Claude Ptolémée TEXTE

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INTRODUCTION 

Du début du Moyen Âge central (XIIe siècle) à la Renaissance (XVe-XVIIe siècles),


l’Europe redécouvre les sciences et savoirs grecs antiques, ignorés ou perdus de vue
depuis très longtemps, par l’intermédiaire de la traduction latine de textes des savants
musulmans et byzantins qui en avaient assuré la transmission.

Dans la vieille Antiquité, les astronomes croyaient qu’on pouvait lire la destinée des


hommes dans les astres, l’observation du ciel était d’ailleurs réservée aux prêtres, qui étaient
alors considérés comme des fonctionnaires chargé d’annoncer après examen du ciel les
évènements intéressant l’état. Il fallut attendre le VIème siècle avant J.C. et l’apport des
savants grecs, pour que s’instaure enfin une rationalité scientifique, basée sur des
observations précises et rigoureuses, écartant magie, astrologie et surnaturel dans
l’interprétation des phénomènes célestes …

Deux personnages majeurs émergent alors, éclipsant de leur renommée leurs


innombrables prédécesseurs : Aristote (– IVe siècle) et Ptolémée (+ IIe siècle). Comme
presque toujours dans l’antiquité, leurs savoirs respectifs concernaient de très nombreux
domaines des connaissances théoriques et pratiques, de la physique à la métaphysique
incluse. Cependant l’œuvre d’Aristote était surtout celle d’un philosophe et d’un penseur
embrassant tous les champs des savoirs, alors que celle de Ptolémée était davantage
celle d’un scientifique cherchant à élucider les lois physiques de la nature.

Parmi ces savoirs hellénistiques redécouverts figuraient l’astronomie, la géographie et


l’astrologie auxquels Ptolémée, à la fois astrologue et astronome, avait consacré plusieurs
ouvrages. Ceux-ci devinrent alors les références dominantes dans leurs domaines
respectifs jusqu’à la fin du XVIIe siècle, soit pendant une durée d’environ 1500 ans à partir
de leur première publication et de 500 ans à partir de leur redécouverte.

I/ UNE VIE MAL CONNUE

Ptolémée , en latin Claudius Ptolemaeus était un astronome


mathématicien et géographe égyptien d' origine grecque. (Son origine est aussi mal connue,
certains font le parallèle entre son nom et la dynastie des Ptolémée, famille royale
égyptienne, affirmant qu’il aurait voulu se faire un nom à travers ses recherches
scientifiques. D’autres, en se basant sur son nom « Claude » pense qu’il aurait plutôt eu une
origine romaine. ) On ne peut affirmer avec certitude la date et le lieu de sa naissance. On
pense qu’il est peut-être né en 90 après Jésus Christ dans la ville grecque de Ptolémaïs
d’Hermias dans la province de Thébaïde en haute Egypte (qui appartenait à l’époque à la
Grèce). Référence parmi les astronomes de l’antiquité, pratiquement rien n'est connu de la
vie de Ptolémée, sauf ce qui peut être déduit de ses écrits. Il passe la plus grande partie de
sa vie à Alexandrie au IIe siècle de notre ÈRE. Ptolémée suit les traces d’Hipparque (dont il
est l’exécuteur testamentaire) à l’école d’Alexandrie, véritable usine à savants … Son œuvre
s’étend sur des sujets comme l’astronomie, les mathématiques, la géographie, l’optique et
même la musique.   Dans plusieurs domaines, ses écrits représentent l'aboutissement de la
science gréco-romaine , en particulier sa modèle de l' univers maintenant connu sous le nom
de système ptolémaïque .

