QCM Anesthésie-Réa PDF

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QCM Anesthésie-Réa

1°) Dans les situations suivantes, l’insuffisance rénale aigue fonctionnelle peut
compliquer une hypovolémie relative mal traitée
A- Emploi de substances vasodilatatrices
B- Vomissements abondants lors d’un syndrome occlusif
C- Hématémèse de grande abondance
D- Syndrome néphrotique
E- Toxémie gravidique
F- Choc anaphylatoide
2°) Une insuffisance respiratoire par effet shunt peut se rencontrer dans les
situations pathologiques suivantes
A- Hyperventilation alvéolaire chez un patient présentant un traumatisme crânien
grave
B- Atélectasie
C- Embolie pulmonaire
D- Pneumonie avec syndrome de condensation pulmonaire
3°) Un sujet ayant un taux d’hémoglobine à 13 g/dl ne peut pas présenter de
cyanose même en cas d’hypoxémie sévère (PaO2 : 50 mmHg)
A- Vrai
B- Faux
4°) A propos de l’insuffisance respiratoire aigue
A- La cyanose correspond à une hypercapnie majeure
B- La cyanose ne s’observe que dans les anémies sévères avec un taux
d’hémoglobine < 5 g/dl
C- La cyanose est pathognomonique d’un effet shunt
D- La cyanose correspond à un taux d’hémoglobine réduite > 5 g/dl
5°) Un patient présentent une oligurie post opératoire. Quels sont les éléments
qui permettent de penser qu’il s’agit d’une insuffisance rénale aigue
fonctionnelle secondaire à une perfusion insuffisante ?
A- Rapport urée urinaire / urée plasmatique < 10
B- Natriurèse < 10 mmol/l
C- Hypotension artérielle
D- Hypoprotidémie
E- Plie cutané
6°) Une activité électrique cardiaque sans pouls :
A- Peut s’observer au cours des vasodilatations brutales
B- Correspond à un désamorçage de la pompe cardiaque
C- Peut s’observer au cours des hémorragies massives
D- Peut être efficacement traitée par une défibrillation précoce
E- Peut s’accompagner secondairement d’un arrêt cardiaque en asystolie dû à
l’ischémie cardiaque
7°) ACR. Parmi les thérapeutiques suivantes, après une RCPB bien conduite,
laquelle ou lesquelles utiliserez-vous en première intention chez un patient
présentant une inefficacité cardio-circulatoire avec une fibrillation ventriculaire
authentifiée par un ECG
A- Digitaline
B- Adrénaline
C- Dopamine
D- Choc électrique externe
E- SB à 42 pour mille
F- Calcium intraveineux
8°) Les résultats biologiques ci-dessous sont compatibles avec le diagnostic
d’une insuffisance rénale aigue par écrasement musculaire étendu
A- Natriurèse < normale
B- Créatininémie 800 micromole/l
C- Kaliémie 6 mmol/l
D- pH sanguin 7,40
E- CPK totales 150UI/l (Normale < 170 UI/l)
9°) Au cours de l’ACR
A- Le premier témoin doit vérifier l’absence de pouls carotidien avant de débuter
le MCE
B- Le rythme de MCE doit être de 100/mn
C- Une RCPB réalisée par des secouristes doit toujours alterner 2 ventilations
artificielles et 15 compressions externes
D- L’asystolie est le mode d’apparition le plus fréquent d’un arrêt cardiaque
E- La fibrillation ventriculaire et la tachycardie ventriculaire constituent les modes
