Diode
Diode
Diode
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Diode
La diode (du grec di deux, double ; odos voie, chemin) est un
composant électronique. C'est un dipôle non linéaire et polarisé
(ou non symétrique). Le sens de branchement d'une diode
détermine le fonctionnement du circuit électronique dans
lequel elle est placée.
Sans précision ce mot désigne un dipôle qui ne laisse passer le Différents types de diodes.
courant électrique que dans un sens. Ce dipôle est appelé diode
de redressement lorsqu'il est utilisé pour réaliser les
redresseurs qui permettent de transformer le courant alternatif en courant continu.
Généralités
Pour aborder l'électricité, on fait souvent appel à une analogie hydraulique. Si on compare
l'électricité à un liquide circulant dans une canalisation, la diode est un clapet anti-retour. Dans un
sens, à partir d'une certaine pression du fluide, le clapet laisse passer le fluide (analogie avec la
tension de seuil). dans l'autre sens, le fluide ne fera pas ouvrir le clapet, sauf si la pression est trop
forte (analogie avec la tension inverse maximale). En poussant l'analogie, on trouve des similitudes
avec les autres caractéristiques d'une diode : courant de fuite, puissance, allure de la
caractéristique, temps de réponse…
L'analogie est imparfaite. L'électricité ne se comporte pas comme un fluide. Certains usages des
diodes tirent parti de propriétés qu'il est finalement plus simple d'examiner en tant que telles,
plutôt que de pousser l'analogie avec l'hydrodynamique, dont les calculs ne sont pas plus simples.
Depuis la généralisation des semi-conducteurs, ceux-ci sont à la base de toutes les diodes. La diode
à vide, tout comme la diode à vapeur de mercure appartiennent à l'histoire.
Historique
Karl Ferdinand Braun découvrit en 1874 qu'un cristal de galène laissait passer le courant électrique
dans un sens, tout en le bloquant dans l'autre. Ce premier dispositif est aujourd'hui connu sous le
nom de diode à pointe, bien que le physicien William Eccles n'ait proposé le terme diode qu'en
1
1919, pour la diode à vide . Jagadish Chandra Bose l'utilisa pour la détection des ondes radio, et ce
système fut largement diffusé dès les débuts de la radiodiffusion, dans les années 1920, dans le
poste à galène.
Au début du ��e siècle, on utilisait des redresseurs à oxyde de cuivre ou au sélénium pour la
conversion du courant alternatif en courant continu. Cette utilisation persista dans la plus grande
partie du siècle pour la charge des batteries.
En 1901, Peter Cooper Hewitt inventa le redresseur à vapeur de mercure, utilisé pour les
applications de puissance jusqu'aux années 1970.
À la même époque, recherchant à améliorer la détection des ondes radio, John Fleming mettait au
point le premier tube électronique, la diode à vide, dont la cathode, chauffée, émet des électrons
que l'anode peut capter, tandis que le contraire n'est pas possible. C'est à l'époque du premier essor
de l'électronique, autour des industries du téléphone et de la radio, que les ingénieurs adoptent le
terme de diode pour un tube électronique à deux électrodes, tandis que la triode, inventée en 1906,
en a trois.
La diode à semi-conducteur au germanium ou au silicium vient remplacer les tubes à vide après la
Seconde Guerre mondiale. Leur chute de tension dans le sens direct (sens passant) est moins
élevée à courant égal et elles sont plus pratiques à mettre en œuvre, n'exigeant pas de courant de
chauffage. Cependant, les diodes à vide persistent tant que le tube électronique reste l'élément actif
des appareils : elles fournissent une tension compatible avec les autres tubes, et l'alimentation des
circuits doit de toute façon fournir un courant de chauffage des filaments.
Symbole
Les notes d'application de fabricants de diodes reflètent une Symboles de la diode et boitiers
n 1
diversité d'usage, avec la forme normalisée , la forme sans cylindriques standards avec
n2 n3
trait central ou celle avec le triangle noir . l'emplacement de la cathode (K).
Fabrication
La plupart des diodes sont réalisées par la jonction de deux semi-conducteurs : l'un dopé « P »
l'autre dopé « N ».
