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OFPPT
RESUME THEORIQUE
&
GUIDE DE TRAVAUX PRATIQUES
JUILLET 2003
0
Module : 05
Courant electrique continu
ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
L’intensité est égale à la quantité d’électricité qui circule pendant l’unité de temps . I=Q/t
I : intensité du courant en ampères (A)
Exercices
4 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Par convention, à l’extérieur d’un générateur, le courant circule de sa borne positive vers
sa borne négative.
Le courant électrique est représenté par une flèche(de préférence rouges) indiquant le sens
conventionnel du + vers le –.
Courant pulsatif :C’est un courant dont la valeur change périodiquement, mais le sens reste toujours le
même.
5 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Si un courant électrique circule entre deux points d’un circuit, il existeentre ces deux points une
différence de potentiel électrique. Cette différence de potentiel est appelée tension électrique.La tension
électrique se note U et s’exprime en volt (V).
Sans différence de potentiel, le courant électrique ne peut pas circuler.
b) Représentation de la tension :
La tension entre les points A et B d’un circuit c’est la différence de potentiel entre le pointA et
lepoint B. Elle est représentée sur un circuit par une flèche qui indique le potentiel le plus élevé :
Exercice :
Soit le montage suivant :
6 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Exemples :
Exercice :
Transformez les valeurs suivantes :
4700 Ω =…………….KΩ 1200 KΩ =…………….MΩ
0,0255A = ……………mA 5,305 µA =…………….mA
70000000W=….……MW 6000 pF =…………….nF
1) Résistance électrique :
a) Définition :
La résistance est un dipôle passifqui transforme toute l’énergie électrique en chaleur. Cette
transformation s’appelle l’effet JOULE. (l’inverse de la résistance est appelée la conductance 1/R )
• Rôle de la résistance :
✓ Effet joule ; Elle limite le courant ; Elle diminue la tension
b) Types de résistances :
D’après leur construction on distingue :
• Les résistances à bobinées :sont fabriquées en enroulant un fil métallique autour d’un noyau isolant.
• Les résistances au carbone :sont réalisées de particules de carbone mélangé à un matériel isolant en
poudre.
• Les résistances variables : Ce sont des résistances que l’on peut faire varier manuellement ou en
fonction de la température, de la lumière, de la Tension ou d’autres facteurs. Il existe plusieurs
catégories :les rhéostats ;Les potentiomètre ; les thermistances …
c) Symbole électrique :
• Résistance fixe :
• Résistance variable :
7 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
d) Mesure de la résistance :
Il faut tout d'abord placer la résistance dans le bon sens. En général, la résistance possède un anneau doré
ou argenté, qu'il faut placer à droite. Dans d'autres cas, c'est l'anneau le plus large qu'il faut placer à droite.
Il existe quatre types de résistances : les résistances à 3,4, 5 et 6 anneaux.
8 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
✓ Résistances à 3 anneaux :
Le troisième donne le multiplicateur (la puissance de 10 qu'il faut multiplier avec les chiffres significatifs).
✓ Résistances à 5 anneaux :
Les trois premiers anneaux donnent les chiffres significatifs.
✓ Résistances à 6 anneaux :
Les quatre premiers anneaux ont la même signification que les résistances à 5 anneaux.
Le sixième est un coefficient de température (variation de la conductivité électrique avec la température).
Astuce :Un moyen mnémotechnique pour se rappeler du code des couleurs est de retenir l'une des deux phrases
suivantes : Ne Manger Rien Ou Je Vous Brûle Votre Grande Barbe
Exercices :
1- Déterminez la valeur complète des résistance suivantes puis indiquez la valeur maximale et la valeur
minimale : JAUNE-ROUGE-NOIRE-OR VIOLET-NOIRE-BLEU-ARGENT
VERT-JAUNE-ROUGE-ARGENT MARRON-NOIR-MARRON-OR
9 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Lorsque des résistances sont branchées en série, elles sont traversées par le même courant
d’intensité I.et la tension totale est égale à la somme des tensions partielles.
Exemple :
on a I = I1 + I2 + I3 = U / R1 + U / R2 + U / R3
= (1/R1 + 1/R2 +1/R3) .U
= 1/Réq . U
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
Avec = + +
𝑹é𝒒 𝑹𝟏 𝑹𝟐 𝑹𝟑
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
= + + ⋯.+
𝑹é𝒒 𝑹𝟏 𝑹𝟐 𝑹𝑵
𝑹𝟏𝑹𝟐
• Cas de 2 résistances :𝑹é𝒒 =
𝑹𝟏+𝑹𝟐
Dans un branchement en parallèle, l’inversede la résistance équivalente Réq est la sommedes inverses
de chacune des résistances.
