1.1 QCM Par Chapitres - Hémato
1.1 QCM Par Chapitres - Hémato
1.1 QCM Par Chapitres - Hémato
4. Une fille de 3 ans présente depuis plusieurs mois une asthénie et une pâleur.
L’examen clinique retrouve un ictère et une splénomégalie. L’hémogramme montre :
GR = 3,5M/mm3 Hb = 7g/dl Ht = 23% VGM = 60μ3 CCMH = 29% TCMH = 19pg GB =
9000/mm3 Plaquettes = 400 000/mm3 . Votre (vos) hypothèse(s) diagnostique(s) la
(les) plus probable(s) :
A. Anémie par carence en fer
B. Beta-Thalassémie hétérozygote
C. Beta-Thalassémie homozygote
D. Déficit en G6PD
E. Drépanocytose
Réponse C
5. Un garçon de 5 ans présente une pâleur et un ictère. Quels sont les arguments qui
orientent vers le diagnostic de drépanocytose SS ?
A. L’origine d’Afrique Noire
B. Le sexe
C. La consanguinité
D. Des douleurs osseuses associées
E. Un antécédent personnel d’ictère néonatal
A-C-D
A-B-E
A-D-E
NB : les échanges érythrocytaires sont indiqués en cas d’urgence.
8. Si l’un des parents est atteint de la drépanocytose ( Hb SS) et l’autre est sain,
A. Tous les garçons seront atteints de syndrome drépanocytaire majeur
B. Tous les enfants seront porteurs sains
C. 50% des enfants seront porteurs sains
D. 25% des enfants seront porteurs sains
E. 50% des enfants seront indemnes
Réponse B
2- Parmi les propositions suivantes, indiquer celle(s) qui est (sont) exactes(s),
concernant la β Thalassémie :
A- Elle est asymptomatique sous forme hétérozygote
B- Elle appelée Anémie de Cooley sous forme homozygote
C- Une augmentation de l’Hb A2 est observée dans la forme hétérozygote
D- Elle est due à la présence de l’Hb S
E- La Forme Homozygote est traitée par la transfusion
A-B-C-E
A-D-E
B-
14. L’interrogatoire d’un sujet présentant une anémie hémolytique chronique retient
en faveur de la sphérocytose héréditaire :
A. La consanguinité des parents
B. Le sexe
C. Des antécédents familiaux de lithiase vésiculaire ou de splénectomie
D. Un antécédent personnel d’ictère néonatal
E. La notion de facteur déclenchant
CD
NB : la sphérocytose est héréditaire autosomique dominante. Donc il suffit qu’un seul parent
soit porteur pour la transmettre.
7. B-E
NB : les hémoglobinopathies ne provoquent pas d'ictère néonatal !!
8. B?-D-E
9. A-B-D
NB : Le but de la transfusion est de maintenir l’Hb > 10g/dL
10. B-E
11. A-C-D-E
12. B-E
14. L’interrogatoire d’un sujet présentant une anémie hémolytique chronique retient
en faveur de la sphérocytose héréditaire :
A. La consanguinité des parents
B. Le sexe
C. Des antécédents familiaux de lithiase vésiculaire ou de splénectomie
D. Un antécédent personnel d’ictère néonatal
E. La notion de facteur déclenchant
NB : la spherocytose est une maladie génétique dominante (1 seul allèle touche pour
contracter la maladie)
Réponse : C-D
NB : le dosage enzymatique réalisée au cours de la crise aiguë est normal, il faut qu'il soit
fait 1 à 3 mois après pour confirmer le diagnostic
C
NB : myélogramme est indispensable au diagnostic d’une anémie mégaloblastique ⇒
présence d’une mégaloblastose
D-E
9- Femme de 74 ans, ayant une HTA bien équilibrée, diagnostiquée en 2017, consulte
pour asthénie importante avec dyspnée au moindre effort. L’interrogatoire retrouve la
notion de fourmillements des extrémités depuis un mois. A l’examen physique :
pâleur extrême, œdèmes de MI, langue rouge,dépapillée, aucun syndrome tumoral.
L’hémogramme réalisé avait montré : GR =2M/mm 3 .GB =3700/mm 3 avec PNN = 45%
- PNE = 1% - Lc = 40% - Monocytes = 14%. Hb = 4,8g , VMC = 121 fl, CCMH = 32%,
Réticulocytes = 1 %. Plaquettes = 120 000/mm3. Quelle est votre interprétation ?
