M 10 Irrigation
M 10 Irrigation
M 10 Irrigation
Plans du cours
Introduction
1- La salinité
1- Définitions
2- La température
3- Hygrométrie de l’air
4- L’évapotranspiration
1- Utilisation du lysimètre
2- Utilisation du tensiomètre
1- L’irrigation gravitaire
2- Aspersion mécanisée
4- Nano irrigation
1- Station de tête
2- Bassin
3- La filtration
5- Les accessoires
1- Exercices
Introduction :
Dans les régions ou la pluviométrie est insuffisante et aléatoire, l’irrigation est indispensable pour
rentabiliser les productions. Elle représente cependant une opération délicate, qui peut s’avérer
extrêmement couteuse, contribuer à l’assèchement des nappes souterraines, ou encore modifier de
manière irréversible certaines propriétés chimiques des sols.
Tout le problème consiste à déterminer le niveau optimal de l’irrigation et comme les dégâts causés
par un manque d’eau sont plus visibles que l’inverse, les exploitants ont tendance à apporter
systématiquement trop d’eau, ce qui, à long terme peut être plus néfaste qu’un déficit hydrique. En
conséquence, l’attention doit porter non seulement sur le dimensionnement des équipements, mais
aussi sur la maitrise de l’eau d’irrigation.
Le besoin en eau des cultures dépend de plusieurs paramètres que l’on peut regrouper en trois
catégories, chacune représentée par un paramètre global :
1- La salinité:
Les principaux sels responsables de la salinité de l’eau sont : Ca2+ ; Mg2+ ; Na+ ; Cl- ; SO42- ; HCO3-
La salinité est exprimée par la conductivité électrique (EC) exprimée en milli siemens/cm (ms/cm) ou
mmhos/cm ou ds/m.
1 mS/cm = 640 ppm de sel. (Une ppm correspond à un milligramme par litre d’eau).
• Une solution de pH < 7 est dite acide ; plus son pH s'éloigne de 7 (diminue) et plus elle est
acide ;
• Une solution de pH > 7 est dite basique ; plus son pH s'éloigne de 7 (augmente) et plus elle
est basique.
Afin de baisser le pH, il est possible d’injecter de l’acide phosphorique ou l’acide nitrique peuvent
être utilisés mais l’acide sulfurique est le plus utilisé.
Afin de calculer la quantité d’acide nécessaire pour abaisser le pH à la valeur désirée, on peut prendre
un seau de 10L rempli d’eau d’irrigation et tranquillement rajouter l’acide en prenant soin de bien
Par la suite quand la quantité d’acide à été déterminée pour faire baisser le pH de notre échantillon, il
nous reste à faire une règle de 3 pour corriger le volume total d’eau qui passe dans le système.
L'eau, très présente sur terre et par ailleurs, indispensable à la survie de tout être vivant animal ou
végétal.
- Liquide : La pluie (Gouttelettes provenant des nuages), Les nuages (Formés par accumulation, dans
l'atmosphère, de gouttelettes d'eau) et le brouillard (Minuscules gouttelettes d'eau en suspension dans
l'air).
- Solide : La neige (Minuscules cristaux de glace en forme d'étoiles), La givre (Gel du brouillard) et La
glace (Gel de l'eau tombée au sol).
- Gazeux : La vapeur d'eau (Gaz qui devient visible sous l'effet de la condensation).
L’eau peut se trouver dans plusieurs états à l’intérieur d’un sol, ces états se distinguent
essentiellement par l’intensité des forces qui lient l’eau et les grains.
On distingue classiquement :
Facteurs climatiques agissant sur le pouvoir évaporant de l’air : température, humidité de l’air, vent,
rayonnement et la pluviométrie.
La plante puise dans le sol, l'eau et les sels minéraux qui lui permettent d'assurer son développement
normal (nutrition, croissance et reproduction).
D'autres échanges d'eau entre la plante et son environnement ont lieu : en effet, une plante transpire,
cependant cette transpiration dépend de l’espèce, de la variété, du stade végétatif, et du milieu dans
lequel elle se développe.
Vitesse du vent, humidité de l’air, température de l’air, la durée d'ensoleillement, les précipitations,
l'évaporation du bac et l'ETP gazon.
