Milieu de Culture Et Conservation
Milieu de Culture Et Conservation
Milieu de Culture Et Conservation
Il se compose d'une base (agar-agar, eau, minéraux...) ainsi que d'un indicateur
coloré de pH ou de réaction d'oxydo-réduction pour permettre de formuler des
hypothèses sur le genre.
Il existe aussi des bouillons de culture qui possèdent la même fonction, mais ces
milieux ne contiennent pas d'agar-agar, ils sont donc totalement liquides.
Sommaire
1 Notion de milieu minimum
2 Milieu de culture empirique
3 Milieu de culture sélectif
4 Milieu de culture enrichi
5 Milieu ordinaire
6 Milieu synthétique
7 Milieu semi-synthétique
8 Voir aussi
de micro-organismes. Pour cela on ajoute des éléments qui inhibent la croissance des micro-
organismes indésirables comme le chlorure de sodium à forte concentration, le thiosulfate de
sodium, le cristal violet ou certains antibiotiques, etc.
Les éléments ajoutés sont sélectionnés selon les caractéristiques du micro-organisme recherché.
Ces milieux sont utilisés pour l'analyse d'un prélèvement polybactérien. Ce milieu permet de
sélectionner uniquement en cas de crible positif : Résistance à un antibiotique,
la prototrophie etc.
Exemples de milieux sélectifs :
milieu S-S : il ne permet la croissance que des Salmonelles (Shigella s'y développe moins
vite : environ 48 à 72 heures avant d'obtenir une culture exploitable).
milieu de Sabouraud : il permet la pousse des mycètes.
gélose Kanamycine - Vancomycine, dite "Kana-Vanco" ou KV : elle empêche la pousse des
bactéries à Gram positif (action de la vancomycine) et de la plupart des entérobactéries
(action de la Kanamycine). Sur ce milieu, poussent préférentiellement des bactéries
anaérobies strictes.
Ils contiennent, outre les composants de base, des composants indispensables aux bactéries,
que celles-ci ne peuvent pas synthétiser. Ce sont des milieux utilisés pour l'obtention des
bactéries dites exigeantes et auxotrophes.
Par exemple : les milieux au sang frais (le sang est riche en nutriments divers): Gélose au sang
frais ou cuit. Les milieux avec du sérum, du jaune d'œuf : Gélose Baird Parker ou dite BP.
Par exemple : les milieux au sang frais (le sang est riche en nutriments divers). Les
milieux avec du sérum, du jaune d'œuf.
Milieu ordinaire
Ils permettent la culture des bactéries qui n'ont pas d'exigence nutritive particulière,
(bactéries non exigeantes). La composition de ces milieux est simple et sans effet
de sélection.
Milieu synthétique
Ce sont des milieux dont on connaît exactement la composition chimique, tant d'un
point de vue qualitatif que quantitatif.
Ils sont utilisés dans la recherche d'une réaction enzymatique précise. Ce sont les
milieux les plus couramment utilisés.
Milieu semi-synthétique
On ne connaît leur composition exacte que pour certains composants (d'un point de
vue quantitatif, pour les produits ayant un intérêt, comme les facteurs de
croissance.)
L'enrichissement est une étape qui se réalise quand on veut favoriser la croissance
du germe recherché. cette étape se réalise en milieu liquide avec qui possède des
agents sélectif du germe recherché et des inhibiteurs des autres.
Milieu différentiel
Le milieu de culture dit différentiel ou indicateur permet de distinguer deux types de
microorganismes se développant dans un même milieu2. Ce type de milieu met en évidence
certaines caractéristiques biochimiques des microorganismes (principalement l'aptitude à
dégrader un substrat) en présence d'indicateur(s) de la réaction chimique : des indicateurs
colorés de pH ou d'oxydo-réduction (tel que le rouge neutre, rouge de phénol, l'éosine ou le bleu
de méthylène).