A- Pancytopénie
B- Anémie macrocytaire arégénérative
C- Anémie macrocytaire peu régénérative
D- Bicytopénie
E- Monocytose
A-B
10- Pour confirmer votre (vos) hypothèse (s) diagnostique (s), quel bilan demanderiez-
vous chez cette patiente ?
A. Dosage de la vitamine B12
B. Dosage de la vitamine B12 et l’acide folique
C. Biopsie ostéo-médullaire
D. Test de Coombs direct
E. Electromyogramme
A. Pancytopénie
B. Anémie macrocytaire
C. Anémie macrocytaire régénérative
D. Thrombopénie
E. Hyperlymphocytose
A-B-D
A. Aplasie médullaire
B. Anémie hémolytique auto-immune
C. Maladie de Biermer
D. Anémie par carence en vitamine B12
E. Anémie par carence en acide folique
C-D
7. Le traitement d’une anémie par carence en acide folique consiste à :
B-D-E
NB : les signes neurologiques lors d’une anémie mégaloblastique sont en lien avec la
carence en vitamine B12 ++
38. Une femme de 23 ans, 2 ème pare, consulte pour une dyspnée à l’effort et
asthénie. A l’examen, les conjonctives étaient décolorées, les ongles striés, pas de
splénomégalie. L’hémogramme : Hb à 7g/100ml. VGM à 68fl. CCMH à 29%. GR à 2,4M.
GB à 4600/mm3. P. Neutrophiles à 61%. Lymphocytes à 30%. Mono à 6%. Eosino à 3%.
Pq à 602000 :
39. Pour confirmer votre diagnostic vous demanderiez : (suite question N°38)
A. VS
B. Electrophorèse de l’hémoglobine
C. Taux de réticulocytes
D. Ferritinémie
E. Electrophorèse des protéines plasmatiques
D
40. Une patiente de 32 ans est admise pour anémie par carence en fer. Le taux d’Hb
est à 5 g/dl. La patiente va bien, reste active malgré son anémie. Elle pèse 55 kg.
Quelle sera votre conduite à tenir ?
A. A transfuser en urgence
B. Traitement par carence martiale
C. Transfusion de 2 concentrés de globules rouges
D. Rechercher l’étiologie de l’anémie
E. Toutes les réponses sont justes
B-D
3. Élève âgée de 18 ans, consulte pour dyspnée à l ’effort, asthénie depuis 2 mois.
L’examen clinique était normal en dehors d ’une pâleur et d ’un souffle systolique.
L’interrogatoire révélait la notion des règles abondantes depuis l’âge de 12 ans (durée
6 à 8 j). Votre hypothèse diagnostique la plus probable :
A. Syndrome anémique
B. Syndrome myélodysplasique
C. Anémie par carence en acide folique
D. Anémie par carence en fer
E. Beta-Thalassémie hétérozygote
A-D
D-E
IV. AHAI : Anémie Hémolytique Auto-Immune
A. L’hémogramme
B. Le frottis sanguin
C. Le Test de Coombs direct
D. L’électrophorèse de l’hémoglobine
E. Myélogramme
A-B-C
19. A-C-E
25. L’anémie hémolytique auto immune est observée au cours de la (ou des)
situation(s) suivantes :
A. La leucémie lymphoïde chronique
B. La maladie hémolytique du nouveau-né
C. Le traitement par l’alpha méthyl dopa
D. Le lupus érythémateux systémique
E. L’hémoglobinurie paroxystique et nocturne
A-C-D
B-D
NB : les signes biologiques de l'hémolyse sont : Bilirubine libre augmentée, LDL augmentée
et haptoglobine effondrée.
A-E
A-D-E
NB : les AHAI à anticorps chaud sont plus fréquents (à type IgG) et se caractérisent par une
hémolyse intra-tissulaire.
A-B-D-E
A-B-D
A-C-E
V. Aplasie médullaire
33. Un garçon de 6 ans a été vu aux urgences pédiatriques pour fièvre avec signes
hémorragiques évoluant depuis 10 jours. L’examen physique retrouvait pâleur intense
avec purpura pétéchial et ecchymotique diffus. L’hémogramme montrait : GR =
1,8M/mm3 ; Hb = 4,6g/100ml ; VMC = 88 fl ; CCMH = 35 %. Pq = 30 000/mm3. GB = 1300
/ mm3. P.Neutrophiles = 3%. LC = 97%. Quelle est votre interprétation de cet
hémogramme ?