Exemple :
10 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Un montage est dit mixte s’il comporte un ensemble de résistances montées en série et en parallèle
Exemple :
d) Puissance dissiper :
Suivant le boîtier, la résistance possède une puissance maximale de dissipation sans refroidissement forcé.
La puissance est donnée par : P = U I ou P = RI²ou P = U²/R
Avec U tension aux bornes de la résistance et I courant la traversant
Exercice 1:Calculez la résistance équivalente des circuits suivants :
Exercice 2 :Calculez la résistance équivalente entre les points A et B des circuits suivants :
R1 R2 R3
I R4
A B
R5 R6 R8
R7
Données :
R1 = R2 = R3 = R5 = 250
R4 = R6 = R7 = R8 = 500
11 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Devoir à la maison :
12 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
- Association en parallèle :
- Exercice :
Calculez le condensateur équivalent des circuits suivants :
-
Rôle de la bobine :
Leq = L1 + L2 + L3+...+Ln
13 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
- Association parallèle :
- Exercice :
La tension U appliquée sur un diviseur de tension constitué de deux résistances en série se divise dans un
rapport proportionnel aux valeurs des résistances.
U=U1+U2 U1=R1I
U=R1I+R2I
U= I(R1+R2) 𝐼=
𝑈 𝑈1
(𝑅1+𝑅2)
𝐼=
𝑅1
𝑈1 𝑈 𝑹𝟏
Donc : = Alors : 𝑼𝟏 = 𝑼
𝑅1 (𝑅1+𝑅2) (𝑹𝟏+𝑹𝟐)
Dans une branche alimentée par la tension U et comportant n dipôles en série, la tension aux bornes d'un
dipôle Ri est :
𝑹𝒊
𝑼𝒊 = 𝑼
𝑹𝟏 + 𝑹𝟐 + 𝑹𝟑 + ⋯ + 𝑹𝒊
Le diviseur de tension permet de trouver rapidement les différentes tensions dans un montage série.
14 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
- Exercice 01 :
Soit le circuit suivant :
- Exercice 02 :
Soit le circuit suivant :
- Exercice 03 :
Soit le circuit suivant :
- Exercice 04 :
Soit le circuit suivant :
2) Diviseur de courant :
Un ensemble de dipôles montés en parallèle constitue un diviseur de courant. L'intensité du
courant circulant dans chaque branche est proportionnelle à la conductance de cette branche.
𝑮𝟏 𝑮𝟐 𝑮𝟑
𝑰𝟏 = 𝑰 ; 𝑰𝟐 = 𝑰 ; 𝑰𝟑 = 𝑰
𝑮𝟏 + 𝑮𝟐 + 𝑮𝟑 𝑮𝟏 + 𝑮𝟐 + 𝑮𝟑 𝑮𝟏 + 𝑮𝟐 + 𝑮𝟑
𝑮𝒊
𝑰𝒊 = 𝑰
𝑮𝟏 + 𝑮𝟐 + ⋯ + 𝑮𝒊
𝑮𝟏 𝑹𝟐 𝑮𝟐 𝑹𝟏
- Cas particulier de deux résistances :𝑰𝟏 = 𝑰= 𝑰 ; 𝑰𝟐 = 𝑰= 𝑰
𝑮𝟏+𝑮𝟐 𝑹𝟏+𝑹𝟐 𝑮𝟏+𝑮𝟐 𝑹𝟏+𝑹𝟐
15 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Exercice01:
Exercice 04 :
16 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
3) La Puissance électrique :
a) Définition :
La puissance nominale d’un appareil électrique est celle qu’il peut absorber et débiter sans se détériorer.
On rencontre encore en mécanique comme unité de puissance, le cheval-vapeur (ch ou CV).1 ch = 736 W
P=U × I
b) Mesure de la puissance :
4) L’énergie électrique :
Un corps possède de l'énergie lorsqu'il peut fournir du travail ou de la chaleur.
L'énergie peut se présenter sous des formes très diverses : l’énergie mécanique, l'énergie thermique ou
calorifique, l'énergie chimique, l'énergie rayonnante ou lumineuse, l'énergie nucléaire, l'énergie électrique
W=P × t
L’énergie électrique se désigne par la lettre W
L’unité est le joule : J quand le temps est en secondes
17 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Exercice 01 :
Un moteur électrique à courant continu absorbe un courant de 5A sous une tension de 230V
Déterminer la puissance du moteur ?
