Annales Ma2
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2022-2023
1
SOMMAIRE
SEMESTRE 1
SEMESTRE 2
2
UE 1 : AGENTS INFECTIEUX, HYGIÈNE
Sujets BACTERIO
Janvier 2006 – BACTERIO – DR CLAVE
A quelle bactérie faut-il penser, lors dřune méningite néonatale, si le laboratoire vous dit :
Coques Gram + en chaî nes
Bacilles Gram +
Bacilles Gram Ŕ
Questions rédactionnelles
QRC 1 : Quelles mesures dřhygiène sont nécessaires pour éviter la transmission croisée
des bactéries multi-résistantes en cours dřhospitalisation ?
QRC 2 : Pourquoi une sage-femme doit-elle porter un masque chirurgical pendant quřelle
réalise un accouchement ?
3
QCM
QCM 1 : Parmi les micro-organismes suivants, quels sont ceux que lřon peut trouver comme
pathogènes au niveau du vagin ?
A) Lactobacillusspp
B) Neisseriagonorrhoeae
C) Streptococcus B
D) Corynebacterium spp
E) Gardnerellavaginalis
QCM 2 : Parmi les bactéries suivantes, quelle est la plus fréquemment responsable
dřinfection urinaire chez la jeune femme gravide de 25 ans ?
A) Nesseriagonorrhoeae
B) E.coli
C) Staphylococcus aureus
D) Klebsiella pneumoniae
E) Staphylococcussaprophyticus
QCM 3 : Devant une méningite dřun nouveau-né dřun jour, il est réalisé une ponction
lombaire. Le LCR est purulent. Le laboratoire répond : présence de PN et de nombreux
bacilles Gram +.
A) Nesseriagonorrhoeae
B) E.coli
C) Listeria monocytogenes
D) Staphylococcus aureus
E) Streptococcus agalactiae (B)
A) Nesseriagonorrhoeae
B) E.coli
C) Mycoplasma génitalium
D) Chlamydia trachomatis
E) Haeemophilusducreyi
QCM 5 : Dans les recommandations de la HAS, quelle est la bactérie à rechercher dans la
flore vaginale de la femme enceinte entre 34 et 38 SA ?
4
Décembre 2015 – Bactériologie : sujet rendu lors des partiels
A - Lactobacilles
B - P.Aeruginosa
C - Streptocoque B
D - Corynebacterium spp
E - Listeria Monocytogenes
A - Nesseria gonorrhoeae
B - E.Coli
C - Mycoplasma genitalium
D - Chlamydia trachomatis
E - Haemophilus ducreyi
QCM 3 : Devant une méningite dřun nouveau-né dřun jour, il est réalisé une ponction
lombaire. Le LCR est purulent. Le laboratoire répond : présence de PN et de nombreux
bacilles Gram +.
A - Nesseria gonorrhoeae
B - E.Coli
C - S.Aureus
D - Streptocoque B
QCM 4 : Une femme enceinte se présente avec de la fièvre depuis 2 jours, sans aucun autre
signe clinique. Quelle(s) bactérie(s) peut(peuvent) être en cause ?
A - Nesseria gonorrhoeae
B - E.Coli car IU peut donner fièvre comme pyélonéphrite
C - Listeria Monocytogenes
D - S.Aureus
E - Streptocoque B peut être
A - Vaginal
B - Urines
C - Sang
D - Selles
E - Respiratoire
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QCM 6 : Dans les recommandations de la HAS, quelle est la bactérie à rechercher dans la
flore vaginale de la femme enceinte, entre 34 et 38 SA ?
Quelles sont les mesures préventives à mettre en œuvre pour éviter lřinfection par la
principale bactérie responsable de ces infections ?
QRC 2 : Mme Martin se présente en consultation car elle présente des leucorrhées depuis
plusieurs jours. Elle a récemment eu des rapports sexuels non protégés, ce qui vous fait
suspecter une infection sexuellement transmissible.
Citez les bactéries que vous pouvez suspecter. Expliquez les différents prélèvements que
vous pouvez effectuer et quels types de techniques le laboratoire va employer pour effectuer
le diagnostic bactériologique.
QCM
QCM1 : Quels sont les facteurs ayant un rôle reconnu sur lřacquisition et la composition du
microbiote intestinal du nouveau-né ?
A. Mode de délivrance
B. Durée de la grossesse n’impacte pas le microbiote intestinal
C. Phases de la lune
D. Traitementantibiotiquedelamèreet/oudunouveau-né
E. Mode dřalimentation
QCM2 : Quels sont les critères dřinterprétation de lřECBU en faveur dřune infection urinaire
communautaire (prélèvement en milieu de jet) ?
A. E.Coli
B. Yersinia enterocolitica
C. SalmonellaTyphimurium
D. Vibriocholerae
E. Clostridium difficile
6
QCM4 : Quelles sont les propositions exactes concernant la vaginose bactérienne ?
QCM5 : Parmi les bactéries suivantes, quelles sont celles dites « Bactéries MultiRésistantes
» (BMR) ou « Bactéries Hautement Résistantes émergentes » (BHRe) nécessitant des
mesures dřhygiène complémentaires de type contact ?
QRC 2 (14 points) : Mlle B., 30 ans, qui est enceinte de 5 mois et dont la grossesse se
passe sans problème, réalise une bandelette urinaire prescrite par la sage-femme qui la suit.
• 5) Quelles sont les deux principales bactéries pouvant être responsables dřinfections
materno-fœtales acquises par voie basse. Donner leur aspect morphologique à la coloration
de Gram.
• 6) Quelles sont les mesures préventives (non obstétricales) à mettre en œuvre pour
éviter lřinfection par la bactérie la plus fréquente ?
7
Décembre 2019 – Bactériologie
QRC (10 points)
Mlle J. 25 ans, enceinte de 5 mois, se présente aux urgences gynécologiques pour brûlures
à la miction et fièvre à 38,5°C. Suite à la réalisation dřune bandelette urinaire qui sřest
avérée positive, un ECBU lui est prescrit.
QCM 1 :
Notre microbiote digestif en équilibre comprend essentiellement des bactéries dont les
fonctions nous sont bénéfiques en termes de nutrition et de santé. Le microbiote intestinal a
plusieurs fonctions majeures. Parmi ces cinq propositions, la/lesquelle(s) est/sont vraies ?
Le microbiote intestinal :
QCM 2 :
Le résultat de lřexamen direct dřun prélèvement endocervical chez une patiente présentant
des leucorrhées purulentes est le suivant : nombreux polynucléaires, rares coques à Gram
négatif extra et intra cellulaires.
A- Chlamydiatrachomatis
B- Pseudomonasaeruginosa
pas de coloration de gram pour chlamydia et mycoplasme !!!
C- Mycoplasma genitalium
D- Staphylococcus aureus
E- Neisseria gonorrhoeae
8
QCM 3 :
QCM 4 :
QCM 5 :
Devant une méningite dřun nouveau-né de 1 jour, il est réalisé une ponction lombaire. Le
LCR est purulent. Le laboratoire répond présence de polynucléaires et de nombreux bacilles
à Gram positif. A quelle(s) bactérie(s) pensez-vous ?
A- Neisseria gonorrhoeae
B- Escherichia coli
C- Listeria monocytogenes
D- Staphylococcus aureus
E- Streptococcusa galactiae (groupeB)
QCM 6 :
A- Streptococcus pyogenes(groupeA)
B- Escherichia coli
C- Listeria monocytogenes
D- Staphylococcus aureus
E- Streptococcusa galactiae(groupeB)
9
QCM 7 :
QCM 8 :
Parmi les bactéries suivantes, lesquelles sont les deux principales impliquées dans les
infections de la peau et des tissus mous ?
A- Streptococcus agalactiae(groupe B)
B- Staphylococcus Epidermidis
C- Escherichia coli
D- Streptococcus pyogenes (groupe A)
E- Staphylococcus Aureus
QCM 9 :
QCM 10 :
10
Décembre 2020, D. Dubois
Cas clinique - Questions à réponses courtes :
Une femme de 24 ans se présente en consultation pour apparition de leucorhées anormales
depuis une semaine. Ses antécédents personnels et familiaux sont sans particularité. La
patiente ne présente pas de fièvre, pas de troubles mictionnels, pas de problème
respiratoire ou digestif et ne rapporte pas de douleur pelvienne. L'examen gynécologique
révèle une petite inflammation de l'endocol. Elle rapporte avoir eu des rapports sexuels non
protégés 3 semaines auparavant.
Devant ces leucorrhées, quel prélèvement et quel examen bactériologique allez vous
pratiquez pour rechercher quel pathogène ou quelle pathologie ? Préciser les techniques
employées au laboratoire et pourquoi ces techniques sont employées.
6 mois plus tard, cette patiente est enceinte de 2 mois (grossesse désirée) et revue pour sa
première consultation de suivi de grossesse. Elle ne présente aucun symptôme clinique. Les
leucorrhées antérieures avaient rapidement disparu après un traitement adapté est bien
suivi suite au diagnostic réalisé à l'aide des examens bactériologiques.
Quel examen bactériologique standard pour un début de suivi de grossesse allez-vous
effectué ? Pourquoi ?
Préciser la technique employée au laboratoire et pourquoi cette technique et employés.
QCM :
1 Quelle est la bactérie à rechercher systématiquement dans la flore vaginale de la femme
enceinte entre la 37e et 39e semaine d'aménorrhée afin d'éviter une infection néonatale par
voie ascendante ?
1. Streptococcus pyogenes (groupe A)
2. Escherichia coli
3. Listeria monocytogenes
4. Staphylococcus aureus
5. Streptococcus agalactiae (groupe B)
2 madame F, 30 ans, se présente aux urgences pour brûlure à la miction et fièvre à 39
degrés. Un examen cytobactériologique des urines (ECBU) est prescrit. Quelles
recommandations lui donnez-vous pour la réinitialisation de l'examen ?
A. recueil du premier jet d'urine
B. prélèvement d'urine du matin ou après stase de 4h
C. nettoyage et antisepsie des organes génitaux externes
D. lavage des mains
E. miction dans pot stérile.
3 Quels sont les critères d'interprétation de l'examen cytobactériologique des urines (ECBU)
en faveur d'une infection urinaire communautaire ?
A. Leucocyturie supérieur ou égal à 10^4 / ml
B. bactériurie (culture) à 3 bactéries à 10^6/ml
C. bactériurie (culture) avec 10^6/ml de Lactobacillus
D. bactériurie (culture) avec 10^3/ml de Staphylococcus epidermidis
E. bactériurie (culture) avec 10^3/ml de Escherichia coli
4 Madame D, 32 ans, est hospitalisée depuis 3 semaines dans le service de grossesse
pathologique et a bénéficié de deux traitements antibiotiques. Elle présente une diarrhée
depuis 24 heures parmi les bactéries suivantes quelle est la plus probablement responsable
de la diarrhée ?
A. Campylobacter jejuni
B. clostridium perfringens
C. salmonella typhimurium
D. shigella sonnei
E. clostridium difficile
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5 À propos des hémocultures, quelles sont les réponses exactes ?
A. La sensibilité de l'examen dépend du volume de sang prélevé.
B. Toutes les bactéries sont cultivables sur flacon d'hémoculture.
C. Un examen direct par coloration de Gram et réalisé sur les flacons dès leur arrivée
au laboratoire.
D. Au laboratoire, la détection de la croissance bactérienne dans les flacons
d'hémoculture par les incubateurs automatiques peut nécessiter plusieurs jours.
E. Si un seul flacon pousse à Escherichia coli sur 2 paires d'hémoculture prélevées,
cette bactérie est considérée comme une souillure lors du prélèvement.
6 Dans une hémoculture réaliser chez une femme enceinte de 6 mois pour documenter un
syndrome peudo-grippal sans origine évidente, un petit bacille à Gram positif se développe
après 2 jours de culture. Quelles bactéries évoquez-vous ?
A. pseudomonas aeruginosa
B. listeria monocytogenes
C. haemophilus influenzae
D. neisseria meningitidis
E. streptococcus agalactiae
7 Quelles sont les deux principales bactéries impliquées dans les infections de la peau et
des tissus mous ?
A. Streptococcus agalactiae (groupe B)
B. Staphylococcus epidermidis
C. Escherichia coli
D. Streptococcus pyogenes (groupe A)
E. Staphylococcus aureus
8 Quelles sont les propositions exactes parmi les affirmations suivantes ? La coqueluche,
maladie bactérienne toxi-infection des voies aériennes, sans fièvre est strictement humaine.
A. Est peu contagieuse.
B. Est principalement transmise par les adultes et les sujets âgés dans les pays à
vaccination infantile obligatoire comme la France.
C. Et grave et potentiellement l'état chez le nourrisson de moins de 6 mois.
D. Donne des tableaux clinique atypiques et atténuer chez l'adulte.
E. Est évitée chez les adultes vaccinés pendant l'enfance car lřimmunité vaccinale est
définitive.
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Août 2021 Session 2
QCM 2 Le résultat de lřexamen direct dřun prélèvement endocervical chez une patiente
présentant des leucorrhées purulentes est le suivant :
Nombreux polynucléaires, rares coques à Gram négatif extra et intracellulaire
Quelle est ou quelles sont la/les bactérie(s) possiblement responsable(s) ?
A/ Chlamydia trachomatis
B/ Pseudomonas aeruginosa pas de coloration de gram pour chlamydia et mycoplasme
C/ Mycoplasma genitalium
D/ Staphylococcus aureus
E/ Neisseria gonorrhoeae
QCM 5 Quelle est ou quelles sont la/les bactérie(s) à rechercher systématiquement dans la
flore vaginale de la femme enceintenentre 34 et 38 semaines dřaménorrhée afin dřéviter une
infection néonatale par voie ascendante ?
A/ Streptococcus pyogenes (groupe A)
B/ Escherichia coli
C/ Listeria monocytogenes
D/ Staphylococcus aureus
E/ Streptococcus agalactiae (groupe B)
QCM6 Quelle(s) est (sont) la (les) proposition(s) exacte(s) parmi les affirmations suivantes ?
La coqueluche, maladie bactérienne toxi-infectieuse des voies aériennes :
A/ est grave et potentiellement létale chez le nourrisson de <6 mois
B/ est de transmission interhumaine très contagieuse
C/ donne des tableaux cliniques atypiques et atténués chez lřadulte, source principale de
contamination
D/ a un diagnostic bactériologique basé sur la PCR à partir dřun prélèvement naso-pharyngé
E/ est prévenue par une vaccination systématique des enfants en France
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QCM 7 A propos des hémocultures, quelle(s) est (sont) la/les réponse(s) exacte(s) :
A/ La sensibilité de lřexamen dépend du volume de sang prélevé
B/ un examen direct par coloration de Gram est réalisé sur les flacons dès leur arrivée au
laboratoire
C/ Au laboratoire, la détection de la croissance bactérienne dans les flacons dřhémoculture
par les incubateurs automatiques peut nécessiter plusieurs jours
D/ Il est recommandé de prélever au moins 6 paires d'hémocultures par jour
E/ Lřinterprétation de lřhémoculture est le même quelque soit le terme
QCM 8 Parmi les bactéries suivantes, quelle(s) est (sont) celle(s) pouvant être
responsable(s) dřulcérations génitales ?
A/ Neisseria gonorrhoeae
B/ Escherichia coli
C/ Staphylococcus aureus
D/ Treponema pallidum
E/ Pseudomonas aeruginosa
QCM 9 Au cours dřun dépistage systématique de la syphilis chez un patient à risque, les
résultats de la sérologie syphilis sont les suivants :
VDRL (TNT) Positif à 128
ELISA total (TT) Positif
IgM tréponémiques (TT) Positif
(TT = Test Tréponémique (spécifique); TNT = Test Non Tréponémique)
Quelle(s) est (sont) la (ou les) interprétation(s) le(s) plus probable(s) de ce résultat ?
A/ cicatrice sérologique (syphilis traitée et guérie)
B/ infection syphilitique récente
C/ syphilis secondaire
D/ syphilis tertiaire
E/ faux positif
QCM 10 Quels sont les principaux facteurs favorisant une infection nosocomiale ?
A/ pathologies à risque (immunosuppression)
B/ mobilité des patients dřun service à lřautre
C/ élargissement des catégories dřâge des patients hospitalisés
D/ techniques diagnostiques et thérapeutiques complexes et invasives (cathéters, sondes)
E/ augmentation du nombre de personnes sřoccupant dřun même patient
Décembre 2021
Cas clinique - Questions à Réponses Courtes (10 points)
Mlle J, 25 ans, enceinte de 5 mois, se présente aux urgences gynécologiques pour brûlures
mictionnelles avec une fièvre à 35,8°C. Suite à la réalisation dřune bandelette urinaire qui
sřest avérée positive, un ECBU lui est prescrit
1. Quelles sont les conditions à respecter lors de la réalisation de cet examen ? (2
points)
2. Quels sont les critères cytologiques et bactériologiques (données chiffrées)
dřinterprétation de lřECBU ? (5 points)
3. Lors de lřexamen direct (coloration de Gram), le laboratoire met en évidence la
présence de nombreux bacilles à Gram négatif. Quelle est la bactérie la plus probable ? (1
point)
4. La patiente ayant de la fièvre, quel autre examen devez-vous réaliser (1 point)
14
5. La patiente ayant une pyélonéphrite, quel est le suivi bactériologique à réaliser ? (1
point)
6. Hormis les bactéries des infections urinaires, cites les deux autres principales
bactéries responsables dřinfections fœtales acquises par voie hématogène (infection rares
mais toujours sévères) (2 points)
QCM 2 : Le résultat de lřexamen direct dřun prélèvement endocervical chez une patiente
présentant des leucorrhées purulentes est le suivant : nombreux polynucléaires, rares
coques à Gram négatif extra et intra cellulaires. Quelle est ou quelles sont la/les bactérie(s)
possiblement responsable(s) ?
A- Chlamydiatrachomatis
B- Pseudomonasaeruginosa
C- Mycoplasma genitalium
D- Staphylococcus aureus
E- Neisseria gonorrhoeae
QCM 5 : Mme D, 32 ans est hospitalisée depuis 3 semaines dans le service de grossesse
pathologique et bénéficie de traitements antibiotiques. Elle présente une diarrhée depuis
24h. Quelle(s) est (sont) la (les) bactérie(s) responsable(s) selon vous ?
A. Campylobacter jejuni
B. Yersinia enterocolitica
C. Salmonella Typhimurium
D. Shigella sonnei
E. Clostridium difficile
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QCM 6 : Quelle est la bactérie à rechercher systématiquement dans la flore vaginale de la
femme enceinte entre 34 et 38 semaines dřaménorrhée afin dřéviter une infection néonatale
par voie ascendante ?
A- Streptococcus pyogenes(groupeA)
B- Escherichia coli
C- Listeria monocytogenes
D- Staphylococcus aureus
E- Streptococcusa galactiae(groupeB)
QCM 8 : Parmi les bactéries suivantes, lesquelles sont les deux principales impliquées dans
les infections de la peau et des tissus mous ?
A- Streptococcus agalactiae(groupe B)
B- Staphylococcus Epidermidis
C- Escherichia coli
D- Streptococcus pyogenes (groupe A)
E- Staphylococcus Aureus
QCM 9 Quels sont les principaux facteurs favorisant une infection nosocomiale ?
A/ pathologies à risque (immunosuppression)
B/ mobilité des patients dřun service à lřautre
C/ élargissement des catégories dřâge des patients hospitalisés
D/ techniques diagnostiques et thérapeutiques complexes et invasives (cathéters, sondes)
E/ augmentation du nombre de personnes sřoccupant dřun même patient
QCM 10 : Quelle(s) est/sont la/les proposition(s) exacte(s) parmi les affirmations suivantes ?
La coqueluche, maladie bactérienne toxi-infectieuse des voies aériennes, sans fièvre et
strictement humaine :
A- Est peu contagieuse.
B- A sa source principale de contamination dans les pays à vaccination systématique
comme la France chez
les adolescents, les adultes et les sujets âgés.
C- Est grave et potentiellement létale chez le nourrisson de < 6 mois
D- Donne des tableaux cliniques atypiques et atténués chez lřadulte
E- Doit être prévenue chez les nourrissons en revaccinant les adultes en contact avec ces
nourrissons : futurs parents, personnels de crèche, des hôpitaux...
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Sujets VIROLOGIE
Question 2 : Virus transmis lors de lřaccouchement au cours du passage dans les voies
génitales et moyens de prévention de cette transmission.
2. Diagnostic virologique dřune infection HSV (virus de lřherpès simplex) chez la femme
enceinte et prévention de la transmission à lřenfant.
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Décembre 2016 - Virologie - Professeur IZOPET
Question 1: Virus de lřhépatite B: principaux marqueurs et moyens de prévention de la
transmission.
Diagnostic virologique dřune infection à HSV (virus de lřHerpès Simplex) chez la femme
enceinte et prévention de la transmission à lřenfant.
Décembre 2021
1. Quels sont les virus responsables de syndromes malformatifs chez lřembryon ou le fœtus
au 1er trimestre de la grossesse ? Précisez la fréquence de transmission de la mère au
fœtus.
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2. Infection par les virus de lřhépatite B et C. Comment faites-vous le diagnostic chez la
mère pendant la grossesse ? Décrivez les moyens de prévention de la transmission de la
mère à lřenfant.
Sujets PARASITO
Année 2010-2011 – Parasitologie - Dr Roques
1. Interprétations sérologiques toxoplasmose chez la femme enceinte. Donnez une
conclusion pour chaque cas, ainsi que la conduite à tenir immédiate et à long terme. Citez
les grandes lignes.
2. Diagnostic du paludisme
- Mode de contamination
- Citez les quatre agents du paludisme
- Quel type de prélèvement est nécessaire au diagnostic biologique ?
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DÉCEMBRE 2013 – PARASITO – DR ROQUES
Question 1
Question 2 :
Diagnostic du paludisme :
Diagnostic de lřoxyurose :
Donnez une conclusion pour chaque cas, ainsi que la conduite à tenir immédiate et à long
terme. Citez les grandes lignes.
Seuils de positivité : ELISA IgG 10, MEIA IgG 3, MEIA IgM 0,6, ELISA IgM 0,55
20
Question 2 : Paludisme : Agents pathogènes, formes cliniques (titre), méthode de diagnostic
Donnez une conclusion pour chaque cas, ainsi que la conduite à tenir immédiate et à long
terme. Citez les grandes lignes.
Seuils de positivité : ELISA IgG 10, MEIA IgG 3, MEIA IgM 0,6, ELISA IgM 0,55
21
Décembre 2015 – Dr ROQUES MALECAZE C.
1. Interprétations sérologiques de la toxoplasmose chez la femme enceinte
Donnez une conclusion pour chaque cas, ainsi que la conduite à tenir immédiate et à long
terme. Citez les grandes lignes.
Seuils de positivité : ELISA IgG 10, MEIA IgG 3, MEIA IgM 0,6, ELISA IgM 0,55
Donnez une conclusion pour chaque cas, ainsi que la conduite à tenir immédiate et à long
terme. Citez les grandes lignes.
22
Seuils de positivité : ELISA IgG 10, MEIA IgG 3, ELISA IgM 0.55, MEIA IgM 0.6
Seuils de positivité : ELISA IgG 10, MEIA IgG 3, MEIA IgM 0.6, ELISA IgM 0.55
2. Pneumocystose :
- Nom de lřagent pathogène
- Type de patients concernés
- Type dřéchantillon prélevé
- Méthodes de diagnostic
23
Août 2017 – Sujet Parasito – Mme CHAUVIN
Q1 - Interprétations sérologiques Toxoplasmose chez la femme enceinte (15 points)
Donnez une conclusion pour chaque cas, ainsi que la CAT immédiate et à long
terme. Citez les grandes lignes.
Seuils de positivité : ELISA IgG 10, MEIA IgG 3, MEIA IgM 0,6 ; ELISA IgM 0,55
24
Q2 -Trichomonose : Nom de lřagent pathogène et mode(s) de transmission, signes
cliniques, prélèvement(s) et diagnostic biologique
Commentez ces bilans. Décrire le risque de transmission et la gravité. Quelle est votre
attitude thérapeutique ? Quelle est la conduite à tenir pour le suivi de grossesse, pour lřac-
couchement et pour lřenfant à naî tre ?
