PORTE-DOCUMENTS

TABLE DES MATIÈRES

Dossier: 710879

Date Document Page

2023-07-26 250 - Correspondance transmise......................2
2023-07-26 250 - Correspondance transmise......................4
2023-07-25 270 - Décision......................................6
2023-07-20 220 - Procès-verbal.................................8
2023-06-21 201 - Avis d'audition...............................9
2023-06-21 201 - Avis d'audition...............................11
2023-05-26 102 - Demande de non-paiement.......................13

1
Tribunal administratif du logement
5199, rue Sherbrooke Est, bureau 2161
Montréal (Québec) H1T 3X1

Georgine Shum Tim

1214, Tecumseh
Dollard-Des Ormeaux (QC)
H9B 2Z2

Vous trouverez en pièce(s) jointe(s) la ou les décisions qui vous concernent.

Vous pouvez prendre connaissance, ci-dessous, des explications relatives à l'exécution ou à la contestation d'une
décision du Tribunal administratif du logement.
Les parties doivent reprendre possession des pièces qu'elles ont produites et des documents qu'elles ont transmis
une fois l'instance terminée. À défaut, ces pièces et documents peuvent être détruits à l'expiration d'un délai d'un an
après la date de la décision définitive du Tribunal ou lorsque le litige entre les parties est complètement terminé.

L'exécution de la décision
Si le Tribunal administratif du logement a rendu une décision en faveur du demandeur, le défendeur doit s'y soumettre. À
défaut, le demandeur peut procéder à son exécution forcée après un délai fixé par la loi qui est, dans la plupart des cas, de 30
jours. Le juge administratif peut cependant, dans certains cas, et s'il le juge à propos, ordonner l'exécution immédiate de la
décision ou réduire ce délai.
Lorsque la décision concerne uniquement le recouvrement d'une somme d'argent qui constitue une petite créance (ex. :
recouvrement de loyer ou dommages-intérêts sans résiliation de bail), le délai d'exécution est de 20 jours. Visitez le site Web
du Tribunal pour obtenir plus d'informations sur ce qui constitue une petite créance.

ATTENTION
Avant d'entamer des procédures d'exécution en vue de récupérer une somme d'argent, vous éviterez des frais et des
démarches inutiles si vous connaissez, au sujet du défendeur, les informations suivantes : son adresse, sa solvabilité,
l'importance des biens qu'il possède ainsi que les nom et adresse de son employeur.

L'exécution forcée de la décision

Vous ne pouvez pas entreprendre seul les procédures d'exécution forcée. Vous devez faire appel à un huissier de justice,
sauf si la seule mesure prévue est la saisie auprès d'un tiers des revenus du débiteur (saisie de salaire).
Dans ce dernier cas, vous pouvez préparer vous-même l'avis d'exécution avec l'aide du greffier de la Cour du Québec du
palais de justice situé sur le territoire du logement concerné. L'avis est signé par le greffier et déposé au greffe de la Cour du
Québec. Vous devez ensuite faire parvenir une copie de cet avis, par poste recommandée ou par huissier, au débiteur (la
personne qui est condamnée à vous verser une somme d'argent par la décision du Tribunal) et au tiers saisi (l'employeur).
L'administration des revenus saisis, y compris leur réception et leur distribution, est confiée au greffier de la Cour du Québec.
Les frais d'exécution payés à l'huissier ou au greffier sont à la charge du créancier (celui en faveur de qui la décision est
rendue). Ceux-ci peuvent être réclamés au débiteur dans les limites des tarifs prévus à cette fin. Renseignez-vous auprès du
greffier.
Dans tous les autres cas, par exemple si la décision du Tribunal résilie le bail et ordonne l'expulsion du locataire et des autres
occupants, vous devez retenir les services d'un huissier de justice et lui verser les sommes nécessaires à l'exécution.
L'huissier préparera l'avis d'exécution conformément à vos instructions, le déposera au greffe de la Cour du Québec avec une
copie de la décision, et le signifiera au débiteur.
L'avis d'exécution qui vise l'expulsion d'un locataire et des autres occupants doit être signifié par l'huissier au moins 5 jours
avant la date d'expulsion. Cet avis ordonne au locataire de retirer ses meubles dans le délai qu'il indique ou de payer les frais
engagés pour ce faire, à défaut de quoi ils seront considérés comme ayant été abandonnés. L'huissier peut alors vendre ces
effets mobiliers au bénéfice du locateur créancier, les donner à un organisme de bienfaisance ou, s'ils ne peuvent être
donnés, en disposer autrement à son gré.
Aucune expulsion ne peut toutefois avoir lieu un jour férié ou pendant la période du 24 décembre au 2 janvier.
Dans tous les cas, la loi autorise l'huissier à employer la force nécessaire pour procéder à l'expulsion, tout en observant les
formalités requises.
La contestation de l'exécution forcée
Le débiteur peut s'opposer à l'exécution forcée, selon le cas, par exemple pour la faire annuler ou y retirer une partie de ses
biens que l'huissier s'apprête à saisir. Il appartiendra alors à la Cour du Québec de se prononcer sur le bien-fondé de
l'opposition.
Voici les modes d'exécution les plus courants :
Pour recouvrer une somme d'argent :
• la saisie de salaire ou de traitement;

• la saisie de comptes de banque ou de caisses d'épargne et de crédit;

• la saisie de biens meubles (exemples : véhicule, ordinateur, magnétoscope, etc.).

