Reconnaissance Des Végétaux
Reconnaissance Des Végétaux
Reconnaissance Des Végétaux
La reconnaissance et la connaissance des végétaux sont la base de notre métier. Nous sommes tous les
jours en contact avec le végétal que ce soit pour des travaux de végétalisation ou d’entretien. Les
entrepreneurs paysagiste sont très sensibles à ce savoir.
Sous
Embranchement Classe Famille
embranchement
THALLOPHYTES Champignons
(ni racines, ni tiges, ni feuilles) Algues
BRYOPHYTES
CRYPTOGAMES (tiges, feuilles seulement) Mousses
Plantes sans fleurs
PTÉRIDOPHYTES
(racines, tiges, feuilles) Fougères
GYMNOSPERMES Conifères
PHANÉROGAMES
Plantes à fleurs Monocotylédones Poacées
ANGIOSPERMES
Dicotylédones Rosacées
La nomenclature des végétaux est aujourd’hui de plus en plus utilisée dans le monde professionnel.
Les noms communs donnés aux plantes font souvent référence à des utilisations locales spécifiques. Cela
explique les dénominations différentes que l’on trouve, pour la même plante, dans certaines régions :
Nom botanique : Fagus sylvatica
Nom commun : Hetre
Nom commun ou vernaculaire (régionaux) : fayard, fouteau, fau
Cette nomenclature a continué d’être développée à travers les siècles, de nos jours également.
Le nom d’un botaniste : ‘Davidia involucrata’, découvert par le moine botaniste Armand David.
Le nom d’un scientifique : Fuschia, du physicien allemand Leonard Fuchs
La zone géographique d’origine : ‘Parrotia persica’, arbre originaire de Perse, ‘Cedrus libani’
qui vient du Liban, ‘Cedrus atlantica’ qui provient des chaînes montagneuses de l’atlas du maroc.
Des aspects morphologiques particuliers : ‘Parthenocissus quinquefolia’, vigne vierge à feuilles
composées de cinq folioles.
A. La famille
C’est la fleur qui caractérise les différentes familles de végétaux.
Ainsi la grande famille des Astéracées regroupe plus de 1000 genres différents.
En règle générale la famille devrait s’écrire, en français, avec une majuscule et possède une terminaison
en ……acées.
FAMILLE : Rosacées
FAMILLE : ROSACEES
GENRE : Prunus
C. L’espèce « prénom …. »
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Chaque genre peut comprendre une ou plusieurs espèces qui se différencient par des caractères
secondaires.
L’espèce devrait s’écrire en latin et en minuscule :
Pour le genre Abies, les espèces : alba, nordmaniana, pinsapo….
FAMILLE : ROSACEES
GENRE : Prunus
ESPECE : laurocerasus
D. Le cultivar
C’est une modification réaliser par les mains de l’homme d’une espèce cultivée portant sur un aspect
morphologique ou de coloration du feuillage, des fleurs, des fruits ou du port.
Le cultivar, initialement désigné en latin, est aujourd’hui nommé dans la langue courante : allemand,
anglais, français.... Il devrait toujours s’écrire entre 2 guillemets simples.
FAMILLE : ROSACEES
GENRE : Prunus
ESPECE : laurocerasus
CV : ‘Otto Luyken’
Ce sont ces cultivars qui composent la grande partie de la gamme proposée par les pépiniéristes.
E. La variété
C’est une modification naturelle d’une espèce.
Elle s’écrit : xxxxx var. Et est suivie d’un nom latin en minuscule
FAMILLE : PINACEES
GENRE : Pinus
ESPECE : nigra
VARIETE : ‘Austriaca’
F. Les hybrides
Naturels ou fabriqués par la main de l’homme, les hybrides sont le résultat de croisements entre deux
espèces, genres ou cultivars. Ces hybridations sont une part importante des introductions nouvelles dans
les catalogues de pépinière. L’hybridation, toujours au sein d’une même famille, peut avoir des origines
différentes et résulter de croisements.
