SA4 3ème WELAKA Fabien 96443189

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Tâche globale: Elaborer une explication relative aux réactions immutaires et les moyens de lutte

contre les agressions microbiennes.


Situation de départ

Situation1: La méningite
La mort de deux enfants d’une même famille décédées d’une méningite a entrainé hier une
mobilisation exceptionnelle dans le village Sakasson : il a été recommandé aux familles des enfants
fréquentant la même école de se rendre le plus rapidement possible aux urgences de l’hôpital de
zone. L’entourage immédiat des deux enfants, les enseignants et le personnel de l’école étaient
également concernés par ces mesures.
Le médecin précise : « il s’agit de deux cas graves de méningites due au méningocoque ». Il est
souhaitable d’administrer une prévention à toutes les personnes ayant été en contact direct avec les
deux enfants. A la fin de la journée, cent personnes ont reçu le traitement d’antibiotique et de vaccin.

Situation2 : Au centre de santé


Messieurs X et Y accidentés ayant perdu beaucoup de sang sont conduits d’urgence dans un centre
de santé. Dans le but de les sauver par une transfusion sanguine, un donneur de sang s’est fait
prélever. Apres analyse, le médecin de garde a déclaré que ce sang ne peut être donné qu’à M. X qui
heureusement a eu la vie sauve. M. Y en attente d’un donneur compatible, commence par avoir des
éternuements à répétition, un nez bouché et un écoulement nasal lorsque les agents d’entretiens
balayaient la cours de l’hôpital. Il ressentait également un mal à la gorge et une conjonctive
(inflammation de la conjonctive de l’œil). Le médecin après analyse déclare une rhinite allergique
dont l’absence de traitement peut provoquer l’asthme.

I-MISE EN SITUATION: De la situation de départ à la formulation d’une problématique

Activités 1 et 2 : Mise en situation


Support : Situation de départ
Consigne : Exprime ta perception et/ou tes interrogations sur les faits évoqués par la situation de
départ en vue de formuler une problématique. Pour cela, tu te serviras du modèle de tableau suivant.
Faits évoqués Représentations antérieures Interrogations ou questionnements
des faits

II- REALISATION : Collecte et traitement des données par exploitation des


documents, par observation et par expérimentation pour élaborer l’explication
Activité 3 : Comment l’organisme réagit-il à l’introduction de corps étranger en son
sein ?
L’organisme humain se trouve en contact permanent avec un nombre important de microbes vivants
dans l’air, dans l’eau, dans le sol ou sur autres êtres vivants. Heureusement, les barrières naturelles
empêchent la majorité des agents infectieux de pénétrer dans notre corps. Malgré tout, les microbes
tuent des milliers de personnes dans le monde. Comment agissent-ils ? Comment l’organisme
humain réagit-il lorsque les agents infectieux parviennent à affranchir ses barrières naturelles ?
Séquence 1 : Que sait-on de la réaction immunitaire non spécifique ou de l’immunité
naturelle ou innée?
Document 1 : Les microorganismes
Les microbes sont des organismes de petites tailles observables au microscope et souvent vecteur
de maladies. Les caractéristiques des différents microbes sont présentées par la figure 1

Support de cours SA4 3ème 1 Réalisé par : M. WELAKA Fabien


Document 2 : Les barrières naturelles de défense de l’organisme contre les microbes
Face à notre environnement l’organisme lutte
contre les microorganismes par différents
moyens. Les barrières naturelles comme
La peau recouverte de microorganismes non
pathogènes qui empêchent la prolifération des
microorganismes pathogènes.
Les muqueuses et leurs sécrétions, en
générale acides s’opposent également à l’entrée
des microorganismes pathogènes dans
l’organisme. La plupart des microbes
pathogènes ne peuvent pas se multiplier en
milieu acide. Les barrières et voies d’entrées des
microbes sont présentées sur la figure 2
Document3 : Les réponses de l’organisme face à l’infection microbienne
Malgré votre grande sagesse et votre
prudence légendaire, il vous est déjà arrivé
de vous égratigner en tombant de vélo; de
vous bruler légèrement en cuisine, voire
même de prendre une gifle ou un coup (que
vous n’aviez certes pas mérité, c’est
indiscutable).Dans tous ces cas, vous auriez
pu remarquer que votre organisme réagit de
la même façon à l’endroit de l’agression : ça
fait mal, l’endroit agressé gonfle, devient
rouge (et gratte) et chauffe. Cette réaction
est appelée réaction inflammatoire .Par
quoi est-elle provoquée ? Il suffit (comme
souvent en science) de poser les bonnes
questions : qu’est-ce qui est rouge chaud,
qu’on peut voir en transparence à travers la
peau… Les différentes composantes de la
réaction inflammatoire sont décrites sur la
figure 3.