Pour l'expulsion du locataire et des autres occupants du logement :
• l'avis d'exécution.

250 - Correspondance transmise - 710879 2

Lorsque la saisie porte sur des meubles, la loi prévoit que le débiteur a le droit de conserver les meubles qui garnissent sa
résidence principale, servent à la vie de celui-ci et qui sont nécessaires à sa vie, jusqu'à concurrence de 7 000 $.

Lorsque la décision résilie le bail pour non-paiement de loyer et que le locataire a payé le loyer dû, les frais et les intérêts
avant la décision, le locateur ne peut plus entreprendre les procédures d'expulsion.

À défaut, le locataire peut s'opposer à cette procédure en s'adressant à la Cour du Québec.

La contestation d'une décision

Nous exposons ci-dessous les moyens les plus courants de contester une décision du Tribunal. Il est important de choisir le
recours approprié à votre situation. Le moyen choisi ne doit cependant pas constituer une démarche abusive ou dilatoire
entreprise, par exemple, pour prolonger inutilement les délais ou empêcher l'exécution de la décision.
a) La rectification:

Il est possible de demander la rectification d'une décision visant à corriger une erreur matérielle (exemple. : erreur de
calcul, oubli de se prononcer sur une partie de la demande, absence d'une signature ou d'une date, erreur dans le
nom d'une partie). Pour que la rectification soit possible, il faut la demander sans délai. Vous devrez assumer des
frais qui vous seront remboursés si le Tribunal accorde la demande de rectification.
b) La rétractation :

Il est possible de demander la rétractation d'une décision dans les cas suivants :

• vous avez été empêché de vous présenter à l'audience pour une raison valable comme, par exemple, une
maladie sérieuse, un accident de voiture, la non-réception d'un avis d'audition. Toutefois, une partie qui a fait
défaut d'aviser le Tribunal et les autres parties de son changement d'adresse ne peut demander la
rétractation d'une décision rendue contre elle en invoquant le fait qu'elle n'a pas reçu l'avis d'audition si
cet avis a été transmis à son ancienne adresse ;
• vous avez été empêché de fournir une preuve en raison d'une fraude, d'un effet de surprise, ou pour toute autre
raison jugée pertinente par le juge administratif;
• le juge administratif ne s'est pas prononcé sur une partie de la demande (exemple : la demande portait sur un
recouvrement de loyer et sur la résiliation du bail, mais le juge administratif ne traite, dans la décision, que du
recouvrement);
• le juge administratif s'est prononcé au-delà de la demande (exemple : la demande faisait état de dommages-
intérêts pour une valeur de 2 000 $ et le Tribunal en accorde 3 000 $).
La demande de rétractation doit se faire dans un délai de 10 jours de la connaissance de la décision ou, selon le
cas, du moment où cesse l'empêchement. Vous devrez assumer des frais qui vous seront remboursés si le Tribunal
accorde la demande de rétractation.

ATTENTION
La demande de rétractation n'est pas un recours en appel et doit être justifiée. Dans le cas d'une demande de
rétractation faite par le défendeur, celui-ci doit y ajouter les arguments de défense qu'il aurait soumis à
l'audience. L'utilisation jugée abusive ou dilatoire de la rétractation par une partie peut entraîner l'émission d'une
ordonnance l'empêchant de produire toute nouvelle demande dans un même dossier sauf avec l'autorisation du président
ou de toute autre personne qu'il désigne. De plus, celle-ci pourrait être condamnée à payer des dommages- intérêts en
réparation du préjudice subi par l'autre partie ainsi qu'à des dommages-intérêts punitifs.

c) La révision :
Il est possible de demander la révision d'une décision lorsqu'elle porte sur la fixation du loyer, la modification d'une
autre condition du bail ou la révision de loyer. Dans certaines circonstances, vous pouvez demander la révision de la
décision du greffier spécial. Renseignez-vous auprès de nos préposés ou consultez le site Internet du Tribunal.
Vous devez en faire la demande dans un délai de 1 mois de la date de la décision. Vous devez également indiquer
clairement dans la demande de révision, les raisons pour lesquelles vous contestez la décision, car l'examen pourrait
se limiter aux questions soumises. Des frais s'appliquent.

d) L'appel à la Cour du Québec :

L'appel à la Cour du Québec doit être autorisé par un juge de cette Cour à la suite d'une requête signifiée à la partie
adverse et produite à son greffe dans les 30 jours de la date de la décision. Des frais s'appliquent.
Aucun appel n'est possible si la décision que l'on veut contester porte sur une demande :