A. Hyperlymphocytose
B. Anémie normochrome normocytaire
C. Agranulocytose
D. Anémie arégénerative
E. Pancytopénie
B-C-E
34. Devant ce tableau clinico-biologique, Votre ou vos hypothèse (s) diagnostique (s)
est ou sont ? (Suite de la question n° 33)
A. Aplasie médullaire
B. Leucémie lymphoïde chronique
C. Lymphome non hodgkinien
D. Anémie de Biermer
E. Leucémie aiguë
A-E
A-C-D-E
14. L’aplasie médullaire idiopathique est une hémopathie qui associe les critères
suivants :
A. Est un diagnostic d’élimination
B. Le diagnostic positif repose sur la biopsie ostéo-médullaire
C. Le myélogramme retrouve une moelle riche
D. L’hémogramme retrouve une pancytopénie
E. L’hémogramme retrouve des blastes circulants
A-B-D
20. B-C-D-
21. B-C-D-E
23. A-B-E
24. B-C-D
25. B-D-E
A-C-E
B-C-D
C-D
B-D
C-E
A-l’hépatite virale
B-l’hypofibrinogénémie
C-l’apparition d’un anticoagulant circulant
D-le paludisme
E-l’infection par le VIH
A-C-D-E
6- Parmi ces proposition cochez les réponses justes concernant Les circonstances de
découverte de l’hémophilie
A- hémarthroses
B-hématomes
C- dépistage familiale
D – découverte fortuite
E - diagnostic prénatal
A-B-C-D-E
5. Dans la descendance d’un homme atteint d’hémophilie :
A. Tous les garçons sont malades
B. La moitié des filles est conductrice
C. La moitié des filles est malade
D. Toutes les filles sont conductrices
E. Tous les garçons sont indemnes
D-E
6. Parmi les propositions suivantes, indiquer celle (celles) qui est (sont) exacte(s) :
Une hémophilie B se traduit par:
A. Un allongement du temps de céphaline avec activateur
B. Une thrombopénie
C. Un allongement du taux de prothrombine
D. Un allongement du temps de saignement
E. Un déficit en facteur IX
A-E
7. Parmi les moyens thérapeutiques suivants, Citez ceux qui sont indiqués chez un
Hémophile A :
A. Le plasma frais Congelé
B. Les plaquettes
C. Le concentré de Facteur VIII
D. Le concentré de Facteur IX
E. Le Sang totaL
A-C
B-C-E
D-E
8- Parmi les moyens thérapeutiques suivants, Citez ceux qui sont indiqués chez
un Hémophile :
A- Le concentré de Facteur VIII.
B- Le plasma frais Congelé.
C- Les plaquettes
D- Le concentré de Facteur IX.
E- Le Culot globulaire.
A-B-D
1. A-D
2. A-B-D
4)L’hémophilie est une maladie congénitale caractérisée par ? cochez la( les)
réponses justes
A- Transmission récessive lié à l’X
B- Syndrome hémorragique lié à la sévérité
C- Un déficit en facteur de la coagulation
D- Traitement substitutif à vie per os
E- Prise en charge multidisciplinaire
A-B-C-E
VII. Leucémie aiguë :
33. Un garçon de 6 ans a été vu aux urgences pédiatriques pour fièvre avec signes
hémorragiques évoluant depuis 10 jours. L’examen physique retrouvait pâleur intense
avec purpura pétéchial et ecchymotique diffus. L’hémogramme montrait : GR =
1,8M/mm3 ; Hb = 4,6g/100ml ; VMC = 88 fl ; CCMH = 35 %. Pq = 30 000/mm3. GB = 1300
/ mm3. P.Neutrophiles = 3%. LC = 97%.
Quelle est votre interprétation de cet hémogramme ?
A. Hyperlymphocytose
B. Anémie normochrome normocytaire
C. Agranulocytose
D. Anémie arégénerative
E. Pancytopénie
B-C-E
34. Devant ce tableau clinico-biologique, Votre ou vos hypothèse (s) diagnostique (s)
est ou sont ? (Suite de la question n° 33)
A. Aplasie médullaire
B. Leucémie lymphoïde chronique
C. Lymphome non hodgkinien
D. Anémie de Biermer
E. Leucémie aiguë
A-E
24. Un enfant de 5 ans, consulte en urgence pour fièvre à 40°C, pâleur intense,
dyspnée à l’effort avec palpitations. A l’examen, purpura pétéchial avec ecchymoses,
adénopathies cervicales et splénomégalie de 5 cm de débord. Quel (s) est (sont) votre
(vos) hypothèses diagnostiques ?