La connexion du côté P s'appelle l'anode ; celle du côté N ou métal porte le nom de cathode.
Seule la diode Gunn échappe totalement à ce principe : n'étant constituée que d'un barreau
monolithique d'arséniure de gallium, son appellation diode peut être considérée comme un abus de
6
langage .
Pour les diodes cylindriques, le côté de la cathode est généralement repéré par un anneau de
couleur. D'autre formes de repérage existent selon la nature de l'encapsulation de ces composants.
Fonctionnement théorique
La diode est un dipôle à semi-conducteur (jonction P-N), qui possède deux régimes de
fonctionnement : bloqué et passant.
état de la diode quand VAK < Vseuil, ce qui empêche le passage du courant dans la diode ;
Diode bloquée
ID = 0.
Diode
état de la diode quand VAK ≥ Vseuil, ce qui entraîne ID ≠ 0.
passante
Caractéristique
Caractéristique réelle
où :
À l'aide de la caractéristique on peut modéliser une diode passante par l'association d'une force
électromotrice US (la tension de seuil) qui s'oppose au passage du courant en série avec une
résistance RD (la résistance dynamique).
La diode dont la caractéristique dans le sens passant est représentée ci-dessus peut être modélisée
par l'association de US = 0,72 V et RD = 25 mΩ.
Dans certains cas il sera judicieux de négliger l'un ou l'autre de ces paramètres :
▪ la tension de seuil si elle est faible par rapport aux autres tensions du montage ;
▪ la résistance dynamique si la chute de tension qu'elle provoque est faible devant les tensions
du montage.
7
Lorsque la diode est dite idéale, on suppose que ces deux derniers paramètres sont nuls .
Caractéristiques techniques
Vseuil Valeur de la tension de seuil, notée VF dans les documents constructeurs (F pour forward, direct).
Principe
Lors de l'aboutement des deux cristaux, les électrons surabondants de la partie N ont tendance à
migrer vers la partie P pour y boucher les « trous » (phénomènes de diffusion et de
recombinaison). En cédant chacun un électron, les atomes dopés de la partie N deviennent des ions
positifs alors que les atomes dopés de la partie P contigus à la jonction deviennent des ions négatifs
en gagnant ces électrons. Ces ions sont fixes et il se crée ainsi une barrière électrostatique
croissante s'opposant, à l'équilibre, au phénomène de diffusion. Cette zone située de part et d'autre
de la jonction sans porteur de charge mobile et isolante, est appelée zone de déplétion. Et il existe
donc aussi, à l'équilibre thermodynamique, une différence de potentiel entre la partie N et la partie
P (dite potentiel de jonction) ; celle-ci est de l'ordre de 0,7 V pour les diodes à substrat silicium,
0,3 V pour le germanium et les diodes Schottky ; elle est plus importante pour certains substrats
type III-V comme GaAs ou les diodes électroluminescentes. Le champ électrique est maximal aux
abords de la jonction, dans une zone appelée zone de charge d'espace, ZCE.
Si maintenant l'on applique une tension positive côté N et négative côté P, la polarisation de la
diode est dite « inverse » et la jonction « se creuse » : les électrons de la section N sont attirés vers
l'extrémité du barreau, un phénomène symétrique se produit côté P avec les trous : la ZCE s'étend,
aucun courant ne peut circuler, la diode est dite « bloquée » ; elle se comporte alors comme un
condensateur, une propriété mise à profit dans les varicaps, diodes dont la capacité varie en
fonction de la tension inverse qu'on leur applique ; elles sont utilisées entre autres dans la
réalisation d'oscillateurs commandés en tension (OCT, anglais VCO).
Lorsque la tension inverse devient suffisamment grande, on observe deux phénomènes ayant des
causes distinctes :
▪ l'énergie du champ électrique devient suffisante pour permettre aux électrons de valence de
passer en bande de conduction (effet Zener). Ces derniers franchissent la jonction de la
diode par effet tunnel. Il s'agit d'un effet quantique qui peut avoir lieu à une tension d'autant
plus faible que la ZCE est mince ;
▪ les paires électrons-trous créées dans le substrat à la suite de l'agitation thermique,
accélérées par le champ électrique externe, vont pouvoir acquérir une énergie cinétique
suffisante pour arracher, par choc contre le réseau cristallin, d'autres électrons qui vont
s'extraire des liaisons covalentes et en frapper d'autres, etc. (effet d'avalanche).