• dont l'objet est la fixation du loyer, la modification d'une autre condition du bail ou la révision de loyer;

• a pour seul objet une somme d'argent qui constitue une petite créance. Visitez le site Web du Tribunal pour
obtenir plus d'informations sur ce qui constitue une petite créance;
• qui est relative à la démolition d'un logement, à l'aliénation d'un immeuble situé dans un ensemble immobilier ou à
la conversion d'un immeuble locatif en copropriété divise;
• qui concerne une autorisation de déposer le loyer.
(English version available upon request)

250 - Correspondance transmise - 710879 3

Tribunal administratif du logement
5199, rue Sherbrooke Est, bureau 2161
Montréal (Québec) H1T 3X1

Stéphanie Major
474, boul. Lajeunesse Ouest #3
Saint-Jérôme (QC)
J5L 2P7

Vous trouverez en pièce(s) jointe(s) la ou les décisions qui vous concernent.

Vous pouvez prendre connaissance, ci-dessous, des explications relatives à l'exécution ou à la contestation d'une
décision du Tribunal administratif du logement.
Les parties doivent reprendre possession des pièces qu'elles ont produites et des documents qu'elles ont transmis
une fois l'instance terminée. À défaut, ces pièces et documents peuvent être détruits à l'expiration d'un délai d'un an
après la date de la décision définitive du Tribunal ou lorsque le litige entre les parties est complètement terminé.

L'exécution de la décision
Si le Tribunal administratif du logement a rendu une décision en faveur du demandeur, le défendeur doit s'y soumettre. À
défaut, le demandeur peut procéder à son exécution forcée après un délai fixé par la loi qui est, dans la plupart des cas, de 30
jours. Le juge administratif peut cependant, dans certains cas, et s'il le juge à propos, ordonner l'exécution immédiate de la
décision ou réduire ce délai.
Lorsque la décision concerne uniquement le recouvrement d'une somme d'argent qui constitue une petite créance (ex. :
recouvrement de loyer ou dommages-intérêts sans résiliation de bail), le délai d'exécution est de 20 jours. Visitez le site Web
du Tribunal pour obtenir plus d'informations sur ce qui constitue une petite créance.

ATTENTION
Avant d'entamer des procédures d'exécution en vue de récupérer une somme d'argent, vous éviterez des frais et des
démarches inutiles si vous connaissez, au sujet du défendeur, les informations suivantes : son adresse, sa solvabilité,
l'importance des biens qu'il possède ainsi que les nom et adresse de son employeur.

L'exécution forcée de la décision

Vous ne pouvez pas entreprendre seul les procédures d'exécution forcée. Vous devez faire appel à un huissier de justice,
sauf si la seule mesure prévue est la saisie auprès d'un tiers des revenus du débiteur (saisie de salaire).
Dans ce dernier cas, vous pouvez préparer vous-même l'avis d'exécution avec l'aide du greffier de la Cour du Québec du
palais de justice situé sur le territoire du logement concerné. L'avis est signé par le greffier et déposé au greffe de la Cour du
Québec. Vous devez ensuite faire parvenir une copie de cet avis, par poste recommandée ou par huissier, au débiteur (la
personne qui est condamnée à vous verser une somme d'argent par la décision du Tribunal) et au tiers saisi (l'employeur).
L'administration des revenus saisis, y compris leur réception et leur distribution, est confiée au greffier de la Cour du Québec.
Les frais d'exécution payés à l'huissier ou au greffier sont à la charge du créancier (celui en faveur de qui la décision est
rendue). Ceux-ci peuvent être réclamés au débiteur dans les limites des tarifs prévus à cette fin. Renseignez-vous auprès du
greffier.
Dans tous les autres cas, par exemple si la décision du Tribunal résilie le bail et ordonne l'expulsion du locataire et des autres
occupants, vous devez retenir les services d'un huissier de justice et lui verser les sommes nécessaires à l'exécution.
L'huissier préparera l'avis d'exécution conformément à vos instructions, le déposera au greffe de la Cour du Québec avec une
copie de la décision, et le signifiera au débiteur.
L'avis d'exécution qui vise l'expulsion d'un locataire et des autres occupants doit être signifié par l'huissier au moins 5 jours
avant la date d'expulsion. Cet avis ordonne au locataire de retirer ses meubles dans le délai qu'il indique ou de payer les frais
engagés pour ce faire, à défaut de quoi ils seront considérés comme ayant été abandonnés. L'huissier peut alors vendre ces
effets mobiliers au bénéfice du locateur créancier, les donner à un organisme de bienfaisance ou, s'ils ne peuvent être
donnés, en disposer autrement à son gré.
Aucune expulsion ne peut toutefois avoir lieu un jour férié ou pendant la période du 24 décembre au 2 janvier.
Dans tous les cas, la loi autorise l'huissier à employer la force nécessaire pour procéder à l'expulsion, tout en observant les
formalités requises.
La contestation de l'exécution forcée
Le débiteur peut s'opposer à l'exécution forcée, selon le cas, par exemple pour la faire annuler ou y retirer une partie de ses
biens que l'huissier s'apprête à saisir. Il appartiendra alors à la Cour du Québec de se prononcer sur le bien-fondé de
l'opposition.
Voici les modes d'exécution les plus courants :
Pour recouvrer une somme d'argent :
• la saisie de salaire ou de traitement;