On retrouve parmi les milieux différentiels :
les géloses CLED et BCP et qui différencient la dégradation du lactose, ainsi que la
dénomination indirecte d'e.coli qui sont des entérobactéries hyper-résistantes.
la Gélose Éosine Bleu de Méthylène (EMB), qui différencie la fermentation du lactose de
celle du saccharose
la Gélose MacConkey (MCK), qui différencie la fermentation du lactose. De plus, cette gélose
est sélective (voir plus haut) dans la mesure ou elle ne permet que la croissance des bacilles
GRAM négatif. La gélose Drigalski possède les mêmes propriétés.
la Gélose Chapman (MSA), milieu sélectif des staphylocoques qui différencie la fermentation
du mannitol permettant une orientation entre autres vers Staphylococcus aureus.
la gélose Hektoën, qui différencie la fermentation de 3 glucides (lactose, saccharose et
salicine) ainsi que la production de sulfure d'hydrogène. Cette gélose est sélective des
bacilles GRAM négatif, elle est particulièrement adaptée à la recherche d'entérobactéries
pathogènes dans les selles.
les géloses SS, XLD, DCL, TCBS sont aussi des milieux différentiels couramment utilisés.
CAN2 : milieu sélectif des levures qui permet la mise en évidence de Candida albicans par la
mise en évidence de l'activité hexosaminidase.
autres milieux chromogènes : SAID pour Staphylococcus aureus, MRSA pour la recherche
des SARM, ESBL pour la recherche des BLSE, STRB pour la recherche des streptocoques
du groupe B...
Sommaire
Introduction
3.1-Repiquage successifs……………………………………………………………...
3.2-Congélation ………………………………………………………………………
3.3-Dessiccation ……………………………………………………………………...
3.4-Lyophilisation …………………………………………………………………....
5-Principes de la cryoprotection…………………………………………………...
Références bibliographique
..................................."Introduction".............................................
Une fois qu’un milieu de culture a été préparé et stérilisé afin d’éliminer tous les micro-organismes, il
peut être inoculé (c’est-à-dire que des organismes y sont ajoutés) et être incubé dans des conditions
qui favoriseront la croissance microbienne. Au laboratoire, l’inoculation sera généralement réalisée à
partir d’une culture pure, culture contenant seulement une seule espèce de micro-organisme. Pour
le but de maintien en culture pure ces micro-organismes tels que les levures, les champignons
inférieurs, les bactéries et les virus, et pour usage ultérieur et étude, il doit être conservée dans son
état original.(MADIGAN et MARTINKO,2007).
C’est une méthode utilisée dans les laboratoires pour conserver les cultures des différentes espèces
microbiennes isolées. Ces cultures servent des souches de référence c’est-à-dire gardé constant
l’ensemble de ces propriétés morphologique, métabolique, génétique et physiologique. Elles sont
fréquemment utilisées soit pour l’enseignement, soit pour le contrôle, soit pour la recherche, soit
pour la production industrielle. (A.Meyer et al, 2004).
• En cours d’analyse, il peut parfois être utile de comparer la souche d’une infection en cours avec les
souches d’infections précédentes.
• Pour éviter les mutations et les changements phénotypiques et garder les caractéristiques
intéressantes d’une culture
3.1-Repiquages successifs
C’est une méthode courant utilise des tubes de milieu solide inclinés ou en culot.une fois
ensemencés, les tubes sont placés à l'étuve pour que la croissance débute puis, avant qu'elle ne soit
trop abondante, les tubes sont placés dans une armoire réfrigérée à 4°c ou parfois laissés à
température ambiante. La vitalité de la souche se maintient pendant des durées variables, selon la
température et l'éspèce microbienne. Au bout de ce délai, un nouveau repiquage est réalisé. Les
levures et champignons se conservent très bien au réfrigérateur pendant 3 à 6 mois; les bactéries se
conservent assez facilement à température ambiante mais demandent des repiquages plus
fréquents. La réplication fréquente des repiquages peut entrainer des variations de souches en
particulier lorsqu'il s'agit des souches sélectionnées ou marquées génétiquement. Il est conseillé de
conserver dans ce cas les repiquages antérieurs et d'effectuer le nouvel ensemencement à partir du
tube le plus ancien. En cas d'échec on renouvelle l'opération avec des tubes plus récents. La
fréquence des repiquages peut être ralentie et la conservation accrue en recouvrant le tube de
milieu ensemencé d'une couche de paraffine stérile qui limite les échanges gazeux. D’autre part, les
éspèces bactériennes anaérobies ou aéro-anaérobies peuvent être conservées en gélose en culot,
dans des tubes scellés. Une technique particulière s'applique aux bactéries acidophiles comme par
exemple
les bactéries lactiques: une culture est réalisée sur milieu favorable puis elle est immédiatement
repiquée sur milieu ne permettant pas une abondante : ce dernier est seul conservé, ce qui évite
l’auto-destruction de la culture par une acidification trop importante du culture.
