sur les fiches d'agrément.
4. COFFRAGES :
Les panneaux de coffrages approvisionnés sur le chantier doivent être métalliques, et seront neufs ou
à l'état neuf.
Les surfaces des coffrages destinées aux parements vus de l'ouvrage bétonné devront être lisses et
nettoyées. Toutes irrégularités de surface, épaufrures d'angle, vides ou jointoiement entre panneaux
seront soigneusement bouchés à l'aide de mastic, plâtre ou produit similaire, de façon à ce que le
parement bétonné présente un aspect net.
Les coffrages présentant des défectuosités ou une certaine vétusté du fait de plusieurs réemplois
devront être réutilisés sur les parements non vus, après réparation, soit au rebut sur instructions du
Maître d'ouvrage.
Dans tous les cas, ces coffrages devront présenter une rigidité suffisante pour résister sans
déformation aux charges et aux chocs qu'ils seront exposés à subir pendant le bétonnage et en
particulier du fait de la vibration des bétons.
Les panneaux métalliques de coffrage approvisionnés sur chantier seront neufs ou à l'état neuf. Ils
présenteront une rigidité suffisante pour résister sans déformation aux charges et aux chocs qu'ils
sont appelés à subir, notamment lors du bétonnage.
Aucun matériau de base : eau, ciment, agrégats, armatures, joints, coffrages etc., ne pourra être mis
en œuvre avant d'avoir été vérifié et accepté par le Maître d'ouvrage.
Des échantillons de toute nature en quantité suffisante pour les essais devront être remis au Maître
d'ouvrage quinze (15) jours au moins avant la mise en œuvre des matériaux.
Les matériaux refusés et reconnus non conformes seront immédiatement retirés du chantier aux frais
de l'Entrepreneur et sans aucune indemnité.
Dans tous les cas le mode d'incorporation doit être tel que la quantité de ces produits soit strictement
égale à celle fixée en accord avec le Maître d'ouvrage.
En aucun cas, la résistance finale des bétons ne doit en être diminuée par l'incorporation d'un adjuvant
sauf quand cela est clairement indiqué dans la fiche technique. Il est interdit d'incorporer au béton
des sels métalliques solubles, spécialement du carbonate ou du sulfate de sodium, ou tout chlorure
ou encore un produit quelconque en contenant.
Les matériaux utilisés pour la constitution des remblais proviendront des déblais des tranchées, ou si
nécessaire de zones d'emprunts agrées. Ils seront sélectionnés de manière à présenter une excellente
aptitude au compactage.
Tous les matériaux mis en place en remblais doivent être aussi homogènes que possible et contiendront
une faible quantité de matières organiques.
Les matériaux excavés ne pourront être réutilisés que dans la mesure où les règles ci-après seront
respectées :
- le pourcentage de granulats inférieurs ou égaux à 2 mm devra être au moins égal à 35 % ;
- la densité sèche obtenue à l'essai Proctor modifié densité max.> 1.7 t/m3 ;
- les granulats supérieurs à 100 mm seront éliminés ;
- l'indice de plasticité sera compris entre 10 et 20 ;
- la limite de liquidité sera inférieure à 50.
Les installations de criblage, concassage, broyage, lavage, dépoussiérage, et d'une manière générale
toutes les installations de préparation des matériaux de remblai doivent être étudiées avec soin et
soumises à l'agrément du Maître d’ouvrage.
Mastic élastoplastique dans lequel le liant peut être du butyle, du caoutchouc, des résines
acryliques et vinyliques ;
Ces produits doivent pouvoir suivre les déformations du joint (jusqu'à une certaine limite à définir par
le fabricant), adhérer parfaitement au béton et conserver leur qualité dans le temps. Des garanties
dans ce sens doivent être présentées par l’Entrepreneur, qui devra certifier que le produit est adapté
au domaine d’utilisation visé. La qualité du produit proposé sera appréciée après examen de la fiche
technique du fabricant, à soumettre à l’agrément du Maître d'ouvrage.
La fiche de renseignement concernant le mastic proposée par L'Entrepreneur doit comporter au moins
les indications suivantes :
Composition du produit ;
Les matériaux élastoplastiques utilisés pour assurer l'étanchéité des joints (joints de
construction, joints de retrait, joints de dilatation) entre les dalles seront du type ACCOPLAST
ou similaire, leurs spécifications et caractéristiques mécaniques devront être agrées par le
Maître d'ouvrage ;
Joints Water-Stop.
Les joints d'étanchéité pour ouvrages seront en caoutchouc de type Water-Stop ou similaire.Ils
pourront être en caoutchouc ou en PVC, selon leur destination. Les dimensions et types sont indiqués
sur les plans d'exécution des ouvrages.
Ces joints seront d'un type approuvé, avec des garanties suffisantes de longue durée. Ils seront soumis
à l'approbation du Maître d'ouvrage.
Ils devront être stockés avant utilisation, en un endroit aussi frais que possible et non en plein air, ou
en un endroit exposé au soleil. Une circulation d'air sera assurée, et toute pollution d'huile ou de
graisse, évitée.
Les bandes "Water-Stop", seront fournies en longueur telles que les raccords sur les chantiers soient
réduits au minimum.
Les raccords éventuels seront exclusivement réalisés par vulcanisation, garantissant la continuité du
joint du point de vue de l'étanchéité et de la déformabilité.
Les raccords auront une résistance à la traction, d'au moins 75 % de celle du matériau sans raccord.
L’Entrepreneur devra soumettre la fiche technique du produit proposé pour agrément. Le mode
d’application devra être conforme aux recommandations du fabricant.
Pour les filtres naturels, les enrochements reposeront sur deux couches de matériaux de granulométrie
différente. Les granulométries seront définies par une étude en laboratoire compte tenu de la nature
des terrains rencontrés. Le matériau drainant devra satisfaire aux normes dites de TERZAGHI, par
rapport aux matériaux sous-jacents. Si D est le diamètre des matériaux du filtre et d le diamètre des
matériaux du sol avoisinant, ces normes sont :
Reconnaître le tracé en présence d'un représentant du Maître d'ouvrage. Cette opération fera
l'objet d'un procès-verbal,
Pour toute modification demandée par le Maitre d’ouvrage, l’Entrepreneur doit actualiser les
documents correspondants.
Procéder aux opérations de piquetage des conduites et des ouvrages par une implantation
systématique au moyen de piquets repérés, y compris piquets de courbe ou de sommets d'angle
et effectuer le nivellement correspondant. Ce nivellement calculé et rattaché au NGM. Le Maître
d'ouvrage se réserve le droit de contrôler ce nivellement.
L'Entrepreneur est tenu de prendre les dispositions nécessaires et procéder dans les fouilles pour
fondations aux équipements appropriés pour maintenir les eaux à un niveau compatible avec
l'avancement et la bonne exécution des travaux et pour nepas compromettre la tenue des talus ou des
ouvrages voisins.
L'Entrepreneur est également tenu de réaliser les ouvrages provisoires nécessaires à l'évacuation des
eaux d'épuisements et à la protection contre les eaux de crues ou de ruissellement.
Ces dispositions comprennent la construction et l'entretien des ouvrages de captage et d'adduction
des eaux (rigoles, drains, puisards), la fourniture et l'entretien du matériel pompage (y compris le
matériel de rechange), la fourniture de l'énergie et combustible, la main d'œuvre d'exploitation et de
surveillance, et la remise en état des lieux de telle façon que tous les ouvrages décrits dans le présent
C.P.S soient exécutés à sec.
Les frais relatifs aux équipements éventuels comme définies ci-dessus sont inclus en totalité dans les
prix unitaires du bordereau des prix et ne font l'objet d'aucune rémunération spéciale de la part du
Maître d'ouvrage.
L’Entrepreneur aura à sa charge tous les travaux nécessaires à l’exécution des tranchées et à leur
stabilisation, tels qu’étaiement, blindage, évacuation des eaux etc.…
Dans le cas où l'on peut prévoir du ruissellement en fond de fouilles, les matériaux d'appoint doivent
être du gravier ou de la pierre cassée. S'il y a lieu de procéder à un drainage proprement dit, ou à une
consolidation du sol en raison d'instabilité de sols aquifères, ou des risques d'affouillements par des
eaux incluses, l'Entrepreneur est tenu d'exécuter les drainages voulus, suivant les règles de l'Art, à
l'aide de drains placés sous la conduite, le tout étant enrobé d'un matelas suffisant de graviers suivant
les prescriptions et les indications du Maître d’ouvrage.
