Notification D Avis A Tiers Detenteur
Notification D Avis A Tiers Detenteur
Notification D Avis A Tiers Detenteur
SIP MAMERS
COORDONNÉES DU DÉBITEUR 13 RUE AUX CORDIERS BP 160
M BIARD FRANCK EMILE FELI 72600 MAMERS
Date de naissance : 13/08/1968
RÉFÉRENCE(s) SATD :
Identifiant : 1584615850251
SATD n° : 20 00001
Codique : 072028
SERVICE À CONTACTER :
SIP MAMERS
M BIARD FRANCK EMILE FELI
13 RUE AUX CORDIERS BP 160
72600 MAMERS
17B RUE ALBERT CAMUS
Références bancaires : BDFEFRPPCCT 72120 ST CALAIS
RATD V4.2 25032021
Madame, Monsieur,
Le comptable public,
MENJOU NADINE
MODES DE PAIEMENT
• Par virement :
- compte bancaire : FR25 3000 1005 0372 3E00 0000 053
- référence à rappeler dans l'ordre de virement : 1584615850251
• Par chèque :
- libellez votre chèque à l'ordre du Trésor Public et envoyez-le à l'adresse suivante : SIP MAMERS 13 RUE AUX CORDIERS BP
160 72600 MAMERS
- référence à joindre à votre chèque : 1584615850251
• Par carte de paiement (CB/Visa/Mastercard) : auprès de votre centre des finances publiques muni du présent document.
DÉTAIL DES SOMMES DUES
Total 152,00
Acompte(s) versé(s) 0,00
TEXTES DE RÉFÉRENCE
Les articles L. 262 et L. 273 A du livre des procédures fiscales (LPF), les articles L. 112-4, L. 162-1, L. 162-2, L. 211-2, L. 211-3, R. 112-5, R. 162-1 à R. 162-9, R. 211-9, R. 211-19,
R. 211-20, R. 211-22, R. 213-10 du code des procédures civiles d’exécution, les articles L. 3252-2, L. 3252-3, L. 3252-5, L. 3252-8, L. 3252-9, L. 3252-12, R. 3252-2 à R. 3252-5,
R. 3252-37, R. 3252-38 du code du travail, l'article L. 1617-5 du code général des collectivités territoriales, l'article L. 312-7 du code de l'action sociale et des familles, l'article L. 553-4
du code de la sécurité sociale, l'article R. 423-21 du code de la construction et de l'habitation, l'article 34 de l'ordonnance n° 2004-632 du 1er juillet 2004 relative aux associations
syndicales de propriétaires et l'article 55 de la loi n°2010-1658 du 29 décembre 2010 de finances rectificatives pour 2010 peuvent être consultés sur le site Légifrance
(http://www.legifrance.gouv.fr).
CONTESTATION DE LA SATD
Modalités
Si vous souhaitez contester la régularité formelle de la SATD, vous pouvez former un recours administratif préalable devant l’autorité compétente mentionnée à l’article L. 281 du LPF
et à l’article R* 281-1 du LPF dans un délai de 2 mois à compter de la notification de la SATD.
Si vous souhaitez contester le montant de la dette compte tenu des paiements effectués ou votre obligation au paiement, hormis pour les amendes et condamnations pécuniaires,
vous pouvez former un recours administratif préalable devant l’autorité compétente mentionnée à l’article L. 281 du LPF et à l’article R* 281-1 du LPF dans un délai de 2 mois à
compter de la notification de la SATD.
Si vous souhaitez contester l’exigibilité de la dette, hormis pour les amendes et condamnations pécuniaires, vous pouvez former un recours administratif préalable devant l’autorité
compétente mentionnée à l’article L. 281 du LPF et à l’article R* 281-1 du LPF dans un délai de 2 mois à compter de la première SATD permettant d’invoquer ce motif.
En matière d’amende, la contestation admise pour tout autre motif que la régularité formelle doit être adressée au service compétent à savoir, en matière d’amende forfaitaire majorée
l’officier du ministère public mentionné sur l’avis d’amende, et en matière de forfait post-stationnement majoré, la Commission du contentieux du stationnement payant.
Si vous contestez la SATD, le paiement des sommes dont vous êtes redevable n’est pas différé jusqu’à ce que l’autorité compétente se soit prononcée. Vous êtes toujours tenu de
régulariser votre situation auprès du « Service à contacter ». Le tiers saisi auprès duquel j’ai pratiqué la SATD reste soumis à son obligation de me verser les sommes saisies.
Art. L.281 - Les contestations relatives au recouvrement des impôts, taxes, redevances, amendes, condamnations pécuniaires et sommes quelconques dont la perception incombe
aux comptables publics doivent être adressées à l'administration dont dépend le comptable qui exerce les poursuites.