A. HYBRIDE DE GENRES
Elle donne naissance à un troisième genre dont le nom est composé d’une partie du nom de chaque
parent. L’hybride inter-générique s’écrit comme un autre genre, mais précédé du signe ‘ X’. Ce type
d’hybridation est rare.
Par exemple : le croisement entre les Cupressus macrocarpa et Chamaecyparis nootkatensis a donné le X
cupressocyparis leylandii.
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FAMILLE : CUPRESSACEES
GENRE : X cupressocyparis
ESPECE : leyllandii
B. HYBRIDE D’ESPÈCE
Elle donne une nouvelle espèce dont le nom sera différent de celui des parents. Le nom d’espèce sera, là
aussi, suivi du digne X : Erica x darleyensis = bruyère c’est le croisement entre erica carnea et erica
purpurascens
C. ENTRE CULTIVAR
Elle donne un nouveau cultivar dont le nom ne sera précédé d’aucun signe. Le nom d’espèce ne figure pas
quand les parents sont mal connus.
Rien n’indique alors qu’il s’agit d’un croisement.
Exemples :
Philadelphus ‘Belle Etoile’ = seringa
Clematis ‘Ville de Lyon’= clématite
Pour conclure le respect de cette nomenclature de tout le monde horticole est très important, elle
permet aux différents acteurs de pouvoir parler d’un produit sans ambiguïté et facilite le commerce
international.
D. RÉCAPITULATIF
FAMILLE : ROSACEES
GENRE : Prunus
ESPECE : laurocerasus
CV : ‘Otto Luyken’
NOM COMMUN : Laurier cerise
FAMILLE : PINACEES
GENRE : Pinus
ESPECE : nigra
VARIETE : ‘Austriaca’
NOM COMMUN : Pin noir d’Autriche
4 mètres
maximum
o Caduc : la feuillaison s'étend de mars à octobre puis chute des feuilles de l'arbre durant
l'automne. (ex : le marronnier)
o Persistant : végétal dont les feuilles vivent plusieurs années. (ex Sapin de noël)
o Marcescent : le végétal garde ses feuilles sèches tout l’hiver, au printemps elles sont
chassées par les nouvelles feuilles.
A. LES ANNUELLES.
Ces plantes qui au cours d'une année civil germent, fleurissent, fructifient et meurent. Il y a un seul cycle
végétatif, sans période de repos. Exemples : Cosmos, Gazania, Pétunia, Bidens…
Les plantes annuelles (plantes molles) sont plantées au mois de Mai, le froid provoquant sa mort.
B. LES BISANNUELLES.
La vie de ces plantes s'entend sur 2 années civiles. Un seul cycle de végétatif avec une période de repos et
de préparation à la floraison grâce au froid (vernalisation).
La mise en place des bisannuelles se fait fin Octobre / début Novembre et le soleil provoque la mise à
fleur. Exemple : Pâquerette, Primevère, Pensée…
Ce sont des plantes pérennes c'est à dire qu’elles vivent plusieurs années. On distingue les vivaces caducs,
leur feuillage et leurs tiges meurent chaque hiver et débourrent tous les ans au printemps, ces nouvelles
pousses sont émises par la souche qui elle seule est durable, par exemple : les Pivoines, les Hostas, les
Lupins. Contrairement aux vivaces persistantes, qui gardent leurs tiges et leur feuillage tout au long de
l’année, par exemple : Hellebore, Bergenia.
VI. MORPHOLOGIE
La reconnaissance d’un végétal commence par l’observation de sa morphologie.
A. Le port
Disposition des branches et des feuilles d’un végétal, caractérisant sa silhouette (voir polycopié). Lorsque
l’on décrit un arbre on parle souvent de sa cime ou de sa flèche c’est le sommet de l’arbre.
On indique également la hauteur à l’âge adulte et son diamètre.
B. L’écorce
Les motifs et les textures caractéristiques des écorces se développent parce que la circonférence du tronc
augmente. En effet, l’écorce externe est constituée de cellules mortes et ne peut grandir, et quand le tronc
grossit, l’écorce se craquelle (Bouleau verruqueux), se desquame (Platane, Eucalyptus) ou pèle
(Metasequoia) et produit du liège (Liquidambar).
