F DE L'IMAGE

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Institut national supérieur de formation paramédical BATNA

Module de formation de l’image radiologique


COURS POUR: PREMIERE ANNEE MIM
Préparé par: BELLAKH/SOUAD

FORMATION ET TRAITEMENT DE L’IMAGE


Plan de cours :
Introduction et rappels physique
I. Production des rayons X

1) Tube à rayon X
2) Principe physique de la production des rayons X
II. Formation de l’image radiologique

1) Principe physique de la formation de l’image radiologique


2) Règles géométriques de la formation de l’image radiante
3) Contraste
4) Les paramètres :
Pénétration – intensité – temps de pose – distance foyer film
Haute tension – basse tension.
5) Les flous en radiologie
6) Matériel photographique (film, écrans renforçateurs, cassettes)

III. Traitement chimique de film: manuel, automatique Image digitale numérique.

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Introduction
Le rayon X est un rayonnement électromagnétique composé de photons dont les longueurs
d’ondes sont comprises entre (10-12 m) et (10-8 m). Découvert en 1895 par le physicien Wilhelm
Röntgen, et utilisé dans l'imagerie médicale.

Lorsqu’un rayonnement électromagnétique atteint un objet, des interactions se produisent, en


fonction des propriétés et des caractéristiques de la cible ; une partie du rayonnement est
réfléchie, une autre partie est absorbée et une partie peut éventuellement être transmise à
travers l’objet.
L'atome est le constituant fondamental de la matière (entité électriquement neutre), il est
composé de deux types d'élément :
1) Un noyau atomique, lui-même constitué de protons et de neutrons.
2) Des électrons qui gravitent au tour du noyau.

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I. Production des rayons X
1) Tube à rayon X :
Les rayons X sont produits dans des tubes à rayons X également appelés tubes de Coolidge ou
tubes à cathode chaude (figure)
Le tube est l'élément essentiel d'une chaîne radio gène, il est constitué d'une cathode et d'une
anode mis sous vide (dans une enceinte en verre) pour éviter les interactions entre les électrons et
l'air, et entouré de plusieurs enveloppes de protection permettant d’assurer une protection
thermique, électrique et mécanique.

La cathode est la source des électrons. Il s'agit d'un filament en forme de spirale, composé
généralement de tungstène, placé dans une pièce de concentration (métallique en cuvette) ; ce
filament s'échauffe par le passage d’un courant électrique, pour laisser s'échapper les électrons.
L'anode (fixe ou tournante) est la cible des électrons et le lieu de production des rayons x. La
surface de bombardement des électrons sur l’anode s'appelle le foyer. La surface de l'anode est
oblique par rapport à la direction du faisceau d'électron de manière à permettre à d'avantage de
rayons x de pouvoir sortir du tube.
Le tube radio gène doit être relié à un générateur de haute tension (environ 100 kV), à un
générateur secondaire de basse tension et à un système de refroidissement

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2) Principe physique de la production des rayons X :
Les électrons émis par une cathode chauffée par le passage d’un courant électrique de basse
tension «effet thermo-ionique ou effet EDISON » sont accélérés par une différence de potentiel
élevée délivré par un générateur de haute tension (de 10 à 150 kV) en direction d’une cible
(anode)
La production de photons X est due à la décélération rapide des électrons lors de leur impact sur la
cible, selon deux mécanismes :
- le rayonnement de freinage (ou rayonnement de Bremsstrahlung)
- le rayonnement caractéristique (ou rayonnement de fluorescence)
NB : Une faible portion, 1% environ de l’énergie cinétique cédée par les électrons est rayonnée
sous forme de rayons X, les 99 % restants sont convertis en énergie thermique.

a) Le rayonnement de freinage:
Quand l'électron passe à proximité du noyau, soumis à la charge positive nucléaire, il est ralenti et
sa trajectoire est modifiée (attiré). Ce ralentissement est associé à une perte d'énergie cinétique
sous forme de rayons X.
Le rayonnement de freinage constitue le mode principal de formation des rayons X en radiologie

b) Le rayonnement caractéristique:

Lorsque l’électron incident entre en collision (toutes les possibilités d'interactions existent entre le

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"choc frontal" et le "choc tangentiel ") avec un électron situé sur une orbitale proche du noyau de
l'atome, L'électron incident change de vitesse et de trajectoire et l'électron percuté est éjecté

Créant un espace vacant. Ainsi, il se produit une réorganisation électronique et un électron d'une
orbitale plus externe, remplaçant l'électron éjecté, et la différence d'énergie de liaison entre les 2
couches est libérée sous la forme de rayon X.
Le rayonnement caractéristique participe seulement à une petite fraction de la production des
rayons X.

c) Spectre d’émission des rayons X:


Le rayonnement qui émane du tube à rayons X a la particularité d’être poly chromatique (poly
énergétique). Le filtre Placé contre la fenêtre de sortie de la gaine en verre permet
d’homogénéiser l’énergie du faisceau X en éliminant les photons de trop faibles énergies qui sont
non seulement inutiles mais aussi nuisible.

