Guide Memoire Master 2022-2023 v1 01
Guide Memoire Master 2022-2023 v1 01
Guide Memoire Master 2022-2023 v1 01
de master
Guide méthodologique
UE d’inititation à la recherche à l’usage des étudiants
Année universitaire 2022-2023
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Cette brochure a été conçue et réalisée par les formateurs de l’INSPE de Strasbourg.
Mise à jour : septembre 2022
Conception Graphique : Myriam LAKRAA
Les informations contenues dans ce guide sont susceptibles de modifications
en cours d’année universitaire. Pour plus d’informations, consultez le site internet
de l’INSPÉ de l’Académie de Strasbourg : inspe.unistra.fr
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æ Table des matières
Un mémoire de master : Pourquoi ? Pour quoi ?........................... 4
1. Pourquoi ?............................................................................................................................. 4
2. Pour quoi ?............................................................................................................................ 4
Recommandations formelles........................................................................ 15
1. Consignes de présentation générale...................................................................................... 15
2. Mise en page......................................................................................................................... 16
3. Ne pas céder au plagiat.......................................................................................................... 18
4. Organisation du mémoire....................................................................................................... 20
5. Les annexes et les références bibliographiques...................................................................... 21
6. Les modalités de dépôt du mémoire....................................................................................... 22
Evaluations et soutenance............................................................................... 23
1. Critères d’évaluation.............................................................................................................. 23
2. Evaluation des écrits.............................................................................................................. 24
3. la soutenance . ...................................................................................................................... 25
4. Détail du poids attribué à chaque composante dans la notre finale en S2 MEEF...................... 26
Bibliographie............................................................................................................... 27
Ressources complémentaires....................................................................... 27
Annexes. .......................................................................................................................... 28
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æ Un mémoire de master : pourquoi ? Pour quoi ?
1. Pourquoi ?
Tout master se définit à la fois par une spécialisation des connaissances et des compétences, ainsi
que par une formation à et par la recherche. Celle-ci est en particulier réalisée grâce à la conduite
d’un travail de recherche qui se concrétise, en fin de cursus, par la rédaction et la soutenance d’un
mémoire. Au cours de cette année de Master 1, l’étudiant·e sera initié·e à la recherche et guidé·e
dans le choix et l’orientation puis la réalisation de son projet.
L’initiation et l’accompagnement collectifs constituent d’abord une « formation par », en ce qu’ils
permettent à l’étudiant·e de découvrir les méthodes, les outils et les apports de la recherche. Les
séminaires collectifs sont également l’occasion d’apprendre à communiquer sur la (et sa) recherche.
Le mémoire, quant à lui, est davantage une « formation à », en ce qu’il implique l’essai pratique
d’une forme de recherche dans un domaine précis. Il s’agit d’initier l’étudiant·e à l’adoption d’une
posture de chercheur.e. Le mémoire s’avère également une formation par l’écriture (on apprend et
on comprend mieux en élaborant par écrit) et par le projet (on apprend à conduire une réalisation
complexe dans un réseau de contraintes).
Le mémoire et sa soutenance sont finalement l’aboutissement d’un travail de recherche, autrement
dit, le résultat d’un cheminement qui aboutit à une connaissance et une prise de recul vis-à-vis
de la façon dont se constituent les connaissances scientifiques, ainsi que de la manière dont elles
peuvent être « appliquées » ou « transposées » dans des champs professionnels.
2. Pour quoi ?
Comme toutes les autres parties de la formation en master, le travail de recherche vise à construire
des compétences. Ce type de travail permet de développer essentiellement des
• compétences réflexives, analytiques et synthétiques permettant d’appréhender avec justesse
les démarches et les enjeux scientifiques sous-tendant la création de connaissances nouvelles et
leurs applications éventuelles en milieu professionnel (pour un master à visée professionnelle) ;
• connaissances de la recherche et des postures qu’elle implique ;
• compétences d’autoévaluation, de prise de responsabilité, de créativité et d’adaptation (par
l’écriture du mémoire, par la logique de projet que sous-tend la recherche, par la soutenance du
mémoire, moment de mise à distance).
Dans le champ des métiers de l’éducation et de la formation et au regard des différentes compé-
tences qu’un futur enseignant ou formateur1 doit acquérir, l’initiation à la recherche renvoie éga-
lement au développement d’une compétence professionnelle qui doit permettre à la personne de
se former tout au long de l’exercice de son métier. On peut prendre pour exemple la quatorzième
1 … ou ingénieur technopédagogique dans le cadre du Master Synva par exemple.
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compétence professionnelle, telle qu’elle est définie dans le référentiel de l’Éducation Nationale
(2013) publié au Journal Officiel du 25/07/20132.
On retrouve ainsi dans cette définition les attendus d’une formation à et par la recherche.
Compétence 14 : S’engager dans une démarche individuelle et collective de développement pro-
fessionnel
• Compléter et actualiser ses connaissances scientifiques, didactiques et pédagogiques. Se tenir
informé des acquis de la recherche afin de pouvoir s’engager dans des projets et des démarches
d’innovation pédagogique visant à l’amélioration des pratiques.
• Réfléchir sur sa pratique – seul et entre pairs – et réinvestir les résultats de sa réflexion dans
l’action.
• Identifier ses besoins de formation et mettre en œuvre les moyens de développer ses compé-
tences en utilisant les ressources disponibles.
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Recherche descriptive : Elle repose sur un cadre d’observation précis et théorisé, et elle est orien-
tée vers la connaissance d’un système (ex. observations « outillées » de classes ou de situations
éducatives) ou d’une pratique individuelle ou collective (pratiques artistiques, médiations inter-
culturelles, …) dans le but de décrire le fonctionnement de ce système et d’en analyser les enjeux.
Les chercheurs sont les premiers destinataires. La compréhension est la valeur prioritaire.
Même si leurs démarches peuvent parfois se recouper sur tel ou tel point, ces types de recherches
ne sont pas interchangeables car ils obéissent à des finalités et orientations différentes. On prendra
cette typologie avec précaution, elle a simplement une valeur indicative. Ainsi, malgré l’ampleur du
chantier que semble représenter une approche « fondamentale », ce type de travail est réalisable
dans le cadre d’un master, si l’étudiant·e bénéficie d’un accompagnement précis, allant jusqu’à
alléger une partie des procédures nécessaires (par exemple, l’enseignant(e) assurant la direction
du mémoire fournit le corpus des données à analyser, ou bien une partie des références bibliogra-
phiques).
A contrario, il ne faut pas croire que le choix de la recherche-action ou de la recherche descriptive
est celui de la facilité : trouver le terrain d’essai ou d’observation que cela implique, trouver le
temps nécessaire peuvent s’avérer des contraintes lourdes.
Recherche interdisciplinaire : elle repose sur une approche transversale qui permet d’étudier un
objet (une œuvre, une pratique…) croisant plusieurs champs disciplinaires et selon différentes mé-
thodologies de recherche (herméneutique, phénoménologie, heuristique…). Les chercheurs et les
praticiens-chercheurs en sont les destinataires. La connaissance émerge de la compréhension de
l’expérience, observée et analysée.
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Ainsi un mémoire explorant un concept scientifique, étudiant un auteur littéraire ou une notion
culturelle selon une approche fondamentale sur deux tiers de son volume, posera la question de la
transposition de l’objet étudié en objet d’enseignement ou objet professionnel dans le seul dernier
tiers. À l’autre extrémité de l’échelle, un mémoire pourra s’avérer initié par un questionnement
professionnel, qui devra par la suite être problématisé en une question de recherche entrainant
une analyse scientifique des données recueillies sur le terrain professionnel.
Il appartiendra à l’étudiant·e de définir le questionnement initial et cette proportion avec l’aide du
directeur ou de la directrice de mémoire qu’il aura choisi(e).
Qu’est-ce qui détermine l’orientation de la recherche et donc la nature du mémoire ?
La nature du projet de recherche mené dans le cadre de la rédaction du mémoire de master dépend
de plusieurs facteurs.