• la saisie de comptes de banque ou de caisses d'épargne et de crédit;

• la saisie de biens meubles (exemples : véhicule, ordinateur, magnétoscope, etc.).

Pour l'expulsion du locataire et des autres occupants du logement :
• l'avis d'exécution.

250 - Correspondance transmise - 710879 4

Lorsque la saisie porte sur des meubles, la loi prévoit que le débiteur a le droit de conserver les meubles qui garnissent sa
résidence principale, servent à la vie de celui-ci et qui sont nécessaires à sa vie, jusqu'à concurrence de 7 000 $.

Lorsque la décision résilie le bail pour non-paiement de loyer et que le locataire a payé le loyer dû, les frais et les intérêts
avant la décision, le locateur ne peut plus entreprendre les procédures d'expulsion.

À défaut, le locataire peut s'opposer à cette procédure en s'adressant à la Cour du Québec.

La contestation d'une décision

Nous exposons ci-dessous les moyens les plus courants de contester une décision du Tribunal. Il est important de choisir le
recours approprié à votre situation. Le moyen choisi ne doit cependant pas constituer une démarche abusive ou dilatoire
entreprise, par exemple, pour prolonger inutilement les délais ou empêcher l'exécution de la décision.
a) La rectification:

Il est possible de demander la rectification d'une décision visant à corriger une erreur matérielle (exemple. : erreur de
calcul, oubli de se prononcer sur une partie de la demande, absence d'une signature ou d'une date, erreur dans le
nom d'une partie). Pour que la rectification soit possible, il faut la demander sans délai. Vous devrez assumer des
frais qui vous seront remboursés si le Tribunal accorde la demande de rectification.
b) La rétractation :

Il est possible de demander la rétractation d'une décision dans les cas suivants :

• vous avez été empêché de vous présenter à l'audience pour une raison valable comme, par exemple, une
maladie sérieuse, un accident de voiture, la non-réception d'un avis d'audition. Toutefois, une partie qui a fait
défaut d'aviser le Tribunal et les autres parties de son changement d'adresse ne peut demander la
rétractation d'une décision rendue contre elle en invoquant le fait qu'elle n'a pas reçu l'avis d'audition si
cet avis a été transmis à son ancienne adresse ;
• vous avez été empêché de fournir une preuve en raison d'une fraude, d'un effet de surprise, ou pour toute autre
raison jugée pertinente par le juge administratif;
• le juge administratif ne s'est pas prononcé sur une partie de la demande (exemple : la demande portait sur un
recouvrement de loyer et sur la résiliation du bail, mais le juge administratif ne traite, dans la décision, que du
recouvrement);
• le juge administratif s'est prononcé au-delà de la demande (exemple : la demande faisait état de dommages-
intérêts pour une valeur de 2 000 $ et le Tribunal en accorde 3 000 $).
La demande de rétractation doit se faire dans un délai de 10 jours de la connaissance de la décision ou, selon le
cas, du moment où cesse l'empêchement. Vous devrez assumer des frais qui vous seront remboursés si le Tribunal
accorde la demande de rétractation.

ATTENTION
La demande de rétractation n'est pas un recours en appel et doit être justifiée. Dans le cas d'une demande de
rétractation faite par le défendeur, celui-ci doit y ajouter les arguments de défense qu'il aurait soumis à
l'audience. L'utilisation jugée abusive ou dilatoire de la rétractation par une partie peut entraîner l'émission d'une
ordonnance l'empêchant de produire toute nouvelle demande dans un même dossier sauf avec l'autorisation du président
ou de toute autre personne qu'il désigne. De plus, celle-ci pourrait être condamnée à payer des dommages- intérêts en
réparation du préjudice subi par l'autre partie ainsi qu'à des dommages-intérêts punitifs.

c) La révision :
Il est possible de demander la révision d'une décision lorsqu'elle porte sur la fixation du loyer, la modification d'une
autre condition du bail ou la révision de loyer. Dans certaines circonstances, vous pouvez demander la révision de la
décision du greffier spécial. Renseignez-vous auprès de nos préposés ou consultez le site Internet du Tribunal.
Vous devez en faire la demande dans un délai de 1 mois de la date de la décision. Vous devez également indiquer
clairement dans la demande de révision, les raisons pour lesquelles vous contestez la décision, car l'examen pourrait
se limiter aux questions soumises. Des frais s'appliquent.