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II. Formation de l’image radiologique
1) Principe physique de la formation de l’image radiologique:
Le foyer émet des rayons X dans toutes les directions d'une demi-sphère. La fenêtre circulaire de
la gaine prélève dans cette demi-sphère un cône de rayons utiles qui se dirigent vers le patient et
le récepteur.
Quand un faisceau de rayons X traverse un milieu matériel, il subit différents types d’interaction :
- Absorbés par les atomes : le photon transmet toute son énergie à un électron et disparaît :
effet photo-électrique.
- Transmis sans changer de direction et sans perte d’énergie (n’interagissent pas avec la matière)
- Transmis en changeant de direction ou diffusés ; la diffusion pouvant se faire :
 sans perte d'énergie : on parle alors de diffusion élastique: diffusion Thomson-Rayleigh
 avec perte d'énergie (une partie de l'énergie est cédée à un électron) : on parle alors de
diffusion inélastique: l'effet Compton.

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A la suite de ces différentes interactions entre les rayons X et la matière, l'énergie initiale que
possède chaque photon diminue « atténuation » ; la dissipation de cette énergie est représentée
par l’équation :

A la suite de ces différentes interactions entre les rayons X et la matière, l'énergie initiale que
possède chaque photon diminue « atténuation » ; la dissipation de cette énergie est représentée
par l’équation :

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La formation de l’image radiologique est la résultante des différences d'atténuation du faisceau
de rayons X dans les milieux traversés, en effet l’atténuation des rayons X par les différents tissus
traversés, est variable de par la variation de leurs épaisseurs et leurs natures physique et
chimique.

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Le différentiel d'atténuation entre les régions est responsable des différences de niveau de gris de
l’image radiologique.

2) Règles géométriques de la formation de l’image radiante:


L’image radiologique est une ombre projetée de l’objet. La conicité du faisceau RX et l’orientation
du rayon directeur entraînent une déformation des structures radiographiées, il en résulte une
perte d'information quant à la taille, la position (profondeur) et la forme exacte des objets.
La projection de l’image radiologique obéit à des règles géométriques très simples :
- La projection forme une ombre qui est généralement plus grande que l’objet, c’est
l’agrandissement (distorsion de taille)
- 2 objets égaux (o) à des distances différentes du détecteur et du foyer forment des images
inégales. Le plus éloigné du détecteur donne l’image la plus grand
- Une projection perpendiculaire agrandit mais ne modifie pas la forme d’un objet parallèle au
plan du détecteur mais une projection oblique non perpendiculaire au plan du capteur,
modifie dans tous les cas la forme de l’objet (distorsion de forme).
- 1 objet dont le plan principal est oblique par rapport au plan du détecteur est déformé par la
projection normale ou oblique.
- 1 objet disposé perpendiculairement au plan du film, ou + exactement dans le sens de
propagation des rayons donne une ombre (linéaire) à peine discernable.
- 2 objets superposés dans le sens de propagation des RX forment une ombre composite où les

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objets ne sont discernables que par différence d’opacité. Par projection oblique les 2 objets
peuvent être séparés; le + éloigné s’écarte en direction opposée à celle du foyer de RX.

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FACTEURS CONTRIBUANTS :
Trois facteurs sont essentiels à la formation d’une image radiologique:
FOYER RADIOGENE: (F) Il est quasi ponctuel, source du faisceau de RX.
OBJET A RADIOGRAPHIER: (O) On veut former une image de cet objet,
habituellement région anatomique mais que l’on assimilera dans ce cours a un objet
géométrique ou physique simplifie en fonction des caractéristiques étudiées.
RECEPTEUR (R) : Film le plus souvent, mais il est actuellement progressivement
remplacé par des procédés électroniques.

3) CONTRASTE :

DEFINITIONS

Le contraste constitue des différences notables entre deux éléments comparés côte à côte.

Il est étroitement lié à la densité, il existe car il y a des variations de densité d’une zone à
l’autre de l’image.

Facteur de quantité: Nombre de densités utiles enregistrées (montant total du contraste)


Facteur de qualité: Distinction des densités les unes des autres (mise en évidence de la
structure dans le niveau correct pour une bonne visibilité)

Un contraste de qualité permet de distinguer les densités enregistrées au niveau d’une


structure, et de les comparer aux densités des structures adjacentes.

