Projet Fin Etude 1
Projet Fin Etude 1
Projet Fin Etude 1
INTRODUCTION
Historique
Principe
Intérêt
Conséquences
RADIOLOGIE ANALOGIQUE
Production des rayons x et son spectre
Application médicale
RADIOLOGIE NUMÉRIQUE
Notion d’échantillonnage ou Numérisation
Théorème de Shanon
TOMODENSITOMÉTRIE
Principe de fonctionnement
Rétroprojection
Synthèses
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RADIOPROTECTION
Génialité
Dosimétrie
Grandeurs Physique
Comment se protège
Conclusion
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INTRODUCTION
1) Historique
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2) Que sont les rayons X
3) Principe
4) Intérêt
5) Conséquence
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RADIOLOGIE ANALOGIQUE
Généralité
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1) Production de rayon-X
En imagerie médicale on produit des rayons-x en bombardement
une cible métallique par des électrons accélérés à l’aide de tube de
COOLIDE.
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par une différence de potentiel V entre la cathode et une cible souvent
en tungstène appelée anode A.
Les électrons sont ainsi accélérés et pénètrent l’anode avec une
énergie cinétique 𝐸𝑐 pouvant atteindre plusieurs dizaines de keV. Au
voisinage des noyaux des atomes de l’anode, ils sont déviés et freinés.
Ce freinage s’accompagne d’une perte d’énergie cinétique par
rayonnement de freinage (brehmstrählung). Cette perte d’énergie
est essentiellement dispersée en chaleur, ce qui nécessite de refroidir
l’anode en la faisant tourner sur elle-même. Une faible quantité de
cette énergie est convertie en photons X qui sont focalisés à l’aide
d’une fenêtre aménagée à cet effet dans le tube de Coolidge.
a) Énergie cinétique des électrons émis par le tube à
rayons x
L’énergie cinétique va dépendre de la charge de l’électron et de la
différence de potentiel.
La différence de potentiel va accélérer l’électron car il est chargé
et l’énergie cinétique maximale sera :
Ec = e. V Avec 𝑒 = −1.16 × 10−19 C : la charge d’électron.
V : Voltage en Volt
b) Spectre des rayons X émise par le tube
Entre 0 et𝐸𝑚𝑎𝑥 , toute les valeurs d’énergie sont possibles pour les
photons X et on obtient donc un spectre continu.
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N
Emax
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Premièrement, un électron énergique heurte un atome de la cible
et pendant sa diffusion expulse un électron d’une couche profonde
(basse valeur de n) de l’atome. Si l’électron de l’atome se trouvait
dans la couche définie par n = 1 (appelée pour des raisons historiques
la couche K) il laisse un trou dans cette couche.
Deuxièmement, un électron se trouvant dans une des couches à
énergie plus élevée vient alors combler le trou dans la couche K.
pendant cette transition, l’atome émet un photon de rayon X
caractéristique. Si l’électron qui comble la vacance de couche K
provient de la couche où n = 2 (appelée couche L).
a) La loi d’atténuation
La loi d'atténuation exprime la variation du nombre des photons N
en fonction de l'épaisseur x traversée par le rayonnement. Pour un
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rayonnement monochromatique, elle correspond à la fonction
exponentielle décroissante.
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Elle est de l'ordre de 2 cm pour l'eau si la haute tension du tube X est
réglée à 120kV et est liée à μ suivant :
ln(2)
𝐶𝐷𝐴 =
𝜇
c) Le coefficient d’atténuation 𝝁
μ : Appelé coefficient d'atténuation représente la probabilité pour
un photon d'énergie E de subir une interaction par unité d'épaisseur de
matière traversée.
En fait, il faut distinguer la probabilité pour un photon de subir
une interaction Compton σ et la probabilité de subir une interaction
photoélectrique τ
𝜇 =𝜎+𝜏
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C-2) Le Coefficient de photo-électrique 𝝉
C'est la probabilité pour un photon de subir un effet photoélectrique
par unité d'épaisseur de matière traversée. Il est inversement
proportionnel au cube de E, proportionnel à la masse volumique et au
cube du numéro atomique Z et enfin présente de brusques
discontinuités en fonction de E :
Le diagramme si dessous représente la variation de 𝝉 = 𝒇(𝑬) dans
𝑍3
le plomb 𝜏 = 𝐾𝜌
𝐸3
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C-3) L’importance relative des différents effets
Pour une matière donnée, il est possible de définir deux domaines
d'énergie : l'un où prédominent l'effet photoélectrique et l'autre où
prédomine l'effet Compton.
