Ss7chapitre 3

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CHAPITRE 3 : PROTOCOLES DU RESEAU SS7

Introduction :
Comme précédemment énoncé (au chapitre 2), la structuration du réseau SS7 en couches est
influencée par le modèle OSI (Open Systems Interconnection). Le code CCITT N°7 est ainsi
divisé en quatre (4) niveaux fonctionnels :
 Le Niveau 1 correspond à la couche physique ;
 Le Niveau 2 est équivalent à la couche liaison de données ;
 Le Niveau 3 correspond à la couche réseau ;
 Le Niveau 4 représente la partie utilisateur et englobe les couches supérieures du
modèle OSI.

Figure 1 : Les différents niveaux du code CCITT N°7

Les niveaux 1 à 3 prennent en charge le transfert de messages de signalisation entre


nœuds du réseau SS7, et ce, de façon fiable. Ils fournissent par ailleurs l’ensemble des
fonctions nécessaires afin de gérer le réseau. Les niveaux 1 à 3 sont appelés Sous-système de
Transfert de Messages (SSTM ou MTP, Message Transfer Part) de SS7.

3-1 MTP (Niveau I)


MTP niveau 1 (MTP1) est la liaison sémaphore de données (SDL, Signaling Data Link) qui
consiste en une paire de canaux de transmission numérique opérant à 64 Kbits/s, et qui
transporte les unités de données SS7 entre deux points sémaphores. Plusieurs supports
physiques peuvent être considérés

Figure 2 : MTP niveau 1


3-2 MTP (Niveau II)

MTP niveau 2 (MTP2) concerne la procédure de contrôle de ligne nécessaire afin de fiabiliser la
transmission de messages sémaphores et s »appelle un canal sémaphore SL, Signaling Link).

Les fonctions de canal sémaphore comprennent :


 La délimitation de trames sémaphores : Les trames sémaphores étant de longueur
variable, il est nécessaire de marquer ou délimiter le début et la fin de chaque trame
appartenant au trafic sémaphore. Le début et la fin d’une trame sémaphore sont
indiqués par une configuration particulière de huit (8) bits (01111110 en binaire, 7E en
hexadécimal) appelée fanion. Des dispositions sont prises pour empêcher que cette
séquence soit imitée par ailleurs dans la trame.

 L’alignement des trames sémaphores : Un canal sémaphore est considéré aligné si les
trames sémaphores sont reçues en séquence, avec un nombre d’octets correct en
fonction du type de trame. Le nombre de bits de la trame doit être multiple de huit (8).
Il y a perte d’alignement lorsqu’une configuration interdite par la procédure de
délimitation (plus de six "1" consécutifs) est reçue ou lorsque la longueur d’une trame
sémaphore n’est pas comprise entre 6 et 279 octets. Lorsqu’il y a perte d’alignement,
les données sont supprimées jusqu’à réception d’une configuration de bits
correspondant à un fanion. Le canal sémaphore n’est mis hors service tant que le
nombre d’erreurs n’a pas excédé un certain seuil.

 La détection d’erreurs (CRT) : La fonction de détection d’erreurs est mise en œuvre


au moyen de 16 bits de contrôle placés à la fin de chaque trame sémaphore. Ces bits
de contrôle sont générés par l’entité émettrice à partir des bits qui les précèdent à
l’exception du fanion. A la réception, les bits de contrôle sont recalculés et le résultat
est comparé avec les bits de contrôle présents dans la trame. S’il n’y a pas égalité, la
présence d’une erreur est indiquée et la trame sémaphore est rejetée.