A. Aplasie médullaire
B. Lymphome de Burkitt
C. Leucémie aiguë lymphoblastique
D. LLC
E. Mononucléose infectieuse
C
NB : À la différence de la LA, l’aplasie médullaire ne présente pas de sd tumoral : ici ADP et
SPM.
25. L’hémogramme réalisé chez cet enfant : Hb = 3 g/100ml. VGM = 99fl. CCMH = 33%.
Pq = 10 000. GB = 60000/mm3. PNN = 18%. Monocytes = 2%. Lymphocytes = 20%.
Blastes = 60%.
Quel sera votre conduite à tenir : (Suite de la question N°24)
A. Refaire l’hémogramme
B. Myélogramme
C. Immunophénotypage
D. Transfusion de concentrés de globules rouges
E. Caryotype
B-C-D-E
B-C-D-E
2- Devant ce tableau clinico-biologique, Votre ou vos hypothèse (s) diagnostique (s)
est ou sont? (Suite de la question n° 1)
A- Aplasie médullaire
B- Leucémie lymphoïde chronique
C- Lymphome non hodgkinien
D- Anémie de Biermer
E- Leucémie aiguë
B-C
nb : le frottis sanguin ne permet pas de confirmer, mais d’orienter vers une LA.
B-C-D
B-C-E
VIII. Leucémie Myéloide Chronique : LMC
B-D-E
24. Quel (s) est (sont) l’examen (s) nécessaire (s) pour confirmer votre diagnostic :
A. Myélogramme
B. Biopsie ostéo-médullaire
C. Caryotype médullaire
D. Immunophénotypage sur sang
E. TEP scanner
A-C
B-D-E
NB :
- Pour LA : nfs + frottis, myélogramme, immunophénotypage, caryotype, biomol
- Pour LMC: nfs+frottis, myélogramme, caryotype (pour Chromosome PHI) +/- FISH
+/- Biomol
11. L’hémogramme d’une patiente de 45 ans qui présentait depuis 3 mois, une
volumineuse splénomégalie retrouvait : Hb 12g/dl VGM 85fl CCMH 32%, GB 250
000/mm3 60% de PNN, 15 % myélocytes, 10% métamyélocytes, 5% lymphocytes, 5%
polynucléaires basophiles, 3% polynucléaires éosinophiles, 2% promyélocytes, et des
Plaquettes à 600 000/mm3
B-C-D-E
B-C-E
C-E
A-C-D
NB : le score de Matutes est base sur les IgM+, CD5+, CD23+, CD79b -, FMC7-
B-E
B-C-D
*Sd de Richter: syndrome rare, qui consiste au développement d'un lymphome agressif chez
les patients atteints d'une leucémie lymphoïde chronique concomitante.
D-E
A-C-E
Question 11
27. Femme de 65 ans consulte pour asthénie. L’examen clinique montre un bon état
général. Polyadénopathie diffuse symétrique indolore, une splénomégalie.
L’hémogramme montre : Globules rouges 3,4x106/mm3, Hb 11 g, VMC 86 fl, CCMH
32%. Globules blancs 52000/mm3, PNN 10%, Lc 86%, Mc 4%. Plaquettes 120000/mm3.
Le(s) diagnostic(s) évoqué(s) est ou sont :
A. Leucémie myéloïde chronique
B. Leucémie aigue Lymphoblastique
C. Aplasie médullaire
D. Leucémie Lymphoïde Chronique
E. Anémie hémolytique
D
28. Le ou les examens demandés pour confirmer le diagnostic est ou sont (Suite de la
question N° 27) :
A. Myélogramme
B. Caryotype
C. Immunophénotypage
D. Biopsie Ostéo Médullaire
E. Le test de Coombs direct
29. Le stade de la maladie et le traitement proposé pour le malade est ou sont (Suite
de la question 27) :
A. Stade A
B. Stade B
C. Stade IV
D. Traitement par chimio et immunothérapie
E. Abstention thérapeutique
B-D
16. B-C-D
17. A
La thrombopénie immune :
B-C
A-E
NB :