L’épuisement et pompage d'eau dans les fouilles, en provenance exclusivement d'eaux souterraines ou
nappes phréatiques devront être pratiqués au moment de la pose de la conduite sur approbation du
Maître d’ouvrage. S'il en est requis, l'Entrepreneur devra étudier, fournir et faire fonctionner des
systèmes d'assèchement d'eaux superficielles ou de ruissellement pour permettre l'exécution de
tranchées et autres fouilles dans les meilleures conditions d'assèchement. Les systèmes comprendront
tous les dispositifs nécessaires pour la collecte et l'évacuation de toutes les eaux pénétrant dans les
zones à assécher.
L'Entrepreneur aura pour obligation de fournir et de placer l'étayage, le blindage, les passerelles et
l'entretoisement dans les tranchées, comme cela peut être nécessaire ou requis, afin de prévenir les
accidents dont les ouvriers pourraient être victimes et afin de supporter avec sécurité les pentes
latérales des fouilles.
Après la pose des conduites, ces étayages, blindages et entretoisements devront être enlevés au fur et
à mesure de la mise en place des remblais.
Lorsqu'on s'approchera des zones où des ouvrages souterrains sont réputés existants dans le voisinage
immédiat des alignements et pentes prescrites, l'Entrepreneur découvrira ces obstacles par sondages
avant l'ouverture de tranchée, pour permettre de modifier les alignements et les pentes s'il y a lieu.
Tout changement dans les alignements et les pentes de la conduite, rendu nécessaire après qu'elle ait
été posée et qui résulterait de la négligence de la part de l'Entrepreneur de ne pas s'être entouré des
précautions susmentionnées, sera réalisé par l'Entrepreneur et à ses frais.
Lorsqu'une tranchée est ouverte sous route, l'Entrepreneur découpe avec soin l'emprise de la tranchée
dans les matériaux qui constituent le revêtement, ainsi que ceux de la fondation sans ébranler ni
dégrader les parties voisines. Ces matériaux sont triés et déposés à part, en évitant de les mélanger
aux déblais. Si les déblais sont déposés sur l'un des côtés de la route, celle-ci devra être laissée ouverte
afin de permettre la circulation en tout temps.
Lorsque au cours des travaux, des objets ou des vestiges pouvant avoir un caractère archéologique
sont découverts, l'Entrepreneur doit en aviser aussitôt le Maître d’ouvrage, ne pas déplacer les objets
ou vestiges demeurés en place et mettre en lieu sûr ceux qui seraient détachés du sol.
Afin de préparer un fond de fouilles apte à recevoir la pose des conduites, l’Entrepreneur veillera à
éliminer tout enracinement, souches, détritus, pierres et terre arable, ainsi que procéder aux travaux
de réglage, nivellement et compactage de la tranchée.
Le fond de fouille des tranchées de conduites doit être compacté, après humidification éventuelle, de
telle sorte que la densité sèche soit au moins égale à 95 % de la densité sèche de l'optimum Proctor
modifié.
Le fond de fouille des tranchées recevra après compactage, un lit de pose des conduites bien réglé et
soigné, constitué à partir de matériaux sélectionnés ou de terres tamisées provenant des déblais.
Dans le cas où la tranchée se trouve sur un terrain rocheux ou en présence d’eau, le lit de pose des
conduites sera constitué à partir de gravette, dans les mêmes conditions décrites précédemment.
L’Entrepreneur ne pourra commencer la pose des conduites qu’après vérification et réception du fond
de fouilles par le Maître d’ouvrage.
Partout où il est nécessaire d'ouvrir entièrement la tranchée au point d'intersection des routes ou bien
là où l'alignement de la tranchée de la conduite traverse une entrée utilisée par les véhicules et servant
d'accès à un garage, à une étable, ou à des fins rurales ou commerciales, l'Entrepreneur sera tenu de
fournir et d'entretenir un pont convenable, à ses propres frais, jusqu'à ce que la tranchée soit
remblayée et le revêtement temporaire mis en place.
L'Entrepreneur doit proposer, à l'agrément du Maître d’ouvrage dans son plan de mouvement des
terres, l'implantation des dépôts qui doivent être le plus proche que possible des zones de travaux.
L'Entrepreneur devra, le cas échéant, se pouvoir à ses risques et péril, des autorisations nécessaires
pour faire des dépôts de matériaux sur le domaine public. Il se conformera aux prescriptions des
arrêtés de cette nature et paiera à l'organisme compétent les redevances fixées par celui-ci.
En cas ou les dépôts se feront sur le domaine privé, l'Entrepreneur supporte tous les frais d'occupation
temporaire des terrains privés sur lesquels les dépôts de matériaux seront effectués. Il se conformera
aux règlements, en vigueur ou à intervenir, relatifs à ses extractions.
Toutes les sujétions dues à l'exploitation des zones de dépôts sont à la charge de l'Entrepreneur.
Dans certains cas, et notamment quand le profil des conduites le permet les dépôts pourront être
placés longitudinalement sur la rive droite dans l'emprise suivant les profils d’exécution ou indications
du Maître d’ouvrage.
On doit veiller à ce que les dépôts ne créent pas d'obstacle à l'écoulement des eaux et soient déposés
sur des zones découpées.
Les surfaces des dépôts doivent être régulières et continues. Le fruit des talus ne doit pas dépasser
2/1 (deux de base pour un de hauteur) et les plates-formes supérieures doivent présenter une pente
de dix centimètres par mètre.
Les matériaux inutilisables ou réutilisables à d'autres fins que le remblai tels que moellons, pierres
sèches, déchets rocheux seront transportés en dehors du site du projet. Ils seront soit mis en dépôt
dans des décharges autorisées, trouvées par l'Entrepreneur ou imposées par le Maître d’Oeuvre, soit
utilisés à d'autres fins dont les modalités d'emploi et d'utilisation seront prescrites ou approuvées par
le Maître d’ouvrage.
Les décharges seront laissées en état satisfaisant, correctement nivelées de façon à permettre le
drainage. Les racines souches et bûches retirées devront être incinérées.
L'incinération des matières et l'entretien des feux devront satisfaire les exigences relatives à
l'évacuation des produits de débroussaillage.
Les fouilles sur le côté, au-dessous et autour des conduites et des ouvrages devront être remblayées
dans les proportions exigées par les plans. Le remblayage ne devra pas être entrepris avant que les
fouilles, les ouvrages et aménagements à remblayer n'aient été réceptionnés et éventuellement mis à
l'essai.
Aucun remblai ni aucune autre charge ne devront être mis en place sur ou contre les surfaces en
béton avant un délai de 7 jours. A l'expiration du délai de 7 jours, mais avant que 28 jours ne soient
écoulés depuis la mise en place du béton, les opérations de remblayage pourront commencer.
Cependant aucun matériel de compactage ou de transport ne sera autorisé à passer au-dessus du
béton ou à moins de 60 cm d'une quelconque de ses parties.
Sauf indication contraire sur les plans, du matériau ordinaire de remblai devra être utilisé autour des
fondations des ouvrages. Le matériau sera mis en place par couches horizontales de 20 cm d'épaisseur
au maximum avant compactage. Il doit être à une teneur en eau qui ne s’écarte pas de plus de 2% de
la teneur en eau de l’optimum Proctor et être compacté jusqu’à atteindre 90% de la densité de
l’optimum Proctor modifié.
Sauf indication contraire sur les plans, du matériau ordinaire devra être utilisé pour remblayer les
tranchées, au-dessus de la fondation de ces ouvrages.
Au droit des tuyaux adjacents, on utilisera du matériau sélectionné jusqu’à ce qu’ils soient recouverts
d'une épaisseur au moins égale à 20 cm au-dessus de la génératrice supérieure, en usant des
précautions nécessaires pour éviter tout déplacement de la conduite. Le reste du matériau de remblai
sera ordinaire et devra ensuite être mis en place dans les tranchées par couches de 20 cm d'épaisseur
au maximum à la même teneur en eau mais en visant une densité supérieure à 90% de l’optimum
Proctor modifié.
Le remblayage de la conduite devra être réalisé en tout temps de manière à empêcher tout dommage
ou abrasion de la protection extérieure des tuyaux.
La mise en place du matériau de remblai ne pourra être faite qu’après inspection, essais et approbation
des travaux de pose des conduites, par le Maître d’ouvrage.
Des cavaliers en remblai sélectionné seront d’abord mis en place en deux ou trois points pour chaque
élément de conduite pour protéger et buter les tuyaux. Ils seront traités dans les mêmes conditions
que les autres remblais.
L'achèvement du remblai comprendra le remblayage de la tranchée, la consolidation du remblai, la
mise en place de tout revêtement provisoire susceptible d'être nécessaire, afin de permettre le
rétablissement de la circulation des véhicules au-dessus du remblai.