Exercice 03 :
Le chauffage d’un bureau est assuré par deux radiateurs d’une puissance de 1000W chacun, sous une
tension de 230V, de 8H00 à 18H00. Quelle est l’intensité consommée par les radiateurs ?
Déterminez l’énergie consommée lors d’une journée de fonctionnement à plein régime ?
Exercice 04 :
L’éclairage d’une salle de classe est assuré à 8 lampes qui consomme chacune une puissance électrique de
200W les lampes reste allumer 4H/jour
Exercice 05 :
Un fer à repasser de puissance de 800W absorbe un courant de 3,5A. Calculez sa résistance interne. Il
fonctionne pendant 1h 30 quelle énergie thermique aura-t-il dissipée ?
Exercice 06 :
Un moteur à courant continu est alimenté sous une tension de 200V et absorbe un courant de 10A. la
résistance du moteur est de 1,5Ω. Calculez dans l’ordre la puissance absorbée, la puissance dissipée par
effet joules (noté Pj).
Exercice 07 :
Pour mesure la puissance d’un fer à repasser on le branche pendant 3 min et compte 17 tours de disque
d’un compteur d’énergie dont la constante est 0,8W/tour. Calculer la puissance du fer à repasser ?
Exercice 08 :
Dans le montage ci-dessous déterminer dans l’ordre, La tension U1 puis la tension U2, la puissance du
récepteur R3, l’intensité I2 puis l’intensité totale.
18 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
A- Théorème de KIRCHOFF :
GENERALITES :
- Un dipôle électrique est une portion de circuit limitée par deux points.
- Un nœud est le point de connexion de trois dipôles au moins.
- Une branche est constituée d’un ou plusieurs dipôles en série ; elle est limitée, à chaque extrémité, par
un nœud.
- Une maille est un ensemble de branche formant un circuit fermé, qui ne passe qu’une fois par un nœud
donné.
Exemple :
Le circuit comporte :
Nœuds : A-B-C-D-E-F
Branches : AB-BC-CD-DE-BE-EF-FA
Mailles : ABEFA-ABCDEFA-BCDEB
En tout nœud d'un circuit, et à tout instant, la somme des courants qui arrivent est égale à la somme des
courants qui sortent. La somme des intensités des courants arrivant et partant d’un nœud est nulle.
I1+I4+I5 = I2+I3
Exercice :
- Calculer le courant I5
19 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
On choisit un sens arbitraire de parcours sur la maille : par exemple le sens des aiguilles d’une
montre.
Les différences de potentiel sont des grandeurs algébriques et ont des orientations arbitraires.
Par convention, les différences de potentiel v orientée dans le même sens que le parcours seront comptées
positivement.
On a ici :
– V1 + V2 – V3 – V4 +V5 – V6 =
0
Définition :
Mathématiquement on a : ∑𝒊 𝑽𝒊 = 𝟎
Exercice 01 :
Exercice 02 :
Soit le montage suivant :
Exercice 03 :
20 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Exercice 04 :
Exercice 05 :
Exercice 06 :
Soit le montage suivant :
Exercice 06 :
Soit le montage suivant :
On donne : E1 = 12 V, E2 = 5 V, R1 = R2 = 1 Ω, R3 = 4 Ω et I1 = 2 A.
Exercice 07 :
21 .SALHI
Module : 05 ANALYSE DE CIRCUITS A COURANT CONTINU
Exercice 08 :
Exercice 09 :
Exercice 10 :
Soit le montage suivant :
1) Calculer les courants I1, I2 et I3 qui circulent respectivement
dans les résistances R1, R2 et R3.
Exercice 11
Exercice 12
22 .SALHI
L'énergie Electrique CHAPITRE 1
L’ENERGIE ELECTRIQUE
INTRODUCTION :
Ensuite, la tension est progressivement réduite au plus près de la consommation, pour arriver aux
différents niveaux de tension auxquels sont raccordés les consommateurs (400 000 volts, 225 000 volts, 90
000 volts, 63 000 volts, 20 000 volts, 400 volts ou 230 volts suivant leurs besoins en puissance).
L'ONE (Office National d’Electricité) assure cette fourniture par l'exploitation directe d'unités de
production ainsi que par les ouvrages qu'il a confiés à des opérateurs privés dans le cadre de contrats de
production concessionnel.
