Modem 1
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Au commencement était la parole, et la parole était avec Dieu, et la parole était Dieu. (Jean 1:1-
3)
Dieu étant la parole, affirmer que la Bible est la parole de Dieu revient à dire que la Bible est
Dieu. Par conséquent, ton Dieu est dans un sac, sur un bureau, dans un tiroir, dans un placard,
que l'on achète à des prix variant selon la couverture qu'il porte.
La Bible n'est pas la parole de Dieu. Les hommes ont fait de la Bible un livre religieux alors
qu'elle est en réalité une lettre.
cette pensée s'appuie sur un passage biblique, Jean 1:1-3, pour discuter de la nature de la Bible en
tant que parole de Dieu. Voici un développement et des arguments supplémentaires pour étayer
cette perspective :
Développement :
- L'argument central repose sur l'idée que Dieu est la parole. En appliquant cette logique,
affirmer que la Bible est la parole de Dieu reviendrait à dire que la Bible est Dieu lui-même. Cela
soulève une question de la nature de Dieu et de la manière dont il communique avec les êtres
humains.
- L'utilisation de métaphores telles que "ton Dieu est dans un sac, sur un bureau, dans un tiroir,
dans un placard" vise à illustrer que si la Bible est la parole de Dieu et que Dieu est la parole,
alors matérialiser cette parole sous forme de livre peut sembler limitant et paradoxal.
- L'affirmation selon laquelle la Bible est en réalité une lettre plutôt qu'un livre religieux
suggère un retour à la simplicité du message initial, mettant l'accent sur la communication
directe de Dieu aux hommes, plutôt que sur une formalisation institutionnelle.
savoir:
ma pensée vise à dire que la Bible ne devrait pas être considérée comme la parole de Dieu au
sens littéral, mais plutôt comme une lettre, mettant en avant la simplicité du message initial par
opposition à la complexité institutionnelle associée à la notion de livre religieux. Cette
perspective encourage à reconsidérer la relation entre Dieu, la parole, et la manière dont les
enseignements sacrés sont interprétés et transmis.
La religion vient-elle de Dieu?
Définie comme un ensemble de pratiques, un courant de pensée se basant sur des êtres comme
des objets, les hommes la presente comme étant le moyen par lequel il accèdent et accéderont à
Dieu.
Ma réflexion part du principe que les hommes presentent la religion comme etant la voie
permettant d'atteindre Dieu. Cependant, elle soulève la question de la prétention à connaître la
volonté de Dieu en se basant sur ces pratiques religieuses. Ma réflexion avance que prétendre
connaître la volonté divine équivaut à prétendre connaître Dieu lui-même. Cela s'appuie sur
l'idée que seul l'Esprit de Dieu est capable de comprendre pleinement les pensées de Dieu.
Ma réflexion souligne également une mise en garde : prétendre savoir ce qui est bon pour un
individu vis-à-vis de Dieu constitue une forme d'auto-duperie. L'idée sous-jacente est que
l'homme ne peut prétendre connaître Dieu de manière complète et que prétendre connaître ses
intentions est une prétention erronée.
Sert-on Dieu?
Dire que l'on sert Dieu, c'est en réalité faire preuve de manque de vérité, une preuve de plus
que tu ne connais pas celui que tu prétends connaître. Tout d'abord, j'aimerais t'enseigner un
concept que tu n'as peut-être pas : Dieu n'existe pas, mais Dieu est.
Cela signifie qu'il n'a pas besoin que tu croies en lui pour être. L'existence d'une chose dépend de
notre croyance ; c'est au moment où nous croyons que la chose prend vie. C'est pourquoi,
aujourd'hui, nous avons des entreprises, car il y a eu des personnes qui, au départ, ont cru. Les
écrits de la Bible disent : "Si tu as une foi comme un grain de sénevé et que tu dis à cette
montagne de se lever et de se jeter dans la mer, elle le fera." C'est une métaphore, ne vous
inquiétez pas ; la pierre se lève au moment où tu décides de croire.
