Radiographie N2
Radiographie N2
Radiographie N2
Radiographic Testing
Août 2022
Notion de Base de
mathématiques
Puissance d’un nombre
3
Multiple et sous multiples
Il s'agit ici de faire travailler les opérations sur les puissances :
5
Proportion
𝒂 𝒄
On appelle proportion l’égalité de deux quotients : = ,
𝒃 𝒅
on écrira encore :
𝒂 𝒄 𝒂 𝒄
Le produit des extrême est égal au produits des moyens
𝒃 𝒅 𝒃 𝒅
✓ a et d se nommes les extrêmes
✓ b et c se nommes les moyens
On peut écrire par définition, que le produits des extrêmes est égal
aux produits des moyens, c’est-à-dire 𝑎 × 𝑑 = 𝑏 × 𝑐
Définition : 14 carré
est le nombre positif qui a pour atomesa. de fer (Fe)
a est un carré, donc un nombre positif ; ainsi ' ' n'existe pas.
1. Définition
Quelques exemples pour commencer :
représente le nombre positif qui a pour carré 4 : ce nombre
est = 2.
= 6.
=7
=5
représente le nombre positif qui a pour carré 2; on ne peut
pas écrire ce nombre autrement.
7
Notion de Logarithmes Décimaux
relation : 10 e +6 +6
10 e +3 +3
10 e +2 +2
10𝑙𝑜𝑔 𝑥 =𝑥 10 e +1 +1
10 e 0
C’est-à-dire logarithme décimal 10 e -1 -1
d’un nombre x est la puissance à 10 e -2 -2
9
Trigonométrie
1- Le triangle rectangle
Théorème de Pythagore c² = a² + b²
10
Trigonométrie
14
L’atome
15
L’atome
Nombre Z Z A–Z
16
L’atome
Numéro atomique
Ce nombre commun est noté Z et se nomme le numéro atomique
Retiens cependant que Z correspond au nombre de protons et non au nombre
d’électrons.
17
L’atome
18
L’atome
Z = 1 H hydrogène
Z=6 C carbone
Z = 92 U uranium
19
Tableau périodique des éléments
20
La radioactivité
Les ondes électromagnétiques
Les ondes électromagnétiques peuvent être classées par famille, leur
dénominateur commun est alors une gamme de fréquence, appelé domaine.
21
La radioactivité
Ainsi, on constate :
▪ Que la lumière visible est une infime partie des ondes électromagnétiques ;
▪ Que en imagerie médicale comme en soin, plusieurs fréquences sont utilisées (plus ou
moins pénétrante).
▪ Le tableau qui suit est un résumé du spectre des fréquences électromagnétiques, donnant les
grands domaines.
22
La radioactivité
- n +
+
+ n = neutrons
= noyaux He
- = électrons
particules + = positrons
ondes EM = photons
+ +
+ rayons X
+ + Trop E
+
24
Modes et transformations
Onde radio,
R Non ionisants Electromagnétique U.V.,
A E < 12,4 eV Visible
Infra rouge
Y Electromagnétique Micro-onde
O E > 12,4 eV Photons
N X et
N Non chargées Neutrons
E
M Ionisants
Légères Electrons
E
Particules
N
T Chargées α, p, d, f. f.
S
Lourdes
25
La pénétration des rayonnement dans la matière
26
La pénétration des rayonnement dans la matière
Les électrons sont des particules légères porteuses d’une charge électrique
élémentaire, négative pour les ≪ négatons ≫ et positive pour les ≪ positons ≫.
l’ionisation
l’excitation
28
Interaction des électrons avec la matières
29
Interaction des électrons avec la matières
Dans la gamme d’énergie (de 0 a quelques MeV), nous nous limiterons aux trois
processus d’interaction suivants entre les rayonnements électromagnétiques et la
matière :
L’effet photoélectrique ;
L’effet Compton ;
30
Interaction des électrons avec la matières
Pour que l'effet photoélectrique ait lieu, le photon doit avoir une énergie au moins
égale à l'énergie de liaison de l'électron.
31
Interaction des électrons avec la matières
32
Interaction des électrons avec la matières
Au cours d'un effet Compton (également appelé diffusion incohérente, un photon entre
en collision avec un électron.
Une partie de l'énergie du photon est transmise à l'électron, qui recule. Le reste de
l'énergie, h apparaît sous la forme d'un photon diffusé.
33
Interaction des électrons avec la matières
34
Interaction des électrons avec la matières
35
Les rayonnements
Généralités :
Le rayonnement X et Ɣ : sont des rayonnements électromagnétiques , tous comme
la lumière, les ondes radio …mais caractérisés par des longueurs d’onde très courtes.
36
Les rayons gamma :
Les rayons gamma sont émis lors de la désintégration spontanée d'une particule
qui compose le noyau atomique du radio-élément (radioactivité).
Radioactivité Naturelle:
Les radios isotopes existent en ,état naturel ( radium, Uranium ….)
Il émettent de façons spontanée des particules (α+ , β- ), ou des rayonnements ,
en se transformant dans le temps en corps simples différents.