B. LE LIMBE
……………… ………………….
La feuille composée comporte plusieurs folioles (Frêne). Nous reconnaîtrons une foliole au fait
qu’elle ne porte jamais de bourgeons axillaires à la base.
C. LE PÉTIOLE
Le limbe est supporté par une « queue » appelé pétiole. Il n’existe pas toujours : la feuille est alors sessile.
Sur une feuille composée, les folioles peuvent aussi être sessiles.
Les feuilles sont les parties de la plante qui varient le plus et plusieurs critères permettent de les classer
(voir page suivante).
La forme de la feuille
Les feuilles paripennées: les folioles sont en nombre pair (Gleditschia triacanthos)
Les feuilles imparipennées : les folioles sont en nombre impair (une folioles supplémentaire « dite
terminale » à l’extrémité): noyer (Juglans regia).
Alternes : les feuilles isolées s’insèrent une à une sur la tige : tilleul (Tilia tomentosa).
Les feuilles sont opposées l’une en face de l’autre. Elles sont opposées décussées lorsque
les points d’intersection pivotent de 90° : les feuilles en croix 2 par 2, ex : sauge (Salvia
splendens).
Les feuilles peuvent être insérées par groupes de plus de 2 à la même hauteur :
si elles sont réparties tout autour de l’axe, elles sont verticillées : laurier rose (Nerium oleander)
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si elles sont réunies au même point, elles sont fasciculées : épine vinette (Berberis X stenophylla)
La forme du limbe
La diversité des formes des feuilles est très grande. Voyons les types les plus courants :
Le bord du limbe
Aussi variées que leur forme, elles sont plus ou moins profondes.
La couleur
Ce caractère nous est très utile en espace vert, les nuances peuvent aller du vert très léger jusqu’aux
feuilles pourpres, dorées, panaché…
Leur pilosité
D. Les bourgeons
Son aspect : rond : noisetier (Coryllus avellana), fusiforme : charme (Carpinus betulus), sa couleur : noir
comme le frêne (Fraxinus excelsior), pointu, pubescent, glabre,
E. La fleur
Il y a différentes périodes de floraison :
Printanière = printemps
Estivale = été
Automnal = automne
Hivernal = hiver
Il y a également des chatons On observe également des chatons mâle ou femelle sur les arbres.
Signifie que les organes de reproduction mâle et Signifie que les organes de reproduction mâle
femelle se trouvent sur deux fleurs différentes. Dans et femelle se trouvent sur la même fleur.
le cas où celle-ci se trouve regroupé on parle
d’inflorescence.
Par exemple : Hellebore
Par exemple : Chêne pédonculé
A. LES INFLORESCENCES.
L’épi : fleur sessile, la floraison commence par le bas, saule pleureur (Salix babylonica)
Le capitule : fleur sessile, fleurs rassembler sur une surface plane, dahlia (Dahlia hortensis).
La grappe : même chose que l’épi sauf que les fleurs sont pédonculées. Groseillier à fleur (Ribes
sanguineum).
L’ombelle : les fleurs sont toutes au même niveau et partent toutes du même point. La floraison
commence à la périphérie de l’ombelle. (ex : Carotte)
Corymbe : ressemble à une grappe mais toutes les fleurs terminent au même niveau.
F. Le fruit
On les reconnaît par la chaire (épaisse, molle ou charnue) qui se trouve autour de la/les graines(s). Ce
type de fruits ne libèrent pas spontanément leurs graines ce sont des fruits indéhiscents.
Les baies : elles sont composées d’un épicarpe (peau), d’un mésocarpe et d’un endocarpe charnus,
et de graines. Ex : les raisins, orange.
Les drupes : ressemblent aux baies sauf que l’endocarpe est lignifié. Ex : la noix.
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Fruit intermédiaire : dans ce dernier cas l’endocarpe se trouve être cartilagineux. Ex : la pomme.
Les cônes
Ce sont les fruits des conifères appelé aussi « pomme de pin », ces cônes sont lignifiés et renferme les
graines quand celui-ci est à maturité le cône s’ouvre et libère la graine qui est disséminer par le vent.