On a pu ainsi conserver de cette manière divers champignons filamenteux durant plus de 25 ans.
Pourtant, par ce procédé, on peut perdre certaines des caractéristiques de la souche. Par
exemple, stm. Griseus perdra 50% de sa capacité à produire de la streptomycine au bout de 4
repiquages et pour ainsi dire la totalité de cette propriété au bout de 10.(GUIRAUD,1998).
3.2-Congélation
Bien que notre propos soit la destruction des micro-organismes, il faut dire que, souvent, la
technique de contrôle la plus pratique est d’inhiber leur développement par la congélation ou la
réfrigération. Cette méthode est particulièrement importante en microbiologie alimentaire. (CLAIRE
et al, 2003) .
Deux paramètres importants parmi d’autres conditionnent la mise en œuvre de ce procédé : le choix
de la température et surtout la vitesse d’abaissement à la température choisie.
Pour conserver dans des meilleures conditions les structures cellulaires. Il convient de congeler à la
température la plus basse (souvent de -25°c à -80°c) qui arrête la croissance des micro-organismes à
cause de la température basse et l’absence d’eau liquide et d’y parvenir dans les délais les plus brefs.
De plus, l’addition d’agents dits cryoprotecteurs permettra d’éviter au maximum les altérations
cellulaires dues au refroidissement. Mais ces agents seront d’autant plus efficaces que la vitesse de
congélation sera faible.
En général, on travaille avec une vitesse de 1°C. min-1 jusqu’à - 30 ou - 40°C, avec comme agent
protecteur du glycérol à 10% ou du DMSO (diméthylsulfoxyde). Ensuite, les souches congelées seront
conservées sous azote liquide à – 196°C ou sous vapeur d’azote à – 120°C parce que l’azote liquide
empêche les réactions enzymatique comme les ribonucléases (RNAses) qui sont actives aux
températures supérieures à – 70 °C et dégradent les prélèvements à long terme.
Pour leur remise en culture, il sera préférable d’assurer une décongélation la plus rapide possible.
(A.Meyer et al ,2004).
-Certain micro-organismes seront tués par la rupture des membranes due à la formation des cristaux
de glace mais la congélation ne détruit pas les germes contaminants.
3.3-Dessiccation
L'eau est le solvant des réactions chimiques du vivant. Après dessiccation, les réactions chimiques
seront arrêtées (au moins ralenties) et la conservation effective.
(www.perrin33.com/génie.../conservation_souches_dessiccations.php).
C’est un procédé simple à mettre en œuvre, consiste à déshydrater en utilisant la chaleur sèche ou
des produits chimiques comme l’anhydride phosphorique. Pour cette opération, les microorganismes
sont disposés sur des supports inertes (Kieselguhr, bandes de papier, cylindres préséchés d’amidon,
de dextrane, disques de gélatine, billes de verre, etc.….).(A.Meyer et al,2004).
Après la dessiccation, il faut assurer un stockage parfaitement sec, en général vers 0-4°C (conteneur
étanche avec dessiccateur dans une ambiance réfrigérée).