d’apparition les plus fréquents d’un ACR
10°) La cyanose :
A- Est évocatrice d’hypercapnie
B- Est évocatrice d’hypoxémie
C- Correspond à un taux d’hémoglobine < 5g/dl
D- Correspond à une saturation artérielle périphérique en O2 < 80%
E- Est plus marquée en cas d’anémie sévère
F- Est d’autant plus marquée que le taux d’hémoglobine du patient est élevé
11°) Un patient venant du bloc opératoire et admis en SSPI présente
brutalement les signes suivants : absence de reflux aérien, tirage intercostal et
sus-sternal et les mouvements de l’abdomen sans soulèvement thoracique. Il
s’agit de :
A- Curarisation résiduelle
B- Laryngospasme
C- Chute de la langue en arrière
D- Embolie pulmonaire
E- OAP
12°) L’absence de signe de vie qui permet au grand public de faire le
diagnostic d’ACR comprend
A- Absence de respiration
B- Absence de pouls périphérique
C- Cyanose
D- Absence de réactivité papillaire
E- Absence de pouls centraux
F- Absence de réaction aux ordres simples
13°) Une activité électrique cardiaque sans pouls peut :
A- S’observer dans les fibrillations ventriculaires
B- S’observer au cours de la vasodilatation brutale
C- S’observer au cours des hémorragies massives
D- S’observer dans l’asystolie
E- Etre efficacement traitée par une défibrillation précoce
F- S’accompagner secondairement d’un arrêt cardiaque en asystolie dû à
l’ischémie
14°) Dans l’insuffisance respiratoire aiguë, l’hypoxémie n’est pas corrigeable
par l’administration d’O2, même à haute concentration en cas de :
A- Effet shunt
B- Effet espace mort
C- Trouble de la diffusion
D- Hypoventilation alvéolaire
15°) Dans l’insuffisance rénale la présence d’une hématurie est en faveur
d’une atteinte
A- Tubulaire
B- Glomérulaire
C- Interstitielle
D- Pré-rénale
16°) Dans l’insuffisance respiratoire aiguë, la cyanose traduit :
A- Une anémie sévère
B- Une saturation artérielle en oxygène < 80%
C- Un taux d’hémoglobine réduite > 5 g/dl
D- Une hypercapnie profonde
17°) Au réveil d’une anesthésie générale, l’HTA peut être du à :
A- La douleur
B- L’agitation
C- L’hypoxémie
D- La ventilation artérielle
18°) Devant un ACR authentifié par un ECG, le choc électrique externe est
indiqué devant :
A- Une tachycardie ventriculaire
B- Une asystolie
C- Une fibrillation ventriculaire
D- Un sus-décalage du segment ST
19°) Les cellules cérébrales ont une plus grande tolérance à l’anoxie que les
cellules myocardiques :
A- Vrai
B- Faux
20°) Le mécanisme d’action des anesthésistes locaux consiste en :
A- Un blocage des récepteurs à l’acétylcholine au niveau de la jonction
neuromusculaire
B- Un blocage des influx nerveux lorsque les anesthésiques locaux sont injectés
à proximité des nerfs
C- Une inhibition des centres intégrateurs du cortex cérébral
21°) Un patient adulte présente une oligurie post-op. Quels sont les éléments
qui permettent de penser qu’l s’agit d’une insuffisance rénale aigue
fonctionnelle secondaire à une hypovolémie par insuffisance d’apports
liquidiens ?