Conditionne la visibilité d'une structure par rapport à son voisinage.

Contraste absolu = D2-D1 (unité diff. de densité)

Contraste relatif (réel) : tient compte du "fond":

Ex: 2 plages de luminance L et L':

L-L' D1-D2
C = --------- = -----------
L+L' D1+D2

Si D1=2 D2=1

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C= (2-1) / (2+1) = 1/3 = 0,33
C=33%

Le contraste radiographique est contrôlé par deux considérations majeures:

Contraste du sujet (contraste-objet)


Tissu corporel, volume, type, état physique...
Qualité du rayonnement

Contraste du film
Emulsion (rapidité, latitude d’exposition)
Exposition (sans écran ou avec écran),
développement,
densité globale

Echelle de contraste

Les densités utiles du film sont visibles par comparaison à la densité moyenne.
Cette moyenne (ou échelle de contraste) est déterminée par le nombre de densités utiles
visibles, et le pourcentage de différence de densité entre-elles.

Contraste élevé (échelle de contraste courte)


Les densités sont très différentes les unes des autres, le rapport des différences entre ces
densités est très important.
Le nombre total de densités peut être très réduit.
Peut être utilisé avantageusement dans les régions à bas contraste-objet (peu de différences
d’absorption)

Contraste modéré (échelle de contraste étendue)


Les densités présentent des différences très progressives, le nombre total de densités est
grand.

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Il y a plus d’informations sur l’image.
Le contraste-objet est enregistré avec un nombre maximal de densités.

Le contraste est la différence d'opacité entre deux points voisins sur l'image. Il dépend
essentiellement de :
- Epaisseur des structures traversées.
- Coefficient d’atténuations des structures traversées.
- Tension d’accélération (énergie du faisceau incident)

B. FLOU DE L'IMAGE:

1. Flou géométrique:
Il se forme sur le contour de l'objet un pré ombre de densité décroissante et de longueur due au fait que le foyer
des RX n'est pas ponctuel et que l’objet n'est pas au contact du film.

Plusieurs facteurs peuvent créés un flou altérant la qualité de l’image.

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Flou géométrique : Il est dû au fait que le foyer d'émission des rayons X n'est pas ponctuel et que
l'objet n'est pas directement au contact du récepteur.

Il peut être réduit:


- En approchant le patient le plus proche possible de la plaque.
- En éloignant le tube.
- En diminuant la taille du foyer en agissant sur le diaphragme.
Flou cinétique : Il est tout mouvement du patient ou de l’organe, pour le diminuer :
- Si mouvement volontaire : immobilisation du patient soit de manière coopérative soit par
contention ou préméditation.
- Si mouvement involontaire (battements cardiaques) : réduction du temps de pose.

Flou lié au rayonnement diffusé : le rayonnement diffusé correspond au rayonnement X qui prend
naissance au niveau de la cible, essentiellement par effet Compton ou par l’émission de
fluorescence, pour le diminuer :
- Diminuer le volume irradié => Compression
- Diminuer la taille du champ => Localisateur et collimation
- Utiliser une grille anti-diffusante.
- Éloignement récepteur patient.
- Plaque de plomb derrière le film.
Flou du récepteur : Il est dû à l'épaisseur non négligeable de l'émulsion du film.

MATÉRIEL PHOTOGRAPHIQUE :
Ils convertissent l’image radiante invisible en une image visible

DETECTEURS STATIQUES : couple (Ecran- Film)


Récepteur Ecran-Film : cassettes avec écran scintillateur et film
Le film photographique constitue le détecteur classique en radiologie.
L’efficacité du film radiologique est augmentée s’il est placé entre deux écrans
renforçateurs dans une cassette

1) Film photographique
Plus simple et plus ancien détecteur formé de cristaux d’Argent (Br Ag)
Br- Ag+ RX Br +e- et Ag++ + e- : Cristaux exposés : image latente(A)
Révélation (B) : Ag Métallique
Fixation : noircissement du Film(C) : cristaux non exposés sont éliminés .

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FORMATION DE L’IMAGE RADIOLOGIQUE

Sous l’effet du RX, l’écran émet un rayonnement lumineux :


Il crée une image latente par impression du film sensible aux RX
Le film à bromure d’argent est ensuite développé à l’abri de la lumière
L’image latente :
Elle est révélée à l’aide de procédés chimiques qui traduit l’atténuation inégale des RX
selon les tissus (Z le numéro atomique et la densité ρ du milieu) avec nuances de
gris allant du blanc au noir et créant un contraste d’un point à l’autre

Ecrans renforçateurs
Au contact du film radiographique et pour diminuer l’irradiation, on place des écrans
renforçateurs.
Ce sont des structures luminescentes émettant la lumière sous l’action des RX,
lumière qui va impressionner l’émulsion et renforcer l’action des RX