ASTRONOMIE

Ptolémée a écrit plusieurs ouvrages importants sur l'astronomie et dont le plus célèbre est
la Composition Mathématique, connu depuis les arabes sous le nom d'Almageste (de al=le
et magistos=très grand), un traité en 13 livres sur l'astronomie qui a été utilisé pendant des
siècles comme ouvrage principal de référence sur le sujet. Il y rassemble près de 9 siècles
d'observations astronomiques accumulés par les babyloniens, les byzantins et les grecs. A
ce jour, c’est le seul ouvrage d'astronomie antique qui nous sois parvenu complet. Il y décrit
sa théorie de l'univers géocentrique et donne des méthodes pour prédire les mouvements
des planètes et autres corps célestes. Sa théorie de l'univers géocentrique a été largement
acceptée pendant des siècles et a été utilisée comme base pour l'astronomie jusqu'à ce que
la théorie héliocentrique de Copernic ne soit publiée au XVI8e siècle.
Ce traité rend hommage à Hipparque de Nicée dont il emploie perpétuellement les données,
prétend les vérifier et ajoute ses propres observations.
Dans les livres I et II, Ptolémée présente et justifie des postulats fondamentaux de
l’astronomie, pose les bases de la trigonométrie, expose une théorie des climats, …
Le livre III traite du soleil (définition de l’année solaire, mouvements, …) alors que dans les
livres IV à VII, il étudie plus précisément la lune (périodes lunaires, mouvements, diamètre,
prédictions d’éclipses,…).
Le livre VIII est un catalogue de plus d’un millier de corps célestes (étoiles, constellations,
…) référencés par leur magnitude, leur mouvement, …
Les derniers livres traitent des planètes.
Dans ce traité, Ptolémée donne une description mathématique du mouvement des planètes.
Il se place dans la continuité d'Aristote, adoptant le géocentrisme. Cette vision de Ptolémée,
s’attache à des concepts philosophiques et conçoit la Terre, crée par Dieu pour les hommes,
comme le centre de l’Univers. Les planètes et les astres se muent autour en suivant des
orbites circulaires parfaites. Le géocentrisme possède deux « principes» :
-la Terre est le centre de l'univers, immobile de lieu (par an) et de position (par jour) : les
changements des saisons et de jour et nuit se font donc par mouvements extérieurs à la
Terre.
-les mouvements des planètes (au sens ancien, le mot planète inclut le Soleil et la Lune,
mais pas la Terre) doivent être parfaits, donc seul le cercle est autorisé, les mouvements
angulaires ou rectilinéaires étant considérés comme brusquement abrupts, forcés.
Dans ce système, Ptolémée voit d’abord l’orbite de la Lune puis suivent, en s’éloignant de la
Terre, ceux de Mercure, de Vénus, du Soleil, de Mars, de Jupiter et enfin de Saturne.
Il perfectionne également la théorie d'Hipparque au sujet des épicycles : une planète tourne
autour d’un « petit » cercle, son épicycle, dont le centre immatériel tourne lui-même autour
de la terre suivant un cercle plus grand appelé déférent. En réalité, il ne voit pas la Terre
exactement au centre de ce grand cercle déférent ; un léger décalage obéit à la loi des
équants... Les améliorations proposées par Ptolémée permettent de mieux prendre en
compte la variation des vitesses apparentes des planètes. Cette théorie est très
perfectionnée et, elle a beau être fausse, elle fonctionne très bien, permettant de prédire par
exemple les éclipses avec une grande précision.
Pour ces besoins en astronomie, Ptolémée doit faire usage de beaucoup de trigonométrie. Il
en décrit de nombreux résultats dans l'Almageste. Nous reviendrons plus tard sur cette
notion.
Cependant les calculs des rayons des épicycles des planètes et des déférents ne
permettront pas à Ptolémée d’expliquer et ainsi de valider sa théorie du géocentrisme. Du
reste, cinq siècles avant Ptolémée, Aristarque de Samos (-310 ; -230) avait fait l’hypothèse
que la terre tournait sur elle-même autour du soleil.
Et pourtant, le géocentrisme laissera le monde scientifique dans l’erreur jusqu’à ce
que Nicolas Copernic (1473-1543) corrige cette théorie au profit de l’héliocentrisme (les
planètes tournent autour du soleil). Malgré le rejet du géocentrisme, Copernic garde la notion
d’épicycle comme un élément fondamental du mouvement des planètes.
Plus tard, Johannes Kepler (1571 ; 1630) découvrira que leur trajectoire est elliptique et non
pas circulaire. Mais alors comment peut-on justifier le fait. Que cette théorie à perduré
pendant de nombreuses années. L’engouement derrière la théorie de Ptolémée est causé
par la concordance avec des observations faites par les astronomes mais aussi avec les
Saintes Écritures qui placent elles aussi la Terre comme centre de l'univers ce qui ne déplaît
pas à l’Église. A partir de cette époque avec Copernic, l’Almageste perd son statut de «
megistos » (le plus grand !) et le « mythe Ptolémée » s’effondre. Certains historiens mettent
en effet en doute la paternité de ses travaux. Ptolémée se serait approprié les observations
d’Hipparque, aurait dissimulé celles qui ne concordaient pas avec sa théorie des épicycles et
en aurait arrangées certaines pour l’appuyer !
GEOGRAPHIE