• Premièrement, la formation universitaire initiale de l’étudiant·e (parcours et spécialités de Li-
cence) est déterminante pour le choix du sujet de recherche et de la méthode d’investigation.
• Deuxièmement, la rencontre avec le directeur de recherche ainsi que l’orientation de ses intérêts
scientifiques et de ses champs de spécialisation constituent également un élément important
dans le choix du sujet de recherche et de la démarche scientifique adoptée.
• Troisièmement, le mémoire peut être rédigé par un binôme d’étudiant·e.s : la rencontre avec un.e
étudiant·e partenaire qui partage les mêmes intérêts scientifiques peut donc également orienter
le choix du sujet.
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3) Par conséquent, en ce qui concerne le choix du sujet de recherche relevant de l’enseigne-
ment-apprentissage bilingue, les étudiant·e.s sont invité.e.s prioritairement à choisir leur di-
recteur de recherche parmi les enseignants-chercheurs et enseignants-formateurs germa-
nistes, spécialistes de la didactique de l’enseignement bilingue et de l’enseignement de la
langue allemande ou alsacienne en classe bilingue. Les étudiant·e.s du parcours bilingue qui
sont intéressé.e.s par un sujet explorant l’enseignement d’une discipline enseignée en langue
2 (DEL2) en classe bilingue (enseignement des mathématiques, des sciences naturelles ou
de l’histoire-géographie en langue allemande) sont invité.e.s à choisir leur directeur de re-
cherche parmi les enseignants-chercheurs et enseignants-formateurs spécialistes de l’ensei-
gnement d’une discipline en langue 2 dans le contexte de l’enseignement-apprentissage
bilingue (et qui, souvent, interviennent au sein du parcours bilingue).
4) Le mémoire de master des étudiant·e.s du parcours bilingue sera rédigé en français ou en
allemand selon le choix de l’étudiant·e et présenté sur un fichier PDF. Il adoptera un volume
de 50 pages environ ; 30 pages en constituent le minimum. Le mémoire sera accompagné d’un
résumé de trois pages en langue allemande, figurant sur un fichier PDF indépendant. Le mé-
moire ainsi que le résumé en langue allemande seront évalués.
5) La soutenance du mémoire se compose d’un exposé oral en langue allemande, présentant
le travail de recherche accompli et s’appuyant sur un diaporama powerpoint en langue alle-
mande. L’exposé oral sera suivi d’une discussion avec les membres du jury, qui sera tenue en
français et en allemand.
6) Important : Les étudiant·e.s inscrit.e.s dans le parcours bilingue qui envisageraient une pour-
suite d’études en thèse de doctorat sont prié.e.s de prendre contact dès à présent avec un
directeur de recherche titulaire d’une HDR – en l’occurrence Britta Benert (MCF HDR) et Ane-
mone Geiger-Jaillet (PU) – pour délibérer de l’orientation du sujet et des modalités de re-
cherche pour la rédaction d’un mémoire de master qui constituera la première étape des
recherches doctorales.
3 Cette présentation en quatre étapes est inspirée du dossier : La querelle des méthodes. Sciences Humaines 35,
janvier 1994
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á Définir un objet d’étude et une question précise
Pour reprendre une citation de Gaston Bachelard (1967, p.14), « Toute connaissance est une
réponse à une question ». La recherche et le mémoire ayant pour objet de produire des connais-
sances, il s’agit de passer d’une idée de thème ou de sujet général sur lesquelles le chercheur
a envie de travailler à une question précise, à formuler dans un champ précis des disciplines
scientifiques.
á Interpréter
Les informations recueillies et ordonnées permettent-elles de répondre à la problématique ini-
tiale? Il s’agit alors de comprendre les données à partir du cadre théorique constitué en amont,
de synthétiser les nouvelles connaissances, d’adopter un recul critique sur la démarche suivie.
S’il y a eu formulation d’hypothèses, c’est le moment de les confirmer ou de les infirmer par
confrontation aux résultats obtenus. Les conclusions sont souvent partielles et prudentes. Elles
peuvent ouvrir sur de nouvelles interrogations.
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Ces quatre temps de la recherche, de durée inégale, sont autant de repères dans la progression du
travail. C’est dans la relation avec son directeur ou sa directrice de recherche que l’étudiant·e orga-
nisera les différentes étapes de sa démarche scientifique et de la rédaction du mémoire.
1. Le travail de recherche
Le travail a pour principal objectif de permettre aux étudiants d’échanger autour de l’état d’avance-
ment de leurs travaux et de les accompagner dans la rédaction de leur mémoire. Il s’agit d’engager
les étudiant·es dans une démarche d’approfondissement de leur projet d’étude, notamment par le
débat d’idées et la confrontation aux travaux de leurs pairs.
Le travail de recherche peut être réalisé individuellement avec son directeur de mémoire, ou en
groupe au sein de séminaires.
Au final, le travail de recherche constitue l’occasion pour les étudiant·es d’appréhender et de com-
prendre l’utilité et les usages de la recherche dans les domaines de l’éducation et de la formation.
C’est à l’étudiant·e de se référer à la maquette de la formation dans laquelle il ou elle est inscrit(e)
pour prendre connaissance des Modalités d’Evaluation des Connaissances et des Compétences
(MECC) et des crédits ECTS de chaque semestre.
2. La direction de recherche
Il s’agit d’engager les étudiants dans une démarche de recherche dans un champ scientifique avec
une spécificité pour chaque objet d’étude. La formation au mémoire de master implique un suivi
en petit groupe d’étudiant·es autour d’un même directeur ou directrice de recherche, voire un suivi
individualisé.
Cette relation avec le directeur ou la directrice de recherche s’articule autour de trois points fon-
damentaux pour la réussite du travail de l’étudiant·e : une aide à la réflexion, un accompagnement
méthodologique et des conseils au service d’un travail personnel de l’étudiant·e.
Le directeur ou la directrice de recherche a la responsabilité de guider l’étudiant·e dans l’approfon-
dissement de son projet d’étude dans le prolongement du travail engagé au sein des séminaires si
ceux-ci sont proposés. Au-delà, il ou elle accompagne l’étudiant·e dans la définition précise de son
objet d’étude pour aboutir à une problématique et à des questions de recherche.
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Au plan méthodologique, le directeur ou la directrice de recherche impulse le choix des données
à recueillir et les procédures de traitement de ces dernières. Ces choix sont sous-jacents aux pos-
tulats théoriques adoptés par l’étudiant·e, mais aussi guidés par des questions de recherche et les
contraintes de faisabilité (temps, disponibilités des participants, opportunités offertes dans les si-
tuations rencontrées par l’étudiant·e, etc.).
Enfin, le directeur ou la directrice de recherche est également, pour l’étudiant·e, la personne res-
source qui saura lui donner les conseils opportuns pour avancer dans son travail de recherche. Il ou
elle oriente les lectures de l’étudiant·e, l’aide à en extraire les éléments saillants, le ou la guide dans
l’articulation de ceux-ci avec son propre travail, impulse de nouvelles pistes de réflexion, ouvre de
nouveaux horizons et s’attache à resituer le travail de l’étudiant·e dans la globalité de sa formation
aux métiers de l’enseignement, de l’éducation et/ou de la formation.
En somme, les rencontres de l’étudiant·e avec son directeur ou sa directrice de recherche sont des
moments privilégiés pour faire le point sur le travail réalisé et à venir mais ne peuvent suffire à la
réalisation du mémoire. Ces rencontres agissent comme des catalyseurs des transformations que
vit l’étudiant·e dans le processus de formation à et par la recherche dont il est le principal auteur.
3. Le travail personnel
Le projet de l’étudiant·e et le mémoire ne sauraient prendre forme sans un travail personnel consé-
quent. L’investissement de l’étudiant·e dans la conduite et la réalisation de ce travail de recherche
en assure la réussite.