Les contrôles de la qualité des matériaux utilisés pour les remblais sont à la charge de l’Entrepreneur,
et porteront sur les analyses suivantes :
limites d’Atterberg ;
analyse granulométrique ;
essai Proctor Standard ou modifié selon la granulométrie du matériau ;
densité en place ;
teneur en eau en place.
Cette série d’essais doit être effectuée pour agrément par le Maître d’ouvrage, au départ des travaux et
à chaque changement dans la nature des remblais utilisés.
Les tuyaux à emboîtements doivent être posés sur des lits de madriers à l'exclusion de
rondins, ou à la rigueur des tasseaux en terre, disposés de façon à ce qu'ils ne portent pas
sur les emboîtements.
Les tuyaux en acier revêtus extérieurement reposeront sur toute leur longueur afin d'éviter
les dégradations locales du revêtement. Ils seront isolés les uns des autres par des papillons
ou toute autre matière tendre.
Les tuyaux en Polyéthylène seront protégés du soleil et stockés dans un abri couvert.
D'une manière générale, le repos à même le sol est proscrit en raison des porte-à-faux probables.
Toutes les précautions seront prises également pour assurer la conservation des accessoires, en
particulier, les appareillages seront conservés en position fermée à l'abri du vent afin d'empêcher
l'introduction de sable ou de débris divers, ainsi que du plein soleil afin d'éviter l'altération des joints.
Le Maître d’ouvrage pourra, dans certains cas, imposer à l'Entrepreneur de procéder avant épreuve au
remblaiement immédiat de la tranchée d’un tronçon limité. Cette disposition sera en principe rendue
nécessaire par des contraintes particulières.
Dans ce cas, l'Entrepreneur ne pourra prétendre à aucun supplément de prix pour la découverte des
joints et tuyaux que l'épreuve aurait révélés défectueux et procéder aux réparations nécessaires.
La valeur de la pression d'épreuve en tranchée est définie comme suit :
L'Entrepreneur définira dans son offre l'appareillage qu'il prévoit pour l'exécution de l'épreuve en
tranchée.
Le dispositif proposé devra satisfaire aux conditions suivantes :
comporter un manomètre permettant la lecture de la pression d'épreuve avec une
précision de 1%. Une attestation par un laboratoire agréé devra prouver le bon étalonnage
des manomètres ;
Permettre de maintenir la pression d'épreuve exprimée en bars dans la fourchette.
(Pt - 0,2), (Pt + 0,2) ;
Pt étant la pression d'épreuve théorique, exprimée en bar et définie comme suit :
c- Fabrication
Les méthodes et les matériels employés pour le dosage de tous les constituants du béton, en particulier
de l'eau, devront être agrées par le Client.
En définitive la quantité d'eau employée doit être conforme, aux résultats de l'étude de la composition
des bétons.
Le dosage en ciment des divers bétons, suivant la nécessité du chantier pourra être éventuellement
modifié. Les changements qui seront apportés seront soumis à l'accord du Client et seront limités au
point très particulier pour lequel ils auront été effectués. Ils demeureront exceptionnels.
La surface de reprise sera mouillée abondamment de façon à ce que l'ancien béton soit saturé d'eau
avant d'être mis en contact avec le béton frais, cette surface ne devra cependant pas être ruisselante
ni retenir des flaques d'eau.
Les travaux éventuels de finition sur les bétons coffrés laissés bruts de décoffrage ne donneront lieu à
aucune plus-value.
Les hors profils ne seront en aucun cas rémunérés.
e- Cure de béton
La cure a pour objet de maintenir le béton dans l'état d'humidité nécessaire à un durcissement
satisfaisant. Sa durée est de quinze jours.
La cure peut être obtenue par humidification ou par application d'un vernis protecteur.
L'humidification doit être continue et commence dès que le béton a fait prise, elle est obtenue en
recouvrant le béton de protections maintenues imbibées d'eau (nattes, paillassons, toiles) ou par un
arrosage permanent (aspersion).
Les vernis protecteurs éventuellement utilisés devront être agrées par le Maître d’ouvrage. Ils seront
placés sur les surfaces libres du béton dès le début de la prise. On admettra que le début de la prise
coïncide pratiquement avec le moment où la surface du béton fraîchement mis en place cesse d'être
luisante pour virer au mat.
a- Gâchage de béton
L'Entrepreneur est tenu de malaxer tous les bétons à la bétonnière. L'Entrepreneur doit avoir en
réserve au chantier une bétonnière prête à fonctionner.
Les bétonnières utilisées seront agrées par le Maître d'ouvrage. L'Entrepreneur devra obligatoirement
disposer sur son chantier de caisses de dosage.
Le malaxage devra être suffisamment poussé pour obtenir le parfait mélange des constituants.
c- Température du béton
La température du béton à la mise en place ne devra pas être supérieure à 35°C ni inférieure à 5°C.
Si le béton est mis en place durant les mois à température élevée, toutes les précautions utiles, telles
qu'arrosage des agrégats, devront être prises pour que la température des bétons au moment de leur
mise en place, ne dépasse pas les 35°C.
a- Nettoyage
Avant leur mise en place, les armatures (et tous leurs supports métalliques) sont nettoyées pour
éliminer les traces de béton, les poussières diverses, la graisse et toute autre matière néfaste. Les
plaques de rouille ou de calamine qui peuvent s'enlever par brossage énergique sont considérées
comme néfastes. Après leur mise en place, les armatures sont maintenues propres jusqu'à l'enrobage
complet.
b- Mise en place
Les armatures sont placées avec précision et maintenues solidement de façon à ne pouvoir bouger lors
du bétonnage ; on s'attachera tout spécialement à éviter de déplacer des armatures du béton déjà
coulé. Des chevalets, suspentes, épingles métalliques, cales en béton, ou tout autre système,
acceptable, pourront être utilisés à cet effet.
Les cales peuvent être en plastiques, en béton ou mortier, les cales métalliques n'étant pas admises
au contact des coffrages.
Le mortier ou le béton constitutif des cales doit être d'une qualité comparable à celle du béton de
l'ouvrage, la porosité notamment doit être faible et la couleur doit être la même que celle de l'ouvrage
si les cales peuvent être visibles sur le parement.
Toutes les ligatures en acier doux recuit, disposées à tous les points de croisement des aciers se
termineront du côté de la masse du béton et ne doivent pas pointer vers les parements. Elles sont
fortement serrées à la pince.
Les tolérances pour la mise en place des armatures sont les suivantes, sauf exception bien précisée :
c- Façonnage - recouvrements
Tout façonnage, recouvrement et ancrage des armatures est conforme aux normes BAEL 91 sauf
indication contraire.
Tous les fers à béton sont façonnés à froid de manière progressive, en évitant tout à-coup. Le pliage
des barres à chaud n'est pas autorisé.
Le cintrage des barres en acier haute adhérence de diamètre supérieur à 12 mm doit être fait
mécaniquement. Leur dépliage n'est pas admis. Le façonnage dans le coffrage n'est admis que pour la
fermeture des cadres et étriers constitués d'acier doux de diamètre au plus égal à 12 mm.
Les pliures et dépliures systématiques des barres laissées en attente sont interdites sauf autorisation
écrite du Maître d'ouvrage ou indication spécifique des plans d'exécution.
Les angles et les coudes auront une courbure intérieure adaptée à la nuance d'acier et à son diamètre ;
elle est précisée sur les plans.
Les recouvrements sont toujours décalés.
En cas d'assemblage par soudure bout à bout, les règlements BAEL 91 sont appliqués avec l'accord
du Maître d'ouvrage.
La jonction des barres par manchons, taraudés, pressés ou coulés, est également soumise à l'agrément
du Maître d'ouvrage.
Toutes les autres précisions utiles sont données sur les plans de ferraillage.
à 18.000 cycles/minutes. Le temps de vibration sera strictement limité à une bonne mise en
place, mais ne devra pas, pour les bétons très plastiques, permettre l'amorce de ségrégation.
La vibration extérieure de finition ne sera autorisée que si les moules cylindriques métalliques
ou cubiques ne peuvent subir un déplacement latéral sous l'effet de la vibration.
Le marquage, à l'exclusion de toute inscription au stylo sur le béton même, sera réalisé par
inscription au crayon feutre ou à la craie grasse sur les moules métalliques. Cette inscription
sera reportée alors à la peinture sur le béton après démoulage.
