Objectif Specifique Terminal: Montrer Que L'Existence Humaine Se Caracterise Par Le Refus de Tout Domination
Objectif Specifique Terminal: Montrer Que L'Existence Humaine Se Caracterise Par Le Refus de Tout Domination
Objectif Specifique Terminal: Montrer Que L'Existence Humaine Se Caracterise Par Le Refus de Tout Domination
Introduction générale
L’humanité est le produit des activités des hommes dans leur effort de
transformation de la nature pour satisfaire leurs besoins. Etudié l’histoire de
l’humanité, revoie alors à examiner les actions humanitaires culture, civilisatrice
existentielle d’espèce humaine. Mais joncher de contradiction, les résultats de
ses études soulèvent les questions suivantes : la nation d’humanité est-elle
compatible avec l’idée de domination ? Cependant, le mythe est-il séparable de
l’humanité ?
Introduction
Le plus grand et le plus important des désires auquel aspire les hommes, les
peuples, les Etats : c’est l’indépendance, la liberté. Delà, il suit nécessairement
que chaque fois qu’une liberté est menacé la réplique quel que soit sa forme ne
se fait nullement attendre d’où l’intérêt particulier que nous accord
l’interrogation suivante ; la notion de l’humanité est-elle l’idée de domination ?
I/ DEFINITION
A) HUMANITE
B) L’HISTOIRE
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L’histoire c’est l’ensemble des changements de la société humaine à travers le
temps. Mais l’étude scientifique du passé est aussi appelée l’histoire en français.
Cette polysémie du mot histoire est dénoncée par Henri Lefèvre dans la
proclamation de la commune que « l’histoire comme succession d’évènement et
histoire comme science défaire ». Notre cour aura pour objet l’histoire entant
que succession d’évènement ou le devenir historique. C’est dire que le devenir
des sociétés humaines considérer dans l’unité des 3 dimensions du temps.
C) CULTURE ET CIVILISATION
L’humanité c’est l’ensemble des caractères propre aux hommes. Ces caractères
forme ce que l’on appelle la nature humaine qui existe en chaque homme en
langage essentialiste, essence de l’homme procède son existence. Cette nature
humaine est unique car elle est la même chez les individus de l’espèce. La
nature est donc universel, le caractère naturel est origine et inné en ce sens qu’il
est présent dès la naissance. C’est le cas des trois 3 caractéristiques aux
comportements et ouvertures (la bonté, la pitié, le pardon, la conscience morale)
et des traits caractéristiques liée à d’autre facteurs comme (la morphologie, la
bipédie, les pulsions, les désirs, la passion et la mort…) qui sont innés et
inhérente à la nature humaine à notre être. Pourtant dans le bien de perspective,
l’humanité ne relève-t-elle pas de l’impact de la culture ?
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B/ L’IMPACT DE LA CULTURE DANS LA CONSTRUCTION DE
L’HUMANITE
Selon Lucien Malson dans les enfants sauvages « les hommes ne sont pas des
hommes hors de ambiance sociale ». Cela veut dire que les caractéristiques
fondamentales de l’homme ou la notion humain, bien qu’existant en l’homme, il
est à l’état l’entend. L’homme est à sa naissance un on être, un néant d’être ou
une table rase n’est qu’après l’existence, il se définit lui-même de telle sorte
qu’il n’est que qu’il à choisir librement d’être. En effet tous la société humaines
qu’elle soit policée ou dit sauvage sont caractérisée par une diversité au
phénomène scientifique technique, religieux, esthétique… cette phénomène
sociaux ou culture que crée les hommes au cours de leurs histoire, leur façon
aussi en agissant sur eux comme des moules en leurs impriment la forme
typique aux hommes. A cet effet, Bronislaw Malinowski dira que « quelque
simple que soit sa culture, l’homme(…) évolue dans un milieu social qui
l’assiste et le contrôle à la foi » dans la sexualité et sa répression dans les
sociétés primitives. L’homme étant influencé aussi bien par la nature que la
culture ne peut-on pas alors parlé de l’action synergique de ses deux(2) facteurs
dans la construction de l’homme ?
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III/ LES RÖLES DE L’HOMMEDANS L’HISTOIRE
2) Le matérialisme historique
Selon Karl Marx et Engel ce sont les hommes, le travail humain aux prises avec
l matière qui fond avancé l’histoire. Pour eux, c’est la lutte des classes qui fait
avancer l’histoire et transforme le monde. Le mouvement de l’histoire pour
Marx a pour origine les réalités économiques. En autre terme les hommes fonds
la propre histoire en vivant à travers les conditions et les productions matérielles
d’existence. C’est pourquoi dans idéologie allemande, ils disent que « ce n’est
pas la conscience qui détermine la vie, mais la vie qui détermine la
conscience ».Marx reconnait que l’homme est un produit de la matière et des
conditions. Mais il pense que l’homme agir sur la matière et peut se transformer
par son travail les conditions de son existence. Il fait l’histoire en améliorant
celle-ci. Ainsi dans contribution à la critique de l’économique politique. Marx
ajoute ceci « l’histoire ne fait rien, c’est l’homme réel et vivant qui livre des
combats ». On pourrait dire que le matérialisme de Marx est une dialectique et
cette dialectique est un progrès une évolution quantitative et un changement
qualitatif et cette évolution n’est pas le faits ni de l’idée ni de l’esprit ni des
forces surnaturel. Mais plutôt l’œuvre de l’homme. D’après l’existentialisme et
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le matérialisme historique, l’homme est auteur de son histoire, histoire qu’il
choisir et façon de librement. Mais l’histoire n’est-elle pas ce que nous
subissons ? Ce qui nous détermine, ce que nous n’avons pas choisir ?