Au-delà, la première des qualités requises est la curiosité. Il faut savoir questionner, interroger
les pratiques professionnelles, les concepts théoriques, les idées, réflexions et arguments d’au-
trui pour se forger sa propre opinion. Cette curiosité s’exprime également à partir des recherches
bibliographiques et des lectures (notamment celles conseillées par le directeur ou la directrice de
recherche) qui feront l’objet de synthèses. Lire ne suffit pas, encore faut-il être en mesure d’en
tirer bénéfice pour son propre travail. Ainsi, l’étudiant·e de master aura le souci de la production
écrite à chaque étape de son travail afin de pouvoir en garder trace mais aussi de pouvoir en rendre
compte à ses pairs lors des séminaires, à son directeur ou sa directrice de recherche lors de leurs
rencontres.
L’étudiant·e de master qui s’investit personnellement dans son travail fait aussi preuve d’autonomie
et d’esprit d’initiative. S’engager dans un travail de recherche, notamment lorsque celle-ci revêt un
caractère professionnel au service de l’apprentissage d’un métier, c’est chercher à innover, à créer,
à impulser de nouvelles pratiques professionnelles. Aussi, il appartient à l’étudiant·e de faire l’ef-
fort de recontextualiser son travail dans l’environnement professionnel duquel il a émergé.
Enfin, le travail personnel de l’étudiant·e de master doit le ou la conduire à chercher d’autres oppor-
tunités de formation que celles qui lui sont directement proposées. Il s’agira, par exemple, d’assis-
ter à des débats scientifiques publics, de participer à des séminaires ou conférences scientifiques
organisées par les équipes de recherche et les laboratoires partenaires des masters.
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4. Précautions déontologiques et éthiques
Dans le cadre de ses travaux d’initiation à la recherche et pour le recueil de ses données, il appar-
tient à l’étudiant·e de respecter les principes déontologiques et éthiques en vigueur.
La présente section porte sur les protocoles de recherches qui impliquent la participation d’indi-
vidus (enfants ou adultes) à la recherche. Cependant vous devez également vous interroger sur
l’éthique quelle que soit la recherche que vous menez (p.ex. vous pourriez réunir des informations
sur une personne dans le cadre d’une approche biographique et au vu des éléments recueillis at-
tenter à sa réputation qu’elle soit vivante ou décédée).
á Définir l’éthique
L’éthique en recherche est un ensemble de règles ayant pour objet de soumettre l’activité scien-
tifique au respect de valeurs jugées plus hautes que la liberté du chercheur (Conseil national des
sciences humaines, 2001).
Même si on peut avoir de très bonnes idées en recherche, toutes ces idées ne peuvent pas être
mises en œuvre. Vous connaissez peut-être le cas du petit Albert chez qui un chercheur a provo-
qué la peur des rats. Certes, un mécanisme d’acquisition de la peur a été mis en évidence, mais
est-ce que provoquer la détresse chez un jeune enfant est éthiquement acceptable ? (Clément,
2013)
L’ensemble des règles est formé de lois propres à l’éthique (p.ex. en France il y a des lois sur la
bioéthiques), de procédures décrites dans des lois et arrêtés (p.ex. les recherches impliquant la
personne humaine à vue d’améliorer les connaissances biomédicales) et d’institutions telles que
les Comités d’Ethique.
Dans le cas de la réalisation de votre mémoire de recherche, vous devrez vous conformer à plu-
sieurs règles qui seront énoncées ci-après.
L’éthique impose de s’interroger sur les conséquences potentielles de la recherche et la façon
dont on souhaite la mener.
En clair, même si vous avez des intentions louables, il faut vous demander quelles peuvent être
les conséquences de votre travail.
Par exemple quelles conséquences y-a-t-il à interroger un enseignant sur ses rapports avec sa
hiérarchie ? Est-ce que cela ne risque pas d’engendrer un mal être ou des conflits avec sa hié-
rarchie.
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Le formulaire de consentement
Le formulaire de consentement doit mentionner le droit au refus, la possibilité de retrait à tout
moment et le droit de suivi des résultats, ainsi que les coordonnées où joindre le responsable
scientifique (en l’occurrence votre directeur ou directrice de mémoire). Il précisera au partici-
pant qu'il est entièrement libre de refuser de participer à l'étude ou de retirer son consentement
sans encourir aucun préjudice de ce fait (Par exemple, lorsque les participants sont des élèves,
il convient de préciser que le refus ou retrait est sans conséquence pour les résultats aux exa-
mens). Il lui sera fait mention de la possibilité de rectification ou de destruction des données le
concernant si les données collectées ne sont pas complètement anonymes).
Après s’être assuré de la bonne compréhension des informations fournies, le responsable scien-
tifique sollicitera du participant son consentement pour participer à l'étude. S'il accepte, le par-
ticipant signera le formulaire de consentement en deux exemplaires préalablement à la réalisa-
tion de l’étude (Annexe 2B). Le responsable scientifique gardera un des exemplaires et remettra
l’autre au participant.
Dans le cas de questionnaires sur internet, mettez une « case à cocher » pour consentir à parti-
ciper à la recherche.
Dans le cas où des mineurs participent à votre recherche vous devez :
• Avoir une notice d’information et un formulaire de consentement d’un parent ou tuteur légal
• Avoir une notice d’information et un formulaire de consentement du mineur.
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á Une année pour un mémoire de Master
• Septembre : affectation de l’étudiant auprès d’un directeur de mémoire ;
• Fin Octobre : problématique et revue de question ;
• Janvier : Evaluation intermédiaire de l’état d’avancement du mémoire. Voir les MECC pour le
détail des modalités et dates (Cf. Annexe 4A : Grille d’évaluation de l’écrit S1 parcours MEEF 1er
degré)
• Décembre à mars (MEEF 1er et second degré), voire de septembre à avril (p.ex. parcours PIMS,
EMES, EIPS, TFE, mais aussi les parcours du Master Sciences de l’éducation) : recueil, traitement
et analyse des données. Rédaction du cadre théorique et méthodologique. Interprétation des
données et élaboration de la discussion. Rédactions partielles ;
• Mai : rédaction finale (discussion, perspective, conclusion). Mise en forme du mémoire. Re-
lecture ;
• Juin : dépôt du mémoire pour le parcours MEEF (7 jours avant la date de soutenance). Voir
les MECC pour le détail des modalités et dates (Cf. Annexe 4B : Grille d’évaluation de l’écrit S2
parcours MEEF 1er degré) ;
• Dernier délai pour la soutenance des mémoires : voir les MECC pour chaque parcours (Cf.An-
nexe 4C : Grille d’évaluation de l’oral S2 parcours MEEF 1er degré).
Les échéances peuvent paraître lointaines, mais ce travail s’inscrit dans la durée.
æ Recommandations formelles
Une feuille de style spécifique à ce mémoire est disponible sur ERNEST, dans votre espace dédié,
dans la rubrique « documents de l’espace ». L’étudiant·e téléchargera ce fichier et respectera les
normes typographiques qu’il comporte.
Le travail écrit inclura l’attestation d’authenticité signée par l’étudiant·e. Cette dernière devra être
insérée après la page de titre (cf. doc en ligne sur ERNEST).
L’exigence quantitative du mémoire est variable selon les parcours :
• EMES/PIMS : 50 à 80 pages
• SYNVA : 50 à 80 pages
• TFE : 50 à 90 pages
• CPE : 30 à 50 pages
• Master MEEF 1er degré : 30 à 50 pages
Cette exigence s’entend notes incluses, hors annexes et hors bibliographie. Selon les parcours, des
variations peuvent être énoncées.
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« Analyse didactique d’une séance de lecture chez des enfants de CP » pourrait être plus adapté : il
précise le domaine (la didactique), la discipline scolaire (la lecture) et la population étudiée (enfants
de CP).
Après la page de titre, il est possible de prévoir une dédicace, des remerciements et un avant-pro-
pos.
