Baptiste DENION SAE 2.

5 Performance isolation Tp6

Romain Sellier

Etude Hygrothermique d’une maison

individuelle.

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Table des matières

Introduction...........................................................................................................................................3
Partie 1 : Transferts thermiques............................................................................................................3
Surface déperditives..........................................................................................................................3
Mur extérieur....................................................................................................................................3
Plafond..............................................................................................................................................4
Plancher bas......................................................................................................................................5
Porte d’entrée et de service..............................................................................................................6
Partie 2 : Transferts hydriques...............................................................................................................6
Murs extérieurs.................................................................................................................................6
Plafond..............................................................................................................................................7
Partie 3 Amélioration des performances...............................................................................................8
Murs extérieurs.................................................................................................................................8
Plafonds...........................................................................................................................................10
Conclusion...........................................................................................................................................12

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Introduction
Nous vous présentons ci-dessous l’étude portée sur une maison individuelle de plain-pied.
L’objectif est d’étudié la performance hygrothermique des parois extérieures. Pour cela,
nous avons quantifiés d’une part la résistance thermique à la chaleur et la vapeur, en
calculant les flux de chaleurs et de vapeur. Dans un premier temps, nous allons calculer les
transferts thermiques des différentes parois de la maison. Dans un second temps, on
déterminera les transferts hydriques de la maison. Enfin on analysera les performances et
nous proposerons des solutions pour les améliorer.

Partie 1 : Transferts thermiques

Surface déperditives
Pour commencer j’ai calculé les surfaces déperditives de l’ensemble de la maison. Pour ce
calcul, j’ai découpé la maison en 4 façades (nord, est, sud, ouest) afin de contrôler plus
facilement les calculs en cas d’erreurs. Pour faire ce calcul je vais prendre l’exemple de la
façade nord. J’additionne tout d’abords toutes les longueurs ensemble puis les multiplie par
la hauteur sous-plafond (2.5 m) ensuite je veille à retirer la surface des fenêtres.

SurfaceFaçade Nords= ( ( 2.7+3.71+3.14 ) ∗ 2.5 ) − ( 0.9 ∗ 1.55 )=22.48 m ²

La surface Ouest mesure 15.195 m²
La surface sur mesure 14.375 m²
La surface est mesure 20.19 m²
La surface déperditive total est donc égale à 72.24 m²

Mur extérieur
Durant une première partie, je vais calculer les transferts thermiques des murs extérieurs et
du plafond. Pour cela, on va d’abord calculer la résistance thermique :
La résistance thermique R (en m².K/W) dépend de l’épaisseur (e exprimée en mètre) et de la
conductivité thermique λ du matériau :
e
R=
λ
Pour les murs extérieurs :
Rsi + Rse = 0.17 m².K/W
R mur = Rsi + Rse + R enduit + R Briques + R Isolant + R Plaque de plâtre

−3 −3
1 ,5 ×10 0 ,1 1 ,3 ⋅10
R mur = 0 , 17+ + 0 ,5+ + = 2,9616 m².K/W
1,1 0,044 0 ,25
Coefficient de transmission thermique :
1
Up = = 0,3376 W / k . m2
2,9616

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Thermogramme mur extérieur

φ=Up× △ θ Densité de flux
θse=φ × Rsi+θe = 7,7648 x 0,13 – 4 = - 2,99 °C
θ 1=φ× Rsi+θse = -2,98 °C
θ 2=φ × Rsi+θ 1 = 0,90 °C
θ 3=φ × Rsi+ θ 2= 18,55 °C
θ 4=φ × Rsi+θ 3 = 18,59 °C
θsi=φ× Rsi+θ 4 = 19,59 °C

On retrouve le graphique en Annexe 1.

Après avoir calculer les résistances et coefficients thermiques, on va déterminer les Flux de
chaleur des murs à l’aide de cette formule cette formule :
S ×Up × △ θ

On remplace les valeurs :

Murs = 72,24 x 0,3376 x (19-(-4))
Murs = 560,9 W

Plafond
Le plafond est composé de différents matériaux, on aura donc 2 résistances thermiques
différentes avec 2 coefficients thermiques différents.

R plafond = Rsi + Rse = 0,14

−2
0 , 15 1 , 3 ×10
R1 = 0 , 14+ + = 4.038 m².K/W
0,039 0 ,25

1
U1 = = 0,248W / k . m2
R1

−2
0 , 15 1 , 3× 10
R2 = 0 , 14+ + = 1,299 m².K/W
0 , 13 0 , 25

1
U2 = = 0,7698 W / k . m2
R2

Pour avoir le coefficient de transmission global de la paroi, étant donné que nous avons une
paroi composite, Up n’est plus un paramètre commun. On utilise la formule suivante qui
une moyenne pondérée en sachant que l’isolant mesure 600 mm de large et les lambourdes
en font 45 mm de large.

