Journal Scolaire
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L A G R A N D DEPR ESSI O N .
W A L L ST R EET : MO N EY
N EV ER SL EEPS.
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(suite de la page 1) Le tableau est notable de
été dessiné lors de la traversée de Washington, Gmünd, dans le Wurtemberg, mort le 18 juillet 1868 à
building fund.
historique aurait voulu quil sagisse du Grand du peintre J. A. Smith, à Philadelphie. Il est remarqué en
Union Flag, officiellement hissé par Washington 1840 et reçoit alors de nombreuses commandes, ce qui lui
the funds.
en 1842 et étudia les œuvres de Cornelius et Karlbach. On
pays.
le retrouve l’année suivante à Venise et à Rome. Il retourna
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LA GRANDE DÉPRESSION
Crise économique des années 1930
La Grande Dépression, ou crise économique de 1929, est la crise qui a commencé avec le krach boursier de 1929, aux
Ses causes sont multiples : surproduction agricole et industrielle liée à la fin de la reconstruction européenne après la
Première Guerre mondiale, spéculation boursière débridée aux États-Unis, et crise du crédit bancaire à la suite de la
défaillance de remboursement des emprunts faits par les particuliers et les entreprises.
Le gouvernement américain, dirigé par le républicain Hoover, ne réagit que tardivement. Les États du monde touchés par la
crise s'enferment derrière des barrières douanières et, en paralysant les échanges, aggravent la crise. Les gouvernements,
faute de moyens, baissent leurs dépenses. La misère s'installe dans les villes et les campagnes du monde entier.
À partir de 1933, le nouveau président américain, le démocrate Roosevelt, décide le New Deal, politique de relance de la
demande et d'organisation de l'économie. Par contre, en Allemagne, Adolf Hitler, au pouvoir depuis janvier 1933, décide le
réarmement du pays et l'organisation de l'autarcie. La Grande Dépression est en grande partie responsable de la Seconde
Guerre mondiale.
été conduites.
L'accusation d'aveuglement et de
septembre 1929 : « Bien des gens New York (Etats-Unis), le jeudi 24 octobre 1929. Dans la panique, les actionnaires tentent de forcer les portes du New York Stock Exchange.
n’ont pas compris que c’en est
JEUDI NOIR
apparemment fini des cycles
connus. Quant à moi, je suis Le jeudi noir désigne historiquement le jeudi 24 octobre 1929, jour de l'effondrement de la
convaincu de l’essentielle et Bourse de New York, et, par la suite, des autres Bourses américaines et mondiales. Cela
entraîna une terrible crise financière qui dura plusieurs années, la Grande Dépression.
fondamentale solidité de la prospérité
américaine ». Ensuite l'idée Les investisseurs, encouragés par la forte croissance industrielle, et par celle des bénéfices,
achetèrent massivement des titres à crédit. Mais, manquant de liquidités, ils commencèrent
constamment répétée que la
à vendre, déclenchant une panique qui aggrava la situation.
prospérité était « round the corner » Le jeudi noir fut suivi du lundi noir et du mardi noir, qui plongèrent les États-Unis dans un
et qui expliquait qu'on ne fît rien a été chômage massif, et l'Europe dans une crise économique et politique sans précédent.
reprise.
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Wall Street:
Money Never
Sleeps.
INTRODUCTION :
Un film a la narration classique mais qui se vaut très
captivant et intéressant a suivre. Le monde de la
finance peut paraitre chiant mais pas avec ce film la.
SCENARIO : Car, on a le droit à un beau portrait du monde de la finance avec une bonne critique de
l’argent… Bon après, il y a l’histoire d’amour entre Jake Moore et Winnie Gekko qui est bien sympa mais qui
peut écarter le film de sont monde. Ainsi que la relation père et fille mais je trouve que tout ça donne un coté
humain au film. Et puis, les personnages sont très bien travaillés et exploité. Ils mettent bien en avant la
cupidité et ce qui est près à faire un homme pour de l’argent : jusqu'à volé sa propre famille. Le seul reproche
est que il manque peut être un peu d’impacte et de cruauté dans tout ça.
Donc voila, a mit chemin entre le monde de la finance et l’impacte de l’argent sur sa personne et sa famille.
C’est bien construit et écrit, pas de longueur a signalé, de bon petit rebondissement son présent. Donc, très
bon scénario bien maitrisé,
RÉALISATION : Sinon, pour parlé de la réalisation : elle est classique, posé et donc efficace. On a le droit a
de beaux plans appuyés par une excellente mise en scène signé Oliver Stone (qui a lui-même pour l’anecdote
réalisé le Wall Street original).
CASTING : Pour ce qui est des acteurs : on retrouve un Michael Douglas enfin dans un bon role. Toujours
aussi charismatique avec un jeu pour ce rôle qui impose le respect. Pour Shia LaBeouf : je ne vois pas ce qu’on
a contre lui. Il est très convaincant et a une bonne palette d’émotion qui arrive bien a transmettre aux
spectateurs donc moi je dis : bon acteur. Tous comme la sublime Carey Mulligan qui est vraiment extra dans
ce rôle. Noté aussi l’excellent Josh Brolin qui vient compléter le casting.
CONCLUSION : Donc voila un bon drame financier qui se regarde avec plaisir et vraiment, je me suis pas
ennuyer et j’ai passé un excellent moment : un film remplit de qualité qui efface les petites défauts.
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Références.
https://www.barnebys.fr/blog/6-peintures-
americaines-emblematiques
https://amp.fr.what-this.com/1611613/1/washington-
crossing-the-delaware.html
https://www.wikiart.org/fr/emanuel-leutze
https://fr.vikidia.org/wiki/Grande_D%C3%A9pression
https://fr.wikipedia.org/wiki/Grande_D%C3%A9pressi
on
https://www.allocine.fr/film/fichefilm-
128600/critiques/spectateurs/#review_38007203
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