Énergie Cinématique
Énergie Cinématique
Énergie Cinématique
mécanique
Auteur : BENDOU Kawtar
1-Introduction :
2-Descriptif et protocoles :
Pour réaliser notre expérience, on dispose d’une balle, On dispose d'une balle
qui peut garder son mouvement rectiligne pendant son déplacement. On la
place dans un tube afin de pouvoir souffler à l'extrémité de ce dernier. Cela
permet de garantir la proportionnalité de la vitesse de la balle avec sa vitesse
de la rotation pendant son mouvement. on avait besoin aussi d’une règle
graduée pour la hauteur et pour accorder le bâton de calibration sur le logiciel
Tracker.
-Analyse théorique :
On a une chute libre ou la balle n’est soumis qu’a son poids : On représente ce
mouvement sur un repère sur un repère orthonormé. Avec p(vecteur) le poids
de de la balle vertical au sol et le Vo(vecteur) le vecteur de la vitesse initiale de
cette balle. Appliquons le principe fondamental de la dynamique : On obtient :
P(vecteur)=m.a(vecteur)
-On projette sur l’axe (Ox) :
L’accélération : ax(t)=0
La vitesse : Vx(t)=V0
La position : x(t)=V0t+xo
L’accélération : ay(t)=-g
(Car le vecteur du poids de cette balle est oppose avec le sens de l’axe Oy, en
simplifiant la masse)
La vitesse : Vy(t)=-gt
(la vitesse initial est nul dans ce cas car on a l’axe Oy est perpendiculaire avec
la vitesse de cette balle)
La position : Y(t)=((-(1/2).g.t)^2)+y0
Calcul incertitudes :
On ajoute la valeur τ qui est le nombre d’image par seconde que l’appareil
photo est capable d’enregistrer : 50 image/s
On obtient bien deux fonctions qui varient autour de deux valeurs distinctes.
- ax : -0,089621563838682 m/s^2
- ay : -9,860m/s^2
Calcul incertitude :
-Em: ΔEcc+ΔEpp=4,36E-03 J
Analyse:
On remarque que les graphiques de vitesse et accélération sont accords avec
nos attentes. Par exemple avec le graphique de Vy, on peut déterminer quand
la balle rebondie, quand elle est au sommet de sa trajectoire, et quand on
passe d’un rebond à un autre. Le graphique des énergies est aussi en accord
avec notre modèle. Tout d’abord la balle est à son hauteur maximale, donc son
énergie potentielle est maximale. Mais sa vitesse est nulle, donc son énergie
cinétique est minimale. Par la suite le graphique alterne entre ces deux
énergies. Quand une est maximale l’autre est minimale. Elles se compensent
parfaitement et diminuent avec le rebond qui suit. L’énergie mécanique se
conserve uniquement durant un seul et même rebond. Mais entre chaque
rebond sa valeur diminue. Ce phénomène est du aux forces non-conservative
(frottements) d’on nous pouvons calculer le travail donné par la formule
suivante : Em(B)−Em(A)=W(b,a) F Nc (F vecteur)
Conclution :