TP Chimie Aquatique Fusionner
TP Chimie Aquatique Fusionner
TP Chimie Aquatique Fusionner
Etudiantes : Enseignants :
Rania BOUDRAF Benjamin Oursel
Kawthar RACHID Patricia Merdy
Sarah AOUIMEUR
Meriem HAMITOUCHE
Sommaire :
I. Introduction :………………………..
II. PARTIE I :
● Analyse sur le sol :
- Échantillonnage:.................................................................................
..
- Mesure de taux d'humidité : ……………………………………………
III. PARTIE II :
● Analyse sur l’eau :
- Echantillonnage : …………………………………………….
- COD:...................................................................................
- CID:....................................................................................
- TN:.....................................................................................
IV. Conclusion
I. Introduction :
L'évaluation de la pollution revêt une grande importance dans le développement
sain de la vie contemporaine, qu'elle soit liée à l'environnement aquatique, terrestre
ou microbiologique. Des contrôles qualitatifs sont essentiels pour comprendre et
lutter contre les effets des polluants sur la nature. L'eau, en tant que principal support
de la vie, est la cible privilégiée de la recherche de pollution, sa qualité étant le
premier indicateur d'un environnement pollué ou non. Les prélèvements effectués en
surface et en profondeur, suivis d'analyses, fournissent les informations nécessaires
pour caractériser les zones étudiées.
Tout au long de cette étude, nous accorderons une attention particulière aux
concentrations de certains polluants et constituants, dans le but d'évaluer la qualité de
l'eau et des sols conformément aux normes européennes et aux directives de l'OMS.
PARTIE I : Analyse sur le sol
1-Échantillonnage du sol :
BUT :
L'analyse du sol joue un rôle essentiel dans la production végétale et la gestion des éléments
nutritifs. Elle représente la méthode la plus efficace pour planifier correctement l'application
d'engrais dans les exploitations agricoles qui dépendent principalement d'engrais commerciaux pour
leurs besoins nutritionnels. De plus, il est particulièrement crucial, notamment pour les fermes
d'élevage, de disposer d'informations sur la composition initiale en éléments nutritifs du sol. Ces
données serviront de base pour élaborer un plan de gestion des éléments nutritifs, permettant ainsi
une gestion adéquate à la fois
des éléments. nutritifs produits sur la ferme et de ceux reçus sous forme de biosolides et d'engrais
commerciaux
Zone d’échantillonnage :
Le lieu de prélèvement des échantillons de sol a un impact significatif sur la précision de l'analyse.
Pour de petites parcelles, il est facile de prendre un échantillon dans chaque champ. Cependant, pour
les champs de grande envergure, il est nécessaire de diviser en zones plus petites pour les
échantillons.
L'objectif est de garantir que chaque zone d'échantillonnage soit homogène et distincte des autres pour
des résultats fiables.
Profondeur d'échantillonnage
Dans le cas des analyses visant la gestion des éléments nutritifs, on prélève normalement les
échantillons à une profondeur d'environ 15 cm , étant donné que la majorité des racines se
développent jusqu'à cette profondeur et que le travail du sol assure le mélange des
éléments nutritifs jusqu'à environ 15 cm.
Prélèvements :
A noter que : 1- L’outil de prélèvement doit être choisi en fonction de son utilisation.
2- L’outil de prélèvement ne doit pas polluer l’échantillon.
Matériel utilisé :
- Les tarières de type « hélicoïdale » (type Edelman) pénètrent dans le sol par rotation.
- Tarière très polyvalente qui permet de prélever en conditions sèches, humides,
ou caillouteuses.
-
Date : 4 /10 /2023
On a réalisé 5 prélèvements a différentes endroits sur la campus del’universités de Toulon – La garde.
Sol 1
Sol 2
● Sechage :
But : Une fois les échantillons collectés, on procède à leur dessiccation pour pouvoir déterminer leur teneur
en humidité.
Matériel utilisé
- Barquette
- Balance
- Spatule
- Lampes IR a environ 60 C
Une lampe IR (infrarouge) pour le séchage est une source de chaleur qui émet des rayons
infrarouges, une partie du spectre électromagnétique. Ces rayons infrarouges ont la capacité de
chauffer les matériaux qu'ils touchent en pénétrant la surface. Dans le contexte du séchage, les
lampes infrarouges sont utilisées pour chauffer et dessécher des échantillons, des revêtements,
ou d'autres matériaux en évaporant l'humidité à l'intérieur.
mode opératoire
Après une semaine dans le four, les échantillons sont dits « séchés ».