25
Conclusion du bilan à 18 SA : « En dépit dřune réaction positive en IgM ces résultats sont en
faveur dřune infection de plus de 4 mois à la date du 1er sérum. Le résultat est à interpréter
en fonction de la date du début de grossesse. La prise en charge médicale doit être adaptée
à lřâge gestationnel. »
Commentez ces bilans. Décrire le risque de transmission et la gravité. Quelle est votre
attitude thérapeutique ? Quelle est la conduite à tenir pour le suivi de grossesse, pour lřac-
couchement et pour lřenfant à naî tre ?
Taeniasis (8 points)
Sérologies toxoplasmose de Mme BU, déni de grossesse jusqu’à 20 SA, vient pour sa
première consultation prénatale le 07/03 à 21 SA.
Conclusion du bilan à 25 SA : « en dépit d’une réaction positive en IgM ces résultats sont en
faveur d’une infection de plus de 4 mois à la date du 1er sérum. Le résultat est à interpréter
en fonction de la date du début de grossesse. La prise en charge médicale doit être adaptée
à l’âge gestationnel.
Commenter ces bilans. Quelle est votre attitude thérapeutique? Quelle est la conduite à tenir
pour le suivi de la grossesse, pour lřaccouchement et pour lřenfant à naî tre ?
26
Commenter ces bilans. Décrire le risque de transmission et la gravité. Quelle est votre
attitude ? Quelle est la conduite à tenir pour le suivi de grossesse, pour lřaccouchement et
pour lřenfant à naî tre ?
Commenter ces bilans. Décrire le risque de transmission est la gravité. Quel est votre
attitude thérapeutique ? Quelle est la conduite à tenir pour le suivi de grossesse, pour
l'accouchement et pour l'enfant à naître ?
QRC 2 : Gale
- Citer lřagent pathogène.
- Mode de transmission.
- Signes cliniques de la gale commune de lřadulte.
- Prélèvements diagnostic biologique et principes de traitement.
27
Aout 2021 - 2ème session
Interprétation de sérologie toxoplasmose chez la femme enceinte (12 points)
Sérologies toxoplasmose de Mme CI:
Mme CI 01/08 (13SA) 01/09 (17 SA)
IgG (UI) 50,8 62
Négatif < 1,6 1,6 < Limite < 3 Positif > 3 = titres stables
IgM (Index) 1,1 1,2
Négatif < 0,5 0,5 < Limite < 0,6 Positif > 0,6
Avidité des IgG 0,451 /
Faible < 0,3 Élevée > 0,3
Conclusion du bilan à 13 SA : ŖEn dépit d’une réaction positive en IgM ces résultats sont en
faveur d’une infection de plus de 4 mois à la date du 1er sérum. Le résultat est à interpréter
en fonction de la date du début de grossesse. La prise en charge médicale doit être adaptée
à l’âge gestationnel”
Commenter ces bilans. Décrire le risque de transmission et la gravité.
Quelle est votre attitude thérapeutique ?
Quelle est la conduite à tenir pour le suivi de grossesse, pour lřaccouchement et pour
lřenfant à naître ?
Phtiriase (8 points)
- Citer lřagent pathogène
- Mode de vie et mode de transmission
- Signes cliniques
- Prélèvement(s), diagnostic et principe(s) de traitement
Décembre 2021
Interprétation de sérologie toxoplasmose chez la femme enceinte (12 points)
Suivi sérologique de Mme JI, venant pour sa première consultation prénatale le 08/08 à 7SA
Mme JI 08/08 (7 SA) 06/09 (11 SA)
IgG (UI) 11 25
Négatif < 1,6 1,6 < Limite < 3 Positif > 3
IgM (Index) 1,1 1,6
Négatif < 0,5 0,5 < Limite < 0,6 Positif > 0,6
Avidité des IgG 0,04 /
Faible < 0,3 Élevée > 0,3
28
Conclusion du bilan du 08/08: ce résultat ne permet pas d'exclure une infection
toxoplasmique récente. Il convient de compléter ce bilan. Seule la cinétique des anticorps
permet de dater l'infection sur un deuxième prélèvement réalisé à 3 semaines.
Mme BE, 28 ans, vient pour son suivit de grossesse. Voici ses 3 derniers résultats de
sérologie toxoplasmose. Elle est de grp sanguin 0 avec un rhésus négatif et vous dit avoir
reçu du Rhophylac© mais ne se souvient plus de la date
Mme BE 06/04 (31 SA) 05/05 (35 SA) 02/06 (39 SA)
IgG (UI) 0,01 3,3 1,4
Négatif < 1,6 1,6 < Limite < 3 Positif > 3
IgM (Index) 0,02 0,03 0,01
Négatif < 0,5 0,5 < Limite < 0,6 Positif > 0,6
Commenter ces bilans. Quelles sont les recommandations et prescriptions que vous devez
lui prodiguez pour son suivit de grossesse ? Détailler
29
UE 2 : Tissus sanguins et système immunitaire
Tissus sanguins
Année 2010 – Tissu sanguin – Dr Vergez
Vrai/Faux : 20 points. +1 par réponse juste ; -0,5 par réponse fausse, 0 pour absence de
réponse. Les points négatifs ne sont pas reportés sur les autres exercices.
Cas cliniques : 20 points. Il peut y avoir plusieurs bonnes réponses à chaque question. Tous
les points de la question sont attribués si toutes les bonnes réponses sont cochées. La
moitié des points est attribuée si une bonne réponse est manquante. Aucun point n’est
attribué si deux (ou plus) bonnes réponses sont manquantes ou si une mauvaise réponse
est cochée.
Cas clinique n° 1 :
Cette patiente a une anémie microcytaire importante. Cette patiente a une anémie
macrocytaire importante. Vous désirez le taux de réticulocytes pour vous décider. Vous
demandez le dosage de la ferritine.
Vous demandez le dosage de la vitamine B9.
Trois mois après un traitement adapté, vous la revoyez en consultation. A lřhémogramme
vous retrouvez :
Hémoglobine : 11,3 g/Dl Hématocrite : 34%
Volume Globulaire Moyen : 65 fL GB : 6,9 G/L
TCMH : 26 pg Paquettes : 540 G/L
30
Quels commentaires pouvez-vous faire ?
Est-ce possible ?
● Oui. Hors de la grossesse, une femme est dans un état dřhypercoagulabilité, sa
pathologie peut donc être masquée.
● Oui. Le bilan dřhémostase standard (TP et TCA) ne suffit pas pour dépister les
pathologies de lřhémostase les plus fréquentes.
● Non. Le taux des facteurs de coagulation baisse pendant la grossesse, sa pathologie
aurait dû sřaggraver.
Elle vous montre un de ses bilans antérieurs à sa grossesse : TP = 95% ; TCA = 47 sec
(témoin = 35 sec) ; plaquettes = 245 000 /μ ; temps de saignement > 10 minutes.
Quelles anomalies repérez-vous ? Quřen pensez-vous ?
● Le ratio du TCA est allongé (1,34).
● Cřest une pathologie de la coagulation.
● Le temps de saignement est allongé.
● Cřest une pathologie de lřhémostase primaire.
● Le temps de saignement et le ratio du TCA sont allongés.
● Cřest une pathologie hépatique.
31
Comment confirmer votre hypothèse diagnostique ?
● Je demande un dosage du facteur VII.
● Je demande un dosage du facteur VIII.
● Je demande un dosage du facteur de Willebrand et de son activité.
● Je demande un dosage des paramètres hépatiques.
Quelles peuvent être les conséquences de sa maladie pour son accouchement ?
● Aucune.
● Risque hémorragique avant lřaccouchement.
● Risque hémorragique à lřaccouchement.
● Risque hémorragique après lřaccouchement.
Vous recevez à votre consultation une femme de 24 ans à 21 SA. A lřhémogramme fait dans
un labo de ville, vous retrouvez :
Hémoglobine : 6,7 g/dL VGM : 72 fL
TCMH : 21 pg Hématocrite : 20%
GB : 10,9 G/L Plaquette : 180 G/L
Aucun saignement nřest objectivé. Les résultats complémentaires pour cette patiente sont :
Réticulocytes : 25 000 / μL
Fer sérique : 0,2 mg/L (valeurs usuelles = 0,6-1,9) Vitamines B9 sérique : 11 μg/L (valeurs
usuelles = 5-15) CRP : 4 mg/L (valeurs usuelles = <5)
Une patiente vient vous voir en consultation pour un désir de grossesse, mais elle est
inquiétée par son dernier bilan biologique. Elle vous montre un de ses bilans antérieurs : TP
= 95%, TCA = 47 sec (témoin = 35 sec, ratio = 1,34), plaquettes = 245 000/μL, temps de
saignement > 10 minutes.
Christiane F. 26 ans, primigeste à la 25ème semaine de grossesse, dit avoir été en bonne
santé jusque-là. Lřinterrogatoire ne révèle quřun épisode de fréquents vomissements au
premier trimestre de la grossesse et des douleurs hémorroï daires.
32
Hb : 9.5 g/dl PNE : 1%
Hématies : 3.8 T/L PNB : 0%
Hte : 29.6% Ly : 25%
VGM : 78 fL Mo : 4%
TGMHb : 25 pg Méta : 1%
CGMHb : 32% VS : 24 mm/1h
Pq : 380 G/T Ferritine sérique : 12 μg/L (valeurs
GB : 10.G/L usuelles 15-150μg/L)
PNN : 69%
2/ Quels sont les facteurs qui peuvent expliquer, chez cette patiente, le taux dřhémoglobine.
3/ Quelle attitude pratique doit-on adopter pour cette patiente, compte tenu des données
cliniques et biologiques.
Quřest-ce que le facteur de Willebrand ? Comment est-il synthétisé ? Quels sont ses
fonctions dans lřhémostase ?
Une patiente qui vient dřaccoucher et qui saigne normalement présente le bilan dřhémostase
suivant :
Une patiente devant être opérée pour lithiase vésiculaire en raison dřun ictère par rétention,
présente le bilan dřhémostase suivant :
33
Taux de prothrombine (TP) : 30%
TCA : 47 sec (témoin 32 sec)
Facteur V : 90 % (norme : 60 à 150%) Facteur VII : 25 % (norme : 60 à 150%) Facteur X :
30 % (norme : 60 à 150%) Facteur II : 25 % (norme : 75 à 130%) Fibrinogène : 2.50 g/l
(norme : 1.5 à 3.5g/l) Temps de thrombine : 18 sec (témoin 18 sec)
Vous voyez en consultation une jeune femme de 27 ans qui vous est référée par son
médecin généraliste. Elle est allée le voir pour asthénie profonde après avoir accouché, il y
a 3 mois, de son deuxième enfant. Elle est à nouveau enceinte. Son médecin généraliste lui
a prescrit un bilan biochimique complet (ionogramme, bilan hépatique, bilan rénal, bilan
thyroïdien) qui sřavère être normal, et une numération, quřelle vous montre :
Hématocrite : 29%
Hémoglobine : 8,7 g/dL
Leucocytes : 4,9 G/L
Volume Globulaire Moyen : 117 fL
Plaquettes : 120 G/L
TCMH : 28 pg
Réticulocytes : 60 000/μL
Hématocrite : 31%
Hémoglobine : 9,3 g/dL
Leucocytes : 8,6 G/L Plaquettes : 340 G/L
Volume Globulaire Moyen : 77 fL Réticulocytes : 20 000/μL
TCMH : 22 pg
34
4/ Classez, par ordre de probabilité, les 3 hypothèses diagnostiques pouvant expliquer son
anémie (de la plus probable à la moins probable)
Cas N°2
Une femme enceinte, à 36 SA, se présente aux urgences obstétriques pour douleurs
abdominales et vomissements. Le bilan dřhémostase fait à son entrée montre :
TP : 34%
TCA : 122 s (témoin : 33 secondes, ratio TCA : 3,7) TT : 23 s (témoin 19 secondes, ratio TT :
1,2) Fibrinogène : 0,5 g/L
Facteur II : 25 %
Facteur V : 30 %
Facteur X : 85 %
2. Expliquer les modifications physiologiques portant sur les hématies ayant lieu lors de la
naissance chez le nouveau-né, en particulier celles portant sur le volume globulaire, la
concentration dřhémoglobine et le type de globines constituant lřhémoglobine.
35
Décembre 2017 – Tissus sanguins – Dr VERGEZ
Répondez par un mot ou une phrase à chaque question.
QRC n°1
Vous recevez à votre consultation une femme de 24 ans à 21 SA. A lřhémogramme, fait
dans un laboratoire de ville, vous retrouvez :
Vous pouvez par exemple, identifier son type dřanémie, donner les causes pouvant être
responsables de ce type dřanémie puis évoquer la cause de lřanémie chez cette patiente et
enfin donner la durée minimale du traitement.
QRC n°2
Hémoglobine : 9g/dL
Volume globulaire moyen : 95 fL
GB : 7,4 G/L
Plaquettes : 25 G/L
TP = 35%, TCA = 57s (témoin = 35 s ; ratio = 1,62) Fibrinogène : 1g/L (valeurs usuelles : 2-4
g/L)
LDH : 780 IU/L (valeurs usuelles : 100-400 UI/L)
Vous pourrez, par exemple, décrire les anomalies de lřensemble de son bilan hématologique
(numération et bilan dřhémostase) et citer les voies de la coagulation qui sont perturbées
puis détailler la coagulopathie que vous aurez identifiée (nom, critère dřurgence, signes
associés à rechercher sur le frottis sanguin...)
36
QCM1 : Quel est votre hypothèse diagnostique : femme de 19 ans à 12 SA dont le bilan
montre :
Hémoglobine : 8,4 g/dL ; VGM : 76fL ; Plaquettes :420 G/L ; Leucocytes : 12 G/L ;
Réticulocytes : 25 000/μL ; Ferritinémie : 1992 μg/L (valeurs normales : 30-400 μg/L) ; CRP :
44 mg/L (valeurs normales : <5mg/L) ; LDH : 198 UI/L (valeurs normales : 135-214 UI/L) ;
haptoglobine : 1,8 g/L (valeurs normales : 0,7-2,5 g/L)
A. Hémogramme normal
B. Anémie microcytaire par carence martiale
C. Anémie microcytaire inflammatoire
D. Anémie macrocytaire dřorigine hémolytique
E. Anémie macrocytaire par carence vitaminique (B9/B12)
QCM2 : Quel est votre hypothèse diagnostique : femme de 21 ans à 36 SA dont le bilan
montre :
000/μL ; Ferritinémie : 42 μg/L (valeurs normales : 30-400 μg/L) ; CRP : 2 mg/L (valeurs
normales : <5mg/L) ; LDH : 140 UI/L (valeurs normales : 135-214 UI/L) ; haptoglobine : 1,1
g/L (valeurs normales : 0,7-2,5 g/L)
A. Hémogramme normal
B. Anémie microcytaire par carence martiale
C. Anémie microcytaire inflammatoire
D. Anémie macrocytaire dřorigine hémolytique
E. Anémie macrocytaire par carence vitaminique (B9/B12)
QCM3 : Quel est votre hypothèse diagnostique : femme de 26 ans à 8 SA dont le bilan
montre :
A. Hémogramme normal
B. Anémie microcytaire par carence martiale
C. Anémie microcytaire inflammatoire
D. Anémie macrocytaire dřorigine hémolytique
E. Anémie macrocytaire par carence vitaminique (B9/B12)
QCM4 : Quel est votre hypothèse diagnostique : femme de 32 ans à 6 SA dont le bilan
montre :
A. Hémogramme normal
B. Anémie microcytaire par carence martiale
C. Anémie microcytaire inflammatoire
37
D. Anémie macrocytaire dřorigine hémolytique
E. Anémie macrocytaire par carence vitaminique (B9/B12)
QCM5 : Quel est votre hypothèse diagnostique : femme de 26 ans à 11 SA dont le bilan
montre :
A. Hémogramme normal
B. Anémie microcytaire par carence martiale
C. Anémie microcytaire inflammatoire
D. Anémie macrocytaire dřorigine hémolytique
E. Anémie macrocytaire par carence vitaminique (B9/B12)
QCM 8 : Lors dřune CIVD, il peut être observé sur les bilans biologiques :
QCM 9 : Lřhémophilie :
38
D. Sont dus à un déficit isolé en facteur XII
E. Peuvent être dû à un tube insuffisamment rempli
QCMs : Pour chaque bilan, donnez votre hypothèse diagnostique la plus probable (une
seule réponse)
QCM 1 : Hémoglobine 9.1 g/dL ; volume globulaire moyen 112 fL ; GB 1.9 G/L ; plaquettes
60 G/L ; réticulocytes 15 000 /μL ; fer sérique 1.2 mg/L (valeurs usuelles : 0.6-1.9 mg/L) ;
vitamine B9 sérique 1 μg/L (valeurs usuelles : 5 Ŕ 15 μg/L) ; CRP 4 mg/L (valeurs usuelles <
5 mg/L)
QCM 2 : Hémoglobine 11 g/dL ; volume globulaire moyen 62 fL ; GB 7.9 G/L ; plaquettes 320
G/L ; réticulocytes 75 000 /μL ; fer sérique 0.9 mg/L (valeurs usuelles : 0.6-1.9 mg/L) ;
vitamine B9 sérique 11 μg/L (valeurs usuelles : 5 Ŕ 15 μg/L) ; CRP 4 mg/L (valeurs usuelles
< 5 mg/L)
QCM 3 : Hémoglobine 7.5 g/dL ; volume globulaire moyen 109 fL ; GB 5.9 G/L ; plaquettes
80 G/L ; réticulocytes 325 000 /μL ; fer sérique 1.6 mg/L (valeurs usuelles : 0.6-1.9 mg/L) ;
vitamine B9 sérique 11 μg/L (valeurs usuelles : 5 Ŕ 15 μg/L) ; CRP 4 mg/L (valeurs usuelles
< 5 mg/L)
QCM 4 : Hémoglobine 8.6 g/dL ; volume globulaire moyen 75 fL ; GB 8.6 G/L ; plaquettes
210 G/L ; réticulocytes 35 000 /μL ; fer sérique 0.2 mg/L (valeurs usuelles : 0.6-1.9 mg/L) ;
vitamine B9 sérique 11 μg/L (valeurs usuelles : 5 Ŕ 15 μg/L) ; CRP 4 mg/L (valeurs usuelles
< 5 mg/L)
39
C- Anémie microcytaire liée à une hémoglobinopathie
D- Anémie normo/macrocytaire liée à un syndrome hémolytique
E- Anémie normo/microcytaire liée à une carence en vitamine B9
QCM 5 : Hémoglobine 10.2 g/dL ; volume globulaire moyen 78 fL ; GB 16.4 G/L ; plaquettes
380 G/L ; réticulocytes 25 000 /μL ; fer sérique 0.5 mg/L (valeurs usuelles : 0.6-1.9 mg/L) ;
vitamine B9 sérique 11 μg/L (valeurs usuelles : 5 Ŕ 15 μg/L) ; CRP 134 mg/L (valeurs
usuelles < 5 mg/L)
A- Maladie de Willebrand
B- Pathologie hépatique
C- Carence en vitamine K
D- Coagulation intravasculaire disséminée
E- Hémophilie A
F- Bilan normal
A- Maladie de Willebrand
B- Pathologie hépatique
C- Carence en vitamine K
D- Coagulation intravasculaire disséminée E- HémophilieA
F- Bilan normal
A- Maladie de Willebrand
B- Pathologie hépatique
C- Carence en vitamine K
D- Coagulation intravasculaire disséminée
E- Hémophilie A
F- Bilan normal
A- Maladie de Willebrand
B- Pathologie hépatique
40
C- Carence en vitamine K
D- Coagulation intravasculaire disséminée
E- Hémophilie A
F- Bilan normal
A- Maladie de Willebrand
B- Pathologie hépatique
C- Carence en vitamine K
D- Coagulation intravasculaire disséminée
E- Hémophilie A
F- Bilan normal
QCM : Vous venez de recevoir 10 bilans hématologiques pour les 11 patientes que vous
avez vu en consultation cette semaine mais le laboratoire a tout mélangé. Veuillez attribuer
à chacune de vos patientes le bilan qui lui correspond.
A. Mme A est connue pour une anémie liée à une carence martiale.
B. Mme B est suspecte dřanémie liée à un syndrome inflammatoire.
C. Mme C a une anémie liée à une hémoglobinopathie.
D. Mme D est suivie pour une anémie liée à un syndrome hémolytique.
E. Mme E a une carence en vitamine B9.
F. Mme F a une maladie de Willebrand.
G. Mme G est suivie pour une pathologie hépatique.
H. Mme H a un traitement qui induit une carence en vit K.
I. Mme I a été vue en urgence pour une suspicion de coagulation intravasculaire
disséminée.
J. Le garçon nouveau-né de 4j de Mme J a sa maman conductrice obligatoire dřune
hémophilie A.
K. Mme K est une adolescente venue faire un bilan pour une prescription de pilule
contraceptive.