Lorsque les contestations portent sur le recouvrement de créances détenues par les établissements publics de l’État, par un de ses groupements d’intérêt public ou par les autorités
publiques indépendantes, dotés d’un agent comptable, ces contestations sont adressées à l’ordonnateur de l’établissement public, du groupement d’intérêt public ou de l’autorité
publique indépendante pour le compte duquel l’agent comptable a exercé ces poursuites.
Les contestations relatives au recouvrement ne peuvent pas remettre en cause le bien-fondé de la créance. Elles peuvent porter :
1° Sur la régularité en la forme de l'acte ;
2° A l’exclusion des amendes et condamnations pécuniaires, sur l’obligation au paiement, sur le montant de la dette compte tenu des paiements effectués et sur l’exigibilité de la
somme réclamée.
Les recours contre les décisions prises par l'administration sur ces contestations sont portés, dans le cas prévu au 1° devant le juge de l'exécution. Dans les cas prévus au 2°, ils sont
portés :
a) Pour les créances fiscales, devant le juge de l'impôt prévu à l'article L. 199 ;
b) Pour les créances non fiscales de l'Etat, des établissements publics de l'Etat, de ses groupements d'intérêt public et des autorités publiques indépendantes, dotés d'un agent
comptable, devant le juge de droit commun selon la nature de la créance ;
c) Pour les créances non fiscales des collectivités territoriales, des établissements publics locaux et des établissements publics de santé, devant le juge de l'exécution.
Art. R*281-1 - Les contestations relatives au recouvrement prévues par l'article L. 281 peuvent être formulées par le redevable lui-même ou la personne tenue solidairement ou
conjointement.
Elles font l'objet d'une demande qui doit être adressée, appuyée de toutes les justifications utiles, au chef du service compétent suivant :
a) Le directeur départemental ou régional des finances publiques du département dans lequel a été prise la décision d’engager la poursuite ou le responsable du service à compétence
nationale si le recouvrement incombe à un comptable de la direction générale des finances publiques ;
b) Le directeur interrégional des douanes et droits indirects ou le responsable du service des douanes à compétence nationale ou, en Guadeloupe, en Guyane, à La Réunion et à
Mayotte, le directeur régional des douanes et droits indirects, pour les poursuites émises dans leur ressort territorial.
Art. R*281-3-1 - La demande prévue par l'article R* 281-1 doit, sous peine d’irrecevabilité, être présentée dans un délai de deux mois à partir de la notification :
a) De l'acte de poursuite dont la régularité en la forme est contestée ;
b) À l’exclusion des amendes et condamnations pécuniaires, de tout acte de poursuite si le motif invoqué porte sur l’obligation au paiement ou sur le montant de la dette sans remettre
en cause le bien-fondé de la créance ;
c) À l’exclusion des amendes et condamnations pécuniaires, du premier acte de poursuite permettant de contester l’exigibilité de la somme réclamée.
Art. R*281-4 - Le chef de service ou l’ordonnateur mentionné à l’article L. 281 se prononce dans un délai de deux mois à partir du dépôt de la demande, dont il doit accuser réception.
Pour les créances des collectivités territoriales, de leurs établissements publics et des établissements publics de santé, le chef de service se prononce après avis du comptable
assignataire à l’origine de l’acte.
Si aucune décision n'a été prise dans ce délai ou si la décision rendue ne lui donne pas satisfaction, le redevable ou la personne tenue solidairement ou conjointement doit, à peine de
forclusion, porter l'affaire devant le juge compétent tel qu'il est défini à l'article L. 281. Il dispose pour cela de deux mois à partir :
a) Soit de la notification de la décision du chef de service ou de l’ordonnateur mentionné à l’article L. 281 ;
b) Soit de l'expiration du délai de deux mois accordé au chef de service ou à l’ordonnateur mentionné à l’article L. 281 pour prendre sa décision.
La procédure ne peut, à peine d'irrecevabilité, être engagée avant ces dates.
Art. R*281-5 - Le juge se prononce exclusivement au vu des justifications qui ont été présentées au chef de service. Les redevables qui l’ont saisi ne peuvent ni lui soumettre des
pièces justificatives autres que celles qu'ils ont déjà produites à l'appui de leurs mémoires, ni invoquer des faits autres que ceux exposés dans ces mémoires.
Lorsque le juge de l'exécution est compétent, l'affaire est instruite en suivant les règles de la procédure à jour fixe.
DIFFICULTÉS DE PAIEMENT
Si vous rencontrez des difficultés pour régler la somme restant due, vous pouvez contacter le « Service à contacter » désigné au recto, qui est seul compétent pour vous répondre.
Les informations recueillies pourront donner lieu à l'exercice d'un droit d’accès et de rectification auprès du centre des finances publiques et d'un droit de réclamation auprès de la
Commission nationale de l'informatique et des libertés dans les conditions prévues par la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 modifiée et le règlement européen 2016/679 du 27 avril 2016.