Implantation Entrepot
Implantation Entrepot
Implantation Entrepot
1 : La méthode « Classique »
Le subjectif - objectif,
La recherche barycentrique
L’approche heuristique
2 : La recherche d’optimisation
Les méthodes ‘classiques’ font appel autant au bon sens qu’a un matériel
mathématique simple.
Les méthodes par la recherche d’optimisation est plus porteuse de vérité en ce
quelle autorise de multiplier les données quelque soit les formes, variables
d’actions ou contraintes de fonctionnement.
1. Les approches classiques :
Le subjectif - objectif,
La recherche barycentrique
L’approche heuristique
Que les coûts de transport ne sont pas linéaires ce que cette approche
induit,
Que les zones frontières entre barycentre ne sont pas finement prises en
compte,
Que les notions de temps de livraison du fait des conditions routières
sont passées à la trappe, ainsi d’ailleurs que des éléments sur les
distances réelles et les approches du nivellement …
L’intérêt de cette méthode est que l’on peut l’appliquer sur toute notion
d’espace, de l’entrepôt à un pays aux limites citées précédemment.
Objectif
Utilisation de la méthode
Etapes :
Pour parvenir utiliser cette méthode il est important de suivre les étapes
suivantes :
C- L’approche heuristique :
Une approche dite heuristique est une approche dont la valeur absolue n’est
pas certaine mais que l’on choisit néanmoins pour son indéniable fécondité. Le
modèle heuristique par les coûts consiste à déterminer premièrement une base
de données regroupant les coûts :
2. L’approche d’optimisation
D’un objectif auquel sont subordonnés tous les calculs (par exemple le
niveau de service) ;
Des variables qui reprennent la structuration physique et économique du
système (familles de produits, niveaux de stock…) ;
Le réseau des flux est modélisé par les variables qui représentent les éléments
fondateurs de la circulation matérielle et de l’information. Les fournisseurs sont
reliés à des niveaux de stocks eux-mêmes liés à des clients. Les règles de
gestion sont définies, ainsi les niveaux de stocks par famille de produits, et
mettent en relations les divers acteurs. Le transport relie ces acteurs selon la
possibilité de mettre l’ensemble des tarifications pour chaque prestataire.
Les contraintes sont les éléments qui ne peuvent être contournées, ainsi les
délais des fournisseurs, la performance de travail de l’entrepôt, le choix de tel
ou tel mode ou barème de transport en fonction du service à rendre, …
L’avantage de ces études c’est qu’elles autorisent de faire des simulations en
termes de coûts, de niveau de service, ou de mixage de ces objectifs, ainsi que
de définir les plages de stabilité en fonction des quantités ou des évolutions de
niveaux de services proposables.
3. Finalement où localiser ?
de coût du produit, qui fait qu’un produit à bonne marge pourra se loger
dans des endroits chers
3. L’arbitrage entre flux d’approvisionnement et espaces de distribution ;
II) Le dimensionnement
Il n'y a pas deux entrepôts identiques. Ce sont les besoins individuels qui
vont aider à déterminer la configuration idéale.
De 200 M2 ou de plus grande taille, le but est de créer un outil aussi
rationnel que possible permettant les traitements souhaités par l'entreprise
les questions de base à se poser:
- Quelles sont les fonctions de l'entrepôt ? Stockage intermédiaire,
sorties de production, distribution industrielle, distribution clients
finaux, ... ?
- Types de marchandises stockées: nombre de références,
classement ABC
- Niveau de service visé: délai de livraison des commandes.
- Transports amont et aval: nombre de camions en réception et
expédition par jour
- Stratégie de réapprovisionnement : Taux de rotation des
marchandises
- Système administratif et de traitement.
- Méthodes de stockage: palettes, produits non palettisés, ...
- Pour les palettes, différents modes sont possibles: Palettiers,
stockage de masse au sol, accumulateurs, stockage dynamique,
allées étroites, ...
- Pour les petits produits non palettisés: étagères, stockage rotatif,
zone dynamique.
-les investissements
-les coûts de manutention
-la capacité possible de
manutention,
-la meilleure façon d'utiliser
l'espace.
L'implantation des surfaces de l'entrepôt s'analyse dans le cadre des points
suivants,
Installations du bâtiment.
Installation du site.
La largeur des allées dépendra de la nature des activités qui y auront lieu. Elles
peuvent être de quatre types:
La largeur de l’allée est l’espace libre le plus petit entre toutes les largeurs
existantes, comme par exemple la séparation des palettes, des marchandises,
des étagères. Sa dimension est déterminée en grande partie par le rayon de
braquage de l’équipement employé pour accéder aux étagères et par le
volume des palettes manipulées. La largeur de l’allée dépendra de quel coté
sont manipulées les palettes (coté le plus large ou non). Le rayon de braquage
d’une palette (largeur de l’allée) est proportionné par le fabriquant du chariot
élévateur. Et, puisqu’il nous donnera la valeur minimale, il est habituel de
l’augmenter d’environ 15 cm, comme sécurité pour faciliter la rapidité de
manœuvre.