- TTT 1ere intention : corticothérapie + Ig
- TTT 2 ème intention : splénectomie + TTT immunosuppresseur CD20
A-D
17. Quels sont les signes de gravité à rechercher devant une thrombopénie ?
A. Un purpura pétéchial
B. Des bulles hémorragiques des muqueuses
C. Des hémarthroses
D. Des hémorragies rétiniennes au fond d’œil
E. La prise concomitante d'anti agrégants plaquettaire
BDE
nb : signe de gravité = purpura cutané extensif
30. D-E
Nb : le myélogramme va montrer une moelle normale/riche en mégacaryocytes car la
thrombopénie immune est d’origine périphérique.
31. A-D
A-C-E
La CIVD
A-B-C-
A – thrombopénie
B- allongement du TCA isolé
C- allongement du TP et du TCA
D- hyperfibrinogénémie
E- taux bas des facteurs de la coagulation
A-C-E
8. Parmi les éléments suivants, lequel (lesquels) permet(tent) de différencier une CIVD
d’une fibrinolyse aiguë primitive :
A. Temps de Céphaline +activateur(TCA)
B. Temps de Quick(TQ)
C. La numération des plaquettes
D. Dosage du fibrinogène
E. Mise en évidence des complexes solubles
C-E
A-C-D
NB : Taux normal de facteur 8 dans l’IHC
D
8. Dans une forme typique de coagulation intravasculaire disséminée, on observe :
A. Une thrombopénie
B. Un déficit en facteur VIII
C. Un déficit en facteur X
D. Une augmentation du taux de fibrinogène
E. Augmentation des D-dimères
A-B-C-E
1. A-B-D-E
2. E
A-B-C
A
Polyglobulie de Vaquez
36. L’hémogramme suivant a été réalisé chez un patient de 70 ans, bien portant, se
plaint d’un prurit généralisé. Son examen physique retrouvait une hyperhémie
conjonctivale et une splénomégalie volumineuse. GR= 6,7 M/mm3, Hb = 19,5g/100ml.
Hématocrite: 58%. VGM = 85 fl. CCMH = 33%. Pq = 400 000. GB = 17 000/mm3. PNN =
55%. Monocytes = 2%. Lymphocytes = 43%
37. Quel(s) examen(s) complémentaire (s) réaliser pour confirmer votre ou vos
hypothèses diagnostiques ? (Suite de la question N°36)
A. Caryotype
B. Myélogramme
C. Vitesse de sédimentation
D. Dosage de l’érythropoïétine
E. Recherche de la mutation Jak2
D-E
A-D
10. Quels sont les examens à demander pour la confirmation diagnostique : (Suite de
la question N 0 9)
A. Myélogramme
B. Dosage de l’érythropoïétine
C. Biopsie ostéo-médullaire
D. Caryotype
E. Mutation JAK2 V617F
B-C-E
40. Vous suspectez une polyglobulie de Vaquez, quels bilans demander pour la
confirmation du diagnostic ?
A. Myélogramme
B. Ferritinémie
C. Caryotype à la recherche de la t(9;22)
D. Mutation Jak2
E. Biopsie ostéomédullaire
F. Vitesse de sédimentation
D-E
10) Patient de 70 ans antécédent de tabagisme chronique, avec notion d’obésité, qui
présente une érythrose faciale avec splenomégalie . L’hémogramme retrouvait :
Hemoglobine : 19 g/dl, Hematocrite 55%, VGM :86fl, GB 10 000/mm3, 60 %
Polynucléaire neutrophiles, 30% Lynphocytes, 8% Monocytes, 1,5% Eosinophiles, 0
5% Polynucléaire basophiles , Plaquettes :550 000/mm3. Quel est le diagnostics le
plus probable :
A. Hypertension portale
B. Leucémie myéloide chronique
C. Polyglobulie secondaire
D. Maladie de vaquez
E. Fausse polyglobulie
11) Suite du cas clinique de la question, quels sont les examens à demander pour
la confirmation diagnostic :
A. Gazometrie Sang
B. Dosage de l'érythropoïétine
C. Biopsie ostéomédullaire
D. Scanner TAP
E. Mutation JAK2 V617F
B-C-E
B-E
NB : Le SMD présente une moelle riche contrastant avec un sang pauvre
C-D-E
A-B-D
NB : le SMD évolue vers une leucémie myéloïde aiguë
B-D-E
21. Le syndrome myélodysplasique :
A. Est une pathologie du sujet âgé
B. Est une hémopathie clonale acquise de la cellule souche hématopoïétique
C. N’atteint pas la lignée mégacaryocytaire
D. Peut-être secondaire à la chimiothérapie
E. Est confirmé par l’hémogramme
A-B-D
A-B-D-E
Le myélome multiple :
B-C-D
NB : hémogramme+frottis, myélogramme, EPP, immuno EPP, radio
28. Les complications fréquentes qui peuvent survenir au cours du Myélome multiple
sont :
A. Fractures pathologiques
B. Insuffisance rénale
C. Survenue d’une AHAI ou un PTAI
D. Compression médullaire
E. Syndrome anémie
A-B-D-E
29. Quels sont les arguments en faveur d’un Myélome symptomatique nécessitant un
traitement ?
