Shepherd of The Sheepfold
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Shepherd of The Sheepfold
LE BERGER DE LA BERGERIE
Shepherd Of The Sheepfold
03.04.1956
CHICAGO, IL, USA
6 Ainsi, je me disais ce soir qu’il serait bon que nous fassions encore
connaissance, ou plutôt que nous communions un peu autour de la
Parole, et je vous demande une petite faveur, si je peux juste avoir une
prière de l’assemblée pendant une ou deux soirées. Je me suis presque
tiré de la situation au Mexique, la semaine passée, et je voudrais vous
parler de la réunion. J’avais pensé venir directement ici, mais je suis allé
chez moi dimanche alors que je ne devrais pas le faire, pour ne jamais
avoir ce genre de réunion. Mais mon cœur est très ému. Combien ont lu la
vision, voyons? C’est. Certainement, vous tous avez lu cela. Et mon cœur
attend cela impatiemment. Maintenant, notez bien ce que je vous dis.
Voyez? Et ici ce n’est pas moi; c’est AINSI DIT LE SEIGNEUR. Voyez?
Ça sera l’événement le plus glorieux de tous, juste là quand le SeigneurK
quand il nous faut tenir les services de cette manière-là. Et j’attends
impatiemment comme un enfant attend la Noël, pour arriver à cela.
Et je me disais que peut-être dimanche je pouvais tenir un service
de ce genre dans mon tabernacle. Et puis, quand je–je l’ai fait, beaucoup
s’étaient entassés là à l’intérieur au point que je ne pouvais pas le tenir.
Nous avons donc dû l’avoir juste comme une ligne de prière normale, telle
que nous l’avons ici, ou que sais-je encore. C’était hier, et cela–cela me
déchire terriblement. Ainsi ce soir, cela fait que je sois plus fatigué que
jamais.
14 Et ensuite Il–Il sait que nous n’étions pas créés des anges; nous ne
savons pas nous réjouir comme les anges; nous sommes loin de la patrie,
mais un jour. Pourquoi loin de la patrie? Nous avons été formés de la
poussière de la terre. Et Dieu a voulu que nous soyons des créatures
terrestres. C’était le péché qui a été la cause de notre mort et qui nous
éloigne de cette terre. C’est le péché qui a causé la vieillesse et la
maladie. Mais quand tout sera aboli, Ses créatures ainsi que les délégués
de Son grand domaine seront comme ils l’étaient dans le jardin d’Éden,
sans péché, sans mort, sans chagrin, sans maladie, sans crise cardiaque,
sans souci. Ne sera-ce pas merveilleux? Et nous sommes en route là, très
certainement.
20 Vous rappelez-vous que j’ai dit dans la vision qu’il surviendrait une
petite pluie, vous rappelez-vous cela? Eh bien, ensuite lorsque–lorsque
nous nous sommes mis en route pour l’arène. Il ne pleut jamais au
Mexique en cette période de l’année, comme vous le savez, dans la ville
de Mexico, là-haut dans la montagne. Et il survint une pluie et le chauffeur
dit: «Dites donc! Ceci ne nous arrive pas très souvent.»
J’ai donné un coup de poing à frère Moore; j’ai dit: «Qu’en est-il de
ça?»
Et il a dit: «Bon, Frère Branham, si je ne croyais pas dans cela, je
croirai maintenant.»
Et j’ai dit: «Observez; nous allons avoir des ennuis quand nous
arriverons à cette arène.» Et quand nous sommes arrivés là, il n’y avait
aucune âme (c’est vrai), personne là-bas. Quelqu’un avait congédié la
réunion, et on ne savait pas qui. Nous avons cherché à contacter une
personne, une autre; nous avons passé toute la soirée à téléphoner en
Amérique et nous ne sommes même pas parvenus à joindre quelqu’un.
Finalement j’ai joint–joint mon épouse, et elle a dit: «Frère Vayle» de
l’église baptiste a dit qu’il a été en Californie et que la réunion a été
congédiée.» Elle a dit: «Les gens n’ont pas su qui l’avait fait.»
