3fondementscours1 Djvu
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Biographie succincte de
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(ta^ribu)
j'ai entendues.dCf'MessagerUJ^JJIah/f^j
J'ai entendUpie-J^ssàger q'Allah/(^}Ng^( direr: "Ils sontjles gens de ma
de ré
[ 2 ]
cohtre lé Dajjâl".
Il dit : "Et leurs aumôj^s sont arrivées et le Prophète Wj^) dit alors :
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Messager d'A[(ah ^(^3 J^\\di\t (g^-lAichéh) : "Libère-la car elle fait partie
de la descendance
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Il est né en 1115 dë-'i',Hégire à Al-'Oqy^^^ah qui/ést go-endroit proche de la
ville de Riyad. '\\ \'\ ti i
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(chouioukh) :
Il finit la mémorisation du Noble Coran alors qu'il n'était pas encore arrivé à
l'âge de dix ans et son père le fit guider les gens dans la prière en groupe à
l'âge de douze ans et il se maria la même année et il était assidu dans
^ N.d.t : Voir Al-Kawkab Al-Wahhâj charh Saliîh Al-lmâm Mousiim bni Al-Hajjâj v.24
p.l85.
^ Rapporté par Al-Boukhârî dans son Authentique n°2405 et Mousiim dans son
Authentique n°2525.
[ 6 ]
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Ensuite il désira se tourner Vers le Châm mais il n,é put ter'piiner son voyage et
revint au Najd ôt sur le chemin de son retour versJe Najd il passa par Al-Aj 2 sâ~
où il prit la science des sâyapts qui s'y trouvaient pi^is retourna ai^Najd.
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Ibrâhîm Âli Sayf lorsqu'il les avait tous deux rencontrés à Médine et ils l'avaient
tous deux orienté vers la croyance salafiyyah.
musulmans;',
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n 'Abdil-Wahhâb dans sa
des musulmans-éînsTqu'à lapasse
Voici le début; de .Choikn Al-lsiâm Moffàmmad bi
opposition dé la pltipart dés gens jusqu'à ce quê tera résulté en/ce courage et
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laquelle il avait déméhagé quTest IHouraymilâ~ etîl subit donc'des torts et son
^ N.d.t : Cheikh Ibn Bâz -qu'Allah lui fasse miséricorde- explique le conseil à
Allah comme étant le fait de Lui
vouer une adoration exclusive et son Unicité.
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Cours n°01 L'explication des trois fondements - de Cheikh Al-Fawzan (qu'Allah le
préserve)
qui étaient vénérés chez eux et à détruire les mausolées et les tombeaux et à
réprouver le blâmable et à appliquer les peines légales.
Et parmi cela, une femme qui avait forniqué vint et reconnut (cela) auprès du
Cheikh Mohammad bin 'Abdil-Wahhâb -qui était en guise de conseiller et de
ministre et de professeur et de mufti pour Ibn Al-Mou'ammar- et il appliqua à
cette femme la peine légale ^ comme le Prophète (^j aÎji J:^) fit avec Al-
Et il eut peur qu'jl l'attaquent donc^l fit défection au cheikh èt.lui demanda de
partir et il ordonna a un Perse de marcher'derriè|'é le cheikh et de le tuer
lorsqu'il sortirait. \ . ' ?/' -■'
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séjourna chez |/un de ses élèves qui étajt 'Alî bnou 'Abdir-Rahmân bni
Souwaylim et donc:il alla chez lü\ et.il (Ibji/Sbuwaylinn) prifsgm'de lui et les
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Et donc le noyau du premier état saoudien fut établi en ce jour de l'année 1158
de l'Hégire lors duquel le sabre et la plume se mirent d'accord : le sabre de
l'imam Mohammad bnou Sou'oud -qu'Allah lui fasse miséricorde- et la langue
et la plume de Cheikh Mojiammad bin 'Abdil-Wahhâb -qu'Allah lui fasse
miséricorde- et ils commencèrent à appeler à l'Unicité et à envoyer des lettres
à tous les gens dans ces régions et les villes autour de la région d'Ad-Dar'iyyah
et donc ces lettres se répandirent et en prirent connaissance ceux qui en
prirent connaissance.
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commencèrent cela furent les gens du Faux et^fclpnc ceüx qui combattent le
prêche de l'Uhicité/et le délaissent et essayent de tder^sés gens àpnt tués car
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ils sont des ^apostats car tls-qi'ont pas aç^pté l'Unicité et 'ont accepté
l'association (à-’Ml.ah) comme l'adorntidh, dès' arbrès et d^s idûfes qui étaient
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® N.d.t : Ceci encore revient aux états musulmans pas aux particuliers.