Après l’astronomie, le deuxième grand domaine de prédilection de Ptolémée est la


géographie. Son ouvrage Géographie est une œuvre majeure d’une importance historique
considérable.
Les erreurs qu’elle comporte sur les coordonnées des lieux n'ôtent en rien à cet ouvrage,
justement célèbre, le mérite d'être le meilleur et le plus complet résumé de la géographie du
monde de l’empire romain. Cet ouvrage en 8 livres décrit les régions connues du monde de
l'époque et qui est considéré comme l'un des premiers atlas de l'histoire. Il y inclut des cartes
du monde et de nombreux renseignements sur les régions et les villes de l'époque.

En s’appuyant sur l’œuvre du géographe Marinus de Tyr (IIe siècle), Ptolémée dresse des


tables de longitudes et latitudes pour des lieux connus et dessine une carte du monde. Il
évalue également la circonférence de la terre à 180 000 stades. Mais ce résultat est plus
éloigné de la réalité que celui obtenu trois siècles plus tôt par Eratosthène de Cyrène qui
avait calculé 250 000 stades (soit 40 000 km). Pour construire ce traité, Ptolémée s’est basé
sur les récits que lui rapportaient les grands voyageurs de l’époque. Ce qui n’est pas
étonnant que les cartes dessinées par Ptolémée comportent un grand nombre d’erreurs.
Ptolémée ne pouvait que se baser sur des données qu’on lui rapportait, et comme il savait
que les voyageurs avaient l’habitude de donner de trop grandes distances par rapport à la
réalité, souvent il les divisait par deux pour tenter d’obtenir quelque chose de fiable.

ASTROLOGIE

Ptolémée a écrit sur l'astrologie dans son ouvrage "Tetrabiblos", dans lequel il a
Dans l’introduction au
décrit les bases de l'astrologie grecque de l'époque.
er
Livre I  de sa Tétrabible, il expose clairement la différence entre
astronomie et astrologie, et il le fait de la manière la plus rationnelle :
l’astronomie, “la première, par le rang et l’efficacité, nous permet de
connaître les positions relatives que le Soleil, la Lune et toutes les
planètes adopteront à tout moment entre eux et par rapport à la Terre,
du fait de leurs mouvements” ; l’astrologie, “la seconde, par l’analyse
des caractères naturels propres à ces configurations relatives, nous fait
détecter les changements qu’elles provoquent dans le ‘contenu’ qu’elles
englobent”.
Selon lui, les mouvements des planètes et leur position par rapport aux étoiles
influencent les événements sur Terre et peuvent être utilisés pour prédire
l'avenir. Ptolémée a également développé une théorie selon laquelle chaque
planète exerce une influence particulière sur les différents aspects de la vie
humaine, tels que l'amour, la santé et le succès professionnel.
A la suite de la découverte d’Hipparque les savants distinguèrent
l’année tropique, intervalle de temps séparant deux équinoxes de
printemps, et l’année sidérale, intervalle de temps au bout duquel les
étoiles et le Soleil retrouvent à l’identique leurs positions relatives
antérieures.