Le procès-verbal de prélèvement des échantillons indiquera :
- Le point exact, la date et l'heure de prélèvement ;
- La température ambiante au lieu du prélèvement ;
- La température du ciment, la date et l'importance de l'expédition ;
- Le dosage, la granulométrie et la quantité d'eau de gâchage ;
- Eventuellement, la nature et les quantités d'adjuvants ;
- Le nombre et la nature des éprouvettes.
Les rapports des résultats des essais à 7 jours et 28 jours seront communiqués directement au Maître
d'ouvrage par le laboratoire. Dans le cas où ces résultats seraient inférieurs aux caractéristiques
exigées, Le Maître d'ouvrage décidera du sort des ouvrages défectueux. Les mesures imposées
pourraient aller jusqu’à la destruction et la reconstruction de ces ouvrages.
Le Maître d'ouvrage pourra autoriser ou exiger que des essais en place non destructifs soient exécutés
aux frais de L’Entrepreneur. Ces essais peuvent être généralisés à toute la structure déjà réalisée aux
frais de l’Entreprise. Dans ce cas, et si les essais confirment la mauvaise qualité des ouvrages,
l’Entrepreneur pourra proposer des mesures propres à remédier à la structure. Le Maître d'ouvrage
restera, cependant, seul juge et sa décision finale sera appel.
Dans le cas où les résultats de contrôle de laboratoire sont inférieurs aux valeurs exigées par les
normes en vigueur, et qu’ils sont jugés acceptables par le Maître d'ouvrage, une moins-value sera
appliquée à l’Entrepreneur proportionnellement aux résultats des essais des matériaux.
Le coefficient de réduction sera calculé comme suit :
Les contrôles des matériaux de fabrication du béton et des échantillons seront prélevés par éprouvettes
sur le béton pour contrôle.
Le Maître d’ouvrage décidera du remplacement de tous les ouvrages contrefaits, aux frais de
l'Entrepreneur.
Les regards préfabriqués seront posés sur une assise de 5 cm en béton B20, construite sous le radier
du regard.
Les regards des prises ne peuvent être posés que s’ils sont conformes aux dessins visés "Bons pour
exécution".
Les terrassements pour ces regards doivent être exécutés de façon à laisser un espace de 20 cm
minimum autour de l’ouvrage à partir du débord du radier.
Les regards pour prises doivent être posés de façon à ce qu’ils soient ancrés sur le sol, en dessous du
terrain naturel, d’au moins 30 cm.
Une fois posés, un remblai bien compacté doit être exécuté tout autour de l’ouvrage jusqu’au terrain
naturel avec une hauteur minimale de 30 cm.
- Contrôle et essais :
L’Entrepreneur sera tenu d'organiser les essais de contrôle du béton, conformément aux prescriptions
définies dans le présent CPS, et ce en présence d’une commission composée de représentants du
Maître d’Ouvrage, du laboratoire agrégé du Maître d’Ouvrage et de l’Entreprise, qui procédera à la
réception et l’approbation des échantillons une fois les résultats des différentes épreuves sont
satisfaisants.
Les procès-verbaux et les résultats des essais seront transmis au Maître d’Ouvrage et serviront de
documents contractuels pour le paiement après réception.
a- Conditions préalables
Les ouvrages seront conformes aux dessins visés "Bons pour exécution".
Aucun béton n'est mis en place en principe avant que la totalité de la surface à couvrir par le béton ne
soit réceptionnée.
Avant le début de chaque opération de bétonnage, que ce soit sur fond de fouille, sur remblai préparé
ou sur reprise, l'Entrepreneur doit compléter toutes les opérations préparatoires, obtenir l'inspection
par le Maître d'ouvrage qu'il aura prévenu raisonnablement à l'avance, ainsi que l'autorisation écrite
du Maître d'ouvrage pour commencer le bétonnage.
Les bétons resteront bruts de décoffrage. Les parois seront unies, les bétons seront décoffrés 48 heures
après. Les raccordements entre seguias et ouvrages se feront par l'intermédiaire de joints secs.
Aux articulations prévues sur les différents ouvrages, on assurera l'étanchéité par un produit efficace
qui sera soumis à l'approbation du Maître d’ouvrage. Le Maître d’ouvrage décidera de la démolition, de
la réfection aux frais de l'Entrepreneur d'ouvrages ou de parties d'ouvrages contrefaits.
Aucun bétonnage n'aura lieu au cours d'intempéries considérées comme dangereuses pour le béton.
En particulier le bétonnage peut être arrêté, sur ordre du Maître d’ouvrage en cas de chergui (vent
chaud).
Pour en expulser l'air et assurer le remplissage complet des vides, le béton est serré par vibration ou
pervibration jusqu'à ce que le mortier reflue légèrement à la surface.
Les vibrateurs sont des aiguilles à air comprimé, hydrauliques ou électriques, utilisées à la main ou
montées sur des engins spéciaux.
a- Joints de construction
Ce sont des joints qui existent de par le mode de construction. Ils résultent du contact de deux bétons
d'âges différents. Le béton le plus récent sera dans sa partie supérieure, en retrait du béton ancien,
afin que la fissure, qui ne manquerait pas de se produire, se crée au fond d'un embrèvement de profil
régulier.
La rainure de joint de contraction pourra être créée soit par coffrage, soit par sciage. Dans le cas du
coffrage, une réglette en bois dur au profil trapézoïdal ou de polystyrène expansé d'épaisseur adéquate,
sera placée contre le béton de première phase. Ce béton de deuxième phase, en s'appuyant contre
cette réglette, réservera le joint.
L'étanchéité au droit de la fissure est assurée par la masse du produit élastique placé dans la gorge.
b- Joint de dilatation
Entre les deux parties d'ouvrages en infrastructure, il a été prévu des joints du type élastoplastique
ou similaire agréés par le maître d'ouvrage.
Le plus grand soin sera apporté à la mise en place de ces joints, car il conditionne l'efficacité de leur
emploi.
La réception de cette partie d'ouvrage, avant bétonnage, sera prononcée par le maître d'ouvrage.
c- Joint en mastic
Ces joints seront disposés tout autour des manchettes en acier traversant les voiles des regards des
prises.
Différents types de mastics peuvent être utilisés à cet effet :
Mastic élastoplastique dans lequel le liant peut être du butyle, du caoutchouc, des résines
acryliques et vinyliques,
Composition du produit,
a- Généralités
Avant le bétonnage, tout le matériel à enrober doit être solidement fixé à sa place exacte. Il est propre,
exempt de toute graisse, débarrassé de rouille, peinture, calamine ou laitance. Sauf autorisation
spéciale du Maître d'ouvrage, on ne noiera pas de bois dans le béton.
Toutes les conduites d'air ou d'eau noyées pour les besoins du chantier avec l'autorisation du Maître
d’ouvrage respecteront les consignes ci-dessus et sont remplies de béton ou de coulis dès qu'elles
n'auront plus d'utilité.
b- Scellements et réservations
Les petits scellements (de section inférieure à 4 dm2), quelle que soit la profondeur, sont exécutés avec
du mortier composé de 500 kg de ciment par mètre cube de sable. Il aura une consistance et une
maniabilité satisfaisantes et doit contenir un produit "anti-retrait". D’autres produits, autres que les
mortiers de ciment, pourront être instruits par le Maître d’ouvrage. Les fiches techniques de ces
derniers produits seront soumises au Maître d’ouvrage pour agrément.
Des coffrages sont installés, si nécessaire, et on remplira soigneusement tous les vides du béton de
première phase. Du mortier sec est utilisé suivant les instructions particulières pour chaque cas.
Pour les autres scellements on utilise, en principe, du béton de la catégorie 16/30.
Les réservations de section supérieure à 4 dm2 pourront être réalisées au moyen de coffrages perdus
confectionnés autour des étriers ou pièces de scellement au moyen de grillage, découpé et soudé aux
formes appropriées et fixé au moyen de ronds à béton servant de raidisseurs. Avant leur mise en place
et leur fixation dans les coffrages, les boîtes à scellement ainsi confectionnées sont enduites
extérieurement de mortier projeté, de façon à empêcher la laitance de refluer à l'intérieur des boîtes
au moment de la mise en place du béton.
Après prise du béton, l'intérieur des boîtes est contrôlé; celles-ci sont au besoin débarrassées de tous
corps étrangers, puis elles sont soigneusement obturées en attendant le montage du matériel.