d) L'appel à la Cour du Québec :

L'appel à la Cour du Québec doit être autorisé par un juge de cette Cour à la suite d'une requête signifiée à la partie
adverse et produite à son greffe dans les 30 jours de la date de la décision. Des frais s'appliquent.
Aucun appel n'est possible si la décision que l'on veut contester porte sur une demande :

• dont l'objet est la fixation du loyer, la modification d'une autre condition du bail ou la révision de loyer;

• a pour seul objet une somme d'argent qui constitue une petite créance. Visitez le site Web du Tribunal pour
obtenir plus d'informations sur ce qui constitue une petite créance;
• qui est relative à la démolition d'un logement, à l'aliénation d'un immeuble situé dans un ensemble immobilier ou à
la conversion d'un immeuble locatif en copropriété divise;
• qui concerne une autorisation de déposer le loyer.
(English version available upon request)

250 - Correspondance transmise - 710879 5

 TRIBUNAL ADMINISTRATIF DU LOGEMENT

BUREAU DE SAINT-JÉRÔME

No dossier : 710879 28 20230526 G No demande : 3917255

Devant le juge administratif : Richard Barbe

GEORGINE SHUM TIM

1214, TECUMSEH
DOLLARD-DES ORMEAUX (QUÉBEC) H9B 2Z2
Locatrice - Partie demanderesse
c.
STÉPHANIE MAJOR
474, BOUL. LAJEUNESSE OUEST #3
SAINT-JÉRÔME (QUÉBEC) J5L 2P7
Locataire - Partie défenderesse

Logement concerné : 474, boul. Lajeunesse Ouest #3

Saint-Jérôme (Québec) J5L 2P7

DÉCISION

[1] La locatrice demande la résiliation du bail et le recouvrement de tous les loyers dus au moment
de l’audience. Comme deuxième motif de résiliation, il invoque que le locataire paie fréquemment son
loyer en retard. Elle demande également l'exécution provisoire de la décision malgré l'appel.

LES FAITS PERTINENTS

[2] Le Tribunal constate qu’aucune preuve de notification n’a été déposée au dossier dans un délai
de 45 jours suivant l’introduction de la demande.
[3] À l’audience, la locatrice ne produit aucune preuve de notification de la demande.
[4] Nous sommes donc en présence d’un cas où il y a absence pure et simple de notification de la
demande.

ANALYSE ET DÉCISION

[5] Les articles 56, 56.1 et 56.2 de la Loi sur le Tribunal administratif du logement1 se lisent comme
suit :
« 56. Une partie qui produit une demande doit en notifier une copie à l’autre partie.
La notification de la demande peut être faite par tout mode approprié qui permet à celui qui
notifie de constituer une preuve de la remise ou de la publication du document.
Elle l’est notamment par l’huissier de justice, par l’entremise de la poste recommandée, par la
remise du document en mains propres par un service de messagerie, par un moyen
technologique ou par avis public.
Quel que soit le mode de notification utilisé, la personne qui accuse réception du document ou
reconnaît l’avoir reçu est réputée avoir été valablement notifiée. »
(Le Tribunal souligne)

1 RLRQ, c. T-15.01.
270 - Décision - 710879 6
No dossier : 710879 28 20230526 G No demande : 3917255 Page 2

« 56.1. Lors de sa notification, la demande doit être accompagnée des pièces à son soutien ou
d’une liste des pièces indiquant que celles-ci sont accessibles sur demande. »
« 56.2. La preuve de la notification ainsi qu’une liste des pièces au soutien de la demande
doivent être déposées au dossier du Tribunal. Ce dernier peut refuser de convoquer les parties
en audience tant que ces documents n’ont pas été déposés.
Si la preuve de notification n’est pas déposée dans les 45 jours suivant l’introduction de la
demande, cette dernière est alors périmée et le Tribunal ferme le dossier.
Le présent article n’a pas pour effet d’empêcher le Tribunal de convoquer les parties sans délai
lorsqu’il le juge approprié, auquel cas la preuve de notification de la demande doit être produite
à l’audience sous peine du rejet de la demande. »
(Le Tribunal souligne)

[6] CONSIDÉRANT que la locatrice n’a pas déposé au dossier la preuve de notification dans les
45 jours suivant l’introduction de la demande;
[7] CONSIDÉRANT que la locatrice n’a pas produit une preuve de notification de la demande à
l’audience;
[8] CONSIDÉRANT l’article 56.2 de la Loi sur le Tribunal administratif du logement;

POUR CES MOTIFS, LE TRIBUNAL :

[9] DÉCLARE la demande périmée et FERME le dossier.