Concernant les remerciements, on s’attachera à remercier les institutions et personnes qui ont
permis le travail de recherche (par exemple, l’Ecole des fans de l’Ile aux enfants ; la directrice de
l’école, etc.). On évitera les remerciements multiples (votre papa ou votre grand-mère peuvent être
fiers de vous, mais ce n’est pas la peine de remercier la famille au complet !).
Ensuite vient le sommaire du mémoire qui détaillera les chapitres et sous chapitres avec leurs
renvois numérotés. Il ne faut pas dépasser le 4è niveau : par exemple indiquer le paragraphe «
4.1.2.5.6 : résultats de l’étude de Robert et Collins », paragraphe qui fait trois lignes, n’est pas utile.
Le sommaire mentionne également les références bibliographiques et les annexes avec leur renvoi
numéroté.
Le sommaire pourra être suivi d’une liste des abréviations couramment employées dans le texte ou
dans les notes. Le nombre de ces abréviations doit être aussi limité que possible.
Il est à noter que l’on utilise souvent des acronymes dans le corps de texte. Si OVNI est lexicalisé et
s’écrit ovni, cela n’est pas le cas pour tous. Par exemple, mieux vaut définir l’acronyme LOL lors-
qu’on l’utilise la première fois.
La 4ème de couverture présente le résumé du travail de recherche. Celui-ci ne devrait pas dépasser
250 mots. Il est accompagné de 5 mots-clés au plus. Les mots-clés permettent de repérer rapide-
ment le thème et le sujet du mémoire de recherche.
2. Mise en page
Les feuilles (format A4) sont imprimées en recto simple, ou selon le vœu du directeur en recto-ver-
so.
Les pages sont numérotées. La numérotation commence dès la page de titre, même si elle n’appa-
rait pas.
La page de couverture est écrite en police Arial. Le corps du texte est écrit en police Arial, taille
11 (ou une autre police / taille usuelle : calibri 11, times new roman 12), intervalle 1,5. Les quatre
marges du document sont de 2,5 cm. Des styles différents peuvent être appliqués aux titres et
sous-titres des paragraphes (par exemple mise en gras des titres).
Il faut cependant éviter de surcharger le texte avec l’utilisation effrénée du gras qui donne l’im-
pression que tout est important et que l’on ne sait pas sérier l’information. Si l’on souhaite mettre
en exergue un aspect du texte, utiliser de préférence l’italique (avec parcimonie) ou faire ressortir
la réflexion par un moyen rhétorique.
L’italique est également utilisé pour marquer les mots en langue étrangère (par exemple empower-
ment).
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En matière de ponctuation, il importe surtout de rappeler qu’il n’y a jamais d’espace avant un point
ou une virgule. En français, il y a un espace insécable avant et après les signes doubles, comme les
guillemets, les deux points et le point-virgule, …
Vous éviterez de passer une ligne entre chaque paragraphe. Les outils de mise en page permettent
d’aérer le texte en utilisant un outil d’espacement (format/paragraphe/espace après).
Les notes de bas de page doivent être limitées afin de ne pas hacher la lecture. Elles sont numéro-
tées.
Les tableaux et graphiques doivent être numérotés. Ils doivent être appelés dans le texte avec leur
numéro (tableau 1) et avoir un titre suffisamment explicite. Le titre d’un tableau est au-dessus de
celui-ci. Eviter de scinder les tableaux sur 2 pages, ce qui n’en permet pas une lecture aisée.
Dans l’un et l’autre cas, il n’est pas nécessaire d’utiliser des couleurs ou d’ajouter un cadre. En la
matière, le plus simple est le mieux.
Il est également pertinent de réaliser des sommaires (onglet insertion : tables et index sous word).
Pour ce faire, il vous faut utiliser en préalable des styles.
Voir cette petite aide sur ce lien : https://support.office.com/fr-fr/article/insérer-une-table-des-ma-
tières-882e8564-0edb-435e-84b5-1d8552ccf0c0#ID0EABCAAA=Windows
L’un des exercices les plus délicats de la recherche scientifique est la citation d’autres auteurs. Il
faut distinguer les citations brèves (longueur ne dépassant pas en général 40 mots) des citations
longues :
Les citations brèves sont incorporées au texte et sont ouvertes et fermées par des guillemets. Lors-
qu’on termine la portion de phrase qui contient la citation, le signe de ponctuation qui fait partie
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du texte original dont la citation est extraite reste à l’intérieur des guillemets à la fin de la citation ;
Les citations longues, plus de trois lignes, sont détachées du texte (pas de guillemets), dactylogra-
phiées avec un simple interligne, avec une marge plus grande que celle du texte lui-même (déca-
lage de 1,5 cm environ), et la taille est diminuée (même police que le texte principal, par ex. calibri
10 points et interligne 1 si le texte principal est en calibri 11, interligne 1,5).
On peut également réaliser des citations tronquées, les raccourcir ou les modifier pour en faciliter
la compréhension. Dans le premier cas on marque les passages coupés par trois points et dans le
second on indique cette modification entre crochets.
Dans le corps du texte, soit des appels de notes et les notes (numéros de pages compris) corres-
pondantes précisent les références des ouvrages utilisés, soit cette référence est don- née dans
une parenthèse. L’usage des notes varie selon les disciplines, mais en règle générale lorsqu’on uti-
lise la norme APA, recommandée ici, les notes ne sont pas une reprise des références bibliogra-
phiques. Pour une aide sur les normes APA (7ème édition), voir ce lien : https://bib. umontreal.ca/
citer/styles-bibliographiques/apa
Exemple : (Reboul, 1992, p. 12)
4. Organisation du mémoire
Le mémoire doit suivre l’organisation d’un article scientifique. Les multiples lectures que vous allez
réaliser pour ce travail de recherche serviront donc de guide pour organiser le mémoire. En fonc-
tion de la discipline de référence (p.ex. didactique des mathématiques, psychologie, littérature de
jeunesse, etc.) il peut exister des variantes. L’organisation générale du mémoire peut à titre indi-
catif suivre le schéma ci-dessous, cependant la structure du mémoire doit être discutée avec le
directeur de mémoire en fonction du champ disciplinaire et de la méthodologie choisie.
á Introduction
Elle présente le thème de la recherche, ainsi que le contexte général dans lequel s’inscrit le sujet
d’étude. Elle situe le problème posé par la question de départ et annonce le plan du mémoire.
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á La partie théorique
Elle rappelle l’état de l’art spécifique à la thématique de recherche. Elle est construite comme un
entonnoir : du général au particulier.
Elle dresse tout d’abord l’état de la recherche dans le domaine précis concernant le sujet d’étude.
Puis elle expose le problème, insiste sur son importance et indique la manière dont la probléma-
tique est envisagée pour le traiter.
Quand la démarche scientifique l’a prévu, il faut indiquer, les hypothèses de travail à la fin de la
partie théorique, juste après la problématique dans laquelle elles s’inscrivent.
á Matériels et méthodes
• Site(s) d’étude ;
• Technique d’échantillonnage (participants, critères d’inclusion et d’exclusion) ;
• Dispositif (matériel, procédure, analyse quantitative ou qualitative, …) ;
• Outils de traitement de données (p.ex. les logiciels de traitement statistique) ;
• Et le cas échéant le plan expérimental.
á Résultats
Les résultats doivent décrire les faits sans les interpréter, en respectant l’ordre d’émission des hy-
pothèses. Ils sont mis en valeur à l’aide de présentations graphiques (organigrammes, schémas,
graphes, tableaux de synthèse).
á Discussion
Elle permet de trier les faits et les résultats obtenus pour montrer leur signification. Par une ana-
lyse rigoureuse des données et leur mise en relation, on pourra faire ressortir les grandes idées.
á Conclusion
Elle récapitule d’abord brièvement le cheminement de la pensée, et en particulier les conclusions
intermédiaires décrites dans la discussion. Elle propose ensuite une « ouverture » vers des travaux
de recherche ultérieurs.
- 21 -
á La bibliographie
La bibliographie indique les références des documents utilisés par l’étudiant·e et uniquement ceux-
ci. Ces références doivent être classées par ordre alphabétique selon les normes fixées par le direc-
teur ou la directrice de mémoire. Le corps de texte du mémoire ne doit pas omettre de renvoyer à
la bibliographie.