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ECRAN -FILM

Ecran renforçateur
Il est formé :
- Un support en plastique blanc réfléchissant la lumière.
- Une fine couche de cristaux luminescents excités par les RX et restituant la
lumière sous forme de photons lumineux.
- Une couche protectrice incolore et antistatique.
- Film bicouche

Cassette
&) Si film bicouche, la cassette contiendra dans ce cas deux écrans renforçateurs au
contact de chaque face du film.
&) En cas de film monocouche, l’écran est disposé dans la cassette au contact de
l’émulsion.
&) La cassette contient le couple film- écran et possède :
-Une face antérieure transparente aux RX en aluminium ou en plastique
-Une face postérieure contenant une fine plaque en plomb pour atténuer le
rayonnement direct et arrêter le rayonnement rétrodiffusé

On mentionne que certaines cassettes disposent de grille anti diffusion(GAD)


qui est incorporée à leur sein et elles sont utilisées pour les clichés au lit du patient
permettant de limiter le rayonnement diffusé.

4-3-2 / DETECTEURS DYNAMIQUES :

&) Ils permettent une étude cinétique (cœur)


&) Amplificateur de luminance avec écrans luminescents
INTERET DE : Amplificateur de luminance
Système constitué de deux écrans convertisseurs et d’un tube à RX
1er Ecran
-Une couche sensible aux RX convertit les RX en photons lumineux

- Une photocathode sous l’action des photons lumineux, libère par effet
photo- électrique des électrons de luminance faible.
-Tube à RX : sous vide accélération des électrons et leur focalisation vers
une fenêtre de sortie (intensité du signal augmentée).
2ème Ecran
-Il recueille les électrons et les convertit en image de forte intensité lumineuse
-L’image initiale est transmise sur un écran de télévision

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SCHEMA D’UN AMPLIFICATEUR DE LUMINANCE

1-Faisceau à RX 2-Patient - 3 Amplificateur de luminance - 4 Optique


5- Caméra de TV OU CCD 6- Récepteur de TV

Il a double rôle :
-Intercepter le faisceau de RX et le convertir en photons lumineux
- Amplifier ou intensifier ce signal lumineux.
Intérêt de la scopie
Etude cinétique d’organe et suivi d’actes chirurgicaux
Visualise des images en temps réel
Il est à la base de la numérisation d’image en imagerie

III.TRAITEMENT CHIMIQUE DU FILM :


1-TRATEMENT MANUEL (HISTORIQUE) : Dans la chambre noire.
1.1. Chambre noire: Il s’agit plus précisément d’une pièce obscure, c’est-à-dire de couleur claire mais sans
apport lumineux extérieur. 4.1. Contrôle de la lumière Aucune lumière extérieure même minime ne doit
pénétrer (sans fermer la porte d’entrée ou porte étanche fermant à clé).Un éclairage inactinique est utilisé.
Pour le confort de personnel passant la journée dans ces pièces, la peinture des murs est généralement très
claire.

1.2. La lumière inactinique Elle ne devrait pas agir sur le film ; elle dépend du type de ce dernier, elle est de
couleur jaune le plus souvent, rouge avec certains films orthochromatiques. Les films sont donc censés être
insensibles à cette lumière ; en fait, cela n’est vrai que pour des temps brefs d’exposition (temps de transfert
de la cassette à la développeuse). La qualité de cet in actinisme doit être vérifiée ; le film est, dans le noir

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Absolu, sorti de sa boîte et posé sur la table sèche. On le laisse ainsi 1 minute dans le noir absolu de la pièce
puis on le développe : si le film traité est parfaitement transparent on peut affirmer l’absence de voile dans le
stockage ou par une lumière parasite de la chambre noire.

. Rappel sur le développement manuel: Dans une chambre noire le film est sorti de la cassette, fixé
aux quatre coins sur un cadre qui le tend et le rigidifie. Ce cadre est plongé successivement, pendant des
durées déterminées dans des bains : révélateur (5 minutes), lavage intermédiaire (très bref), fixateur (10
minutes), lavage final (20 minutes), puis séchage à l’air libre ou dans un courant d’air chaud. Les accessoires
essentiels sont un bain thermostatique, maintenant la température des bains (20o avec 1 à 2 degrés de latitude
au maximum) et la pendule guidant le temps de traitement. Chaque matin, une régénération est assurée en
complétant les niveaux dans les cuves ; lorsque l’on n’utilise pas les bains il est conseillé de placer un couvercle
flottant empêchant l’oxydation du révélateur.

