Analyse de Système (As)
Analyse de Système (As)
Analyse de Système (As)
INTRODUCTION
1.) Information
1-1 Définition
L’information est un renseignement quelconque en rapport avec les
éléments compréhensibles tels que : des gestes, des textes, des images,
des sons, des vidéos qui peuvent être collectés, traités, conservés ou
communiqué. Une information est constituée de deux éléments : des
données et un sens qui dépendent de chaque individu.
1-2 Caractéristiques de l’information
Une information est caractérisée par sa forme (orale, écrite, visuelle) et
son mode de présentation. On distingue :
➔ Les informations alphabétiques : ce sont des informations
exprimées à partir des lettres alphabétiques.
Exemples : Module, Journal
➔ Les informations numériques : ce sont des informations qui sont
représentés à partir des caractères numériques tels que les
chiffres.
Exemples : 1999, 2017
➔ Les informations alphanumériques : ce sont des informations
exprimées à partir des lettres de l’alphabet, des chiffres, divers
signes d’opérations (addition, soustraction, multiplication et
division) et tous les signes habituels d’écriture tels que : les
virgules, les guillemets.
Exemples : Louis 117, Suspect 95
➔ Les informations qualitatives : ce sont des informations qui
exprime une description.
Exemples : Savon BF, Tissu VLISCO
1-3 Traitement de l’information
Traiter une information, c’est la soumettre à diverses opérations
(mesure, décompte, comparaison, ...) de manière à la modifier afin
d’obtenir des résultats. Les modes de traitement de l’information qui
existe sont :
Le traitement manuel
Le traitement électronique ou traitement automatique
Le traitement mécanique
Le traitement mental
2.) Ordinateur
L’ordinateur est une machine électronique qui permet de traiter les
informations de manière rationnelle (en suivant un raisonnement) et
automatique (même en absence de l’homme). Le traitement des
informations par l’ordinateur consiste à exécuter une série d’ordre appelée
instructions qui constitue un programme et qui agissent sur les données
en vue de produire un résultat.
Par analogie avec l’homme, un ordinateur possède un cerveau appelé
micro-processeur qui l’aide à effectuer des calculs et d’autres tâches et une
mémoire centrale dans laquelle le micro-processeur dépose des
informations qu’il ne peut pas retenir. Dans un ordinateur, on trouve deux
types d’informations : les instructions et les données.
3.) Informatique
3-1 Définition
Le mot informatique provient de la contraction de « information » et
« automatique »
Infor|mation
Informatique
Auto |matique
L’informatique est une science qui s’occupe du traitement rationnel et
automatique de l’information par une machine électronique appelée
ordinateur.
3-2 Domaine d’application de l’informatique
Actuellement, l’informatique intervient dans tous les secteurs d’activités
de la vie quotidienne :
➢ En mathématiques
➢ En intelligence artificielle
➢ En économie
➢ En atelier de fabrication
➢ En entreprise
➢ En linguistique
➢ En médecine
➢ En éducation
4.) Système informatique
Un système est un ensemble d’éléments qui fonctionne en combinaison
pour donner un résultat. L’homme à un système constitué d’un corps
qu’on peut toucher et de l’esprit qu’on ne peut pas toucher. De la même
façon, le système informatique est constitué de deux parties qui sont :
La partie matérielle qu’on peut toucher appelée matérielle ou
Hardware.
La partie immatérielle qu’on ne peut pas toucher et qui vit à l’intérieur
du matérielle appelé logicielle ou Software.
CONCLUSION
INTRODUCTION
1.) Le clavier
Le clavier (keyboard en Anglais) est un périphérique d’entrée qui permet
soit de saisir des caractères (lettres, chiffres, signes mathématiques) ou
soit d’effectuer certaines opérations comme : la sélection d’un texte, le fait
de copier et de coller ailleurs ou d’effacer des parties d’un texte. Le clavier
se matérialise sur l’écran du micro-ordinateur au cours d’une saisie de
texte par la présence d’un trait verticale clignotant appelée « curseur de
texte ». Le curseur de texte indique l’endroit ou sera écrit le prochain
caractère lors d’une saisie de texte. Il existe plusieurs modèles de claviers
qui sont différents selon les langues (Français, Anglais, Espagnol,
Allemand, Chinois, Arabe...)
Le clavier utilisé en France est appelé le clavier « AZERTY » et les lettres
A, Z, E, R, T, Y sont les six premières touches alphanumériques. Le clavier
utilisé dans les pays anglophones est appelé le clavier « QWERTY ». Le
clavier utilisé dans les pays allemands est appelé le clavier « QWERTZ ».
