L'impacte de La Crise Des Semi-Conducteurs Sur Le Marcher Des Voitures D'occasion
L'impacte de La Crise Des Semi-Conducteurs Sur Le Marcher Des Voitures D'occasion
L'impacte de La Crise Des Semi-Conducteurs Sur Le Marcher Des Voitures D'occasion
des semi-conducteurs
sur le marcher des
voitures d’occasion~
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Somaire
Somaire
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L’impacte de la crise sur le délai de vente .
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vendues et enfin Marrakech et
Tanger viennent clôturer le top 4
avec 30,000 – 35,000 voitures
vendues dans chacune de ces deux
villes.
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Les causes de la crise des semi-
conducteurs
les personnes travaillant à domicile avaient
besoin d’ordinateurs portables, de tablettes et de
webcams pour les aider à faire leur travail à
distance.
les usines de puces ont été fermées pendant les
mesures de précaution en raison de la pandémie
de CORONA, exacerbant la crise.
« les calamités ne viennent pas
individuellement », une horrible tempête
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hivernale au Texas a entraîné la fermeture
d’usines de semi-conducteurs et un incendie dans
une usine au Japon a causé des retards similaires.
Un autre facteur est apparu à mesure que la crise
épidémique s’étendait et a contribué à alimenter la crise
des puces, le coût de l’expédition augmentant
considérablement, Oliver Chapman, PDG d’OCI, un
partenaire mondial de la chaîne d’approvisionnement sur
les principaux marchés, estimant qu’il était environ 10
fois supérieur au coût de l’année précédant la pandémie,
à la suite de l’augmentation du coût du fret aérien et 13
d’une pénurie de chauffeurs de camion en Europe.
LaSTM visant a élargir
leur investissment au Maroc
STMicroelectonis Bouskoura, le site marocain de l’un des leaders mondiaux du
marché des semi-conducteurs, est bien parti pour occuper une place de choix
dans le marché de la voiture électrique, mais pas uniquement. L’usine qui se
targue d’un bilan plus que satisfaisant a placé plus haut la barre de ses
ambitions et s’engage, entre autres, à doubler sa production d’ici à 2024. Ces
ambitions ont été dévoilés à l’occasion d’une visite du ministre de l’Industrie,
du Commerce et de l’Économie verte et numérique, Moulay Hafid Elalamy, au
site marocain du fabricant franco-italien.
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STMicroelectronics Bouskoura, usine à la pointe de l’industrie 4.0, affiche une
santé éclatante et pleins d'ambitions. Le site marocain du fabricant franco-
italien, leader parmi les leaders mondiaux du marché des semi-conducteurs,
est devenu aujourd’hui un «site modèle» pour le groupe et un maillon fort
d’une chaîne solide composée de 11 sites de production à travers le monde.
Et surtout un succès pour le Maroc qui produit désormais des composants
électroniques d’une qualité de classe mondiale fabriqués par des
compétences majoritairement marocaines, dont 40% de techniciens et
ingénieurs. Bref, un investissement comme on les aime comme l’a souligné le
ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Économie verte et numérique,
Moulay Hafid Elalamy, lors d’une visite effectuée mercredi à l’usine de 15
Bouskoura.
«La qualité des composants électroniques au Maroc a
atteint le niveau de qualité des composants fabriqués au
Japon qui est la meilleure qualité au monde», s’est-il
réjoui dans une déclaration à Le Matin. «C'est dire que
nous sommes capables au Maroc de fabriquer au niveau
industriel ce qui est le plus complexe avec une qualité
équivalente à ce qu'il y a de mieux dans le monde», a-t-il
ajouté.
«Cette usine est aujourd'hui reconnue par le groupe 16
comme une usine pilote/modèle, en termes de qualité et
de compétitivité, mais aussi en termes d'esprit d'équipe»,
a indiqué de son côté Fabrice Gomez, directeur du site
STMicroelectronics Bouskoura.
Ces performances n’ont pas manqué d’aiguiser les appétits du groupe qui voit
encore plus grand pour son site marocain. Ce dernier joue en effet un rôle important
dans le leadership mondial que détient l’industriel dans les technologies de
fabrication back-end, l’un des points forts sur lequel il s’appuie pour être un des
leaders de l’industrie microélectronique. A ce titre, il occupe une place de choix
dans la stratégie de développement du groupe pour les années à venir. Selon les
données présentées par Fabio Gualandris, Executive Vice-President de
STMicroelectronics, l’usine se prépare à doubler sa capacité de production des semi-
conducteurs dédiés à l'automobile, ceci pour passer de 3,8 milliards de dollars de
chiffre d’affaires réalisé en 2020 à 7,9 milliards de dollars à l’horizon 2024. ST
Bouskoura vise également un taux de croissance global annuel moyen de 8% à ce
même horizon pour les semi-conducteurs destinés aux autres industries. Pour ce 17
faire, le groupe mise sur les composants de puissance, notamment en carbure de
silicium, pour booster ses performances et se positionner avec une offre supérieure
sur le marché des véhicules électriques, titrant profit d’une demande exponentielle.
D’ailleurs, ST Bouskoura a déjà entamé sa course en lançant récemment une
nouvelle ligne de production spécialement dédiée à la fabrication de puces
électroniques pour véhicules électriques.
Sur le court et moyen termes, le plan de développement
comprend également l’agrandissement de la salle blanche
qui abrite les lignes de production automatisées,
l’installation de nouveaux équipements, l’augmentation
du niveau d'automatisation et de sophistication grâce à
l’industrie 4.0 et l'intelligence artificielle, le
renforcement des effectifs et la mise en place de
nouvelles installations au profit du personnel.
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Par ailleurs, l’usine s’est engagée dans une
démarche de préservation de l'environnement
avec pour objectif l’utilisation de 50 % d’énergies
renouvelables d’ici 2022, un objectif qui s’inscrit
dans le cadre du plan d’action de ST visant à
atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2027. A
cet effet, la firme se fournit désormais en énergie
électrique de source éolienne auprès d’InnoVent
pour les besoins de sont site de Bouskoura, ciblant
ainsi une réduction des émissions de CO2 e près
de 60.000 tonnes par an, soit l’équivalent de la
quantité de carbone capturée par la plantation de
1.100 000 arbres.
Les critères à considérer lors de l’achat
d’une voiture
Les catégorie de marché de seconde
mains
l’enquête indique en outre, que l’achat d’un
véhicule d’occasion est envisagé essentiellement
via le canal particulier à particulier pour plus
d’un foyer sur 2. Internet constitue une option
pour près de 3 foyers sur 10. Quant aux canaux
professionnels (courtiers, garages spécialisés ou
concessionnaires), ils sont cités par 46% des
foyers. Si les acquéreurs optent pour l’achat de
leur véhicule auprès d’un particulier c’est qu’ils
considèrent que ce dernier constitue un canal qui
inspire le plus confiance