A titre indicatif :
Rayonnements électromagnétique
Très énergétiques 0,25 ˃ ˃ 0,001 Å
Pénétration : plusieurs dm de plomb
37
Les rayons gamma :
Radioactivité Artificielle:
• Exemple : 59 Co + neutron 60 Co
• Les isotopes ainsi créés sont instables et on tendance à venir à l’état stable en
libérant de l’énergie sous forme de rayonnement
• Le 137 Cs est quant à lui directement récupéré dans les produits de fission
naturelle de l’Uranium
38
Les rayons X
• Les rayons X apparaîtront lorsque l’on perturbera, par rapport d’Energie
extérieur, le cortège électronique de l’Atome
• Cela se fera dans un tube à rayons X .
• Rappelons que l’électron tourne autour du noyau. Il possède une énergie qui
dépend de l ’orbite sur laquelle il se trouve. Deux phénomènes simultanés
apparaissent lorsque l’on bombarde un atome avec projectiles (qui sont eux
même des électrons lancés à grande vitesse.
1- Rayonnement de freinage
• Un « électron-projectile » passant près du noyau est dévié par celui-ci. Il perd
de l’énergie sous forme d’un photon X.
39
Les rayons X
1- Rayonnement caractéristique
• Ionisation et absorption
40
Les rayons X
41
Technologies des rayons
• Rappelons qu’une source " RADIOACTIVE " est un élément qui émet de façon
spontanée un rayonnement électromagnétique appelé rayons .
• Cet élément s’appelle également RADIONUCLEIDE, RADIOISOTOPE ou
RADIOELEMENT.
• En " Gammagraphie industrielle ", on utilise essentiellement 04 radioisotopes:
Unités d’activité
• 1 Ci = 37 GBq
Relations entre ces unités • 1 Bq = 27 pCi
• 1 TBq = 37 Ci
43
Technologies des rayons
• On définit la période T
44
Technologies des rayons
𝐴₀
Si elle faisais A₀, au bout de T, elle ne fera que .
2
Si elle faisais 20 Ci , au bout e T , elle ne fera que 10 Ci .
• Ceci est une notion très importante car L’ACTIVITE d’une source à un moment
donné de son existence:
I. Déterminera le temps de pose pour une radiographie.
II. Rendra compte des dangers qu’elle représente.
45
Technologies des rayons
Calcul d’activité
A : activité au temps "t"
A₀
• FORMULE A₀ : activité initiale
A= t/T t : temps
2 T : période du radioélément
46
Technologies des rayons
11 . FABRICATION ET PRESENTATION DES SOURCES
Fabrication
47
Technologies des rayons
- La capsule est composée de deux parties et soudées par bombardement
électronique (pou Ir, Co, et Tm) ou par soudure sous argon pour le (Cs)
- Cette capsule est elle-même " chargée " dans " une prote source " .
48
Technologies des rayons
111 . PORTE - SOURCE
• La source est très petite, il est nécessaire de l’installer dans une « PORTE SOURCE »
qui permettra de le véhiculer depuis sa position de stockage jusqu’à la postion de
travail et vice versa.
• Ci-dessous des différents types de porte - source .
49
Technologies des rayons
IV . APPAREILS DE RADIOGRAPHIE GAMMA
Une source dans son "porte-source" ne peut évidement pas être utilisée telle quelle.
Elle est incluse dans un appareils de Radiographie qui permet l’utilisation à distance .
Composition
Un appareil de radiographie
gamma se compose
essentiellement des éléments
suivants:
50
Technologies des rayons
51
Technologies des rayons
• Le projecteur :
Elément de base destiné à contenir le prote source, à assurer la protection
nécessaire pendant le transport et permettant d’utiliser le rayonnement dans
des conditions bien définies
52
Technologies des rayons
• La télécommande
Permettant la mise en œuvre à
distance du projecteur
- Manuelle (plus simple)
- Electromécaniques
• La gaine d’éjection
Conduit souple ou rigide destiné à guidé le
prote source depuis le projecteur jusqu’à la
position du travail. Elle comporte les
dispositifs de raccordement au projecteur et
de fin de course
53
Technologies des rayons
• Les accessoires:
Essentiellement des collimateurs
panoramiques ou directionnelles pouvant se
fixer directement ou en extrémité de gaine
d’éjection
54
Technologies des rayons X
• Rappelons que les rayons X prennent naissance au niveau du cortège électronique
de l’atome .
• Il faut donc des atomes. Ce sera la cible ou ANODE.
• Il nous faut des projectiles pour désorganiser le cortège électronique des atomes
de la cible, ce seront les électrons, émis par la CATHODE :
• Il faudra communiquer une grande énergie à ces électrons pour qu’ils puissent agir
sur les atomes. Ceci sera réalisé grâce à une haute tension (plusieurs centaines de
kV) créée par un GENERATEUR HT, piloté par un PUPITRE de COMMANDE.
• Le phénomène d’émission des Rayons X se réalisera dans un tube à rayons X.
55
Technologies des rayons X
1 . LE TUBE A RAYONS X
• IL se compose de 03 parties essentielles.