C ha p i t r e 1 L’ é n e r g i e é l e c t r i q u e 11
A la fin 2005, ce parc se compose comme suit :
Puissance installée en MW
26 usines hydrauliques 1 265
Station Pompage et turbinage d’Afourer* 464
5 centrales thermiques vapeur 2 385
charbon 1785
Fioul 600
6 centrales turbines à gaz 615
Cycle combiné de TAHADDART 400
Thermique diesel 69
Total Thermique 3 469
Eolien (dont 50 MW de la CED*) 53,9
Total ONE 5 252
* région d’errachidia.
** Comité européenne de distribution.
NOTA : Le Watt (W) est l’unité de la puissance. Une source de puissance 1kW peut alimenter, en même
temps, dix ampoules de 100W chacune.
2. TYPES DE CENTRALE :
2.1.1. Turbine :
C'est un moteur rotatif qui convertit l’énergie d’un courant d’eau, de vapeur ou de gaz en énergie
mécanique. Dans le domaine de la production on peut donner à titre d’exemple :
Turbine pelton Turbine à vapeur
12 F O N C T I O N A l i m e n t e r
2.1.2. alternateur :
V1(t) = V.√2.sin(2ft)
V2(t) = V.√2.sin(2f t - 2/3)
V3(t) = V.√2.sin(2f t - 4/3)
Avec V = 20kV
C ha p i t r e 1 L’ é n e r g i e é l e c t r i q u e 13
Les usines de pompage/turbinage : Les stations de transfert d'énergie par pompage
fonctionnent sur le principe du recyclage de l'eau par pompage :
Turbinage : l'alternateur produit de l'énergie électrique.
Pompage : la pompe consomme de l'énergie pour remonter l'eau d'un bassin inférieur
à un bassin supérieur.
Les stations marémotrices : qui exploitent la force de la marré pour entraîner les turbines.
Turbine
14 F O N C T I O N A l i m e n t e r
Par l'intermédiaire du générateur de vapeur, l'eau sous pression du circuit primaire communique sa
chaleur à l'eau d'un deuxième circuit fermé, le circuit secondaire. Il est ainsi possible d'obtenir de la
vapeur à haute pression dans ce circuit secondaire.
La pression de cette vapeur fait tourner à grande vitesse une turbine qui entraîne elle-même un
alternateur qui produit une tension alternative sinusoïdale. A la sortie de la turbine la vapeur est
refroidie pour se transformer en eau, puis renvoyée dans le générateur de vapeur.
Centrales thermodynamiques : La
concentration du rayonnement solaire par des
miroirs permet d’obtenir des températures de
l’ordre de 450°C. Cette température permet
d’évaporer l’eau qui fait tourner des turbines.
C ha p i t r e 1 L’ é n e r g i e é l e c t r i q u e 15
3.2. Energie du vent :
V V
E X E R C I C E R E S O L U
Une station d’irrigation est alimentée par cellules solaires. Sachant que la station est constituée par deux
pompes dont la puissance de chacune est 3kW et de rendement 93 %. La tension d’alimentation nominale
est de 100 V (c’est la tension à fournir au groupe pompe/convertisseur).
Sachant que chaque cellule élémentaire peut fournir une puissance 1W avec une tension 1.25V :
1. Quel est le nombre de cellules photovoltaïques à utiliser.
2. Donner un schéma de branchement de ces cellules.
3. Si l’aire d’une cellule est de 5cm 2. Quel est l’aire total en m 2 occupé par le panneau solaire.
CORRIGE
:
1. Le nombre de cellules à utiliser est :
N = la puissance totale demandée / la puissance d’une cellule.
N = 6000 / 1 soit 6000 cellules photovoltaïque.
2. La tension que doit fournir le panneau est U = 100V. Donc le nombre de cellule à mettre
en série est : Ns = 100/1.25 soit 80 cellules.
Or on doit utiliser au minimum 6000 cellules pour assurer la puissance demandée. Donc le
nombre de rangées (80 cellules dans chaque rangé) à mettre en parallèle : Np = 6000/80
soit 75 rangées.
3. L’aire totale occupée par le panneau est : A = 6000 x 5 cm2 = 30 000 cm2 , soit A = 3 m2.
16 F O N C T I O N A l i m e n t e r
Réseau électrique monophasé
2
3
Réseau électrique triphasé
Moteurs Asynchrones triphasé
Classe : 2e SMB Cours et Exercices : SI Pr : EL MIMOUNI EL HASSAN Année scolaire : 2020/2021
Rotor à cage
d’écureuil
Principe de fonctionnement
• Les 3 bobines du stator réparties à 120 ° et alimentées par
un système de tensions triphasées créent un champ
magnétique tournant à la vitesse de synchronisme Ns.