Il est possible de surveiller la révélation sur le film en l’inspectant à la lumière inactinique. Un sous-
développement par raccourcissement du temps est possible lorsque le cliché est surexposé accidentellement
ou intentionnellement. Le résultat est d’abord observé sur le film humide

1-3. Le développement automatique du film: Toutes les développeuses automatiques utilisent la


même méthode. Le film, sorti de la cassette dans le noir relatif (lumière inactinique) placé à l’entrée de la
développeuse, est entraîné par une cascade de rouleaux successivement dans les 3 cuves (révélateur, fixage,
lavage), puis à travers une sécheuse (air chaud ou infrarouge). Le traitement complet dure 90 ou 120 secondes
à une température voisine de 35° palpeur détecte la présence du film et ses dimensions ; ce qui déclenche
l’injection de révélateur et fixateur pour régénération (soit forfaitairement à raison d’un volume constant pour
un film quel que soit la dimension, soit selon la surface traitée)

La thermo station est équilibrée entre une circulation dans un serpentin de refroidissement par eau froide et
par action d’une résistance, toutes deux guidées par un thermostat. - Le sous-développement : Il est lié à une
quantité insuffisante du révélateur : mauvaise préparation, défaut de régénération (cuve de régénération,
pompe en panne, tuyau comprimé entre cuve de réserve et cuve de traitement), température insuffisante
(délais depuis la mise en route insuffisants ou thermo station incorrecte). - Le sur développement : Il est dû le
plus souvent à un dérèglement du système de refroidissement des bains. - L’insuffisance de fixage : Elle est plus
difficile à reconnaître ; une humidité de l’émulsion à la sortie de la machine peut y faire penser, car les
éléments solubles

On tenus dans la gélatine n’ont pas été totalement extraits et retiennent de l’eau dans la gélatine. - Contrôle de
la machine : En dehors des manœuvres de maintenance spécifiques, la surveillance du fonctionnement peut
être assurée par le traitement de films tests spéciaux dont on vérifie au densitomètre la conformité aux
paramètres normaux. - Une machine doit être entretenue avec soin : Certains rouleaux facilement accessibles
par le dessus de la machine, doivent être rincés et brossées tous les jours. Certains éléments seront nettoyés
toutes les semaines. Enfin, il est souhaitable une fois par trimestre (du moins pour les machines à gros débit)
qu’un technicien vienne faire une révision plus complète. L’existence de rouleaux détériorés fait apparaître les
marbrures irrégulières sur les films [12]

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Facteur de qualité d’une machine à développer : La rapidité du traitement d’une machine à développer ne doit
pas être un facteur déterminant. En effet, si un temps de développement court (90 secondes chronomètre en
main) est intéressant pour un cliché unique, ce qui compte pour une machine qui est alimentée par plusieurs
postes de radiologie, c’est la vitesse

D’introduction du film dans la machine et le temps d’attente entre chaque film qui conditionne la quantité de
film que peut diriger la machine par unité de temps. Une machine de moyenne capacité de temps est suffisante
pour absorber des clichés de deux postes actifs. Une vitesse supérieure peut être souhaitable si 3, voire 4
postes alimentent une même machine [12].

Figure 3 : La machine à développer [12]. 1- introduction du film en chambre noire 2- le film est pris en
charge par une série de rouleaux et passe successivement dans la cuve de développement 3- une cuve de
fixage 4- une cuve de lavage 5- une colonne de séchage à air chaud 6- sort développer en chambre Claire.

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5 .En conclusion : Malgré leur fiabilité apparente les développeuses sont une source fréquente de
dysfonctionnement, souvent de cause accessible aux radiologues ou aides radio. Les pannes sont d’autant plus
gênantes que souvent une seule machine à développer assure le fonctionnement d’un groupe de salles de
radiologie.

La numérisation digitale
Définition de quelques concepts
Phénomène : de variation affectant dans son fonctionnement un organisme ou un système
physiologique.
Signal : variations d’une grandeur physique qui peut être enregistrée. Le signal est obligatoirement
réducteur d’une réalité et non pas la réalité elle-même.
Signe : élément de langage ou de communication qui permet de reconnaitre la nature ou de
prévoir l’évolution d’un phénomène

Caractéristiques des signaux analogiques :