Support de cours SA4 3ème 2 Réalisé par : M. WELAKA Fabien


Document 4: Les infections microbiennes
Lorsque l’infection n’est pas stoppée au
niveau de la blessure (stade locale), les
microbes pénètrent dans l’organisme pour
affranchir de nouvelles barrières : ganglions
lymphatiques, foie, rate (figure 5): c’est le
stade régional ou ganglionnaire. Si ces
barrières sont successivement franchies,
l’infection se généralise : c’est la
septicémie très rapidement mortelle.
Certains microbes comme les bacilles du
tétanos restent localisés au niveau de la
blessure et sécrètent des toxines qui
pénètrent dans le sang. L’infection ainsi
généralisée est une véritable intoxication de
l’organisme encore appelée toxémie. La
septicémie et la toxémie constituent le stade
général, dernier stade d’une infection
microbienne.

Consignes : Exploite les documents pour expliquer les réactions immunitaires non
spécifiques. Pour cela
-Relève en exploitant le document 1 les différentes catégories de microorganismes
- A partir du document 2 dégage les différentes barrières naturelles de protections de l’organisme
contre les microbes puis identifie les voies de pénétrations possibles des microbes (figure 2).
-relève les caractéristiques d’une réaction inflammatoire (figure 3 document 3)
-Décris la phagocytose en insistant sur ses étapes et leurs caractéristiques (figure 4 document 3) ;
-dis pourquoi la réaction inflammatoire et la phagocytose sont des réponses immunitaires non
spécifiques
-Explique les différents types d’infections microbiennes (document 4)
Séquence 2 : Que sait-on des réactions immunitaires spécifiques ou de l’immunité
acquise ou adaptative ?
Les cellules phagocytaires (phagocytes) ne sont pas les seules armes de défense de l’organisme pour
lutter contre les infections microbiennes bien qu’elles représentent la première ligne de défense.
D’autres cellules immunitaires, comme les lymphocytes B et les lymphocytes T peuvent intervenir
également. Il s’agira dans la présente activité de connaître les caractéristiques de ces cellules ainsi que
leur mode d’action.

Support de cours SA4 3ème 3 Réalisé par : M. WELAKA Fabien


Document5:Les différents types de réponses immunitaires spécifiques et leurs
caractéristiques
La réponse immunitaire spécifique est basée sur la reconnaissance des antigènes de l’élément étranger.
Le microorganisme infectieux comprend des molécules ou produit des toxines que l’organisme
reconnaît comme différent de ses propres molécules : Ce sont des antigènes.
Suite à l’introduction d’un antigène dans l’organisme, deux types de réactions immunitaires peuvent se
déclencher :
- Les réactions immunitaires spécifiques au cours desquelles certains lymphocytes B produisent des
anticorps qui neutralisent un antigène spécifique : ce sont des réactions immunitaires spécifiques
à médiation humorale (figure 6)
- Les réactions immunitaires spécifiques au cours desquelles des lymphocytes T détruisent par
contact direct des cellules infectées par un élément étranger, un virus en particulier : ce sont des
réactions immunitaires spécifiques à médiation cellulaire (figure 7).

Document 6 : La mémoire immunitaire

Certaines maladies, la varicelle


par exemple, ne se contractent
qu’une seule fois. La lutte de
l’organisme contre un microbe
une seconde fois apparaît donc
plus efficace que la première.
Les expériences de la figure ci-
après illustrent les phénomènes
qui se déroulent lors du premier
et du second contact de
l’organisme avec le même
antigène (microbe).
L’existence d’une mémoire
immunitaire permet à
l’organisme de distinguer le
soi du non soi

Support de cours SA4 3ème 4 Réalisé par : M. WELAKA Fabien


Document 7: Les groupes sanguis et la transfusion sanguine
L’immense majorité de nos cellules sont pourvues à leur surface de molécules qui apparaissent comme
un véritable code permettant à la fois aux cellules du système immunitaire de reconnaitre les éléments
étrangers (« non soi ») et les éléments qui appartiennent à l’organisme (« soi ») pour coopérer à la
réponse immunitaire.
Comme toutes les cellules, les hématies humaines possèdent à leurs surface de nombreux antigènes
c’est-à-dire des molécules susceptibles de provoquer la formation d’anticorps dans un organisme
étranger .Les anticorps agglutinent les antigènes qui leurs correspondent comme l’illustre la figure 9
ci-dessous.