Bilan n°1 :
Hémoglobine : 16,2 g/dL VGM : 110 fl Réticulocytes : 25 000 / microL
GB : 15 G/L Plaquettes : 200 G/L
Ferritine sérique : 45 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 2 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 83% TCA = 120 s (témoin = 35 secondes ; ration = 3,42)
F II = 80% FV = 100% FX = 80%
Temps de saignement = ( minutes (valeur usuelle < 10 min)
Bilan n°2 :
Hémoglobine : 8,3 g/dL VGM : 117 fL Réticulocytes : 5 000/ microL
GB : 3,5 G/L PQ : 110 G/L
Ferritine sérique : 102 microg/l (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vit B9 sérique : 2 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 2 mg/L (valeurs usuelles < 5 mg/L)
TP = 95 % TCA = 32 s (témoin = 35 secondes, ratio = 0,91)
41
F II = 100 % FV = 98% FX = 99%
temps de saignement = non fait
Bilan n°3 :
Hémoglobine 7,5 g/dLVGM : 72 fL Réticulocytes : 35 000 / microL
GB : 7,5 g / dL PQ : 410 G/L
Ferritine sérique : 5 microg/L (valeurs usuelles 13-150 microg/L)
Vit B9 sérique : 5 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 1 mg/L (valeurs usuelles < 5 mg/L)
TP = 100% TCA = 35 s (témoin = 35 secondes, ration = 1)
F II = 100% F V = 100% F X = 100%
Temps de saignement = 7 min (valeur usuelle < 10 minutes)
Bilan n°4 :
Hémoglobine : 13,6 g/dL VGM : 85 fL Réticulocytes : 75 000 / microL
Ferritine sérique : 117 microg / L (valeurs usuelles 13-150 microg/L)
Vit B9 sérique : 6 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 3 mg / L (valeurs usuelles < 5 mg/L)
TP = 30 % TCA = 72 (témoin = 35 secondes, ration = 2,06)
F II = 27 % F V = 31 % F X = 28 %
Temps de saignement = 6 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan n° 5 :
Hémoglobine : 14,1 g/dL VGM : 85 fL Réticulocytes : 55 000 / microL
GB = 7,1 G/L PQ : 350 G/L
Ferritine sérique : 62 microg / L (valeurs usuelles 13-150 microg/L)
Vit B9 sérique : 10 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 4 mg / L (valeurs usuelles < 5 mg/L)
TP = 97 % TCA = 62 s (témoin = 35 secondes, ratio = 1,77 )
F II = 95 % F V = 100 % F X = 99 %
Temps de saignement = 15 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan n°6 :
Hémoglobine : 9,4 g/dL VGM : 65 fL Réticulocytes : 14 000 / microL
GB = 8,2 G/L PQ : 227 G/L
Ferritine sérique : 85 microg / L (valeurs usuelles 13-150 microg/L)
Vit B9 sérique : 10 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 2 mg / L (valeurs usuelles < 5 mg/L)
TP = 100 % TCA = 39 s (témoin = 35 secondes, ratio = 1,11 )
F II = 100 % F V = 100 % F X = 100 %
Temps de saignement = 7 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan n°7 :
Hémoglobine : 15,2 g/dL VGM : 92 fL Réticulocytes : 75 000 / microL
GB = 5,6 G/L PQ : 352 G/L
Ferritine sérique : 25 microg / L (valeurs usuelles 13-150 microg/L)
Vit B9 sérique : 12 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 1 mg / L (valeurs usuelles < 5 mg/L)
TP = 100 % TCA = 35 s (témoin = 35 secondes, ratio = 1 )
F II = 100 % F V = 100 % F X = 99 %
Temps de saignement = 6 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan n°8 :
Hémoglobine : 12 g/dL VGM : 85 fL Réticulocytes : 75 000 / microL
GB = 10,5 G/L PQ : 35 G/L
42
Ferritine sérique : 85 microg / L (valeurs usuelles 13-150 microg/L)
Vit B9 sérique : 7 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 2 mg / L (valeurs usuelles < 5 mg/L)
TP = 43 % TCA = 87 s (témoin = 35 secondes, ratio = 2,48 )
F II = 38 % F V = 41 % F X = 87 %
Temps de saignement = non réalisé
Bilan n°9 :
Hémoglobine : 9,3 g/dL VGM : 77 fL Réticulocytes : 53 000 / microL
GB = 15,1 G/L PQ : 405 G/L
Ferritine sérique : 175 microg / L (valeurs usuelles 13-150 microg/L)
Vit B9 sérique : 11 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 75 mg / L (valeurs usuelles < 5 mg/L)
TP = 100 % TCA = 36 s (témoin = 35 secondes, ratio = 1,03 )
F II = 100 % F V = 100 % F X = 100 %
Temps de saignement = 8 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan n°10 :
Hémoglobine : 8,7 g/dL VGM : 107 fL Réticulocytes : 255 000 / microL
GB = 4,7 G/L PQ : 295 G/L
Ferritine sérique : 115 microg / L (valeurs usuelles 13-150 microg/L)
Vit B9 sérique : 9 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 2 mg / L (valeurs usuelles < 5 mg/L) TP = 100 % TCA = 35 s (témoin = 35
secondes, ratio = 1 )
F II = 100 % F V = 100 % F X = 100 %
Temps de saignement = 5 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan n°1 :
Hémoglobine : 10,1 g/dL VGM : 75 fl Réticulocytes : 35 000 / microL
GB : 7,5 G/L Plaquettes : 410 G/L
Ferritine sérique : 2 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 11 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 1 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
43
TP = 100%
TCA = 32 s (témoin = 35 secondes)
F II = 100%
FV = 100%
FX = 100%
Temps de saignement = 5 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan 2
Hémoglobine : 10,4 g/dL VGM : 60fl Réticulocytes : 39 000 / microL
GB : 7,1 G/L Plaquettes : 374 G/L
Ferritine sérique : 105 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 14 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 3 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 100%
TCA = 35 s (témoin = 35 secondes)
F II = 100%
FV = 100%
FX = 100%
Temps de saignement = 7 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan 3
Hémoglobine : 19,1 g/dL VGM : 105fl Réticulocytes : 45 000 / microL
GB : 18 G/L Plaquettes : 310 G/L
Ferritine sérique : 25 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 9 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 4 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 75%
TCA = 240 s (témoin = 35 secondes)
F II = 70%
FV = 100%
FX = 70%
Temps de saignement = 5 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan 4
Hémoglobine : 13,1 g/dL VGM : 87fl Réticulocytes : 61 000 / microL
GB : 8,5 G/L Plaquettes : 15 G/L
Ferritine sérique : 123 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 12 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 54 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 23%
TCA = 102 s (témoin = 35 secondes)
F II = 28%
FV = 21%
FX = 95%
Temps de saignement = non réalisé
Bilan 5
Hémoglobine : 8,7 g/dL VGM : 74fl Réticulocytes : 53 000 / microL
GB : 18,3 G/L Plaquettes : 523 G/L
Ferritine sérique : 192 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 12 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 97 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 98%
TCA = 31 s (témoin = 35 secondes)
44
F II = 100%
FV = 98%
FX = 100%
Temps de saignement = 9 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan 6
Hémoglobine : 7,8 g/dL VGM : 112fl Réticulocytes : 12 000 / microL
GB : 4,1 G/L Plaquettes : 108 G/L
Ferritine sérique : 148 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 1 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 2 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 97%
TCA = 35 s (témoin = 35 secondes)
F II = 100%
FV = 98%
FX = 99%
Temps de saignement = non fait
Bilan 7
Hémoglobine : 7,4 g/dL VGM : 105fl Réticulocytes : 312 000 / microL
GB : 5,7 G/L Plaquettes : 421 G/L
Ferritine sérique : 145 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 11 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 1 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 92%
TCA = 35 s (témoin = 35 secondes)
F II = 90%
FV = 90%
FX = 98%
Temps de saignement = 5 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan 8
Hémoglobine : 13,2 g/dL VGM : 88fl Réticulocytes : 56 000 / microL
GB : 6,2 G/L Plaquettes : 295 G/L
Ferritine sérique : 122 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 14 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 1 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 95%
TCA = 58 s (témoin = 35 secondes)
F II = 95%
FV = 99%
FX = 99%
Temps de saignement = 18 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan 9
Hémoglobine : 14,2 g/dL VGM : 82fl Réticulocytes : 75 000 / microL
GB : 8,3 G/L Plaquettes : 194 G/L
Ferritine sérique : 76 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 9 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 2 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 89%
TCA = 40 s (témoin = 35 secondes)
45
F II = 92%
FV = 95%
FX = 89%
Temps de saignement = 6 min (valeur usuelle < 10 min)
Bilan 10
Hémoglobine : 14,1 g/dL VGM : 92fl Réticulocytes : 45 000 / microL
GB : 5,2 G/L Plaquettes : 210 G/L
Ferritine sérique : 67 microg/L (valeurs usuelles : 13-150 microg/L)
Vitamine B9 sérique : 10 microg/L (valeurs usuelles : 5-15 microg/L)
CRP : 3 mg/L (valeurs usuelles : < 5 mg/L)
TP = 29%
TCA = 92 s (témoin = 35 secondes)
F II = 26%
FV = 30%
FX = 27%
Temps de saignement = 6 min (valeur usuelle < 10 min)
Immunologie
A) Desbarrièresphysiquestellesquelapeau
B) Des cellules dont les lymphocytes T cytotoxiques
C) Des cellules dont les cellules NK
D) Des cellules dont les polynucléaires
E) Des films visco-élastiques comme le mucus des sécrétions
Un antigène :
46
B) Est une molécule en général complexe
C) Est habituellement une molécule étrangère à lřorganisme
D) Est le constituant majeur dřun vaccin
E) Peut en théorie induire une tolérance spécifique de lřorganisme
47
E) Responsable dřune anémie néonatale
Les anticorps :
1/ Le système HLA
3/ Les anticorps
48
A. Les déficits immunitaires acquis sont plus fréquents que les déficits primitifs
B. Les déficits en lymphocytes T peuvent entraî ner des infections opportunistes
C. Les déficits immunitaires primitifs sont le plus souvent des maladies du jeune enfant
D. Les déficits des cellules phagocytaires sont peu symptomatiques
E. Les déficits immunitaires acquis peuvent être dřorigine iatrogène
A. Ont une fonction dřélimination des cellules sénescentes et des débris cellulaires
B. Phagocytent les bactéries, virus et champignons
C. Appartiennent à lřimmunité innée
D. Interagissent avec le système immunitaire adaptatif
E. Constituent une première ligne de défense contre les infections
6/ Les lymphocytes T
7/ La mémoire immunitaire
A. Est liée à une absence totale de contact entre le système immunitaire maternel et le
fœtus
B. Dépend de mécanismes régulateurs dřorigine maternelle
C. Un défaut de tolérance peut aboutir à une mort fœtale in utéro
D. Nřest pas un problème puisque le fœtus est génétiquement identique à sa mère
E. Est liée à un état dřimmunodépression sévère chez la femme enceinte
49
Décembre 2015 – Dr TREINER E.
QR : Expliquer le principe de lřallo-immunisation fœto-maternelle. Citer un exemple AUTRE
que celui de lřallo-immunisation anti-rhésus.
1. Les anticorps
4. Les lymphocytes T
5. Inflammation
50
d. Une réponse inflammatoire excessive peut entraî ner le décès
e. Lřinflammation chronique peut entraî ner une augmentation du risque de cancers
9. La tolérance immunitaire
51
QR: Caractéristiques du compartiment humoral (anticorps) du système immunitaire à la
a. Les femmes sont plus atteintes par les maladies auto-immunes que les femmes
b. Les hommes sont plus atteints par les allergies que les femmes
c. Les hormones sexuelles ont une influence sur le système immunitaire
d. Il nřy a pas de gènes impliqués dans lřimmunité sur les chromosomes sexuels
e. Certains déficits immunitaires primitifs nřexistent que chez les garçons
4. Les anticorps
5. Inflammation
a. Lřinflammation est un phénomène physiologique de réponse à une agression tissulaire b.
La réponse inflammatoire inclut une phase vasculaire suivie dřune phase cellulaire
c. Les signes cardinaux de lřinflammation sont : douleur, chaleur, œdème, rougeur
d. Une réponse inflammatoire excessive peut entraî ner le décès
e. Lřinflammation chronique peut entraî ner une augmentation du risque de cancers
52
plasmocytes
d. Détruisent les particules infectieuses phagocytées
e. Sont capables de mémoire immunologique
9. La tolérance immunitaire
53
B - Les plasmocytes produisent des anticorps.
C - Les lymphocytes T produisent des anticorps.
D - Les IgA sont produits en premier dans une réponse immunitaire primaire.
E - Les IgG traversent la barrière placentaire.
A - Les polynucléaires neutrophiles, les macrophages et les cellules dendritiques sont des
phagocytes.
B - Les polynucléaires neutrophiles, les plasmocytes et les macrophages sont des
phagocytes.
C - Les cellules dendritiques ne sont pas des phagocytes.
D - La phagocytose peut faire intervenir des opsonines.
E - Les anticorps sont des opsonines.
QCM 6 : lřactivation des lymphocytes dans les organes lymphoï des secondaires
A - Les hyper-mutations somatiques permettent la maturation dřaffinité du TCR des
lymphocytes T.
B - Les hyper-mutations somatiques permettent la maturation dřaffinité du BCR des
lymphocytes B.
54
C - Les lymphocytes T naï fs sont activés dans les organes lymphoï des secondaires.
D - Les lymphocytes T naï fs peuvent être activés dans les tissus infectés.
E - Les lymphocytes T et B sont activés dans les mêmes compartiments à lřintérieur des
organes lymphoï des secondaires.
A - Les hommes ont une réponse immunitaire plus forte que les femmes.
B - Les femmes ont une réponse immunitaire plus forte que les hommes.
C - Il nřy a pas de différences majeures entre la réponse immunitaire des hommes et des
femmes.
D - Les hormones jouent un rôle important dans les différences hommes/femme de la
réponse immunitaire.
E - Les femmes ont plus dřeffets secondaires à la vaccination que les hommes.
55
QR : Expliquer les circonstances dřapparition dřAC anti-rhésus chez la femme enceinte, les
conséquences et la base de la prévention.
Question 5 : Inflammation
56
A- Lřinflammation est un phénomène physiologique de réponse à une agression tissulaire.
B- La réponse inflammatoire inclut une phase vasculaire suivie d'une phase cellulaire.
C- Les signes cardinaux de lřinflammation sont : douleur, fièvre, gonflement, rougeur.
D- Une réponse inflammatoire excessive peut entraîner le décès.
E- L'inflammation chronique peut entraîner une augmentation du risque de cancer.
A- Appartiennentausystèmeimmunitaireinné
B- Sont exclusivement résidents dans les tissus,on ne les trouve jamais dans le sang.
C- Expriment des récepteurs à lřantigène.
D- Détruisent les particules infectieuses phagocytées
E- Sont capables de mémoire immunologique.
A- Lesréponsesimmunitairesadaptativessontinitiéesdanslethymus.
B- Lřimmunité adaptative constitue la première ligne de défense immédiate de lřorganisme
contre les infections.
C- Les lymphocytes T et B sont activés dans les ganglions et/ou dans la rate.
D- Lřactivation des lymphocytes adaptatifs aboutit à une prolifération et une différenciation.
E- Les lymphocytes naïfs peuvent être activés directement dans les tissus infectés.
57
C. Les molécules HLA assurent la présentation antigénique aux lymphocytes B
D. Les molécules HLA de classe I ne sont exprimées que sur des cellules spécialisées
E. Les molécules HLA de classe II ne sont exprimées que sur des cellules spécialisées
3/ La tolérance materno-fœtale
A. Est liée à une absence totale de contact entre le système immunitaire maternel et le
fœtus Dépend de mécanismes régulateurs dřorigine maternelle
B. Un défaut de tolérance peut aboutir à une mort fœtale in utéro
C. Nřest pas un problème puisque le fœtus est génétiquement identique à sa mère
D. Est liée à un état dřimmunodépression sévère chez la femme enceinte
a. Les femmes sont plus atteintes par les maladies auto-immunes que les femmes
b. Les hommes sont plus atteints par les allergies que les femmes
c. Les hormones sexuelles ont une influence sur le système immunitaire
d. Il nřy a pas de gènes impliqués dans lřimmunité sur les chromosomes sexuels
e. Certains déficits immunitaires primitifs nřexistent que chez les garçons
6/ Les anticorps
58
c. Comprennent les polynucléaires neutrophiles, les monocytes, les macrophages et
les plasmocytes
d. Détruisent les particules infectieuses phagocytées
e. Sont capables de mémoire immunologique
9/ Lřallo-immunisation fœto-maternelle
11/ Lřactivation des lymphocytes dans les organes lymphoï des secondaires
59
e- Les ganglions initient les réponses immunitaires en réponse à des infections
tissulaires.
15/ Lřinflammation
60
Question 3 : Des hommes et des femmes :
A. Les femmes sont plus atteintes par les maladies auto-immunes que les hommes.
B. Les hommes sont plus atteints par les allergies que les femmes.
C. Les hormones sexuelles ont une influence sur le système immunitaire.
D. Il nřy a pas de gènes impliqués dans lřimmunité sur les chromosomes sexuels.
E. Certains déficits immunitaires primitifs nřexistent que chez les garçons.
Question 5 : Lřactivation des lymphocytes dans les organes lymphoï des secondaires :
A. Les déficits immunitaires acquis sont plus fréquents que les déficits primitifs.
B. Les déficits en lymphocytes T peuvent entraî ner des infections opportunistes.
C. Les déficits immunitaires primitifs sont le plus souvent des maladies du jeune enfant.
D. Les déficits des cellules phagocytaires sont peu asymptomatiques.
E. Les déficits immunitaires acquis peuvent être dřorigine iatrogène.
61
C. La grossesse est un déficit immunitaire acquis.
D. Peuvent être la conséquence du traitement des cancers.
E. Peuvent être traités par de Immunoglobulines polyvalentes.
62
B. B. Le polymorphisme du système HLA est impliqué dans la prédisposition génétique
aux maladies
auto-immunes.
C. Les molécules HLA assurent la présentation antigénique aux lymphocytes B.
D. Les molécules HLA de classe I ne sont exprimées que sur des cellules spécialisées.
E. Les molécules HLA de classe II ne sont exprimées que sur des cellules spécialisées.
A. Est liée à une absence totale de contacts entre le système immunitaire maternel et le
fœtus.
B. Dépend de mécanismes régulateurs dřorigine maternelle.
C. Un défaut de tolérance peut aboutir à une mort fœtale in utéro.
D. Nřest pas un problème puisque le fœtus est génétiquement identique à sa mère.
E. Est liée à un état dřimmunodépression sévère chez la femme enceinte
4) Le système HLA :
63
A- Est un système multigénique et polymorphique.
B- Le polymorphisme du système HLA peut expliquer les différences inter-individuelles
dans la résistance aux infections.
C- Le polymorphisme du HLA est souvent impliqué dans les maladies auto-immunes.
D- Les molécules HLA présentent des antigènes natifs aux lymphocytes T.
E- Les molécules HLA de classe I sont exprimées de façon quasi-ubiquitaire, à quelques
exceptions près.
6) La tolérance materno-fœtale :
A- Est liée à une absence totale de contacts entre le système immunitaire maternel et le
fœtus.
B- Dépend de mécanismes régulateurs d'origine maternelle.
C- Un défaut de tolérance peut aboutir à une mort fœtale in utéro.
D- Nřest pas un problème puisque le fœtus est génétiquement identique à sa mère.
E- Est liée à un état d'immunodépression sévère chez la femme enceinte.
A- Les femmes sont plus atteintes par les maladies auto-immunes que les hommes.
B- Les hommes sont plus atteints par les allergies que les femmes.
C- Les hormones sexuelles ont une influence sur le système immunitaire.
D- Il nřy a pas de gènes impliqués dans lřimmunité sur les chromosomes sexuels.
64
A- Les lymphocytes B peuvent présenter les antigènes aux lymphocytes T.
B- Les polynucléaires neutrophiles peuvent présenter les antigènes aux lymphocytes T.
C- Les macrophages expriment les molécules du CMH de classe II.
D- Les lymphocytes TCD8+ reconnaissent des antigènes présentés en association avec
les antigènes HLA de classe II.
E- Les lymphocytes TCD4+ reconnaissent des antigènes capturés par phagocytose dans
les cellules présentatrices dřantigène.
65
C. La MHNN peut entraîner des dommages cérébraux irréversibles.
D. La MHNN se déclenche généralement à la naissance.
E. Il existe un traitement prophylactique de lřallo immunisation rhésus.
66
B. La moelle osseuse est indispensable au développement des lymphocytes T.
C. Le thymus et la moelle osseuse involuent à partir de la puberté.
D. Le thymus permet la mise en place de la tolérance centrale des lymphocytes T.
E. Le développement des lymphocytes B et indépendant du thymus.
67
E. Les lymphocytes T et B sont activées dans des compartiments distincts à l'intérieur
des organes lymphoïdes secondaires.
QCM 15 : Lřinflammation :
A. L'inflammation est un phénomène physiologique de réponse à une agression
tissulaire.
B. La réponse inflammatoire inclut une phase vasculaire suivie dřune phase cellulaire.
C. Les signes cardinaux de l'inflammation sont : Douleur, fièvre, gonflement, rougeur.
D. Une réponse inflammatoire excessive peut entraîner le décès.
E. L'inflammation chronique peut entraîner une augmentation risque de cancer
Décembre 2021
QCM1 : Les déficits immunitaires (DI):
A. Les DI primitifs et secondaires ont une prévalence similaire
B. Les déficits immunitaires primitifs sont toujours diagnostiqués chez lřenfant
C. Les DI humoraux peuvent être traités par substitution avec des Ig polyvalentes
D. Les déficits immunitaires centrés sur les LT prédisposent aux infections virales
E. La vaccination est contre indiquée chez les patients atteintes de DI
68
D. Les adjuvants ont en généralement pour but de stimuler la réponse immunitaire innée
inflammatoire
E. Les lymphocytes T sont la cible principale de la vaccination
69
C. Les macrophages expriment les molécules du CMH de classe II
D. Les lymphocytes T CD8+ reconnaissent des antigènes présentés en association avec les
antigènes HLA de classe II
E. Les lymphocytes T CD4+ reconnaissent des antigènes capturés par phagocytose par les
cellules présentatrices d'antigène
QCM 15 : Lřinflammation :
A. L'inflammation est un phénomène physiologique de réponse à une agression tissulaire.
B. La réponse inflammatoire inclut une phase vasculaire suivie dřune phase cellulaire.
C. Les signes cardinaux de l'inflammation sont : Douleur, chaleur, gonflement, rougeur.
D. Une réponse inflammatoire excessive peut entraîner le décès.
E. L'inflammation chronique peut entraîner une augmentation risque de cancer
70
UE3 : APPAREIL CARDIO-RESPIRATOIRE
Cardiologie
Quel est le nom de sa structure assurant lřinnervation intrinsèque du cœur ? Quelle en est la
structure commande ? Comment est assurée lřinnervation extrinsèque du cœur ?
CAS CLINIQUE
Cette patiente de 29 ans, chez qui vous avez confirmé une HTA « blouse blanche » est
arrivée au terme de sa grossesse. Elle a donné il y a trois jours, naissance à un petit Henri
qui se porte bien. Ce matin elle dit être essoufflée et avoir eu mal au mollet droit toute la
nuit. Elle nřa aucun antécédent particulier mais elle vous dit que sa mère a présenté
plusieurs phlébites. Les constantes dont : 38°, TA 15/8, et FC 100.
Votre examen est normal en dehors du fait que le mollet droit paraî t plus gros et plus chaud
que le mollet gauche. La biologie de routine est normale.
71
Quels sont dans ce cas les arguments pour une thrombose veineuse profonde (phlébite) du
MID ? Que recherchez-vous également à lřexamen clinique ?
Vous confirmez votre diagnostic par la réalisation dřune échographie-doppler veineuse des
membres inférieurs.
Donnez les grandes lignes du traitement sachant que Mme S., malgré vos
recommandations, ne souhaite pas allaiter.
Il est 20h00 et vous voyez en hospitalisation une femme âgée de 28 ans enceinte de 26 SA.
Elle vous est transférée du service des urgences pour un bilan étiologique dřune douleur
thoracique. Celle-ci est apparue dans lřaprès-midi alors que la patiente était allongée dans le
canapé devant la télé. Elle est en arrêt de travail depuis 5 jours pour une grippe et avoue
rester quasiment toute la journée sur le canapé sans faire trop dřactivité. La douleur est
basithoracique gauche, sans irradiation. Elle se plaint également de moins bien respirer
depuis.
Votre examen retrouve une PA à 126/69 mmHg, une FC à 112/min, une saturation à 92%
sous 1L/min dřoxygène. La douleur nřest pas reproduite à la palpation thoracique. Il nřy a
pas de souffle cardiaque. Lřauscultation pulmonaire est normale.
Quels sont les arguments en faveur de ce diagnostic dans cette observation ? Quel élément
important nřa pas été recherché à lřexamen clinique ?
Question 2 :
72
Quelles sont les 2 phases principales du cycle cardiaque et dans quelle position sont situées
les valves cardiaques au cours de ces deux phases ?
Question 2 Mme X 32 ans, patiente sans antécédent en dehors dřun surpoids et dřun
tabagisme actif, se présente à 28 SA dřune grossesse non suivie. Lřexamen clinique met en
évidence des chiffres tensionnels à 170/95 mmHg.
a/ Quel est le premier examen que vous réalisez afin de mieux définir le diagnostic ?
La patiente revient à 34 SA sous traitement adapté, elle présente des céphalées. La tension
artérielle est à 220/110 mmHg. Vous hospitalisez la patiente et celle-ci présente dans les
heures suivantes une perte de connaissance et des convulsions géné ralisées.
c/ Quel est votre diagnostic et quels sont les principaux axes thérapeutiques ?
73
2/ Maladie thrombo-embolique veineuse (/7,5)
QRC 2
Mme P 28 ans à 78 heures post-partum, vous appelle car elle ressent une vive douleur au
niveau du mollet droit. Localement le mollet est rouge est œdématié.
74
Mai 2018
1) Facteur de risque cardio-vasculaire et grossesse :
Quelles sont les différences entre l'HTA chronique chez la femme enceinte et l'HTA
gravidique ?
Question 2 (7 points)
MAI 2020 -
75
Question 1/ Anatomie cardiaque :
Nommer et donner la position anatomique des cavités cardiaques, des valves cardiaques,
du système nerveux intracardiaque.
Citer les cinq principaux diagnostics dřorigine cardiaque à évoquer devant une douleur
thoracique
PNEUMOLOGIE
Quelle est la physiopathologie de lřasthme ? Une patiente asthmatique doit-elle modifier son
traitement de fond lors dřune grossesse ?
Cas clinique : Lors du travail, une patiente présente une chute de tension brutale avec des
douleurs digestives.
Quels éléments cliniques devez-vous rechercher pour confronter votre diagnostic ? Quelles
sont les principales causes dřallergie dans cette situation ?
76
DÉCEMBRE 2013 – Pneumo – Dr MURRIS
Cas clinique :
Mr F, 35 ans, gros fumeur, consulte son médecin traitant pour douleur thoracique brutale et
fièvre à 40° C.
1/ Le diagnostic est posé de pneumonie franche lombaire aigue. Quels éléments cliniques
(interrogatoire et examen clinique) ont été trouvés par le médecin pour poser ce diagnostic ?
4/ Quel est le germe le plus fréquemment responsable de ce tableau clinique et quel est le
traitement antibiotique de première intention ?
5/ Le patient a-t-il dans ses antécédents un facteur de gravité de pneumonie ? Si oui lequel
? Que faut-il lui proposer à ce sujet ?
Vous voyez en consultation une jeune femme de 25 ans au 4ème mois de sa seconde
grossesse. Elle se plaint dřun essoufflement survenant depuis 10 jours à la montée de 2
étages mais aussi parfois la nuit avec une respiration sifflante, et dřavoir le nez bouché.