Alors, Frère Moore a dit: «Je saurai qui l’a fait.»
J’ai dit: «Très bien, je vais juste dire ceci: Vous ne savez pas qui l’a
fait, et vous ne saurez pas qui l’a fait.» Vous voyez? Ainsi, il a cherché
toute la journée, il n’a trouvé personne qui en savait quelque chose.
Personne ne sait rien jusque-là. C’est parce que la vision l’avait dit.
21 Je suis rentré chez moi. Eh bien, je suis sorti pour prier. Beaucoup
de gens étaient là, et frère Arganbright s’est approché, venant de là, et il a
dit: «Frère Branham, voici le Général Valdena et beaucoup de gens du
gouvernement mexicain, et c’est la première fois dans toute l’histoire du
monde, ou plutôt dans l’histoire du Mexique qu’un protestant soit invité par
le–par le gouvernement.» Et il a dit: «Vous devez venir.»
Et alors j’ai dit: «Laissez-moi prier d’abord.» Je suis retourné dans
les bois et j’ai prié. Et le lendemain matin, avant le jour, le Seigneur est
venu vers moi et m’a donné une vision. Et Il m’a dit: «Retourne au
Mexique; Je serai avec toi.»
Aussi suis-je retourné au Mexique le jour suivant. Et quand nous
sommes allés là-bas. Vous pouvez vous imaginer combien les gens sont
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pauvres; c’était pitoyable. Et on ne nous a pas permis d’avoir accès aux
bureaux de la rédaction. Toutes les annonces, on ne nous a pas permis
de les publier, ni quoi que ce soit. Et on ne nous a pas permis d’avoir un
endroit où installer les gens. On nous a juste accordé un très grand terrain
d’environ deux pâtés de maisonsK un peu rectangulaire, comme cela, et
tout le monde devait rester debout. Je pouvais prendre trois soirées de
réunions pour eux. Et–et nous avons atteint la moyenne de la dimension
du terrain que nous avions. Et un grand nombre de gens se tenait à cet
endroit, six personnes se tenaient debout à tous les trois pieds carrés
[2787 cm²–N.D.T.]. Eh bien, ils restaient debout du matin jusqu’à vingt-
deux, vingt-trois heures, ils se tenaient simplement là. Mais ils sont
habitués à se tenir debout, en guise de sacrifice.
24 Lorsque j’ai jeté un coup d’œil, Billy est venu vers moi, frère Moore
et les autres ont dit: «Frère Branham, vous ne pouvez rien faire pour elle.»
Ils ont dit: «Son bébé est mort.» Et ils ont dit: «Vous n’y pouvez rien.» Ils
ont dit: «Elle se fraye un chemin et crie en disant: «Padre.» Vous
connaissez la signification de ce mot: père. «Padre, padre.» Continuant
ainsi.
Ainsi j’ai dit: «Frère Moore descendezK»
Billy a dit: «Vous. Elle se débat de toutes ses forces.» Il a dit: «Elle
a ce bébé-là mort, et il est raide dans ses bras.» Et il a dit.
Ainsi j’ai dit. Elle se tenait alors debout aussi proche que l’est ce
coin, là dans l’auditoire comme cela. Et j’ai dit: «Maintenant, Frère Moore,
descendez et priez pour elle et consolez-la d’une façon ou d’une autre.
Elle ne saura pas nous distinguer nous qui prions.» J’ai dit: «Allez la
consoler», comme cela.
Frère Moore s’est mis à descendre là; j’ai levé les yeux et j’ai vu
une vision. Et là j’ai vu un médecin secouer la tête et lui dire: «Le bébé est
mourant.» Et le bébé était effectivement mort. Et c’était la veille qu’il lui
parlait; Et la mère a amené le bébé ce jour-là mais, elle ne pouvait pas
atteindre le lieu. Et alors ce jour-là, le–le jour suivant, le second jour de la
série de réunions, elle a amené le bébé et s’est tenue là au fond, et c’était
une soirée terrible. Et le bébé était mort dans ses bras, il était rigide, raide
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et mort. Et elle s’est mise à crier. Le bébé était mort peut-être depuis dix,
quinze minutes ou peut-être vingt, au moment où elle est arrivée là.