2-Teneur en eau des sols (Humidité)
Définition :
La teneur en eau du sol se définit par le pourcentage d'eau contenue dans un sol rapporté au
poids du sol sec ou au volume. La mesure de teneur en eau permet de déterminer quel est le
pourcentage massique (H%) d’eau dans un sol étudié, c'est-à-dire quelle est la masse d’eau
présente par rapport à 100 grammes de sol sec.
Teneur en eau (H%) = (mi − mf) / mf x100
mh : masse humide de l’échantillon (mi) avant sa mise en condition dans l’étuve
ms : masse sèche de l’échantillon
Comprendre ces paramètres est essentiel pour gérer efficacement l'humidité des sols, que ce
soit dans le cadre de l'agriculture, de la gestion de l'eau ou de la construction. Les mesures du
taux d'humidité du sol sont également importantes pour optimiser la croissance des plantes et
éviter des problèmes tels que la sécheresse ou l'excès d'eau.
.
Dans cette partie du TP, nous souhaitons mesurer le pH H2O et le ph KCL de nos différents sols
La mesure du pH d’un sol est une analyse importante. En effet, selon son pH, un sol peut-être plutôt acide ou
basique ou neutre. Et en conséquence peut réagir différemment en fonction de son pH.
Le pH du sol varie d’une zone à une autre, et il est influencé par divers facteurs. (matière organique, la
précipitation, la végétation, l’activité microbienne, les angrais,..)
Pour réaliser les mesures des différents pH on se propose d’utiliser un pH-mètre : le pH-mètre Cyberscan 510Ph.
Tout d’abord, nous allons réaliser l’étalonnage de l’appareil afin de veiller à son bon fonctionnement.
➔ Mode opératoire de l’étalonnage du pH-mètre
- Mettre en marche l’appareil et sortir délicatement la sonde de sa protection.
- Insérer la sonde dans une solution tampon au pH = 4.
- Calibrer le pH-mètre sur cette valeur.
- Répéter ces étapes pour les solutions tampons aux pH 7 et 10, en rinçant la sonde avec de l’eau mQ entre chaque
tampon.
- Remettre la sonde dans sa protection après utilisation.
1- PhH2o
On se propose alors dans un premier temps, de préparer nos échantillons de sols afin de pouvoir mesurer leur
pHH2O.
➔ Mode opératoire de la préparation des solutions pour le pHH2O
- Prélever 10g d’un échantillon de terre préalablement tamisé et broyé.
- Verser cette quantité dans un bécher de 200 ml puis ajouter 100 ml d’eau mQ.
- Laisser sous agitation magnétique pendant 1h.
- Répéter ces actions pour tous les échantillons
On précise que laisser agiter 1h n’était pas nécessaire ici, car nous n’avons pas réalisé nos expériences sous un flux de N2.
Enfin, on se propose de faire sédimenter nos solutions a l’aide d’une centrifugeuse, pour pouvoir réaliser les mesures de pH
dans des conditions optimales.
On remarque le ph dans les 5 échantillons est supérieur à 7 donc les sols des 5 échantillons sont alcalins.et ça due
au faite qu’on a fait notre TP dans la période où y’a pas de pluie, et aussi on fait des prélèvements des terre dans des
zones noue ou y’a pas des plantes qui vont libérer des acides organique dans le sol.
2-PH KCl :
PH du sol est souvent mesuré dans une solution d'KCl à une concentration de 1 M pour déterminer le pH du sol.
Cette mesure est appelée "pH en KCl" et est utilisée pour évaluer le pH du sol, car elle élimine certains des effets
tampons de la matière organique du sol, ce qui permet d'obtenir une mesure plus cohérente et significative du pH du
sol pour des fins d'analyse et de gestion agricole.
Pour réaliser les mesures du pH KCl on prépare les mêmes solutions que précédemment en remplaçant l’eau par du
KCl à 1 M. On réalise les mêmes manipulations et on obtient les résultats suivants :
Pour conserver le pH du sol nous allons utiliser le pouvoir tampon du complexe argilo-humique porteur de la charge
négative donc un lieu d’échange avec les cations ( H , Na , Ca ,Mg ).
+ + 2+ 2+
Plus le sol est riche en argile et en MO ( humus ) , plus sa CEC est grande .
Nous entreprendrons une analyse du complexe d'échange cationique en utilisant la méthode du chlorure de
cobaltihexamine ([Co(NH3)6Cl3]). Il est important de noter que ce solvant n'affecte en aucune manière le pH de nos
échantillons.