Lřinterrogatoire vous apprend quřelle a toujours fumé 10 cigarettes par jour depuis lřâge de
20 ans, quřhélas elle fume toujours 5 cigarettes par jour et quřelle aurait eu de lřasthme dans
lřenfance.
Elle a pris 4 kg depuis le début de la grossesse, sa PA est à 11/7, lřauscultation retrouve des
râles sibilants.
Quel diagnostic vous paraî t le plus probable chez cette patiente ? (argumentez) Quelles
autres causes peut-on discuter ?
77
Quel traitement peut-on lui proposer ?
Mme R., 35 ans, enceinte de 30 SA, G2P1, vient vous voir début octobre dans le cadre du
suivi programmé de sa grossesse.
Elle présente depuis la veille une dyspnée importante accompagnée dřune fièvre à 39,5, des
douleurs thoraciques et des frissons. Lřauscultation retrouve des crépitants en apical
gauche.
Sa RT retrouve :
5. Quelle recommandation prophylactique primaire faut-il lui proposer dans les prochaines
semaines ? Quels sont ses bénéfices ?
QRC : Quelles sont les complications respiratoires chez lřenfant, dřune exposition in utéro au
tabac ?
Cas clinique
78
vous apprend quřelle a toujours fumé 10 cigarettes par jour depuis lřâge de 20 ans, quřelle
fume toujours 2 à 5 cigarettes par jour et quřelle a eu de lřasthme dans lřenfance .
Elle a pris 5 kilos depuis le début de la grossesse, sa PA est à 110/70, lřauscultation est
normale.
Quelles sont les causes de dyspnée à évoquer chez une femme enceinte ?
Vous recevez une jeune femme de 24 ans suivie pour un asthme allergique depuis
l'enfance. Elle est à 10 SA. Son traitement habituel est Sérétide 500 (corticoïdes inhalés et
β2-mimétiques de longue durée d'action) et Ventoline à la demande (β2-mimétiques de
courte durée d'action)
A. Les corticoï des quřils soient inhalés ou per os sont contre indiqués pendant la
grossesse. B. Son enfant présente un risque de 25 % de développer un asthme
E. Une hospitalisation sera toujours nécessaire en cas de crise d'asthme chez une
femme enceinte.
Vous conseillez à la patiente de consulter son pneumologue notamment pour équilibrer son
traitement et faire une nouvelle épreuve fonctionnelle respiratoire pour voir la sévérité de
son asthme.
79
4) Quel type d'insuffisance ventilatoire va-t-on retrouver sur la spirométrie que la patiente
réalisera alors ?
Vous êtes sage-femme de garde et recevez cette patiente. Elle est à 38 SA et présente des
contractions. La poche des eaux n'est pas encore rompue.Néanmoins vous la trouvez
instable sur le plan respiratoire, elle présente des signes de détresse respiratoire.
Le médecin confirme que la patiente est en détresse respiratoire sur une crise d'asthme.
Elle vous indique quřelle présente depuis quelques semaines des épisodes de sifflements
intra- thoraciques. Effectivement, petite, elle avait de lřasthme.
80
B- Quel Examen Permet De Faire Le Diagnostic De L'asthme?
C- Inquiète, elle vous pose des questions sur lřasthme pendant la grossesse. Quelles sont
les réponses vraies ?
Lřétudiante sage-femme qui vous accompagne vous pose alors des questions sur les signes
de sévérité devant une crise dřasthme.
D- Citez-en 3.
Votre patiente revient à 8 mois de grossesse en détresse respiratoire aiguë aux urgences.
81
UE 4 SÉMIOLOGIE GÉNÉRALE
Devant une patiente en état de choc, le fait quřelle soit en sueur peut vous orienter vers :
A- Une hypoxie
B- Uneorigineanaphylactiqueàunchoc C- Une vasoconstriction périphérique
D- Un choc hémorragique
E- Une hypercapnie
Vous recevez une femme, jeune, pour une asthénie qui vous amène lřhémogramme suivant
: Hémoglobine : 8.5g/dl ; VGM 703 leucocytes et numération plaquettaire normal.
A- Des transaminases
B- Une ferritinémie
C- Une kaliémie
D- Un bilan dřhémostase
E- Des réticulocytes
Concernant cette femme de la question précédente, quelle est votre hypothèse diagnostic ?
82
E- Anémie normocytaire
Vous recevez une patiente en urgence qui vous suit du regard quand vous rentrez dans la
chambre, qui répond spontanément quand vous lui demandez son nom et qui vous serre la
main lorsque vous êtes à son niveau. Son score de Glasgow est à :
A- 7
B- 1
C- 13
D- 3
E- 15
Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée avec une fréquence
respiratoire à 30/min, superficielle, une coloration bleutée des doigts et des lèvres. Sa
fréquence cardiaque est à 70/min avec une tension artérielle à 130/80. Quelles sont les
propositions justes ?
Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée avec une fréquence
respiratoire à 35/min, superficielle, en sueurs. Sa fréquence cardiaque est à 130/min avec
une tension artérielle 90/60. Quelles sont les propositions justes ?
Vous êtes amené à prendre en charge une patiente porteuse dřun syndrome inflammatoire
biologique. Quels sont les paramètres biologiques que vous pourriez retrouver sur sa prise
de sang ?
A- Une thrombopénie
B- Une anémie
C- Une augmentation de la protéine C réactive
D- Une augmentation de la vitesse de sédimentation
E- Une diminution du fibrinogène sanguin
83
Une de vos patientes présente sur une prise de sang, de manière isolée, une augmentation
des TGO et des TGP. Cette patiente présente :
La sémiologie est :
A- Lřétude de la médecine
B- Lřétude de la pathologie
C- Lřétude des signes
D- Lřétude des fonctions vitales
E- Lřétude des symptômes
Un signe fonctionnel :
A- Est subjectif
B- Correspond à une plainte
C- Porte un nom qui commence souvent par le préfixe « dys- »
D- Peut-être pathogonomique
E- Est recueilli par l'examen physique
Lřanamnèse :
Le motif de consultation :
Le diagnostic :
84
Lřinspection du visage permet parfois de suspecter :
A- Une anxiété
B- Un diagnostic précis
C- Un conflit psychologique
D- Une dyspnée
E- Une leucocytose
A- Le prurit
B- Lřapraxie
C- Les sueurs
D- La fièvre
E- Lřamaigrissement
A- Sa cause
B- L'origine Culturelle Du Patient
C- La psychologie du patient
D- La qualité de la relation médecin-malade
E- La présence ou lřabsence de douleur au moment où on lřinterroge
A- Pâleur
B- Ischémie
C- Douleur
D- Tuméfaction
E- Augmentation De La Chaleur Locale
Lřinterrogatoire :
La fièvre :
85
B- S'accompagne De Frissons Lorsqu'elle Diminue
C- Est le plus souvent en rapport avec une maladie infectieuse
D- Est un signe de gravité
E- Est de type récurrente en cas de grippe
Concernant un état fébrile, quels signes indiquent une particulière gravité (risque vital à
brève échéance) ?
Parmi les signes cliniques suivants, lesquels sont des signes objectifs ?
A- La maigreur
B- La fatigue
C- Une rougeur
D- Des râles bronchiques
E- Une douleur angineuse
A- Une infection
B- Une dépression
C- Un état dřanxiété
D- Un mauvais sommeil
E- Une prise médicamenteuse
A- Splénique
B- De la queue du pancréas
C- Gastrique
D- De lřangle colique gauche
E- Caecale
A- Une défense est une contraction volontaire de la paroi abdominale pouvant être
secondaire à une inflammation péritonéale.
B- Une contracture abdominale est une contraction invincible et involontaire de la paroi
abdominale
C- Un signe de Blumberg est une exacerbation de la douleur à la dépression soudaine
appliquée à la FID
D- Une appendicite sans péritonite donne une défense en fosse iliaque droite
E- Le point de Mac Burney en FID permet de rechercher une défense
86
B- Les niveaux hydroaériques sur lřASP sont périphériques et plus larges que hauts lorsque
lřocclusion siège sur lřiléon
C- Le croissant gazeux sous-diaphragmatique est un signe dřocclusion
D- Les niveaux hydroaériques associent une hyperclarté et une opacité séparées par une
ligne horizontale
E- Les vomissements sont tardifs lorsquřelle est colique
2/ Question rédactionnelle
Décrivez votre interrogatoire dřune femme enceinte de 6 mois qui se plaint de douleurs
abdominales.
87
5/ Cliniquement un syndrome anémique se caractérise par :
6/ Vous recevez une femme, jeune, pour une asthénie qui vous amène lřhémogramme
suivant : Hémoglobine : 8,5 g/dL ; VGM : 703 μg ; leucocytes et numération plaquettaire
normaux.
A- Des Transaminases
B- Une ferritinémie
C- La VS
D- Un bilan dřhémostase
E- Des réticulocytes
8/ Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée, avec une fréquence
respiratoire à 30/min, superficielle, une coloration bleutée des doigts et des lèvres. Sa
fréquence cardiaque est à 70/min avec une tension artérielle à 130/80. Quelles sont les
propositions justes ?
10/ Vous êtes amené à prendre en charge une patiente porteuse dřun syndrome
inflammatoire biologique. Quelles sont les anomalies biologiques que vous pourriez
retrouver sur sa prise de sang ?
A- Une Thrombocytose
B- Une anémie
C- Une augmentation de la protéine C réactive
88
D- Une augmentation de la vitesse de sédimentation
E- Une augmentation du fibrinogène sanguin
A- Lřétude de la médecine
B- Lřétude de la pathologie
C- Lřétude des signes
D- Lřétude des fonctions vitales
E- Lřétude du diagnostic
A- Est objectif
B- Correspond à une plainte
C- Porte un nom qui commence par le préfixe « dys »
D- Peut-être pathognomonique
E- Est Recueilli Par L'inspection
14/ Lřanamnèse :
16/ Le diagnostic :
89
B- Une hémiplégie
C- Une angine
D- Une hystérie
E- Une tumeur parotidienne
A- Une anxiété
B- Un diagnostic précis
C- Un conflit psychologique
D- Une dyspnée
E- Une hypercalcémie
22/ Lřinterrogatoire :
A- Est le temps le plus important de lřexamen médical
B- Permet de préciser des signes physiques
C- Doit évaluer le contexte personnel avant de détailler lřhistoire de la maladie
D- Est plus difficile que lřexamen physique
E- Doit étudier les antécédents pathologiques après lřhistoire de la maladie
23/ La fièvre :
A- Sřaccompagne habituellement de tachycardie
B- Sřaccompagne de frissons lorsquřelle sřinstalle
C- Doit être traitée
D- Est un signe de gravité
E- Est de type récurrente en cas de grippe
90
24/ Concernant un état fébrile, quels signes cliniques indiquent une particulière gravité
(risque vital à brève échéance) ?
25/ Parmi les signes cliniques suivants, lesquels sont des signes objectifs :
A- La maigreur
B- Une toux grasse
C- Une rougeur
D- Des râles bronchiques
E- Une douleur angineuse
27/ Une douleur de lřhypochondre gauche est en général révélatrice dřune pathologie :
A- Du foie
B- De la queue du pancréas
C- Gastrique
D- De lřangle colique gauche
E- De la trompe droite
A- Une défense est une contraction involontaire de la paroi abdominale pouvant être
secondaire à une inflammation péritonéale
B- Une contracture abdominale est une contraction involontaire mais réductible de la paroi
abdominale
C- Le signe de Blumberg est une exacerbation de la douleur à la dépression soudaine
appliquée à la FID
D- Une appendicite sans péritoine donne une défense en FID
E- Le point de Mac Burney est une douleur à la pression du flanc droit
91
730/ Dans un syndrome péritonéal :
a. Une défense est une contraction involontaire de la paroi abdominale pouvant être
secondaire à une inflammation péritonéale
b. Une contracture abdominale est une contraction involontaire mais réductible de la paroi
abdominale
c. Le signe de Blumberg est une exacerbation de la douleur à la dépression soudaine
appliquée à la FID
d. Une appendicite sans péritonite donne une défense en fosse iliaque droite
e. Le point de Mac Burney est une douleur à la pression du flanc droit
a. Du foie
b. De la queue du pancréas
c. Gastrique
d. De lřangle colique gauche
e. De thrombose hémorroï daire
a. Une infection
b. Une dépression nerveuse
c. Une hyperthyroï die
d. Un mauvais sommeil
92
e. Une prise dřanti-inflammatoires
6. Parmi les signes cliniques suivants, lesquels sont des signes objectifs ?
a. La maigreur
b. Une toux grasse
c. Une dyspareunie
d. Des râles bronchiques
e. Une douleur angineuse
7. Concernant un état fébrile, quels signes cliniques indiquent une particulière gravité (risque
vital à brève échéance) ?
8. La fièvre
a. Sřaccompagne habituellement de tachycardie
b. Sřaccompagne de frissons lorsquřelle redescend
c. Doit être traitée
d. Est un signe de gravité
e. Est de type récurrente en cas de grippe
9. Lřinterrogatoire
a. Rougeur
b. Ischémie
c. Douleur
d. Sueurs
e. Augmentation de la chaleur locale
a. Son intensité
b. Lřorigine culturelle de la patiente
c. La psychologie de la patiente
d. La qualité de la relation médecin-malade
e. La présence ou lřabsence de la douleur au moment où on lřinterroge
a. La dyspnée
b. Lřapraxie
c. La tachycardie
93
d. La fièvre
e. Lřamaigrissement
a. Une anxiété
b. Une douleur
c. Un conflit psychologique
d. Une dyspnée
e. Une hypercalcémie
a. Est subjectif
b. Correspond à une plainte
c. Porte un nom qui commence souvent par le préfixe « dys- »
d. Peut-être pathognomonique
e. Est recueilli par lřinspection
a. Lřétude de la médecine
b. Lřétude de la pathologie
c. Lřétude des signes
94
d. Lřétude des fonctions vitales
e. Lřétude des symptômes
20. Une de vos patientes présente sur une prise de sang, de manière isolée, une
augmentation des TGO et des TGP. Cette patiente présente :
a. Une cholestase
b. Une augmentation des transaminases
c. Une cytolyse hépatique
d. Une hépatite cytolytique
e. Une diminution des ASAT et ALAT
21. Vous êtes amené à prendre en charge une patiente porteuse dřun syndrome
inflammatoire biologique. Quelles sont les anomalies biologiques que vous pourriez
retrouver sur sa prise de sang ?
a. Une thrombocytose
b. Une anémie
c. Une augmentation de la protéine C réactive
d. Une augmentation de la vitesse de sédimentation
e. Une diminution du fibrinogène sanguin
23. Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée, avec une fréquence
respiratoire à 30/mn, superficielle, une coloration bleutée des doigts et des lèvres. Sa
fréquence cardiaque est à 70/mn avec une tension artérielle à 130/80. Quelles sont les
propositions justes ?
24. Vous recevez une femme, jeune, pour une asthénie qui vous amène lřhémogramme
suivant : hémoglobine = 10 g/dL ; VGM = 703 μg ; leucocytes et numération plaquettaire
normaux.
a. Des transaminases
b. Une ferritinémie
c. La VS
d. Un bilan dřhémostase
e. Des réticulocytes
95
25. Concernant cette femme de la question précédente, quelle est votre hypothèse
diagnostique ?
a. Douleur abdominale
b. Cyanose
c. Essoufflement
d. Toux
e. Dyspnée
Question rédactionnelle : Décrivez lřinterrogatoire que vous faites chez une femme de 40
ans qui se plaint dřune douleur de la fosse iliaque droite.
96
Décembre 2016 - Sémiologie - Professeur SAILLER
1/ Chaque QCM peut avoir une ou plusieurs réponses exactes 1) Quřest-ce quřun signe
pathognomonique ?
3) Devant une fièvre à 40° dřinstallation rapide avec des frissons intenses, « à claquer des
dents », vous évoquez prioritairement (plusieurs réponses possibles) :
4) Vous recevez une femme, jeune, pour une asthénie qui vous amène lřhémogramme
suivant : Hémoglobine 8,5g/dl ; VGM 70μ3 ; leucocytes et numération plaquettaire normaux.
a) des transaminases
b) une ferritinémie
c) une kaliémie
d) un bilan dřhémostase
e) des réticulocytes
5) Parmi les diagnostics suivants, quels sont ceux qui peuvent expliquer un amaigrissement
à appétit conservé ?
6) Vous recevez une patiente en urgence qui vous suit du regard quand vous rentrez dans la
chambre, qui répond spontanément quand vous lui demandez son nom et qui vous serre la
main lorsque vous êtes à son niveau. Son score de Glasgow est :
a) 7
b) 1
97
c) 13
d) 3
e) 15
7) Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée, avec une fréquence
respiratoire à 30/min, superficielle, une coloration bleutée des doigts et des lèvres. Sa
fréquence cardiaque est à 70/min avec une tension artérielle à 130/80. Quelles sont les
propositions justes ?
8) Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée, avec une fréquence
respiratoire à 35/min, superficielle, en sueurs. Sa fréquence cardiaque est à 130/min, avec
une tension artérielle à 90/60. Quelles sont les propositions justes ?
9) Concernant la dyspnée :
10) Vous êtes amené à prendre en charge une patiente porteuse dřun syndrome
inflammatoire biologique. Quels sont les paramètres biologiques que vous pourriez retrouver
sur sa prise de sang ?
a) une thrombopénie
b) une anémie
c) une augmentation de la protéine C réactive
d) une augmentation de la vitesse de sédimentation e) une diminution du fibrinogène
sanguin
11) Une de vos patientes présente sur une prise de sang, de manière isolée, une
augmentation des TGO et des TGP. Cette patiente présente :
98
a) lřétude de la médecine
b) lřétude de la pathologie
c) lřétude des signes
d) lřétude des fonctions vitales
e) lřétude des symptômes
a) est subjectif
b) correspond à une plainte
c) porte un nom qui commence souvent par le préfixe « dys » d) peut être pathognomonique
d) est recueilli par lřexamen physique
14) Vous recevez une patiente âgée de 30 ans, fébrile à 38,2° et qui a perdu 5 kg sur le
mois dernier. Vous découvrez son bilan biologique qui retrouve :
- CRP à 70 mg/l
a) la fièvre est définie par une température corporelle centrale >37.8°C le matin
b) la fièvre est définie par une température corporelle centrale >37.8°C le soir
c) la température se mesure au lever ou après 30 minutes de repos, à distance des repas
d) on parle de fébricule en cas de température anormalement élevée mais ≤ 38.2°C
e) la leishmaniose est une cause de fièvre ondulante
99
a) permet de diviser la cavité abdominale en 4 régions
b) débute par lřauscultation abdominale
c) une pathologie de lřhypochondre gauche peut donner une douleur projetée dans lřépaule
d) une douleur épigastrique est souvent dřorigine splénique
e) le foie est physiologiquement perceptible à lřinspiration profonde
a) une anxiété
b) un diagnostic précis
c) un conflit psychologique
d) une dyspnée
e) une leucocytose
a) le prurit
b) lřapraxie
c) les sueurs
d) la fièvre
e) lřamaigrissement
a) sa cause
b) lřorigine culturelle du patient
c) la psychologie du patient
d) la qualité relationnelle médecin-malade
e) la présence ou lřabsence de la douleur au moment où on lřinterroge
a) pâleur
b) cyanose
c) douleur
d) tuméfaction
e) augmentation de la chaleur locale
22) Lřinterrogatoire :
23) La fièvre :
100
24) Concernant un état fébrile chez une patiente de 40 ans, quels signes cliniques indiquent
une particulière gravité (risque vital à brève échéance) ?
25) Parmi les signes cliniques suivants, lesquels sont des signes objectifs ?
a) la maigreur
b) la fatigue
c) une rougeur
d) des râles bronchiques
e) une douleur angineuse
a) une infection
b) une dépression
c) un état dřanxiété
d) un mauvais sommeil
e) une prise médicamenteuse
27) Une douleur de lřhypochondre gauche est en général révélatrice dřune pathologie :
a) splénique
b) de la tête du pancréas
c) gastrique
d) de lřangle colique gauche
e) caecale
a) une défense est une contraction volontaire de la paroi abdominale pouvant être
secondaire à une inflammation péritonéale
b) une contracture abdominale est une contraction invincible et involontaire de la paroi
abdominale
c) la douleur à la décompression à distance est un signe dřinflammation péritonéale
d) une appendicite sans péritonite donne une défense en fosse iliaque droite
e) le point de Mc Burney permet de rechercher une défense en fosse iliaque droite
101
30) Dans un syndrome péritonéal :
2/ Expliquez comment vous interrogez et examinez une patiente enceinte de 6 semaines qui
vient consulter en raison de douleurs abdominales avec fièvre.
A- Une fièvre de 40° est en faveur dřune infection bactérienne plutôt que virale
B- Une fièvre avec frissons est fortement évocatrice de bactériémie
C- Une fièvre prolongée de plus de 3 semaines peut révéler une affection cancéreuse
D- Une fièvre peut être provoquée par des médicaments
E- Les anti-inflammatoires peuvent faire chuter la fièvre
102
5/ Une douleur ressentie à lřépaule gauche peut correspondre à :
103
11/ Une douleur abdominale augmentée par lřalimentation vous évoque :
A- Un ulcère gastro-duodénal
B- Une ischémie mésentérique
C- Une pancréatite
D- Une lithiase urinaire
E- Une lithiase de la voie biliaire principale
12/ Une douleur du creux épigastrique calmée par lřalimentation vous évoque :
A- Un reflux gastro-œsophagien
B- Unepéricardite
C- Une dissection aortique
D- Un ulcère gastroduodénal
E- Un cancer colique
13/ Une douleur de la fosse iliaque droite chez une femme peut correspondre à :
A- Appendicite
B- Diverticulite
C- Sigmoïdite
D- Torsion dřannexe
E- Salpingite
14/ Une claudication intermittente des membres inférieurs peut être dřorigine :
A- Radiculaire
B- Médullaire
C- Myopathique
D- Vasculaire
E- Toxique
15/ Une douleur à type de spasme et de torsion localisée au flanc droit vous évoque :
A- Colique néphrétique
B- Colopathie fonctionnelle
C- Lithiase de la voie biliaire principale
D- Pancréatite aigue
E- Zona intercostal
16/ Une douleur à type de spasme et de torsion à lřhypocondre droit vous évoque :
A- Colique néphrétique
B- Colopathie fonctionnelle
C- Lithiase cholédocienne
D- Pancréatite aigue
E- Zona intercostal
17/ Une douleur du flanc gauche avec hématurie irradiant vers les organes génitaux vous
évoque :
A- Colique néphrétique
B- Colopathie Fonctionnelle
C- Lithiase cholédocienne
D- Pancréatite aigue
E- Zona intercostal
104
B- Sciatique
C- Pleurésie
D- Péricardite
E- Fracture de côte
A- 100mL
B- 250mL
C- 500 mL
D- 1000 mL
E- 1500mL
21/ Menstruations :
105
23/ Examen sénologique :
24/ Hématurie :
A- Une hématurie correspond systématiquement à des urines rouges
B- Une hématurie peut être responsable dřune rétention aigue dřurines
C- La bandelette urinaire peut permettre de poser le diagnostic
D- Une hématurie terminale est plutôt dřorigine vésicale
E- Une hématurie totale est plutôt dřorigine sous-vésicale (urétrale ou prostatique)
28/ Endométriose :
A- La douleur est le plus souvent relativement décrite comme permanente
B- Une dyspareunie dřintromission est un signe caractéristique en faveur de cette pathologie
C- Des troubles fonctionnels digestifs doit faire rechercher en priorité un autre diagnostic
D- Cette maladie peut être responsable dřune infertilité
E- Il sřagit dřune pathologie rare(<5% de la population féminine en âge de procréer)
106
A- La localisation la plus fréquente dřune GEU est lřovaire
B- La GEU est en général responsable de métrorragies abondantes
C- Une douleur pelvienne aigue associée à HCG positifs fait poser le diagnostic de GEU D-
Une GEU peut être responsable dřun hémopéritoine
E- Une GEU peut être initialement asymptomatique
F- Une torsion dřannexe est une urgence chirurgicale
Questions rédactionnelles
Expliquez comment vous interrogez une patiente enceinte de 2 mois qui vient consulter pour
des douleurs abdominales.