Si ce courant est limité au moyen de résistances externes, la diode en avalanche se comporte alors,
du fait de sa faible résistance interne, comme une référence de tension (un récepteur de tension)
quasi parfaite : cette propriété est à l'origine de l'utilisation des diodes dites Zener dans la
régulation de tension continue.
En revanche, lorsque l'on applique une tension « directe », c'est-à-dire que l'on applique une
tension positive du côté P et négative du côté N (polarisation directe), pourvu que cette tension soit
supérieure à la barrière de potentiel présente à l'équilibre, les électrons injectés du côté N
franchissent l'interface N-P et terminent leur course soit en se recombinant avec des trous, soit à
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l'anode via laquelle ils peuvent rejoindre la source d'alimentation : le courant circule, la diode
est dite « passante ».
Lorsqu'un électron « tombe » dans un trou (recombinaison), il passe d'un état libre à un état lié ; il
perd de l'énergie (différence entre le niveau de valence et le niveau de conduction) en émettant un
photon ; ce principe est à l'origine des diodes électroluminescentes ou DEL, dont le rendement
dépasse considérablement celui des sources de lumière domestiques : lampes à incandescence,
lampes à halogène. Une DEL dont le substrat a été façonné pour servir de réflecteur aux photons
peut donner lieu à du pompage optique, aboutissant à un rayonnement laser (diode laser).
Diode Schottky
La diode Schottky est constituée d'une jonction métal/semi-conducteur ce qui lui procure une
chute de tension directe réduite (0,3 V environ) et une dynamique nettement améliorée du fait de
l'absence de porteurs minoritaires engagés dans le processus de conduction. Elle est en revanche
incapable de supporter des tensions au-delà d'une cinquantaine de volts.
Diode Zener
La diode Zener est plus fortement dopée qu'une diode conventionnelle. L'effet Zener a lieu lorsque,
sous l'effet de l'application d'une tension inverse suffisante, l'augmentation du champ électrique
provoque la libération des porteurs de charge de telle sorte que le courant augmente brutalement
et que la tension aux bornes reste pratiquement constante. D'autres diodes, néanmoins classifiées
comme diodes Zener, fonctionnent selon l'effet d'avalanche. Ces diodes permettent de faire de la
stabilisation de tension et de l'écrêtage. On peut aussi utiliser une diode Zener comme source de
bruit.
Diode Transil
La diode Transil est un composant du type parasurtenseur destiné à la protection des circuits.
Cette diode a été créée grâce à l'optimisation du fonctionnement des diodes dans leur zone
d'avalanche.
Diode électroluminescente
courant, sert depuis les années 2000 à l'éclairage. Au début des années 1990 les recherches
permirent la création des diodes électroluminescentes bleues, puis blanches. Certaines (au nitrure
de gallium ou GaN) sont assez puissantes pour des phares de voitures et réverbères
8
(éventuellement solaires). Un projet européen vise à en faire des éclairages domestiques capables
de rivaliser avec les lampes basse consommation des années 1990-2000.
9, 10 11
La partie émettrice de systèmes de liaison à fibre optique , comme certains codeurs optiques
peuvent utiliser des diodes électroluminescentes.
Les diodes électroluminescentes émettant principalement dans l'infrarouge sont utilisées dans des
12
composants électroniques tels que les photocoupleurs . Elles permettent la transmission d'un
12
signal entre des circuits électriquement isolés .
Les diodes émettant des infrarouges, dont la radiation est détectée par les capteurs CCD des
caméras vidéo, servent aussi à l'« éclairage » invisible des systèmes de surveillance ou de prise de
vues nocturnes.
Les diodes électroluminescentes servent aussi pour le rétroéclairage des écrans à cristaux liquides
des téléviseurs, des ordinateurs portables, d'appareils photographiques, de smartphones, de
tableaux de bord en aéronautique, en automobile, etc. Une variante, la diode électroluminescente
organique (OLED), permettant de s'affranchir du rétroéclairage et améliorant, entre autres,
l'étendue de la gamme de gris des images, trouve ses applications dans les mêmes domaines ; en
outre, elles permettent la construction d'écrans de moindre épaisseur ainsi que des écrans souples.