Expériences : Lorsqu’on fait le mélange de sang de deux individus, deux cas peuvent se présenter :
- Soit le mélange est homogène (schéma 1) et on parle de non agglutination : les deux sangs sont
compatibles
- Soit le mélange est hétérogène (Schéma 2) et on parle d’agglutination : les deux sangs sont
compatibles.

Lorsqu’un individu X (donneur) donne de son sang à un individu Y (receveur) on parle de


transfusion sanguine. La figure 10 représente les différentes possibilités de transfusion sanguine.

Support de cours SA4 3ème 5 Réalisé par : M. WELAKA Fabien


Le facteur rhésus : En plus des agglutinogènes, certains individus possèdent des antigènes rhésus
sur leurs hématies: ils sont donc de rhésus positif (Rh+). D’autres n’en possèdent pas: ils sont de
Rh-. Les individus de Rh- n’ont pas naturellement d’agglutinines anti-Rhésus dans leur plasma mais
en produisent lors d’un premier contact avec les antigènes rhésus. Lors d’un second contact avec les
antigènes rhésus, il se produit une agglutination. Alors, la transfusion sanguine tient aussi compte
du facteur rhésus. Les différentes possibilités de transfusion sanguine sans risque d’agglutination,
en fonction du rhésus sont : Rh- Rh- Rh+ X Rh- A cet égard O-
est le donneur universel et le receveur universel est AB+.

Document 8 : Greffes et rejet de greffons


Une greffe est le transfert de tissu ou d’un fragment d’organe dans un même organisme (autogreffe) ou
entre organismes différents d’une même espèce (allogreffe).
Une transplantation est une greffe d’organe avec rétablissement immédiat de la circulation
Sanguine dans cet organe (transplantation cardiaque, rénale, hépatique…)
En effet, les cellules de l’organisme portent au niveau de leur membrane de nombreuses molécules
particulières appelées marqueurs du soi ou marqueurs immunologiques (HLA) et sont
reconnues comme des cellules du soi. Ainsi pour augmenter les chances de réussite de la greffe, le
donneur et le receveur doivent avoir le groupage (HLA) le plus compatible possible. Seuls les vrais
jumeaux possèdent des marqueurs immunologiques strictement identiques. Dans ce cas, la réussite de
la greffe est totale. Le rejet d’un greffon est dû à l’action de cellules immunitaires qui reconnaissent les
cellules de ce greffon comme différentes de celles de l’organisme receveur. Les possibilités de greffes
sont présentées par des expériences suivantes :
Expériences

Consigne : Exploite les informations fournies par les documents pour expliquer en
quoi consiste l’immunité spécifique Pour cela :
-dégage à partir du document 5 les notions d’antigènes, d’anticorps,
- décris en exploitant les figures 6 et 7 du document 5 les modalités des deux types de réactions
immunitaires spécifiques
- Exploite du document 6 pour dégager les propriétés de la mémoire immunitaire
- Du document 7 relève la notion de soi, non soi, agglutination, puis relève les antigènes porté par les
hématies et les anticorps contenus dans le plasma pour les individus su groupe A , B , AB et O en
remplissant le tableau fourni en modèle suivant.
Groupes sanguins Antigènes ou agglutinogènes des hématies Anticorps ou agglutines du plasma
Groupe A
Groupe B
Groupe AB
Groupe O

-dégage le principe fondamental de la transfusion sanguine (document 7) ;


-donne les possibilités de dons de sang entre les groupes sanguins (figure 10 document 7) ;
-donne les possibilités de dons de sang en tenant compte du facteur rhésus (document 7)

Support de cours SA4 3ème 6 Réalisé par : M. WELAKA Fabien


-justifie en quoi un individu ORh- est un donneur universel et un individu AB Rh+ est un receveur
universel.
- Du document 8 définis greffe, transplantation puis indique de l’exploitation des expériences de ce
document les conditions nécessaire à la réussite d’une greffe.

Activité 4 : Comment s’explique le dysfonctionnement du système immunitaire ?