Le principe de cette méthode consiste à mettre en contact le complexe cobaltihexamine en excès avec un échantillon
de sol. Les cations échangeables présents dans le sol seront alors remplacés par les ions Co3+. La quantité de Co3+
adsorbée par le sol permet de déterminer sa capacité d'échange cationique (CEC). Pour l'obtenir, nous mesurerons la
quantité de Co3+ présente en solution à l'aide de la spectrométrie UV (à 473 nm), puis nous allons soustraire cette
quantité de la quantité initiale de cobaltihexamine.
Mode d'opératoire :
A noter que :
Avant de commencer notre expérience, nous prenons les mesures de sécurité indispensables, notamment
en portant des gants et en revêtant des blouses correctement fermées, étant donné que le
cobaltihexamine est une substance potentiellement nuisible pour la santé.
L’agitation du mélange permet une meilleure homogénéisation de la réaction.
Nos solutions contiennent des particules en suspension. Pour pouvoir effectuer le dosage par
spectrométrie, il est essentiel d'obtenir un mélange uniforme. Pour ce faire, nous utiliserons une
centrifugeuse qui permettra la sédimentation de nos mélanges.
A propos de spectrométrie UV
La spectrométrie UV est une technique d'analyse qui utilise la mesure de l'absorption de la lumière ultraviolette
pour obtenir des informations sur la composition chimique d'un échantillon. En essence, cette
méthode exploite la capacité des composés chimiques à absorber la lumière UV à des longueurs
d'onde spécifiques. En mesurant l'intensité de cette absorption, on peut identifier et quantifier les
composants présents dans un échantillon.
Etalonnage du spectromètre :
Nous avons préparé 5 solutions filles de cobaltihexamine à concentration différentes :
[Cob]*10 M : 0.5 , 2 , 6 , 10, 15 .
-3
C *V = C *V
mere fille
Résultats:
[Cob]*10 -3
A (473 nm) Echantillons A (473nm)
0.5 0.030 1
0.737
2 0.118 2
0.715
6 0.338 3
0.671
10 0.560 4
0.836
15 0.845 5
0.727
La pente a = yb-yaxb-xa=56
Y=ax+b A = 56C +0.003
A partir de cette équation on peut calculer les concentrations de cobalthexamine de nos solutions
Pour la solution 1 :
On a A = 0.737 nm
C1 = 0.737-0.00356= 13.1 mM
De même pour les autres solutions
Solution Concentration (mM)
1 13.1
2 12.7
3 11.9
4 14.8
5 12.9
Dans cette partie du TP, on se propose de déterminer le rapport C/N (%carbone / % azote) de nos différents
échantillons de sol.
Le rapport C/N est un indicateur qui permet de juger du degré d'évolution de la matière organique, c'est-à-dire de
son aptitude à se décomposer plus ou moins rapidement dans le sol. Il est couramment admis que, plus le rapport
C/N d'un produit est élevé, plus elle se décompose lentement dans le sol et au plus l'humus obtenu est stable. Afin
d’analyser la teneur en carbone et azote dans nos sols, nous allons utiliser un analyseur élémentaire : le Thermo
Scientific ™ FLASH ™ 2000
Pour finir, on introduit les échantillons et les standards dans l’analyseur, et après avoir programmé celui-ci on lance
les analyses. Après quelques jours d’analyse, on obtient les résultats suivant :
On calcule le rapport C/N :
Si le C/N est supérieur à 25 (il y a trop de carbone par rapport à l'azote), les micro-organismes acteur de la
décomposition (des végétaux par exemple) puisent de l’azote dans les réserves du sol. C'est le phénomène de faim
d'azote.
A l'inverse, si le C/N est inférieur à 25, les micro-organismes vont libérer l'azote en excès dans les sols, à disposition
des plantes.
Echantillon Rapport C/N
1 22.867
2 20.138
3 14.011
4 18.323
5 23.525
D’après ces résultats, on déduire que les sols du campus de l’Université de Toulon
Comporte de l’azote en excès.
III. PARTIE II : Analyse sur l’eau :
1-Echantillonnage :
Nous avons collecté nos échantillons d'eau en utilisant un seau attaché à unecorde, que
nous avons soigneusement abaissé pour éviter tout brassage, afin de ne pas altérer
l'analyse des particules en suspension. Le seau a été rincé à plusieurs reprises avec de
l'eaude la rivière. Nous avons ensuite effectué une analyse des échantillons sur place à
l'aide d'équipements portables .