Le clavier se décompose généralement en quatre parties de base et une
partie optionnelle. Ces quatre parties de base sont :
Les touches alphanumériques
Les touches directionnelles
Les touches de fonctions
Le pavé numérique
1-1 Fonctionnement du clavier
D’une manière simplifiée, l’appui sur une touche envoie un code,
appelée « scan code » à l’ordinateur. Le système d’exploitation associe ce
code à un caractère, qui est par exemple affiché à l’écran si l’utilisateur
effectue un traitement de texte. La gestion logicielle du clavier de ses
touches est spécifique à chaque système d’exploitation. Tout caractère
affiché dépend de la page de code utilisé (ASCII ou un code sur les
systèmes d’exploitation plus récents). La partie électronique des claviers
comporte en général des microcontrôleurs qui envoie les scan code et
qui contrôle l’allumage ou l’extinction des voyants du clavier.
1-2 Différents types de claviers
Les claviers sont classés d’une part suivant leurs technologies de
fabrication et d’autres part selon leurs nombres de touches.
1-2-1 Classification des claviers suivant la technologie de fabrication
On distingue, suivant la technologie de fabrication : les claviers à
membranes, les claviers chicklets, les claviers mécaniques, les
claviers optiques, les claviers virtuels, les claviers matriciels.
• Les claviers à membranes
Un clavier à membrane ou clavier souple, est constitué de
multiples couches de polyester imprimé qui constituent le décor
et les différents circuits. L’appui sur une touche va déformer
une première membrane qui va entrer en contact avec une
membrane située en dessous, la connexion électrique permet
finalement d’obtenir le caractère désiré. Leur coût de production
est réduit et la plupart des claviers sont conçu selon ce principe.
• Les claviers chicklets
Un clavier chicklet est un clavier au touche séparée et plate. Les
touches ne se touche pas ce qui peut éviter d’en enfoncer deux
en même temps et cela confère au clavier un confort et une
finesse particulière.
• Les claviers mécaniques
Pour le clavier mécanique, le doigt appui sur une touche qui
comprime un ressort jusqu’à un point critique où celui-ci sort
brutalement de son axe, un interrupteur est actionné après
dégagement latérale du ressort, ce qui permet d’envoyer un
signal électrique à l’unité centrale et finalement d’afficher le
caractère désiré.
• Les claviers optiques
Pour le clavier optique, le doigt appui sur une touche qui
s’enfonce et provoque l’interruption d’un faisceau lumineux. Un
signal électrique est ainsi transmis à l’unité centrale et
finalement le caractère désiré est affiché à l’écran.
• Les claviers virtuels
La notion de clavier virtuel ou visuel, renvoie au clavier qui
apparaît sur un écran d’ordinateur. Ils servent à faciliter l’usage
de l’ordinateur aux handicapés (problème d’accessibilité) à
remplacer un clavier hors service ou inexistant (exemple sur les
smartphones ou les tablettes tactile) à saisir un texte dans une
langue étrangère, à saisir des mots de passe de façon sécurisée
sur certains sites.
• Les claviers matriciels
Le clavier matriciel ou orthogonal, à un emplacement vertical
des touches. Cela permet d’avoir une plus grande précision de
frappe.
1-2-2 Classification des claviers suivant le nombre de touches
En suivant le nombre de touches, il existe quatre types de claviers
PC ; les trois premiers ont été inventé par IBM. Le dernier est la
conséquence d’une modification dû à la sortie du Microsoft Windows
95. Ainsi nous avons : le clavier à 83 touches de types PC/XT, le
clavier à 84 touches de types PC/AT, le clavier à 102 touches appelé
aussi clavier étendu, le clavier à 105 touches compatible Microsoft
Windows 95.
➔ Les claviers de types PC/XT
Il s’agit du premier clavier pour les ordinateurs PC de type XT. Ce
clavier à la particularité d’être dissocié de l’ordinateur,
contrairement à tous les ordinateurs de l’époque (Apple II, Amiga)
pour lesquels l’ordinateur et le clavier formait une seule et même
entité. Ce clavier comportait 83 touches mais était critiqué pour la
disposition des touches et leur disproportion (notamment les
touches Maj et Entrer) qui était trop petite et mal placé. D’autre
part, la communication entre le clavier et l’unité centrale était à
sens unique ce qui signifie que le clavier ne pouvait pas comporter
d’afficheur de type « LED ».
➔ Les claviers de types PC/AT
Il possède 84 touches. Ce type de clavier corrige les erreurs de son
prédécesseur en redimensionnant notamment les touches Maj et
Entrer. D’autre part, ce clavier est bidirectionnel (c’est-à-dire qu’il
peut afficher des états à l’aide d’afficheur « LED ». De plus, la carte
mère équipant les ordinateurs PC de type AT comportait un
microcontrôleur permettant de paramétrer :
o La fréquence de répétition c’est-à-dire le nombre de
caractères envoyés par seconde lorsqu’une touche est
enfoncée.
o Le délai de répétition : c’est le temps au bout duquel
l’ordinateur considère que la touche est enfoncée afin de
différencier une simple pression de touche d’un enfoncement
de touche prolongée.