L’ANODE
Cible en tungstène qui, sous l’impact des électrons émettra les rayons X. Elle est
souvent appelée Anticathode en raison de sa forte densité (numéro atomique
élevé) et de sont point de fusion élevé (3400°C)
La CATHODE
(ou canon à électrons) est un filament qui, chauffé par u faible courant électrique
(quelques volts) émet des électrons.
Ces électrons sont accélérés par la haute tension communiquée par le générateur.
Les kV appliqués entre cathode et anode assurent la vitesse aux électrons
57
Production des rayons X
Current
58
Production des rayons X
Current
Free
electrons
59
Production des rayons X
-ve +ve
60
Production des rayons X
-ve +ve
61
Production des rayons X
-ve +ve
-ve +ve
Tungsten Target
63
Production des rayons X
-ve +ve
64
Production des rayons X
-ve +ve
X-rays / Bremsstrahlung
65
Technologies des rayons X
66
Production des rayons X
-ve +ve
68
Technologies des rayons X
Les tubes bipolaires sont généralement aisément identifiables par leur fenêtre de
sortie situé au centre du tube
Suivant le Forme de l’anode
69
Technologies des rayons X
Cooling
Rotating Target
71
Technologies des rayons X
72
Technologies des rayons X
99% de l’Energie apportée au tube est en fait perdue sous forme thermique. Il
convient donc de dissiper la chaleur de l’anode.
Plusieurs méthodes sont utilisées suivant le type de tube et l’utilisation de
l’appareillage.
73
Technologies des rayons X
74
Technologies des rayons X
En radiographie, lorsque l’on parle des dimensions du foyer, il s'agit le lus souvent
des dimensions du foyer optique.
Les dimensions des foyers des tubes les plus courants sont de 4x4 mm à 1x1 mm .
Ils existent des tubes avec des foyers allant de 500 jusqu’à 5 μm
75
Technologies des rayons X
La haute tension appliquée entre la cathode et l’anode peut être de deux types:
• TENSION CONSTANTE
• TENTION AUTO-REDRESSEE
76
Technologies des rayons X
77
Influence des kV et mA sur le spectre de rayonnement
1. INFLUENCE DES Kv
La haute tension appliquée au tube (kV)influe sur la vitesse des électrons se
projetant sur la cible
Rappelons que
12,34
𝜆ₘᵢₙ = ( 𝑒𝑛 Å)
𝑘𝑉
78
Influence des kV et mA sur le spectre de rayonnement
79
Influence des kV et mA sur le spectre de rayonnement
80
Influence des kV et mA sur le spectre de rayonnement
81
Loi d’absorption des rayons X
Les rayons X sont atténués en traversant la matière en raison des différentes
interactions possibles que nous venons de citer.
- De la densité du matériaux
- De l’épaisseur totale traversée
- De l’énergie du rayonnement
CAS D’UN RAYONNEMENT MONOCHROMATIQUE
COEFFICIENT D’ABSORPTION LINEAIRE
La loi représentant l’absorption des rayons X est une exponentielle (loi de Beer)
- I : Intensité restante
- I₀ : Intensité initiale
𝐼 = 𝐼₀ . exp (− μ . 𝑥) -
-
x : Epaisseur du matériau
e : Base des logarithmes népériens (e=2,718)
- μ: coefficient d’absorption linéaire
82
Loi d’absorption des rayons X
83
Qualité d’Image
On va effectuer un cliché radiographique.
Le demandeur de ce cliché désire que celui-ci ait une qualité donnée, afin d’y
détecter les défauts éventuels intéressants. Il ne s’agit pas que ces défauts soient
masqués par un cliché flou, trop sombre, trop clair etc….
I. DEFINITION de la Q . I
C’est l’aptitude à détecter les défauts éventuels. Cette détection dépend de deux
facteurs:
❑ Définition
❑ Contraste
84
Qualité d’Image
La définition
Nous allons étudier les facteurs ayant le plus d’influence sur la qualité d’image.
86
Qualité d’Image
1I. LE FILM
Les films que nous étudierons en détail plus loin, ont une influence considérable sur
la qualité d’image.
Définition et rapidité
▪ Les films ont des grains ( ou plus précisément des amas de grains)plus ou moins
gros. Ceci a une influence capitale sur la définition et inversement sur la rapidité
du cliché (on dit sensibilité)
▪ Par exemple, un film A sera plus rapide qu’un film MX, mais donnera des images
de moins bonne définition.
87
Qualité d’Image
Contraste
Les fabricants de pellicules sensibles caractérisent celles-ci par une courbe appelée
courbe sensitométrique qui donne les densités en fonction de lumination (doses
reçus).
88
Qualité d’Image
Sur la courbe ci-dessous, on voit bien que pour une même différence de luminations
on aura des différences de densités ( donc de contraste)plus élevées en deuxième
point qu’en premières point , ce qui est plus favorable à l’observation des faibles
défauts.
89
Qualité d’Image
111. LE FLOU GEOMETRIQUE
En lumière ordinaire (et ceci est également valable pour les rayons X et , dès que la
source n’est pas ponctuelle, il y a derrière un objet création d’ombre et de pénombre .
dxe
Fg=
D −e
Dimensions en mm
90
Qualité d’Image
Calcul de D
91
Qualité d’Image
ATTENTION : pour d
En toute rigueur, losque l’on a un foyer carré ou rectangulaire, il convient de
prendre d comme étant la diagonale de celui-ci (donc la plus grande dimension).