3.4-Lyophilisation
C’est un procédé de conservation des produits biologiques par dessiccation sous vide à basse
température. Ici, les suspensions de microorganismes sont tout d’abord congelées à basse
température puis mises sous vide. Ici les suspensions de micro-organismes sont tout d’abord
congelées à basse température puis mise sous vide.
L’abaissement de la pression en dessous du point d’équilibre, dit point triple ( P= 610 Pa, T°= 0,01°C ),
entraine une sublimation de la glace, c’est-à-dire son passage de l’état solide à l’état gazeux sans
passer par la phase liquide. La phase de désorption permet d’éliminer l’eau restante. Protégées de
l’oxygène, de l’humidité et de la lumière, les suspensions peuvent ainsi être conservées pendant très
longtemps. (A.Meyer et al, 2004).
La formation d’une poudre qu’il est facile de conserver en ampoules scellées pour une durée très
longue et ordinaire. (GUIRAUD,1998).
En utilise d’agent cryoprotecteurs comme le lait écrémé pour éviter l’altération des micro-
organismes.
La revivification (réhydratation) est réalisée par ajout de milieu de culture dans l'ampoule de
lyophilisat. Ce fait par les étapes suivantes :
Aussi, incuber dans les conditions spécifiées de température et d'atmosphère.( http://cip. pasteur.fr
/presentation.html)
La lyophilisation n'est pas compatible avec tous les microorganismes. Dans certains cas elle
occasionne des altérations cellulaires et génétiques.
• 1963 Mazur, Oak Ridge, Tennessee (Etats-Unis) explique pourquoi certains organismes
unicellulaires, par exemple des levures, peuvent survivre suite au refroidissement lent (1/min).
• L’eau congelable se cristallise a l’extérieur des cellules , les cellules se déshydratent, se rétrécissent
et l’eau sort de la cellule: c’est la formation de glace intracellulaire qui serait létal.
5-Principes de la cryoprotection :
6-Les applications
• Importance médicale :
La conservation d'une souche isolée sur un patient et transmise pour études complémentaires
(typages moléculaire précis, études de réactions particulières vis à vis d'antibiotiques ...) et à
conserver dans le cadre d'une enquête épidémiologique. Une conservation de courte durée sur
quelques semaines ou quelques mois peut suffire.
• En génie biologique :
La conservation d'une souche sélectionnée et/ou obtenue par génie génétique pour une production
en génie fermentaire (par exemple une souche destinée à la production industrielle d'un antibiotique
ou d'une molécule à très haute valeur ajoutée). Il s'agit au minimum de conserver absolument les
caractéristiques d'intérêt biotechnologique pour tout l’inoculum qui devront être gérés pendant la
période d'exploitation de la souche. Et c'est assez délicat pour de telles souches qui ont tendance à
dériver vers la sous-production. En effet, les cellules qui produisent le composé d'intérêt
biotechnologique – composé qui n'a pour elles aucun intérêt si ce n'est de baisser leur rendement
physiologique - sont en général moins prolifiques que les cellules qui ont perdu cette activité : la
pression de sélection naturelle est favorable à la disparition des caractéristiques d'hyperproduction
mises au point. D'où l'intérêt d'une conservation très au point et pour plusieurs années.
• En taxonomie :
La conservation des souches types dans un souchier de niveau international pour taxonomistes : dans
l'idéal il faut assurer une conservation à l'infini et parfaite des souches types.
(www.perrin33.com/génie.../conservation_souches_generalites.php).
Conclusion
La conservation est varie selon la souche sélectionné et selon l’objectif de recherche et la durée de
conservation varie aussi selon l’objectif de la recherche : courte et longue durée.
Pour courte durée en travaille avec les repiquages successifs, pour longue durée en travaille aves les
autres méthodes : congélation, dessiccation et lyophilisation.
0.1 Objectifs
L'objectif de la conservation d'une souche est le suivant : dans le cadre de la durée de conservation souhaitée, maintenir la
souche à conserver viable, disponible et à l'identique. En microbiologie, où on travaille avec des organismes unicellulaires
conserver viable à l'identique, c'est conserver viable dans des conditions qui gardent le génome à l'identique.