Eh bien, je suis descendu là où le petit enfant se trouvait dans les
bras de sa mère, mort. Et j’ai dit. Il m’était impossible de lui parler, pas
d’interprète là pour lui parler. J’ai donc pris le petit enfant et lui ai imposé
les mains et j’ai dit: «Bien-aimé Seigneur Jésus, regarde seulement le
cœur de cette pauvre femme.» Et quand j’ai fait cela, le petit enfant se mit
à gigoter et à crier; il est revenu à la vie. Et cela a simplement déchiré le
Mexique. Je suis. Et elle le portait là sur l’estrade, un enfant vivant, il
n’avait rien d’anormal, parfaitement en vie.
28 Et ainsi ils ont dit: «Frère Branham, si vous pouvez rester et faire
quinze jours de réunion ici, ça ne fait que se répandre.» Et de cette soirée-
là à la soirée prochaine le trouK la foule a triplé, trois fois le nombre de
gens qu’il y avait la veille au soir; ils étaient montés sur les murs et tout.
C’était un–un merveilleux. Pas assis, mais debout, ils se tenaient debout
l’un à côté de l’autre, comme cela. Une marée humaine.
Et maintenant, qu’est-ce que cela aurait donné en quinze soirées?
Il a dit: «Le Mexique aura reçu un coup en ce qui concerne le
christianisme, de sorte que si le monde existe encore dans trois, quatre
cents ans à partir de maintenant, les gens parleront encore de cela.» Mais
j’ai eu la présente série de réunions, mais j’irai un jour au Mexique. Et je
voudrais que le Seigneur m’y ramène, afin que j’y retourne comme je l’ai
fait autrefois au Nom du Seigneur Jésus. C’est vrai. Qu’est-ce qui a fait
cela? Vos prières. Je me suis rappelé que l’église de Philadelphie priait
pour moi concernant ces soirées. Je me souviens toujours de cela, que
vous priez pour moi.
37 Je. Une fois, j’étais là en Orient, j’ai appris une grande leçon au
sujet de. J’ai vu dans Saint Jean, je crois au chapitre 10, là où Il dit: «Je
suis le–le Portail de la bergerie», ou plutôt «la Porte de la bergerie.» Je
me suis souvent demandé comment Il pouvait être une Porte, étant un
homme? Mais quand j’étais là-bas, j’ai appris ce que cela voulait dire. Les
bergers conduisent leurs brebis dans la bergerie, et ils ont une–une voûte
où ils entrent, et lorsqu’il les conduit toutes à l’intérieur, alors après
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qu’elles sont toutes entrées, alors il les compte, et ch-. S’il en manque
une, il ira la chercher. Il doit la faire entrer là. Chaque brebis doit être
comptée à chaque heure de la journée.
Oh! quel Berger Il est! Il avaitK rend compte pour chaque brebis à
chaque heure de la journée. Peu importe où vous êtes, Il sait où vous
êtes. Il connaît tout à votre sujet. C’est la raison pour laquelle Il peut se
tenir ici à l’estrade au milieu des gens soumis, pour révéler, faire connaître
et parler; Il le sait. Il sait où vous en étiez il y a une année. Il sait où vous
vous trouviez à–à tout moment. Il doit rendre compte de Ses brebis,
toujoursK et surtout elles sont toutes recomptées après avoir été
rassemblées dans la bergerie. Je me disais: «Quelle belle image! Les
rassembler dans la bergerie, puis les compter.»
48 Quand tous ces freins ont grincé, j’ai regardé dehors et j’ai vu une
scène que je n’avais jamais pensé voir. Juste là au milieu de la rue, sans
s’arrêter pour le feu rouge ni quoi que ce soit, un berger venait et toutes
ses brebis le suivaient. Tous les freins et les voitures, tout s’était arrêté
pour le berger. J’ai dit: «Gloire à Dieu!»