92
Qualité d’Image
1V. LE DIFFUSE
Le diffusé
▪ Ce diffusé sera d’autant plus important que les pièces à radiographier seront
d’épaisseur importante et densité élevée.
93
Qualité d’Image
Diffusé par l’environnement
94
Qualité d’Image
Diffusé par la piéce
La traversée de la pièce par le rayonnement primaire provoque du diffusé
Ce diffusé peut être en partie éliminée par les écrans renforçateurs au plomb ou par
les filtres.
La géométrie de la pièce peut parfois provoquer un diffusé important que l’on peut
atténuer à l’aide des masques de grenaille de plomb ou des pièce de compensation.
95
Qualité d’Image
V. LE RETRODIFFUSE
- fg : Flou géométrique
ft = fg 2 + fi2 + fd2 -
-
fi : Flou interne
fd : Flou dû ou diffusé
Le flou interne est dû à l’interaction des électrons arrachés dans les écrans ou dans
les film et qui ont suffisamment d’énergie pour impressionner plusieurs grains
d’halogénures d’argent.
97
Contrôle de la Q. I
Pour estimer la qualité d’un cliché radiographique, on se base sur la perception des
détails de l‘image produite sur le même cliché par un Indicateur de Qualité
d’Images « IQI« .
❖ 1 ͤ ͬ ͤ Règle impérative
L’IQI doit être fabriqué dans le même matériau que celui de la pièce à radiographier
❖ 2 ͤ ͬ ͤ Règle impérative
L’IQI doit être placé sur la pièce côté source de rayonnement (des dérogations
particulières peuvent être accepté dans des cas particuliers).
❖ Nous insistons sur le fait que l’IQI n’est qu’un moyen de contrôler la bonne
exécution du cliché.
99
Les différents I.Q. I
Le système d’IQI est basé sur une série de 19 fils dont les différents diamètres,
les tolérances et les numéros de fils sont spécifiés dans le tableau suivant .
Cette série de fils est partagée en quatre groupes (avec des recouvrements) de
sept fils de numéros consécutifs, à savoir W 1 à W 7, W 6 à W 12, W 10 à W 16 et
W 13 à W 19. Dans un IQI, les sept fils, d’égale longueur, sont disposés
parallèlement les uns aux autres, chaque fil ayant une longueur uniforme, l, de 10
mm, 25 mm ou 50 mm .
La désignation complète peut être abrégée et réduite au numéro du fil le plus
épais de l’IQI (par exemple W 10) et au matériau du fil (par exemple FE), quand
la référence à la présente partie de l’ISO 19232 est évidente.
EXEMPLE : W 10 FE .
100
Les différents I.Q. I
Numéros des fils, diamètres et tolérances « Dimensions en millimètres »
101
Les différents I.Q. I
➢ Matériau
Tous les fils d’un même IQI doivent être du même matériau. Ils doivent être disposés
dans une enveloppe protectrice constituée d’une matière qui ne doit pas affecter
l’indice de qualité d’image. Voir le Tableau suivant pour les matériaux utilisables pour
les fils.
➢ Marquage de l’IQI
Le marquage apposé sur l’IQI doit fournir les informations suivantes:
a) numéro du fil le plus épais (1, 6, 10 ou 13), indiqué à côté du fil le plus épais;
b) lettres d’identification du matériau utilisé, par exemple FE;
c) lettres ISO.
EXEMPLE 10 FE ISO
Les IQI ayant les lettres EN sont considérés comme étant identiques aux IQI ayant
les lettres ISO.
L’image radiographique du marquage ne doit pas provoquer d’éblouissement lors
de la lecture. Il est recommandé que le pouvoir absorbant du marquage ne dépasse
pas le double de celui du fil le plus épais.
102
Les différents I.Q. I
Types d’IQI et matériaux du fil utilisés pour les groupes de matériaux
correspondants
103
Les différents I.Q. I
▪ Utilisation des indicateurs de qualités d’image
➢ Choix
Les critères de choix d’un IQI doivent être le matériau soumis à essai et l’indice de
qualité d’image escompté ou requis.
➢ Disposition
Lors de l’examen radiographique, l’IQI doit être placé sur la surface de la partie
soumise à essai la plus proche de la source de rayonnement et la plus éloignée du
détecteur.
Si cela n’est pas possible, l’IQI peut être placé sur la surface de la pièce soumise à essai,
côté détecteur.
Pour indiquer que ce montage a été utilisé, l’image d’une lettre F doit être lisible sur le
radiogramme, à proximité du marquage de l’IQI.
L’IQI doit être disposé sur l’objet à un endroit où l’épaisseur est aussi uniforme que
possible.
Des dispositions de mise en place spéciales de l’IQI peuvent être indiquées dans les
normes d’application.
104
Les différents I.Q. I
▪ Détermination de l’indice de qualité d’image
La détermination de l’indice de qualité d’image doit se faire dans les conditions de
lecture des radiogrammes spécifiées dans l’ISO 5580.