La mise en œuvre des matériaux de scellement est précédée dans tous les cas:
De l’enlèvement de tout grillage ou métal déployé qui aurait servi de coffrage,
Du repiquage des parois dans le cas de réservation au moyen de polystyrène
(chalumeau et produits de dissolution interdits),
D’un nettoyage soigné de la surface de béton et des pièces métalliques;
Dans le cas de matériaux ou de produits à base de liant hydraulique, d’un traitement adapté du béton
pour éviter la dessiccation des matériaux ou des produits:
humidification dans le cas d’utilisation de matériaux de bourrage,
saturation d’eau dans le cas d’utilisation de produits de calage ou de scellements;
Dans le cas de produits à base de liant résineux, d’un séchage du béton et des pièces métalliques si
ceux-ci sont humides (seul l’air chaud pulsé et le rayonnement infrarouge sont autorisés pour le
séchage).
Après la mise en œuvre des produits à base de liant hydraulique et des matériaux de bourrage, il est
appliqué un produit de cure éprouvé sur les faces libres de matériaux ou produits.
Des scellements de barres pourront être exécutés dans les bétons primaires. Les trous de foration
devront dans ce cas avoir un diamètre au moins égal à 1.5 fois le diamètre de la barre.
Les barres ne sont introduites dans les trous qu’après soufflage à l’air comprimé et à l’eau, puis
remplissage de ceux-ci avec le coulis de scellement pour lequel le Maître d’ouvrage a donné son accord.
Les dispositions précitées, concernant les scellements dans les bétons, s’appliquent également aux
scellements de barres d’acier dans le rocher.
c- Tuyauteries
Toutes les tuyauteries sont soigneusement assemblées et mises en place. Elles doivent être maintenues
propres et débouchées ; avant le bétonnage, toute tuyauterie est essayée avec un courant d'air ou
d'eau sous pression et identifiée par un repère visible et indélébile puis immédiatement obturée ou
bouchée de façon à éviter toute introduction de corps étrangers. Des contrôles sont ensuite effectués
pendant le bétonnage.
Toute tuyauterie bouchée doit être débouchée. Si cela est impossible, on fera des forages, démolitions
ou mises en place de tuyauteries nécessaires pour remplacer efficacement le tronçon hors service, ceci
à la satisfaction du Maître d’ouvrage et aux frais de l'Entrepreneur.
Les menuiseries métalliques et les ferronneries sont conformes aux prescriptions respectivement de
l'article 152 et 153 du D.G.A.
Les menuiseries métalliques doivent recevoir un traitement anticorrosion, tel que défini ci-dessous
sablage à vif des surfaces
métallisation zinc par shoopisation (projection à froid au pistolet), épaisseur minimale 120
microns.
application de deux couches de peinture glycérophtalique.
Pour les petites pièces, notamment les couvercles et grilles au sol :
même traitement sauf que la métallisation est remplacée par une galvanisation à chaud au
zinc.
Les parties oxydées après montage ou soudées en place sont brossées et repassées avec une couche
de peinture à base de poudre de zinc et deux couches de peinture glycérophtalique.
ARTICLE 111. CONDITIONS GENERALES D'ETABLISSEMENT DES PRIX – VISITE DES LIEUX
L'Entrepreneur est réputé avoir examiné le site et l’emplacement des ouvrages, à réaliser et des
carrières et autres lieux d'extraction et avoir, après cet examen, fait toutes les études qu'il pourrait
désirer pour juger par lui-même des sujétions d'exécution résultant des conditions du site du chantier.
L'Entrepreneur ne pourra, en aucun cas, formuler des réclamations basées sur une connaissance
insuffisante des lieux et des conditions d'exécution des travaux.
Les renseignements techniques et les indications données dans les pièces du Contrat n'ont qu'un
caractère indicatif, dont l'appréciation est laissée à l'Entrepreneur qui aura la liberté de les contrôler
par toutes les enquêtes et mesures voulues, particulièrement en ce qui concerne la nature géologique
des terrains et toutes les conditions naturelles de la région.
L'Entrepreneur ne pourra élever aucune réclamation, ni ne demander aucune indemnité au cas où il
estimerait que, du fait des renseignements donnés dans les documents contractuels, il aurait subi une
perte ou des dépenses imprévues par suite de mésestimation des risques ou de toute sujétion.
L'Entrepreneur est réputé avoir étudié toutes les conditions du Contrat et avoir lui-même contrôlé en
détail que les travaux peuvent être exécutés conformément à ces conditions. Il est aussi réputé avoir
une connaissance détaillée du site des ouvrages, des moyens d'accès et d'alimentation en électricité,
ainsi que de tout autres moyens ou possibilités dont il pourra disposer sur son chantier.
Enfin, l'Entrepreneur doit prendre toutes ses dispositions pour se documenter de manière complète
sur les usages et coutumes locales, la législation marocaine, les ressources exactes en main-d’œuvre,
matériel et matériaux, les conditions climatiques, la nature du sol, les débits dans les talwegs et les
rivières, les niveaux des nappes phréatiques et, d'une façon générale, toutes les sujétions qui sont
susceptibles d'influencer les conditions d'exécution et les prix des ouvrages.
D'une façon générale, tous les prix tiennent compte de toutes les dépenses, frais et faux frais, à engager
pour la bonne exécution du marché et non spécialement couverts par les allocations explicitement
prévues par le présent cahier des prescriptions particulières Les prix unitaires du bordereau sont des
prix établis en tenant compte des conditions économiques prévalant ou pouvant prévaloir durant la
durée de l'exécution du marché. L'Entrepreneur ne peut en aucun cas exciper l'ignorance de ces
conditions.
Tous les prix du bordereau s'appliquant aux travaux et ouvrages complètement achevés en état de
fonctionnement en conformité avec les dispositions des cahiers des prescriptions.
Les travaux seront évalués suivant les prix unitaires qui sont proposés par l'Entrepreneur dans le
cadre du bordereau des prix.
Les prix proposés par l'Entrepreneur tiennent compte:
- De toutes les sujétions résultant de l'application du Cahier des Clauses Administratives
Générales applicables aux marchés de travaux exécutés pour le compte de l’Etat et des présents
cahiers des prescriptions générales, administratives, financières et techniques, propres aux
travaux objet du présent marché ;
- Des frais généraux de Siège Social, de Direction Générale et de Direction Locale ;
- Les frais d'installation de chantiers, y compris les reconnaissances et frais de prospection ;
- Les frais de logement et de campement de tout le personnel ;
- Les frais de bureaux de chantier ;
- Les frais d'alimentation en eau et en énergie électrique du chantier ;
- Les frais d'extraction et de transport d'agrégats. ;
- Les salaires, appointements, gratifications, indemnités, assurances et charges sociales de tout
le personnel ;
- Les frais de voyages et de congé du personnel ;
- Les frais médicaux pour tout le personnel ;
- Les dépenses pour l'exécution de tous les essais et vérifications prévus dans le cadre des
prescriptions techniques communes et spéciales ;
- Les études complémentaires nécessaires pour l’exécution des travaux, en particulier les
sondages et prospections, essais et analyses géotechniques des sols de fondations des
différents ouvrages (conduites, chambres, regards, etc.), qui sont à la charge de
l’entrepreneur;
- Les sondages et puits de reconnaissance du terrain au niveau des ouvrages et le long du tracé
des conduites ;
- Les frais des essais du Laboratoire de contrôle technique des fournitures et des travaux ;
- Des achats de matériaux, fournitures, équipements, matières consommables et matériels de
toute sorte, y compris l'énergie électrique ;
- Les dépenses d'entretien, d'amortissement et de renouvellement de tout le matériel ;
- Les frais de transport quels qu'ils soient ;
- Les frais entraînés par la construction et l'entretien de toutes les voies d'accès au chantier, aux
logements ou campements, aux sites de prélèvements d'agrégats, de décharges, ainsi que toutes
les voies que l'Entrepreneur jugera nécessaires de réaliser ou d'emprunter pour la desserte de
son chantier ;
- Les indemnités aux propriétaires pour des dégradations qui lui seraient imputables hors de
l'emprise des ouvrages, et les droits de passage et d’entreposage des matériaux ;
- Les frais d'épuisements pour les venues d'eau ;
- Les impôts et taxes diverses de toutes natures, les droits de douane et de carrière, et la taxe sur
la valeur ajoutée ;
- Les assurances diverses tant pour le personnel que pour les immeubles, les matières et le
matériels, y compris les véhicules automobiles de toute nature ;
- Les frais généraux et le bénéfice de l'Entreprise.
Cette série concerne les prix 2001 à 2011 (DN 50 mm, DN 63 mm, DN 75 mm, DN 90 mm, DN 110
mm, DN 125 mm, DN 140 mm, DN 160 mm, DN 200 mm, DN 225 mm et DN 250 mm).