➔ Le clavier étendu
Les nouveaux ordinateurs compatible IBM lancée en 1986 était
équipée de clavier à 102 touches. Ce clavier comporte différents
blocs. Les touches de fonction ont été déplacés sur le bord
supérieur du clavier à partir de ce modèle et les touches de contrôle
de curseur représentant les flèches ont été ajouté à ce clavier.
➔ Le clavier compatible Windows 95
Microsoft a défini trois (03) nouvelles touches permettant
d’effectuer des raccourcis vers des fonctionnalités de Windows.
Ces trois (03), nouvelles touches sont à gauche et à droite de la
barre d’espace. Il s’agit de :
▪ La touche Windows () gauche
▪ La touche Windows () droit
▪ La touche application qui affiche le menu contextuel
1-3 Connectique du clavier
Le clavier se connecte à l’unité centrale soit par l’intermédiaire du
connecteur PS/2 dont le port est coloré en violet ou soit par
l’intermédiaire d’un connecteur USB.
2.) La souris
La souris (mouse en Anglais) est un périphérique d’entrée permettant soit
de pointer et de sélectionner des données à l’écran ou soit de lancer ou
d’interrompre les applications. La souris se symbolise à l’écran par la
présence d’un pointeur dont la forme de base est une flèche.
2-1 Type de souris
Il existe des souris à fil et les souris sans fil. Parmi les souris à fil, on
distingue : la souris mécanique et la souris optique.
2-1-1 Les souris à fil
On distingue :
❖ Les souris mécaniques dont le fonctionnement est fondé sur une
boule (en plastique ou caoutchouc) encastrée dans un châssis
en plastique qui transmet son mouvement à un autre dispositif
interne à la souris.
❖ Les souris optiques sont capables de détecter le mouvement de
la souris par analyse de la surface sur laquelle elle glisse. Elle
fonctionne grâce à un système optique, elles sont
reconnaissable grâce à une source de lumière sous la souris.
2-1-2 Les souris sans fil (Cord Less Mousse)
Les souris sans fil sont de plus en plus populaires car elles peuvent
être utilisé sans être physiquement relié à l’ordinateur. Ce qui
provoque une sensation de liberté.
Ils existent également plusieurs catégories de souris sans fil selon la
technologie utilisé :
➔ Les souris infrarouges (« IR » pour Infrared en Anglais)
Ces souris sont utilisées avec un récepteur infrarouge connecté à
l’ordinateur. La portée de ce type de souris est de quelques mètres
en vision direct au même titre que la télécommande d’un poste
téléviseur.
➔ Les souris hertziennes
Ces souris sont utilisées avec des récepteurs hertziens. La portée
de ce type de dispositif est d’une dizaine de mètres sans
nécessairement avoir une ligne visuelle avec l’ordinateur.
La plupart des souris sans fil sont alimentés par des piles ou soit
par une batterie. Les souris sans fil peuvent avoir un temps de
réponse plus long que les souris filaires selon la technologie
employée.
2-2 Connectiques de la souris à fil
Les souris d’un micro-ordinateur de type PC se connecte à l’ordinateur
par l’intermédiaire du connecteur PS/2 dont le port est coloré en
couleur « Verte » ou soit par l’intermédiaire d’un connecteur USB.
2-3 Différentes parties d’une souris
Une souris est constituée généralement d’un bouton clic droit, d’un
bouton clic gauche, d’une molette ou roulette de défilement et de bouton
de navigation optionnelle. Dans le cas de la souris mécanique, une boule
située en dessus de la souris permet de déplacer le pointeur qui apparaît
sur l’écran pour pouvoir sélectionner un objet ou un dossier alors que
dans le cas de la souris optique c’est le système optique qui est chargé
du déplacement du curseur.
Clic gauche : c’est une pression instantanée exercée avec l’index
sur le bouton de la souris. Le clic gauche permet d’activer l’élément
pointé par le curseur.
Exemple : Un clic gauche sur le menu démarrer ouvrira le menu
démarrer.
Le clic gauche est constamment utilisé et sert principalement à
deux choses. Dans les menus, il sert à sélectionner l’objet (le
logiciel ou le dossier) que l’on désire et à l’ouvrir. Le simple clic sur
un fichier, sélectionne le fichier mais ne l’ouvre pas. Pour l’ouvrir,
il faut alors faire double clic. Le double clic c’est le fait de cliquer
rapidement deux fois sur le bouton gauche de la souris.
Clic droit : c’est une pression instantanée exercée sur le bouton
droit de la souris. Ce clic permet d’afficher un menu contextuel
pour interagir avec l’élément pointé sur le curseur. Le clic droit
permet notamment : la copie, le déplacement, la suppression ou le
changement de nom de l’élément pointé si c’est un fichier ou un
dossier par exemple.