3. Devant une fièvre dřinstallation brutale avec frissons à claquer des dents vous
envisagez :
a. Une grippe
b. Une crise de paludisme
c. Une bactériémie
d. La possibilité dřévolution vers un choc septique
e. La nécessité dřune antibiothérapie urgente
107
e. En raison dřune dépression
6. La fatigue
9. Un œdème isolé du membre inférieur droit sřétendant du pied à la racine de la cuisse peut
être dû à:
108
11. Quels sont les éléments justes à propos de la définition de la température corporelle ?
a. Est objectif
b. Correspond à une plainte
c. Fait lřobjet dřune interprétation par le clinicien en vue du diagnostic
d. Reproductible par lřinterrogatoire
e. Recueilli par lřexamen physique
a. Le prurit
b. Lřapraxie
c. Les sueurs
d. La fièvre
e. Lřamaigrissement
a. Sa cause
b. Lřorigine culturelle du patient
c. La psychologie du patient
d. La qualité de la relation médecin-malade
e. La présence ou lřabsence de la douleur au moment où on lřinterroge
109
17. Lřinterrogatoire
18. La fièvre
19. Concernant un état fébrile chez une patiente de 40 ans, quels signes cliniques indiquent
une particulière gravité (risque vital à brève échéance) ?
Question rédactionnelle :
Indiquez comment vous interrogez et examiner une femme qui se plaint de vomissements 7
jours après son accouchement.
Une femme enceinte de 7 mois vous fait part de lřexistence dřune douleur rapidement
aggravative « dans la jambe gauche ». Expliquez comment vous interrogez la patiente pour
orienter le diagnostic de cette douleur. Vous émettez 3 hypothèses diagnostiques, en
précisant pour chacune les arguments pour et les arguments contre.
QCMs
110
QCM 1 : parmi les types de courbe thermique suivants, lesquels sont évocateurs de
bactériémie ?
A- Fièvre ondulante
B- Fièvre en plateau
C- Fièvre intermittente
D- Fièvre rémittente
E- Fébricule en plateau
A- Cyanose
B- Hypertension artérielle
C- Sueurs
D- Erythrose faciale
E- Temps de recoloration cutané augmenté
A- Inflammation
B- Insuffisancerénalechronique
C- Carence martiale
D- Anémie hémolytique auto-immune
E- Thalassémie
QCM 5 : une patiente présente le bilan hépatique suivant : GGT 124 UI/L (N<60),
phosphatases alcalines 350 UI/L (N<180), TGO 45 UI/L (N<32), TGP 98 (N<30), bilirubine
totale 8 μmol/L (N<12). Quelles sont les propositions justes ?
111
B- En cas dřocclusion dřorigine colique, les vomissements peuvent être tardifs
C- En cas dřocclusion dřorigine grêlique, les niveaux sont plus hauts que larges
D- Il existe deux mécanismes dřocclusion : par strangulation et par obstruction
E- A lřASP, le grêle est reconnaissable par ces haustrations typiques
A- Pour rechercher un syndrome péritonéal, la palpation abdominale doit être réalisée sur
un patient en décubitus dorsal jambes tendues
B- La défense est une douleur provoquée par la palpation abdominale et entraî nant une
contraction réflexe de la paroi
C- Une contraction permanente et invincible de la paroi évoque une péritonite généralisée
D- La défense nřa pas de valeur localisatrice
E- La défense et la contracture sont des signes de gravite qui doivent faire discuter une
indication chirurgicale en urgence
QCM 9 : quels sont les signes cliniques que vous vous attendez à retrouver chez une
patiente présentant une bactériémie à point de départ urinaire ?
A- Frissons
B- Fièvre au-delà de 38°3
C- Polyurie
D- Douleurs épigastriques
E- Marbrures cutanées en cas dřinfection grave
QCM 11 : concernant les signes généraux, quelles sont les affirmations exactes ?
A- Une fatigue présente dès le matin est caractéristique dřune cause organique
B- Une fatigue peut sřobserver au cours de toutes les défaillances dřorgane
C- Un amaigrissement de moins de 10% du poids du corps ne nécessite pas dřexplorations
paracliniques
D- Une anorexie sans perte de poids doit faire rechercher la présence dřoedèmes
E- Une perte de poids de plus de 10% du corps peut être dřorigine psychique
112
D- Une toxicité médicamenteuse
E- Une Lithiase Biliaire
QCM 14 : quelles sont les bonnes pratiques afin de limiter lřiatrogénie non médicamenteuse
en milieu hospitalier ?
A- Garder les patients le plus possible allongés afin de limiter le risque de chute
B- Garder en place une voie veineuse systématiquement jusquřà la sortie du patient pour
intervenir précocement en cas de décompensation aigue
C- Chez une patiente qui ne peut pas boire, assurer une ration dřenviron 1.5L par jour de
sérum glucosé
D- Prendre systématiquement la tension artérielle debout après un premier lever
E- Garder une sonde urinaire au minimum 7 jours après uneintervention sur le petit bassin
A- Un ulcère digestif
B- Une souffrance pancréatique
C- Une ischémie digestive
D- Une obstruction de la voie biliaire principale
E- Une douleur splénique
113
D- Une toux sèche avec douleur latéro-thoracique chez une femme qui vient dřaccoucher
doit faire envisager le diagnostic dřembolie pulmonaire
E- Une toux suivie de crachats de sang sřappelle une hématémèse
QCM 20 : concernant les signes vitaux, quelles sont les affirmations exactes ?
QCM
3 : Devant une fièvre à 40 degrés d'installation rapide avec des frissons intenses, Ŗà claquer
des dentsŗ, vous évoquez prioritairement (plusieurs réponses possibles) :
A. Une septicémie.
B. Une pneumonie bactérienne.
C. Une pyélonéphrite en présence de signe urinaire.
D. Une infection bactérienne des voies biliaires en présence de douleur du flanc droit.
E. Un infarctus myocardique.
4 : parmi les diagnostics suivants, quels sont ceux qui peuvent expliquer une perte de poids
à appétit conservé :
A. Une hyperthyroïdie.
B. Un diabète.
C. Une maladie musculaire.
D. Une infection cardiaque.
E. Une téniase (ver solitaire).
114
A. Le score total va de 0 (coma aréactif) à 4 (conscience normale).
B. Il permet d'orienter le diagnostic vers la cause du coma.
C. Son utilisation est réservée aux spécialistes de neurologie.
D. Il permet d'évaluer l'état de conscience.
E. Établir le score est rapide.
6 : Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée, avec une fréquence
respiratoire à 40 / minute, superficielle, une coloration bleutée des doigts et des lèvres. Sa
fréquence cardiaque est à 120 par minute avec une tension artérielle à 90/60 quelles sont
les propositions justes ?
A. Cette patiente présente des signes d'hypercapnie.
B. Cette patiente est cyanosée.
C. Cette patiente présente une détresse respiratoire.
D. Cette patiente est polypnéique.
E. Il faut suspecter une embolie pulmonaire.
7 : Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée, avec une fréquence
respiratoire à 80/minutes, en sueur. Elle fait un bruit de sifflement lors de l'expiration. Sa
fréquence cardiaque est à 120 par minute avec une tension artérielle à 110/60. Quelles sont
les propositions justes ?
A. Cette patiente présente des signes de choc.
B. Cette patiente est bradypnéique.
C. Cette patiente est tachycarde.
D. Il faut évoquer une crise d'asthme sévère.
E. Cette patiente a une tension artérielle normale.
8 : Concernant la dyspnée :
A. Elle est expiratoire au cours de la crise d'asthme.
B. Elle est inspiratoire en cas d'oedème laryngé
C. Une insuffisance cardiaque peut provoquer une orthopnée.
D. Elle s'exprime toujours par une maladie du cœur ou des poumons.
E. Au-delà d'une fréquence de 30 / minute, il s'agit d'un critère de gravité d'une
infection.
9 : La sémiologie est :
A. Lřétude de la médecine.
B. L'étude de la pathologie.
C. L'étude des symptômes et des signes.
D. L'étude des fonctions vitales.
E. L'étude des comportements.
10 : Un signe fonctionnel :
A. Est objectif.
B. Correspond à une patiente.
C. Fait l'objet d'une interprétation par le clinicien en vue du diagnostic.
D. Reproductible par un interrogatoire.
E. Recueilli par l'examen physique.
115
12 : À propos de la fatigue et de l'asthénie :
A. La fatigue est toujours pathologique.
B. La fatigabilité est toujours pathologique.
C. L'asthénie peut révéler toute atteinte d'organes sévères.
D. Une asthénie présente de façon importante des le réveil est très évocatrice d'une
cause organique.
E. Des réveils nocturnes spontanés et des difficultés d'endormissement sont très
évocateurs d'asthénie psychogène.
13 : Lřexamen abdominal :
A. Permet de diffuser la cavité abdominale en quatre régions.
B. Débute par l'auscultation abdominale.
C. Une pathologie de l'hypochondre gauche peut donner une douleur projetée dans
l'école.
D. Une douleur épigastrique est souvent d'origine splénique.
E. Le foie est physiologiquement perceptible à l'inspiration profonde.
116
E. Le point de McBurney permet de rechercher une défense en fosse iliaque droite.
Décembre 2021
Question rédactionnelle :
Une femme enceinte se présente avec des douleurs abdominales dřapparition récente
Expliquez comment vous interrogez la patiente pour orienter le diagnostic de cette douleur
et la prise en charge
2: Devant un malaise avec pâleur et hypotension, sans fièvre, vous évoquez (2 réponses) :
A. Une détresse respiratoire.
B. Un malaise vagal si le patient est bradycarde.
C. Un choc hémorragique si le patient est tachycarde.
D. Une attaque de panique.
E. Une bactériémie.
3 : Devant une fièvre à 40° dřinstallation rapide avec des frissons intenses, « à claquer des
dents », vous évoquez prioritairement (plusieurs réponses possibles) :
A. Une septicémie
B. Une pneumonie bactérienne
C. Une infection bactérienne à point de départ voies urinaires en présence de brûlures
mictionnelles
D. Une infection bactérienne à point de départ des voies biliaires en présence de douleurs
du flanc droit
E. Un infarctus myocardique
4 : Quelles anomalies biologique vous attendez vous à retrouver chez une patiente
117
présentant une infection bactérienne aiguë fébrile ?
A. Une augmentation des transaminases
B. Une augmentation des lymphocytes
C. Une augmentation des leucocytes
D. Une augmentation des polynucléaires neutrophiles
E. Une augmentation forte de la protéine C-réactive
5 : Parmi les diagnostics suivants, quels sont ceux qui peuvent expliquer une perte de poids
à appétit conservé :
A. Une hyperthyroïdie.
B. Un diabète.
C. Une maladie musculaire.
D. Une insuffisance cardiaque avec œdème généralisé
E. Une anorexie mentale
7 : Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée, avec une fréquence
respiratoire à 40 / minute, superficielle, une coloration bleutée des doigts et des lèvres. Sa
fréquence cardiaque est à 120 par minute avec une tension artérielle à 90/60 quelles sont
les propositions justes ?
A. Cette patiente présente des signes d'hypercapnie.
B. Cette patiente est cyanosée.
C. Cette patiente présente une détresse respiratoire.
D. Cette patiente est polypnéique.
E. Il faut suspecter une embolie pulmonaire.
8 : Vous recevez une patiente amenée par le SAMU qui est orientée, avec une fréquence
respiratoire à 6/minutes, en sueur. Elle fait un bruit de sifflement lors de l'expiration. Sa
fréquence cardiaque est à 110 par minute avec une tension artérielle à 160/100. Quelles
sont les propositions justes ?
A. Cette patiente présente des signes de choc.
B. Cette patiente est bradypnéique.
C. Cette patiente est tachycarde.
D. Cette patient présente des signes dřhypercapnie
E. Cette patiente a une tension artérielle normale.
9 : Parmi les signes cliniques suivants, lesquels sont des signes objectifs :
A- La maigreur
B- Une fatigue
C- Une rougeur
D- Des râles bronchiques
E- Une douleur angineuse
10 :Vous êtes amené à prendre en charge une patiente porteuse dřun syndrome
inflammatoire biologique. Quels sont les paramètres biologiques que vous pourriez retrouver
sur sa prise de sang ? A- Une thrombopénie
B- Une polyglobulie
C- Une diminution de la protéine C réactive
D- Une augmentation de la vitesse de sédimentation
118
E- Une augmentation du fibrinogène sanguin
11 : Une de vos patientes présente sur une prise de sang, de manière isolée, une
augmentation des TGO et des TGP. Les gamma GT et la bilirubine ont des valeurs
normales. Cela peut sřexpliquer par :
A. Un obstacle sur les voies biliaires
B. Une infection virale
C. Une cytolyse hépatique
D. Une prise de médicaments
E. Une carence en fer
12 : La sémiologie est :
A. Lřétude de la médecine.
B. L'étude de la pathologie.
C. L'étude des symptômes et des signes.
D. L'étude des fonctions vitales.
E. L'étude des comportements.
13 : Un signe fonctionnel :
A. Est objectif.
B. Correspond à une patiente.
C. Fait l'objet d'une interprétation par le clinicien en vue du diagnostic.
D. Reproductible par un interrogatoire.
E. Recueilli par l'examen physique
16 : Lřinterrogatoire
A. Est le temps le plus important de lřexamen médical
B. Permet de préciser des signes fonctionnels
C. Doit évaluer le contexte personnel avant de détailler lřhistoire de la maladie
D. Est plus rapide que lřexamen physique
E. Nécessite de lřempathie
119
18 : Une douleur neuropathique :
A. Est volontiers à type de brûlures
B. Nřa jamais une cause infectieuse
C. Peut sřaccompagner de sensation de fourmillement
D. Est bien soulagée par le paracétamol
E. Peut être déclenchée par certaines positions
UE 5 : PÉDIATRIE - PUÉRICULTURE
Allaitement et alimentation
- Quelles sont les trois choses dont la promotion est proscrite par le Code ? Que
penser du terme « lait maternisé » ?
- Dans le cadre des recommandations de lřANAES ou HAS :
- Expliquez la notion de bénéfice « dose dépendant » de lřallaitement maternel, pour la
santé ?
- A quoi est associée lřintroduction de compléments (laits artificiels ou solides) entre 4
et 6 mois de vie chez lřenfant jusque-là exclusivement allaité ?
- Quel est le traitement le plus approprié dřun engorgement ?
- Que risque une mère souffrant dřune mastite si elle suspend ou cesse son
allaitement ?
Contraception :
Anatomie :
120
- Quelles sont les caractéristiques de la sécrétion des tubercules de Montgomery ?
Quelles recommandations, découlant de cette connaissance, faire aux mères ?
- Où sont les cellules myoépithéliales ? A quelle hormone répondent-elles ? Quel est
̂
leur role dans la lactation ?
- Quelle conséquence ont les différences de capacité de stockage entre les mères sur
la façon dont se déroule leur allaitement ?
Physiologie :
- Quels phénomènes sont liés à lřouverture des jonctions entre les cellules sécrétrices
?
- Décrivez le contrôle neuro endocrinien de la lactation.
- Quand il faut faire un soin douloureux à lřenfant, pour quelles raisons est-il
préférable, pour lui, de le faire dans la dernière partie dřune tétée efficace au sein ou juste
après la fin de celle-ci ?
- Quelles sont les 3 principales choses dont la promotion est proscrite par le code ?
Que dit le code international au sujet des emballages ou étiquettes du lait industriel ?
Contraception :
Anatomie :
121
- Quelles sont les caractéristiques de la sécrétion des tubercules de Montgomery ?
- Quelles recommandations, découlant de cette connaissance, faire aux mères ?
- Quřest ce qui détermine les différences de capacité de stockage entre les mères
allaitantes et quelle est la conséquence sur la façon dont se déroule leur allaitement ?
- Que peut faire une femme enceinte pour vérifier que ses mamelons ne sont pas «
ombiliqués » ?
Physiologie :
- A quels moments les jonctions entre les cellules sécrétrices sont-elles ouvertes et
quels phénomènes sont associés à cette ouverture, pour la mère et pour lřenfant ?
- Détaillez le contrôle neuro endocrinien de lŘaxe hypothalamo-hypophysaire.
- Détaillez le contrôle autocrine.
- Quand faut-il faire un soin douloureux à lřenfant, pour quelles raisons est-il
préférable, pour lui, de la faire dans la dernière partie dřune tétée efficace au sein ou juste
après la fin de celle-ci ?
- Quřest ce qui donnera à une future mère de jumeaux les chances optimales pour
pouvoir allaiter exclusivement ses deux enfants ?
- Dans le cadre du document de lřUNICEF, de lřinitiative amis des bébé et de la
Fundation for the Study of Infant Death intitulé « partager un lit avec votre bébé » : Quels
sont les critères qui contre- indiquent de dormir avec le bébé ?
Que sont les tubercules de Montgomery, quelles sont les caractéristiques et lřintérêt de leur
sécrétion? Quelles recommandations, découlant de cette connaissance, faire aux femmes
enceintes et aux mères ?
Quřest ce qui détermine les différences de capacité de stockage entre les mères allaitantes
? Quelles sont les conséquences de ces différences sur la façon dont se déroule
lřallaitement ? Quelle est la technique la plus judicieuse, pour une femme enceinte, de
vérifier que ses mamelons ne sont pas « ombiliqués » ?
Physiologie :
Quřest ce qui donnera à une mère de jumeaux, le maximum de chances pour démarrer son
allaitement de façon optimale ?
Une femme enceinte vous demande quelle quantité dřeau elle devra boire si elle allaite.
Quelle est la meilleure information à lui donner ?
122
Dans le cadre du document de lřUNICEF, de lřinitiative amis des bébés et de la Fundation
for the Study of Infant Death intitulé « partager un lit avec votre bébé » : Quels sont les
critères qui contre indiquent de dormir avec le bébé ?
Dans le cadre de lřinitiative Hôpital Ami des Bébés (OMS), quelle est la condition qui
sřapplique à lřaccueil du nouveau-né à terme et en bonne santé, à sa naissance ? Quels en
sont les avantages pour la mère et lřenfant ?
Jonctions entre les cellules des alvéoles sécrétoires. Quand sont-elles ouvertes ou fermées
? Quels sont les phénomènes associés à lřouverture des jonctions et quřest ce qui peut en
découler pour lřenfant allaité ?
Sujet 2 :
Préparation pour nourrisson (PPN) : définition, principaux type de PPN et leurs indications
Quřest-ce qui vous permet de déterminer quřune mère est en « montée de lait »
physiologique, ou bien en engorgement, ou bien a une mastite ?
QRC N°2 : Quels sont les avantages dont bénéficie le bébé installé en peau à peau sur sa
mère, à la naissance, avant les soins de routine ?
QRC N°2 : Quels sont les avantages dont bénéficie le bébé installé en peau à peau sur sa
mère, à la naissance, avant les soins de routine ?
123
QRC 1 : Décrivez le schéma du déroulement dřune tétée efficace et complète à partir de la
montée de lait
QRC 2 : Jonctions entre les cellules des alvéoles sécrétoires. Quand sont-elles ouvertes ou
fermées ? Quels sont les phénomènes et le type de lactation associés à lřouverture ou à la
fermeture de ces jonctions et quřest-ce qui peut en découler pour lřenfant allaité ?
Ceci inclut pour le nourrisson : schéma dřéveil/sommeil sur le nycthémère, volumes ingérés,
fréquence et organisation des tétées, surveillance des urines et selles, évolution du poids,
points de vigilance, etc
Ceci inclut pour la mère : schéma dřéveil/sommeil sur le nycthémère, états émotionnels,
évolution de la production lactée, sensations physiques, points de vigilance, etc
Vous pouvez présenter ces repères sous forme rédigée ou sous forme de tableau.
QRC n°2 : Quels sont les éléments qui vous permettent de déterminer quřune mère est en «
montée de lait » physiologique, ou bien en engorgement ?
2/ A quel moment pensez-vous quřil est nécessaire de proposer des aliments solides au
bébé, pour quelles raisons ?
124
Août 2016 – Session 2 – Alimentation – Dr MONTJAUX
1/ Programme IHAB : citez les objectifs de ce programme et 2 des 12 recommandations.
Expliquez-les succinctement.
QRC 2 : Citez les bénéfices de lřallaitement maternel pour la santé de lřenfant et de la mère.
QRC 2 : Si cette mère trouve la tétée inconfortable, quřallez-vous lui conseiller de faire pour
améliorer la situation ? Ne vous contentez pas de lister vos conseils mais expliquez en
quelques mots lřintérêt de chaque suggestion que vous faites.
125
(Inutile de parler de l’installation de la mère pour la tétée ni de la position du bébé au sein.
Partez du moment où le bébé a pris le sein en bouche et où il commence les mouvements
de succion)
Décrivez :
(Inutile d’inclure les 2 premières heures en salle de naissance. Vous pouvez rédiger ou
présenter un tableau récapitulatif comme celui de la fiche distribuée en cours)
Durant l'épreuve de 30 minutes il fallait traiter ces 3 sujets sur un « carnet » à remplir
directement.
Puériculture
Année 2011-2012 – Puériculture - Dr Lopez
Cas clinique :
Vous êtes sage-femme en une maternité. On vous demande de vous occuper dřun nouveau-
né. Il est né à 14h02. La sage-femme qui vous le remet à 14h03 vous dit : accouchement
126
par voie basse normal, après une grossesse à priori normale, pas de facteurs de risque
infectieux. La mère désire allaiter.
A 1h de vie, lřétudiant sage-femme que vous encadrez vient vous voir : après la première
mise au sein, Nathan présent un score de Silverman à 6.
Nathan peut-il dans ces conditions rester auprès de sa mère ? Appelez-vous un pédiatre ?
127
Son bébé sřest bien adapté . Il pèse 3,500 kg ; il mesure 50 cm ; et son périmètre crânien est
de 35 cm. Elle désire allaiter.
A J1, la maman sřinquiète de la perte de poids de son enfant (-50g). De plus, il a beaucoup
de selles noires et pleure beaucoup.
3) A quoi sert-il ?
2/ Quand on suspecte un retard de développement chez lřenfant, quels sont les signes
dřalarme à ne pas rater (âges limites dřacquisition) ?
De 0 à 9 mois, comment évoluent le tonus des membres et le tonus axial dřun nourrisson ?
Décrivez brièvement les acquisitions psychomotrices dřun nourrisson de 9 mois.
Devant un retard de langage isolé chez un enfant de 2 ans, que devez-vous vérifier en
première intention ?
Cette vaccination assure-t-elle une protection complète de 100% des sujets vaccinés ?
Sinon, quels sont les intérêts de cette vaccination chez un nourrisson ?
Vous prévenez les parents dřun effet secondaire classique du BCG : lequel ?
Cette maman doit se rendre en Afrique du Nord pour plusieurs mois avec son bébé, que lui
conseillez-vous vis-à-vis de la Tuberculose ?
2/ Vous êtes sage-femme libérale et vous rendez visite à une jeune maman, elle vous
amène dans la chambre du bébé qui dort, sur le ventre, couvert avec un drap.
128
Quel est le risque majeur de ce type de couchage pour le nouveau-né ?
QRC 2 : Vous voyez un couple qui a le projet dřavoir un enfant. Ils vous demandent quels
sont les vaccins quřils doivent avoir fait lřun et lřautre en prévision dřune grossesse. Que leur
répondez- vous ?
QRC 2 : Un bébé est somnolent et réclame peu. Vous encouragez la mère à lui proposer le
sein « aux signes dřéveil » : comment lui décrivez-vous ces « signes dřéveil » et les
avantages des tétées aux signes dřéveil ?
129
Nous sommes en hiver, ils vous amènent leurs carnets de vaccinations et vous demandent
sřils doivent réaliser certains vaccins pendant ou juste après la naissance du bébé afin de le
protéger :
3) Quels sont les deux scores (sans les détailler) qui peuvent vous aider à confirmer la
maturité de cet enfant cřest-à-dire son âge gestationnel ?
5) Que suspectez-vous ?
6) Quelles sont les 2 raisons principales pour lesquelles vous devez rapidement bilanter et
prendre en charge cet enfant ?
7) Décrivez les grands items de lřexamen neurologique sans détailler chaque test.
3) Vous examinez un nouveau-né et ne palpez pas de gonades alors que lřenfant était « an-
noncé » garçon. Que suspectez-vous ? Quels sont les 2 problèmes à ne pas négliger ?
Dans quel délai maximal le nouveau-né doit émettre son méconium ? A quoi correspondent
les selles de transitions ? Quelle couleur des selles doit vous alerter et faire consulter un
nouveau-né en urgence ?
130
Quelles sont les mesures à reporter sur une courbe de croissance pour évaluer la bonne
croissance de lřenfant ? Comment vérifier que lřenfant est dans la norme par rapport au
reste de la population de son âge et que sa vitesse de croissance est normale ?