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U 1 × L 1+U 2× L2
Up =
L 1+ L 2

0,248 ×600+0,7698 × 45
UP = = 0,284 W / k . m2
600+ 45

1
Rp= =3.521 m².K/W
0.284
Ensuite nous allons calculer les flux de chaleur pour le plafond en utilisant la même formule
que pour les murs extérieurs ( S ×Up × △ θ ).
Plafond =92,29 x 0,284 x (19-5)
Plafond = 366,94 W

Afin de voir l’évolution de la température à travers la paroi nous réalisons un

thermogramme. En sachant que la température à l’intérieur de la maison est de 192 et que
la température à l’intérieur des combles ventilés est de 5°C. Je vais également utiliser la
résistance thermique du plafond qui est 3.521 m². K/W.
ϕ SI =19− 3.521∗ 0.1=18.64 ° C
ϕplâtre=18.64 − 3.521∗ 0.052=18.45 ° C
ϕLDV =18.45− 3.521⋅ 3.658=5.57 ° C
ϕ SE =5.57 −3.521 ⋅0.04=5.42 ° C

On retrouve le graphique en Annexe 2

Plancher bas
Dans un premier temps je calcul la résistance thermique de chaque composant du plancher
bas afin de connaitre sa résistance thermique totale.
R SE=0 0.085 2
RTMS = =3.269 m . k /W
R SI =0.17 0.026
e 0.12 0.013 2
R Bétonarmé = =
2
=0.052 m . k /W RCarrelage = =0.007 m . k /W
λ 2.3 1.9
0.05 2
Rbéton = =0.96 m . k /W
0.52

2
R Plancher =0.17+0.052+3.269+ 0.007+0.96=3.594 m . k /W

On cherche ensuite le coefficient de transmission thermique surfacique

1 1 2
U Plancher = = =0.278 W /k . m
R Plancher 3.594

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Pour finir la partie thermique du plancher bas je calcul les flux de chaleur du plancher de la
même manière que pour le plafond. A savoir que la température intérieure est de 19°C et la
température sous la dalle et de 10 °C
Φ plancher=0.278∗ 92.2961 ∗ ( 19 −10 )=230.92 W

Porte d’entrée et de service

Par la suite je calcule les résistance thermique et coefficient transmission thermique
surfacique de la porte d’entrée et de service en utilisant les mêmes formules que l’étape
précédente.
R porte entrée=0.67 k . m /W U porte entrée=1.49 W /k . m²
2

R service=0.312 k . m /W
2
U porte service =3.205 W /k . m ²

Pour conclure les calculs thermique des deux portes, nous terminons par le calcul des flux
de chaleur( Φ=U ∗ S ∗ ( T 1 −T 2 )).

Φ porte service =3.205 ∗ ( 0.9∗ 2.15 ) ∗ ( 19 − (− 4 ) )=142.63 W

Φ porte entrée =1.49∗ ( 0.8 ∗2.15 ) ∗ ( 19 − ( − 4 ) )=58.94 W

Partie 2 : Transferts hydriques

L’objectif de cette partie et de déterminer les performances hygrométrique des murs extérieurs ainsi
que du plafond.

Murs extérieurs
Calcul des résistances à la diffusion de vapeur d’eau pour le mur extérieur
e
1) RD =
ς
Avec e l’épaisseur et ς le coefficient de perméabilité à la vapeur exprimé en
−1 −1 −1
kg .m . s . P a
0,015
RD enduit = − 12 = 6 ×10 m . s . Pa / kg
9 2
2 ,50 ×10
0,2
RD brique= 10 2
− 11 = 1 ,56 × 10 m . s . Pa / kg
1, 28 ×10
0,013
RD Plâtre = −12 =4 , 46 ×10 m . s . Pa / kg
8 2
29 ,14 × 10
0,1
RD Isolant = −10 = 5 , 26 ×10 m . s . Pa / kg
8 2
1, 9 ×10
Σ RD = 2 , 26 ×1010 m2 . s . Pa / kg

On a une résistance à la diffusion de vapeur d’eau au total de 2 , 26 ×1010 m2 . s . Pa / kg pour

le mur extérieur.
2)
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Dans cette partie, on utilise la méthode de glaser qui consiste à évaluer le risque de
condensation dans la masse par comparaison entre Pvap et Psat.