Exemple : Un clic droit sur la barre des tâches permettra d’afficher
les options comme propriété qui permet de personnaliser la barre.
3.) Les écrans d’ordinateurs
Un écran ou moniteur est un périphérique de sortie qui permet d’afficher
les informations fournis par la carte graphique de l’ordinateur. On
distingue généralement deux familles d’écran :
Les écrans à tube cathodique (notée CRT pour Cathod Ray Tube) dont
l’aspect est volumineux et lourd. Il possède des composants qui
favorise la consommation électrique.
Les écrans plats numériques
On distingue, parmi les écrans plats numériques :
▪ Les écrans plat LCD (Liquid Crystal Display) utilisent des
cristaux liquides qui jouent le rôle de guide de la lumière pour
afficher des images. Les écrans LCD sont peu encombrants,
léger et possède une faible consommation électrique. Les écrans
souffrent par contre de certaines limites, notamment dans le
rendu des couleurs. Les écrans LCD sont classés en fonction du
type de DALLE (bloc en vert qui entre dans la constitution d’un
écran) de l’écran.
▪ Les écrans plats DLP (Digital Light Processing)
▪ Les écrans à plasma offrent un rendu de couleur fidèle mais ces
écrans sont coûteux et ont une durée de vie limité.
▪ Les écrans à LED (Light Emitting Diode) sont plus rapides en
thème d’affichage des images par rapport aux écrans LCD
plastiques. De plus, ils donnent une qualité d’image amélioré.
3-1 Caractéristiques techniques
Un écran est subdivisé en de petits points d’affichage appelé « Pixel »
Les moniteurs sont souvent caractérisés par les informations
suivantes :
✓ La taille de l’écran : elle se calcule en mesurant la longueur de la
diagonale de l’écran et elle s’exprime en pouce.
Un pouce équivaut à 2,54 cm. En anglais le pouce est l’unité appelé
« Inch ». Les tailles standards des écrans d’ordinateurs sont les
suivants :
Une diagonale de 36 cm environ équivaut à 14 pouces (14 "")
Une diagonale de 38 cm environ équivaut à 15 pouces (15 "")
Une diagonale de 43 cm environ équivaut à 17 pouces (17 "")
Une diagonale de 48 cm environ équivaut à 19 pouces (19 "")
Une diagonale de 53 cm environ équivaut à 21 pouces (21 "")
✓ La définition de l’écran : c’est le nombre de pixels que l’écran peut
afficher. Ce nombre est généralement comprise entre 640 X 480
(640 pixels en longueur et 480 pixels en largeur) et 2048 X 1536
(2048 pixels en longueur et 1536 pixels en largeur). Il ne faut pas
confondre la définition de l’écran et sa taille. En effet, un écran
d’une taille donnée peut avoir différentes définitions. Cependant
de façon générale, les écrans de grandes tailles possèdent une
meilleure définition. Le tableau ci-dessous donne les définitions
consignées selon la :
Diagonale Définitions
✓ Le format de l’écran
C’est le rapport de la longueur de l’écran par sa largeur. Le format
de l’écran est sans unité.
Exemple : Soit un écran de longueur 40 cm et de largeur 30 cm.
Le format F de cet écran est égal à :
𝐿 40
𝐹= ⟺𝐹= F = 1,33
𝑙 30
✓ La résolution de l’écran
Elle détermine le nombre de pixels sur une surface égale à 1 pouce
au carré (2, 54 cm * 2, 54 cm). Le DPI (Dot Per Inch) permet de
connaître le nombre de pixels se trouvant sur une surface égale à
un pouce carré. Une résolution de 300 DPI signifie 300 pixels sur
une longueur égale à un pouce et 300 pixels sur une largeur égale
à un pouce. On a donc au total 90.000 pixels sur une surface d’un
pouce carré.
✓ Le rafraîchissement de l’écran
C’est le nombre d’image s’affichant sur l’écran par seconde. Cette
valeur varie généralement entre 50 et 144 Hertz. Plus cette
fréquence est élevée, meilleur est le confort visuel.
✓ Le pas de masque (Dot Pitch)
C’est la distance qui sépare deux pixels. Plus le pas de masque est
petit, plus l’image est précise. Un pas de masque inférieure ou
égale (≤) à 0, 25 cm procure un bon confort d’utilisation tandis que
les écrans possédants les pas de masque supérieur ou égale (≥) à
0, 28 cm ne sont pas conseillés.
3-2 Connectiques de l’écran
L’écran se connecte à l’unité centrale à travers :
➢ Le port VGA (Video Graphics Array) ou port DB 15 (couleur bleue).
➢ Le port DVI (Digital Visual Interface) généralement coloré en blanc.