Quels sont les signes dřalarme à repérer chez lřenfant de zéro à 18 mois qui doivent vous
faire suspecter un retard du développement psychomoteur et vous amener à adresser
lřenfant pour avis pédiatrique (mensurations, réflexes archaïques, motricité, préhension,
communication)
UE 6 : SSH
Année 2010 – Psychologie - Mme Cazard-Favarel
1/ Aspects psychologiques de la relation thérapeutique :
Vous en donnerez les grands principes, en rappelant, à lřaide dřexemples, quelles en sont
les différentes étapes.
131
Année 2012-2013 – Psychologie – Dr DALENS
Dřun point de vue occidental, la grossesse à lřadolescence est considérée comme un
symptôme traduisant un profond malaise psychologique, social et culturel.
Analyser le profil de ces adolescentes à travers leur histoire et quels risques cette grossesse
peut représenter au niveau médical, social et personnel.
2/ Définissez les notions de soin et de rite, vous pouvez illustrer votre propos par un ou des
exemples.
132
Question 1 : Décrire comparativement à dřautres systèmes le principe de la protection
sociale en France.
● Vous devez lui expliquer schématiquement de quel régime elle dépend et quelles
sont les prestations auxquelles elle peut prétendre.
● En fin de consultation, au moment de vous régler, elle sřinquiète de ce qui va lui être
remboursé et de quelle façon. Vous lui expliquez également.
Question 2 : Dans la tarification dřun acte de soin, comment est répartie la charge financière
entre lřassuré et les organismes dont il dépend. Décrire le régime de la CMU.
2/ « Les petites filles, très souvent, quelle que soit leur origine ethnique, qu’elles soient
maghrébines, turques, africaines, sont souvent des enfants calmes, attentives, obéissantes,
elles pleurent peu, même quand on les vaccine. Les garçons, ils sont souvent dispersés, ils
bougent beaucoup, des fois mêmes ils sont agressifs avec leur mère, ils ont un
comportement bébé, ils refusent tout ce qui nouveau, ils ont tous les droits. (...) Je vois des
petites filles qui sont là, qui sont assises sur la chaise, qui nřont pas le droit de bouger, et le
petit garçon touche à tout, il coupe la parole à tout le monde, il a le droit lui. » (Mme
Clément, professionnelle de santé en PMI). (p. 121 in Serre D. Le
133
« Bébé superbe » La construction de la déviance corporelle par les professionnel(le)s de la
petite enfance, Sociétés Contemporaines, 1998, 31, p. 107-127)
Quels types de « corps déviants » retrouve-t-on dans cette description, à qui est-ce attribué
et selon vous à quoi devons-nous faire attention en tant que soignants pour éviter cet écueil
?
2) Décrivez rapidement ce que sont les techniques corporelles et expliquez quelle peut être
leur fonction.
2- Définissez les notions de soin et de rite, vous pouvez illustrer votre propos par un ou des
exemples autour de la naissance et de la parentalité .
Décembre 2021
Anthropologie :
1. Définissez la notion de soin, de rite et de rite de passage. Vous illustrerez vos propos
avec des exemples.
2. En quoi les systèmes de parenté ont un impact sur la notion de cellule familiale, en
134
quels termes notre système de parenté a récemment évolué dans notre société et quelles
sont les conséquences selon vous sur la parentalité ?
Législation :
1. Expliquez les 3 grands principes interventionnels de la protection sociale
2. Quelles sont les conditions pour pouvoir exercer en tant que sage-femme en
France ?
3. Que doit faire la sage-femme avant de réaliser un toucher vaginal au cours dřune
consultation ?
UE 7 : SANTÉ PUBLIQUE
Année 2008 (Dr Cavalie)
Les bactéries multi résistantes :
- Définitions
- Fréquence et gravité (mortalité)
- Principaux sites infectieux
- Chaîne épidémiologique
- Surveillance : objectifs et méthodologie Principes de prévention
- Transmission et prévention de la transmission
- Définitions
- Signes cliniques
- Principaux micro-organismes en cause Personnes à risque
- Principes de lřenquête épidémiologique
Questions théoriques :
Cas pratique :
135
"Le cathéter d'une chambre implantable s'est sectionné et a migré dans l'artère pulmonaire
d'un patient. Les mesures prises ont été l'extraction en radiologie interventionnelle et
remplacement du dispositif"
• 1) Faut-il signaler ou non cet incident ? De façon générale, que doit-on signaler ?
• 2) Si oui, à qui doit-on le signaler ?
• 3) Quand ?
• 4) Comment ?
• 5) Pensez-vous que cet incident va conduire à une matériovigilance
• 1) Définitions
• 2) Fréquence et gravité (mortalité)
• 3) Principaux sites infectieux
• 4) Chaîne épidémiologique
• 5) Surveillance : objectifs et méthodologie
- Définition
- Signes cliniques
- Principaux micro-organismes en cause Personnes à risque
- Principes de lřenquête épidémiologique
2) Mlle X. âgée de 26 ans, élève sage-femme, doit effectuer un premier stage au bloc
obstétrique. Elle consulte son carnet de santé afin de vérifier ses vaccinations. Quelles sont
les vaccinations obligatoires et recommandées pour les sages- femmes ?
3) Tous ses vaccins sont à jour. Lors de son premier jour elle se pique profondément avec
une aiguille au cours dřune césarienne. Une partie de la sérologie de la patiente source est
136
connue : VIH positif.
Quelles sont les sérologies à effectuer sur la patiente source avec son accord préalable,
dans le cadre dřun accident par exposition au sang ?
4) Les autres sérologies de la patiente source reviennent négatives. Quelle est la conduite à
tenir par Mlle X. suite à cet accident, dans les premières minutes, les premières heures et
les premiers jours ?
5) Quels sont les principaux déterminants qui influencent la santé des populations ?
A 21H15, elle accouche dřune petite fille de 3200 g, la délivrance sřest faite spontanément,
le placenta est complet mais les suites de couches se compliquent dřune hémorragie de la
délivrance.
A 21h30, la patiente devient pâle, polypnéique, la tension artérielle est de 90/60 mm Hg, le
pouls à 105/mn. Le taux dřhémoglobine est de 6.5g/dl, la décision de transfuser en urgence
vitale est prise par lřanesthésiste. La prescription de 3 Concentrés de Globules Rouges
(CGR) est faite.
137
• 4) Quels sont les différents contrôles obligatoires que vous devez réaliser avant la
transfusion des CGR ?
• 5) Quřarchivez-vous dans le dossier transfusionnel ?
Devant son état, lřanesthésiste réanimateur prescrit en Urgence Vitale Immédiate (UVI) 4
Concentrés de Globules Rouges (CGR) qui seront délivrés par lřEtablissement Français du
Sang (EFS).
138
La patiente est du groupe A+, phénotype : D+ C+ E- c+ e+ K- (RH : 1, 2, -3, 4, 5, KEL : -1) et
la RAI < 3 jours est négative.
A 22h50, la parturiente présente une hémorragie supérieure à 500mL, qui ne tarie pas.
Lřexamen en microméthode après vérification retrouve une Hb à 8g/dL.
Devant son état, lřanesthésiste prescrit en urgence vitale 2 CGR (concentrés de globules
rouges).
- micro-organisme responsable
- modes de transmission/aliments en cause - personnes à risque
- conséquences chez la femme enceinte
- conseils nutritionnels
Question 2 : Mlle X, élève sage-femme, vient de fêter son vingt-cinquième anniversaire. Mlle X
va effectuer un stage au bloc obstétrical. Elle consulte son carnet de santé afin de vérifier
ses vaccinations et de sřassurer de sa protection vaccinale.
Lors de son stage au bloc obstétrical, Mlle X nřa pas utilisé de lunettes de protection ou de
visière et a été victime dřun accident dřexposition au sang par projection oculaire.
2) Quel doit être en quelques mots la conduite à tenir face à un accident potentiellement
contaminant :
- dans les premières minutes - dans les premières heures - dans les premiers jours
139
Décembre 2018 – Santé publique – Dr VERDEIL et FOURCADE
1) Listériose : micro-organisme responsable, modes de transmission/aliments en cause,
personnes à risque, conséquences chez la femme enceinte, conseils nutritionnels (30mn)
2) Décrire les étapes du processus de stérilisation, en identifiant les zones ainsi que les
règles dřhygiène associées. (30mn)
Décrivez les caractéristiques dřun accident de travail (AT) et dřune maladie professionnelle
(MP), ainsi que leurs modalités de reconnaissance. Pour la maladie professionnelle, donnez
5 exemples de pathologies pour lesquelles pour pourriez un jour prétendre à une
reconnaissance en MP dans le cadre de votre activité de sage-femme, en les mettant en lien
avec un risque professionnel qui pourrait en être responsable.
Décembre 2021
1/ Donnez les noms des 3 types de barrières de sécurité dans la gestion des risques médicamenteux
QCM 1 : Parmi les éléments d’informations suivantes indiquez ceux qui sont indispensables à
l’analyse d’un incident mettant en jeu du DM par la CLMV :
A- identité du déclarant
B- identité du DM
C- description de l’incident
D- discours annoncé au patient
E- conservation du DM
QCM 2 : Parmi les propositions suivantes quelles sont celles qui sont considérées comme des bonnes
pratiques de vérifications d’identité :
A- tout évènement indésirable associés aux soins entrainant une prolongation d’hospitalisation est
qualifié de grave
B- les sages-femmes doivent obligatoirement déclarer les évènements indésirables médicamenteux
qu’elles constatent
C- les erreurs médicamenteuse se produisent le plus souvent à l’étape de l’administration et le plus
souvent sont des erreurs de dose
D- la règles des 5B : bon patient, bon médicament, bonne voie, bon moment, bonne dose
140
E- si je suis interrompue au moment de la préparation d’un médicament, je repends là où je me suis
arrêtée
UE 14 : PHARMACOLOGIE
2) Décrivez et explicitez les grandes voies dopaminergiques et les actions qui en découlent.
3) A partir des limites des essais cliniques, expliquez ce quřest la surveillance des effets
indésirables des médicaments.
1) Citez trois grandes classes pharmacologiques de médicaments utilisés pour lutter contre
ces symptômes, expliquez brièvement leur mécanisme dřaction, et citez un représentant de
chacune des classes (en DCI)
2) Quel est le médicament (DCI) qui est depuis février 2012 contre-indiqué chez lřenfant et
lřadolescent de moins de 18 ans ? Expliquez pourquoi.
3) Quel est lřanti nauséeux (DCI) le mieux évalué chez la femme enceinte ? Pourquoi son
utilisation peut-elle poser un problème en cas dřutilisation en fin de grossesse ?
141
2) Après avoir rappelé sur un schéma les récepteurs et neuromédiateurs du système
orthosympathique, présentez les effets des sympathomimétiques directs exogènes
(agonistes) et les indications et effets indésirables qui en découlent. Insistez sur les
applications en obstétrique.
3) Vous travaillez dans le service dřhospitalisation de suites de couches et vous suivez une
patiente en post-césarienne traitée par paracétamol codéiné à posologie usuelle. Depuis 2
jours vous constatez que la patiente présente une somnolence, un état vertigineux et
détresse respiratoire.
Connaissant la métabolisation de la codéine, expliquez succinctement votre hypothèse du
mécanisme de survenue de cette effet indésirable grave.
Elle vient dřaccoucher dřune petite fille, pesant 2300g. Juste avant lřaccouchement, comme
elle souffrait beaucoup, on lui a administré un antalgique, le nefopam.
Après avoir rappelé ce quřest lřatropine et son niveau dřaction, décrivez et expliquez ce que
sont (en général) les effets atropiniques.
A. Quelle est votre hypothèse sur les raisons de la survenue de ces effets chez le nouveau-
né ?
B. Citez 2 médicaments (dans 2 indications différentes) pour lesquels lřeffet atropinique est,
au contraire, recherché et précisez leurs indications.
142
Sachant que la codéine est un pro-médicament métabolisé principalement par le CYP2D6,
quřil passe dans le lait, que la patiente nřa pas consommé une dose au-delà de la posologie
recommandée, quelle est votre hypothèse pour expliquer les effets indésirables décrits chez
la patiente et son nourrisson ?
2/ Déclaration des effets indésirables médicamenteux : lesquels, par qui, où, comment,
pourquoi ?
2/ Quelles sont les 2 grandes classes médicamenteuses les plus utilisées dans le traitement
de lřasthme ? Donner pour chacune dřelle la cible dřaction des médicaments et citer au
moins 3 effets indésirables.
2/ Madame X est enceinte (1er trimestre de grossesse). Cette patiente a pour antécédent
une hypertension artérielle, bien équilibrée sous médicament. Elle est enrhumée depuis
quelques jours avec une sensation de nez bouchée, sans fièvre. Elle se rappelle avoir déjà
utilisé un décongestionnant nasal et le retrouve dans son armoire à pharmacie. Il sřagit de
comprimés (per os) renfermant de la pseudoéphédrine. Elle décide dřelle-même dřen
prendre pour quelques jours.
Décrivez le mécanisme dřaction, les effets pharmacologiques et les risques attendus avec
ce type de médicament, indiquez leurs propriétés pharmacodynamiques.
2) Déclaration des effets indésirables médicamenteux : lesquels, par qui, où, comment,
pourquoi ?
143
Question 1 : Vous prenez en charge un nouveau-né ayant une prescription dřamoxicilline et
de gentamicine :
2/ Lors de votre stage en 3e année, vous avez en charge un nouveau-né : Brandon, né il y a
2 jours, 52 cm ; 3,5 kg. Il présente une suspicion dřinfection à Streptocoque B.
Le pédiatre a prescrit :
La voie orale chez ce nouveau-né étant possible, vous décidez dřadministrer lřamoxicilline
per os. La biodisponibilité estimée de lřamoxicilline chez le nouveau-né est de 90%.
B. Sachant que chez le sujet adulte, la demi-vie de lřamoxicilline est estimée à 1 heure avec
une élimination : 60% urinaire, 10% biliaire et 30% métabolisation hépatique.
144
1/ Quel est lřobjectif de la méthode dřimputabilité utilisée en pharmacovigilance (1 phrae
maximum)? Quels sont les 3 critères utilisés dans la méthode dřimputabilité en
pharmacovigilance ?
2/ Quels sont les principaux effets indésirables cardiovasculaires et rénaux des AINS ?
Vous lui prescrivez de lřamoxicilline à une posologie de 3g deux fois par jour pendant un
jour. Lřamoxicilline présente une biodisponibilité de 70%, un volume apparent de distribution
de 0.3-0.4 L/kg, une demiŕvie de 1 heure (chez le volontaire sain : élimination rénale
prédominante et métabolisation de 10 à 25% de la dose initiale).
2/ Dans le contexte de lřallaitement, il est rapporté que lřenfant reçoit une proportion de 0.25
à 0.5% de la dose pédiatrique usuelle.
Décembre 2021
Pharmacologie générale
1/ Décrire et expliquer les propriétés pharmacologiques des glucocorticoïdes ainsi que leurs
indications et leurs contre-indications
Le Tramadol est un antalgique central indiqué en France pour la traitement des douleurs
modérées à intenses de lřadulte (à partir de 15 ans), dont lřaction antalgique est dû à la
synergie, aux doses thérapeutiques, dřun effet opioïde dû à la fixation sur les récepteurs
opioïdes de type μ, et dřun effet monoaminergique central dû à une inhibition de la recapture
de la noradrénaline et de la sérotonine, mécanisme impliqué dans le contrôle de la
transmission nociceptive centrale.
Effets indésirables : des cas dřabus et de dépendance ont été rapportés ainsi que des cas
de syndrome de sevrage. Des symptômes de sevrage, analogues à ceux notées lors dřun
sevrage aux opioïdes, peuvent survenir, tels que agitation, anxiété, nervosité, insomnie,
hyperkinésie, tremblements et symptômes gastro-intestinaux
Mise en garde et précaution dřemploi : ce médicament doit être utilisé avec prudence chez
145
les patients dépendants aux opioïdes, chez les patients prédisposés aux convulsions ou
chez les patients présentant des traumatismes crâniens, un état de choc, une altération de
la conscience sans cause évidente, des troubles centraux ou périphériques de la fonction
respiratoire ou une augmentation de la pression intracrânienne.
Chez les patients dépendants aux opioïdes et chez les personnes ayant des antécédents
dřabus ou de dépendance, le traitement devra être de courte durée et sous la surveillance
médicale stricte
Expliquez en quelques lignes quelles sont les propriétés pharmacologiques sous tendant
que le tramadol présente comme effet indésirable possible des cas dřabus et de
dépendance. Quelles sont les conséquences possibles de ces cas dřabus et de dépendance
en terme de morbi-mortalité y compris pendant la grossesse ?
Chez des patients ayant des antécédents dřabus mais nécessitant une prescription de
tramadol pour une douleur intense, quelles précautions doivent être prises ?
Pharmacologie modulaire
1/Brandon né il y a 2 jours, 52cm, 3,5 Kg.
Il présente une suspicion dřinfection Strepto B (CRP : 23 mg/L)
Le pédiatre prescrit
Ŕ Amoxicilline 150 mg x 2 /j intraveineux directe
Ŕ Gentamicine 9 mg x 1 /j sur 1 h débit 20 ml/h, pendant 2 J
La voie orale chez ce nouveau-né étant possible, vous décidez dřadministrer lřamoxicilline
per os. La biodisponibilité estimée de lřamoxicilline chez le nouveau -né est de 90%.
B. Sachant que chez le sujet adulte, la demi-vie de lřamoxicilline est estimée à 1 heure avec
une élimination : 60% urinaire, 10% biliaire et 30% métabolisation hépatique.
Dřaprès vous, chez un nouveau-né, la demi-vie sera supérieure ou inférieure à 1h ?
146
UE 6b : PSYCHOLOGIE ÉTHIQUE
Sujets Éthique
JUIN 2013 – Dr MARMET
Quels sont les problèmes éthiques posés par le refus de soins d'une parturiente et quelles
sont les modalités pratiques définies dans le code de la santé publique pour y faire face ?
Question 2 : Quels sont les déterminants du consentement éclairé d'une personne pour la
faire accéder à des investigations et des traitements ?
147
1) Citez et définissez les 4 principes fondamentaux de l'éthique des professions de santé.
2) Quels sont les devoir d'un(e) maïeuticien(ne) devant un refus de consentement à un acte
de soins ?
QRC éthique2 : citez 5 situations qui posent un questionnement éthique sur le principe de
justice.
Sujets Psychologie
JUIN 2010 – PSYCHO - Mme CAZARD-FAVAREL
1) Aspects psychologiques de la relation thérapeutique :
a. Pour établir une relation thérapeutique, le soignant doit respecter 3 phases, lesquelles ?
b. Citer et expliquer succinctement les composantes de la centration.
c. Citer et décrire brièvement 3 facteurs de blocage, qui peuvent apparaî tre dans la relation
soignant-soigné.
2) Analyser le profil de ces adolescentes à travers leur histoire et quels risques cette
grossesse peut représenter au niveau médical, social et personnel.
148
2) Quelles incidences peut avoir une anorexie en périnatalité ?
3) Le secret obéit à une double logique. Laquelle ? Développer au travers d'un exemple
en quelques mots.
2) La communication est influencée par trois types de facteurs. Donnez ces trois catégories
de facteurs en précisant à quoi ils correspondent.
2) Expliquer en quelques phrases pourquoi il est important de savoir discerner ce que l'on
transmet et à qui.
2) Veuillez citer les 4 grands types dřinfluence sociale et développer lřune dřentre elles
en vous appuyant sur lřexpérience scientifique de Milgram.
3) Donnez 4 facteurs de blocage dans la relation dřaide qui peuvent entraî ner des biais
dans la relation soignant-soigné (précisez votre réponse).
2) Quelle question essentielle faut-il poser à une femme souhaitant entrer dans un dispositif
de Procréation Médicalement Assistée ?
3) Quelles sont les conditions pour quřune information soit transmise de façon correcte et
éthique ?
149
Mai 2018 – Psychologie - Madame SEJOURNE
1) Quels sont les grands domaines de la psychologie actuellement ?
3) Situation clinique
Vous recevez en consultation Madame M, qui est à 33 SA. Elle est inquiète suite à la 3
échographie car le médecin lui a dit que « son bébé était gros ». Elle vous indique avoir peur
pour l'accouchement : « Le médecin a dit que mon bébé était gros et je ne suis qu'à 33 SA !
Vous vous rendez compte... il va continuer à grossir et il ne passera jamais.... Comment
vais-je faire ? Et j'ai peur de me déchirer ou d'avoir une césarienne. Je ne dors plus la nuit,
je pense à l'accouchement... je ne vais jamais y arriver ! »
Après avoir cité les 4 techniques thérapeutiques favorisant l'écoute empathique, vous en
choisirez 2 pour imaginer 2 réponses différentes que vous pourriez apporter à Madame M.
3) Citez et décrivez 3 facteurs de blocage, qui peuvent apparaî tre dans la relation soignant-
soigné. Donnez un exemple issu de vos stages ou des vignette vues en TD pour chaque
facteur.
Vous entrez dans la chambre de Madame C, qui vient dřaccoucher de son premier enfant.
Elle pleure et semble désemparée. Le pédiatre lui a dit que son bébé a pris trop peu de
poids pour envisager un retour au domicile comme prévu : « Le médecin a dit que mon bébé
était encore trop petit pour que je rentre à la maison... pourtant je le mets au sein dés quřil
pleure, je ne sais plus quoi faire ! Jřai envie de rentrer chez moi mais en même temps jřai
peur... Cřest vraiment trop compliqué lřallaitement... je ne vais jamais y arriver ! ».
Choisissez 2 des 4 techniques thérapeutiques favorisant lřécoute empathique pour imaginer
2 façons différentes de répondre à Madame C.
150
UE 8 : GÉNÉTIQUE
QR2 : Vous rencontrez un couple qui vous apprend que le neveu de Madame est atteint de
mucoviscidose. Il s'agit d'une maladie de transmission autosomique récessive. Ils vous
fournissent une copie des résultats moléculaires de cet enfant, porteur de la mutation
deltaF508 à l'état homozygote. La fréquence des individus hétérozygotes dans la population
générale est de 1/30.
QROC 1 : Citez les conditions de prescription d'un examen des caractéristiques génétiques
dans les conditions post-natales.
151
profonde. Ce dernier a deux enfants, des jumeaux fille-garçon, asymptomatiques.
L'interrogatoire vous apprend en outre que :
Monsieur X a :
Un autre frère sans descendance et une sœur, plus âgés et normo-entendants, cette sœur
ayant deux fils sains nés de deux unions différentes ;
Des grands-parents maternels décédés, sachant que la grand-mère aurait été prétendument
normo-entendante et le grand-père sourd.
Madame X a :
1. Que dî tes-vous à ce couple quant au risque qu'ils aient un enfant atteint de surdité
profonde ?
2. Le risque pour la descendance de la sœur de Mme X est-il équivalent ? Expliquez
pourquoi ?
3. Le risque serait-il modifié pour Mme X et sa sœur si leur oncle maternel était atteint
de surdité profonde ?
QR2 :
Le cytogénéticien vous adresse le résultat qui met en évidence l'existence d'une anomalie
déséquilibrée de la structure d'un chromosome 5 et demande que soient réalisés les
caryotypes des parents de cet enfant.
QROC 1 :
Année 2012
Question 1 : Citez les différentes anomalies chromosomiques de nombre en les expliquant.
152
Question 2 : Expliquez à l'aide d'exemple les maladies liées au phénomène d'empreinte.
C) Quel est le remaniement le plus probable que vous vous attendez à diagnostiquer
chez eux ?
D) Dans le cadre où votre hypothèse est confirmée, quel est votre conseil génétique et quel
suivi de grossesse proposeriez-vous ?
2/ Citez les approches thérapeutiques possibles dans le cadre d'une maladie génétique.
Expliquez brièvement chaque approche.
3/ Citez les indications et les modalités de réalisation d'un caryotype en période anténatale.
153
Madame a une fille d'une précédente union âgée de 7 ans atteinte par une mucoviscidose
caractérisée au niveau moléculaire par la mutation homozygote F508del dans le gène
CFTR. L'analyse a été faite chez Madame et son précédent conjoint et confirme leur statut
de porteur sain respectif pour cette mutation et l'hérédité autosomique récessive de la
maladie.