Diode laser
La diode laser émet de la lumière monochromatique cohérente. Elle sert, entre autres, à
transporter un signal de télécommunications sur fibre optique, où leur rayonnement cohérent
favorise les transmissions à haut débit et à longue distance, ou à apporter de l'énergie lumineuse
pour le pompage de certains lasers et amplificateurs optiques. La diode laser est un composant
essentiel des lecteurs et graveurs de disques optiques, dans ce cas elle émet le faisceau lumineux
dont la réflexion sur le disque est détectée par une photodiode ou un phototransistor. Elle est
également utilisée dans l'impression laser, les dispositifs électroniques de mesure de distance, de
vitesse, de guidage et de pointage précis.
Photodiode
La photodiode génère un courant à partir des paires électrons-trous produites par l'incidence d'un
photon suffisamment énergétique dans le cristal. L'amplification de ce courant permet de réaliser
Diode Gunn
La diode Gunn consiste en un simple barreau d'arséniure de gallium (GaAs), et exploite une
propriété physique du substrat : les électrons s'y déplacent à des vitesses différentes (masse
effective différente) suivant leur énergie (il existe plusieurs minima locaux d'énergie en bande de
conduction, suivant le déplacement des électrons). Le courant se propage alors sous forme de
bouffées d'électrons, ce qui signifie qu'un courant continu donne naissance à un courant alternatif ;
convenablement exploité, ce phénomène permet de réaliser des oscillateurs micro-ondes dont la
fréquence se contrôle à la fois par la taille du barreau d'AsGa et par les caractéristiques physiques
du résonateur dans lequel la diode est placée.
Diode PIN
La diode PIN est une diode dans laquelle est interposée, entre ses zones P et N, une zone non
dopée, dite intrinsèque (d'où I). Cette diode, polarisée en inverse, présente une capacité
extrêmement faible, une tension de claquage élevée. En revanche, en direct, la présence de la zone I
augmente la résistance interne ; celle-ci, dépendante du nombre de porteurs, diminue quand le
courant augmente : on a donc une impédance variable, contrôlée par une intensité (continue). Ces
diodes sont donc soit utilisées en redressement des fortes tensions, soit en commutation UHF (du
fait de leur faible capacité inverse), soit en atténuateur variable (contrôlé par un courant de
commande continu).
La diode à effet tunnel désigne une diode dont les zones N et P sont hyper-dopées. La
multiplication des porteurs entraîne l'apparition d'un courant dû au franchissement quantique de
la barrière de potentiel par effet tunnel (une telle diode a une tension de Zener nulle). Sur une
faible zone de tension directe, la diode présente une résistance négative (le courant diminue
lorsque la tension augmente, car la conduction tunnel se tarit au profit de la conduction
« normale »), une caractéristique exploitée pour réaliser des oscillateurs. Ce type de diode n'est
quasiment plus employé actuellement.
Diode à vide
La diode à vide, ancêtre des diodes à semi-conducteurs modernes, est un tube électronique qui
utilise l'effet thermoïonique pour réaliser sa tâche de redressement du courant. Bien qu'elle soit
tombée en désuétude à cause de sa taille et de sa consommation de courant, ce type de diode est
recherché par les amateurs de restauration d'anciens appareils à tubes.
Électronique
En parallèle :
15
▪ restitution de composante continue pour la transposition d'un signal électrique (pompe à
diode (en)) ;
▪ régulation de tension simple (alimentations simples de montages électroniques) et référence
15, 18
de tension avec une diode Zener ;
15, 19
▪ montages écrêteurs et protection contre les surtensions (diode Zener, Transil…) ;
Les diodes dites de roue libre sont un élément capital de l'alimentation à découpage.
21
Elles sont utilisées pour la compensation des variations de température et en thermométrie
(mesure de température en fonction de la variation de la caractéristique).
15
Les diodes permettent la réalisation de circuits logiques câblés simples .
Utilisées en « pontage » (bypass en anglais) elles assurent la protection des générateurs (panneaux
solaires photovoltaïques en série, etc.)