Ces prix rémunèrent, au mètre linéaire, la fourniture, le transport, la pose en tranchée de conduites
de distribution internes aux blocs (intra-blocs et intra-groupes) en PEHD, de PN 16 bars et de DN 50,
63, 75, 90, 110, 125, 140, 160, 200, 225 et 250 mm et des pièces spéciales de raccordement
(adaptateurs de brides, raccords bride major, collets à brides, coudes tout angle altimétriques,
planimétriques et alti-planimétriques, tés, croix, cônes de réduction, etc.) et des ventouses, vidanges
et leurs équipements et pièces spéciales annexes, aux points sensibles des profils, y compris les
terrassements, le lit de pose et les remblais primaire et secondaire, conformément aux spécifications
du CPS et toutes sujétions. Tous les raccordements seront exécutés par électro soudure.
Les prix de cette série comprennent toutes les dépenses nécessaires à l’exécution des travaux,
notamment :
a) Généralités :
Toutes les dépenses de fournitures qui s’entendent livrées, rendues et rangées à pied
d’œuvre, ou aux dépôts indiqués ;
Tous les frais de transport à pied d’œuvre y compris ceux des fournitures éventuelles du
Maître d’Ouvrage, prises en compte par l’Entrepreneur ;
Les frais de piquetage et d’établissement des dossiers d’exécution,
Les frais d’outillage et de matériel, en usines ou sur le site ;
Les frais de force motrice pour toutes les opérations incombant à l’Entrepreneur ;
Tous les frais afférents aux essais de contrôle des matériaux constitutifs et de réception des
conduites en usine, tels que définis au CPS ;
Le remplacement des tuyaux reconnus défectueux dans la mesure où ils ne satisfont pas
aux prescriptions techniques du CPS ;
Les frais résultant de l’occupation temporaire des terrains, des dégâts aux chemins, du
maintien de la circulation sur les routes et chemins, des accès des propriétés privées et de
leur clôture, de l’écoulement des eaux pluviales et ménagères, ainsi que l’évacuation ou
l’épuisement des venues d’eaux souterraines ;
Les difficultés que l’Entrepreneur pourrait rencontrer pendant l’exécution des travaux,
notamment les protections de ses chantiers contre les crues des oueds ou contre les eaux
de ruissellement.
c) Remblais compactés :
réalisation de remblaiement primaire pour conduites sur une hauteur de recouvrement de 30 cm au-
dessus de la génératrice supérieure extérieure de la canalisation et en entourant les deux flancs de
celle-ci, y compris toutes sujétions, le tout en conformité avec les spécifications du CPS et les plans
d’exécution approuvés « Bon pour exécution ».
Dans le cas où le matériau extrait des déblais serait susceptible d’être réutilisé (sable, tout venant,
etc.), cette réutilisation sera soumise à l’approbation préalable du Maître d’Ouvrage. Les matériaux
extraits des déblais feront l’objet d’essais de laboratoire pour juger de leur aptitude à servir comme
matériaux de remblais, le MO se réservera le droit d’utiliser, pour les remblais en matériau
compactable, exclusivement du déblais des fouilles ou des matériaux d’apport, ou de varier la
répartition des quantités totales estimées de ces remblais sur les différents matériaux, sans que
l’Entrepreneur puisse réclamer une quelconque plus-value.
Les lits de pose seront en sables 0/5 ou en gravettes (GII ou GIII) inaltérables et non friables
sélectionnée et damée, selon les recommandations des études géotechniques réalisées par les
laboratoires internes et externes et validées par le Maître d’ Ouvrage.
Les caractéristiques dimensionnelles des tuyaux et des pièces spéciales devront être précisées par les
soumissionnaires et elles devront obéir aux règlements en vigueur.
Le linéaire de la conduite à considérer dans les métrés est celui de la projection horizontale qui figure
sur les profils en long portant la mention « Bon pour exécution » et sans déduction des longueurs des
pièces spéciales de raccordement (coudes, tés, cônes de réduction, manchettes, joints, etc.) dont la
rémunération est incluse dans les prix unitaires du mètre linéaire de la conduite posée.
Il s’agit de la réalisation des essais par tronçon de 1000 ml au maximum, par Bloc et par Borne, des
conduites, conformément aux dispositions du CPS, y compris toutes sujétions et dispositifs
nécessaires pour l’installation et la réalisation de l’essai.
Le mode de règlement de chacun des prix de cette série est comme suit :
60% à la fourniture, transport et pose des conduites et piècezs spéciales, y compris lit de
pose et cavaliers sur conduites ;
40% après les essais concluants en tranchées, remblaiement des tranchées et remise en état
des lieux.
- Prix 3100 : Fourniture, transport, gardiennage et pose des équipements pour Prises-
Groupes, alimentées par les conduites intra-blocs, constituées des appareillages,
tuyauteries et pièces spéciales décrites dans le CPS
Ces prix comprennent toutes les dépenses nécessaires à l’exécution des travaux, notamment :
Toutes les dépenses de fourniture qui s’entendent livrées, rendues, déchargées et rangées à
pied d’œuvre ou aux dépôts indiqués par le Maître d’ouvrage, des différents appareillages de
ces Prises-Groupes, emballés et protégés ; à savoir :
Les vannes de sectionnement à opercule ;
Les limiteurs de débit à anneau modulant ;
Les ventouses « Purge-air » filetées de DN 3/4’’ minimum.
Toutes les dépenses de fourniture qui s’entendent livrées, rendues, déchargées et rangées à
pied d’œuvre ou aux dépôts indiqués par le Maître d’ouvrage, emballés et protégés des
différentes pièces spéciales de raccordement (manchette d'ancrage à bride centrale, manchette
de traversée à brides, élément droit à brides, tubulures, coude tout angle à brides, té à brides,
cône de réduction à brides, raccord bride major, plaques pleines adéquates pour l’obturation
éventuellement de la Prise-Groupe, boulons, écrous et toute autre pièce ou accessoire de
raccordement nécessaire), des appareils de ces Prises-Groupes entre eux et avec les conduites
de distribution intra-blocs et intra-groupes ;
Les frais de protection contre la corrosion de l’ensemble des pièces spéciales et tuyauterie de
racccordement en acier par galvanisation au zinc à chaud ;
Les frais d’outillage et de matériel, en usines ou sur le site ;
Les frais d’installation, de montage, de réglage et de raccordement des appareillages et des
pièces spéciales de raccordement constituant ces Prises-Groupes ;
Les frais de raccordement de ces Prises-Groupes aux conduites de distribution intra-blocs et
aux conduites de distribution intra-groupes ;
La mise en œuvre de béton B25 pour butées, socles et ancrages, y compris toutes sujétions et
ce conformément aux prescriptions techniques ;
Tous les frais afférents aux essais de contrôle et de réception des fournitures en usine et sur
sites (essais de contrôle des matériaux, essais hydrauliques d’étanchéité, essais de pression,
etc.) et toutes autres sujétions ;
Tous les frais afférents aux essais et contrôles de mise en service ;
Le remplacement des équipements reconnus défectueux ou s’ils ne satisfont pas aux
prescriptions techniques ou présentant des défaillances quelconques ;
Les frais résultant de l’occupation temporaire des terrains en dehors de l’emprise des travaux,
des dégâts aux chemins, du maintien de la circulation sur les routes et chemins, des accès des
propriétés privées et de leur clôture, de l’écoulement des eaux pluviales et ménagères, ainsi que
l’évacuation ou l’épuisement des venues d’eaux souterraines ;
Les frais de transport, d'assurance, de fret, de douanes et taxes diverses ;
Les frais de force motrice pour toutes les opérations incombant à l’Entrepreneur ;
Les difficultés que l’Entrepreneur pourrait rencontrer pendant l’exécution des travaux.
L’entrepreneur devra remettre des plans d’exécution de génie civil et des équipements de ces Prises-
Groupes avec un tableau de côtes et dimensions variables précisant les encombrements de tous les
appareils et les pièces spéciales de raccordement.