Cours n°01
Son décès :
Qu'Allah lui fasse miséricorde et le fasse résider dans Ses larges jardins du
Paradis.
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Ses ouvrages
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CENTRAL NEJD
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Riyadh-Tovk-.n.s-Rot/tes
Heighis in Metres
Chèikh^ Al-lsiâm
Wàhhâfr^:^
écrit de
/ nombrêüx jduvrages sur
j;Uniçite eV le fiqh et
l'é'y^gèse'^ét le hadîth et
bio^r^aphie (du
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Jè^-^ rappel et
^f's^Oftatibn.
Et^es'&uvrages -qu'Allah
lui fasse miséricorde-
furent compilés en
plusieurs volumes par
l'Université de l'imam
Mojiammad bnou Sou'oud en sachant qu'un grand nombre des ouvrages du
cheikh -qu'Allah lui fasse miséricorde- se trouvent dans Ad-Dourar As-
Sanniyyah.
L'empire Ottoman turc avait des poches de souveraineté dans les terres
arabiques. Il devint un peu plus qu'une coquille en Egypte et en Syrie et en Irak
au siècle.
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Même s'ils contrôlaient Bagdad et Bassora en Irak, le plus proche qu'ils ont été
du Najd était à Al-Ajisâ~ en 15,92 de^ l'ère chréti_enne et ils avaient une
garnison
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Cependant à peine huit ans/[ dIus tare! la-tilbù bédouine de Banou Khâlid les
attaqua et les chassa.:^eci fût approXimativernent^un siècle avant la naissance
de Cheikh Moj^fmmad bin/Àbdil-Wahhâb.
Le pouvoir politiqjJe-aü N^
s'étaient jarnàis aventurés’ aussi join.
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Ibn Ghannâm rapporte qu'au petit village d'AI-Fidâ il y avait un palmier mâle et
que des femmes célibataires en embrassaient le tronc et disaient : "Ô palmier
mâle des palmiers ! Je désire un mari avant d'être stérile !". Hommes et
femmes avaient l'habitude d'y venir nuit et jour cherchant la bénédiction de
cet arbre. Ibn Ghannâm mentionne que l'arbre de tamaris était un endroit
favori pour y accrocher des vêtements lorsqu'un garçon naissait car ils
croyaient que cela le protégerait "m^ de la mort".
comme étant Ghâr bint AJ-Amîr au sujet de laquelle ils croyaient qu'elle avait
été ouverte par.Allah en réponse aux pleurs d'une, fifTe d'une noble famille
demandant pé f'aide lorsqu'un ^hommè tentâl^e violer son HoTineur et donc
des gens viàjtaient la caverne et y laissaient’ dé jà viande et du pain en
offrandes. ^ '^/ //
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Il y eut aussi au siècle le culte d'un saint aveugle vivant à Al-Kharâj au sud
ayant le nom de Tâj bin Chamsân. Ses adeptes en grand nombre demandaient
son aide même en son absence et immolaient des animaux pour lui. Les chefs
de villages le craignaient et des exploits miraculeux lui étaient attribués. Ils
prétendaient qu'il avait voyagé seul toute la distance d'AI-Kharâj jusqu'à Ad-
Ceci était donc l'environnement dans lequel Cheikh Mohammad bin 'Abdil-
Wahhâb est né et dans lequel il a grandi, (cet environnement) était loin de la
guidée contenue dans le Coran et dans l'exemple prophétique" .
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Cours n°01 L'explication des trois fondements - de Cheikh Al-Fawzan (qu'Allah le
préserve)
- QU’Allah le préserve -
Il est le cheikh : Sâlih bin Fawzân bni 'Abdillâh de la famille de Fawzân (Âli
Fawzân) parmi les gens de la région d'Ach-Chamâsiyyah à l'Est d'AI-Qasîm de la
tribu des Dawâsir Al-Wâdi'în.
Il est né dans sa région citée ci-dessus en 1354 H. et son père mourut en 1361
H. alors qu'il (le cheikh) était petit et donc il grandit au sein de sa famille :
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mère et ses frères.
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cette époquë-là ’êf son professBUr At-Tallâl était umrécitateùr expert puis fut
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juge dans la région de D.afiyy’ah à l'ouest de la régidp d'AI-Qasîm.//
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Faysaliyyah àlAbBduraydaih' en
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1381 H.