Ces exigences sont vitales pour la plante, vouloir planter un végétal en passant outre ses exigences
entraîne des difficultés de croissance et de développement, des problèmes sanitaires…
Le sol
L’exposition
La rusticité
Les distances de plantation
A. Le sol
Le sol est un support pour la plante pour l’ancrage du système racinaire, son rôle est de redonner à la
plante l’eau et les éléments nécessaire à sa croissance.
Ce milieu doit rassembler plusieurs conditions pour que la plante puisse s’épanouir.
A. LA STRUCTURE DU SOL
B. LA TEXTURE
La terre est composée d’éléments physique : du sable, graviers, argile et des limons. Ces constituants sont
en pourcentage varié dans le sol.
C. HUMIDITÉ
La plante a des besoins en eau bien spécifique, il faut donc les prendre en compte lors du choix de
l’emplacement du végétal.
D. L’ACIDITÉ DU SOL
0 7 14
Entre 4.5 et 6.8 on parle de plantes calcifuge c'est-à-dire qu’elles prospèrent dans un sol acide. Ce sol
convient aux plantes de terre de bruyère comme par exemple rhododendron (Rhododendron X), bruyères
(Erica carnea).
E. LA RUSTICITÉ
C’est la capacité d’une plante à résister au froid.
F. EXPOSITION
Soleil
Mi ombre
Ombre
Cette règle est trop souvent ignorée, des végétaux plantés trop serré entre en compétitivité au niveau de la
lumière. Afin que le végétal puisse se développer pleinement, il est nécessaire de respecter une distance
de plantation entre ceux-ci.
H. L’ÉPOQUE DE TAILLE.
Cette opération est importante pour former le végétal, une floraison et/ou fructification abondante.
Elle sera réalisée à une ou plusieurs périodes de l’année.
I. UTILISATION
L’utilisation des végétaux est nombreuse et variée, on peut en énumérer quelques une :
Haies
Massifs
Alignements
Groupes
Talus, rocaille
Forêt
Bassin...
Abelia (6) Abelia (6) Azalea (4-5) Azalea (4-5) Azalea (4-5) Azalea (4-5) Azalea (4-5) Hydrangea
Actinidia (6) Azalea (4-5) Berberis (4- Chaenomeles Berberis (4- Camellia (2-5) Paeonia (5) Syringa (4-
Amelanchier Camellia (2-5) 5) (3-5) 5) Cercis (4-5) Rhododendron 5)
(4-5) Cercis (4-5) Calycanthus Crataegus (5) Chaenomeles Cytisus (5) (4-6) Vinca (5-6)
Azalea (4-5) Chaenomeles (1) Cytisus (5) (3-5) Hydrangea (6- Syringa (4-5) Wisteria
Carnellia (2-5) (3-5) Caragana (4- Paeonia (5) Cytisus (5) 7) Wisteria
Chaenomeles Clematis (4-5) 5) Rhododendron Paeonia (5) Magnolia (4-
(3-5) Cornus (5) Corylus (2- (4-6) Rosa 5)
Choisya (4-5) Crataegus (5) 3) Rosa Malus (4-5)
Clematis (5) Cytisus (5) Cytisus (5) Weigela (5-6) Paeonia (4)
Cornus (5) Daphne (2-3 Forsythia (3- Prunus (3-4)
Crataegus (5) ou 5) 4) Rhododendron
Deutzia (5-6) Deutzia (5-6) Genista (5- (4-6)
Erica (12-5) Erica (12-5) 6) Ribes (4)
Escallonia (6) Escallonia (6) Harnamelis Rosa
Exochorda (4- Hydrangea (6- (1-3) Syringa (4-5)
5) 7) Jasminum Weigela (5-6)
Hydrangea (6- Kalmia (6) (11-3)
7) Kolkwitzia (5- Kerria (4-5)
Magnolia (3- 6) Laburnum
4) Lonicera (5-6) (5)
Magnolia (4- Magnolia (4- Lonicera (5-
5) 5) Malus (4-5) 6)
Magnolia (6- Paeonia (5) Paeonia (5)
8) Prunus (3-4) Rosa
Paeonia (5) Rhododendron Salix (2-3)
Philadelphus (4-6) Spartium (5-
(5-6) Robinia (5-6) 6)
Pieris (3) Rosa (5-6 ou
Prunus (3-4) 10)
Pyracantha (5- Syringa (4-5)
6) Tamarix (5)
Rhododendron Weigela (5-6)
(4-6) Wisteria (5)
Rosa (5-6 ou
5-10)
Skimmia (3-4)
Spiraea (4-5)
Syringa (4-5)
Viburnum
(11-4)
Viburnum (5-
6)
Weigela (5-6)
Wisteria (5)
Dates approximatives de floraison sous le climat parisien indiquées par le N° des mois. La période peut indiquer la durée de la
floraison d’un même cultivar ou celle de l’espèce du cultivar du plus précoce au plus tardif ou encore celle possible d’une
espèce compte-tenu des différences climatiques entre les années.