- Prix 3200 : Fourniture, transport, gardiennage et pose des équipements pour Prises-
Propriétés, alimentées par les conduites intra-blocs, constituées des appareillages,
tuyauteries et pièces spéciales décrites dans le CPS
Ces prix comprennent toutes les dépenses nécessaires à l’exécution des travaux, notamment :
Toutes les dépenses de fourniture qui s’entendent livrées, rendues, déchargées et rangées à
pied d’œuvre ou aux dépôts indiqués par le Maître d’ouvrage, des différents équipements de ces
Prises-Propriétés, emballés et protégés ; à savoir :
Les vannes de sectionnement à opercule ;
Les limiteurs de débit à anneau modulant ;
Les compteurs Woltmann ;
Toutes les dépenses de fourniture qui s’entendent livrées, rendues, déchargées et rangées à
pied d’œuvre ou aux dépôts indiqués par le Maître d’ouvrage, emballés et protégés des
différentes pièces spéciales de raccordement (manchette d'ancrage à bride centrale, manchette
de traversée à brides, élément droit à brides, tubulures, coude tout angle à brides, té à brides,
cône de réduction à brides, raccord bride major, plaques pleines adéquates pour l’obturation
éventuellement de la Prise-Propriété, boulons, écrous et toute autre pièce ou accessoire de
raccordement nécessaire), des appareils de ces Prises-Propriétés entre eux et avec les conduites
de distribution intra-blocs ;
Les frais de protection contre la corrosion de l’ensemble des pièces spéciales et tuyauterie de
racccordement en acier par galvanisation au zinc à chaud ;
Les frais d’outillage et de matériel, en usines ou sur le site ;
Les frais d’installation, de montage, de réglage et de raccordement des appareillages et des
pièces spéciales de raccordement constituant ces Prises-Propriétés ;
Les frais de raccordement de ces Prises-Propriétés aux conduites de distribution intra-blocs ;
La mise en œuvre de béton B25 pour butées, socles et ancrages, y compris toutes sujétions et
ce conformément aux prescriptions techniques ;
Tous les frais afférents aux essais de contrôle et de réception des fournitures en usine et sur
sites (essais de contrôle des matériaux, essais hydrauliques d’étanchéité, essais de pression,
etc.) et toutes autres sujétions ;
Tous les frais afférents aux essais et contrôles de mise en service ;
Le remplacement des équipements reconnus défectueux ou s’ils ne satisfont pas aux
prescriptions techniques ou présentant des défaillances quelconques ;
Les frais résultant de l’occupation temporaire des terrains en dehors de l’emprise des travaux,
des dégâts aux chemins, du maintien de la circulation sur les routes et chemins, des accès des
propriétés privées et de leur clôture, de l’écoulement des eaux pluviales et ménagères, ainsi que
l’évacuation ou l’épuisement des venues d’eaux souterraines ;
Les frais de transport, d'assurance, de fret, de douanes et taxes diverses ;
Les frais de force motrice pour toutes les opérations incombant à l’Entrepreneur ;
Les difficultés que l’Entrepreneur pourrait rencontrer pendant l’exécution des travaux.
L’entrepreneur devra remettre des plans d’exécution de génie civil et des équipements de ces Prises-
Propriétés avec un tableau de côtes et dimensions variables précisant les encombrements de tous les
appareils et les pièces spéciales de raccordement.
- Prix 3300 : Fourniture, transport, gardiennage et pose des équipements pour Prises-
Propriétés, alimentées par les conduites intra-groupes, constituées des appareillages,
tuyauteries et pièces spéciales décrites dans le CPS
Ces prix comprennent toutes les dépenses nécessaires à l’exécution des travaux, notamment :
Toutes les dépenses de fourniture qui s’entendent livrées, rendues, déchargées et rangées à
pied d’œuvre ou aux dépôts indiqués par le Maître d’ouvrage, des différents équipements de ces
Prises-Propriétés, emballés et protégés ; à savoir :
Les vannes de sectionnement à opercule ;
Les compteurs Woltmann ;
Toutes les dépenses de fourniture qui s’entendent livrées, rendues, déchargées et rangées à
pied d’œuvre ou aux dépôts indiqués par le Maître d’ouvrage, emballés et protégés, des
différentes pièces spéciales de raccordement (manchette d'ancrage à bride centrale, manchette
de traversée à brides, élément droit à brides, tubulures, coude tout angle à brides, té à brides,
cône de réduction à brides, raccord bride major, plaques pleines adéquates pour l’obturation
L’entrepreneur devra remettre des plans d’exécution de génie civil et des équipements de ces Prises-
Propriétés avec un tableau de côtes et dimensions variables précisant les encombrements de tous les
appareils et les pièces spéciales de raccordement.
Le mode de règlement de chaque article des prix de cette série est comme suit :
70% du prix sera payé à l’entrepreneur après essais et réception en usine, livraison et
réception sur site et après montage et installation des appareillages et les pièces spéciales
constituant les équipements de chaque Prise-Groupe et Prise-Propriété, conformément au
CPS et aux plans d’exécution approuvés par le Maître d’ouvrage ;
30% du prix sera payé à l’entrepreneur après réalisation des essais concluants in-situ,
conformément au CPS.
Les prix de cette série rémunèrent à l’unité, la fourniture, le transport, le gardiennage, la livraison à
pied d’œuvre, l’installation complète, le raccordement et les essais de l’ensemble des pièces spéciales
de DN 100 mm (Prix 4001) et DN 150 mm (Prix 4002) et de PN 16 bars pour le raccordement des
conduites intra-blocs aux bornes d’irrigation, suivant les plans approuvés par le Maître d’ouvrage et
visés « Bon pour exécution ».
Ils comprennent toutes les dépenses nécessaires à l’exécution des travaux, notamment :
Toutes les dépenses de fournitures qui s’entendent livrées, rendues, déchargées et rangées à
pied d’œuvre ou aux dépôts indiqués par le Maître d’ouvrage, des différents équipements,
emballés et protégés ; à savoir :
Les éléments droits à brides ;
L’entrepreneur devra remettre des plans d’exécution des raccordements des conduites intra-blocs aux
bornes d’irrigation, avec un tableau de côtes et dimensions variables précisant les encombrements de
toutes les pièces spéciales de raccordement.
Le mode de règlement de chacun des prix de cette série est comme suit :
70% du prix sera payé à l’entrepreneur après livraison et réception sur site et après montage
et installation des pièces spéciales de raccordement des conduites intra-blocs aux bornes
d’irrigation, conformément au CPS et aux plans d’exécution approuvés par le Maître
d’ouvrage ;
30% du prix sera payé à l’entrepreneur après réalisation des essais concluants in-situ des
pièces spéciales pour le raccordement des conduites intra-blocs aux bornes d’irrigation,
conformément au CPS.
- Prix 5001 : Construction et pose de regards pour Prises-Propriétés de DN 100 et 150 mm,
alimentées par les conduites intra-blocs, y compris toutes sujetions conformément au
plan d’exécution approuvé par le Maître d’ouvrage;
Ces prix rémunèrent, à l’unité, la construction et la pose de regards préfabriqués en béton armé B35,
portant le numéro de la prise, complet, y compris terrassements, remblais, gravier et tous les
équipements (grilles d’aération et tôles métalliques de fermeture, cornières, chevilles de fixation sur le
béton, paumelles appropriées soudées et invisibles et système de verrouillage, etc.), conformément aux
clauses du CPS et aux plans approuvés par le Maître d’ouvrage et visés « Bon pour exécution ».
Ces prix comprennent aussi toutes les dépenses nécessaires à l’exécution des travaux, notamment :
L’implantation sur le terrain des sites de réalisation des regards ;
Tous les travaux de déblais en pleine masse en tout terrain et à toute profondeur, nécessaires
à la réalisation des regards, y compris toutes les sujétions d'exécution, notamment :
Le déblaiement de l'emprise des travaux ;
L’abattage, le débroussaillage, la coupe et l’enlèvement de tous les arbres, végétations,
plantations, et souches, ainsi que l'extraction des racines enterrées, dans l’emprise des
ouvrages ;
L'évacuation des déblais excédentaires, des déchets végétaux, des détritus et autres
matériaux indésirables à la décharge publique ou leur destruction par incinération ;
L'ouverture de fouille à l'aide de tout matériel d'excavation manuel ou mécanique ;
La démolition et l'enlèvement des blocs de béton et maçonneries anciennes trouvées dans
les fouilles ;
Le nettoyage, le réglage, le nivellement et le compactage du fond de fouille ;
Le réglage et le dressage des parois des fouilles ;
Le drainage des eaux de surface et de ruissellement si nécessaire et le rabattement éventuel
des eaux de la nappe ;
Les sur-largeurs et sur-profondeurs par rapport aux côtes définies dans les plans
d’exécutions ;
La mise en œuvre de remblai en matériaux ordinaires bien compactés provenant des déblais
autour des ouvrages sur une largeur minimale de 20 cm et une minimale hauteur de 30 cm ;
Le réglage et le surfaçage des terres excédentaires sur la largeur d'emprise des travaux ;
Les essais de contrôle de compression du béton ;
La réalisation et la mise en œuvre de béton B20, pour béton de propreté, de 5 cm d’épaisseur,
y compris les frais de coffrage ;
La réalisation et la mise en œuvre de béton armé B35 pour voiles et radier du regard
conformément, y compris les frais de coffrage ;
La fourniture et la mise en place de matériaux drainants en graviers sur une épaisseur de 15
cm sous les abris des Prises-Groupes ou des Prises-Propriétés ;
La fourniture de trappes de visite avec deux ouvertures, en tôle striée galvanisée 3,5/5 mm,
installées sur le regard préfabriqué, y compris cornières avec chevilles de fixation sur le béton,
paumelles appropriées soudées et invisibles et système de verrouillage en plus d’une grille avec
trappe de protection en tôle striée en acier galvanisée avec paumelles et système de verrouillage
dont les dimensions minimales sont de telle sorte à permettre la visualisation des compteurs
sans ouvrir la trappe du regard, conformément aux plans d’exécution approuvés par le Maître
d’Ouvrage ;
La fourniture de deux grilles d’aération en acier galvanisé de dimensions 15x10cm, installées
sur le regard préfabriqué ;
La fourniture de plaques fixées sur le voile intérieur du regard portant toutes les indications
conformément à l’article 65 (identification et de dénomination) du présent CPS.