"Les points de divergence les plus importants dans les sujets de recherche
concernant l'héritage" à l'Université Islamique de l'Imam Mohammad bin
Sou'oud à Riyad, Faculté de la Charî'ah, puis elle fut imprimée sous forme de
livre avec le titre "At-tajiqîqât al-mardiyyah fîl-mabâhith al-fardiyyah" sous la
tutelle de son cheikh le très savant 'Abder-Razzâq 'Afîfî qu'Allah lui fasse
miséricorde.
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Ses professeurs dans l’ordre des dates de leur décès qu’Allah leur fasse
miséricorde :
1. Le très savant Cheikh 'Abdoullâh bin Sâlih Al-Khalîfî qu'Allah lui fasse
miséricorde (décédé en 1383 l^ï'^
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lui fasse miséricorde (décapé en'i402>rj et iJ'jlui lisâit (des irwesj'et assistait
à
ses cours dans Ia\grand0'rhdsqüée d'AI-Botrrayd]^b^duran.t la/période où il
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én;1410
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'Azîz bin 'Abdillâh bin Bâz qtf'A lla Mulfas^B-rnisérrcorde (décédé en 1420 H.)
Comme il étudia aussi chez d'autres chouioukh d'AI-Azhar, qui ont enseigné
dans les institutes et les facultés au Royaume d'Arabie Saoudite, la langue
arabe et ses sciences.
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Cours n°01 L'explication des trois fondements - de Cheikh Al-Fawzan (qu'Allah le
préserve)
Ses fonctions :
• Puis il fut enseignant dans les Flautes Etudes dans la Faculté des
Fondements de la jurisprudence
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doctorat.
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SeSouvrages :
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manière exhaustive :
• Al-Moulakhas al-fiqhî
• L'explication d'AI-Wâsitiyyah
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Toutes les louanges reviennent au Seigneur des Mondes et que les Eloges
d'Allah et Ses Salutations soient sur notre Prophète Mohammad ainsi que ses
adeptes et tous ses Compagnons.
Ceci étant dit :
Nous avons entre nos mains cette épître -l'épître des trois fondements- qui est
une épître importante et concise.
Cette épître traite d'un fondement d'une grande importance parmi les
fondements de l'Islam et c'est la croyance. Les savants donnaient de
l'importance à ces ouvrages concis.
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Commencer par ces ouvrages concis est la base pour les étudiants en sciences
islamiques. L'étudiant en sciences islamiques commence à apprendre de
manière progressive petit-à-petit en commençant par les bases de la science
religieuse et ses fondements puis monte progressivement.\ A
Ces ouvrages concis sont donc la route vers les grands ouvrages ; ces grands
ouvrages ne peuvent donc être compris qu'après avoir compris les ouvrages
concis et puis être monté à partir d'eux de manière graduelle.
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C'est pour cela qu'ils ont dit au sujet du sens de la parole d'Allah (dont la
traduction rapprochée est) : « Devenez des savants, obéissant au Seigneur,
puisque vous enseignez le Livre et vous l'étudiez » {Sourate Âli 'Imrân, 79}
que les savants obéissants au Seigneur sont ceux qui commencent par les
petits sujets scientifiques avant les grands et donc ils s'éduquent eux-mêmes
ainsi que leurs élèves en commençant par les petits sujets puis les grands
sujets.
Ceci est une chose naturelle car dans toutes les affaires on commence par ses
fondements et ses bases puis vers ce qui est plus grand.
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Allah Le Très-Haut dit (ce dont la traduction du sens est) : « Ils tMnterrogent
sur les nouvelles lunes - Dis : « Elles servent aux gens pour compter le temps,
et aussi pour le Hajj [pèlerinage]. Et ce n'est pas un acte de bienfaisance que
de rentrer chez vous par l'arrière des maisons. Mais la bonté pieuse consiste
à craindre Allah. Entrez donc dans les maisons par leurs portes » {Sourate Al-
Baqarah, 189}.
Ceux-là ont questionné au sujet des nouvelles lunes : pourquoi est-ce que la
nouvelle lune commence petite puis grandit et grandit encore jusqu'à être
complète puis se réduit jusqu'à ce qu'elle redevienne une nouvelle lune ? Allah
les blâmés et les a orientés vers le fait de questionner au sujet de ce qui leur
est utile et de venir vers les demeures de la science par leurs portes.
Allah les a donc orientés vers l'utilité des nouvelles lunes et ne leur a pas
répondu quant à leur questionnement au sujet de la réalité des nouvelles lunes
car il n'y a pas d'utilité à cela et pour qu'il les oriente vers ce au sujet duquel
il
leur convient de questionner et ce sont les portes de la science et pas l'arrière
de la science ni les sujets futiles dont ils n'ont pas besoin et s'ils en ont
besoin
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