➢ Le port HDMI (High Definition Multimedia Interface) est une
interface numérique qui transmet à la fois l’image et le son. On le
retrouve sur les micro-ordinateurs à haut définition.
➢ Le port « Display Port » est un concurrent du port HDMI en thème
d’affichage à haute définition.
4.) Le scanner
Un scanner (numériseur en Français) est un périphérique d’entrée
permettant de transformer un document papier en image numérique
disponible sur l’écran de l’ordinateur. On distingue généralement trois (03)
types de scanner :
◆ Le scanner à plat permettant de numériser un document plaçant à
plat contre un vitre. Il s’agit du type de scanner le plus courant.
◆ Le scanner à main possédant une taille réduite, il doit être déplacé
manuellement sur le document par bond successive afin de le
numériser en entier.
◆ Le scanner par défilement faisant défiler le document devant une
fente lumineuse fine afin de le numériser à la manière télécopieur.
4-1 Caractéristiques techniques d’un scanner
Un scanner est généralement caractérisé par les éléments suivants :
◼ La résolution exprimée en Point Par Pouce notée PPP ou DPI (Dot
Per Inch) montre la finesse de la numérisation. L’ordre grandeur
de la résolution d’un scanner est d’environ 1200 à 2400.
▪ La résolution horizontale est fortement dépendante de la
qualité et du nombre de capteurs
▪ La résolution verticale est intimement liée à la précision du
moteur à l’intérieur du scanner.
◼ Le format du document
Selon leur grosseur, les scanners sont capables d’accueillir
différents formats de documents généralement le format A4 (21 cm
* 29, 7 cm) et le format A3 (29,7 cm * 42 cm).
◼ La vitesse d’acquisition exprimée en Page Par Minute (PPM)
représente la capacité du scanner à numériser un grand nombre
de page par minute. Elle dépend du format du document ainsi que
les câbles de raccordement du scanner.
4-2 Connectiques d’un scanner
Un scanner se connecte à l’unité centrale à travers l’interface énuméré
ci-après :
L’interface Firewire ou I-Link pour les ordinateurs de type MAC.
Il s’agit de l’interface de pré-direction car son débit est
particulièrement adapté à ce type de périphérique.
L’interface USB (Universal Serial Bus)
Il s’agit d’une interface standard conseillé si l’ordinateur ne
dispose pas de connecteur Firewire.
L’interface SCSI (Small Computer System Interface)
C’était l’interface de pré-direction pour le scanner à la fin des
années 1990. Le standard SCSI est actuellement délaissé au profit
du Firewire et de USB.
Le port parallèle
Lent par nature, le port parallèle est de moins en moins utilisé et
ce port doit être éviter si l’ordinateur possède des interfaces
précédentes.
Remarque : D’autres éléments peuvent être pris en compte lors du
choix d’un scanner. Il s’agit des caractéristiques physiques du
scanner.
4-3 Caractéristiques physiques d’un scanner
Un scanner est caractérisé sur le plan physique par les paramètres
suivants :
⚫ L’encombrement correspondant aux dimensions physiques du
scanner ;
⚫ Le poids ;
⚫ La consommation électrique exprimée en Watts (W) ;
⚫ Les températures de fonctionnement et de stockage ;
⚫ Le niveau sonore ;
Un scanner peut s’avérer très brillant, ce qui peut considérer une
nuisance non négligente.
⚫ Les accessoires ;
⚫ Les pilotes et les manuels d’utilisation sont habituellement fournis
mais il faut s’assurer que les câbles de raccordement sont fournis.
Dans le cas contraire il faut les acheter à part.
4-4 Fonctionnement d’un scanner
Le principe de fonctionnement d’un scanner est le suivant :
Le scanner parcourt le document ligne par ligne ;
Chaque ligne est décomposée (en points élémentaires)
correspondant à des pixels ;
Un capteur analyse la couleur de chacun des pixels ;
La couleur de chaque pixel est décomposée selon trois (03)
couleurs (Rouge, Vert, Bleu) ;
Chacun de ses composants de couleur est mesurée et représentée
par valeur. Pour une qualification sur 8 bits chacune de ses
composants aura une valeur comprise entre 2 Mo (Méga octets) et
225.
5.) Imprimante
L’imprimante (printer en Anglais) est un périphérique de sortie permettant
de reproduire sur papier des données (textes, images, ...) provenant de
l’unité centrale. Il existe plusieurs catégories d’imprimantes dont les plus
courantes sont :
Imprimante à marguerite
Imprimante matricielle
Imprimante à jet d’ancre
Imprimante à bulle d’ancre
Imprimante à LED
Imprimante laser
Imprimante multifonctions
5-1 Caractéristiques d’une imprimante
L’imprimante est généralement caractérisée par les paramètres
suivants :
◼ La vitesse d’impression exprimée en Page Par Minute (PPM)
représente la capacité à imprimer un grand nombre de pages par
minute. Pour les imprimantes couleurs on distingue
habituellement la vitesse d’impression en Monochrome et en
couleur.