Chacun des prix de cette série sera payé à l’entrepreneur après construction, achèvement et pose de
l’ouvrage complet, y compris terrassements, remblai, pose de gravette, finition et équipement du regard
par les trappes métalliques et les grilles d’aération, conformément au CPS et aux plans d’exécution
approuvés par le Maître d’ouvrage.
- Prix 6001 : Traversée et passage sous chaussée de routes ou de pistes par tranchée
ouverte
Ce prix rémunère au mètre linéaire, les travaux de traversées et passage sous chaussée de route
principale, route secondaire et tertiaire, pistes et voie de circulation, par ouverture de tranchée et pose
des conduites projetées, conformément aux plans types d’exécution approuvés par le Maître d’ouvrage.
Les travaux de terrassement, lit de pose, fourniture et pose de conduites et remblais sont
comptés par ailleurs dans leurs articles correspondants. Le reste des fournitures et des travaux
tels que spécifiés ci-dessous sont compris dans le prix.
Les travaux de traversée et passage sous chaussée comprennent notamment les sujétions suivantes :
Les frais de démarche et d’autorisation de traversée et de passage sous chaussée ;
L’implantation sur le terrain de la traversée et de passage sous chaussée ;
La réalisation éventuelle de chemin provisoire de contournement de la voie ;
La démolition et l’enlèvement du corps de chaussée ;
L’évacuation des déblais excédentaires ou inutilisables aux décharges autorisées ;
La fourniture et pose des dallettes de répartition des charges, en béton armé type B30 ;
La fourniture, la mise en œuvre de matériaux pour la confection de béton B20 pour sommier sous
dallettes ;
La fourniture et mise en place des matériaux, pour la reconstitution du corps de chaussée, tel
qu’à l’initial ;
La fourniture et mise en place du revêtement de chaussée identique à son état initial,
La remise en état des lieux ;
Les dispositifs de gardiennage, de sécurité, de signalisation et de balisage imposés par la
réglementation en vigueur ;
Les mesures nécessaires à la sécurité du personnel, du matériel et des ouvrages existants ;
Les mesures nécessaires au maintien de la circulation des véhicules et des accès aux propriétés
riveraines ;
Les sujétions et difficultés de travaux en traversée et passage sous chaussée ;
Les sujétions et difficultés de passage à proximité ou en travers de réseaux divers (eau potable,
fibre optique, téléphone, câble électrique, etc.) ;
Les frais occasionnés par les essais de contrôle de qualité des travaux.
La longueur de traversée ou passage sous chaussée à prendre en compte est la projection horizontale
qui figure sur les profils en long portant la mention « Bon pour exécution ».
La longueur de traversée à prendre en compte est la projection horizontale qui figure sur les profils en
long portant la mention « Bon pour exécution ».
Ce prix rémunère au mètre linéaire, les travaux de traversées de routes existantes par fonçage sous
chaussée, fourreau en acier soudé, et pose des conduites projetées tout diamètre confondu,
conformément aux plans types approuvés par le Maître d’ouvrage et aux exigences, prescriptions
techniques et modalités de réalisation du Ministère de l’équipement.
Les travaux de passage de conduite en fourreau sous la chaussée devront être réalisés après
présentation du dossier technique des modalités des travaux au service concerné du Ministère de
l’Equipement et réception de son autorisation préalable.
La longueur de la traversée à prendre en compte est la projection horizontale qui figure sur les profils
en long portant la mention « Bon pour exécution ».
Les travaux de cet article de prix seront pris en attachement et réglés après mise en œuvre et finition
de la totalité des travaux de la traversée, et présentation au Maître d’ouvrage du PV de réception des
travaux de la traversée, délivré par le service concerné du Ministère de l’Equipement.
Ce prix rémunère au mètre linéaire, les travaux de traversées d’oueds, de seguias et chaaba, par les
conduites projetées, conformément aux plans types d’exécutions approuvés par le Maître d’ouvrage.
Ce prix comprend les travaux de terrassement, la fourniture et la pose de conduites tout diamètre
confondu, les remblais, le béton d’ancrage, de butée d’enrobage, les pièces spéciales de raccordement,
la protection par gabions et toutes sujétions.
La longueur de traversée à prendre en compte est la projection horizontale qui figure sur les profils en
long portant la mention « Bon pour exécution »
Les travaux de cet article de prix seront pris en attachement et réglés après mise en œuvre et finition
de la totalité des travaux de la traversée, contrôle et réception par le Maître d’ouvrage.
Cette série de prix rémunère la fourniture des pièces de rechange (vanne de sectionnement à opercule,
limiteur de débit à anneau modulant et compteur type "Woltmann"), conformément à l’article 67 du
présent CPS.
- Prix 7001, 7002, 7003, 7004 et 7005 : Fourniture de vanne de sectionnement à opercule,
DN 50 mm, DN 65 mm, DN 80 mm, DN 100 mm et DN 150 mm, PN 16 bars, y compris
accessoires :
Ces prix rémunèrent, à l’unité, les essais, la fourniture, le transport et le stockage en dépôt désigné
par le Maître d’Ouvrage, de vannes de sectionnement à opercule complètes, de diamètres 50, 65, 80,
100 et 150 mm, PN 16 bars, y compris accessoires, conformément aux spécifications techniques
décrites dans l’article 63.
- Prix 7006, 7007, 7008, 7009 et 7010 : Fourniture de limiteur de débit à anneau
modulant, DN 50 mm, DN 65 mm, DN 80 mm, DN 100 mm et DN 150 mm, PN 16 bars, y
compris accessoires :
Ces prix rémunèrent, à l’unité, les essais, la fourniture, le transport et le stockage en dépôt désigné
par le Maître d’Ouvrage, de limiteur de débit à anneau modulant, de diamètres 50, 65, 80, 100 et 150
mm, PN 16 bars, y compris accessoires, conformément aux spécifications techniques décrites dans
l’article 63.
- Prix 7011, 7012, 7013, 7014 et 7015 : Fourniture de compteur type "Woltmann", DN 50
mm, DN 65 mm, DN 80 mm, DN 100 mm et DN 150 mm, PN 16 bars, y compris
accessoires :
Ces prix rémunèrent, à l’unité, les essais, la fourniture, le transport et le stockage en dépôt désigné
par le Maître d’Ouvrages, de compteur type « Woltmann », de diamètres 50, 65, 80, 100 et 150 mm, PN
16 bars, y compris accessoires, conformément aux spécifications techniques décrites dans l’article 63.
Ce prix rémunère en unité, la fourniture de caisses d'outillage, de marque, contenant tous les outils
nécessaires pour les opérations d'entretien et de maintenance de l’ensemble des équipements des
Prises et toute autre outil nécessaire pour le démontage et remontage de ces équipements.
La caisse d’outillage comprendra, au moins :
Un jeu de tournevis plat ;
Un jeu de tournevis cruciforme ;
Clés mixtes de 10 à 32 ;
Clés à tube de 10 à 32 ;
Une clé à molette ;
Un marteau ;
Un maillet plastique ;
Une pince multiprise ;
Un coffret à douilles de 10 à 32 ;
Un jeu de clés à 6 pans de 4 à 16 ;
Un pied de biche ;
Une pince étau ;
Un jeu de clés à cliquets, clé dynamométrique et 8 douilles de 10 à 32 ;
Une clé à molette 32 mm ;
Un marteau 3 kg ;
Un mètre à ruban de 5 m ;
Un pied à coulisse en acier inoxydable.
L'ORMVA/SM LE CONCURRENT
« Lu et accepté sans réserve