Le 25 juillet 2023

Richard Barbe

Présence(s) : la locatrice

Date de l’audience : 20 juillet 2023

RB/rc

270 - Décision - 710879 7

220 - Procès-verbal - 710879 8
 Tribunal administratif du logement
5199, rue Sherbrooke Est, bureau 2360 AVIS D'AUDITION
Montréal (Québec) H1T 3X1

Avis expédié à :

Georgine Shum Tim

1214, Tecumseh
Dollard-Des Ormeaux (QC)
H9B 2Z2

Adresse du logement concerné :

Dossier : 710879 474, boul. Lajeunesse Ouest #3
Demande : 3917255 Demande (P) Saint-Jérôme (QC) J5L 2P7

Demandeur(s): Défendeur(s) :
Georgine Shum Tim Stéphanie Major
Veuillez prendre avis que le Tribunal procédera le :
20 juillet 2023 à 10:00
au Tribunal administratif du logement - Saint-Jérôme
500, boul. des Laurentides, Porte ext. P8
Saint-Jérôme (QC)
J7Z 4M2
Salle: 1497.03
à l'audition de la demande ayant pour objet : Recouvrement du loyer
Résiliation du bail - retards fréquents dans le
paiement du loyer
Résiliation du bail - retard de plus de 3 semaines
dans le paiement du loyer
Veuillez vous présenter à l'heure et apporter cet avis d'audition. Veuillez également apporter tous les documents relatifs à
cette demande ainsi que des copies pour les autres parties.

RENSEIGNEMENTS SUR L'AUDIENCE

Vous trouverez, au verso, les informations pour vous préparer à l'audience.

COMMENT NOUS JOINDRE PAR TÉLÉPHONE

Du lundi au vendredi entre 8h30 et 16h30

Région de Montréal : (514) 873-BAIL (2245)*
Autres régions : 1-800 683-BAIL (2245)*

* Service de renseignements automatisé offert 24 heures sur 24.

Afin de faciliter l'entretien téléphonique, veuillez d'abord réunir tous les documents utiles.

ADRESSE DU SITE INTERNET DU TRIBUNAL

www.tal.gouv.qc.ca

À l'usage du Tribunal administratif du logement

No de RN :
No de rôle : 28 232468 J
Envoi du : 2023-06-21

201 - Avis d'audition - 710879 9

 COMMENT SE PRÉPARER À L'AUDIENCE

Le déroulement de l'audition
Dès la réception de l'avis d'audition transmis par le Tribunal, assurez-vous de relire attentivement la demande, de regrouper tous
les documents nécessaires pour faire votre preuve, identifiez les témoins dont vous aurez besoin à l'audience et, s'il y a lieu, de
les convoquer au moyen d'une citation à comparaître.
Vous devez vous présenter au lieu, à la date et à l'heure indiqués sur l'avis d'audition. Le Tribunal peut rendre une décision
même en votre absence.
Dès le début de l'audience, les parties s'identifient. À tour de rôle, elles sont assermentées, c'est-à-dire qu'elles affirment
solennellement ne dire que la vérité, rien que la vérité puis elles présentent leur preuve et leurs témoins. La partie
demanderesse commence en premier. Chacune des parties a le droit de poser des questions aux témoins. Tout au long de
l'audience, le juge administratif apporte un secours équitable et impartial à chacune des parties.
L'audience ne doit porter que sur le contenu de la demande et des amendements. Le juge administratif peut refuser d'entendre
un témoin ou de recevoir une preuve si cela n'est pas pertinent pour rendre sa décision.
Vous pouvez être assisté par une personne de confiance lors de l'audition, pour toute cause jugée suffisante, notamment en
raison de votre âge, votre état de santé, votre situation de vulnérabilité ou votre niveau de maîtrise de la langue. Cette
assistance doit être obtenue gratuitement. Elle peut vous rassurer, vous aider à manipuler les documents à les lire et à les
comprendre, toutefois cette personne ne peut pas vous représenter.
Le mandat de représentation
Une personne physique peut être représentée par son conjoint ou par un avocat. Elle peut aussi être représentée par un parent,
un allié ou un ami à certaines conditions. Une personne morale peut être représentée par un administrateur, un dirigeant, un
employé à son seul service, ou un avocat. La partie représentée par un mandataire autre qu'un conjoint ou un avocat doit fournir
au Tribunal un mandat écrit, signé et indiquant, dans le cas d'une personne physique, les causes qui l'empêchent d'agir par elle-
même. Ce mandat doit être gratuit. À l'audience, votre mandataire agit en votre nom. Il doit avoir une connaissance personnelle
des faits ou être en mesure de prouver ces faits par des témoins ou autrement, comme vous l'auriez fait.
Un avocat ne peut agir en votre nom si la demande ne concerne qu'une réclamation de 15 000$ ou moins.
La preuve
Lisez attentivement la demande et les amendements s'il y a lieu; vous y trouverez tous les éléments à prouver, à préciser ou à
contredire lors de l'audition. Identifiez les documents nécessaires et les témoins qui vous permettront de faire votre preuve.
Selon la nature de la demande, voici les preuves que vous pourriez être tenu de présenter :

Documents • Le bail de l'ancien locataire dans un cas de

fixation de loyer par un nouveau locataire;
• Le mandat de représentation (s'il y a lieu);
• Les factures et preuves de paiement;

• Le bail;
• Les photographies¸;

• Les avis requis par la loi (par exemple : avis du

bail) avec preuve d'envoi et de réception; • Les relevés de température, de taux d'humidité;

• La correspondance échangée; • Tout autre document utile.