Tous ces facteurs climatiques vont faciliter la planification ou la conduite de l’irrigation, ainsi les
irrigations superflue seront éviter.
1- Définitions :
Irrigation : consiste à apporter de l’eau aux plantes cultivées, par des procédés divers, afin de permettre
leur développement normal lorsque les conditions de pluviométrie naturelle sont insuffisantes.
Humidité absolue : c’est la quantité en grammes de vapeur d’eau [g vapeur/kg air sec] présente dans
un volume d'air sec donné (1m3) et sa valeur reste constante même si la température de l’air varie en
restant supérieure à la température du point de rosée.
L’humidité relative (HR) : s'exprime en pourcentage (%) et correspond au rapport, entre la quantité
d’eau que contient l’air (humidité absolue) et la quantité maximale qu’il peut contenir pour une
température donnée et ceci avant de se condenser.
Les variations de la température influencent directement l'humidité relative, de sorte que l'humidité
relative baisse quand la température s’élève et augmente lorsque la température baisse.
Température de l’air : est une valeur de la température lue sur un thermomètre dont le bulbe est
entouré d'un coton mouillé d'eau distillée. En technique de refroidissement, c'est la température
humide de l'air qui est utilisée pour dimensionner les tours de réfrigération atmosphérique.
Elaboré par MOURADI Yassine 7
Irrigation
Evapotranspiration : dissipation dans l'air de l'eau contenue dans les sols, les végétaux, les lacs, les mers
ou autres nappes d'eau. L'évapotranspiration englobe l'ensemble de cette eau qui passe du sol à l'atmosphère.
Durée d'ensoleillement : ou durée de l'insolation effective, est un indicateur climatique qui mesure la
durée temporelle pendant laquelle un endroit, un lieu est soumis à l'insolation effective, c'est-à-dire
soumis à un rayonnement solaire suffisamment intense et puissant pour produire des ombres bien
distinctes.
Chaleur latente de vaporisation : Désigne la quantité de chaleur nécessaire pour faire passer un
gramme de substance de l'état liquide à l'état gazeux, à température constante.
La réserve utile (RU): correspond à la quantité d’eau contenue dans la tranche de sol explorée par les
racines, entre le point de ressuyage (Hcc) et le point de flétrissement (Hpf).
Le point de ressuyage (Hcc) : est l'instant auquel le sol est ressuyé, quand l'eau libre a quitté le substrat
par simple gravité.
Point de flétrissement (Hpf) : Le point de flétrissement correspond au seuil en deçà duquel l’humidité
du sol ne permet plus à la plante de prélever l'eau dont elle a besoin, car la réserve utile en eau du sol a
été entièrement consommée.
Dose d’irrigation : est la quantité d’eau nécessaire pour ramener l’humidité de la couche du sol
asséchée par les racines à la capacité au champ.
La capacité au champ : est la capacité de rétention maximale en eau du sol. Elle correspond plus
précisément à la quantité d'eau retenue, après 48 heures d'égouttement de l'eau libre vers la nappe
phréatique, par un sol préalablement gorgé d'eau (par des pluies ou un arrosage intensif).
Fréquence d’irrigation : est le nombre d’arrosages qu’il faut pour combler le déficit agricole.
Stress hydrique = Déficit hydrique : est le stress subi par une plante placée dans un environnement qui
amène à ce que la quantité d'eau transpirée par la plante soit supérieure à la quantité qu'elle absorbe.
Ce stress se rencontre en période de sécheresse, mais aussi lors de l'augmentation de la salinité du
milieu (conduisant à l'abaissement du potentiel osmotique du milieu) ou en période de froid.
Le coefficient cultural (Kc) : c'est un coefficient qui relie l'ETM et l'ET0. On peut aussi dire que c'est
le rythme de consommation d'eau d’une culture.
2- La température:
- Les thermomètres à maxima- minima à mercure soient utilisés pour des mesures courantes à la ferme.
- La température du sol est mesurée par des thermomètres sondes enfoncées à la profondeur voulue.
- Le thermographe contenu dans l’abri météo, donne l’allure des variations de températures.