A- Œdème des membres inférieurs et bouffissure du visage
B- Pouls = 105/mn et PA = 90/70 mmHg
C- Natriurèse élevée
D- Rapport urée dans les urines / urée dans le plasma > 15 mmol/l
22°) Dans l’insuffisance respiratoire aigue
A- La cyanose ne s’observe pas chez les patients ayant un taux d’hémoglobine >
8 g/dl
B- La cyanose ne s’observe que dans les anémies sévères avec un taux
d’hémoglobine < 5 g/dl
C- La cyanose est pathognomonique d’un effet shunt
D- La cyanose correspond à un taux d’hémoglobine réduite > 5 g/dl
23°) Les signes permettant au professionnel de santé de faire le diagnostic
d’ACR comprennent :
A- Absence de respiration
B- Présence de mouvements respiratoires anormaux
C- Absence de pouls périphérique
D- Absence de pouls au niveau des gros troncs artériels (carotidiens et
fémoraux)
E- Absence de réaction aux ordres simples
F- Absence de mydriase bilatérale aréactive
G- ECG plat
24°) Devant un ACR par asystolie immédiatement diagnostiqué :
A- Toute manœuvre de réanimation est inutile
B- Une défibrillation précoce doit être pratiquée
C- La réanimation cardiopulmonaire doit être entreprise, en commençant par la
réanimation de base
25°) La cyanose :
A- Est évocatrice d’hypercapnie
B- Est évocatrice d’hypoxémie
C- Correspond à un taux d’hémoglobine réduite < 5g/dl
D- Est plus marquée en cas d’anémie sévère
26°) Le(s) produit(s) ci-dessous antagonise(nt) les morphinomimétiques
A- Apomorphine
B- Flumazénil
C- Naloxone
D- Néostigmine

27°) Dans l’asthme aigue grave, les résultats de la gazométrie artérielle ci-
après sont des signes de gravité
A- Une hypoxémie
B- Une hypocapnie
C- Une hypercapnie
28°) Après trois jours de vomissements (OIA mécanique), un patient dont la
fonction rénale était antérieurement normale, présente une insuffisance rénale
aigue fonctionnelle. Les données suivantes sont compatibles avec ce
diagnostic :
A- Diurèse = 480 ml/ 24h
B- Urée sanguine = 35 mol/l
C- Créatinémie = 260 micromole/l
D- Protéinurie > 0,5 g/l
E- Natriurèse basse
29°) Un patient présentent une oligurie post opératoire. Quels sont les
éléments qui permettent de penser qu’il s’agit d’une insuffisance rénale aigue
fonctionnelle secondaire à une hypovolémie ?
A- Osmolarité urinaire / osmolarité plasmatique < 10
B- Natriurèse < 10 mmol/l
C- Hypotension artérielle
D- Une protéinurie > 0,20 g/l
E- Plie cutané
30°) Les signes cliniques de la d’H2O extracellulaire peuvent comporter :
A- Hypotonie des globes oculaires
B- Pli cutané
C- Hémoconcentration avec élévation de protéinémie et de l’hématocrite
D- Natrémie normale
E- IR fonctionnelle
31°) Pendant les 24 premières heures un brulé est en état de choc
A- Thermique
B- Septique
C- Hypovolémique
D- Cardiogénique
32°) On peut donner du sang du groupe AB à un sujet :
A- Du groupe A
B- Du groupe B
C- Du groupe AB
D- Du groupe O
33°) La baisse de la perfusion tissulaire et l’hypoxémie engendrées par le choc
septique se traduisant par une souffrance tissulaire. Indiquez, pour chacun des
organes suivants, la principale manifestation de cette souffrance viscérale
A- Cœur
B- Rein
C- Poumon
D- Foie
E- Cerveau
34°) Quel paramètre biochimique sanguin vous parait refléter le mieux la
souffrance tissulaire dans les états de choc :
A- pH
B- transaminases
C- glycémie
D- lactates
E- CRP
35°) Dans la situation de stress que constitue le choc Hypovolémique, le
sérum glucosé isotonique est un meilleur soluté de remplissage que le RL
A- Vrai
B- Faux
36°) Un sujet du groupe A peut recevoir du sang :
A- Du groupe A
B- Du groupe B
C- Du groupe AB
D- Du groupe O
37°) On peut donner du sang du groupe A à un sujet :
A- Du groupe A
B- Du groupe B
C- Du groupe AB
D- Du groupe O
38°) Un sujet du groupe B peut recevoir du sang :
A- Du groupe A
B- Du groupe B
C- Du groupe AB
D- Du groupe O
39°) L’intoxication grave par barbituriques entraine :
A- Coma agité
B- Coma sans signe de localisation
C- ROT vifs et signe de Babinski
D- Hypotonie
E- Hypoventilation ou apnée
F- Hyperthermie
G- Collapsus ou choc par vasoplégie
H- Phlyctènes
40°) Au cours de l’examen d’un traumatisé du crâne, l’apparition d’une
dilatation de la pupille droite doit faire craindre :
A- Un engagement du lobe temporal
B- Un hématome extradural
C- Une contusion cérébrale
D- Une névrite optique
41°) Toutes les manifestations suivantes sont causes d’hydrocéphalie sauf
une laquelle ?