Le zodiaque tel que le conçoit et l’explique très clairement Ptolémée


n’est pas celui des constellations (zodiaque sidéral) mais celui des Signes
(zodiaque tropical). On peut même affirmer qu’il est un des très rares
astrologues de son temps, et même des siècles passés depuis la
découverte d’Hipparque, et à raison, que le vrai zodiaque est le tropique.

L'astrologie a été très populaire pendant de nombreux siècles et a été pratiquée


par de nombreuses cultures à travers le monde. Cependant, elle n'est pas
considérée comme une science par la plupart des scientifiques modernes et il n'y a
pas de preuves scientifiques de son efficacité dans la prédiction de l'avenir ou de
l'influence des corps célestes sur les événements terrestres. En général, la plupart
des scientifiques indiquent l'astrologie comme une superstition ou une pratique
pseudo-scientifique.

MUSIQUE

Ptolémée a également écrit sur la musique dans son ouvrage "Harmonique". Dans ce traité,
il étudie la relation entre les notes de musique et les proportions mathématiques, ainsi que la
manière dont ces proportions peuvent être utilisées pour créer des accords et des gammes
musicales.
Ptolémée a également proposé une théorie de la consonance et de la dissonance musicale.
Selon lui, les sons consonnes sont ceux qui ont des fréquences proches, telles que les notes
qui sont proches l'une de l'autre sur une gamme musicale. Les sons dissonants, en
revanche, ont des fréquences éloignées et sont perçus comme moins agréables à l'oreille.
Cette théorie de la consonance et de la dissonance a été largement acceptée pendant de
nombreux siècles et a été utilisée comme base pour la composition musicale.
Cet ouvrage se rattache par ailleurs à l'astronomie par un concept philosophique et
esthétique de la musique : l’harmonie des sphères célestes. Tout comme Pythagore de
Samos (-569 ; -475), il voit dans le mouvement des planètes une harmonie musicale.

MATHEMATIQUES

En géométrie, Ptolémée est un des premiers à tenter de démontrer le cinquième postulat


des Eléments d’Euclide d’Alexandrie (-320? ; -260?).
Une autre discipline des mathématiques est la trigonométrie. Celle-ci et est une branche des
mathématique qui étudie les relations entre les angles et les longueurs des côtés des
triangles. Elle est utilisée dans de nombreuses applications, telles que la géodésie (étude
des formes et des dimensions de la Terre), l'astronomie (pour mesurer les distances et les
angles entre les corps célestes) et l'ingénierie (pour calculer les forces et les contraintes
dans les structures).
Ptolémée a également développé une méthode pour résoudre des triangles, c'est-à-dire pour
trouver les longueurs de leurs côtés et les mesures de leurs angles lorsque certaines de ces
quantités sont connues. Cette méthode est connue sous le nom de "théorème de Ptolémée"
et elle est encore utilisée de nos jours. On retrouve ce théorème élégant dans le livre I de
l’Almageste : Ce théorème dit :
Dans un quadrilatère convexe inscrit dans un cercle, le produit des longueurs des
diagonales est égal à la somme des produits des longueurs des côtés opposés.
AC x BD = AB x DC + AD x BC
Ptolémée a étudié la trigonométrie dans son ouvrage "Géométrie", dans lequel il a décrit de
nombreux résultats importants sur les triangles et les cercles. Ses travaux en trigonométrie,
intimement liés à ceux en astronomie, sont en partie empruntés à Hipparque de Nicée (-
180 ; -125). Il fournit, en base sexagésimale, une table des cordes ce qu'on appelle
aujourd'hui les fonctions trigonométriques de base : sinus, cosinus et tangente.
Ptolémée obtient ainsi une excellente approximation du nombre Pi, soit : 3 + 8/60 +
30/602 en base sexagésimale, ou encore environ 3,1417 dans l’écriture d’aujourd’hui.