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a) Les déterminants du contraste
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Le contraste entre deux points du faisceau situés sur une même section
est égal au rapport de la différence de leur intensité sur leur somme :
|𝐼1 − 𝐼2 |
𝐶=
𝐼1 + 𝐼2
Pour x tend vers 0 on utilise le développement limité à l’ordre 2
𝑒 −𝑥 = 1 − 𝑥 et pour d à l’ordre 1.
𝐼1 = 𝐼0 (1 − 𝜇 ′ 𝑑 + 𝜇 ′ 𝑥 − 𝜇𝑥) Et 𝐼2 = 𝐼0 (1 − 𝜇 ′ 𝑑)
𝐼1 − 𝐼2 = 𝐼0 (𝜇 ′ − 𝜇 ) 𝑒𝑡 𝐼1 + 𝐼2 = 2𝐼0
|𝜇′ − 𝜇 |
𝐶= 𝑥
2
Le coefficient linéaire d’atténuation de photo-électrique est exprimé
𝑍3
par 𝜇 = 𝐾𝜌 avec E : énergie des photons X.
𝐸3
|𝜌′ 𝑍 ′3 − 𝜌𝑍 3 |
𝐶=𝐾 𝑥
2𝐸 3
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Modification de Contraste par Réglage de tension
En plus de son action sur la densité photographique, la tension
agit sur la qualité de l'image c'est à dire sur le contraste :
il diminue quand la tension augmente (effet Compton
prédominant)
technique basse tension (<100Kv), le contraste est grand (effet
photoélectrique prédominant).
4) FLOUS
Définition : Un flou est un manque de netteté de l'image : les contours
des surfaces de densités différentes ne sont pas définis avec précision.
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4-1) Agrandissement :
l'image d'un organe, sur une section perpendiculaire au rayon directeur
est agrandie et cet agrandissement est d'autant plus grand que l'organe
est plus près du foyer.
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5) Résolution
L’absence de netteté est le flou, défaut que l’on s’efforce de réduire.
Alors la solution pour le flou on a deux méthodes :
1) Diminution de Flous géométrique.
2) Diminution de Flous Cinétique.
Définition : C'est la plus petite distance qui doit séparer deux objets
ponctuels pour pouvoir encore distinguer deux images
radiographiques distinctes de ces objets.
Définition : C'est la plus petite distance qui doit séparer deux objets
ponctuels pour pouvoir encore distinguer deux images
radiographiques distinctes de ces objets.
Du fait des différents flous que nous venons d'étudier, l'image d'un
point sur un film radiographique n'est jamais ponctuelle. Elle se
présente sous la forme d'une "tache" plus ou moins étalée, symétrique
par rapport à son centre, et d'intensité décroissante du centre vers la
périphérie.
La répartition des noircissements (densités optiques) suit ainsi une
courbe appelée courbe de dispersion ponctuelle.
Pour D > LMH les deux images sont discernables sur l’image.
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Pour D < LMH
6) Application Médicale
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a) Opacité : Il s'agit d'une image radiologique correspondant à des
structures qui atténuent plus les rayons X que le voisinage. Sur
un film radiographique standard, cette image sera plus blanche
que les zones voisines.
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RADIOLOGIE NUMÉRISÉ
Généralité
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L’imagerie numérique ne cesse de se développer permet au médecin :
un diagnostic plus fiable
de disposer de l’information tout moment sur place et à distance,
archivé et enregistrée sur
support disque dur USB … transmise via réseaux sécurisés ou
consultée directement sur écran :
ce qui est rapide, économique et écologique.
Pour traiter les image.
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2) La Grille d’échantillonnages et les niveaux de gris
pixel
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Voxel
a) Echelle de Hounsfield
b) Fenêtre de visualisation
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3) Approche intuitive du théorème d’échantillonnage de
SHANON
Pour un point.
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Pour deux point
Théorème de SHANON:
Un signal analogique acquis avec une résolution spatiale ou
temporelle R peut être déterminé en tout point à partir d'échantillons
prélevés avec une période d'échantillonnage de R/2.
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TOMODENSITOMÉTRIE
Généralité
Principe de fonctionnement
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1) Les images de projections et modélisation numérique
(Tomographie numérisée)
𝑃⟹
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Dans le cas d’une coupe de quatre pixels par exemple on obtient un
système de 4 équations à 4 inconnus. Chaque mesure de projection
𝑃1 , 𝑃2 , …. Se fait le long de raie et fournir une équation linéaire .