A. Insuffisance rénale
B. Hypercalcémie
C. Signes osseux
D. Syndrome anémique
E. Electrophorèse des protéines plasmatiques normale
A-B-C-D
A-D
19. Un bilan radiologique est réalisé et retrouve un tassement vertébral avec lacunes
à l’emporte-pièce sur la radio du crâne faisant suspecter fortement le diagnostic de
myélome multiple. Quel est votre bilan de confirmation :
A. Un bilan protidique
B. Le Myélogramme
C. Un Hémogramme
D. Une biopsie ganglionnaire
E. Un taux de créatinine
A-B
20. Le diagnostic de myélome multiple symptomatique à IgG Kappa est retenu. Quels
sont les signes biologiques en faveur ?
A. Une plasmocytose médullaire inferieure 10%
B. Un taux d’hémoglobine inferieur à 10g/dl
C. Une hypercalcémie supérieure à 110mg/L
D. Un taux de créatinine supérieur à 20mg/L
E. Une vitesse de sédimentation normale
B-C-D
B-D-E
A- Calcémie
B- Bilan radiologique
C- Myélogramme
D- Urée- créatininémie
E- Bilan protidique
B-C-E
C-E
NB : attention, pas de lymphocytose périphérique mais plasmocytose au niveau de la moelle
A-C-D-E
NB : ne pas oublier le CRAB (hypercalcémie, insuf rénale, anémie, bone injury) + Ig
monoclonale et plasmocytose médullaire
3) Parmi les propositions suivantes, indiquer celles qui sont exactes. Les
circonstances de découverte du myélome multiple :
A. Un pic monoclonal à l’électrophorèse des protides sérique
B. Une Vitesse de Sédimentation > 100 mm à la 1ère heure
C. Une hépatomégalie
D. Une insuffisance rénale avec hypercalcémie
E. Une fracture après traumatisme minime
A-B-D-E
A-B
A-B-D-E
15. Un jeune homme de 20 ans a noté depuis 3 mois une adénopathie latéro-cervicale
droite augmentant progressivement de volume. L’interrogatoire révèle un
amaigrissement de 10 kg, une toux, un état fébrile et des sueurs nocturnes. À
l’examen, vous ne retrouvez pas d’autres adénopathies ni de splénomégalie. Quels
diagnostics peut-on envisager devant ce tableau clinique ?
A. Un lymphome de Hodgkin
B. Un lymphome non hodgkinien à grandes cellules B
C. Un lymphome folliculaire
D. Une leucémie lymphoïde chronique
E. Une tuberculose ganglionnaire
A-B-E
16. Vous retenez avec certitude le diagnostic de lymphome Hodgkinien sur les
éléments suivants :
A. Des cellules de très grande taille, à noyau volumineux bilobé, entourées de
nombreux lymphocytes
B. Un ganglion d’architecture normale
C. Une infiltration médullaire par de petits lymphocytes B
D. Score de Matutes ≥ 4
E. Une expression de CD30 et CD15
A-E
NB : Le score de Matutes = LLC (CD5, CD23, CD79b, FMC7, Ig)
17. Le bilan d’extension montre également des adénopathies médiastinales. dans quel
stade classez-vous la maladie ?