• Le rotor métallique voit naitre des courants induits et
devient le siège de forces de Laplace, qui provoquent sa
rotation à une vitesse N légèrement inférieure à la vitesse
de synchronisme Ns, d’où le nom de moteur asynchrone.
• On définit la différence entre la vitesse du champ tournant
NS et la vitesse de rotation du rotor N par le terme du
glissement g :
𝑵𝑺 − 𝑵
𝒈= (𝟏)
𝑵𝑺
• La vitesse de synchronisme Ns d’un moteur
est proportionnelle à la fréquence du réseau :
𝒇
𝑵𝑺 = (𝟐)
𝒑
▪ NS : fréquence de synchronisme
▪ f : fréquence du réseau
▪ p : nombre de paires de pôles produits
par l’inducteur.
• De (1) et (2), on tire la relation suivante, qui
montre que N est proportionnelle à f :
𝒇
𝑵= (𝟏 − 𝒈)
𝒑
• En permutant 2 phases, on inverse le sens de
rotation du champ tournant, ce qui change aussi
le sens de rotation du rotor.
Schématisation et branchement
• Sur la plaque signalétique, les constructeurs indiquent :
▪ Les 2 tensions nominales du moteur, dont la plus faible correspond à la tension d'emploi de chaque bobinage
(Ub), ce qui indique les montages possibles, Etoile () ou Triangle ().
▪ La fréquence du réseau triphasé (f).
▪ Les courants nominaux en () et en ().
▪ La puissance utile (Pu) délivrée sur l’arbre moteur.
▪ La vitesse nominale du rotor (N).
▪ Le rendement ().
▪ Le facteur de puissance (cos φ), qui permet de calculer la puissance absorbée.
• Si le réseau d'alimentation triphasé a une tension entre phases (tension composée U) de même valeur que Ub, on peut
directement alimenter chaque bobinage sous cette tension. Le couplage qui en résulte est le couplage Triangle.
• Si le réseau d'alimentation triphasé a une tension entre le neutre et phases (tension simple V) de même valeur que Ub,
la tension composée du réseau est U = V√3 = Ub√3 > Ub ; on ne peut pas alors alimenter directement chaque bobinage
sous cette tension. Le couplage utilisé sera le couplage Etoile.
Exercice :
Compléter le tableau suivant par :
étoile - -triangle - -ou croix X
𝑷𝒖 = 𝑪𝑼 . 𝛀
𝑷𝒂 = √𝟑. 𝑼. 𝑰. 𝒄𝒐𝒔𝝋
Le MAS monophasé
• Il existe une grande variété de moteurs monophasés adaptés à une multitude d'applications domestiques ou
industrielles. Ici, on traite particulièrement du moteur asynchrone monophasé que l'on rencontre le plus souvent ; la
structure et les montages de base sont donnés ci-dessous.
• Les 2 enroulements dits principal et auxiliaire sont disposés à 90° l’un de l’autre. Le moteur fonctionne alors en
moteur diphasé. Différentes techniques existent pour déphaser les champs crées par les bobines ; la plus utilisée
consiste en la mise en série d’un condensateur avec l’une des 2 bobines.
Schéma de principe pour 2 sens de rotation
Schéma de principe pour 1 sens de rotation
Bobine triphasée
du frein
Ressort de rappel
Disque de Friction
▪ Le moteur est muni d'un frein électromagnétique à disque monté du côté opposé à l'arbre de sortie ; ce disque
est encastré avec le bâti.
▪ La bobine de l’électroaimant du frein est raccordée en parallèle avec le moteur.
▪ Quand le moteur est en Marche (fermeture de KM1), la bobine du frein est aussi alimentée, le disque de friction
est séparé du disque du rotor ; il n’y a pas de freinage.
▪ En l'absence ou manque de courant (ouverture de KM1 ou coupure du réseau), le ressort de rappel permet
d'assurer le freinage, en mettant en contact le disque de friction fixe (bâti) avec le disque du Rotor.
• Il existe des moteurs freins avec un électroaimant à courant continu, par l'intermédiaire d'un pont de diodes.
Introduction
• La partie commande d’un système automatisé met en œuvre une énergie faible. Elle est
donc incapable d’envoyer directement l’énergie nécessaire à l’actionneur ; d’où
l’utilisation des pré-actionneurs qui assurent la distribution de l’énergie aux
actionneurs.