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«Oh , ai-je dit, c’est une personne importante.» J’ai dit: «Que je le
suive un peu.» Nous l’avons observé. Il est allé directement dans ces
petits endroits étroits et toutes se tenaient sur chaque côté de la rue. Et j’ai
dit: «Eh bien, ne. Pourquoi ces brebis n’ont-elles pas pris cette autre
direction?
Il a dit: «Chacune d’elles suit le berger. Où qu’il aille les brebis le
suivent.» «Où qu’Il me conduise, je suivrai.» J’ai dit: «Sortent-elles de la
ligne»?
Il a dit: «Si jamais une sort du chemin ou désobéit, c’est qu’elle est
malade.»
Oh! spirituellement parlant, vous brebis qui êtes malades ce soir,
pourquoi sortez-vous de la ligne? Le Grand Berger est ici ce soir avec Son
baume curatif pour empaqueter tout cela et vous ramener de nouveau
dans la marche de la vie chrétienne. Croyez-vous cela? Certainement. Il a
dit: «Seules celles qui étaient malades et faibles peuvent sortir du
chemin.» Et alors le berger les nourrit avec un soin particulier, puis il les
ramène.
49 Ainsi j’ai observé ces brebis, et quelque chose d’étonnant que j’ai
remarqué chez elles, dans ces brebis, c’était ceci: quand elles sont
descendues dans la rue, il y avait toutes sortes de friandises exposées là.
Les–les pays de l’Est ne sont pas comme ceux de l’Ouest. Nous mettons
toutes nos choses sous toutes sortes de–de déshydratation et nous
laissons cela exposé dans de grands comptoirs gelés et tout, mais à l’Est,
les gens les exposent simplement dehors, dans la rue, juste comme cela.
Et voici venir ce berger avec toute une file de brebis, presque longue
comme un pâté de maisons, marchant tout simplement, à moins de dix
pieds[305 cm–N.D.T.] d’un côté et de l’autre, il y avait des friandises à
manger, comme les poires, et–et les papayes, et tout était exposé dans la
rue; et il marchait juste là dans la rue, et pas une seule brebis ne s’est
retournée à droite ni à gauche pour prendre quelque chose. Amen.
J’ai dit: «Comment expliquer cela, mon ami?»
Il a dit: «Ces brebis sont tellement dévouées au berger qu’elles ne
font attention à rien, sauf le suivre.»
Je me suis dit: «Ô Dieu, Ton Église devrait être tellement dévouée
à Toi que les tentations du monde n’auraient rien à faire avec eux. Les
gens seraient tournées vers le Berger.» Ce berger ferait un pas dans ce
sens, qu’elles iraient dans le même sens. Chaque brebis venait juste
après l’autre, faisant le même pas, et suivait le berger. Oh! suivre les
empreintes des pas du Berger, c’est ça. Ne soyez pas tenté, ballotté,
inquiet, tenté ici et là, et aujourd’hui vous avez la victoire, demain vous
perdez la victoire. Suivez le Berger. C’est Lui qui conduit.
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50 «Ainsi Mes brebis connaissent Ma voix, dit-Il, et un étrangerK" Il
dit: «Elles sont habituées à la voix.»
J’ai dit: «Eh bien, si un autre berger venait et lançait ce petit appel
«o’de’le’lee’», qu’il lance là, ces brebis, si elles étaient dans le champ,
viendraient-elles?
Il a dit: «Oh, non. Non, ces brebis connaissent le son même pour
chaque timbre de la voix de ce berger.»
Je me suis dit: «Eh bien, voici le pays de la Bible. Maintenant, peu
importe, un autre berger pouvait se tenir là et essaye d’imiter cela, ces
brebis continuaient simplement à brouter. Mais laissez simplement cette
petite voix parler, chaque brebis se tiendra debout ici. Elles étaient en
ligne, en train de venir. Oh! la la! Un glorieux jour, ce Roi Berger criera des
Cieux, et nous entreprendrons une marche vers la Ville de Sion, dans
cette grande ramification incassable de l’armée du Seigneur, quand nous
ressusciterons vainqueurs de la mort et de l’enfer.