Les tables numériques de Ptolémée donnent les longueurs, en base 60 (système


sexagésimal), des cordes de cercles lorsque le rayon est choisi égal à 60. Une corde
est définie par l'angle au centre â :
   

Bien remarquer que si l'arc AB est proportionnel à â, il n'en n'est rien de la corde
[AB] dont on peut facilement vérifier qu'elle mesure 2HB = 2rsin(â/2) où r désigne
le rayon du cercle. L'angle â varie de 0° à 180° et la précision est d’un demi degré.

Ptolémée donne, en base 60, pour un rayon de 60, le nombre n = 1 + 2/60 +


50/602 comme longueur de la corde de 1°.

Le nombre π est le quotient de la circonférence par le diamètre (» paternité de


l'appellation π : Oughtred, Jones). La circonférence est ici 360 × n et le diamètre est
120. Ainsi, notre célèbre nombre π vaudra 360n/120 = 3n . Soit, en base 60 :

3 + 6/60 + 150/ 602 = 3 + 6/60 + 120/ 602 + 30/ 602

Ainsi, pour Ptolémée :

π = 3 + 8/60 + 30/ 602 = 3,141666...              Pas mal !

OPTIQUE

Ptolémée a écrit un ouvrage sur l'optique, intitulé "Optiques", qui était l'un des premiers
traités sur le sujet il est découpé en 5 livres. Les textes sont perdus, mais les quatre derniers
livres existent dans une traduction latine faite sur une traduction arabe.
Dans cet ouvrage, il discute de la nature de la lumière et de la manière dont elle se propage.
Il a également envisagé les lentilles et leur utilisation dans les instruments optiques, comme
les lunettes et les télescopes.
Ce livre contient une exposition du système du monde, dont l’immense influence dure près de quinze
siècles. PTOLEMEE entreprend des recherches détaillées pour caractériser l’importance de la
réfraction selon les angles d’incidence et les milieux traversés. Pour mesurer les angles, il se sert d’un
disque dont chaque quart est divisé en 90 parties. Ce disque est plongé verticalement dans un
récipient (voir schéma) Une marque colorée est placée en un point donner de la circonférence au-
dessus de l’eau. Cette marque le centre du disque et l’œil de l’observateur sont alignés. Il déplace
alors une baguette le long de la circonférence du quart de cercle immergé jusqu’à ce que l’extrémité
de la baguette apparaisse alignée avec la marque colorée et le centre du disque. Il lui est ainsi
possible de déterminer l’angle d’incidence et l’angle de réfraction.
Ptolémée a également proposé une explication de l'apparition des images inversées dans
les instruments optiques. Selon lui, la lumière voyage en lignes droites et lorsqu'elle entre
dans un instrument optique, comme une lentille, elle est réfractée, c'est-à-dire qu'elle change
de direction. Lorsque la lumière sort de l'instrument, elle forme une image, mais celle-ci est
inversée par rapport à l'objet original. Cette explication de l'inversion de l'image était
incorrecte, mais elle a été largement acceptée jusqu'à ce que les lois de la réfraction de la
lumière soient mieux comprises au XVIIe siècle.

ASTROLABE

In instrument astronomique d'observation et de calcul analogique. Instrument aux fonctions


multiples, il permet notamment de mesurer la hauteur des étoiles, dont le soleil, et ainsi de
déterminer l'heure de l'observation et la direction de l'astre.

CONCLUSION :

Ptoleme a été l'un des scientifiques les plus importants de l'Antiquité et ses travaux ont eu
une grande influence sur l'astronomie, la géographie et d'autres domaines de la science.
Bien que certaines théories étaient abandonnées au fil du temps, ces contributions ont été
déterminantes dans l'histoire de la science et ont ouvert la voix à de nombreuses
découvertes ultérieures. Sa théorie de l'univers géocentrique a notamment été un élément
clé de la révolution scientifique qui a eu lieu au 17e siècle et qui a conduit à la théorie
héiocentrique de Copernic.

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