Différentes normes existent, cependant dans ce guide nous utiliserons la norme APA, qui est la ré-
férence mondiale actuellement.
Quelques exemples
Un ouvrage :
Alberto, P. A., & Troutman, A. C. (2003). Applied behavior analysisfor teachers. Merrill Prentice Hall.
Un article de revue ou de journal :
Demont, E. (2001). Contribution de l’apprentissage précoce d’une deuxième langue au développe-
ment de la conscience linguistique et à l’apprentissage de la lecture. International Journal of Psy-
chology, 36(4), 274-285.
Un site internet :
Lettres numériques. (2014, 30 juin). Lettres numériques.
http://www.lettresnumeriques. be/2014/06/30/lit-on-differemment-un-texte-numerique/
Remarques :
• Une liste des abréviations peut être établie si nécessaire.
• Les termes qui demandent explication sont à définir dans un vocabulaire appelé aussi glossaire
ou lexique.
• Si vous établissez un index, son contenu est clairement indiqué dans le titre de l’index : index
général, index des noms géographiques, des noms d’auteurs, etc. Il permet un repérage dans le
mémoire grâce à l’indication de la pagination.
Exemple : Projet personnel de l’élève, 6, 12, A 28
• L’erratum est reproduit, le cas échéant, sur une feuille qui porte toutes les références du mé-
moire (nom de l’étudiant·e, titre, etc.). Si nécessaire, l’erratum pourra être donné au jury le jour
de la soutenance. Le texte de l’erratum est disposé comme dans l’exemple suivant :
Page Ligne au lieu de lire
23 6 jouet projet
- 22 -
Il appartient à l’étudiant de s’assurer du respect des conditions de dépôt (dates et lieux). En principe
un délai de 7 jours entre le dépôt du mémoire et la soutenance est proposé. Il peut être allongé ou
raccourci en accord avec le directeur et l’assesseur.
Seuls les mémoires dont la qualité particulière sera reconnue par la commission de soutenance
pourront être proposés pour un dépôt en ligne et accessibles à la lecture des usagers de l’Univer-
sité.
Afin de remédier aux problèmes liés à la conservation des mémoires sur support « papier » et afin
d’améliorer la diffusion de ces documents, il a été convenu que les mémoires soient stockés et mis
à disposition électroniquement, sur le réseau informatique de l’établissement. Les mémoires sont
consultables à l’adresse suivante : http://theses.unistra.fr
En conséquence, l’étudiant·e doit se tenir prêt(e) à fournir, en plus des exemplaires papiers destinés
à la commission de soutenance une version électronique de son mémoire.
La conservation et la diffusion ne seront effectives qu’à deux conditions qui doivent être obligatoi-
rement réunies :
La commission de soutenance propose à l’étudiant·e que le mémoire soit diffusé, selon des critères
de qualité qu’il est seul à pouvoir déterminer.
L’étudiant·e donne son accord écrit pour que son mémoire soit mis en réseau. S’il/elle ne le souhaite
pas, il/elle doit également le spécifier (cf. Annexe 3C).
æ Evaluations et soutenance
1. Critères d’évaluation
La note attribuée tiendra compte des qualités du travail écrit ainsi que de la présentation et de l’ar-
gumentation déployée par l’étudiant·e au cours de la soutenance.
Les critères d’évaluation du travail écrit et de la soutenance orale peuvent être formulés comme
suit, à titre indicatif. L’étudiant·e devra se montrer capable de :
- 24 -
Un outil : la grille d’évaluation S1 et S2
La grille d’évaluation selon des critères spécifiques permet de :
• Réduire la subjectivité dans l’attribution des notes ;
• Aider les directeurs et les assesseurs à être au clair avec ce qui est attendu des étudiants ;
• Assurer la validité, la fiabilité et l’équité de l’évaluation.
• Aider les étudiants à connaitre les attendus.
Deux grilles sont à votre disposition pour les documents écrits5, l’une concerne l’écrit intermé-
diaire de S1 (cf. Annexe 1) et l’autre l’écrit final de S2 (cf. Annexe 2).
3. La soutenance
Le moment de la soutenance est à la fois celui de l’évaluation du mémoire et de la capacité d’argu-
mentation scientifique de l’étudiant (cf. Annexe 4C_ Grille d’évaluation de la présentation orale).
5 Concernant le parcours SYNVA, se reporter au document « Eléments de cadrage liés aux évaluations »
et aux MECC.
- 25 -
á Commission de soutenance
Les commissions de soutenances sont composées d’au moins deux personnes dont le directeur
ou la directrice de mémoire et un enseignant-chercheur ou un formateur titulaire d’un doctorat.
Un acteur du monde professionnel pourra être invité à participer à la soutenance. Ces commis-
sions sont présidées par un enseignant-chercheur.
Si l’étudiant souhaite poursuivre en doctorat, il est recommandé qu’un enseignant-chercheur
HDR soit présent dans la commission de soutenance.
Dans le cas d’une soutenance de mémoire présentée par un.e étudiant.e inscrit en parcours
bilingue français-allemand, il est préférable que les deux membres de la commission de soute-
nance soient germanophones.
Publicité de la soutenance
Les soutenances de mémoire de master sont publiques à moins que des éléments confidentiels
ne doivent être présentés (pour rappel, vous devez anonymer les contenus de votre travail afin
que l’on ne puisse pas reconnaître dans la mesure du possible les lieux et participants de votre
étude). Vous pouvez donc inviter à votre présentation un ami, des membres de votre famille ou
des collègues. Par correction, il est souhaitable que vous mentionniez à la commission de soute-
nance la présence de tiers avant la soutenance.
- 26 -
æ Bibliographie
Bachelard, G.(1967). La formation de l’esprit scientifique. Vrin.
Catroux, M. (2002). Introduction à la recherche-action : Modalités d’une démarche théorique cen-
trée sur la pratique. Recherche et pratiques pédagogiques en langues de spécialité. Cahiers de
l’Apliut, Vol. XXI N° 3, 8 20. https://doi.org/10.4000/apliut.4276
Clément, C. (2013). Déontologie et le cas Albert: bouclons la boucle. Journal de thérapie comporte-
mentale et cognitive, 23(2), 41-42.
Conseil national du développement des SHS. (2001). IV. L’éthique de la recherche en sciences hu-
maines et sociales. Dans Pour une politique des sciences de l’Homme et de la société: Recueil des
travaux du conseil national du développement (1998-2000) (pp. 93-114). Presses Universitaires de
France.
Simon, J.-P. (2002). Le mémoire professionnel, une formation par l’initiation aux démarches d’un
certain type de recherche. Dans A. Semal-Lebleu (dir.), Le mémoire professionnel : quelles dyna-
miques pour les enseignants ?, (p. 52-62). IUFM Nord Pas de Calais.
æ Ressources complémentaires
Abernot, Y., & Ravestein, J. (2009). Réussir son master en sciences humaines et sociales : probléma-
tiques, méthodes, outils. Dunod.
Beaud, M. (1994). L’art de la thèse : comment préparer et rédiger une thèse de doctorat, un mé-
moire de DEA ou de maîtrise, ou tout autre travail universitaire. La Découverte.
Boutillier, S., Goguel d’Allondans, A., & Uzudinis, D. (2019). Méthodologie de la thèse et du mémoire.
Studyrama.
Castellanos, M. M., Delacroix-Tessereau, F., & Vergnes, F. (2018). La recherche et le traitement de
l’information. Nathan.
Cislaru, G., Claudel, C., & Vlad, M. (2009). L’écrit universitaire en pratique : applications et exercices
autocorrectifs, rédaction d’un mémoire, présentation Powerpoint. De Boeck.
Depelteau, F. La démarche d’une recherche en sciences humaines. De la question de départ à la
communication des résultats. De Boeck.