✓ Le signal analogique évolue, de manière analogue au phénomène, comme le phénomène
étudie lui-même, c’est une représentation de la réalité du phénomène étudié.
Le signal analogique est continu et variable. Il peut être détecté, enregistré ou reproduit de
manières diverses
Image analogique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est conforme à la
vision de l’observateur.
La radiographie analogique : l’information est directement analogue à celle résultant abstrait
d’une construction mathématique figurée par une succession de nombres. L’image numérique n’est
donc pas conforme à la vision de l’observateur et elle ne le deviendra qu’après conversion en une
image analogique.
La radiologie numérique : est l’ensemble des techniques qui permettent d’obtenir des images
radiologiques Caractéristiques des signaux analogiques:
✓ Le signal analogique évolue, de manière analogue au phénomène, comme le phénomène
étudie lui-même, c’est une représentation de la réalité du phénomène étudié.
Le signal analogique est continu et variable. Il peut être détecté, enregistré ou reproduit de
manières diverses
Image analogique : dans laquelle la représentation de la grandeur observée est conforme à la
vision de l’observateur.
La radiographie analogique : l’information est directement analogue à celle résultant abstrait
d’une construction mathématique figurée par une succession de nombres. L’image numérique n’est
donc pas conforme à la vision de l’observateur et elle ne le deviendra qu’après conversion en une
image analogique.
La radiologie numérique : est l’ensemble des techniques qui permettent d’obtenir des images
radiologiques numérique l’information est digitalisée et varie de façon non continue et plus précise

Principe technique
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Ce procédé utilise l’assemblage d’un amplificateur de luminance et d’une caméra de télévision,
procédé déjà utilisé depuis longtemps (radioscopie télévisé, ampli-photographie, radio-cinéma en
numérisation cardio-vasculaire).
Le système comporte toujours
- Un amplificateur avec champ variable
- Un système d’anti-diffusion
- Une caméra TV haute résolution
- Un convertisseur analogique digital

Il existe deux procédés pour numériser le film radiologique :


- Le film est placé sur une plage lumineuse et il est balaye par une caméra
- Le film est balayé par un rayon laser (scanner).
Dans les deux cas, le signal obtenu est amplifié et converti en donnés numérique. L’avenir de ce
système est limité, puisqu’il augmente le temps de procédure

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Les écrans radio luminescents (plaques photos stimulables)
Principes : générateur – pas (Écrans / Film / Développement)
– Écrans stimulables, capteur plan
Écrans photo-stimulables : le générateur envoi des rayons X à l’écran photo-stimulable qui envoie
un signal image vers le numériseur ce dernier un signal numérique vers Ordinateur.
D’une conception proche de l’écran renforçateur habituel, l’écran radio luminescent se caractérise
par son pouvoir d’emmagasiner l’énergie absorbée après exposition au rayon X. C’est grâce à un
détecteur spécifique contenu dans une cassette aux formats traditionnels que son utilisation est
compatible avec
Les équipements radiologiques existants.
L’image latente mémorisée par l’écran, est transformée après un certain délai par un dispositif de
lecture en une image numérique est ouvre les possibilités de traitements de l’image. Les incidences
radiologiques sont évidemment réalisées de la même manière qu’en radiologie standard, ainsi que
les facteurs d’expositions restent similaires à la radiologie conventionnelle.
La station d’identification remplace la caméra traditionnelle et permet, en plus d’insérer
l’identification du patient, d’attribuer à la plaque photo-stimulable le traitement d’image à réaliser
en fonction de la région anatomique explorée et l’incidence exécutée. La plaque est ensuite lue et
traitée par le système de numérisation. L’image enregistrée sur l’écran est digitalisée et dirigée sur
la console de traitement, elle peut être en parallèle acheminée vers le reprographe ou non.
Les écrans radio luminescents (plaques photos stimulables)
La console de traitement, Autorise le traitement de l’image (modification de contraste, de la
lumière, annotation, mesures, multiplications de découpes-Film, impression, transfert de l’image).
La numérisation est le premier pas vers l’archivage numérique et le réseau d’image (transfert des
images vers des consoles de visualisations).
Avantages
- Numérisation d’un service entier
- Écologique (réduction de la dose au patient de 25% à 50%)
- Diminution des films nuls (pédiatrie, Examens lit, urgences, etc.)
- Reproductibilité et homogénéité des images
- Possibilité d’un réseau d’image
- Traitement de l’image sur console
- Compatibilité avec matériel radiologie existant.
- Économie de chimie alors de films (plusieurs images sur le film multi-coupé)
- Archivage

1 station d’identification
2 numériseurs
3 consoles de traitement : archivage et station de visualisation
4 Reprographe laser
Exemple de la chaine de numérisation par plaques photo-simulables
La station d’identification

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- Elle sert à visualiser les images. Il est alors possible, à partir de ces stations, d’effectuer
quelques traitements comme éclaircir l’image, la retourner, rajouter des annotations.
- Ces stations sont souvent déportées en salle d’examen permettant ainsi aux manipulateurs
de rester prés de leurs patients.
Le Numériseur (lecteur K7)
Il permet de lire les écrans puis de les effacer.
Les Stations de travail
L’image peut alors subir de réels traitements ainsi que la mesure de longueurs et d’angles.
Elles sont souvent réservées aux praticiens