 La correction d’erreurs (CE) : La correction d’erreurs est effectuée par retransmission


des trames sémaphores en erreur. La trame émise est par ailleurs stockée dans un
tampon de retransmission. La trame est conservée jusqu’à la réception de l’accusé de
réception positif correspondant qui conduit à sa suppression du tampon. Il existe deux
méthodes de correction d’erreurs :

La trame sémaphore est représentée ci-dessous :

Figure 3 : Format trame sémaphore : niveau 2

Il existe trois types de trames :

1. Trame Sémaphore de Message (TSM ou MSU, Message Signal Unit) : INL > 2 Les TSM sont
les éléments majeurs du réseau SS7. Toute la signalisation associée à l’établissement et la
libération d’un appel, les interrogations et réponses des bases de données, et la gestion du
réseau SS7 se font grâce aux TSM. Elles constituent l’enveloppe de base à l’intérieur de
laquelle toute information de signalisation est placée.

Figure 3: La trame sémaphore de message

2. Trame Sémaphore d’Etat (TSE ou LSSU, Link Status Signal Unit) : INL=1, 2 Les TSE sont
utilisées afin d’échanger des informations concernant le lien de signalisation entre les nœuds
de part et d’autre du lien. Cette information est contenue dans le champ Etat du Canal
sémaphore (ETC). Il est nécessaire de fournir un moyen de communiquer aux deux extrémités
d’un lien de signalisation car ils sont contrôlés par des processeurs indépendants. Ce moyen
est fourni grâce aux TSE. Ces dernières sont prioritairement destinées à signaler l’initialisation
de l’assignation d’un lien, la qualité du trafic de signalisation reçu et l’état des processeurs de
part et d’autre du lien.

Figure 4: La trame sémaphore d’état

3. Trame Sémaphore de Remplissage (TSR ou FISU, Fill-In Signal Unit) : INL=0 Les TSR ne
transportent pas d’information pertinente. Leur vocation est d’occuper les liens aux moments
où il n’y a pas de TSM ou de TSE à envoyer. Les TSR facilitent la supervision permanente de
la qualité en l’absence de trafic en assurant le contrôle d’erreur. Elles peuvent également être
utilisées afin d’accuser réception des messages.

Figure 5 : La trame sémaphore de remplissage

3-3 MTP (Niveau III)

Le Sous Système Transfert de Message niveau 3 (SSTM 3) est l’interface entre le SSTM et
ses utilisateurs (les protocoles de niveau 4) à son point sémaphore.
3.3.1 Trame Sémaphore Niveau 3

Figure 6 : Format de la trame sémaphore : niveau 3

3.3.2 Fonctions assurées par le Niveau 3


Cette couche assure les fonctions d’orientation
Les fonctions d’orientation des messages à la couche SSTM 3 sont au nombre de trois 3). Il
s’agit de :
1. La fonction de discrimination des messages,
2. La fonction de distribution des messages,
3. La fonction d’acheminement des messages

3.3.2.1. Fonctions de discrimination et de distribution des messages

Lorsqu’un message est reçu d’un point sémaphore (SP), la fonction de discrimination
compare le code du point de destination (DPC, Destination Point Code) présent dans
l’étiquette d’acheminement du message avec le code de point du SP. S’ils sont identiques, la
fonction de discrimination conclut que ce message est destiné à ce même SP. L’étape suivante
consiste à remettre le message au sous-système utilisateur approprié. Cette tâche est
accomplie par la fonction de distribution. Elle examine les 4 bits du champ Service Indicator
(SI) présents dans le champ Service Information Octet (SIO) du message reçu. A partir de la
valeur du champ SI, la fonction de distribution est à même de délivrer le message à la bonne
destination dans le SP.

Si la valeur du DPC est différente de celle du code de point du SP, la fonction de


discrimination considère que le message n’est pas destiné à ce SP. Lorsque le SP a la
fonctionnalité STP, le message doit alors être transféré à la fonction d’acheminement des
messages.
Figure 7 : Format de la trame sémaphore : l’octet de service

 Indicateur de service (INS) : ce champ indique le code du sous-système utilisateur