3- Hygrométrie de l’air:
L’évaporation ou pouvoir évaporant de l’air (% d'humidité relative de l'air) peut se mesurer à l’aide
de divers appareils:
a- L’hygromètre à cheveux.
b- Le psychromètre.
L’hygromètre à cheveux
Psychromètre
4- L’évapotranspiration:
L’évapotranspiration correspond à la quantité d’eau totale transférée du sol vers l‘atmosphère par
l’évaporation au niveau du sol et par la transpiration des plantes, elle est en fonction du : climat, du
végétal et du sol.
C’est la quantité d’eau réellement perdue par une surface ou un couvert végétal exprimée
généralement en mm/j. Elle varie en fonction de :
- La culture considérée.
C’est la valeur de l’ETR dans les conditions d’une bonne alimentation en eau de la plante. Lorsque
l’eau n’est pas un facteur limitant au niveau de l’absorption racinaire, la régulation stomatique est
minimale et l’évapotranspiration est maximale.
L’ETM dépend :
- De la culture considérée.
- Du stade phénologique.
- Des conditions météorologiques observées.
Culture Stade Kc
1- Utilisation du lysimètre:
Les expérimentations réalisées dans la région d’Agadir ont montré que cet apport supplémentaire de
20 % à la cuve lysimétrique dans le cas de la tomate et du poivron a permis une amélioration du
rendement.
• Si le rapport D/A*100 est de 10 à15% il faut apporter la même quantité que la vielle.
• Si le rapport D/A * 100 est supérieure à 20% il faut diminuer l’eau d’irrigation.
• Si rapport D/A * 100 est inférieur à 10 % il est faut augmenter la quantité d’apport.
2- Utilisation du tensiomètre:
Le tensiomètre est constitué d'un cylindre en plastique creux muni à la base d'une bougie poreuse.
Le tensiomètre est enfoui dans le sol de façon à ce que la bougie soit placée à la profondeur de
mesure voulue.
Lorsque le sol s'assèche, l'eau diffuse à travers la bougie poreuse vers le sol.
Principe de fonctionnement:
3- Bac classe A :
Le bac de classe A est recommandé par l'Organisation météorologique mondiale. Il s'agit d'une cuve
ronde de 1 220 mm de diamètre et 254 mm de hauteur, rempli jusqu'à entre 50 et 75 mm de son bord.
Le bac d'évaporation est surélevé du sol (en général 10 cm) sur une palette en bois ajouré afin que l'air
puisse circuler sous celui-ci. Cela empêche la transmission d'énergie thermique entre le sol et le bac
qui pourrait fausser les résultats.
Il permet de mesurer la vitesse d’évaporation d'un volume d'eau et d'une surface donnés exposés à
l'air (exprimée en mm par jour, par mois ou par an) et l'évapotranspiration. Cette donnée dépend
exclusivement de la température et de l'humidité ambiante, ainsi que des précipitations.
Une méthode simple d’estimation de l’évapotranspiration de référence ET0, consiste à estimer dans
un premier temps les pertes par évaporation en mesurant directement le taux d'évaporation à l'aide d’un
bac évaporatoire (voir photo). On peut calculer facilement la quantité d'eau qui s'évapore chaque jour
en mesurant le volume d'eau qui doit être ajouté pour ramener la surface d'eau à un niveau déterminé.
EVAPORATION = N0 - N1
Pour obtenir une estimation de l’évapotranspiration de référence ET0, il est ensuite nécessaire de
multiplier la valeur de l’évaporation mesurée avec le bac d'évaporation (Evbac) par un coefficient de
conversion (Kbac). Celui-ci dépend du type de bac utilisé, de l’environnement du bac, du climat
(humidité, vitesse du vent).
Exemple:
Calculer la quantité d’eau d’irrigation à apporter à la culture de la pastèque stade Floraison (Kc=0,8),
sachant que la quantité évaporée du bac classe A est 0,82 mm en (m3) ? Kbac = 0,7
ETM = ETP x Kc
La demande en eau est exprimée à travers l’évaporation maximale (ETM) = combinaison de l’ET0
et des Kc.
ETM = ET0 x Kc
ET0 = ETP = RG x t
t: constante = 0,00187
Exemple:
RG=1913j/cm2 t=0.00187
Calculer la quantité d’eau d’irrigation pour la tomate sous serre stade F6 (Kc=0.9)?