• Dans les circuits électriques, un pré-actionneur est généralement soit :
▪ Des composants électromécaniques comme : Relais
− Un relais électromagnétique, utilisé relativement pour les faibles puissances.
− Un contacteur électromagnétique, utilisé relativement pour les grandes
puissances.
▪ Des composants électroniques, qualifiés de « Convertisseurs statiques » comme :
− Un hacheur pour la commande d’une machine à courant continu (MCC).
− Un onduleur pour la commande d’un moteur asynchrone triphasé (MAS).
Contacteur
Le relais
• Le relais est un composant électrique réalisant la fonction d’interfaçage entre un circuit de commande et un circuit
de puissance ; il effectue aussi une isolation galvanique, i.e. une séparation électrique entre les 2 circuits.
Constitution et principe de fonctionnement Contacts de circuit
de puissance
• Le fonctionnement d’un relais est comme suit : C B
Le contacteur
• Un contacteur est un relais électromagnétique particulier, pouvant commuter de fortes puissances grâce à un
dispositif de coupure d’arc électrique.
• L’arc électrique se produit dans un interrupteur, quand on commute un fort courant dans une charge inductive
tel que le stator d’un MAS, par exemple. On dit qu’un contacteur a un pouvoir de coupure.
Constitution et principe de fonctionnement
• Sa constitution est comme suit :
▪ Une bobine de commande du contacteur, qui peut être en courant
continu ou en courant alternatif.
▪ Des pôles principaux de puissance.
▪ Un contact auxiliaire, avec la possibilité d'additionner au
contacteur un bloc de contacts auxiliaires instantanés ou
temporisés.
Contacteur
Contacts
auxiliaires
• L’exemple suivant montre un contact temporisé à l’enclenchement, i.e. quand la bobine est alimentée, le contact
temporisé, attend un moment d’une durée préréglée T, après laquelle il s’enclenche.
Le sectionneur
• Le sectionneur permet d'isoler un circuit pour effectuer des opérations de câblage et de maintenance sur les circuits
électriques.
• Généralement, un sectionneur contient aussi des fusibles (Sectionneur porte-fusible).
Le fusible
• Le fusible est un composant de protection d’un circuit électrique contre un court-circuit.
• Il permet d’ouvrir un circuit par fusion d’un élément calibré, lorsque le courant dépasse
une valeur précise.
Le relais thermique
• L’apparition d’une surcharge se traduit par l’augmentation de la chaleur (effet joule).
• Le relais thermique détecte cette augmentation de chaleur et ouvre ou ferme des contacts auxiliaires, qui déclenchent
le circuit de commande.
Le disjoncteur magnétothermique
• Un disjoncteur magnétothermique est un appareillage de protection des biens ; il est composé de 2 parties :
▪ Une partie thermique qui protège les biens contre les fortes surcharges.
▪ Une partie magnétique qui protège les biens contre les courts-circuits.
• Donc, en cas de problème (forte surcharge ou court-circuit), l’appareillage disjoncte (coupe) le circuit, ce qui peut
aussi être fait manuellement.
Manuel
• Si le bouton poussoir S1 du circuit de commande est actionné, la bobine du contacteur KM1 est alimentée ; le contact
KM1 du circuit de commande se ferme ainsi que les contacts KM1 du circuit de puissance, ce qui entraîne la rotation
du moteur M1.
• Si S1 est relâché le contact KM1 du circuit de commande maintient l’alimentation de la bobine du contacteur
(mémorisation). On parle alors d’auto-maintien ou d’auto-alimentation.
• Pour arrêter le moteur M1, on appuie sur le bouton poussoir S2, ce qui ouvre le circuit de commande ; la bobine KM1
n’est plus alimentée et les contacts KM1 (commande et puissance) sont ouverts.
• Si en fonctionnement (KM1 fermé), il y a une surcharge, le relais thermique F1 détécte cette surcharge, ouvrant de
cet fait le contact F1 qui lui est associé, ce qui ouvre le circuit de commande, désalimente M1 et le protège.
Montage avec 2 sens de rotation
Schéma :
Inconvénient :
Perte de puissance dans les résistances. Perte de couple important . Le courant de démarrage
est encore élevé (4,5 In)
Schéma :
Inconvénient :
- Couple de démarrage faible
- Coupure de l’alimentation et courants transitoires importants au passage Etoile/triangle
Utilisation :
Réservé essentiellement aux machines démarrant à vide.
Les deux vitesses sont obtenues par deux bobinages séparés logés dans les encoches du
stator.