◼ La résolution exprimée en Point Par Pouce (PPP) ou DPI montre la
finesse d’impression. Elle est parfois différente pour une
impression monochrome, couleur ou photo.
◼ Le temps de préchauffage représente le temps d’attente nécessaire
avant la première impression. En effet, une imprimante ne peut
imprimer à la fois s’il lui est nécessaire d’atteindre une certaine
température pour fonctionner de manière optimale.
◼ La mémoire embarquée
Il s’agit de la quantité de mémoire permettant à l’imprimante de
stocker les travaux d’impressions. Plus la quantité de mémoire est
élevée, plus le fil d’attente des travaux peut être très important.
◼ Le format de papier
Selon leur taille, les imprimantes sont capables d’accueillir
différentes tailles de documents généralement aux formats A4 plus
rarement aux formats A3. Certaines imprimantes sont munies
d’un dispositif pour graver sur support tel que les CD/DVD.
◼ L’alimentation en papier
Il s’agit du mode de chargement de l’imprimante caractérisant la
façon dont le papier vierge est stocké. L’alimentation en papier à
notamment son importance selon l’emplacement prévu pour
l’imprimante. Les principaux modes d’alimentation en papier sont
les suivantes :
▪ L’alimentation par BAC utilise une source d’alimentation de
papier interne dont sa capacité représente le nombre
maximal de feuille de papier que le BAC peut contenir.
▪ L’alimentation par plateau est un mode d’alimentation
manuel permettant d’insérer ls feuilles par petite quantité
(environ une certaine). Le plateau est parfois horizontal ou
vertical.
◼ Les cartouches sont rarement standards et dépendent fortement
de la marque et du modèle d’imprimante. Ainsi, certains
constructeurs privilégient des cartouches multicolores tandis que
d’autres propose des cartouches d’encres séparés. Les cartouches
d’encre séparés sont globalement plus économiques car il n’est pas
rare qu’une couleur soit plus utilisée que les autres. Il est
intéressant de regarder le coût d’impression à la feuille, la taille de
la boîte d’encre à notamment son importance. Plus la boîte d’encre
est petite moins le coût d’impression sera élevé et meilleur sera la
qualité d’image.
5-2 Connectiques d’une imprimante
Les principales interfaces permettant de connecter une imprimante à
une unité centrale sont les suivants :
⚫ L’interface USB
⚫ Le port parallèle
⚫ L’interface réseau RJ45 : ce type d’interface permet de partager
très facilement une imprimante entre plusieurs ordinateurs. Il
existe également des imprimantes WIFI, accessible via un réseau
sans fil. Si votre imprimante ne dispose pas d’interface réseau,
vous pouvez tout de même la brancher à votre réseau (local ou
WIFI) grâce à un boîtier spécifique appelé serveur d’impression.
5-3 Modes d’impression
On distingue deux (02) modes d’impression sur papier :
L’impression en mode recto seul ou encore en mode simple
L’impression en mode recto-verso ou en mode DUPLEX
L’impression en recto seul permet d’imprimer sur une seule page
d’une feuille papier alors que l’impression recto-verso permet
d’imprimer sur les deux côtés d’une feuille. Il existe le mode recto-
verso manuel et le mode recto-verso automatique.
6.) Modem externe
Le modem est un périphérique d’entrée et sortie ou mixte utilisé pour
transmettre des informations entre plusieurs ordinateurs par
l’intermédiaire d’un support de transmission filaire (ligne téléphonique par
exemple) ou pour relier un ordinateur à un réseau téléphonique. Les
ordinateurs fonctionnent de façon numérique ; ils utilisent le codage
binaire (une série de 0 et de 1). Mais les lignes téléphoniques sont
analogiques. Les signaux numériques passent d’une valeur à une autre, il
n’y a pas de milieu. Le modem convertit en signal analogique le signal
numérique provenant de l’unité centrale afin de le moduler par la ligne
téléphonique.
Ainsi, le modem module les informations numériques en ondes
analogiques. En sens inverse, il démodule les données analogiques pour
les convertis en numérique. Le mot « Modem » est ainsi un acronyme pour :
Modulateur/Démodulateur.
6-1 Caractéristiques techniques d’un modem externe
La principale caractéristique d’un modem, c’est sa vitesse de
transmission. Celle-ci est exprimée en bit par seconde ou en kilobit par
seconde. Pour des vitesses de transmission plus élevée, on utilise les
modems spécifiques tels que :
✓ Les modems ADSL (Asymetrical Digital Subscriber Line)
✓ Les modems GSM (Groupe Special Mobile ou Groupe System
Mobile)
6-2 Connectiques d’un modem externe
L’interface utilisé par les modems externes est soit :
◆ Le port série DB-9
◆ Le port USB
7.) La webcam
Une webcam ou encore webcaméra est un périphérique d’entrée qui
produit une vidéo dont l’objectif est sa transmission en direct à travers un
réseau comme l’Internet.