A- La sténose de l’aqueduc de Sylvius
B- L’achondroplasie
C- La myéloméningocèle lombaire
D- L’hémorragie méningée
42°) Dans la Sciatique d’origine discale
A- La douleur L5 emprunte la fesse, le mollet, le talon et se termine aux derniers
orteils
B- La radiographie standard du rachis suffit au diagnostic de la hernie discale
C- La présence de trouble sphinctérien est une contre-indication formelle à la
chirurgie
D- L’échec de la chirurgie, le chimio-nucléolyse est une alternative thérapeutique
E- Le diagnostic est optimisé par l’IRM
43°) Dans l’hémorragie méningée pure par rupture d’un anévrisme artériel
A- L’argument essentiel du diagnostic est l’installation brutale des signes
B- Il n’existe pas de signe de localisation neurologique
C- L’indication de la PL est formelle si la TDM est normale
D- L’artériographie cérébrale est le temps essentiel du diagnostic étiologique
44°) Laquelle ou lesquelles des tumeurs intra crâniennes suivantes est ou
sont histologiquement bénignes :
A- Le médulloblastome
B- Le neurinome
C- L’adénome hypophysaire
D- Le méningiome
E- Le glioblastome
45°) Le syndrome de BROWN SEQUART est réalisé par une compression
médullaire
A- Antérieure
B- Postérieure
C- Latérale
D- Centromédullaire
46°) Dans l’hydrocéphalie par sténose de l’aqueduc
A- Les amygdales sont situées dans le foramen magnum
B- La dilatation est triventriculaire
C- L’échotomographie transfontanellaire est l’examen de choix
D- L’hydrocéphalie est triventriculaire
E- Le traitement avec de l’acétélazomide à 100mg est suffisant
47°) Un traumatisme crânien grave est un traumatisme crânien avec un score
de Glasgow
A- Inférieur à 5
B- Inférieur à 8
C- Inférieur à 11
48°) Un enfant de 8 ans souffre d’une HIC sévère
A- La cause la plus probable est une tumeur de la fosse postérieure
B- Le mécanisme le plus probable de l’HIC est une hydrocéphalie
C- L’existence à l’examen d’une raideur de la nuque est une indication formelle
de PL
49°) Devant un tableau d’insuffisance respiratoire aigue
A- L’hypercapnie est un signe indispensable pour porter le diagnostic
d’hypoventilation alvéolaire aigue
B- Parmi les signes habituellement associés à l’hypercapnie figurent des sueurs
profuses
C- L’hypoventilation alvéolaire se traduit constamment par une bradypnée
D- Des troubles neurologiques tels que obnubilation, somnolence, coma, ne
s’observent que lorsque l’hypercapnie aigue se développe chez un insuffisant
respiratoire chronique
E- Le bilan biologique suivant est compatible avec le diagnostic d’hypoventilation
alvéolaire chez un patient de 30 ans : PaO2 = 75 mmHg ; PaCO2 = 48
mmHg ; pH = 7,41 ; Bicarbonate =32 mmol/l
50°) Les conditions techniques du MCE réalisé par un seul sauveteur (en
attendant d’autres secours) chez un adulte victime d’ACR incluent :
A- Victime en position latérale de sécurité
B- Victime en décubitus dorsale sur un plan dur
C- Fréquence des compressions de 60/mn
D- Temps de compression plus long que temps de relâchement
E- Alternance avec une ventilation artificielle, au rythme d’une insufflation pour
cinq compressions
51°) Le désamorçage de la pompe cardiaque
A- Peut être responsable d’une inefficacité circulatoire
B- S’observe au cours des hémorragies massives et des vasodilatations
périphériques majeures d’installation brutale
C- S’accompagne d’une persistance de l’activité mécanique cardiaque, et d’une