KM1 : Contacteur PV
KM2 : Contacteur GV
KM3 : Contacteur G’V
Lors du freinage, il y a ouverture de KM1 puis fermeture de KM2 : le moteur est alimenté
par un champ statorique inverse. Les pointes de courant sont très importantes et il est conseillé
d’insérer un jeu de résistances pour limiter ce courant. KM2 doit s’ouvrir dès l’arrêt du moteur,
pour éviter un redémarrage en sens inverse : il est donc nécessaire de prévoir un capteur
détectant l’absence de rotation (capteur centrifuge).
Exercice 2 : Un moteur asynchrone couplé en étoile porte les indications suivantes : 220 V /380 V.
A vide : Io = 5,2 A P0 = 390 W (P0 = Pfs + Pmec)
En charge : I = 7,5 A P = 4070 W
On a mesuré à chaud la résistance entre deux phases du stator R = 2,3 Ω.
En admettant que les pertes mécaniques et magnétiques sont égales, calculer le rendement du
moteur si la vitesse de rotation est n = 1425 tr/min.
Réponses : 80,65 %
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Exercice 4 : Un moteur asynchrone tétrapolaire (4 pôles) triphasé à cage absorbe à pleine charge
un courant d’intensité I = 340 A et une puissance P = 207 kW sous une tension U = 380 V, 50 Hz.
Le glissement est alors g = 1,2 %. Connaissant la résistance entre deux bornes du stator R = 0,018
Ω et les pertes collectives Pc = 5200 W. Les pertes mécaniques et magnétiques sont égales.
Calculer :
1) Le facteur de puissance cos φ.
2) La vitesse de rotation n.
3) Les différentes pertes.
4) La puissance utile Pu.
5) Le rendement η.
6) Le moment du couple Cem transmis au rotor et le moment du couple utile Cu.
Réponses : 1/ 0,92 2/ 1482 tr/min 3/ Pjs = 3121 W Pfs = Pmec = 2600 W Pjr = 2415 W
4/ 196264 W 5/ 94,81 % 6/ 1281 Nm 1265 Nm.
Exercice 5 : Un moteur asynchrone triphasé porte sur sa plaque signalétique les indications
suivantes : 230 V/400 V ; 50 Hz ; 960 tr/min ; cos φ = 0,83.
On a mesuré à chaud la résistance d’un enroulement du stator et l’on a trouvé r = 0,6 Ω.
1) On couple ce moteur sur un réseau U = 400V, 50Hz. Quel couplage doit-on adopter ?
2) On réalise un essai à vide. L’intensité du courant en ligne est I0 = 5,1 A et la puissance
reçue P0 = 470 W (P0 = Pfs + Pmec + Pjs0). Sachant que dans cet essai, le moteur tourne
quasiment au synchronisme, en déduire sa vitesse de rotation à vide ns et son nombre de
paires de pôles p.
3) Déterminer le facteur de puissance cos φ0 dans cet essai.
4) Déduire de cet essai les pertes dans le fer du stator Pfs et les pertes mécaniques Pmec. On
admettra qu’elles sont égales.
5) On réalise un essai au régime nominal et on mesure la puissance active P reçue alors par ce
moteur (méthode des deux wattmètres). On trouve P1 = 4300 W et P2 = 1900 W.
6) Calculer la puissance active P reçue.
7) Calculer l’intensité efficace du courant I en ligne.
8) Calculer les pertes statoriques par effet Joule Pjs.
9) Calculer les pertes rotoriques par effet Joule Pjr.
10) Calculer la puissance utile Pu.
11) Calculer le moment du couple utile Cu.
12) Calculer le rendement η.
13) Quelles sont les deux intensités et la puissance indiquées sur la plaque signalétique ?
Réponses : 1/ étoile 2/ 1000 tr/min 3 paires 3/ 0,13 4/ Pfs = Pmec = 211,6 W 6/ 6200 W
7/ 10,77 A 8/ 208,78 W 9/ 231,18 W 10/ 5336,84 W 11/ 53 Nm 12/ 0,86 13/ 18,65 A/10,77 A
5,5 KW
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Exercice 6 : Un moteur asynchrone triphasé, dont le stator est couplé en triangle, a les caractéristiques
nominales suivantes :
• Puissance utile : 40 kW ; tension aux bornes d'un enroulement : 220 V, 50 Hz.
• Intensité en ligne : 131 A.
• Vitesse de rotation : 1455 tr/min.
• La résistance mesurée à chaud entre 2 bornes du stator est de 0,038 Ω.