7-1 Qualités des images captés par une webcam
Les images captées par une webcaméra sont principalement
destinées à être transmise par le biais d’un réseau. Pour ne pas
dépasser le débit d’un tel réseau, l’image produite est compressée afin
d’obtenir une image de faible qualité tant en définition (souvent moins
le standard VGA) c’est-à-dire moins de 640 * 480 points quant aux
rafraîchissement (nombre d’image par seconde). Ainsi pour assurer une
qualité d’image convenable, il est préférable de disposer d’une
connexion à haut débit par exemple ADSL.
Certains appareils photo numériques intègre également une
fonction webcam. Ceux qui n’en dispose pas peuvent être utilisé comme
webcam s’il dispose d’une sortie vidéo et que l’ordinateur dispose d’une
entrée vidéo.
7-2 Connectiques d’une webcam
Une webcam peut se connecter à un ordinateur par l’intermédiaire :
Un port USB
Un port Firewire
Les ports parallèles
Un port série
Un port réseau Ethernet ou un réseau WIFI
Une carte d’acquisition vidéo interne ou externe
Un convertisseur d’entrée analogique et sortie numérique USB
Un serveur vidéo entré en analogique / sortie numérique Ethernet
8.) Les lecteurs externes
8-1 Différents types de disques optiques
Il existe principalement trois types de disque optiques qui sont :
Les CD (Compact Disk) ;
Les DVD (Digital Versatile Disk) ;
Les BR-D (Blu-Ray Disk).
La capacité d’un DVD équivaut environ à sept fois celle d’un CD tandis
que la capacité d’un blu-ray équivaut environ à cinq fois celle d’un DVD.
Un CD peut être inscriptible une fois (CD-R) ou réinscriptible (CD-RW).
Les DVD existent en simple couche ou en double couche (DVD-DL). On
distingue deux normes aux niveaux des DVD : les DVD - et les DVD +.
Les DVD + sont plus adaptés au stockage des données que les DVD -.
Les DVD comme les CD sont aussi soit inscriptible ou soit réinscriptible.
On assiste à la grande famille de DVD : DVD ± R ; DVD ± RDL ; DVD ±
RW ; DVD ± RWDL. Les Blu-Ray Disk (BR-D) existent en simple couche
ou en double couche et sont inscriptible (BD-R) ou réinscriptible (BD-
RE).
8-2 Lecteurs CD-ROM externe
Le lecteur CD-ROM permet de lire les données enregistrées sur les CD-
ROM.
8-2-1 Fonctionnement
La lecture des informations sur un CD se fait à l’aide d’un faisceau
de lumière laser émis par une lentille. Lorsque la lumière laser frappe
une zone non gravée, un détecteur peut recevoir la lumière réfléchir
sur la couche métallique du CD-ROM. Lorsque la lumière frappe une
zone gravée, la lumière réfléchir n’atteint pas le détecteur (par suite
d’un phénomène physique appelée « Interface de phase ». Tout se
passe comme si elle n’était pas réfléchie.
8-2-2 Caractéristiques
Un lecteur de CD-ROM est caractérisé par les éléments suivants :
Sa vitesse
Son temps d’accès qui représente le temps moyen pour aller
d’une partie du CD à une autre.
8-2-3 Connectiques
L’interface utilisé pour connecter un lecteur CD-ROM à un ordinateur
est un port USB.
8-3 Lecteurs DVD-ROM et lecteur DVD-RAM
Un lecteur DVD-ROM permet de lire des informations enregistrées sur
les DVD-ROM alors qu’un lecteur DVD-RAM permet de lire des
informations enregistrées sur les DVD-RAM.
8-3-1 Caractéristiques techniques
Un lecteur DVD se caractérise par les éléments suivants :
Les formats d’images qu’il supporte
Le codage des signaux audio et vidéo
La définition de l’image affiché à l’écran de l’ordinateur
Le système de fichier
L’exploitation ou non d’un disque dur
8-3-2 Connectiques
Un lecteur DVD-ROM ou DVD-RAM se connecte à un micro-
ordinateur à travers un port USB.
8-4 Lecteur de carte mémoire externe
Un lecteur de carte mémoire externe permet de lire les différentes
cartes mémoire que l’on trouve dans les téléphones portables, dans les
appareils photos, etc.
Les cartes mémoires se diffèrent par leur format. On distingue :
La carte SD (Secure Digital)
La carte CF (Compact Flash)
La carte MF (Memory Flash)
La carte SM (Smart Media)
La carte MS (Memory Stick)
La carte MMC (Multi-Media Card)
La carte PCMCIA (Personal Computer Memory Card International
Association)
Connectique
Le lecteur de carte mémoire externe se connecte à l’unité centrale à travers
un port USB.