La mesure des paramètres physicochimique est une étape qui est très importante dans notre TP, ces paramètres
vont nous donner plusieurs informations, qui vont nous aider de déterminer la composition composition de
l’eau.
Ph de l’eau :
La mesure de pH de l'eau : c’est la mesure de l'acidité ou de l'alcalinité de l’eau, et autrement dit la mesure de la
concentration des H+,dans l’eau :
PHH20 = -log10 [H+]
Nos données sont alors répertoriées dans le tableau ci-dessous :
Echantillons Zone Température ph
1 Pont 1 23,4 8,75
2 Pont 2 24,6 9 ,25
3 Pont3 23,8 8,21
4 Beal 1 21,2 7,49
5 Beal(sortiedefontaine) 20,1 7,06
6 robinet 24,4 7,66
Les valeurs de ph des 5 échantillons sont différentes et on justifie ça par divers facteurs :
-premièrement : on remarque que y’a une grande différence entre les valeurs de ph des échantillons qu’on a
prélevé dans les ponts et les valeurs de ph des échantillons qu’on a prélevé en face de Beal ,et qui est normal
parce que ils ne sont pas de la même source.
L’eau des échantillons 1, 2,3 :c’est l’eau qu’on a prélevé dans les ponts, leurs valeurs sont proches parce que ils
sont de la même source qui est l’eau de ruisseau pierrascas.
Les échantillons 4 et 5 : c’est l’eau qu’on prélever en face de béal, il vient de la même source qui est la nappe
souterrain, c’est juste que échantillon 5 on l’a prélevé directement de la sortie de la nappe et l’autre dans le
bassin.
Deuxièmement : on remarque que l’eau des ponts est basique par contre l’autre qui est en face de Beal est
proche de neutre et ça c’est normal parce que l’eau de la nappe est sous l’abri et elle est protégé des plusieurs
facteurs qui font augmenter le ph comme les minéraux qui se trouve dans les roches, et la température (si la
température augmente, le dégazage de co2 augmente et donc la concentration de l’acide carbonique diminue).
Mais par contre l’eau qu’on a prélevé dans les ponts, c’est l’eau de ruisseau pierrascas, et c’est une source qui
contient des roches détritique et des minéraux qui font augmenter le ph.
Troisièmement : même si les échantillons 1,2 et 3 sont de la même source mais comme même y’a une petite
différence, et ça revient à la température : si T augmente, y’aura un dégazage, le pourcentage de CO2 diminue
et donc l’acide carbonique diminue, l’eau devenue plus basique.
Et pour les deux échantillons 4 et 5: l’échantillon 5 :c’est l’eau qu’on a prélevé directement dans la sortie il a
un ph=7,06 neutre parce que il était protéger de toute infection. Mais par contre le ph de l’échantillon 4 ph=7,49
il a augmenté un peu et ça à cause des algues qui sont dans le bassin, les algues font la photosynthèse donc
vont absorber de CO2, la concentration de CO2 va diminuer, et donc la concentration de l’acide carbonique
diminue, l’eau devenue plus basique, le ph augmente.
La conductivité :
La conductivité de l'eau est une mesure de sa capacité à conduire le courant électrique. Elle dépend de la
concentration d'ions dissous dans l'eau, en particulier des ions chargés tels que les ions sodium (Na+), les ions
chlorure (Cl-), les ions calcium (Ca2+), les ions sulfate (SO42-), et d'autres électrolytes. Plus il y a d'ions
dissous, plus l'eau sera conductrice.
Cependant, il est important de noter que la conductivité seule ne donne pas d'informations sur la composition
chimique spécifique des ions dissous. Une analyse chimique plus détaillée est nécessaire pour déterminer quels
ions sont présents dans l'eau.
Les résultats qu’on a obtenus :
Echantillon Zone Conductivité (µs/cm)
1 Pont1 796
2 Pont2 950
3 Pont3 1068
4 Beal1 811
5 Beal2 819
6 robinet 442
-On remarque que la conductivité des échantillons qu’on a prélevé est plus grande que la conductivité de l’eau
de robinet, et ça c’est normal parce que l’eau e robinet est traité, et il est passé par plusieurs stations de
traitement, alors que les autres échantillons ils sont exposé à plusieurs facteurs qui vont leurs augmenter la
conductivité.
-La conductivité de l’eau des ponts est grande parce que elle est riche des sels minéraux qui se trouvent dans
les roches.