Selon les cas, les durées de conservation souhaitées varient de quelques jours à plusieurs années et le choix d'une
technique de conservation sera fortement influencé par ce paramètre de durée.
On verra dans la suite qu'on ne met pas forcément en oeuvre des techniques qui garantissent l'absence totale de toute
modification du patrimoine génétique d'origine de la souche à conserver lors de la conservation. Il faudra alors vérifier
qu'on a maintenu à l'identique un ensemble de caractères génétiques et/ou morphologiques et/ou physiologiques et/ou
biochimiques qui caractérisent la souche pure à conserver et qui sont d'intérêt pour les utilisateurs de la souche (les
caractères sont définis par l'utilisateur en fonction de la nature de son travail sur la souche à conserver).
• Un exemple pour taxonomistes. La conservation des souches types dans un souchier de niveau international pour
taxonomistes : dans l'idéal il faut assurer une conservation à l'infini et parfaite des souches types.
• Un exemple en génie biologique. La conservation d'une souche sélectionnée et/ou obtenue par génie génétique pour une
production en génie fermentaire (par exemple une souche destinée à la production industrielle d'un antibiotique ou d'une
molécule à très haute valeur ajoutée ). Il s'agit au minimum de conserver absolument les caractéristiques d'intérêt
biotechnologique pour tous les inoculums qui devront être gérés pendant la période d'exploitation de la souche. Et c'est
assez délicat pour de telles souches qui ont tendance à dériver vers la sous-production. En effet, les cellules qui produisent
le composé d'intérêt biotechnologique – composé qui n'a pour elles aucun intérêt si ce n'est de baisser leur rendement
physiologique - sont en général moins prolifiques que les cellules qui ont perdu cette activité : la pression de sélection
naturelle est favorable à la disparition des caractéristiques d'hyper-production mises au point. D'où l'intérét d'une
conservation très au point ! et pour plusieurs années !
• Un exemple médical. La conservation d'une souche isolée sur un patient et transmise pour études complémentaires
(typages moléculaire précis, études de réactions particulières vis à vis d'antibiotiques ...) et à conserver dans le cadre d'une
enqête épidémiologique. Une conservation de courte durée sur quelques semaines ou quelques mois peut suffire.
• Tout arrêter par les très basses températures : congélations. L'idée est la suivante : en abaissant suffisament la
température on peut arrêter toutes les réactions chimiques et garder ainsi la soupe biologique en l'état, y'aura qu'à
réchauffer pour faire repartir. On verra qu'il y a un gros problème technique à surmonter : l'eau gèle aux basses
températures et les phénomènes de cristallisation peuvent endommager les cellules aussi bien à la congélation qu'à la
décongélation. Autre problème, conserver au froid est couteux en énergie et en surveillance.
• Tout arrêter en supprimant l'eau solvant : dessications, cryodessications. Grosso modo : sans eau solvant, absence
de réactions chimiques dans le vivant. d'où l'idée d'enlever l'eau solvant pour consever et de la remettre pour revivifier.
Pas toujours simple à réaliser : lors de la déshydratation on peut dénaturer beaucoup d'édifices macro moléculaires ... Il
existe 2 grands procédés, les dessications pour lesquelles on fait passer l'eau de l'état liquide à gazeux et celles pour
lesquels on congèle avant de déshydrater en faisant passer l'eau de l'état solide à gazeux (sublimation). Ces dernières sont
dénommées cryodessication ou lyophilisation.
• La nature "a prévu" la conservation : formes naturelles spores ...A ce niveau de l'exposé citons les endospores chez
les Bacillus (thermorésistantes à la chaleur humide en prime) et les exospores des Streptomyces (pas de thermorésistance à
la chaleur humide mais c'est quand même du solide sur de très longues durées).
• La souche se maintient sur un milieu de culture : les milieux de conservation. On fait végéter une souche sur un
milieu de culture en la repiquant le moins souvent possible. Une méthode qui ne peut éviter les dérives génétiques et donc
généralement à éviter ...