ETP = RG x t
= 1913 x 0,00187
ETM = ETP x Kc
= 3,6 mm x 0,9
1- L’irrigation gravitaire:
• Irrigation à la raie.
Avantage :
• Augmentation de la biodiversité.
Inconvénients :
• Faible efficience.
2- Aspersion mécanisée:
L’irrigation se fait par des asperseurs ou mini-diffuseur qui sont montés sur la conduite à des
intervalles de 1,5 mètre, 3 mètres ou 6 mètres. Les débits sont de l'ordre de 250 à 850 m3/h pour une
pression de 6 bars.
L’apport d’eau sous pression, à faible débit et à intervalles fréquents, et limité aux zones des
végétaux, le système « goutte à goutte » est le plus utilisé.
L’efficience de l’irrigation:
Avantage :
• Efficience améliorée pour l'aspersion, très bonne efficience pour l'irrigation localisée.
• Pas de pertes d'eau dans les conduites de transport (si entretien régulier).
Inconvénients :
• Faible dimension des buses d'aspersion ou des goutteurs nécessitant une eau filtrée.
4- Nano irrigation :
Dans la majorité des régions agricoles au Maroc, le niveau de la nappe phréatique ne cesse de reculer
d’année en année à cause des changements climatiques et de la rareté des précipitations d’une part, et
de la surexploitation par des pratiques d’irrigation irrationnelles d’autre part.
Jusqu’à présent, la majorité des améliorations apportées par les acteurs intéressés par l’économie
d’eau, sont focalisées sur la limitation des gaspillages dus à l’évaporation et à la percolation. Ce qui a
permis d’économiser 50% d’eau. Toutefois, une nouvelle piste de recherche prometteuse permettant
d’optimiser l’irrigation d’avantage apparaît à l’horizon, il s’agit de l’irrigation 24 heures sur 24.
mesure où il permet une irrigation continue 24 heures sur 24 à faible pression et à très faible débit.
Le tuyau est enterré à 20 cm et lié via à un réseau d’irrigation sans surpression à un petit bassin
surélevé de 3 à 5 m. Le débit d’irrigation est très faible ce qui permet des économies substantielles
aussi bien au niveau du dimensionnement des conduites d’eau qu’aux volumes d’eau utilisés dans
l’irrigation.
d’eau très élevé. La méthode d’irrigation nanotube permet d’économiser 60 à 80% de la consommation
d’eau par rapport à l’irrigation au goutte à goutte.
- Le système est exempt de équipements électromécaniques tels que des pompes à eau, moteur et de
commande des armoires et ne nécessite aucune salle de pompe. Les coûts de construction sont faibles
et il est facile à installer.
- Le système n’a pas besoin de la puissance mécanique à la fonction, ce qui réduit la consommation
d’énergie de 95% par rapport à l’irrigation au goutte à goutte. Il a résolu le problème de “l’eau est
enregistrée mais l’électricité est consommée”.
• Le type du sol.
• La pente de la parcelle.
• Les cultures.
• Le climat.
1- Station de tête :
La station de tête doit être ombragée, aérée éclairée, cimentée, pente, la dalle sur laquelle sont
disposées les bacs est soulevé du sol de 0,25 m.
2- Bassin :
V = (L x l x P) - ((P²/2) x (périmètre))
Exemple:
V = (L x l x P) - ((P²/2) x (périmètre))
Bassin fini
3- La filtration:
a- L’hydrocyclone:
L’hydrocyclone ou séparateur de particules est placé à l’entrée de la station de tête juste après la
source d’eau c’est un moyen de pré-filtration
pré filtration d’eau d’irrigation lorsque la turbidité de l’eau de surface
est élevée et/ou lorsque l’eau souterraine est chargée de sable.
b- Filtre à sable:
• Il est recommandé de changer le sable du filtre à sable tous les deux ans.
c- Filtre à disques:
• Il est de Forme cylindrique contenant un support sur lequel sont accolées une série de disques
en plastique.
• L'eau passe de la
périphérie vers le
centre des filtres.
d- Filtre à tamis:
• Lee filtre contient une cartouche cylindrique dont la paroi est un tamis en plastique ou en acier
inoxydable, (en cas de filtration des acides).