Si nous devions qualifier le système immunitaire, nous lui donnerions le nom de « gardien ». En effet,
le système immunitaire assure la protection de notre corps contre les virus, bactéries et parasites les
plus courants. Il assure aussi les combats plus longs et plus complexes contre des pathologies plus
lourdes. Cependant ce système peut être défaillant. La présente activité nous permettra d’expliquer ce
dysfonctionnement.

Document 1 : Les réactions allergiques : une réponse du système immunitaire


Une allergie est une réaction
exagérée (hypersensibilité) vis-à-vis de
certaines substances généralement
inoffensives auxquels on donne le nom
d’allergènes. Parmi les allergènes, il
existe différentes classes :
Ceux que l’on inhale, comme les
acariens, pollens ou poils d’animaux,
poussières. Les allergènes
alimentaires, dont les plus fréquents
sont les crustacés, œufs, arachides…
Les allergènes de venins d’insectes. Les
allergènes de contact, comme le latex et
certains médicaments.
L’allergène est reconnu par «l’anticorps
de l’allergie », les immunoglobulines E,
déclenchant ainsi une réponse
immunitaire dirigée contre cet
allergène. Les réactions sont variées :
asthme, rhinite, eczéma…
La figure 1 présente le mécanisme de
l’allergie.

Document 2 : information sur le VIH /SIDA


Une immunodéficience est une maladie qui affecte
les organes ou les cellules du système
immunitaire. On distingue : L’immunodéficience
congénitale, les immunodéficiences secondaires
ou acquises au cours de la vie, à la suite d’une
maladie comme le SIDA par exemple.
Le SIDA ou Syndrome de l’Immunodéficience
Acquise est une maladie causée par l’infection du
VIH. Il est une maladie particulière du fait que le
VIH détruit les défenses immunitaires de
l’organisme. Pour identifier un individu atteint du
VIH, on procède à un test sérologique pour
rechercher la présence d’anticorps anti-VIH dans
le sang de l’individu. Si le test est positif, on
qualifie le sujet de séropositif. L’infection au VIH
se déroule en trois phases présentée par la figure 2

Support de cours SA4 3ème 7 Réalisé par : M. WELAKA Fabien


Consigne : Exploite les documents pour :
-Relever les différents types d’allergies et les différents allergènes qui les provoquent
-décrire le mécanisme mis en jeu dans une réaction allergie
-Identifier les modes d’action du VIH/SIDA et ces phases

Activité 5 : Que sait-on des techniques biomédicales d’aide aux réactions de l’organisme
contre les agressions microbiennes et aux défaillances du système immunitaire ?
Le système immunitaire doit distinguer le soi du non soi, lorsque ce n’est plus le cas, des maladies
chroniques peuvent s’installer ou bien le système immunitaire peut se retourner contre l’organisme lui-
même et détruire certains organes ou induire des dysfonctionnements à l’origine des maladies auto-
immunes. De nos jours plusieurs méthodes ont été développées pour renforcer les capacités du système
de défense de l’organisme.
Document 1 : Techniques biomédicales d’aides
A - L’antisepsie : C’est une méthode qui consiste à détruire les microbes se trouvant sur une plaie
ou autour d’une plaie par l’utilisation des produits antiseptiques tels que l’alcool, la Bétadine, l’éther,
le mercurochrome…
B- L’asepsie : C’est une méthode préventive qui consiste à empêcher la pénétration microbienne
dans une plaie en stérilisant tout ce qui doit entrer en contact avec la plaie (pansements, instruments).
Dans le cas d’une opération chirurgicale, les instruments sont stérilisés à l’autoclave.

C-La chimiothérapie et l’antibiothérapie : La médecine recherche en permanence de nouveau


médicaments permettant de lutter efficacement contre les maladies. La chimiothérapie et
l’antibiothérapie constituent des méthodes de traitement des infections, quand les microbes ont
réussi à pénétrer dans l’organisme. La chimiothérapie fait appel à des substances chimiques de
synthèse (comme les sulfamides), c’est-à-dire fabriquées par l’homme et qui s’attaquent aux microbes.
L’antibiothérapie fait appel aux antibiotiques, substances chimiques fabriquées par des microbes et
qui s’opposent à la vie d’autres microbes en les inhibant (action bactériostatique) ou en les détruisant
(action bactéricide). Pour reconnaitre l’antibiotique le plus efficace contre un microbe on réalise
l’antibiogramme. Il peut être réalisé de la manière suivante. On dispose d’une boîte de pétri dont le
fond est recouvert d’un milieu nutritif et ensemencé du microbe contre lequel on veut lutter. Le microbe
se développe et recouvert toute la surface de la boîte de pétri. Des disques imprégnés d’antibiotiques
différents sont déposés à différent endroits à la surface de la boîte de pétri. L’efficacité d’un antibiotique
est déduite de l’importance du diamètre de l’auréole qui entoure chaque disque.