A. Stade A de Binet
B. Stade B de Binet
C. Stade II A d’Ann Arbor
D. Stade II B d’Ann Arbor
E. Stade II X d’Ann Arbor
D
NB :
- stade 1= atteinte d’une seule aire gg
- Stade 2 = atteinte de 2 ou plus aires gg d’un seul côté du diaphragme
- stade 3 = idem stade 2 mais des 2 côtés du diaphragme
- stade 4 = atteinte viscérale
A-B-C-D
A-D-E
A-C
13. A-B-C
14. C
15. B-C-D
A-B-C
A-C-E
12. Le site ganglionnaire le plus fréquemment atteint dans lymphome de Hodgkin est :
A. Axillaire
B. Inguinal
C. Latéro-cervical
D. Latéro-trachéal
E. Lombo-aortique
A-B-C-E?
14. Les éléments du pronostic à rechercher dans le lymphome non hodgkinien sont :
A. Le sexe
B. Le stade d’extension
C. Le type histologique
D. Le taux de LDH
E. La réponse au traitement
B-C-D-E
NB : facteur pronostic : pas le sexe mais l’age ++ (meilleur pour le sujet jeune)
10. A-C-E
11. B-E
12. C
13. A-B-C-E
14. B-C-D
15. A-B-D-E
C-E
NB : la forme la plus fréquente pour le LH est la forme mediastino-cervicale ++
Transfusion sanguine et complications
9. Le concentré érythrocytaire :
A. Peut-être conservé pendant 41jours
B. Doit être conservé à + 22°c
C. Doit être utilisé à moins de 6heures après la distribution
D. Doit être phénotypé chez les polytransfusés
E. Est contenu dans des poches de 250ml pour l’adulte
A-C-D-E
C-E
11. Le délai maximum autorisé pour poser une transfusion de CGR après réception
dans le service est de :
A. 30min
B. 3 heures
C. 6 heures
D. 8 heures
E. Aucune des propositions
A-C-D-E
E
6- La transfusion de concentrés de globules rouges (CGR) impose :
A. D’avoir le carte du groupage sanguin avec deux déterminations
B. D’avoir le carte du groupage sanguin avec une seule détermination
C. La carte de contrôle ultime prétransfusionnel avant transfusion
D. Le respect des régles de compatibilité transfusionnelle
E. De refaire le groupage sanguin au lit du malade
A-C-D
B-C-D-E
19. Une femme de 30 ans est admise aux urgences pour des métrorragies de grande
abondance, à l’examen : poids : 50 Kg, pâleur cutanéo-muqueuse. NFS : Hb = 5 g/dl
VGM= 90 fl, CCMH :32%, plaquettes : 230 000/mm3. Globules blancs :8000/mm3
(formule leucocytaire normale), bilan d’hémostase normal
L’interne de garde a décidé de la transfuser en raison de l’anémie. La transfusion de
concentrés de globules rouges nécessite :
B-C-D
A-B-C-D
16. A-D
17. A-B-C
18. A-B-C-D
5- La transfusion en plaquettes :
A. Se fait à partir d’un concentré plaquettaire poolé seulement
B. Peut se faire à partir d’un don de cytaphérèse d’un seul donneur
C. Est indiqué en cas de thrombopénie sévère
D. Nécessite la conservation de la poche à – 4°C
E. Nécessite un contrôle ultime au lit du patient
B-C
7. Le concentré érythrocytaire :
A. Doit être utilisé à moins de 6heurs après la distribution
B. Peut-être conservé pendant 42jours
C. Doit être phénotypé chez les polytransfusés
D. Est contenu dans des poches de 250ml pour l’adulte
E. Doit être conservé à + 22°c
A-B-C-D
A-C-D-E
A-E
NB :
- Les PSS : albumine, immunoglobuline, colles biologiques, facteurs de coag
- Les PSL : concentré de GR, concentré de plaquettes, plasma
B-D-E
NB : Lors d’une transfusion de plaquettes, on à besoin de 5 à 8 unités. Dans un concentré
plaquettaire standard : 1 donneur = 1 unité donc mélange plusieurs donneurs pour aboutir
au nombre d'unités souhaité. Or, dans le CPA (concentré plaquettaire d'Aphérèse) : 1
donneur = 5 à 8 unités.
A-C-D-E
29. A-B-D
30. D
31. B-C-
32. B-C-D
NB : le controlue utlime au lit du patient est une recation de Beth Vincent : Les AC des
réactifs colorés en bleu ou jaunes servent à révéler les Ag présents sur les hématies du
patient.
33. A-B
34. A-C-D-E
C-E