Conditionnement
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Ce mauvais conditionnement du problème tomographique va
nécessiter l'utilisation d'algorithmes plus complexes que ceux
classiquement utilisés en algèbre.
Solution :
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Un second opérateur appelé rétroprojection consiste à sommer
au sein d'un pixel image j chacune des projections i auquel il part
icipe, pondérées par r(i, j).
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Synthèse
Les images acquises en radiologie par rayons X sont des images
de projection.
Reconstruire une image en coupe revient à résoudre à grand
système mal conditionné d'équations linéaires.
Les techniques de reconstruction incluent l'algorithme de
rétroprojection.
AVANTAGE
Obtient une imagerie volumique, rapide, avec un très bon
contraste. Une résolution de l’ordre de 1mm, utilisation des
produits de contraste iodés en quantité bien moindre qu’en radio
conventionnelle.
Applications:
Scan thoracique, abdominal, pelvien Lésions osseuses,
pathologies vasculaires Produits de contraste
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RADIOPROTECTION
Généralité
Définition : La radioprotection est l’ensemble des mesures destinés à
assurer la protection contre les rayonnements ionisants dans un service
de radiologie.
Objectif : Les objectifs fixés par cette radioprotection sont :
2) Dosimétrie
1) Définition : La densimétrie permet d’évaluer l’impact
d’une exposition sur l’organisme humain, elle permet de
déterminer l’énergie déposé dans la sont utilisées en
dosimètres
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3) Grandeur Physique
A. DOSE ABSORBEÉ
Les rayonnements émis par les substances radication interagissent
avec la matière en y cèdent de l’énergie la quantité d’énergie cédées
est appelées la dose absorbée. Elle s’exprime en Gray qui correspond
à une énergie de 1 joule cédée dans un kilogramme de matière
𝑑𝐸
(1kg= 1J/Kg) 𝐷 = au Gray
𝑑𝑚
La dose absorbée n’est pas seule représentative du risque encouru et
que deux concepts ont été créés la dose équivalente et la dosse
efficaces.
B. DOSE EQUIVALENTE
Tous les rayonnement ne produisent pas le mêmes effets, si l’énergie
est cédée dans un petit volume de tissu, la nuisance sera plus grande
que si cette même énergie est cédée sur une plus grande distance, la
rayonnement 𝛼 dont le parcours moyen la matière vivant est d’environ
4𝜇𝑚 est a priori plus nocif que le rayonnement 𝛾 qui n’est que
partiellement arrête par l’homme, le concept de dosé équivalente
permet d’exprimer de manière équivalente ces deux effet, en tenant
compte d’un facteur de nocivité du rayonnement.
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C. DOSE EFFICACE
Le risque de production de concert est lié à la dose, mais tous les
tissus n’ont pas la mêmes sensibilité au rayonnement, c’est la dose
efficace qui permet d’estimer le risque d’induction de cancer dans
l’organisme entier en prenant en compte la radiosensibilité des
différents tissus concernées.
Comment se protège ?
La réduction de l’exposition des travailleurs peut s’éparer sur les
quatre paramètres suivant :
L’intensité de la source, en veillant à n’utiliser pour l’opération
que l’intensité minimale de rayonnement nécessaire, dans le cas
d’une source telle qu’un appareil à rayons x , si la quantité
minimale d’une radionucléide.
La distance, en maintenant le plus grande distance possible,
sans toutefois nuire à l’efficacité du travail à réaliser, entre la
source de rayonnement et le travailleur.
Le temps, en limitant au minimum strictement nécessaire le
temps passe au voisinage de la source.
Les écrans, en plongeant entre la source de rayonnement et
le travaillent des écrans de protection appropriés et le cas
échéant,
on utilisant d’autres écrans pour protéger efficacement contre les
rayonnement, les personnes se trouvant dans le voisinage de la
source ou dans des zones contigües.
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Conclusion
Les rayons X font de nos jours partie intégrante de l'imagerie médicale ,en
effet grace à leurs propriètés stupéfiantes,ils permettent de
réaliser un grand nombre de diagnostics à l'aide de différents types
d'images.
Mais malgré tout leurs avantages, les rayons x présentent des
inconvénients leur effets sur le corps humain , plus précisément sur
l'adn composant ses cellules , peuvent etre dangereaux et irréversibles
en effet ils peuvent provoqeur des mutitions cellulaires ,dont
certaines pourraient éventuellement dégénerées en cancers .
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