54 Y a-t-il quelqu’un ici qui n’est réellement jamais venu. Mais vous
sentez comme si c’est juste ce soir que vous aimeriez dire: «Ô Roi Berger,
je–j’aimerais reconnaître Ta Voix, car Tu pourrais appeler avant le jour, et
je ne saurais où Te suivre. J’aimerais que Tu te souviennes de moi, ô
Dieu, et je lèverai la main vers Toi, et dirai: «Souviens-Toi de moi, un
pécheur. Je voudrais que l’on se souvienne de moi.» Que Dieu vous
bénisse. Que Dieu vous bénisse. C’est bien. Quelqu’un d’autre qui n’a
jamais accepté Christ. Que Dieu vous bénisse, jeune homme. Que Dieu
vous bénisse, mon frère là derrière. Que Dieu vous bénisse, ma sœur, par
ici. Celui qui n’a jamais été sauvé et qui veut connaître le Grand Berger de
la Bergerie.
56 Père céleste, nous Te remercions ce soir pour tous ceux qui ont
levé la main, et nous savons que, par Ta grâce, Seigneur, et par Ta bonté,
Tu n’abandonneras aucun d’eux. «Nul ne peut venir», as-Tu dit, si le Père
ne l’attire: et tout celui qui vient, Je lui donnerai la Vie Éternelle et Je le
ressusciterai au dernier jour.» C’est Ta Parole, Seigneur Jésus. Tu as
dit: «Celui qui entend Ma Parole, et qui croit en celui qui M’a envoyé, a la
Vie éternelle, et ne viendra point en jugement, mais il est passé de la mort
à la Vie.»
Ô Dieu, qu’est-il arrivé dans cette église à l’instant même? La mort
a laissé la place à la Vie, le souci à la joie, les chagrins au bonheur, le
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désespoir à l’espoir, la tombe à la gloire. Oh! que c’est merveilleux! Tes
brebis sont retournées à la maison. Ils ont levé la main. Touche-les,
Seigneur, avec ce Sang venant de Ta propre main et marque-les, Tes
brebis. Ils n’auront plus à s’inquiéter; ils entendront la Voix du Berger, et ils
marcheront avec Lui pendant qu’Il marche. Les choses du monde seront
mortes pour eux dès ce soir. Ils T’ont accepté. Et ils sont venus avec leurs
mains posées sur Toi, disant, Tu as dit: «Brebis de Ma Bergerie, Sang de
Mon Sang, l’os de Mes os, venez vous les bénis de Mon Père.» Et
Seigneur Dieu, accorde-leur la paix et le repos. Et ô Dieu, puissent-ils le
dire à quelqu’un d’autre, et puissent-ils entrer. Accorde-le, Seigneur.
61 Maintenant, je vais offrir une prière pour vous de tout mon cœur,
mes bien-aimés. Rappelez-vous que c’étaient vos prières qui m’ont
soutenu à l’étranger. C’était la contribution que vous m’avez envoyée, que
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vous m’avez donnée par une petite offrande d’amour qui nourrit mes
enfants, qui paye mon voyage vers de différents endroits. Vous êtes de
Dieu–vous êtes les rachetés de Dieu par Son Sang. Je porte un costume
ce soir que vous avez payé. Je suis appelé serviteur de Dieu ce soir,
parce que votre foi s’est ralliée à ce que je vous ai dit. C’est vous, les
étoiles de la couronne. Je vous aime. Je ne peux pas du tout vous dire
quelque chose de faux. Certainement, j’ai trouvé grâce à vos yeux ce soir
d’être. Dieu a confirmé. Je vous dis la vérité. Maintenant, Il est ici et Il veut
guérir chacun de vous. Je vais prier. «La prière de la foi sauvera le
malade», dit la Bible. Dieu le relèvera.
LE BERGER DE LA BERGERIE
Shepherd Of The Sheepfold
03.04.1956 31
Ce texte est une version française du Message oral prêché par le Prophète de
Dieu, William Marrion Branham le03.04.1956 à CHICAGO, IL, USA.
www.branham.ru