Les reprographes
Ils permettent d’imprimer les images sur films.
- Ces différents équipements doivent être reliés les uns aux autres et doivent communiqués
entre eux.
Il est en effet nécessaire de pouvoir envoyer les images sur les reprographes
-
directement à partir du numériseur, des stations d’identification et des stations de travail.
- De plus, ces images doivent également circuler entre le numériseur et les différentes
stations.
L’acquisition de l’image Se déroule de la façon suivante
- Décomposition en points élémentaires dénommés « PIXELS », abréviation de « Picture
éléments » ;
- Distribution des pixels dans le tableau basé sur les propriétés mathématiques de matrices ;
- Attribution à chaque pixel d’une valeur discrète caractéristique de l’information qu’il
contient ;
- Procédures de calcul et de reconstitution élaborées à partir d’algorithme mathématique
spécifiques du type d’image considérée.
- Visualisation de l’image sous une forme analogique, en règle générale, sur un tube
cathodique

En résumé, le système numérique


- C’est l’utilisation des propriétés électroniques de certains cristaux.
- Un détecteur sensible aux photons, remplace le film classique.
- Ce détecteur, selon la technologie utilisée, fournit directement ou indirectement les
données analogiques de l’image à l’ordinateur qui les transforme par calcul en données
numériques

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Différentes technologies numérisent l’image radiologique
Écrans Stimulables
Ecrans radio-luminescents (CR, computer radiography) ou ERLM (Ecran radio-luminescents à
mémoire).
CR (Poudre ou Cristaux)
- Ces plaques, réutilisables, sont enfermées dans une cassette usuelle (18x24, 24x30, 36x43) à
placer et à lire, usure car manipulations pour lecture, elle est moins cher, remplacement
aisé.
- Le CR est indiqué dans la radiologie générale, la radiologie mobile et la salle d’urgence.
- Plaques au phosphore contient fluoro-bromure de baryum dopé à l’europium (absorption et
pas libération d’énergie comme écrans renforçateurs).
Capteurs plans
Générateur envoi des RX au capteur plan signal numérique

Différentes technologies numérisent l’image radiologique


Écrans Stimulables
Ecrans radio-luminescents (CR, computer radiography) ou ERLM (Ecran radio-luminescents à
mémoire).
CR (Poudre ou Cristaux)
- Ces plaques, réutilisables, sont enfermées dans une cassette usuelle (18x24, 24x30, 36x43) à
placer et à lire, usure car manipulations pour lecture, elle est moins cher, remplacement
aisé.
- Le CR est indiqué dans la radiologie générale, la radiologie mobile et la salle d’urgence.
- Plaques au phosphore contient fluoro-bromure de baryum dopé à l’europium (absorption et
pas libération d’énergie comme écrans renforçateurs).
Capteurs plans
Générateur envoi des RX au capteur plan signal numérique

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Système DR (Digital Radiolography) (Radiologie digitale)
DR indirecte
- (DR : conversion directe avec scintillateur+ photoconducteur)
- Utilise des détecteurs, la lecture est réalisée par caméra CCD (capteur à transfert de
charges)
DR directe
- Utilise des détecteurs à capteur plan.
- Les charges électriques sont converties directement en données numériques.
DR (capteur directe)
Pas de cassette mais un support fixe dans la table (de format fixe, = 40x40 cm), peu d’usure car pas
de manipulation, il est cher, remplacement peu facile.
Il est indiqué pour le thorax haut débit et dans la salle cardio-vasculaire

Avantage de l’imagerie numérique


L’imagerie numérique ne cesse de se développer permet au Médecin
- Un diagnostic plus fiable,
- De disposer de l’information à tout moment, sur place et à distance, archivée et enregistrée
sur support (disque dur, USB, CD.) transmise via réseaux sécurisés ou consultée directement
sur écran : ce qui est rapide, économique, écologique.
- De réduire les gestes invasifs : « explorer l’intérieur depuis l’extérieur »

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De réduire l’exposition aux ionisants d’où minimise l’irradiation et respecte les normes de
radioprotection

Traitements Numérique D’images


- Le traitement d’images numériques est l’ensemble des techniques permettant de modifier une
image numérique pour l’améliorer ou en extraire des informations.
- Pour cela, les fournisseurs développent des logiciels puissants et spécifiques (actuellement,
les industriels utilisent le langage DICOM).
Qui signifie ‘’ Digital Imaging and Communication In Médecine’’, est un standard de