Algues, éléments fins ou organiques Filtre à sable + filtre à tamis et/ou à disques
Il permet l’injection de la solution mère, il est muni de deux sondes liées directement au
programmateur et qui déterminent le PH et l’EC de la solution fille, il comporte aussi des pompes
d’injection et des électrovannes qui commandent l’injection de la solution mère des engrais et des
acides.
5- Les accessoires:
b- Le purgeur d’air:
c- Compteur volumétrique:
Permet de comptabiliser le volume d’eau apportée sur une parcelle lors d’un arrosage.
• Les vannes automatiques : leurs ouverture et fermeture est commandée à distance par le
tableau de commande localisé dans la station de tête. On distingue:
o Les électrovannes,
• Les vannettes : sont installées en tête de la rampe pour arrêter le passage de l’eau dans la
rampe.
e- Régulateur de pression:
f- Manomètre:
• Canalisation principale.
• Porte rampe.
• Rampes.
• Distributeurs.
a- Canalisation principale:
b- Porte rampe:
c- Rampes:
• Dans les rampes, la pression de l’eau ne dépasse pas en général 2 bars sauf lorsque les
distributeurs sont auto-régulants (elle peut atteindre 3 bars).
D<50mm = 0,4m
50<D<90mm = 0,6m
D>90mm = 0,8m
d- Les distributeurs:
Les distributeurs assurent la distribution de l’eau qui diffuse ensuite dans le sol. On distingue:
• Prix faible.
• Le débit des gaines 1-8 l/h la pression de service peut aller de 0.5 à1.2 bars.
Les goutteurs:
Les goutteurs autorégulant: Le débit fourni ne change pratiquement pas dans la plage de
pression.
• Pulvérisent l’eau sur une petite superficie du sol au voisinage de la plante avec des débits de
20-60 l/h.
Pour une efficience élevée de l’utilisation de l’eau il est nécessaire d’avoir une bonne uniformité
d’application de l’eau par le système d’irrigation localisé, il faut mesurer le coefficient d’uniformité
(CU):
CU = (D min/D) x 100
Exemple:
Première rampe 4.2 L/h 4.1 L/h 4.0 L/h 4.1 L/h
Rampe 1/3 4.0 L/h 3.7 L/h 4.1 L/h 4.0 L/h
Rampe 2/3 3.8 L/h 3.9 L/h 3.9 L/h 3.9 L/h
Dernière rampe 4.1 L/h 4.0 L/h 3.9 L/h 4.0 L/h
16
= 3,98 L/h
= 95 %
Remarque: Le système d’irrigation montre une meilleurs efficience, alors il n’ya pas lieu d’intervenir
sur le réseau.
Superficie en m²
1 mm = 10 m3/ha = 1litre/m²
1 m3 = 1000 litres
1 ha = 10 000 m²
Exercice 1:
Un terrain de 120m de long et 60m de large doit recevoir une plantation de pommiers de 5m
d’intervalles et de 4m d’interligne.
L’irrigation est assurée par un réseau alimentant 2 goutteurs par arbre débitant chacun 3
litres/heure.
Exercice 2:
L’irrigation est assurée par un réseau alimentant 2 goutteurs par arbre débitant chacun 2lt/h.
4- Si la fréquence d’irrigation est de 2 fois par semaine et une dose de 6 litres par arbre, calculer le
volume d’eau consommé en un mois?
Exercice 3:
Un terrain couvert a une Longueur de 100m et 40m de large doit recevoir une culture de fraisier, les
billons large de 30 cm et séparés de 50 cm sont confectionnés en largeur.
L’arrosage sera assuré par un goutteurs par pied débitant 0,002 m3/h.
Exercice 4:
Une parcelle de 2,37 ha doit recevoir une plantation du poivron en lignes simples. L’irrigation est
assurée par des goutteurs de 2 litres/heure, chaque plantes à un goutteur.
2- Quels sont les travaux du sol à effectuer avant l’installation de cette culture ?
3- Si l’écartement de plantation est 1,5m x 60cm, calculer le nombre de plantes de cette parcelle ?