DCBA PROTOCOLE
0000 Gestion du réseau niveau 3
0001 Test de maintenance du réseau 3
0100 Sous Système Utilisateur Téléphone (ISSUT ou TUP, Telephone User Part)
0101 Sous Système Utilisateur RNIS (ISSUR ou ISUP, ISDN User Part)
0110 Sous Système Utilisateur Données (ISSUD ou DUP, Data User Part)
0111 Sous Système Utilisateur Données (ISSUD ou DUP, Data User Part)
1011 Sous Système Utilisateur CSN

Tableau 1.1 : Codes de quelques SSU

 Domaine de Sous Système (DSS). Il indique le type de réseau

DCBA RESEAU
0000 International
1000 National
1100 Réservé à l’usage national (réseau local)
Tableau 1.2 : Codes des réseaux

3.3.2.2. Fonction d’acheminement des messages

La fonction d’acheminement des messages dans un SP prend en charge l’émission de


messages depuis ce SP. Lorsqu’un sous-système utilisateur émet un message, la fonction
d’acheminement des messages doit déterminer le canal sémaphore sur lequel envoyer le
message. Elle réalise par ailleurs un partage de la charge sur l’ensemble des canaux
disponibles vers une destination déterminée. Le canal choisi est indiqué dans le champ
sélection des canaux sémaphores (SLS, Signaling Link Selection).
Figure 8 : Format de la trame sémaphore : la sélection du canal sémaphore

L’étiquette d’acheminement normalisée par l’ITU-T dans la recommandation Q.704 pour le


réseau sémaphore international a une longueur de 32 bit divisés en trois champs (Figure7) :
 Code du point de destination (DPC, Destination Point Code) sur 14 bits,
 Code du point d’origine (OPC, Origination Point Code) sur 14 bits,
 Sélection des Canaux Sémaphores (SLS, Signaling Link Selection) sur 4 bits

Figure 7: Structure de etiquette d’acheminement

Le champ DPC identifie le SP destinataire du message alors que le champ OPC indique le SP
émetteur du message. Le rôle du champ SLS est d’effectuer un partage de la charge entre
canaux sémaphores.
Avec des champs OPC et DPC de 14 bits de longueur, le réseau sémaphore international peut
contenir 16344 SPs. Au niveau national il est possible d’adopter ce format si le nombre de
SPs ne peut dépasser ce maximum.
Aux Etats-Unis par exemple, le format a été modifié par l’ANSI (American National
Standards Institute). La longueur des champs DPC et OPC est de 24 bits alors que le champ
SLS a une longueur de 8 bits.
Le champ SLS est utilisé afin de sélectionner un canal sémaphore particulier d’un faisceau de
canaux sémaphores.
Chaque point sémaphore ou STP est identifié de façon unique par un code de point sémaphore
qui est utilisé par la fonction d’acheminement de la couche MTP 3 afin de router les messages
sémaphores.
La structure des champs OPC et DPC de longueur 14 bits est subdivisée en trois sous- champs
(Figure 8): identification de zone géographique mondiale (network identifier) sur 3 bits,
identification de zone/réseau (network cluster) sur 8 bits et identification de point sémaphore
(network cluster member) sur 3 bits.
Figure 8: Format des codes de points Internationaux

Le champ Network Identifier à la valeur 2 pour l’Europe, 3 pour les Etats-Unis, 4 pour
l’Asie,5 pour l’Australie, 6 pour l’Afrique et 7 pour l’Amérique du Sud. Les valeurs 0 et 1
sont réservées pour attribution future. 3 bits suffisent donc pour coder l’ensemble de ces
valeurs.
A chaque pays est attribué un ou plusieurs codes de zone/réseau sémaphores (SANC,
Signaling Area Network Code). La France s’est vue attribuée les valeurs comprises entre 2-
016 et 2-023, où le préfixe 2 est la valeur du champ Network Identifier.