9.) Graveur externe
Le graveur est un périphérique mixte qui permet d’écrire et de lire des
données soit sur des CD-R et des CD-RW, soit sur des DVD-R ou des DVD-
RW ou soit sur des BD-R et BD-RW.
Un logiciel de gravure est un ensemble de programmes informatique qui
permettent d’écrire sur des CD, des DVD des Blu-Disk. Dans certain
système d’exploitation, les fonctionnalités de gravure sont intégrées dans
l’explorateur de fichiers.
10.) Disque dur externe
Un disque dur externe est un périphérique de stockage permettant de
stocker des données, mais aussi d’augmenter la capacité de stockage d’un
périphérique tel qu’un ordinateur. Il existe trois types de disque dur
externes :
◼ Les disques durs externes de bureau à 3, 5"" (3, 5 pouces)
◼ Les disques durs externes portables à 1, 3"" ; 1, 8"" et 2, 5""
◼ Les disques durs externes multimédia
Connectiques d’un disque dur externe
Un disque dur externe se connecte à un micro-ordinateur par
l’intermédiaire :
▪ D’un port USB
▪ D’un port Firewire
▪ D’un port HDMI, RCA ou S-Vidéo pour les disques durs externes
multimédia.
11.) Haut-parleurs
Un haut-parleur est un périphérique de sortie qui permet de rendre
audible le son provenant de la carte son de l’unité centrale.
11-1 Caractéristiques techniques
Un haut-parleur possède plusieurs caractéristiques techniques dont il
faut tenir compte en fonction de l’utilisation que l’on compte faire du
haut-parleur. Ce sont :
⚫ La puissance efficace ou RMS (Root Mean Square) du haut-parleur
exprimé en Watt ;
⚫ La puissance crête exprimée en Watt (puissance maximale que le
haut-parleur peut supporter) ;
⚫ La bande passante exprimée en Hertz correspond à la plage de
fréquence que le haut-parleur peut restituer ;
⚫ La sensibilité et l’efficacité exprimée en Décibel : il s’agit de la
pression acoustique mesurée à un mètre du haut-parleur,
lorsqu’on lui fournit un niveau de 2, 83 V efficace (correspond à
une puissance d’un watt surchargée de 8 ohms) ;
⚫ L’impédance exprimée en ohm
11-2 Connectiques
Un haut-parleur se connecte à un micro-ordinateur soit à travers un
port USB et un port audio de couleur (vert, noir et gris).
12.) Mannettes de jeux
C’est un dispositif d’entrée chargé de transmettre les actions d’un joueur
à un unité centrale. Il existe des mannettes à fil et des mannettes sans-fil.
Connectique des mannettes de jeux à fil
Les mannettes de jeux à fil se connecte à un micro-ordinateur à travers un
port USB.
CONCLUSION
Les composants externes d’un micro-ordinateur sont essentiellement des
périphériques qui permettent de communiquer avec l’extérieur. Il est
important de connaître les caractéristiques les plus courants afin de faciliter
le choix et l’utilisation de ces derniers.
Chapitre 3 : Etude des composants internes de l’unité centrale
INTRODUCTION
1 Orange +3 ,3 V
2 Orange +3,3 V
3 Noire 0 V(masse)
4 Rouge +5 V
5 Noire 0 V(masse)
6 Rouge +5 V
7 Noire 0 V(masse)
10 Jaune +12 V
11 Jaune +12 V
12 Orange 0 V(masse)
13 Orange +3,3 V
14 Bleu -12 V
15 Noire 0 V(masse)
17 Orange 0V
18 Bleu 0V
19 Noire 0V
20 Blanche Réservée
21 Rouge +5 V
22 Rouge +5 V
23 Rouge +5 V
24 Noire 0 V (masse)
Une alimentation de type ATX seule, branche sur le secteur (120 à 230
V) mais non connectée à la carte mère ne s’allumera pas, seule la broche 9
(+5 V ; violet) fournir du 5 volts. Pour que l’alimentation se mettre en service
il faut court circuiter la broche 16 (vert, Power On) ou (PS_ON) avec une
broche (18 ; noire) par exemple qui représente la masse. Le signal Power On
est un signal délivré par la carte mère que les systèmes d’exploitation tel que
Windows utilisent pour allumer ou éteindre l’ordinateur de façon
automatique. Le signal (+5 V SB) appelé signal de niveau logiciel est toujours
présent sur la carte mère qui reçoit donc en permanence un courant très
faible que l’ordinateur soit allumé ou éteint. Le signal Power Good (PG,
alimentation correcte) informe le processeur que la tension suffisante est
disponible sur la carte mère et que le démarrage du micro-ordinateur peut
commence sur le plan logiciel.