Les diodes électroluminescentes sont utilisées en traitement du signal dans les photocoupleurs.
Les diodes Gunn permettent la production de rayonnement de très haute fréquence à faible
puissance.
Les diodes varicap ont leur application pour l'accord des récepteurs radios et TV.
Électrotechnique
Éclairage et signalisation
Notes et références
Notes
1. (en) Vishay, Application Notes (http://www.vishay.com/diodes/related/), [PDF] Physical
explanation (http://www.vishay.com/docs/84064/anphyexp.pdf), 2011.
2. (en) Diodes incorporated, Application and design notes (http://diodes.com/appnote_dnote.html),
[PDF] AN55 : ZXCT1041 as a precision full wave rectifier (http://diodes.com/_files/products_app
note_pdfs/zetex/an55.pdf), 2008 ; [www.st.com ST Microelectronics], AN443 Series Operation
of Fast Rectifiers, 2004.
Références
1. Trésor de la langue française informatisé, « diode » (http://atilf.atilf.fr/dendien/scripts/tlfiv5/adva
nced.exe?8;s=3877161780;) ; (en) Oxford English Dictionnary « Diode ».
2. (en) « International Electrotechnical Commission – IEC 60617 - Graphical Symbols for
Diagrams » (http://webstore.iec.ch/preview/info_IEC60617_DB.pdf), sur iec.ch, CEI (consulté le
25 mars 2014) [PDF].
3. Dic. Physique éd. 2013, p. 201.
4. Neffati 2006.
5. Grabowski 1982.
6. Michel Fleutry, Dictionnaire encyclopédique d'électronique anglais-français, La maison du
dictionnaire, 1991 (ISBN 2-85608-043-X), p. 339.
7. CEI Electropedia 131-12-08 (http://www.electropedia.org/iev/iev.nsf/display?openform&ievref=1
31-12-08).
8. (en) Commission européenne, Green Paper: Lighting the Future — Accelerating the
deployment of innovative lighting, Bruxelles, 2011 (lire en ligne (http://eur-lex.europa.eu/LexUri
Serv/LexUriServ.do?uri=COM:2011:0889:FIN:EN:PDF) [PDF]).
9. « Note d'applications 1000 – Transmission de données numériques par fibres optiques », dans
Catalogue optoélectronique 1983, Les Ulis, Hewlett Packard France, 1982, p. 449-464.
10. « Fiche technique – Liaisons optiques polyvalentes – Séries HFBR-0501 », Hewlett Packard,
1988, p. 7-13 à 7-36
11. Catalogue optoélectronique 1983, Les Ulis, Hewlett Packard France, 1982, p. 234-242.
12. Catalogue optoélectronique 1983, Les Ulis, Hewlett Packard France, 1982, p. 327-400.
13. Neffati 2006, p. 76-78.
14. Grabowski 1980, p. 23-25.
15. Duez 1972.
16. Commission électrotechnique internationale Electropedia 521-04-11 (http://www.electropedia.or
g/iev/iev.nsf/display?openform&ievref=521-04-11).
17. CEI Electropedia 521-04-09 (http://www.electropedia.org/iev/iev.nsf/display?openform&ievref=5
21-04-09).
18. Grabowski 1980, p. 19.
19. Grabowski 1980, p. 13-15.
20. Grabowski 1980, p. 18.
21. Grabowski 1980, p. 21.
Bibliographie
▪ Marcel Demontvignier, Soupapes électriques – Redresseurs – Onduleurs, Société française
des électriciens – École supérieure d'électricité, université de Paris, 1966, 1968, 1970
(1re éd. 1957, 182 p.)
Annexes
Articles connexes
Sur les autres projets Wikimedia :
Diode (https://commons.wikimedia.org/wi
ki/Category:Diodes?uselang=fr), sur
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Diode, sur Wikiversity
▪ Redresseur
Liens externes
▪ « La diode » (http://www.univ-lemans.fr/enseignements/physique/02/cours_elec/diode.pdf) ,
sur univ-lemans.fr, université du Mans (consulté le 17 mai 2014) [PDF].
▪ « Analogie hydrodynamique » (http://www.led-fr.net/analogie_hydrodynamique.htm), sur led-
fr.net.