-La conductivité de la fontaine est grande à cause des microorganismes.
L’oxygène dissout :
L'oxygène peut se dissoudre dans l'eau, et ce processus est essentiel à la survie de nombreuses formes de vie
aquatiques, y compris les poissons. La solubilité de l'oxygène dans l'eau dépend de plusieurs facteurs,
notamment la température de l'eau, la pression atmosphérique et la salinité de l'eau.
Voici quelques points clés à retenir sur la dissolution de l'oxygène dans l'eau :
1. Température : En général, la solubilité de l'oxygène diminue lorsque la température de l'eau augmente.
Cela signifie que l'eau froide peut contenir plus d'oxygène dissous que de l'eau chaude.
2. Pression atmosphérique : La pression atmosphérique affecte également la solubilité de l'oxygène. À des
altitudes plus élevées, où la pression atmosphérique est plus faible, l'oxygène a tendance à se dissoudre moins
facilement dans l'eau.
3. Agitation : L'agitation de l'eau, comme les vagues dans un océan ou le brassage mécanique dans un
aquarium, favorise la dissolution de l'oxygène en permettant un contact plus intime entre l'air et l'eau.
4. Salinité : La salinité, c'est-à-dire la concentration en sels dissous, peut également influencer la solubilité
de l'oxygène. En général, l'eau douce peut contenir plus d'oxygène dissous que l'eau salée.
EAU 6 NA
comparaison : MES 2> MES 4 > MES 5 > MES 1 > MES 3
par comparaison avec ces indices de référence tous les échantillons possède
MES entre 0 et 50 (mg/L) ce qui signifie que l’eau dans ces régions sont de
bonne qualités, et il n ya pas bcp des matière en suspension qui en général
affecté la vie aquatique par son effet sur la pénétration du lumière solaire et les
cycle de l'oxygène et de carbone .
Dureté :
La concentration en ions calcium et magnésium ([Ca2+] et [Mg2+])
permet de déterminer la dureté de l'eau, ce qui revêt une importance particulière
lors de son chauffage, car des niveaux élevés de ces ions peuvent provoquer la
précipitation de calcaire (CaCO3 et MgCO3).
La mesure de la dureté de l'eau se fait en degrés hygrométriques,
équivalant à 4 mg de calcium et 2,4 mg de magnésium par litre, avec une
échelle de 0 à 50. Une eau à 0° est considérée comme douce, tandis qu'à partir
de 30°, elle est qualifiée de dure.
Globalement :
dureté 3 > dureté 5 > dureté 4 = dureté 2 > dureté 1
d'après le reference l’eau de campus est moy dure à dure et ces résultat
sont proches de celui marqué sur le carte de dureté d’eauen france : ( carte
du chap 1 chimie aquatique partie dureté )
nous avons obtener que l’eau et dure a moy dure tandis que la carte
montre que celui de la garde est très dure , ce diff de résultatrevient a la
methode utilise pour faire le calcul ( la méthode de calorimétrie n’est pas
bcp précis )
Oxydabilité :
Nos eaux subissent une contamination par des substances organiques provenant
de diverses sources, qu'elles soient d'origine animale, végétale, bactérienne ou
industrielle. C'est pourquoi il est essentiel d'évaluer la teneur en matière
organique de nos eaux pour les comparerà la norme de 5 mg/L d'oxygène
dissous, applicable aux eaux destinéesà la consommation humaine. L'indice de
permanganate d'une eau représente la quantité d'oxygène consommée par les
composés organiques oxydables contenus dans 1 litre de cette eau.
L’oxydabilité au KMnO4 permet alors l'estimation de la pollutionorganique
totale de l'eau.
Nos équations rédox des couples MnO4-/ Mn2+ pour le Permanganatede
potassium et CO2/ C2O42- pour l’oxalate :
2 CO2 + 2 e- ➡ C2O42-
On obtient en finalité notre équation bilan concernant la réaction entre l’oxalate et le
2 4 ➡ 10 CO +2 2 Mn
2 MnO4- + 16 H+ + 5 C O 2- 2+
+ 8 H O2
De meme, on a vérifier que L’IP obtenu correspond bien aix concentration en carbone déterminées par UV Ainsi, on a
V ( mL) IP (mg/L)
témoin 0.3
contrôle 3.5
etalonnage 4.74
EAU 1 2 5.73
EAU 2 1.48 3.98
EAU 3 1.2 3.03
EAU 4 0.45 0.50
EAU 5 0.8 1.68
EAU 6 (robinet) 0.40 0.33