X en (cm) θ en (°C) T en (K) Psat en (Pa) Pvap en (Pa)

INT 19,59 292,74 2278

Surface int 0 18,59 291,74 2141 1070

Plaque de 1,3 18,55 291,74 2135 1056
plâtre/ Isolant
Isolant/Brique 13,3 0,9 291,7 652 1040
Brique/enduit 33,3 -2,98 274,05 490 551
Surface ext 34,8 -2,99 270,16 490 363
Ext -4 269,15 454

Pour calculer Psat, on utilise la formule suivante :

17,269× T − 4717,03
Psat = 610 , 5 ×e T − 35 ,85

En connaissant la valeur de l’humidité relatives intérieur (50%) et l’humidité relative

présente dans les combles (80%) nous allons pouvoir calculer la Pvap à l’aide des formules :

Pvisi = HR ∫ × P sat ∫ =
❑ 50× 2140 ,58
= 1070.29 Pa
100 100

HR ext × P sat ext 80 ×454 , 04

Pvse = = = 363.23 Pa
100 100
Loi de Fick :
Pvisi − Pvse 1070 ,29 −363 ,23
Gv = = 10 = 3 , 13× 10− 8 kg/s.m²
RD total 2 ,26 ×10
Pvap1 = Pvisi – gv x RD plaque de plâtre
On remarque d’après nos calculs que nous avons un très fort risque de condensation à
l’interface isolant/brique avec un Psat supérieur au Pvap. En effet, on remarque sur l’annexe
1 une zone de condensation interne avec un Psat qui suit la température.

Plafond
Dans cette partie je vais commencer par calculer la résistance à la vapeur des différents
éléments composant le plafond avec l’aide la formule :
Où « e » est l’épaisseur et « ç » le coefficient de perméabilité à la vapeur en
−1 −1 −1
kg .m . s . P a
13 12 2
Rd Plâtre= − 12
=5.2 ∗10 m . s . Pa / kg
2.50 ∗10

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150 11 2
Rd LDV = −10
=7.89 ∗10 m . s . Pa / kg
1.9∗ 10
150 13 2
Rd Bois= −12
=9.49∗ 10 m . s . Pa / kg
1.58 ∗10
Pour connaitre la résistance à la vapeur je vais faire une moyenne pondérée afin d’avoir un
résultat global.

( 5.2∗ 1012+ 7.89∗ 1011 ) ∗ 600+ ( 5.2 ∗1012 +9.49 ∗1013 ) ∗ 45 13 2

Rd plafonds= =1.25 ∗10 m . s . Pa / kg
600+ 45
17.269 ⋅T − 4717.03
Pour le calcul de Psat on utilise la formule P =610.5 ⋅ e T − 35.85
sat

Pvsi =HR ∫ × P sat

∫ ❑ = 50 ⋅2166.23 =1083.11
100 100
HR ext × P sat ext 80 ⋅729.63
Pvse = = =729.63
100 100
Pour les deux autres valeurs de Pvap nous allons faire la relation avec la loi de Fick.
Pvsi − Pvse 1083.11 −729.63 −11 kg
Gv= = =2.83⋅ 10
RD total 1.25⋅10
13
s⋅ m
2

Pour calculer la pression de la vapeur au niveau des différentes couches de la paroi nous
utilisons la relation suivante
Pvap 1=P vsi − Gv ⋅ Rd

X en (cm) θ en (°C) T en (K) Psat en (Pa) Pvap en (Pa)

INT 19 292.15 2214.11
Surface int 0 18.64 291.8 2166.23
1083.11
Plaque de 1.3 18.45 291.61 2140.62
935.95
plâtre/ Isolant
bois
Isolant Bois/ 16.3 5.57 278.82 920.96 875.1
ext
Surface ext 16.3 5.42 278.68 912.04 729.63
Ext 5 278 869.83
Dans notre cas il n’y pas de risque e de condensation car la pression de la vapeur de dépasse
pas celle de la pression saturée on peut retrouver ces résultats sur le graphique en annexe 2

Partie 3 Amélioration des performances

Murs extérieurs
On va dans cette partie analyser les performances thermiques et les préconisations à
prendre. Nous avons trouvé pour le mur extérieur, une résistance de 2,96 m².K/W. Hors

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d’après l’annexe sur les niveaux d’isolation thermiques, nous devons trouver pour le mur
extérieur, une résistance entre 4 et 6 m².K/W.
A l’aide du logiciel UBAKUS, on retrouve une résistance thermique de 3,008 m².K/W et un
coefficient de transmission thermique de 0.278 W/(m².K)

On remarque donc que nos parois ne sont pas assez isolantes. Pour parer à cela, on va
chercher une nouvelle laine de verre avec une conductivité thermique plus faible (GR 32
Roulé revêtu kraft). On va également augmenter l’épaisseur de l'isolant ce qui augmentera
la résistance thermique.
Caractéristiques techniques :

Calcul de la nouvelle résistance thermique :