Fragnière, J.-P. (2016). Comment réussir un mémoire : choisir son sujet, gérer son temps, savoir
rédiger. Dunod.
Giroux, S. & Tremblay, G. (2009). Méthodologie des sciences humaines : la recherche en action. ERPI.
Jaillet, A. & Mabilon-Bonfils, B. (2021). Je réussis mon mémoire de Master MEEF : Mention 1er degré :
professeur des écoles. Vuibert.
N’Da, P. (2015). Recherche et méthodologie en sciences sociales et humaines. Editions L’Harmattan.
Pelaccia, T. (2019). Comment réussir son mémoire ? 50 questions/réponses. De Boeck.
- 27 -
æ Annexes
ANNEXES
Annexe 1 : Risques inhérents à l’étude
Annexe 1 : Risques inhérents à l’étude
Réfléchissez aux risques de votre étude. Vous devez répondre par oui ou non dans le tableau
ci-dessous.
Réfléchissez aux risques de votre étude. Vous devez répondre par oui ou non dans le tableau ci-dessous.
Par exemple vous réalisez une étude sur la façon dont les éducateurs s’adressent aux familles, mais vous indiquez
aux éducateurs que vous vous intéressez à la façon dont les familles s’investissent dans la supervision de leur
enfant (ceci dans le but de ne pas fausser les interactions des éducateurs avec les familles).
Par exemple vous réalisez une étude sur le burn-out enseignant et vous interrogez les participants sur leur
consommation de psychotropes. Dans ce cas, vous pouvez normaliser la consommation de psychotropes en cas de
stress important, mais aussi indiquer que des professionnels peuvent être sollicités.
Par exemple vous réalisez une étude sur l’acquisition de la lecture et vous souhaitez faire passer une évaluation
standardisée aux élèves. Celle-ci peut générer du stress chez les élèves. Il vous faut alors anticiper cette difficulté
en relativisant l’importance de cette évaluation, mais également permettre aux parents de donner leur autorisation
de participation, de même qu’aux enfants.
Contenus, matériaux, pouvant être considérés par le ou la participant.e. comme menaçants, choquants, répugnants
?
Si oui, vous devez anticiper cette situation en prévenant les personnes que des contenus de cette nature peuvent
leur être présentés et qu’ils peuvent refuser de participer.
Par exemple vous réalisez une étude sur l’éducation à la sexualité. Certaines familles peuvent considérer que
l’école n’a pas à éduquer à la sexualité, que certaines images peuvent être choquantes. Quel que puisse être votre
point de vue par rapport à ces prises de position, dès lors que votre recherche sort du cadre imposé par les
programmes, il vous faudra
--28
33--
Est-ce que les renseignements collectés sont des données à caractère personnel ?
Une donnée à caractère personnel est toute information relative à une personne physique susceptible
d'être identifiée, directement ou indirectement.
Par exemple : un nom, une photo, une empreinte, une adresse postale, une adresse mail, un numéro de téléphone,
un numéro de sécurité sociale, un matricule interne, une adresse IP, un identifiant de connexion informatique, un
enregistrement vocal, etc. https://www.cnil.fr/fr/cnil-direct/question/une-donnee-caractere-personnel-cest-quoi
Si oui, vous devez limiter au maximum le recueil de ces informations et éviter dans la rédaction toute possibilité
d’identification, même si la personne est d’accord !
Par exemple vous réalisez une étude sur les dispositifs inclusifs comme les ULIS dans les lycées. Vous interrogez
des CPE sur la façon dont s’organise le dispositif. Il vous faudra anonymer au maximum votre mémoire pour que
les personnes ne puissent pas être reconnues lors de la présentation du corpus, et ce même si ces personnes sont
d’accord pour être identifiées !
Par exemple vous vous intéressez à la pédagogie universitaire et vous recueillez les informations suivantes par
questionnaire en ligne :
- Discipline enseignée à l’INSPE
- Tranche d’âge
- Genre
- Statut (PRAG/PRCE/PREC– Enseignant/chercheur)
- Lieu d’enseignement
Avec ce genre d’informations il est probable que vous puissiez identifier la personne qui a répondu à votre
questionnaire sur certaines disciplines où il y a peu d’enseignants et d’enseignantes.
Evitez de collecter des informations qui ne vous seront pas utiles pour votre mémoire !
Les données sensibles forment une catégorie particulière des données personnelles.
Ce sont des informations qui révèlent la prétendue origine raciale ou ethnique, les opinions politiques, les
convictions religieuses ou philosophiques ou l'appartenance syndicale, ainsi que le traitement des données
génétiques, des données biométriques aux fins d'identifier une personne physique de manière unique, des
données concernant la santé ou des données concernant la vie sexuelle ou l'orientation sexuelle d'une personne
physique.
https://www.cnil.fr/fr/definition/donnee-sensible
Par exemple vous vous intéressez à l’enseignement du fait religieux à l’école. Les conditions de recueil de ces
données s’inscrivent dans le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD). Vous devez à tout prix éviter
de collecter ce type de données, au risque d’être dans l’illégalité !
- 34 -
- 29 -
Annexe 2A : Exemple de note d’informations aux parents
Annexe 2A : Exemple de note d’informations aux parents
Madame, Monsieur,
Nous vous sollicitons pour la participation de votre enfant, dans le cadre d’une étude en sciences humaines et sociales sur le
développement des facteurs motivationnels en classe de cycle 2 et 3.
Cette étude s’inscrit dans le cadre d’un projet de recherche réalisé par des étudiants de l’institut national supérieur du
professorat et de l’éducation afin de valider leur diplôme d’enseignant. Ces étudiants sont en collaboration avec l’équipe
éducative de votre école et avec des chercheurs en psychologie de l’Université de Strasbourg.
L’objectif de cette étude est de mesurer les facteurs motivationnels liés aux apprentissages du cycle 2 au cycle 3 : bien-être
scolaire, intérêt scolaire, sentiment d’efficacité personnel et estime de soi. Pour ce faire, vos enfants répondront à quelques
questions (élèves de Cp au CE2 :1 passation, durée d’environ 25 minutes ; élèves de Cm1 au Cm2 : 2 passations à une semaine
d’intervalle, durée de 15 minutes chacune) et cela aura lieu en classe. Nous n’attendons pas de réponses particulières de la
part de votre enfant en dehors de sa propre perception, il n’y a donc pas de bonnes ou de mauvaises réponses, il ne s’agit pas
d’une évaluation. Les questions seront présentées de manière ludique afin d’accompagner la motivation des enfants.
La participation de votre enfant à cette étude sera anonymisée par nos soins et les informations recueillies (code de l’enfant,
les questionnaires et les consentements) sont confidentielles et utilisées dans le cadre strict de cette étude. Les consentements
seront gardés pendant une durée de 10 ans à compter de la publication dans une enveloppe scellée au bureau de Mme/Mr ….
à l’INSPE et les données numériques seront stockées sur les serveurs de l’université de Strasbourg. Les enseignants ainsi que
l’établissement scolaire n’auront pas accès à ces données, seuls les chercheurs en lien avec cette étude ont accès aux données.
Vous ou votre enfant avez la possibilité de retirer votre consentement à tout moment sans avoir à donner de justification.
Si vous le souhaitez, nous pouvons aussi échanger plus directement avec vous, afin de vous expliquer l'objectif précis de cette
étude. N’hésitez pas à nous contacter en utilisant les adresses électroniques ci-dessous :
…………………………………………………………………………………..
Si vous acceptez de participer, les étudiants futurs enseignants viendront dans la classe de votre enfant afin de passer des
questionnaires en groupe classe.
Si vous êtes d’accord pour que votre enfant participe à cette étude, merci de remplir la rubrique « consentement du parent
pour l’enfant ».
En espérant une réponse positive de votre part, nous vous remercions de l’attention que vous porterez à notre demande.
- 35 -
- 30 -
Annexe
Annexe2B
2B::Consentement
Consentement dede participation
participation
Consentement du parent
Il a été proposé à mon enfant de participer à une étude en sciences humaines et sociales sur le développement des facteurs
motivationnels en classe de cycle 2 et 3.