 Routage dans un réseau SS7


Le routage dans un réseau sémaphore n°7 s’appuie sur le code du point de destination(DPC)
dans les messages sémaphores MTP 3. Le champ DPC est utilisé d’une des deux façons
suivantes :
•La première consiste à examiner le champ DPC complet afin de déterminer la route pour le
message à partir de la table de routage.
•La seconde consiste à ne prendre en compte qu’une partie du champ DPC

 Partage de charge

Le but du partage de charge est de répartir le trafic sémaphore entre plusieurs canaux
sémaphores afin de permettre de réaliser une distribution équitable de la charge à la couche
MTP niveau 2, et ainsi éviter des congestions au niveau de certains canaux. Il existe deux
types de partage de charges : partage de charge entre canaux sémaphores appartenant au
même faisceau (Link set) et partage de charge entre canaux sémaphores n’appartenant pas au
même faisceau.
Dans la première qui est la plus simple, les quatre bits du champ SLS permettent de répartir la
charge entre un maximum de16 canaux appartenant au même faisceau. Par exemple, un
message émis depuis un SP X contiendra dans son champ SLS la valeur 0000 et sera émis sur
le canal 1. Dans le message suivant, le champ SLS pourra avoir la valeur 0001 et sera envoyé
sur le canal 2. De cette façon, il est possible d’affecter différentes valeurs au champ SLS et
ainsi répartir les messages entre les canaux d’un faisceau donné.

3-4 TUP (Telephone User Part)

Établissement, maintenance et liberation des connexions de réseau à commutation de circuits


sur un réseau SS7; peut agir en tant que commutateur d'origine, de destination ou
intermédiaire

3-5 SCCP
3-5-1 Généralités
Les capacités d’acheminement de la couche MTP 3 sont limitées à router les messages
jusqu’au point sémaphore adéquat à partir du code du point de destination (DPC), et une fois
les messages délivrés, à les relayer au sous-système utilisateur MTP dans le point sémaphore
à partir de la valeur du champ SIO de chaque message.
Le SCCP fournit une fonction supplémentaire de traduction d’adresse dénommée appellation
globale (GT, Global Title). Une appellation globale est une adresse telle qu’un numéro vert,
un numéro de téléphone mobile, un numéro RNIS, etc., qui ne peut être routé directement.
Le SCCP traduit cette appellation globale en un code de point DPC et un numéro de sous-
système (SSN, Sub-System Number). Le numéro SSN identifie un sous-système utilisateur
SCCP dans un point sémaphore donné. Parmi les utilisateurs de SCCP figurent la gestion
SCCP, l’ISUP, l’OMAP, une application communication avec carte de facturation, etc. Le
numéro SSN est similaire au champ SIO mais SCCP permet d’adresser 255 sous-systèmes
dans un point sémaphore grâce à SSN alors que MTP 3 ne peut adresser que 16 utilisateurs
MTP (dont SCCP) grâce au champ SIO (Service Indicator Octet).

3-5-2 Classes de service SCCP


Le SCCP fournit des services supplémentaires à MTP afin de supporter des services de réseau
en mode connecté et en mode non connecté entre nœuds SS7, à la différence de MTP3 qui ne
fournit des services qu’en mode non connecté.
l assure des fonctions supplémentaires à MTP3 pour transférer des informations de
signalisation en mode avec ou sans connexion. Il permet les échanges de signalisation entre
réseaux SS7 différents (MTP n’est pas capable d’assumer cette fonction)

L'ensemble global des services fournis par le SCCP se subdivise en quatre classes :
 Classe de base en mode sans connexion utilisée par exemple pour transporter des
messages TCAP.
 Classe en mode sans connexion avec remise en séquence,
 Classe de base en mode connexion,
 Classe en mode connexion avec contrôle de flux

3-6 ISUP
Le sous-système utilisateur pour le RNIS (ISUP, ISDN-User Part) est le protocole de
signalisation n°7 qui fournit les fonctions de signalisation nécessaires à la prise en charge des
connexions dans les réseaux à commutation de circuits nationaux et internationaux :
établissement / libération de circuits et supervision (blocage / déblocage / interrogation /
réinitialisation) de circuits. Comme son nom ne l’indique pas, ISUP peut être utilisé dans des
réseaux RNIS, des réseaux analogiques ou encore des réseaux mixtes analogiques /
numériques.
ISUP utilise les services de MTP niveau 3 et dans certains cas, ceux de SCCP.
ISUP supporte par ailleurs un ensemble de services complémentaires dont les suivants