Le numéro du fil le plus mince clairement visible sur le radiogramme doit être utilisé
comme indice de qualité d’image.
L’image d’un fil est considérée comme visible si l’on peut voir une longueur continue
d’au moins 10 mm
En général, l’indice de qualité d’image doit être déterminé pour chaque radiogramme
pour lequel une vérification de la qualité d’image est requise.
▪ Nombre de plage visible
Le nombre de fils visibles est déterminé par un examen visuel à l’aide d’un
négatoscope. Un fil considéré comme visible s’il est vu sur la totalité de sa longueur .
105
Les différents I.Q. I
▪ Expression des résultats
La qualité d’image est caractérisée de façon conventionnelle par l’épaisseur du
gradin le plus mince donc le ou les fils sont déclarés visibles.
106
Les différents I.Q. I
11. INDICATEURS À TROUS ET À GRADINS
La norme NF EN ISO 19232-2 « Essais non destructifs - Qualité d'image des
radiogrammes Partie 2 : Détermination de l'indice de qualité d'image à l'aide
d'indicateurs à trous et à gradins, spécifie un dispositif et une méthode de
détermination de la qualité d’image de radiogrammes utilisant des indicateurs de
qualité d’image à gradins et à trous.
107
Les différents I.Q. I
Le système IQI est basé sur une série de 18 gradins d’épaisseurs différentes et de
trous de diamètres correspondants spécifiés dans le Tableau suivant avec les
tolérances et les numéros de trous.
Ces gradins et trous sont répartis en quatre plages de six numéros de trous
consécutifs, se chevauchant, à savoir H 1 à H 6, H 5 à H 10, H 9 à H 14 et H 13 à H 18.
La désignation d’un indicateur de qualité d’image doit comprendre les lettres IQI, le
numéro de la présente partie de l’ISO 19232, le numéro du plus petit trou spécifié
dans le Tableau 1 (par exemple H 5) et le symbole du matériau de l’IQI (par
exemple FE).
EXEMPLE IQI ISO 19232-2-H 5 FE
108
Les différents I.Q. I
Numéros et diamètres des trous, épaisseurs des gradins et tolérances en fonction de la plage d’IQI « Dimensions en millimètres »
109
Les différents I.Q. I
➢ Matériau
Toutes les parties de l’IQI doivent être du même matériau et noyées dans un
revêtement protecteur qui ne doit pas affecter l’indice de qualité d’image.
Voir le Tableau suivant pour les matériaux d’IQI courants
➢ Marquage
Le marquage apposé sur l’IQI doit fournir les informations suivantes:
a) numéro du plus petit trou marqué à côté de celui-ci;
b) lettres d’identification du matériau d’IQI utilisé, par exemple FE;
c) lettres ISO.
EXEMPLE H 5 FE ISO
Les IQI ayant les lettres EN sont considérés comme étant identiques aux IQI ayant les
lettres ISO.
110
Les différents I.Q. I
Types d’IQI et de matériaux utilisés pour les groupes de matériaux
correspondants
111
Les différents I.Q. I
▪ Utilisation des indicateurs de qualités d’image
➢ Choix
L’IQI doit être choisi en fonction du matériau soumis à essai et de ses épaisseurs.
Chaque fois que possible, l’IQI doit être du même type de matériau que la pièce
soumise à essai.
➢ Disposition
Lors de l’examen radiographique, l’IQI doit être placé sur la surface de la partie
soumise à essai la plus proche de la source de rayonnement et la plus éloignée du
détecteur.
Si cela n’est pas possible, l’IQI peut être placé sur la surface de la pièce soumise à essai,
côté détecteur.
Pour indiquer que ce montage a été utilisé, l’image d’une lettre F doit être lisible sur le
radiogramme, à proximité du marquage de l’IQI.
L’IQI doit être disposé sur l’objet à un endroit où l’épaisseur est aussi uniforme que
possible.
Des dispositions de mise en place spéciales de l’IQI peuvent être indiquées dans les
normes d’application.
112
Les différents I.Q. I
▪ Détermination de l’indice de qualité d’image
La détermination de l’indice de qualité d’image doit se faire dans les conditions de
lecture des radiogrammes spécifiées dans l’ISO 5580.
Le numéro du plus petit trou clairement visible sur le radiogramme doit être utilisé
comme indice de qualité d’image.
Lorsqu’un gradin contient deux trous, les deux doivent être clairement visibles.
En règle générale, l’indice de qualité d’image doit être déterminé pour chaque
radiogramme lorsque l’examen radiographique exige une vérification de la qualité
d’image.
▪ Nombre de plage visible
Le nombre de trous visibles est déterminé par un examen visuel à l’aide d’un
négatoscope. Si la plage comporte 2 trous, elle sera considérée comme vue si les deux
trous sont détectés.
113
Les différents I.Q. I
▪ Expression des résultats
La qualité d’image est caractérisée de façon conventionnelle par l’épaisseur du
gradin le plus mince donc le ou les trous sont déclarés visibles.