Les investigateurs Mme/Mr ………………………………. m’ont précisé que je suis libre d’accepter ou de refuser.
J’accepte librement et volontairement que mon enfant participe à la recherche « Développement des facteurs
motivationnels en classe de cycle 2 et 3 ».
Date :
Signature de l’investigateur
- 36 -
- 31 -
Consentement de l’élève
Il m'a été proposé de participer à une étude sur le développement des facteurs motivationnels en classe de cycle 2 et 3.
Les chercheurs m’ont précisé que je suis libre d’accepter ou de refuser de participer à cette étude.
J’accepte librement et volontairement de participer à cette étude « Développer les facteurs motivationnels en classe de
cycle 2 et 3 ».
Date :
Signature de l’élève :
Date :
Signature de l’investigateur :
- 37 -
- 32 -
Annexe 3A : Page de titre
Annexe 3A : Page de titre
soutenu par
[Prénom et Nom]
le [date jj mois aaaa]
- 33 - - 38 -
Annexe 3B : Attestation d’authenticité
Annexe 3B : Attestation d’authenticité
ATTESTATION D’AUTHENTICITE
Ce document rempli et signé par l’étudiant(e) doit être inséré dans tous les documents soumis àévaluation,
après la page de garde.
• certifie que le document soumis ne comporte aucun texte ou son, aucune image
ou vidéo, copié sans qu’il soit fait explicitement référence aux sources selon les
normes de citation universitaires.
Fait à . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . le . . . . . . . . . . . . . .
Signature de l’étudiant(e) :
Tout plagiat réalisé par un étudiant constitue une fraude au sens du décret du 13 juillet 1992 relatif à la procédure disciplinaire
dans les Établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSSCP). La fraude par plagiat relève de la
compétence de la section de discipline de l’Université. En général la sanction infligée aux étudiants qui fraudentpar plagiat
s’élève à un an d’exclusion de tout établissement d’enseignement supérieur.
- 39
- 34 - -
Annexe 3C::Contrat
Annexe 3C Contratdede diffusion
diffusion du mémoire
du mémoire
Conclu entre :
L’auteur du mémoire ; ci-après « l’auteur » :
Nom :
Prénom :
Adresse :
Intitulé du mémoire :
Et l’Université de Strasbourg, ci-après : « l’Université »Représentée par
:
Préambule
Soucieuse de donner davantage de reconnaissance aux mémoires réalisés au sein de ses facultés,
l’Université entend favoriser leur diffusion sur support papier et sur support électro-nique, dans le
respect des droits de propriété intellectuelle de leurs auteurs.
Les autorisations accordées à l’Université, sur la base du présent contrat, ne sont pas exclusives et
l’auteur conserve toute liberté de publier ou de diffuser son travail sous quelque autre forme que ce
soit et sous sa propre responsabilité.
Dans cette optique, les parties ont convenu de ce qui suit :
ARTICLE 1 : L’auteur autorise l’Université à effectuer les diffusions suivantes de son mémoiredans le
respect de ses droits de propriété intellectuelle :
OUI Impression
NON
immédiatement à compter du autorisée interdite
Diffusion en ligne contrôlée
(intranet universitaire, ENT)
Diffusion par internet
ARTICLE 2 : La présente autorisation de diffusion n’a pas de caractère exclusif. L’auteur conserve par
conséquent toutes les possibilités de cession de ses droits et de diffusion concomitante de son
mémoire.
ARTICLE 3 : Le support diffusé devra porter le nom de l’auteur et mentionner que ses droits de
propriété intellectuelle sont réservés.
ARTICLE 4 : Afin de permettre les opérations de mise en ligne, le cas échéant, l’auteur autorise la
reproduction et la représentation, l’adaptation et la modification de son mémoire pourle monde entier.
- 40 -
- 35 -
a) Le droit de reproduction comporte le droit de reproduire le mémoire en nombre illimité, sur tout
support connu ou inconnu à ce jour, quel que soit le mode d’enregistrement (ana- logique,
numérique ou mécanique) et le type de support (CD-ROM, DVD-ROM, disque dur, disquette,
bande, disque ou carte magnétique, mémoire vive ou morte, microfilm, microfiche, papier).
b) Le droit de représentation comporte le droit de diffuser et de communiquer le mémoire au
public par l’usage du satellite, du câble, par voie hertzienne ou par réseau numérique ou
analogique.
c) Les droits d’adaptation et de modification comportent, le cas échéant, la faculté de modifier la
forme et le format du mémoire en fonction des contraintes techniques imposéespar l’archivage,
le stockage, la sécurité, et la diffusion électronique du mémoire.
ARTICLE 5 : La présente autorisation est consentie pour toute la durée légale de protection de la
propriété littéraire et artistique offerte par la loi française à l’auteur, ses ayants-droits ou
représentants, y compris les prolongations qui pourraient être apportées à cette durée.
ARTICLE 6 : L’auteur certifie que la version électronique de son mémoire remise à l’Universitéen vue
des diffusions autorisées est conforme à la version officielle de son travail remise à ses enseignants.
ARTICLE 7 : L’auteur autorise l’Université à signaler librement l’existence de son mémoire, y compris
au moyen de mots-clés et d’un court résumé, sur tout document de toute forme technique et selon
toute diffusion.
ARTICLE 8 : L’auteur garantit à l’Université qu’il détient tous les droits nécessaires à la diffusion de
son mémoire. En particulier, il certifie avoir obtenu toutes les autorisations écrites nécessaires des
titulaires des droits sur les œuvres reproduites, partiellement ou intégrale- ment (textes,
illustrations, logos, extraits multimédia, etc…), et s’engage à retirer tout docu- ment et toute
information pour lesquels il ne les aurait pas obtenues.
ARTICLE 9 : L’auteur s’engage à obtenir une autorisation écrite du chef d’entreprise pour la diffusion
du mémoire.
ARTICLE 10 : L’auteur est responsable du contenu de son mémoire, il s’engage à ce titre à dé-charger
l’Université de toute action en responsabilité encourue de ce chef.
Par ailleurs, l’Université se réserve le droit de suspendre la consultation ou d’effacer le mémoire de
ses serveurs après avoir pris connaissance du caractère manifestement illicite du contenu en cause.
ARTICLE 11 : La signature du présent contrat n’oblige en aucun cas l’Université à diffuser
effectivement le mémoire.
ARTICLE 12 : L’auteur est conscient du fait qu’en l’état des techniques, l’Université ne dispose pas des
moyens suffisants pour interdire toute consultation ou copie non autorisée du mémoire. Elle ne peut
être tenue pour responsable du fait des agissements illégaux de tiers. L’auteur conserve cependant
tous ses droits d’ester en justice afin de protéger son droit de propriété sur le mémoire.
- 41 -
- 36 -
ARTICLE 13 : L’auteur peut résilier l’autorisation de diffusion à tout moment en avisant l’Université
par lettre recommandée avec accusé de réception. Dans ce cas, l’Université retire le mémoire dans
un délai raisonnable.
ARTICLE 14 : L’auteur autorise la diffusion de son mémoire à titre gracieux.
ARTICLE 15 : Les autorisations données à l’Université valent tant pour elle que pour tout
établissement à caractère universitaire qui lui serait substitué ou avec lequel elle entretiendrait des
relations régulières et suivies.
ARTICLE 16 : En cas de changement de législation concernant la diffusion des travaux à caractère
universitaire, les parties conviennent dès à présent de maintenir les clauses du présent contrat
compatibles avec la nouvelle législation.
ARTICLE 17 : La loi applicable au présent contrat est la loi française. Le tribunal compétent pour juger
de tout contentieux lié au présent contrat est le Tribunal de Grande Instance de Strasbourg.