À noter : Les pétitions ne sont admises que dans le cas où les signataires sont présents à l'audition.

Témoignage
Pour vous assurer de la présence d'un témoin, il faut le convoquer au moyen d'une citation à comparaître émise par un
juge administratif ou un greffier spécial du Tribunal. La citation a comparaître peut également être émise par votre
avocat. La citation à comparaître doit être signifiée au témoin, par huissier et à vos frais, au moins 3 jours avant la date
d'audition prévue. Le témoin doit avoir une connaissance personnelle et directe des faits. Avoir entendu dire que des
faits se sont produits ou que des paroles ont été prononcées ne prouve ni ces faits, ni ces paroles.
Selon la nature de la demande, vous pourriez avoir besoin du témoignage d'un estimateur ou d'un expert. Ce témoin
doit être présent à l'audience pour présenter son estimation ou son expertise. N'oubliez pas de le convoquer également
par citation à comparaître.
Dans certains cas, le rapport ou tout autre document signé par un médecin, un policier, un pompier ou un inspecteur
peut être déposé en preuve et tenir lieu de témoignage. Si une partie demande la présence du signataire de tel rapport
et que le Tribunal est d'avis que la production du rapport aurait été suffisant, il peut condamner cette partie au paiement
des frais.

La remise
Vous pouvez obtenir la remise de l'audience à une date postérieure en produisant le consentement écrit de l'autre partie. À
défaut, vous ou votre mandataire pouvez demander une remise par écrit ou verbalement à l'audience. Dans ce cas, la demande
de remise n'est pas accordée automatiquement. Il appartient au juge administratif d'apprécier le bien-fondé de votre demande.
La reprise de possession des pièces
Les parties doivent reprendre possession des pièces qu'elles ont produites et des documents qu'elles ont transmis une fois
l'instance terminée. À défaut, ces pièces et documents peuvent être détruits à l'expiration d'un délai d'un an après la date de la
décision définitive du Tribunal ou lorsque le litige entre les parties est complètement terminé.
(English version of « How to prepare for a hearing » available upon request)

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 Tribunal administratif du logement
5199, rue Sherbrooke Est, bureau 2360 AVIS D'AUDITION
Montréal (Québec) H1T 3X1

Avis expédié à :

Stéphanie Major
474, boul. Lajeunesse Ouest #3
Saint-Jérôme (QC)
J5L 2P7

Adresse du logement concerné :

Dossier : 710879 474, boul. Lajeunesse Ouest #3
Demande : 3917255 Demande (P) Saint-Jérôme (QC) J5L 2P7

Demandeur(s): Défendeur(s) :
Georgine Shum Tim Stéphanie Major
Veuillez prendre avis que le Tribunal procédera le :
20 juillet 2023 à 10:00
au Tribunal administratif du logement - Saint-Jérôme
500, boul. des Laurentides, Porte ext. P8
Saint-Jérôme (QC)
J7Z 4M2
Salle: 1497.03
à l'audition de la demande ayant pour objet : Recouvrement du loyer
Résiliation du bail - retards fréquents dans le
paiement du loyer
Résiliation du bail - retard de plus de 3 semaines
dans le paiement du loyer
Veuillez vous présenter à l'heure et apporter cet avis d'audition. Veuillez également apporter tous les documents relatifs à
cette demande ainsi que des copies pour les autres parties.

RENSEIGNEMENTS SUR L'AUDIENCE

Vous trouverez, au verso, les informations pour vous préparer à l'audience.

COMMENT NOUS JOINDRE PAR TÉLÉPHONE

Du lundi au vendredi entre 8h30 et 16h30

Région de Montréal : (514) 873-BAIL (2245)*
Autres régions : 1-800 683-BAIL (2245)*

* Service de renseignements automatisé offert 24 heures sur 24.

Afin de faciliter l'entretien téléphonique, veuillez d'abord réunir tous les documents utiles.