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communication).
- Le but est de faire réaliser par ordinateur (l’information baigne notre monde ; tout MIMsp
doit avoir des connaissances de base sur l’informatique) l’enchainement des raisonnements
logiques de l’opérateur chargé d’interpréter visuellement les images.
- Il s’agit d’obtenir rapidement, des résultats à la fois plus complets (aucun détail ne
devrait être oublié), Objectifs et donc reproductibles, quantifiés, et donc finalement moins couteux

Principales Etapes De Traitements De l’image


De manière schématique, toute méthode de traitements d’images
Comprend 4 étapes majeures :
1- Prétraitement des images,
2- Amélioration des images,
3- Analyse des images,
4- Interprétation des images.
Prétraitements
- Ils préparent l’image pour l’analyse ultérieure.
- Il s’agit souvent d’obtenir l’image radiologique que l’on aurait dû acquérir en l’absence de
toute dégradation

Amélioration d’image
- Elle a pour but d’améliorer la visualisation des images.
- Pour cela, elle élimine / réduit le bruit de l’image de l’image et / ou met en évidence
certains éléments (frontières) de l’image.
- Elle est souvent appliquée sans connaissance à priori des éléments de l’image.
Les principes techniques sont :
- L’amélioration de contraste
- Le filtrage (lissage, mise en évidence des frontières) pour faire apparaitre / disparaitre
certaines fréquences dans l’image

Analyse d’image
- Le but de l’analyse d’images et d’extraire et de mesurer certaines caractéristiques de
l’image traitée en vue de son interprétation.
- Ces caractéristiques sur des données dérivées (dimensions, ou orientation de la région
anatomique étudiée, critères de réussites.).

Interprétation
- L’interprétation d’image radiologique est en générale la dernière phase qui précède la prise
de décision.
- Elle donne une signification à l’information présente dans l’image. L’interprétation nécessite

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des connaissances. En anatomie radiologique et en sémiologie
- Il est indispensable de distinguer des types divers de traitement ; la classification proposée
peut donner lieu à discussion, elle n’est certainement pas complète

Reprographes à SEC
Les différentes techniques de la reprographie à SEC
Deux techniques sont à distinguer
Reprographe Argentique
- La thermo-reprographie Directe
- La thermo-reprographie Indirecte
Reprographe non Argentique
- Sublimation Thermique
- Micro capsules

Le Reprographe Argentique
Elle reprend le principe de base de la chimie argentique donc s’appuie sur les différents états
d’oxydoréduction de l’argent.
l’innovation technologique réside dans la composition de la couche chimique.
Pour obtenir les différents niveaux de densité optique, deux moyens vont être employés:
La thermo-reprographie Directe:
L’image est imprimée et révélée par une élévation appropriée de la température au niveau du pixel.
Cette élévation est obtenue par un peigne thermique constitué d’un alignement d’éléments
chauffants correspondant à une ligne de pixels. Celui-ci est appliqué sur le film avant de le balayer
sur toute sa longueur.
Toute dégradation de peigne est préjudiciable à la qualité de l’image. Elle représente donc une pièce

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De plus, bien que les films ne subissent qu’un seul passage, la vitesse ne s’en trouve pas améliorée.
La thermo-reprographie Indirecte:
L’obtention d’une image passe par une étape d’exposition du film à un faisceau laser modulé en
intensité.
Une fois l’image latente créée, celle-ci est développée par un élévation thermique du cliché.
Cette technique aboutit à des performances visiblement supérieures, surtout en ce qui concerne la
dynamique de gris d’usure supplémentaire.

Conclusion
Le numérique ouvre de grandes possibilités à
L’activité radiologique
Création d’image par reconstruction directe (scanographes ou IRM) ou Indirecte (3D ou
dynamique).
Traitement des images : contraste, mesure, etc.
Archivages d’images numériques directement accessibles.
Transmission à Distance.
Exploration des données de masse de manière anonyme.
On considère généralement que cette radiologie de routine alors qu’elle est encore aujourd’hui

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cantonnée à des domaines limités (Scanographe, IRM, Vasculaire)

BIBLIOGRAPHIE:

1 / http://istmt.e-monsite.com/pages/tech-de-l-imagerie-medicale/formation-de-l-
imageradio.html l# fCZ1cmibkWzO05p6.99
2 /Bases physiques de la adiologiemedramo.um5.ac.ma/fmp…Image/…/base_physique_de_la_radiologie
3 /Image radiologique
www.imre.ucl.ac.be/pr/RDGN3 120/image radiologique.pdf
Film-Ecran Dr BENZAGOUTA
Thèse Présenté par Mr. KEITA René

Pascal Rousset Hospices Civils de Lyon Université Claude Bernard Lyon 19 janvier 2017

Institut des sciences vétérinaires RAYONNEMENTS Dr. AYADI A

La numérisation digitale cours Ms LAKHAL HOUCINE.

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