114
Les différents I.Q. I
111. INDICE DE VISIBILITE
n = n 1 - n0
► Si n est positif ou égal à zéro, la qualité d’image est bonne.
► Si n est négatif, la qualité d’image est insuffisante.
115
Les différents I.Q. I
IV. SENSIBILITE I.Q.I
La sensibilité S en % est donnée par la formule suivante :
116
Films et laboratoire
10−2
𝑺= A NE PAS CONFONDRE AVEC SENSIBILITE DE DETECTION
𝑿
Les films peuvent être caractérisés par la grosseur des grains de Bromure d’Argent.
Plus les grains sont gros, plus le film aura une réponse rapide (il sera plus sensible).
Par contre sa définition (finesse de l’image) sera moins bonne.
La rapidité relative des différents films est fonction des conditions de prise de cliché
Energie, présence d’écran ….)
118
Films et laboratoire
A titre d’exemple, dans le cas d’utilisation de films entre écrans ou plomb et d’un tube
de 200 kV, on obtient les valeurs suivantes « Donnée constructeur développement
manuel »
KODAK AX : 1 MX : 2,4 M :4 R :9
AGFA GEVAERT D7 : 0,9 D5 : 1,8 D4 : 3,6 D2 : 13
Ce tableau est approximatif car il faut savoir que les rapidités relatives varient
légèrement avec l’Energie du Rayonnement X ou .
D’autre part, l’expérience montre que les qualités de fabrication des pellucules
sensibles varient dans une fourchette de l’ordre de 10%.
Conditionnement
Différents conditionnements sont proposés :
• Boite de 100
119
Films et laboratoire
Boite de 100 films VACUPAC – sous vide avec écrans plomb 0,027 mm
120
Films et laboratoire
• Différents Formats: selon l’usage que l’on veut faire.
Ne pas oublier la partie importante que prend le film dans le prix de revient d’un
radiographie. Donc, choisir les dimensions du film en fonction de la pièce à
radiographier.
Stockage
121
Films et laboratoire
• Sous l’effet de ces rayons X ou , les grains de bromure d’argent, qui ont été
touchés, ont été légèrement modifiés dans leur composition : c’est l’ IMAGE
LATENTE. Celle-ci est invisible pour nous, il faut donc, par un traitement
chimique approprié, rendre visible cette image latente.
C’est le TRAITEMENT du film dont les étapes sont décrites ci après et dont le
processus s’exécutera en Chambre noire.
1. Révélateur
2. Bain d’arrêt
3. Fixateur
4. Rinçage
5. Agent mouillant
6. Séchage
122
Films et laboratoire
123
Films et laboratoire
1. Révélateur
Le but du révélateur est de transformer les grains impressionnés en argent métallique par
attaque préférentiel de sites métastables.
Il faut agiter les films pour renouveler le révélateur à proximité de ceux-ci.
Si la température du révélateur augmente, la rapidité de développement augmente aussi. Il est
possible de modifier la température et le temps de développement, mais ceci joue sur les
caractéristiques du film. La plage de température est généralement comprise entre 18 et 24°C.
Lorsque l’on utilise un développement manuel, on régule le révélateur à 20°C et le temps de
développement est de 5 mn, il est possible d’augmenter le temps de développement jusqu’à
environ 8 mn sans trop modifier les caractéristiques du film. Le révélateur perd rapidement de
son efficacité et il est nécessaire de le regénérer. Après une régénération, le révélateur doit être
changé.
124
Films et laboratoire
2. Bain d’arrêt
Après le temps de révélation, on trempe le film dans un bain d’arrêt constitué soit d’eau
additionnée d’acide acétique, soit simplement d’eau renouvelée.
Ce bain n’a pas d’influence sur le développement mais protège le fixateur de la pollution par
le révélateur.
3. Fixateur
Le fixateur comme son nom ne l’indique, fixe les grains d’argent métalliques.
Pour faire, il élimine les sels d’argent non développés, laisse l’argent sous forme d’image et
durcit la gélatine.
La durée d’immersion dans le fixateur conditionne, en partie la conservation du film.
En traitement manuel, le temps de traitement dans le fixateur est environ 15 mn.
Le film perd sa couleur jaune pour prendre sa teinte définitive à la fin du temps
d’éclaircissement (# 1mn). Au bout de 3 à 5 mn, le film peut être interprété et replongé
dans le fixateur.
125
Films et laboratoire
4. Rinçage
Le rinçage élimine toutes les traces de produits chimiques pouvant continuer de réagir
avec le film. Le rinçage doit être soigné dans un bac avec renouvellement d’eau.
La température de l’eau n’est pas critique et sera comprise entre 16 et 24°C. La durée de
rinçage est comprise entre 20 et 30 mn.
Un bon rinçage améliore considérablement la durée de conservation du film.
5. Agent mouillant
Le film est trempé dans un bac d’eau additionnée d’agent mouillant. Ce bain évite, durant le
séchage, la formation des gouttes d’eau et par conséquent, des traces de calcaire sur le film
6. Séchage
Le séchage peut s’effectuer à la température ambiante, mais le temps de séchage devient
très long. Une enceinte thermostatée avec circulation d’air de haut en bas permet en
séchage d’environ 30 mn, Le séchage est complet lorsque les parties du film en contact avec
les cadres sont parfaitement sèches. la sécheuse à rouleau est idéale.