 Signal d'appel (CW, Call Waiting)


 Transfert de communication (CT, Call Transfer)
 Présentation d'identification de la ligne appelante (CLIP, Calling Line Identification
Presentation)
 restriction de la ligne appelante (CLIR, Calling Line Identification Restriction)
 Communication conférence (CONF, Conference)
 Mise en garde (HOLD)
 Rappel automatique sur occupation (CCBS, Completion of Calls to Busy Subscriber)
 Renvoi d’appel inconditionnel, sur occupation (CFU, Call Forwarding Unconditional)
 Renvoi d’appel sur occupation (CFB, Call Forwarding Busy)
 Renvoi d’appel inconditionnel sur non réponse (CFNR, Call Forwarding No Reply)
3-7 INAP (Intelligent Network Application Protocol)
Le protocole INAP est un protocole d’application utilisé dans le réseau Intelligent. Il permet
le transfert de message entre les entités du réseau intelligent, notamment entre le Point de
Commutation de Service (SSP, Service Switching Point) et le Point de Contrôle de Service
(SCP, Service Control Point), pour la fourniture de services du Réseau Intelligent.

3-8 MAP et BSSAP (BSSMAP et DTAP)

MAP (Mobile Application Part):Fonctions MAP et SMS pour les réseaux IS-41 et GSM
Interagit sur les équipements: VLR, HLR, MSC et SGSN/GGSN pour le GSM Permet
l’implémentation du GSM Phase 1, Phase 2, et Phase 2+.Il supporte également les extensions
MAP-GSM pour le GPRS et CAMELINAP (Intelligent Network Application Part):Capability
Set 1 (CS1), défini par l’ITU, ETSI, et les standards du Generic Requirement (GR) of the
Bellcore Advanced Intelligent Network (AIN)CS2 et CS3 en cours d’implantationPermet
d’établir, maintenir et rompre des connexions large-bande à travers un réseau SS7/ATM.

3-9 TCAP
TCAP (Transaction Capability Application Part) est un protocole transactionnel qui permet le
déploiement des services du réseau intelligent en permettant les échanges d’informations entre
les PS et les SCP.
Fournit un support de communication aux applications interactives dans un environnement
distribué. Dans le cas de réseaux mobiles (IS-41 and GSM), TCAP transporte les messages
MAP(Mobile Application Part) échangés entre MSCs pour assurer les fonctions
d’identification, authentication et localisation de mobiles; ainsi que le roaming.
Le gestionnaire de transactions (TC, Transaction Capabilities) fournit les primitives
permettant l’échange d’informations entre deux applications (e.g. SCP et SSP).
TCAP est structuré en deux sous-couches :

 Une sous-couche composant,


 Une sous-couche Transaction

3-9-1 Sous-couche Composant


Un composant consiste en un lancement, un résultat positif ou négatif, ou un rejet d’opération.
La sous-couche Composant offre un service de gestion de composants. A l’intérieur d’un
dialogue établi, ce service modélise l’interaction entre deux entités à l’aide du concept
d’opération. Une entité émettrice demande à l’entité réceptrice l’exécution d’une opération ;
l’entité réceptrice interprète la demande, exécute l’opération si l’interprétation a été possible,
et rend compte éventuellement du résultat qui peut être positif ou négatif de cette exécution

3-9-2 Sous-couche Transaction


La sous-couche transaction offre un service de gestion de dialogue. Ce service permet à deux
entités distantes d’ouvrir, de poursuivre et de terminer des dialogues, et d’interagir entre elles
à l’intérieur d’un dialogue établi en échangeant des composants.

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