ADRESSE DU SITE INTERNET DU TRIBUNAL

www.tal.gouv.qc.ca

À l'usage du Tribunal administratif du logement

No de RN :
No de rôle : 28 232468 J
Envoi du : 2023-06-21

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 COMMENT SE PRÉPARER À L'AUDIENCE

Le déroulement de l'audition
Dès la réception de l'avis d'audition transmis par le Tribunal, assurez-vous de relire attentivement la demande, de regrouper tous
les documents nécessaires pour faire votre preuve, identifiez les témoins dont vous aurez besoin à l'audience et, s'il y a lieu, de
les convoquer au moyen d'une citation à comparaître.
Vous devez vous présenter au lieu, à la date et à l'heure indiqués sur l'avis d'audition. Le Tribunal peut rendre une décision
même en votre absence.
Dès le début de l'audience, les parties s'identifient. À tour de rôle, elles sont assermentées, c'est-à-dire qu'elles affirment
solennellement ne dire que la vérité, rien que la vérité puis elles présentent leur preuve et leurs témoins. La partie
demanderesse commence en premier. Chacune des parties a le droit de poser des questions aux témoins. Tout au long de
l'audience, le juge administratif apporte un secours équitable et impartial à chacune des parties.
L'audience ne doit porter que sur le contenu de la demande et des amendements. Le juge administratif peut refuser d'entendre
un témoin ou de recevoir une preuve si cela n'est pas pertinent pour rendre sa décision.
Vous pouvez être assisté par une personne de confiance lors de l'audition, pour toute cause jugée suffisante, notamment en
raison de votre âge, votre état de santé, votre situation de vulnérabilité ou votre niveau de maîtrise de la langue. Cette
assistance doit être obtenue gratuitement. Elle peut vous rassurer, vous aider à manipuler les documents à les lire et à les
comprendre, toutefois cette personne ne peut pas vous représenter.
Le mandat de représentation
Une personne physique peut être représentée par son conjoint ou par un avocat. Elle peut aussi être représentée par un parent,
un allié ou un ami à certaines conditions. Une personne morale peut être représentée par un administrateur, un dirigeant, un
employé à son seul service, ou un avocat. La partie représentée par un mandataire autre qu'un conjoint ou un avocat doit fournir
au Tribunal un mandat écrit, signé et indiquant, dans le cas d'une personne physique, les causes qui l'empêchent d'agir par elle-
même. Ce mandat doit être gratuit. À l'audience, votre mandataire agit en votre nom. Il doit avoir une connaissance personnelle
des faits ou être en mesure de prouver ces faits par des témoins ou autrement, comme vous l'auriez fait.
Un avocat ne peut agir en votre nom si la demande ne concerne qu'une réclamation de 15 000$ ou moins.
La preuve
Lisez attentivement la demande et les amendements s'il y a lieu; vous y trouverez tous les éléments à prouver, à préciser ou à
contredire lors de l'audition. Identifiez les documents nécessaires et les témoins qui vous permettront de faire votre preuve.
Selon la nature de la demande, voici les preuves que vous pourriez être tenu de présenter :

Documents • Le bail de l'ancien locataire dans un cas de

fixation de loyer par un nouveau locataire;
• Le mandat de représentation (s'il y a lieu);
• Les factures et preuves de paiement;

• Le bail;
• Les photographies¸;

• Les avis requis par la loi (par exemple : avis du

bail) avec preuve d'envoi et de réception; • Les relevés de température, de taux d'humidité;

• La correspondance échangée; • Tout autre document utile.

À noter : Les pétitions ne sont admises que dans le cas où les signataires sont présents à l'audition.

Témoignage
Pour vous assurer de la présence d'un témoin, il faut le convoquer au moyen d'une citation à comparaître émise par un
juge administratif ou un greffier spécial du Tribunal. La citation a comparaître peut également être émise par votre
avocat. La citation à comparaître doit être signifiée au témoin, par huissier et à vos frais, au moins 3 jours avant la date
d'audition prévue. Le témoin doit avoir une connaissance personnelle et directe des faits. Avoir entendu dire que des
faits se sont produits ou que des paroles ont été prononcées ne prouve ni ces faits, ni ces paroles.
Selon la nature de la demande, vous pourriez avoir besoin du témoignage d'un estimateur ou d'un expert. Ce témoin
doit être présent à l'audience pour présenter son estimation ou son expertise. N'oubliez pas de le convoquer également
par citation à comparaître.
Dans certains cas, le rapport ou tout autre document signé par un médecin, un policier, un pompier ou un inspecteur
peut être déposé en preuve et tenir lieu de témoignage. Si une partie demande la présence du signataire de tel rapport
et que le Tribunal est d'avis que la production du rapport aurait été suffisant, il peut condamner cette partie au paiement
des frais.

La remise
Vous pouvez obtenir la remise de l'audience à une date postérieure en produisant le consentement écrit de l'autre partie. À
défaut, vous ou votre mandataire pouvez demander une remise par écrit ou verbalement à l'audience. Dans ce cas, la demande
de remise n'est pas accordée automatiquement. Il appartient au juge administratif d'apprécier le bien-fondé de votre demande.
La reprise de possession des pièces
Les parties doivent reprendre possession des pièces qu'elles ont produites et des documents qu'elles ont transmis une fois
l'instance terminée. À défaut, ces pièces et documents peuvent être détruits à l'expiration d'un délai d'un an après la date de la
décision définitive du Tribunal ou lorsque le litige entre les parties est complètement terminé.
(English version of « How to prepare for a hearing » available upon request)

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