126
Films et laboratoire
7. Dans le cas d’un laboratoire de développement manuel, on peut s’inspirer du plan ci-dessous :
127
Films et laboratoire
Révélateur-
Fixateur
128
Films et laboratoire
Conditions de traitement manuel d’un
film
Action Table Lumière
Chargement des films et
Sèche
A- écrans de plomb
Inactinique
PREPARATION Déchargement des films et
Humide
mise en cadre
18° 6 minutes
B - TRAITEMENT DU FILM
129
Les écrans
Il existe deux types d’écrans:
❖ Les écrans métalliques (généralement en plomb)
❖ Les écrans fluorescents.
On rencontre également des écrans fluorométalliques qui sont une combinaisons des
deux.
Ecrans en plomb
Les écrans en plomb combinent les deux avantages suivant
➢ Ils absorbent les radiations de basse énergie (rayonnement diffusés et
secondaire.
➢ Ils sont ionisés par le rayonnement et les électrons Compton arrachés
impressionnent le film beaucoup plus sûrement que les photons. De ce fait, ils
réduisent le temps de pose. Le facteur de renforcement des écrans au plomb
dépend de la nature du rayonnement, du type de pièce.
130
Les écrans
Pour que l’effet renforçateur et l’effet de filtration soient efficaces, il faut :
➢ Un très bon contact entre écrans et film,
➢ Des écrans propres et non rayés
➢ une énergie suffisante des photons incidents(E > 100 KeV)
Ecrans fluorecents
Ces écrans émettent par fluorescence des radiations de faible longueurs d’ondes (UV,
bleu, vert). Ce sont des radiations qui impressionnent le film. Le temps de pose peut
être considérablement diminué, ceci au détriment de la qualités d’image.
Filtre
Les filtres sont utilisés pour modifier la nature des rayonnement. Les épaisseurs des
filtres en plomb varient généralement de 0,5mm à 2,5 mm.
131
Les écrans
Ils peuvent être situés entre ls source et la pièce pour durcir le rayonnement et, dans
le cas, il augmentent la latitude et diminuent le contraste. Des filtres en cuivre snt
généralement utilisés pour des tubes à rayons X : ils durcissent le rayonnement et
améliorent la qualité d’image pour des pièces épaisses.
Des filtres en plomb sont utilisés pour les rayons . Ils peuvent être situés entre la
pièce et le film pour limiter le diffusé créé par la pièce.
Blocage
Le blocage est constitué d’une plaque de plomb (2 à 3 mm) placés derriére le ou les
films.
Le rôle du blocage est d »éviter que le rayonnement rétrodiffusé vienne
impressionner le film.
Le blocage est indispensable pour obtenir une bonne qualité d’image.
132
Les écrans
1. CONSTITUTION DES CASSETTES
Il est courant d’utiliser pour prendre un cliché, une méthode en simple film, ou en
double film, avec ou sans écran.
Les cassettes correspondantes sont constituées de la maniére suivantes:
133
Les écrans
Les écrans renforçateurs sont généralement en plomb. L’épaisseur est fixée dans
certains cahier des charges. On peut s’inspirer du tableau suivant (valable pour l’acier)
Sources X X X X
<140 KV 140 -200 140 -400
Ir 192 Co 60 >1 MeV
mm
Antérieur 0 0,05 0,1 0,10 0,2 0,2
Postérieur 0,10 0,10 015 0,15 0,25 0,25
intermédiaire 0 0,05 0,05 0,10 0,10 0,25
Les écrans salins diminuent fortement le temps de pose, mais diminuent aussi la
qualité d’image. Ils ne sont pas conseillés.
Lorsque l’on utilise un filtre postérieur (postérieur à la pièce), le filtre est placé dans la
cassette pour éviter sa détérioration.
La cassette se compose de la manière suivantes:
134
Les écrans
135
Les écrans
Il est possible de calculer l’augmentation
du temps de pose en considérant une
épaisseur équivalente d’acier qui dépend
du diffusé, donc de l’épaisseur de la
pièce.
136
Les écrans
MASQUE DIAPHRAGME
137
Calcul des temps d’expositions
139
Calcul des temps d’expositions
Abaque : Co 60
140
Calcul des temps d’expositions
142
les constantes de calculs
Couche de demi - atténuation : CDA
Epaisseur de la couche d’une substance absorbante déterminée qui, interposée sur le
trajet d’un faisceau étroit de rayonnement donné, réduit de moitié la valeur d’une
grandeur liée au rayonnement (débit d’exposition, débit de dose absorbée).