Madame a un frère et une sœur plus jeunes qu'elle sans enfant actuellement. Ils sont tous
deux en couple.
Leurs parents sont en bonne santé avec chacun un frère. Le frère de Monsieur est
célibataire sans enfant.
Le frère de Madame a 3 filles en bonne santé chacune en couple en âge de procréer. Les 4
grands parents sont décédés à des âges tardifs sans élément péjoratif noté. Les origines
géographiques sont bretonnes côté paternel et normande côté maternel. Monsieur a un
jeune frère célibataire de 31 ans en bonne santé.
Leurs parents sont en bonne santé et appartiennent chacun à des fratries nombreuses: le
père de Monsieur est le dernier de 8 enfants sans anomalie notée.
La mère de Monsieur est la 4ème d'une fratrie de 5 : de la même façon, nous ne relevons
aucune anomalie.
Il y a de chaque côté de très nombreux cousins et cousines et petits cousins en bonne santé
a priori.
Le couple nous dit souhaiter vouloir préciser ce risque et demande des tests génétiques.
Après 2 semaines vous recevez le résultat : il est positif (une mutation impliquée dans la
mucoviscidose a été identifiée en simple exemplaire).
• A) Quelleinformationessentiellefaudrait-ilobtenir?Pourquoi?
• B) Existe-t-il un risque supérieur à celui de la population générale pour ce couple de
transmettre une trisomie 21 ? Expliquez vos arguments.
• C) Quels examens complémentaires permettraient de mieux définir ce risque et
pourquoi?
154
• D) Si ces examens mettaient en évidence un risque augmenté, qu'organiseriez-vous
?
Madame est enceinte dans le 2ème trimestre de la grossesse (20 SA). Lřéchographie du 2ème
trimestre est prévue dans 2 semaines.
1) Le couple vous demande quel est leur risque dřavoir un enfant atteint de mucoviscidose.
Calculez ce risque et détaillez votre calcul.
2) Quelle analyse proposez-vous au couple ? Détaillez.
Quelle information essentielle doit figurer dans votre prescription auprès du laboratoire ?
Quel document doit obligatoirement être joint avec la prescription ?
155
Dans lřintervalle des résultats, lřéchographie du 2ème trimestre a eu lieu et montre des anses
intestinales dilatées et hyperéchogènes.
Quelle discussion faudrait-il avoir avec le couple concernant leurs apparentés, notamment
du côté de Monsieur ?
Vous recevez un couple avec le même arbre généalogique mais le cousin de Madame est
atteint par une myopathie de Duchenne liée à une délétion du gène DMD située sur le
chromosome X.
6) Quel est le risque pour ce couple dřavoir un enfant atteint de myopathie de Duchenne ?
Argumentez votre réponse.
1) Quelle surveillance et quels examens allez-vous mettre en place pour cette grossesse ?
2) Proposez-vous des examens à visée génétique à ce couple ? Pourquoi ?
Vous les revoyez à lřoccasion de lřéchographie du 1er trimestre, qui a mis en évidence une
clarté nucale augmentée mesurée à 4,2mm pour une LCC de 58,6mm. Par la même
occasion, ils vous remettent les résultats du caryotype du frère aî né de Monsieur, dont la
formule chromosomique est 45, XY, der(14 ;21)(q10 ;q10). Les caryotypes du couple sont
toujours en attente.
3) Quelle devient lřhypothèse la plus probable concernant cette grossesse ? Quel examen
allez-vous proposer à ce couple pour la confirmer, et comment ?
4) Quelle sera probablement la formule chromosomique de Monsieur ?
5) Détaillez également le caryotype fœtal attendu.
6) Que leur dites-vous concernant une prochaine grossesse ?
156
présente en double exemplaire (état homozygote). Cřest le médecin traitant de Madame qui
a encouragé le couple, convaincu quřils nřont pas de risque de transmettre la maladie de
Madame, à venir vous voir. Madame est enceinte de 13SA. Lřéchographie du 1er trimestre
est sans anomalie.
demande quel est son risque dřavoir un enfant atteint de mucoviscidose. Calculez ce risque
et détaillez votre calcul.
4) La cousine de Monsieur, fille de lřoncle myopathe, est enceinte. Selon votre proposant,
elle nřa jamais consulté de généticien ou conseiller en génétique. Il sřinquiète pour sa
cousine et son futur enfant. Que dites-vous à votre proposant concernant le risque pour la
grossesse de sa cousine ? Quelle question essentielle lui posez-vous ?
5) Pour finir cette rencontre, Madame reçoit un appel de son médecin traitant qui suit le
début de cette grossesse : il a le résultat des marqueurs sériques maternels et le risque de
trisomie 21 est augmentée a 1/153 en intégrant la clarté de la nuque et lřâge de la
proposante. Le couple est paniqué et parle de recourir à une IVG devant tous ces risques
cumulés. Que proposez-vous ? Détaillez.
Question 2 :
Le cas index sur cet arbre généalogique est atteint dřune maladie héréditaire connue dont la
transmission est mendélienne. Cette transmission peut-elle être :
157
1) Dominante autosomique et pourquoi ? Si vous deviez rajouter un individu malade sur cet
arbre généalogique pour orienter vers ce mode de transmission qui choisiriez- vous
(exemple : I-1) ?
2) Récessive autosomique et pourquoi ? Si vous deviez rajouter un individu malade sur cet
arbre généalogique pour orienter vers ce mode de transmission qui choisiriez- vous
(exemple : I-1) ?
3) Récessive liée à lřX et pourquoi ? Si vous deviez rajouter un individu malade sur cet
arbre généalogique pour orienter vers ce mode de transmission qui choisiriez-vous (exemple
: I-1) ?
4) Lřanalyse génétique que vous avez réalisez chez le cas index reviens avec ce résultat :
p.|Trp25*] ;[Cys323*]. Quřen déduisez-vous sur le mode de transmission probable de la
pathologie dont est affecté le cas index ?
Mai 2018
Sujet conseil génétique :
Le frère de Madame est décédé 15 ans dans les contexte d'une myopathie de Duchenne.
Madame connaî t le résultat génétique de son frère disponible dans votre dossier car il était
suivi ici : la délétion des exons 1 à 10 dans le gène DMD.
C'est le médecin traitant de Madame qui a encouragé le couple à venir vous voir car
Madame est convaincue qu'elle n 'a pas de risque de transmettre la maladie de son frère.
1) Finalement, alertée par son médecin, Madame vous demande quel est son risque d'avoir
un enfant atteint de la myopathie de Duchenne de son frère.
Quelle estimation faites-vous de son risque sachant que cette myopathie est liée à l'X et que
dans 2/3 des cas la maman d'un garçon malade est dite conductrice de l'affection c'est à
dire porteuse de la mutation mais non atteinte ?
2) Le couple veut préciser le risque pour l'enfant à naî tre d'être atteint de cette myopathie.
Proposer 2 examens génétiques que vous pourriez suggérer à votre patiente enceinte
permettant de préciser ce risque
158
Quelles informations essentielles devront figurer dans votre prescription auprès du
laboratoire ?
Grossesse en cours à 13 SA
Mais la maladie est une mucoviscidose dont vous avez le résultat génétique dans le dossier
car le frère est suivi ici. La mucoviscidose est autosomique récessive.
Grossesse en cours 13 SA
Frère de madame décédé à 15 ans d'une maladie génétique Mais Madame ne sait pas de
quelle maladie il s'agit.
Sujet de cytogénétique :
Détaillez les différentes résultats possibles (sans et avec anomalies) et les conduites à tenir
qui en découlent.
159
Vous recevez ce couple en consultation pré -conceptionnelle (cf arbre généalogique).
Le mariage est prévu cet été et le couple envisage dřavoir des enfants après le mariage.
Madame est atteinte par une mucoviscidose caractérisée au niveau moléculaire par la
mutation B en double dose (état homozygote) dans le gène CFTR. Il sřagit dřune mutation
relativement rare représentant 1% des allèles mutés du gène. Le couple souhaite préciser le
risque dřavoir un enfant atteint de mucoviscidose.
1) Donnez une estimation du risque (sous la forme 1/N). Argumentez en précisant le mode
de transmission de la maladie et détaillez votre calcul.
Quand vous rencontrez le couple avec les résultats rassurants permettant dřeffondrer le
risque de mucoviscidose dans leur descendance, Madame vous informe quřelle a interrogé
sa famille et que son cousin germain maternel et un grand oncle maternel sont atteints par
une myopathie de Duchenne (cf arbre généalogique). Votre patiente sřinquiète dřavoir un
enfant atteint de cette maladie génétique.
Partie 2 : Cytogénétique
Vous suivez un couple pour une grossesse à 22 SA. Il nřy a quřun seul fœtus, Madame a 26
ans. Le couple a déjà un enfant en bonne santé .
A lřéchographie du premier trimestre, la clarté nucale était normale, les marqueurs sériques
maternels pour le dépistage de la trisomie 21 avaient été prescrits. Le calcul du risque
combiné montrait un risque faible.
160
A lřéchographie morphologique, on remarque la présence dřune fente palatine ainsi quřune
malformation cardiaque, et donc dřun syndrome poly-malformatif. Vous nřavez pas
dřorientation vers un syndrome particulier. Vous évoquez une anomalie chromosomique.
1) A choisir entre :
Un caryotype standard,
Une CGH-array est réalisée sur une ponction de liquide amniotique. Elle permet de mettre
en évidence un CNV pathogène à type de micro-délétion intéressant la région 22q11.2.
Cette micro-délétion est classiquement associée à des malformations palatines et
cardiaques mais elle a une expressivité variable. Après information, le couple demande une
interruption médicale de grossesse.
3) Quelles sont les trois conditions prévues par la loi pour pouvoir accéder à une demande
dřinterruption médicale de grossesse ?
4) Quelle donnée vous manque pour préciser le risque de récurrence de cette pathologie
pour une future grossesse ?
Mai 2020 -
Question rédactionnelle :
Citez trois éléments cliniques, échographiques ou biologiques pris en compte dans le calcul
de risque de trisomie 21 du dépistage du premier trimestre.
Citez 2 types d'examens dont la prescription peut être discutée chez une patiente enceinte
en cas de risque augmenté de trisomie 21. (Détaillez et argumentez vos réponses selon les
tranches de risque, la datation de la grossesse, le risque de fausse couche).
161
lřenfant à naî tre est masculin, quel est le risque, exprimé en pourcentage, de récurrence de
la pathologie pour lřenfant à naî tre.
Q3 - Vous recevez la jeune femme III.1 dans le cadre dřune première grossesse. Elle est
atteinte dřune pathologie autosomique dominante. Vous réalisez lřarbre généalogique
suivant sur lequel les apparentés atteints sont en noir. Que vous apprend lřindividu II.3 sur
cette pathologie ?
Q5- Vous suivez une femme enceinte porteuse dřune translocation chromosomique
équilibrée avec une formule à 45,XX,der(14;21)(q10;q10). Un diagnostic prénatal a été
réalisé et retrouve chez le fœtus la translocation sous une forme déséquilibrée responsable
dřune trisomie 21. Donnez le nombre de chromosomes présents dans la formule
chromosomique du fœtus.
162
Question rédactionnelle 3 (temps estimé 10 minutes)
Détaillez les éléments rentrant dans le calcul de risque combiné de trisomie 21
proposé au 1er trimestre et la place actuelle du Diagnostic Prénatal Non Invasif (DPNI) dans
cette stratégie de dépistage)
163
UE 9 : HORMONOLOGIE - REPRODUCTION
Sujets Reproduction
2) Décrivez brièvement les variations du mucus cervical au cours d'un cycle menstruel
ovulatoire de 28 jours.
164
Août 2016 – Session 2 – Pr PARINAUD J.
1) Rôle des glandes endocervicales (LEANDRI)
1) Hypothyroïdie
2) Syndrome de cushing
Question 2 : Donner, de lřextérieur vers lřintérieur, les constituants des 4 couches tissulaires
qui composent le scrotum.
QR2 : Lřépithélium séminifère est constitué de cellules somatiques et germinales : citez les
noms et types de ces dernières. Par ailleurs, précisez où a lieu la première apparition des
spermatozoïdes.
MAI 2020 -
Une jeune femme, enceinte de son premier enfant, arrive pour sa consultation du premier
trimestre avec un bilan faisant suspecter une hyperthyroï die, en absence dřauto-anticorps.
165
1-Au vu du schéma suivant et de vos connaissances expliquer, en rappelant succinctement
la structure des gonadotrophines, comment la grossesse et le taux dřHCG peuvent être liés
à cette hyperthyroïdie.
2-Sur son bilan il est également noté une augmentation du taux dřœstradiol. Rappeler la
structure de base de cette hormone, son transport plasmatique et ses modes dřaction
possibles.
Sujets Hormonologie
Elle n'a aucun antécédent personnel particulier. Elle ne fume pas ni ne boit d'alcool. Elle ne
prend aucun traitement.
Question 2 : Vous ne retrouvez pas ce signe clinique. Le bilan réalisé en externe par son
médecin montre en particulier ce résultat : TSH à 12mUI/mL [norme du laboratoire : 0,5-4]
166
c) Quels examens demandez-vous pour étayer votre diagnostic étiologique ?
d) Quelle est votre prise en charge thérapeutique et quelle est la surveillance
Question 3 : Elle revient vous voir 6 mois plus tard car elle est enceinte à 6 SA. Elle vous
demande si elle peut poursuivre le traitement que vous lui aviez prescrit (dans la question 2)
et si elle doit changer la dose, au cours de la grossesse et dans le post partum. Elle
souhaite allaiter.
Elle se demande si elle a du diabète. Qu'en pensez-vous ? Justifiez. Quels sont les facteurs
de risque de développer un diabète de type 2 ?
2) La glande thyroï dienne régule l'ensemble des grandes fonctions de notre organisme.
Quels sont les organes cibles des hormones thyroï diennes et quels sont donc les signes
d'une insuffisance d'hormones thyroï diennes ou hypothyroï die ?
2) Quels sont les signes cliniques dřhypothyroï die périphérique et comment expliquez-
vous lřaugmentation de la TSH dans ce contexte ?
167
1) Quelles sont les fonctions régulées par les hormones thyroï diennes et quels sont les
symptômes dřune maladie de Basedow ?
Juin 2016
Sujets rendus avec la copie
4) Quels sont les principaux éléments de la prise en charge à la maternité d'un bébé
atteint d'une HCS ?
QROC 2 :
168
QROC 1 : Donnez la définition dřune hypoglycémie chez un sujet diabétique et chez une
femme enceinte diabétique (donnez le seuil de glycémie).
QROC 2 : Une patiente de 28 ans vient vous voir pour perte de poids inexpliquée (appétit
conservé) et palpitations. Lorsque vous la voyez, vous notez immédiatement la présence
dřun goî tre.
Quels autres symptômes allez-vous rechercher ? Si vous ne deviez choisir quřun examen à
réaliser, lequel feriez-vous ?
Mai 2020 -
QROC 1 : Donnez la définition dřune hypoglycémie chez un sujet diabétique et chez une
femme enceinte diabétique (donnez le seuil de glycémie).
Citez 3 symptômes évocateurs dřune hypoglycémie et décrivez brièvement la prise en
charge en cas dřhypoglycémie.
QROC 2 : Nommer les hormones produites par lřanté-hypophyse et les organes cibles de
ces hormones.
Quels seront les signes cliniques en présence dřun microadénome à prolactine chez une
femme ?
169
UE 10 : REIN ET VOIES URINAIRES
Épreuve Urologie
La pollakiurie est :
La constatation sur la bandelette réactive d'un test positif aux nitrites sur des urines
fraîchement émises signifie que :
170
e) L'urine contient des corps cétoniques
L'analyse des urines par bandelette réactive oriente vers l'infection urinaire si :
La recherche de nitrites par bandelette réactive reste négative dans l'urine pour certains
germes. Le(les)quel(s) ?
a) Entérocoques
b) Entérobactéries
c) B.K,
d) E. Coli,
e) Chlamydiae
La constatation sur la bandelette réactive d'un test positif aux nitrites sur des urines signifie
que :
171
d) médiane vers l'hypogastre
e) absente
La pollakiurie est :
La constatation sur la bandelette réactive d'un test positif aux nitrites sur des urines
fraîchement émises signifie que :
L'analyse des urines par bandelette réactive oriente vers l'infection urinaire si :
La recherche de nitrites par bandelette réactive reste négative dans l'urine pour certains
germes. Le(les)quel(s) ?
a) Entérocoques
b) Entérobactéries
c) B.K,
d) E. Coli,
e) Chlamydiae
172
JUIN 2015 – Dr THOULOUZAN
Schémas à rendre + QCMs
La pollakiurie est :
La constatation sur la bandelette réactive d'un test positif aux nitrites sur des urines
fraîchement émises signifie que :
L'analyse des urines par bandelette réactive oriente vers l'infection urinaire si :
La recherche de nitrites par bandelette réactive reste négative dans l'urine pour certains
germes. Le(les)quel(s) ?
a) Entérocoques
b) Entérobactéries
c) B.K,
d) E. Coli,
e) Chlamydiae
173
La polyurie est reconnue sur :
4/ Choisissez les propositions vraies : les facteurs favorisant dřinfections urinaires au cours
de la grossesse sont :
a) Les modifications anatomiques, dont une compression directe de lřappareil urinaire par
lřutérus gravide
b) Les modifications hormonales
c) Les modifications des propriétés physico-chimiques des urines
d) Lřimmunodépression physiologique favorisant la présence de bactéries dans lřappareil
urinaire
e) Lřâge, lřâge gestationnel et de la multiparité
174
6/ Quels qualificatifs utiliseriez-vous pour décrire la situation ?
En cas de douleur lombaire gauche intense, ondulante, irradiant dans les testicules,
associée secondairement à une fièvre à 40°C avec frissons, avec de surines malodorantes
et dřaspect trouble :
a) Urgence vitale
b) Colique néphrétique
c) Colique hépatique
d) Polyurie
e) Pyurie
f) Pyélonéphrite obstructive
g) Globe vésical
QCMs :
A - Urgence vitale
B- Colique néphrétique
C - Colique hépatique
D - Polyurie
E - Pyurie
F - Pyélonéphrite obstructive
G - Globe vésical
A - Polyurie
B - Pollakiurie
C - Anurie
D - Globe vésical
E - Dysurie
F - Nycturie
G Ŕ Pyurie
175
E - Une infection urinaire peut ne sřaccompagner dřaucun symptôme clinique
4) Parmi les 5 propositions suivantes, choisissez les propositions vraies : Les calculs dřacide
urique :
5) Parmi les 5 propositions suivantes, choisissez les propositions vraies : Une pyélonéphrite
aiguë :
6) En présence dřune colique néphrétique sans calcul radio-opaque avec des cavités pyélo-
calicielles dilatées, indiquez parmi les diagnostics suivants, lequel ou lesquels sont possibles
:
7) Parmi les 5 propositions suivantes, choisissez la seule proposition vraie : Les lithiases
rénales phospho-amoniaco-magnésiennes traduisent :
A - Une hyperphosphorémie
B - Une hypophosphorémie
C - Une infection à germes uréasiques
D - Une hypercalciurie
E - Une hyperuraturie
8) Indiquez parmi les complications suivantes des calculs réno-urétéraux celle(s) qui
appelle(nt) une intervention dřurgence :
A - Pyélonéphrite obstructive
B - Lombalgies
C - Anurie calculeuse
D - Cystalgies
E - Pyurie isolée
176
C - Alimentation limitée en sel et en protéines animales
D - Alimentation riche en oxalate
E - Diurèse abondante, supérieure à 2L
10) Quels signes radiologiques peuvent être observés sur un scanner abdomino- pelvien
sans injection lors dřune crise de colique néphrétique aigue ?
A- Ionogramme sanguin
B- NFS
C- Créatininémie
D- Lactates
E- CRP
A- Cristallurie
B-Glycémie à jeun
C- Créatininurie des 24h
D- Calcémie
E- Bilan lipidique
3) Quels signes radiologiques peuvent être observés sur un scanner abdomino-pelvien sans
injection lors de la crise de colique néphrétique aiguë ?
4) Parmi ces différentes situations cliniques, lesquelles peuvent indiquer la réalisation d'une
LEC ?
177
A- Alcalinisation des urines en cas de calcul d'acide urique
B- Limiter les boissons
C- Alimentation limitée en sel et et en protéines animales
D- Alimentation riche en oxalates
E- Diurèse abondante, supérieure à 2 L
7) Un patient présente un calcul de l'uretère iliaque bloqué avec une dilatation urétéro-
pyélocalicielle en amont et fièvre de 39,5°C. La fosse lombaire est sensible à la palpation.
Quels sont le(s) traitement(sà à mettre en œuvre en urgence.
A- Lithotritie extracorporelle
B- Uréteroscopie
C- Drainage des urines en amont du calcule
D-Antibiothérapie
10) Parmi les éléments suivants lesquels font une infection urinaire est dite « compliquée »
A- Fièvre
B- Femme enceinte
C- Uro-sepsis
D- Anomalie de la jonction pyélo-urétérale
E- Homme
A- Fièvre
B- Femmeenceinte
C- Uro-sepsis
178
D- Anomalie de la jonction pyélo-urétérale
E- Homme
QCM 2 : Quels sont les germes fréquemment retrouvés lors dřune infection urinaire ?
A- Entérocoque
B- Staphylocoques
C- Anaérobies
D- Yersinia
E- E.Coli
QCM 4 : Devant une cystite aiguë non compliquée de la femme, quelles sont les affirmations
vraies ?
QCM 5 : Quel est le seul examen biologique devant obligatoirement être réalisé aux
urgences lors de la prise en charge dřune crise de colique néphrétique aiguë simple ?
A- Ionogramme Sanguin
B- NFS
C- Créatininémie
D- Lactates
E- CRP
QCM 6 : Quels signes radiologiques peuvent être observés sur un scanner abdomino-
pelvien sans injection lors dřune crise de colique néphrétique aiguë ?
QCM 7 : Quelles sont les réponses FAUSSES quant au traitement médical de la maladie
lithiasique ?
179
QCM 8 : Concernant les pyélonéphrites aiguës :
QCM 9 : Un patient présente un calcul de lřuretère iliaque bloqué avec dilatation urétéro-
pyélocalicielle en amont et fièvre à 39,5°C. La fosse lombaire est sensible à la palpation.
Quel(s) est (sont) le(s) traitement(s) à mettre en œuvre en urgence ?
A- Lithotritie Extracorporelle
B- Urétéroscopie
C- Drainage des urines en amont du calcul
D- Antibiothérapie
E- Toutes les propositions précédentes sont vraies
MAI 2020 -
QCM 1 : Parmi les éléments suivant lesquels font quřune infection urinaire est dite «
compliquée » ?
A - Fièvre
B - Femme enceinte
C - Uro-sepsis
D - Anomalie de la jonction pyélo-urétérale
E Ŕ Homme
QCM 2 : Quels sont les germes fréquemment retrouvés lors dřune infection urinaire ?
A - Entérocoque
B - Staphylocoques
C - Anaérobies
D - Yersinia
E - Escherichia coli
180
C - La présence de nitrite ne nous oriente pas vers une infection à Staphylocoque
D - Lřanalyse doit se faire sur urine fraichement prélevée
E - Un ECBU peut être négatif malgré une BU positive
QCM 4 : Devant une cystite aiguë non compliquée de la femme, quelles sont les affirmations
vraies ?
QCM 5 : Quel est le seul examen biologique devant obligatoirement être réalisé aux
urgences lors de la prise en charge dřune crise de colique néphrétique aiguë simple ?
A - Ionogramme sanguin
B - NFS
C - Créatininémie
D - Lactates
E Ŕ CRP
QCM 6 : Quelles sont les réponses FAUSSES quant au traitement médical de la maladie
lithiasique ?
QCM 8 : Un patient présente un calcul de lřuretère iliaque bloqué avec dilatation urétéro-
pyélocalicielle en amont et fièvre à 39,5°. La fosse lombaire est sensible à la palpation.
Quel(s) est (sont) le(s) traitement(s) à mettre en œuvre en urgence ?
A - Lithotritie extracorporelle
B - Urétéroscopie
C - Drainage des urines en amont du calcul
D - Antibiothérapie
E - Toutes les propositions précédentes sont vraies.
181
E - Toutes les propositions précédentes sont vraies.