R mur = Rsi + Rse + R enduit + R Briques + R Isolant + R Plaque de plâtre

−3 −3
1 ,5 ×10 0 ,11 1 , 3 ⋅10
R mur = 0 , 17+ + 0 ,5+ + = 4,11 m².K/W
1,1 0,032 0 , 25
Nouveau coefficient de transmission thermique :

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1
Up = = 0,2433 W / k . m2
4 ,11

A partir du coefficient, on redétermine les Flux de chaleur des murs :

S ×Up × △ θ
Murs = 72,24 x 0,2433 x (19-(-4))
Murs = 404,25 W

A l’aide d’UBAKUS, j’ai réalisé une nouvelle solution. J’ai mis entre l’isolant (la laine de verre)
et la plaque de plâtre un pare vapeur sd=5.

Il permet de supprimer la condensation avec nos températures. Mais dès lors que l’on
augmente la température à 25 °C, on retrouve de la condensation dans notre mur.

Pour être certain de ne plus en avoir, on peut prendre un pare vapeur avec un sd = 100. On
aura aucun risque de condensation.
Pour un environnement au taux élevé, nous devons prendre un sd supérieur pour éviter
toute condensation. Les habitations situées en zone froide ou en montagne, requièrent un
Sd supérieur à 40. Les toitures froides, quant à elles, requièrent une perméance très réduite,
soit un Sd élevé, au-dessus de 90 dans la plupart des cas. Inversement, une étanchéité trop
importante peut produire un effet sac plastique.
Il est donc nécessaire de déterminer le coefficient Sd le plus adaptée en fonction des cas.

Plafonds
D’après les résultats obtenus en partie 1, la résistance thermique du plafond est de 3.494
K.m²/W. or les recommandations d’isolation thermique préconisent une isolation pour les
plancher haut une résistance thermique comprise entre 7 et 10 m².K/W.

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Ma première hypothèse est d’augmenter l’épaisseur de l’isolant existant. A l’aide du logiciel

UBAKUS
Voici une simulation des combles actuels :

Le logiciel nous donne un coefficient de transmission thermique surfacique de 0.278

W/(m².K) soit une résistance thermique de 3.66 (m².K)/W
Maintenant si on augmente l’épaisseur de l’isolant à 300 mm on obtient les résultats ci-
dessous :

Le coefficient de transmission thermique surfacique est à 0.142 W/(m².K), ce qui équivaut

une résistance thermique de 7.04 (m².K)/W.
Avec cet ajout en isolant de 150 mm on répond donc aux attentes de la norme d’isolation
thermique.
Ma seconde hypothèse est de prendre un nouvel isolant avec une résistance thermique
nettement supérieur tout en gardant approximativement la même épaisseur d’isolant
présente actuellement dans les combles.
Om peut prendre la solution technique de BIOFIB Isolation qui propose un isolant composé
à 92% de fibre végétale dont du chanvre, coton et lin.

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Le coefficient de résistance thermique de ce matériau vaut 0.38 W/m.K ce qui le rend

légèrement plus performant. Cependant sont atout principale par rapport au la laine de
verre et son aspect naturel. En effet l’isolant de BIOFIB consomme du CO 2 lors de sa
fabrication (photosynthèse), cela lui donne un aspect plus écologique tout en possédant une
légère amélioration sur le point de vue thermique.
Etant donné que le lambda de l’isolant BIOFIB est similaire à celui de laine de verre, le gain
énergétique est nul quel que soit l’épaisseur. Cependant le gain environnemental est
nettement supérieur et rend l’isolant BIOFIB plus durable dans le temps.

Conclusion
En conclusion, l'étude hygrothermique met en évidence l'importance de prendre en compte
les aspects thermiques et hygrométriques dans la conception, la gestion et l'entretien des
environnements intérieurs. Par ailleurs, cette étude souligne également l'importance de la
gestion de l'humidité dans la préservation des bâtiments et des matériaux. Des niveaux
d'humidité excessifs peuvent favoriser la croissance d’humidité au sein des parois et
provoquer une perte en performance de celle-ci. Pour éviter le problème d’humidité il peut
être envisageable d’installer un par vapeur.
Notre étude sur la partie thermique nous a permis de trouver de nouvelles solutions plus
performantes sur l’aspect technique comme la GR 32 Roulé revêtu kraft (laine de verre).
Nous avons également étudié un autre isolant thermique ayant les mêmes caractéristiques
techniques, mais cette fois-ci issue d’une source naturelle pour qu’il soit plus durable dans
le temps.
L'étude hygrothermique a permis de mieux comprendre les interactions entre l'humidité et
la température dans un système donné. Les résultats obtenus ont mis en évidence
l'importance de prendre en compte ces deux paramètres dans la conception et la gestion
des bâtiments

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