D- Vaccinothérapie : C’est une méthode qui utilise la capacité de mémoire du système immunitaire
en introduisant dans un organisme sain, des microbes non pathogènes (inoffensifs) ou des toxines
inactivés. L’organisme développe une mémoire immunitaire en stimulant la production des
lymphocytes mémoires. Cette technique préventive et protectrice permet à l’organisme de réagir de

Support de cours SA4 3ème 8 Réalisé par : M. WELAKA Fabien


façon spécifique, rapide et efficace au contact avec le même agent pathogène. C’est une immunité de
type secondaire. Les expériences suivantes sont réalisées sur des souris.

E- La sérothérapie : C’est une méthode curative qui consiste à transférer l’immunité d’une personne
à une autre en injectant à l’organisme infecté du sérum contenant une quantité importante d’anticorps
spécifique prélevé dans le sang du donneur. L’immunité acquise par la sérothérapie est passive,
immédiate et à courte durée.

F- La séro-vaccinothérapie : est utilisé pour la prévention de certaines maladies comme la rage ou


le tétanos. Dans le cas de la diphtérie, le sérum agit dans l’immédiat en apportant des anticorps. La
production d’anticorps se poursuit après guérison grâce à un vaccin. Expériences :

Document 2 : greffe de moelle osseuse


Cette technique est basée sur la transplantation des cellules de la moelle osseuse du donneur sain à
une personne immunodéficiente par sa production de cellules immunitaire très insuffisante. Cette
greffe est une reconstitution immunologique. Il est important que le receveur et donneur
appartiennent au même groupe tissulaire pour éviter le rejet du greffon. La greffe de la moelle
osseuse est recommandée chez malades atteint de leucémie, d’aplates médullaires.

Consigne : Montre les valeurs immunologiques des aides apportées à l’organisme dans
la lutte contre les agressions microbiennes. Pour cela :
-Relève les techniques utilisées pour aider l’organisme à lutter contre les agressions microbiennes,
puis définis chacune d’elles ;
-Dégage de chacun des faits expérimentaux une conclusion ;
-Compare la vaccinothérapie à la sérothérapie en utilisant le tableau fourni en modèle ;

Support de cours SA4 3ème 9 Réalisé par : M. WELAKA Fabien


Caractéristiques Vaccinothérapie Sérothérapie
Nature du produit
mode d’emploi
Durée d’action
Acquisition de l’immunité
Nature de l’immunité
Type d’immunité
Définis : vaccin, sérum ;
Relève le mode d’action du sérum et celui d’un antibiotique ;
Dégage l’intérêt de :
*La réalisation d’un antibiogramme ;
*La greffe de moelle osseuse.
-L’un de tes camarades affirme : « Le développement des connaissances en immunologie permet
l’augmentation de l’espérance de vie chez les humains ». Donne ton point de vue argumenté par
rapport à cette affirmation.

Activité 6 : Structuration et intégration des acquis


Elabore une explication sur les réactions immunitaires et les moyens de lutte contre les agressions
microbiennes.

Activité 7 : Hétéro évaluation : PM (BEPC 2020 SESSION NORMALE)


III-RETOUR ET PROJECTION
Activité 8 : Objectivation
Tâche : Tu es invité à objectiver les nouveaux savoirs construits et les démarches utilisées
en remplissant le tableau ci-après :
Questions Notions Démarches/stratégies Ce que je n’ai Raison du non Stratégie pour
de retenues développées pour la pas compris réussite remédier
recherches réussite

Activités 9 et 10 : Réinvestissement
Quelles sont les maladies microbiennes prévalant dans les villes et campagnes du BENIN et quelles
aides faut-il porter ?
On donne les maladies ci-après : Rougeole, poliomyélite, méningite, tuberculose pulmonaire,
paludisme et tétanos.
Consigne: Elabore un dossier scientifique sur l’épidémiologie des maladies
microbiennes prévalant dans les villes et campagnes du BENIN.
Les recherches conduiront au remplissage du tableau fourni en modèle.

Paramètres Agents Symptômes Mode de transmission Mesures préventives


Maladies responsables

BONNE CHANCE A TOUS !!!

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