QCM 2
Parmi les 5 propositions suivantes, choisissez les propositions vraies. Les calculs
d’acide urique
A/ nécessitant des urines acides pour se développer
B/ peuvent se dissoudre
C/ peuvent évoluer sous forme coralliforme
D/ font suite à des crises de goutte dans les antécédents
E/ sont formées par précipitation de lřurate de sodium
QCM 3
En présence d’une colite néphrétique sans calcul radio-opaque avec des cavités
pyélocalicielles dilatées, indiquez parmi les diagnostics suivants lequel ou lesquels
sont possibles
A/ calcul urétral dřacide urique
B/ kyste du rein
C/ hydronéphrose aiguë
D/ thrombose de la veine rénale
E/ tumeur de la voie excrétrice
QCM 4
Indiquez parmi les complications suivantes des calculs rénaux-urétraux celle(s) qui
appelle(nt) à une intervention d’urgence
A/ pyélonéphrite obstructive
B/ lombalgie
C/ anurie calculeuse
D/ cystalgies
E/ pyurie isolée
QCM 5
Quelles sont les réponses FAUSSES quant au traitement médical de la maladie
lithiasique ?
A/ alcalinisation des urines en cas de calcul dřacide urique
182
B/ limiter les boissons
C/ alimentation limitée en sel et protéines animales
D/ alimentation riche en oxalates
E/ diurèse abondante supérieure à 2 litres
QCM 6
La constatation sur la bandelette urinaire réactive d’un test positif aux nitrites sur des
urines fraîchement émises signifie que
A/ lřurine contient du sang
B/ lřinfection urinaire est certaine
C/ lřinfection urinaire est peu probable
D/ lřurine contient du glucose
E/ lřurine contient des corps cétoniques
QCM 7
L’analyse des urines par bandelettes réactive oriente vers l’infection urinaire si :
A/ les leucocytes sont positifs isolément
B/ le sang est retrouvé fortement positif isolément
C/ en présence de corps cétoniques
D/ en présence de leucocytes, sang et nitrites
E/ densité urinaire supérieur à 1010
QCM 8
Parmi les 5 propositions suivantes, choisissez les propositions vraies
A/ peut sřaccompagner de signes spécifiques
B/ pourrait être associée chez une femme à un risque accru de prématurité
C/ peut faire suite à un sondage vésicale
D/ est rare en lřabsence de lithiase rénale
E/ est souvent consécutive à une infection à Staphylococcus aureus
QCM 9
Parmi les 5 propositions suivantes, choisissez les propositions vraies. Les facteurs
favorisants d’infections urinaires au cours de grossesse sont :
A/ les modifications anatomiques, dont une compression directe de lřappareil urinaire par
lřutérus gravide
B/ les modifications hormonales
C/ les modifications des propriétés physico-chimique des urines
D/ lřimmunodépression physiologique favorisant la présence de bactéries dans lřappareil
urinaire
E/ lřâge, lřâge gestationnel et de la multiparité
QCM 10
Parmi les éléments suivants lesquels font qu’une infection urinaire est dite
“compliquée” ?
A/ fièvre
B/ femme enceinte
C/ urosepsis
D/ anomalie de la jonction pyélo-urétérale
E/ homme
183
Épreuve Néphrologie
Remarque : pour chaque question il vous est demandé une réponse concise (quelques
lignes) basée sur vos connaissances de physiologie.
Le médecin lui a dit qu'il souhaitait approfondir le bilan biologique afin de préciser l'état de sa
fonction rénale (= débit de filtration glomérulaire) et la régulation hormonale de
l'homéostasie calcique. Par ailleurs, il a conseillé à la patiente de boire au moins 1 à 1,5 litre
de plus par jour en dépit d'une valeur de natrémie diminuée.
3) L'apport calcique de cette femme enceinte vous paraî t-il convenable ? Si l'on considère
que cette patiente ne présente pas de « maladie » de l'homéostasie calcique, comment
expliquez-vous son hypercalciurie ?
4) Quels sont les facteurs qui peuvent avoir favorisé la survenue de lithiases urinaires chez
cette femme enceinte ?
5) Demander à cette patiente de boire plus lui fait-il courir un risque d'aggravation de son
hyponatrémie ? Expliquez votre réponse en vous basant sur la régulation de l'homéostasie
hydrique au cours de la grossesse.
184
Sa pression artérielle est à 110/160mmHg et il n'y a pas de protéinurie sur la bandelette
urinaire. Un bilan biologique sanguin montre (valeurs usuelles pour la population générale
entre parenthèse) : créatinémie 80μmol/L (50-90) ; natrémie 134mmol/L (136-145). Sur un
recueil urinaire bien fait, la natriurèse est de 185mmol/24h, ce qui permet d'estimer que ses
apports sodés alimentaires sont d'environ 11g/jour. Par ailleurs, depuis un épisode de
colique néphrétique il y a 4 ans, elle boit 2 L d'eau par jour et consomme 1000mg de
calcium/jour.
3) On a conseillé à la patiente de réduire ses apports sodés. Citez trois aliments riches en
sodium qu'elle devra limiter dans cette condition.
5) Quels sont les risques potentiels d'une réduction marquée des apports liquidiens de cette
femme.
Parmi les examens biologiques qui ont été réalisés, on dispose (valeurs usuelles pour la
population générale entre parenthèses) : calcémie totale = 2,20mmol/L ; calcémie ionisée =
1,24mmol/L (1,16 Ŕ 1,30). Sur un recueil urinaire bien fait, la calciurie représentait 8mmol/24
heures (2 Ŕ 6).
Lors de l'enquête alimentaire, l'apport calcique quotidien a été estimé à 1500mg/jour. Elle
rapportait limiter volontairement ses apports liquidiens à 1 L par jour par crainte d'aggraver
les petits œdèmes des chevilles qu'elle présente en fin de journée.
185
3) Quels sont les autres facteurs qui peuvent avoir favorisé la survenue d'une lithiase
urinaire chez cette femme enceinte ?
4) Lui conseiller de boire plus d'eau l'expose-t-elle à un risque de majoration des œdèmes
physiologiques de la grossesse ?
5) Elle envisage d'allaiter son enfant. Décrivez brièvement les modifications physiologiques
de l'homéostasie calcique qui surviennent au cours de l'allaitement.
Remarque : pour chaque question, il vous est demandé une réponse concise (quelques
lignes) basée sur vos connaissances de physiologie
1) Une femme enceinte peut-elle boire 2 à 3 litres dřeau par jour sans danger (répondez par
oui ou par non) ? Justifiez votre réponse en 2 ou 3 phrases maximum à partir de vos
connaissances sur lřhoméostasie hydrique.
3) En-dehors des produits laitiers (lait, laitages et fromage), citer au moins 2 autres
sources alimentaires notables de calcium.
5) Citez la cascade des 3 hormones qui jouent un rôle dans la fonction dřépargne sodée
et indiquez leur cible principale.
6) Si elle souhaite réduire ses apports de sodium, citez 3 aliments riches en sodium
quřelle devra limiter en dehors de la réduction du sel ajouté aux aliments.
7) Sachant que la créatininémie seule nřest pas un moyen fiable dřévaluation, citez 2
moyens de déterminer la fonction rénale chez une femme enceinte.
186
Juin 2016 - Néphrologie - Professeur TACK
Une femme de 32 ans, enceinte au 7ème mois de grossesse, décrit un gonflement bilatéral
des chevilles, plus marqué en fin de journée et qui se majore depuis quelques semaines.
Sa pression artérielle est à 105/55 mmHg. Elle ne présente pas de protéinurie. Le bilan
biologique montre (valeurs usuelles pour la population générale hors grossesse entre
parenthèses) : créatininémie 40 μmol/L (50-90) ; lřestimation de la fonction rénale par le
CKD-Epi créatinine était de 132 mL/min/1,73m2 (chez la femme de 30 à 40 ans : 80-120).
Sa natrémie est de 133 mmol/L (136-144).
Sur un recueil urinaire bien fait, la natriurèse est de 204 mmol/24 heures, ce qui permet
dřestimer que ses apports sodés alimentaires sont dřenviron 12g/jour. Par ailleurs, elle boit
0,6L de liquide par jour et consomme 500 mg de calcium/jour.
1) Lřutilisation de la formule CKD-Epi créatinine est-elle légitime ici ? Citez deux autres
moyens de déterminer la fonction rénale chez cette femme enceinte en indiquant leur
avantage et limites.
3) Les apports sodés peuvent-ils contribuer à la formation de ses œdèmes des membres
inférieurs (expliquez brièvement pourquoi) ?
4) Citez trois aliments différents riches en sodium quřelle pourrait limiter si elle devait
réduire son apport sodé.
5) Son volume de boisson est-il adapté à la situation ? Explicitez votre réponse en indiquant
les possibles conséquences de cet apport.
187
simplement dřœdèmes physiologiques de la grossesse et que sa fonction rénale. Il lui a
toutefois conseillé de réduire son apport en sodium.
1) Une femme enceinte peut-elle boire 2 à 3 litres d'eau par jour et sans danger (répondez
par oui ou non) ? Justifiez votre réponse en 2 ou 3 phrases maximum à partir de vos
connaissances sur l'homéostasie hydrique.
2) Citez les deux hormones qui régulent l'homéostasie du calcium, dites comment elles
agissent et indiquez quel est l'impact de la grossesse sur la gestion du calcium par
l'organisme.
3) En dehors des produits laitiers (laits, laitages, fromages) citez au moins deux autres
sources notables de calcium auxquelles elle devra faire attention.
4) Si elle souhaite réduire ses apports de sodium : hors de la réduction du sel ajouté aux
aliments, citez trois aliments riches en sodium qu'elle devra limiter.
5) Sachant que la créatininémie seule n'est pas un moyen fiable d'évaluation, citez deux
moyens de déterminer la fonction rénale chez une femme enceinte. Indiquez pour chacune
l'intérêt et les limites d'utilisation.
Elle a lu sur internet que cet épisode pourrait avoir altéré sa fonction rénale et quřil ne
faudrait plus manger de produits laitiers. Elle a aussi trouvé quřelle ne doit manger ni
rhubarbe ni épinards... ce quřelle ne faisait déjà pas. En fait, depuis sa grossesse elle
grignote des petits gâteaux et du chocolat. Elle prend aussi de la vitamine C car elle est
fatiguée depuis 2 mois. Par ailleurs, comme elle nřa jamais soif, elle prend des sodas qui
lřaident à atteindre à peine 1 litre de boisson par jour. Elle a dřailleurs peur de boire plus car
on lui a dit que cela pouvait aggraver les œdèmes quřelle présente depuis le début du
second trimestre de sa grossesse.
1- Quřest que la « fonction rénale », quelle est sa valeur en fin de grossesse et comment
peut-on la déterminer dans ce contexte ?
3- Dans le cas présent est-il légitime quřelle cesse de manger des produits laitiers après
avoir fait un calcul rénal, pourquoi ?
188
5- Est-ce que la gestion de lřeau est différente au cours de la grossesse et dans ce cas,
boire donne-t-il des œdèmes, pourquoi ?
6- Dans son cas, quel est le bénéfice éventuel de boire plus dřun litre par jour ?
Un bilan biologique sanguin montre (valeurs usuelles pour la population générale entre
parenthèses) : créatininémie 80 μmol/L (50 Ŕ 90) ; Fonction rénale estimée par la formule
Cockcroft et Gault : 31 mL/min ; natrémie 134 mmol/L (136 Ŕ 145). Sur un recueil
urinaire bien fait, la natriurèse est de 185 mmol/24 heures, ce qui permet dřestimer que ses
apports sodés alimentaires sont dřenviron 11 g/jour.
1. Quelle est la valeur normale de la fonction rénale chez une femme au 6ème mois de
grossesse ? Sachant que la fonction rénale de cette femme est en fait normale, comment
expliquez-vous le résultat obtenu avec la formule de Cockcroft et Gault ?
2. En dehors du dosage de la créatininémie et de la formule de Cockcroft et Gault.
Citez trois autres moyens de déterminer la fonction rénale chez une femme enceinte et
donner brièvement la principale limite de chacune.
3. Citez trois facteurs favorisant le développement dřœdèmes physiologiques chez la
femme enceinte.
4. Son apport sodé est-il important ? Si on envisage de le réduire, citez trois aliments
riches en sodium quřon pourrait lui conseiller de limiter.
5. Du fait de lřhyponatrémie, faut-il lui conseiller de réduire ses apports de boisson ?
Justifiez la réponse en vous basant sur vos connaissances de la régulation de lřhoméostasie
hydrique en cours de grossesse.
6. Citez 2 risques potentiels dřune réduction marquée des apports liquidiens chez cette
femme et expliquez par quels mécanismes ils sont délétères ?
Mai 2021
Une jeune patiente de 25 ans : poids 63 kg, indice de masse corporelle à 23 kg/ est suivie
depuis 2 ans sur le plan néphrologique pour une maladie de Berger ou néphropathie à IgA.
Elle prend actuellement une contraception par progestatifs seul ainsi que du RAMIPRIL 2,5
mg un comprimé par jour. Elle vient vous voir en consultation pour un projet de grossesse
avec une analyse de sang et dřurine récente. Elle présente un DFG estimé CKD-Epi à 37
mL/min/1,73m² (poids à 63 kg), et sa protéinurie sur un échantillon est de 0,5 g/g de
créatininémie.
1) Que lui répondez-vous quand au désir de grossesse ?
2) Quelles mesures complémentaires envisagez-vous au cas où elle choisit de mener
une grossesse quel que soit votre avis ?
Elle revient vous voir 6 mois après avec un test de grossesse et des bêtaHCG évolutifs. Son
premier trimestre se termine, elle fait 1h de route matin et soir pour son travail. Elle vous
amène ses automesures tensionnelles qui montrent, en moyenne, des valeurs à
189
140/90mmHg. Elle ne sait pas si ces valeurs sont acceptables pour son état de santé. Une
enquête diététique indique que ses apports sodés alimentaires sont dřenviron 10 grammes
de NaCl par jour.
3) Quelles sont les modalités pour valider ses mesures de pression artérielle au
cabinet?
4) Si les chiffres mesurés lors de la consultation sont similaires à ceux de lřautomesure
: que faites-vous ?
Malgré les actions mises en oeuvre, ses automesures montrent une majoration de sa
pression artérielle à 155/110 mmHg, la protéinurie augmente à 3 g/24h avec cliniquement
des oedèmes des membres inférieurs prenant le godet. Le DFG estimé CKD-Epi diminue à
38 ml/min/1,73m². Elle est à 31 semaines dřaménorrhée.
5) Que préconisez-vous ?
Finalement elle accouche à 32 semaines dřaménorrhée dřun bébé de 2 kg, ses paramètres
cliniques et biologiques sont contrôlés et elle est autorisée à sortir.
6) Que prévoyez-vous comme suivi dans le cadre de sa maladie rénale ?
190
UE 11 : SYSTÈMES
Sujets Digestif
JUIN 2013 – Dr MUSCARI
• 1) Citez (dans le sens physiologique de progression des aliments) les différents
organes constituant le tube digestif.
• 2) Citez les 3 artères digestives qui naissent de l'aorte avec les principales branches
et les organes qu'elles vascularisent.
191
Question 2 : Diagnostic clinique radiologique et étiologique dřune pancréatite aiguë.
Sujet 2 : Quels sont les signes cliniques dřune cholécystite aiguë lithiasique ?
Sujets Ophtalmologie
JUIN 2013 – Pr FOURNIE
Quelles sont les deux complications ophtalmologiques pouvant survenir au cours de
l'accouchement d'une patiente atteinte de myopie ? Décrivez-en les principaux signes
cliniques.
192
JUIN 2014 – Dr HAMID
• 1) Définissez la leucocorie.
• 2) Quels sont les diagnostics à évoquer devant une leucocorie ?
• 3) Quels sont les signes évocateurs d'un glaucome congénital ?
• 1) Définissez la leucocorie.
Quels sont les diagnostics à évoquer devant une leucocorie ? (3 diagnostics principaux)
193
• 2) Chez une patiente diabétique de type 1 enceinte, quelles sont les particularités du
suivi ophtalmologique ? (de sa rétinopathie diabétique)
Sujets Locomoteur
JUIN 2013 – Dr KRIN
• 1) Décrivez succinctement l'anatomie, la fréquence, la physiopathologie, les facteurs
favorisants, les signes cliniques et le pronostic de la forme la plus fréquente de paralysie
obstétricale du plexus brachial.
• 2) Ophélie a quatre mois. Elle vous est adressée avec l'examen ci-dessous :
imagerie décrivant une pathologie congénitale des hanches.
● Précisez le diagnostic (nom de la pathologie, méthode utilisée), les manœuvres
cliniques essentielles utilisées pour y parvenir, l'âge à partir duquel l'examen ici présenté est
pertinent.
● Quel aurait été l'examen à prescrire si Ophélie était suspecte de cette pathologie à
l'âge de six semaines ? Pourquoi ?
194
● Quel est le nom de la manœuvre réalisée ? Décrivez-la succinctement, ainsi que
l'orientation diagnostique qui en résulte.
● Quel examen complémentaire prescrivez-vous pour confirmer votre
diagnostic ? A quel délai ? Pourquoi ?
● Quelle attitude thérapeutique préconisez-vous en cas d'anormalité de l'examen sus-
mentionné ?
195
Quelles sont les complications majeures des fractures du bassin ?
196
Sujets Neurosensoriel
JUIN 2013 – Dr CALVIERE
1) Un patient de 35 ans se présente aux urgences avec une aphasie d'apparition soudaine
et des douleurs cervicales. Il n'a pas de fièvre et aucun antécédent.
● Quelles sont les principales régions cérébrales (nom, localisation, principale fonction)
qui peuvent être impliquées en fonction du type d'aphasie ?
● Quel examen doit-être fait en urgence ?
C. Quel diagnostic doit-on évoquer et quelle en est la cause principale à cet âge? D.
Citezdeuxautrescausespotentiellessilepatientétaitplusâgé?
2) Une patiente de 65 ans se présente pour des céphalées temporales évoluant depuis 1
mois avec une altération de l'état général, et des douleurs des ceintures.
● Quelle pathologie doit-on évoquer en premier lieu ?
● Que devez-vous vérifier à l'examen clinique ?
● Quel examen biologique est indispensable et signe quasiment diagnostic?
● Si cette patiente souffrait de céphalées épisodiques de longue date, quels
éléments cherchez-vous à l'interrogatoire en faveur de crises de migraine ?
4) Une femme de 75 ans est hospitalisée en urgence car elle présente depuis 1h30,
d'apparition brutale, un déficit moteur et sensitif de l'hémicorps droit associé à une aphasie.
a) Quel diagnostic évoquez-vous ?
b) Quel examen doit être réalisé en urgence ?
c) Si votre diagnostic est confirmé, quel traitement peut être envisagé ?
197
- Quels sont les signes d'une atteinte du système pyramidal à l'examen clinique ?
2/ Définissez :
2/ Définissez :
198
Mai 2019 - Dr DECOTTE
Question 1 : Quels sont les symptômes ORL du reflux gastro-oesophagien ?
Q2 : Quel est le test de dépistage de la surdité utilisé à la naissance ? Quel est son principe
? Quels sont ses avantages ? (7 points)
Sujets Dermatologie
JUIN 2013 – Pr FOURNIE
Mélanome : facteurs de risque, moyens diagnostiques et pronostic ?
Elle se plaint d'un prurit depuis 5 jours, sur l'abdomen et les cuisses. Vous remarquez des
plaques et des papules érythémateuses sur ces zones.
Ce résultat est normal, ainsi que la biopsie de peau et l'immunofluorescence cutanée que le
dermatologue que vous aviez contacté avait réalisé . Il s'agit d'une éruption polymorphe
gravidique.
3) La future maman très inquiète vous demande si cela aura des conséquences pour son
bébé. La rassurez-vous ? Pourquoi ? Quelle information pouvez-vous lui donner sur
l'évolution spontanée de cette dermatose ?
199
Vous revoyez la patiente dans les semaines qui suivent l'accouchement. Elle vous signale
une accélération de la perte de ses cheveux, et une diminution homogène de sa densité
capillaire.
5) Quel bilan sanguin peut être nécessaire pour rechercher une autre cause ?
1) Elle se plaint dřun prurit depuis 5 jours, sur lřabdomen et les cuisses. Quelles dermatoses
spécifiques à la grossesse évoquez-vous systématiquement devant un prurit en cours de
grossesse ?
2) Elle vous apporte son dernier bilan biologique fait il y a 7 jours : les éosinophiles sont
légèrement augmentés et le bilan hépatique, y compris le dosage de sels biliaires, est
normal. A lřexamen clinique vous remarquez des plaques et des papules érythémateuses
sur lřabdomen avec une atteinte de la région péri ombilicale. Quel bilan complémentaire
faites-vous ?
4) La future maman très inquiète vous demande si cela aura des conséquences pour son
bébé et pour elle. La rassurez-vous ? Pourquoi ?
1) Quels sont les principaux éléments cliniques qui vous permettent de vous orienter vers
cette hypothèse clinique ?
200
Août 2017 – Dermatologie – Dr LIVIDEANU
1) Citez les 3 dermatoses spécifiques de la grossesse qui entrainent toutes un prurit
2) Énumérez au moins trois manifestations qui peuvent être présentées par une personne
atopique.
• 1- Quels sont les principaux éléments cliniques qui vous permettent de vous orienter
vers cette hypothèse clinique ?
• 2- Quels examens complémentaires faites-vous pour confirmer ce diagnostic ?
• 3- Quel est le pronostic maternel et fœtal ?
201
UE 14b : PHARMACOLOGIE
Question 2 : Vous recevez Mme M. 28 ans pour un suivi de grossesse. Elle est à 6 mois de
grossesse. La patiente souffre d'un trouble anxieux généralisé depuis environ 10 ans, qu'elle
gère avec la prise quotidienne d'une benzodiazépine, le diazépam VALIUM 10mg par jour.
202
Question 1 : Donnez les principaux effets indésirables de type A des neuroleptiques. Pour
chaque effet indésirable de type A, vous donnerez la propriété pharmacologique qui explique
l'effet indésirable.
Question 2 : Mme T., enceinte de 3 mois, souffre dřune sciatique. Elle vous demande si elle
peut prendre de lřibuprofène pour traiter sa douleur. Que lui répondez-vous et quels
antalgiques lui conseilleriez-vous selon lřintensité de sa douleur (citez un médicament par
pallier de lřOMS) ? Après lřaccouchement, si la patiente allaite son enfant, quelle sera la
stratégie thérapeutique ?
Sujet n°2 : Décrire les 3 mécanismes dřaction des antiépileptiques. Lřacide valproï que
DEPAKINE est une antiépileptique. Donner les effets tératogènes de ce médicament ainsi
que ses effets sur le neuro-développement de lřenfant à naitre.
Lřacide valproï que DEPAKINE est un anti-épileptique. Décrire les effets tératogènes de ce
médicament ainsi que ses effets sur le neuro-développement de lřenfant à naître.
203
Mai 2018 – Pharmacologie modulaire - Dr SOMMET
• 1) Décrire et expliquez les effets indésirables des benzodiazépines.
• 2) Décrire la prise en charge médicamenteuse de la constipation chez la femme
enceinte et la femme allaitante, illustrez avec des exemples de médicaments ( en
dénomination commune internationale).
Question 2 :
204
MAI 2020 – 1ère session
Question 1 :
Dřaprès les informations dont vous disposez, vous réaliserez une plaquette dřinformation
destinée à vos patientes sur la prise dřun antitussif (en cas de toux sèche), en insistant sur
les risques et les précautions dřemploi.
Question 2 :
Vous êtes interrogé(e) sur les médicaments prescrits dans le traitement de lřhypertension
pendant la grossesse. La patiente veut savoir quels médicaments sont à éviter.
1) contre-indiqués,
2) déconseillés ?
Question 2 :
a. Quel est le mécanisme dřaction de lřibuprofène ? Quels sont les effets indésirables
les plus fréquents avec cette classe de médicaments chez lřadulte ?
b. Quels sont les risques auxquels sřexpose une grossesse avec ce médicament aux
différentes périodes de sa grossesse ? Yřa-t-il un risque sur la grossesse ? Expliquez
205
UE 15b : ANGLAIS SCIENTIFIQUE ET MÉDICAL
- Question de cours sur la leçon « Pregnancyřs balancing act » au sujet des modifications de
la colonne vertébrale de lřHomme au cours du temps et sur les modifications permettant à
une femme enceinte de se tenir sur ses deux pieds (100 mots minimum).
206
BON COURAGE
LES LOULOUS ET
À BIENTÔT EN
STAGE !!
207