En effet, quand on calcule la largeur des allées, les fabricants des chariots
élévateurs supposent que leurs fourches iront jusqu’au bout des palettes, et
que les dites palettes se mettent en place sur les étagères avec précision.
Comme ces principes ne se respectent pas toujours, il peut être nécessaire
d’augmenter la largeur des allées pour pouvoir y circuler.
Pour calculer le nombre de rangées des emplacements pour les palettes qui
entrent dans un entrepôt, il convient de considérer un module
d’emmagasinage composé par une allée plus deux palettes plus l’espace libre
au fond de la palette.
Module d’emmagasinage
Supposons un chariot de longue portée, qui requiert une allée de 2.5m de large
pour manipuler les palettes par le petit coté, la superficie du module sera de:
Supposons un chariot de longue portée, mais qui requiert cette fois une allée
de 2.1m de large pour manipuler les palettes sur leur grand coté. La superficie
du module sera de:
Nous avons besoin d’une superficie plus grande pour manipuler des palettes
sur leur grand coté que sur leur petit coté.
Exemple:
Nous savons que sur la largeur il y a 8 modules, sur la longueur il y aura: 200 / 8
= 25 modules.
1.2.3. Technique de distribution dans l’usine avec des articles situés sur
des rayons
La distribution dans l’usine d’un entrepôt où on place les articles sur des
rayons, se détermine avec une technique très similaire à l’antérieure.
Généralement, leur nombre est fixé par les dispositions anti-incendie, avec
pour but de laisser des espaces libres pour les sorties de secours. Mais, cela
dépend aussi de facteurs tels que le nombre d’accès nécessaires, le nombre de
chariots élévateurs utilisés et l’emplacement de la zone de classement. Il est
préférable que les étagères ne dépassent pas 30m. de longueur car cela
diminue le rendement des personnes qui manipulent les chariots. En effet, à
partir de 30m. commencent les difficultés pour localiser les palettes et les
erreurs d’allée supposent de longs parcours inutiles.
Cycle de manutention.
Trafic actuel et futur.
Mode de transport.
Investissement souhaité.
L’expérience nous donne les conseils suivants pour dessiner les quais de
chargement:
Il est préférable de « ne pas voir trop long », car sinon on rallonge les
manœuvres ; les cycles s’allongent, ce qui provoque la perte d’économie
d’investissement.
Les quais doivent être surélevés avec des plate-forme nivelées qui
permettent aux chariots d’entrer dans les véhicules pour accélérer le cycle
de déchargement.
1.3.2. Portes
L’accès
La sécurité
La protection contre les incendies
L’isolement thermique
Niveleurs
Mécaniques
Hydrauliques
Pliables
Mobiles
Parchocs
On les utilise pour empêcher la détérioration des quais suite aux impacts des
véhicules. On le fait au moyen de blocs de matériaux amortisseurs.
Refuges
Éclairage
Transporteurs
Tous les entrepôts ont une durée de vie déterminée, en terme de besoin en
espace. Avec le temps, le bâtiment deviendra trop petit pour tous les produits
qu’il faudra y emmagasiner.
Il faut prendre ne compte que les dimensions idéales pour un entrepôt sont:
L 2B
Par exemple, supposons que nous allons emmagasiner P palettes, que nous
avons opté pour un des deux types de manipulation (petit coté, grand coté) et
pour un type de chariot, et qu’on connaît le module de largeur “ M B ” et le
module de longueur “ M L ”. Nous allons empiler jusqu’à “n” palettes en
hauteur. Nous voulons calculer la longueur “L” et la largeur “B” de l’entrepôt.
Pour cela, nous utilisons la formule suivante:
P M L MB
B
4n
B
Bnueva M M B
B redond
Nous pouvons maintenant calculer L:
L P M L MB
2nB
L
Lnueva M M L
L redond
_ Qu'il importe que les sas soient correctement éclairés protégé et balisé.
_ Locaux sociaux en rez-de chaussée
_ Entrée des personnels séparée, des fournisseurs et clients.
_ Parking à proximité des entrées des divers types de personnes.
_ Bureau d'exploitation en rez-de-chaussée.
_ Veiller à l'éclairage azimutal et à la couleur des locaux.
_ Veiller à la protection des différents biens et équipements.
_ Insérer cette activité dans un environnement valorisant.
Local de charges :
_ Les engins stationnent et sont immobilisés pendant la charge (8/10 Heures
jour)
_ Le local ne nécessite pas de surveillance autre que normalement.
_ Les surfaces sont rapidement importantes.
Local batteries :
_ Les engins posent et reprennent les batteries donc passent.
_ Les batteries sont immobilisées. (20~H / jour)
_ Un technicien surveille l'action.
_ Les surfaces sont moindres. (½ moins)
_ Penser les manutentions de dépose reprise de batteries.
_ Penser à des batteries supplémentaires en fonction du nombre d'engins et de
l'optimisation des coûts de chargement électrique.
_ Pour les deux les locaux doivent pouvoir être rapidement ouverts via le toit et
ce dernier facilement enlevé
Garde :
Divers :