La foi n'est pas quelque chose que l'on acquiert, elle vient de ce que l'on entend, ressent et voit.
Elle est le médiateur entre Dieu et nous, car sans elle, il est impossible de lui être agréable,
disent les écrits. C'est pourquoi les prières d'une personne peuvent être exaucées sans pour
autant que la personne soit spirituelle. Il n'est pas mal de dire que l'on ne croit pas en ce que
donne une personne comme enseignement ; c'est tout à fait légitime.
Toi qui ne connais pas Dieu mais apprends à le connaître, toi qui n'as jamais vu Dieu mais
cherches à le voir, comment peux-tu prétendre le connaître ?
Tu es trompeur envers toi-même et dans le service que tu fais. Tu es religieux et feras partie de
ceux qui diront "Seigneur", et il dira : "Je ne vous ai jamais connus." La lettre sans l'esprit est
morte en elle-même ; ici, il est question de la Bible.
De plus, ne savez-vous pas que le maître est esclave de l'esclave, car le maître dépend de
l'esclave, ou du moins du serviteur ? Si le terme "esclave" ne vous plaît pas, voulez-vous dire que
si vous êtes serviteur de Dieu, un Dieu que vous prétendez connaître, alors ce Dieu dépend de
vous ? Sans vous, il n'est rien, car pour vous, Dieu existe ; il n'est pas.
Les écrits disent que si quelqu'un pèche, qu'il ne dise point que c'est Dieu, car il a été tenté par
sa propre convoitise. Mais comment est-ce possible, alors qu'en lui, il y a un esprit de Dieu censé
être plus puissant, nous donnant les capacités spirituelles requises pour vivre dans la
sanctification ?
D'où vient la pensée de l'homme, celle de Dieu, et celle du Diable, ou du moins, qui l'a créé ?
Beaucoup vivent le syndrome de l'imposteur, raison pour laquelle ils ne savent pas qui ils sont.
Ils s'identifient en fonction de ce que les gens disent d'eux. Ils ne savent pas où ils vont, car ils
vont là où on les demande d'aller. L'homme ne devrait pas devenir esclave des hommes, car il a
été racheté à un grand prix.
On ne sert pas Dieu, mais on pratique des bonnes œuvres, et ces dernières sont énormes. Un
disciple n'est pas seulement celui de la parole parlée. Il est important de noter que l'on ne peut
pas toujours pratiquer des bonnes œuvres envers tout le monde, parfois les moyens ne le
permettent pas, et aussi parce que le meilleur moyen d'aider est d'amener l'autre à sortir de la
dépendance sous toutes ses formes.
La preuve est que tu as besoin que l'on te dise de faire quelque chose pour le faire. Le péché est
enveloppé dans la chair, alors le seul moyen de s'en débarrasser est de retirer la chair, ce qui n'est
possible qu'après notre mort. Qu'est-ce que le péché ? Le péché est un esprit scellé en nous, se
manifestant par les œuvres du péché : le vol, le sexe, etc. Ses œuvres manifestes sont
susceptibles de nous conduire à la mort. La foi est le moyen par lequel un homme atténue la
force de la manifestation du péché dans sa vie, et cela est accessible à tout le monde. Si ce
dernier n'est pas atténué, il prendra de l'ampleur et affectera notre intérieur (âme). Quand
viendra le moment où nous devrions nous débarrasser de notre chair, si notre âme fut au départ
affectée, alors notre âme se perd, mais dans le cas contraire, notre âme est purifiée.
Oui, il est tout à fait possible de connaître plus que son père, tout comme il est possible de
connaître moins. La quantité de connaissances d'une personne dépend de divers facteurs tels que
son éducation, ses expériences, son accès à l'information, ses intérêts personnels, et son
engagement à apprendre.