X1/2 -
-
De l’énergie de rayonnement
143
les constantes de calculs
Rayons
1,17
Cobalts 60:60 Co 1,25 5,27 ans 1,31 2,54 100 21 13 250 66 41
1,33
Thulium 170:170 Tm 0,084 0,084 127 jours 0,0045 0,0087 10 1,3 0,13 - 6,3 1,3
144
les constantes de calculs
Rayons X
Rayons X Γꭓ X1/2
Constante spécifique en R.h-1.mA-1 à 1m Epaisseur de demi-atténuation en mm
Tension du tube à rayons X
(débit 1 mA ) Filtre inhérente
kV Béton Acier Plomb
Fenêtre de béryllium 0,07 mm de cuivre 0,1 mm de cuivre O,5 mm de cuivre ρ: 2,35 ρ: 7,8 ρ: 11,35
25 313 - - -
75 1000
125 1250
250 115
145
les constantes de calculs
Epaisseur équivalente Rayons
L’usage des filtres est généralement imposé en fonction de l’épaisseur à radiographier.
Sources Epaisseur à radiographier Xf
X < 30 mm 0,5mm
X > 60 mm 2mm
146
les constantes de calculs
Ce TENSIONS OU ENERGIES
Matériaux 50 100 150 200 250 3000 350 Ir Cs Co
kV kV kV kV kV kV kV 192 137 60
Acier ordinaire 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
Acier inox 1,1 1,1 1,1 1,1 1,1 1,1 1,1 1,1 1,1 1,1
Aluminium 100 0,08 0,08 0,12 0,18 0,18 0,35 0,35 0,35
Cuivre 1,5 1,5 1,5 1,4 1,4 1,4 1,2 1,1 1,1
Uranium 18 16 14 12
147
Récapitulatif :Faire une « Radio »
1. CHOIX DES PARAMETRES
❖ Choix du Film
❖ Choix de la distance, en fonction du flou géométrique et du temps de pose
disponible.
❖ Choix de l’ IQI
❖ Calcul du temps d’exposition.
11. MISE EN PLACE
Mettre successivement en place
❖ L’écran AR anti-rétrodiffusé
❖ Film dans la cassette.
❖ L’échantillon
❖ IQI et repérage du cliché (chiffres et lettre en plomb).
❖ Masque en plomb (éventuels) autour de la pièce
148
Récapitulatif :Faire une « Radio »
❑ Pour les : montage du projecteur
❖ Montage de la télécommande (en PREMIER).
❖ Montage de la gaine d’éjection
Ne pas oublier l’embout d’éjection ou le collimateur
❖ Positionner l’embout d’éjection à bonne distance du film.
Centrer le collimateur.
111. PRISE DU CLICHET
❑ Pour les :
❖ Ouvrir l’obturateur (le voyant se met au rouge)
Ne plus passer devant l’appareil)
❖ Evacuer les lieux
❖ Sortir la source (compter les tours)
❖ Mettre en marche le chronomètre
149
Récapitulatif :Faire une « Radio »
1V. FIN DU CLICHET
❑ Pour les :
le temps de pose étant passé, il s’agit de récupérer le film pour le développer.
❖ Rentre la source (compter le nombre de tours) .
❖ Vérifier à distance que le voyant est au vert (il doit s’y mettre
automatiquement lorsque le projecteur est ne position automatique)
❖ Retirer la clé
❖ Rendre la cassette.
V. DEVELOPPEMENT
150
Récapitulatif :Faire une « Radio »
V1. VERIFICATION
Une fois sec, vérifier:
❖ La qualité d’image (IQI)
❖ La densité (densitomètre).
❖ Stocker en lieu sur (archivage)
151
Accessoires de vérification
Vérification de la densité après
exposition à travers un densimètre.
152
Accessoires de radioprotection
Dosimètre
Radiamétre
Un dosimètre.
154
Techniques radiographiques
155
Techniques radiographiques
Single Wall Single Image(SWSI)
Panoramic
Techniques radiographiques
DWSI DWDI
Techniques radiographiques
Identification
Unique identification
RW1
Techniques radiographiques
Identification
Unique identification
Pitch markers
A B
RW1
Techniques radiographiques
Identification
Unique identification
Pitch markers
A B
IQI’s
RW1
Techniques radiographiques
Le contrôle radiographique de soudures
circulaires de tubes de diamètre extérieur
compris entre 30 mm et 100 mm est
réalisé par un tir en ellipse ou projection
elliptique. La source est décalée d'une
distance DES par rapport à l'axe de la
soudure. Deux expositions décalées à 90°
sont réalisées pour le contrôle complet de
la soudure.
Le temps de pose est déterminé sur les
deux épaisseurs du tube traversées. La
qualité d'image est déterminée à partir de
la somme des deux épaisseurs de parois
du tube.
L'interprétation des deux cordons est
réalisée simultanément.
163
Techniques radiographiques
• Le contrôle radiographique de
soudures circulaires de tubes de
diamètre extérieur compris entre 90
mm et 500 mm est réalisé par un tir
au contact.
• La source est placée sur la paroi
extérieure du tube et le film est placé
sur la paroi extérieure à l'opposé de la
source.
• Plusieurs expositions sont réalisées
pour le contrôle complet de la
soudure.
• Le temps de pose est déterminé sur
les deux épaisseurs du tube traversées.
• La qualité d'image est déterminée à
partir de l'épaisseur de la paroi du
tube avec sa surépaisseur de cordon.
164
Cas pratiques
GAZODUC
165
Cas pratiques
G
A
Z
O
D
U
C
166
Cas pratiques
167