C’est dans l’antiquité grecque que l’on considérait l’histoire comme une
fataliste. Le fatalisme est une doctrine philosophie selon laquelle la destinée de
l’homme est déterminée d’avance indépendamment de ce qu’il peut vouloir et
faire. En d’autre terme, les évènements de la vie s’enchainent suivant une
certaine logique inéluctable et irrévocable qui aurait été établir par une cause
surnaturelle ou une puissance appelé destin. Les hommes ne sont donc que de
simple objet qui ignore la cour et le dénouement des évènements dont le secret
est détenu par le destin. Dans cette perspective, l’histoire se déroule à l’issu des
hommes qui en subissent les conséquences implacable. C’est de ce principe que
les stoïciens comme Marx Aurel et Epictète ont élaboré une morale qui repose
sur la résignation : abstient toi et support car ce qui arrive participe à la santé de
l’humanité. Pour eux tout ce qui arrive est voulu par le destin entant raison
directoire qui gouverne le monde, pour être heureux l’homme doit se conformé à
la nature à l’ordre des choses pour ce qui arrive. Cette conception fatalise se voir
encore dans la religion révélé. Dieu est ici responsable de tout ce qui advient. On
peut de ce fait pensée que toute est déjà écrit que l’homme n’est qu’acteur
involontaire qu’une histoire de dieu déterminer. Selon le judéo christianisme,
l’histoire commencerai la création de l’homme par dieu, sa vie dans le jardin
d’Eden, s’a damnation consécutive aux péchés originel sa rédemption par
avènement de jésus christ sa fin apocalyptique. Tous ces états fondamentale
dans la vie de l’homme sont providentiels, il y’a donc pas de hasard. Jacques
Broussel écrira que « ce qui apparait hasard à l’égard de nos conseil incertain est
un décès concentré envers nos conseil éternel qui referme tous les causes et tous
les effets dans un même ordre divin »
2) L’idéalisme Hégélien
Pour Hegel c’est la raison qui gouverne le monde suivant un ordre logique
rationnel derrière la passion d’individu, les conflits d’intérêt particulier, c’est la
raison qui agit et mène le jeu sans le savoir les sembles le grand dessin de
volonté. C’est ce qui appelle la rue de raison. Pour lui en effet, l’homme n’est un
instrument au service de la raison. Le grand homme historique sert une fin plus
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haute la réalisation de l’esprit universel. Dans cet idéalisme hégéliens, l’histoire
est comme un devenir qui perse sur l’individu qui se trouve démunie face à cette
force collective. On serait l’arrêter lorsqu’elle est en marche. On a même
impression de la subir ou même être broyer par elle. On a le sentiment d’être
étranger à elle. Du coup, nous somme comme irresponsable à peine mettre de
notre histoire individuel qui dépend en partir de la grande histoire commune.
Ainsi les hommes posent des actes, mais n’en sont pas des acteurs conscients. Il
exprime dans le progrès de l’esprit. C’est dans ce sens quel Hegel a pur dire que
«l’idée est en vérité, ce qui mène les peuples et le monde ». Pour lui, l’idée ce
sert des hommes à leurs issu pour atteindre sa fin absolu : « la raison gouverne le
monde ». dira-t-il dans la raison dans l’histoire. Mais dans leurs relations de
construction de l’histoire certain peuples cultivent et manifeste la volonté de
domination sur d’autre qui débouche sur la colonisation. Dès lors l’autre entant
que colon est-il facteur d’humanisation ?
IV/HUMANITE ET ALIENATION
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terme « il faut coloniser, parce que la colonisation est au nombre des devoirs qui
incombe aux grands nations » dans A quoi servent la colonie. Nous somme
perçu comme un sauvage par l’accident la colonisation de l’homme noir doit
aider à remédier à cet Etat.
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violence. En ce sens la colonisation n’apparait-elle comme une négation et
même une humiliation d’humanité ?
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les complexe de supériorité dans l’esprit de la colonisation et de tous les
complexe d’infériorité dans la tête du coloniser » dans liberté Négritude et
humanisme. Dans la décolonisation dont le peuple décoloniser est libérer sur
tous les plans que cela soit politique, économique, sociale et culturel. Mais pour
que cette décolonisation ne soit pas seulement extérieur, elle doit conduit à la
désaliénation.
CONCLUSION
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