Malgré sa floraison du début de l’été et d’une longue durée Hydrangea macrophylla doit être considéré comme un arbuste de
printemps parce que ses ébauches florales sont formées dès l’automne et qu’il doit être traité comme eux en ce qui concerne la
taille. La couleur bleue des fleurs résulte du pH du sol et n’est pas affaire de variétés.
Abelia (6- Abelia (6-10) Buddleia (7- Campsis (7- Campsis (7- Campsis (7- Buddleia (7- Buddleia (7-
111) Albizzia (7-8) 9) 9) 9) 9) 9) 9)
Buddleia (7- Buddleia (7- Clematis (6- Lonicera (6- Lonicera (6- Colutea (5-7) Ceanothus (7- Caryopteris
9) 9) 9) 9) 9) Hypericum 9) (9-10)
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Clematis (6- Campsis (7-9) Erica (7-10) Nerium (6- (6-9) Clematis (6- Ceanothus (7-
9) Ceanothus (7- Fuchsia (7-9) 10) Nerium (6- 9) 9)
Clerodendron 9) Hibiscus (7-9) 10) Hebe (7-9) Clematis (6-
(8-9) Clematis (6- Lagerstroemi Potentilla (6- Hibiscus (7-9) 9)
Erica (7-10) 9) a (7-9) 9) Lagerstroemi Hibiscus (7-
Hebe (7-8) Cotinus (6- Lespedeza (9- a (7-9) 9)
Hibiscus (7-9) 10) 10) Passiflora (6-
Hydrangea Erica (7-10) Nerium (6- 9)
(7-8) Hibiscus (7-9) 10) Perovskia (8-
Indigofera (6- Indigofera (6- Tamarix (7-9) 9)
8) 8) Vitex (9 -10)
Jasminum (6- Lagerstroemi
10) a (7-9)
Lagerstroemi Leycesteria
a (7-9) (7-9)
Lonicera (6- Nerium (6-
9) 10)
Nerium (6- Spiraea (6-9)
10) Tamarix (7-9)
Osmanthus
(9-10)
Polygonum
(6-10)
Potentilla (6-
9)
Sorbaria (6-9)
Spiraea (6-9)
Yucca (7-8)
Dates approximatives de floraison sous le climat parisien indiquées par le N° des mois. La période peut indiquer la durée de la
floraison d’un même cultivar ou celle de l’espèce du cultivar du plus précoce au plus tardif ou encore celle possible d’une
espèce compte-tenu des différences climatiques entre les années.
Malgré sa floraison du début de l’été et d’une longue durée Hydrangea macrophylla doit être considéré comme un arbuste de
printemps parce que ses ébauches florales sont formées dès l’automne et qu’il doit être traité comme eux en ce qui concerne la
taille. La couleur bleue des fleurs résulte du pH du sol et n’est pas affaire de variétés.
-Les conifères
Arbustes:
caseille, cassis, framboisier, groseiller à grappes, à maquereaux, mûre, kiwi, vigne de
table
-Les rosiers:
à grandes fleurs, à petites fleurs groupées, sur demi-tige, pleureurs...