Dans tout le problème, le moteur est alimenté par un réseau triphasé 220 V entre phases, 50 Hz. Un
essai à vide a donné : puissance absorbée :
• Puissance absorbée à vide : P0 = 1850 W
• Intensité en ligne : I0 = 31,2 A.
• Les pertes mécaniques, supposées constantes, sont égales à Pmec = 740 W.
1)Quel est le nombre de pôles du stator ?
2) Calculer pour la charge nominale :
a) Le glissement
b) La puissance transmise au rotor.
c) Les pertes dans le fer et les pertes par effet Joule du stator
d) La puissance absorbée.
e) Le rendement et le facteur de puissance.
f) Le moment du couple utile.
3) La caractéristique mécanique Cu (n’) du moteur est assimilable, dans sa partie utile, à une
portion de droite passant par les points :(n = 1500 tr/min ; Cu = 0 Nm) et (n = 1425 tr/min ;
Cu = 430 Nm).
a) Donner son équation.
b) Le moteur fonctionne au-dessous de sa charge nominale : il entraîne une machine
présentant un couple résistant indépendant de la vitesse et de moment CR = 130 Nm. Quelle
est la vitesse de rotation du moteur ?
4) On a connecté par erreur l'enroulement du stator en étoile sur le réseau 220 V de fréquence 50 Hz
a) Quelle est la tension aux bornes d'un enroulement du stator ?
b) Calculer le moment du couple utile Cu pour n = 1425 tr/min, et donner la nouvelle
équation de la caractéristique mécanique Cu (n). (On rappelle que, pour un glissement g
fixé, le moment du couple utile est proportionnel au carré de la tension aux bornes d'un
enroulement du stator).
c) Le moteur entraînant la même machine qu'à la question 3.2., quelle est la vitesse du moteur.
Réponses : 1/ 4 pôles 2/a/ 0,03 b/ 42 KW c/ 1054,5 W 978,17 W d/ 44032,7 W e/ 0,90 0,88
f/ 262,52 Nm 3/ a/ Cu= - 5,73 n + 8600 b/ 1478 tr/min 4/ a/ 127 V b/ 87,51 Nm
Cu = - 1,166 n + 1750 c/ 1390 tr/min
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II. Symboles
a) Récepteur
b) Appareil de commande
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Remarque :
c) Appareils de connexion
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V. Schémas électriques
a) Représentation architecturale :
Figure 1
b) Représentation développée :
Figure 2
OFPPT/DRIF/CDC_GE 32
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Figure 3
d) Représentation unifilaire :
Figure 4
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F1 F1
E1
Q1
E2
Figure 5
Légende :
F1 : coupe circuit bipolaire du circuit éclairage ;
Q1 : interrupteur unipolaire ;
E1 : lampe d’éclairage ;
E2 : lampe d’éclairage ;
Schéma architectural
Figure 6
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Schéma multifilaire
(schéma de câblage)
Figure 7
Schéma unifilaire
Figure 8
L1 N
F1 F1
E1
Q1
E2
E
3
Figure 9
Légende :
F1 : coupe circuit bipolaire du circuit éclairage ;
Q1 : interrupteur unipolaire ;
E1 : lampe d’éclairage ;
E2 : lampe d’éclairage ;
E3 : lampe d’éclairage ;
OFPPT/DRIF/CDC_GE 35
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Schéma architectural
Figure 10
Schéma multifilaire
(schéma de câblage)
Figure 11
Schéma unifilaire
Figure 12
V.2.3 Montage « va-et-vient »
F1 F1
Q1 Q2
E2
Figure 13
OFPPT/DRIF/CDC_GE 36
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Légende :
F1 : coupe circuit bipolaire du circuit éclairage ;
Q1 : interrupteur unipolaire ;
Q2 : interrupteur unipolaire ;
E1 : lampe d’éclairage ;
E2 : lampe d’éclairage ;
Schéma architectural
Figure 14
Schéma multifilaire
(schéma de câblage)
Figure 15
Schéma unifilaire
Figure 16
La minuterie permet de commander d’un ou plusieurs endroits la mise sous tension d’un
circuit d’éclairage durant un temps limité réglable.
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Figure 17
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Figure 18
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Figure 19
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Exercices :
Exercices 1 :
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Exercice2 :
On considère les différents circuits suivants :
a) Définir chaque circuit.
b) Quel est le principe de fonctionnement de chaque circuit ?
c) Définir le domaine d’utilisation de chaque circuit.
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Exercice3 :
Exercice4 :
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