suspension de l’activité électrique cardiaque sur l’ECG
D- Doit être traité par un remplissage vasculaire massif et rapide
E- La défibrillation doit être réalisée sans délai
52°) Les anesthésiques périphériques comprennent :
A- L’anesthésie péridurale
B- Le bloc plexique
C- Le bloc tronculaire
D- L’anesthésie topique
E- L’anesthésie balancée
53°) Préparation à une intervention chirurgicale
A- La CPA dans le cadre d’une intervention programmée rend inutile la VPA
B- La CPA a une valeur médico-légale
C- En cas d’ALR prévue, le jeûne préopératoire n’est pas prescrit
D- Le consentement éclairé du patient est reçu seulement pour l’acte chirurgical
54°) Période postopératoire
A- Un patient conscient et orienté en salle d’opération doit regagner directement
son lit en secteur d’hospitalisation classique
B- La SSPI est dédié exclusivement aux patients opérés sous AG
C- Les complications respiratoires sont plus fréquentes en postopératoire que
dans la période peropératoire
D- La décision de sorti du patient de la SSPI est prise par le médecin
responsable sur la base du score ASA (American society of anesthesiologist)
E- Un globe vésical (en dehors de tout traumatisme vésical) peut survenir dans
les suites immédiates d’une rachianesthésie
55°) La chute de la langue en arrière est une cause fréquente d’obstruction des
voies aériennes après une AG. Elle se traduit par :
A- L’absence de flux aérien
B- Un tirage intercostal
C- Un tirage sus-sternal
D- Un soulèvement du thorax sans mouvement de musculature abdominale.
56°) A propos du remplissage vasculaire chez le brulé, quelle est/sont la /les
bonnes(s) réponse(s)
A- Il faut attendre que le pansement soit fait pour savoir la SCB à partir de
laquelle on va calculer les besoins hydriques
B- Commencer les apports hydriques à raison de 20ml/kg la 1ere heure puis
10ml/kg les heures suivantes en attendant de faire le pansement
C- Commencer les apports hydriques à raison de 10ml/kg la 1ere heure puis
20ml/kg les heures suivantes en attendant de faire le pansement
57°) Parmi les paramètres suivants lequel est le plus pertinent pour
l’évaluation du remplissage vasculaire chez le brûlé
A- Pression artérielle
B- Fréquence cardiaque
C- Fréquence respiratoire
D- SpO2
E- Diurèse
58°) La table de Lund et Browder est la plus appropriée pour évaluer la SCB
chez l’enfant
A- Vrai
B- Faux
59°) La formule de pakland est celle adaptée pour le calcul de quantité de
soluté pour le remplissage vasculaire chez l’enfant brulé
A- Vrai
B- Faux
60°) La cyanose est un signe évocateur d’une hypoxémie :
A- Vrai
B- Faux
61°) La sueur et l’érythrose cutanées sont évocateurs d’une hypercapnie :
A- Vrai
B- Faux
62°) Les reins constituent un moyen de défense contre l’agression acide. Ce
mécanisme est mis en jeu :
A- A court terme (quelques minutes)
B- A moyen terme (< 1h)
C- A long terme (quelques heures)
63°) L’acidose métabolique avec trou anionique normal
A- S’accompagne d’hyperchlorémie
B- Se rencontre dans les pertes digestives et de bicarbonates
C- Se voit dans l’acidose métabolique diabétique
64°) Dans la réanimation d’un ACR la défibrillation est indiquée dans :
A- La tachycardie ventriculaire
B- L’asystolie
C- L’activité électrique sans pouls
65°) Quel est le seuil de la diurèse au-dessous duquel on parle d’oligurie :
A- 1,5ml/kg/h
B- 1ml/kg/h
C- 0,5ml/kg/h
D- 0.25ml/kg/h

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