- 42 -
- 37 -
Annexe 3D : trame indicative du mémoire de master
Annexe 3D : trame indicative du mémoire de master
Master
Trame indicative du mémoire de Master
Page de garde - Voir modèle. Le titre résume le sujet du mémoire et contient déjà une dimension problématique
Pages liminaires Page de titre – Attestation d’authenticité – Remerciements
Sommaire Il présente la structure de votre mémoire avec les numéros de page. Il mentionne également la
bibliographie et les annexes.
Introduction L’introduction présente la thématique générale du mémoire en précisant plus particulièrement
(1 à 2p) a) les enjeux personnels, les préoccupations qui vous ont amenés à choisir ce thème de travail,
b) les enjeux professionnels de ce thème.
A l’issue de l’introduction vous devez formuler en quelques lignes, en une seule phrase, laquestion
à laquelle vous ambitionnez de répondre. Cette question est une question pragmatique,
professionnelle qui commence par « Comment …. ».
- -4439- -
Annexe d’évaluation l’écrit intermédiaire er degré (Note … /20)
Annexe4A
4A :: Grille
Grilled’évaluation de de
l’écrit intermédiaire S1 MEEF
S11MEEF
degré
1er(Note … /20)
Critères Détail des critères 0.5 - 1 point Totalité des points attribués
Pas d'assimilation du thème ou trop peu. Assimilation importante du thème.
Argumentation confuse, contradictoire ou aberrante. Très bonne argumentation et présentation de la littérature.
Présentation insuffisante, confuse ou comportant de Revue de la littérature largement approfondie et
nombreuses erreurs. fortement cohérente avec les objectifs.
Assimilation et retranscription Pas de connexions visibles avec le thème et les objectifs.
du thème, des cadres Revue de la littérature très insuffisante voire inadaptée au vue
théoriques et des recherches du thème.
dans le domaine
( … /5)
- 40 -
littérature pertinente en Peu d'articulation entre et à l'intérieur des parties. Organisation très claire.
regard de la problématique Qualité rédactionnelle Peu de fluidité dans la présentation. Articulations et liens entre et à l'intérieur des parties
(… /11) (articulation, structuration des Peu de structure permettant de cerner le fil conducteur menant visibles.
idées, fluidité du discours) aux objectifs. Fil conducteur mis en relief.
(… /3) Idées mal structurées et difficiles à suivre. Structuration des idées permettant une lecture aisée et
agréable.
Richesse de la littérature (peu satisfaisante) : Richesse de la littérature (très satisfaisante) :
- Nombre inférieur à 10 références; - Nombre supérieur à 15 références;
- Redondance des ressources dans ce qui est proposé; - Références très récentes (moins de 5 ans) et diversifiées
Utiliser des sources de qualité
- Aucune lecture en langue étrangère. (formats, types);
(scientifiques, récentes,
- Lectures en langue étrangère
diversifiées)
(… /3)
Présentation des objectifs (objectif principal et secondaire) peu Objectifs compréhensibles (objectif principal et
ou pas compréhensible et dont les liens avec la littérature et le secondaire) et corrects au vue de la littérature, pouvant
Question de recherche- cadre théorique sont absents ou difficiles à percevoir. comporter quelques erreurs.
objectifs (clarté, faisabilité,
pertinence)
(... /2)
Définir précisément la
question de recherche (...
/4) Hypothèses mal formulées, partielles ou non argumentées. Hypothèses formulées et argumentées. Proposition de
Hypothèses et Présentation de la méthode, mais elle semble être peu adéquate procédure d'intervention adéquate et présentée de façon
opérationnalisation (ébauche avec la question de recherche. générale.
de méthodologie : participants,
matériel, procédure...)
(... /2)
Respect, en général mais pas systématiquement des normes de Bon respect des normes de présentation des éléments
présentation des éléments (page de garde, sommaire, ...) et de (page de garde, sommaire, ...) et de la structure du texte.
la structure du texte. Annexes éventuelles et bibliographie Présence d'annexes éventuelles et bibliographie aux
comportant quelques erreurs. normes.
Formalisation (normes, clarté
- 41 -
Présentation générale de qualité moyenne. Présentation générale de bonne qualité.
formelle)
Présentation générale du (... /2)
mémoire
(…/4)
Formulé de manière correcte et compréhensible, expression Formulé de manière habile et compréhensible; agréable à
Qualité de la rédaction: parfois rocailleuse ou compliquée mais concevable. lire, langage clair et juste.
(langage et formulation)
(... /2)
- 42 -
d'une revue de la Qualité rédactionnelle (articulation,
littérature Peu de fluidité dans la présentation. Articulations et liens entre et à l'intérieur des parties visibles.
structuration des idées , fluidité du
pertinente en Peu de structure permettant de cerner le fil conducteur menant Fil conducteur mis en relief.
discours)
regard de la aux objectifs. Structuration des idées permettant une lecture aisée et
(… /2)
problématique Idées mal structurées et difficiles à suivre. agréable.
(… 8) Richesse de la littérature (très satisfaisante) :
Richesse de la littérature (peu satisfaisante) :
Utiliser des sources de qualité - Nombre supérieur à 20 références;
- Nombre inférieur à 10 références;
(scientifiques, récentes, diversifiées) - Références très récentes (moins de 5 ans) et diversifiées
- Redondance des ressources dans ce qui est proposé;
(… /3) (formats, types);
- Aucune lecture en langue étrangère.
- Lectures en langue étrangère.
Définir précisément Présentation des objectifs (objectif principal et secondaire) peu ou Objectifs compréhensibles (objectif principal et secondaire)
la question de Question de recherche-objectifs pas compréhensible et dont les liens avec la littérature et le cadre et corrects au vue de la littérature.
recherche (clarté, faisabilité, pertinence) théorique sont absents ou difficiles à percevoir. Hypothèses précises, correctement formulées et
(… /3) Hypothèses mal formulées, partielles ou non argumentées. argumentées.
Présentation satisfaisante de la démarche (ou procédure) et
du contexte de recherche (matériel, outils, séances, corpus
Explicitation de la Présentation peu satisfaisante de la démarche (ou procédure) et
…).
méthodologie de Présentation du design (participants, du contexte de recherche (matériel, outils, séances, corpus …).
Choix adéquates et bonne argumentation de ces différents
recherche matériel, procédure) Choix pas adéquates et sans argumentation de ces différents
choix.
(…/4) choix.
Précise les éléments concernant les biais à éviter au moment
de la collecte des données, ou du corpus, ...
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résultats obtenus et tirer des Analyse succincte sans liens avec les concepts théoriques retenus.
analyse réflexive Les conclusions replacent les résultats obtenus dans un
conclusions Discussion pas suffisamment étayée.
(… /3) contexte plus général, en lien avec les concepts théoriques.
Organisation, du respect du planning, Ne prend pas d’initiatives, attend que son directeur lui dise quoi Bon respect des rendez-vous et le travail est préparé en
Implication
des initiatives personnelles prises par faire. amont pour chacune des rencontres.
(…/3)
l’étudiant Ne prépare pas en amont les rencontres avec son directeur. Prends des initiatives dans les tâches à réaliser
Annexe 4C : Grille d’évaluation de la présentation orale S2 MEEF 1er degré (Note … /10)
Annexe 4C : Grille d’évaluation de la présentation orale S2 MEEF 1er degré (Note … /10)
Critères Détail des critères 0.5 - 1 point Totalité des points attribués
Organisation de la Le public a des difficultés à suivre la L'étudiant présente sa communication en suivant un fil rouge logique et
Organise la structure et adapte sa
communication communication car l'étudiant saute d'un intéressant, ce qui permet au public de suivre.
présentation en fonction du temps
(… /2) élément à l'autre. Respect du temps de présentation (10 min. =/- 1)
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portée de son travail. Aboutit à des préconisations concrètes qui peuvent apporter soit une
valeur scientifique, soit professionnelle.
Communication
Aisance à parler face à un public Le ton de la voix est bas, avale ses mots, ce qui L'étudiant utilise une voix claire et correcte, prononce les mots de manière
orale
rend la présentation incompréhensible. précise et le public comprend aisément la présentation.
(… /1.5)