21 PSICPrep

PSI REVISIONS D’ORAL Mercredi 13 juin 2022
2021/2022 ELEMENTS DE REPONSE

Thème : Conversion de puissance
Exercices
CP 03 bis Hacheur à 4 interrupteurs : (Yannick Parmentier, école de l’air 2006, Damien
Jeunesse TPE 2010)
Réponse : <P>=EIo(2-1)
CP 06 Etude d’un moteur à excitation indépendante

Réponses : 2. EN = 231V ; PN = 6,93 kW ; N = 44,1 N.m ; Pj = 270 W. 3.  =    Udmin =
13,5 V ; dmax = 66,2 N.m 5. I = 23,8 A ; E = 200 V
CP 10 bis Transformateur parfait relié à un moteur (Centrale) :

Réponse : c) Z = U2/I2 = 8,8  ; d) Zprimaire= U1/I1 = 182   ) Psource= PJ + Pmot = RI12 + Pmot
= 5 030 W (en négligeant la chute de tension au niveau du primaire) f) à 60 Hz c’est
l’impédance de la bobine qui est modifiée, elle augmente, donc phi augmente et cos phi diminue.
Le moteur consomme une puissance plus faible. P’moteur=4960 W .
CP 11 Pression de la force magnétique

Réponses : a. B = µoNi/e b. l’énergie magnétique est localisée dans l’entrefer. EB =
µo(Ni) S/2e c. F = µo(Ni)2S / 2e2 ; P = B2 / 2µo = 1/8*3.14*10-7= 4.105 Pa
2
CP 12 bis : Machine synchrone (Antoine Murie CCP 2016)

Réponses 1. Synchrone : Les champs tournants statorique et rotorique tournent à la même vitesse.
Biphasée : il y a deux phases au stator. 2. L’angle entre le bobinage S1 et R vaut ; l’angle entre
le bobinage S2 et R vaut − . On en déduit MS2R=Msin. 3. Les deux bobinages étant
perpendiculaires MS1S2=0. 4. ΦS2 = Ls*is2 + MS2R*iR+MS1S2*iS1= Ls*is2 + MsiniR et ΦR
= LR*iR+ MS2R*i2+MS1R*iS1 5. Cem = MIR(iS2cos - iS1sin) 6. Cem = MIRIS 2 cos( +  / 4) .
Puisque <Cem>=0, il ne peut y avoir de mouvement permanent en l’état. Sous l’action du couple le
rotor tournerait dans un sens ou dans l’autre (suivant le signe de Cem). Dès qu’il atteindrait l’angle
 = , il s’arrêterait.
En mettant en série les deux phases on a réalisé une machine à courant continu dont l’induit est
parcouru par Is et l’inducteur par IR mais sans collecteur. On vérifie que sans le collecteur pour
inverser le sens du courant le couple reste nul en moyenne. Si l’on voulait réaliser un moteur
synchrone il faudrait que is1(t) et is2(t) soient périodiques, alternatifs et décalés de pour créer un
champ tournant statorique qui se synchroniserait avec celui du rotor grâce à l’autopilotage (nécessité
de fréquence statorique variable).
CP 15 bis Etude d’un onduleur (d’après

CAPES 2016)
Réponses : 1. EDF délivre une tension
sinusoïdale de fréquence 50 Hz , de valeur
efficace 230 V et d’amplitude
325 V 2.
3. La valeur efficace d’un

signal u(t) périodique est
U eff =  u 2 (t )  = E ici.
4. Comme u(t) est une
fonction impaire, sa
décomposition en série
de Fourier ne fait
apparaître que des
fonctions sinus.
5. S(t) est la
tension aux bornes de la
résistance d’un filtre
RLC série. On veut un filtre qui ne conserve que la composante fondamentale du signal
carré. Il faut donc frés = 50 Hz et un facteur de qualité suffisamment élevé pour ne
sélectionner que le fondamental. 6. Les interrupteurs sont des T avec D en
parallèle lorsque i < 0
Résolution de problème
CP 05 bis RP Moteur alimenté par un hacheur (CCP PSI 2009) :
Réponses : en série : n = 500/1,2 = 418 éléments ; seulement 168 éléments => utiliser une
hacheur survolteur. Transfert de puissance parfait , on suppose que le bobine est parfaite donc
elle ne consomme pas de puissance : E<i> = U<iD> = 33 300/0,9 = 37 kW donc <iD> = 74 mA et
<i> = 171 A avec E = 16*1,2 = 202 V ; 0<t< T K est fermé et D est ouverte E = Ldi/dt >0 donc
i(t) est croissante et u(t) = E-Ldi/dt =U;  T <t<T K est ouvert D est ferméee E – U = Ldi/dt<>0
donc i(t) est décroissante et u(t) = 0 ; tracer les chronogrammes ; donc <u(t)> = (1-) U = E, soit
 = 0,6. i = E/ lf = 1,51 A valeur faible par rapport au 171 A. Par contre dans le moteur le
courant varie de 0 à 173 A, pas terrible, iD est discontinue, mais comme la fréquence de hachage
est très grande les constantes de temps mécaniques étant plus grandes que la période de hachage,
cette discontinuité de courant peut ne pas affecter le moteur, sinon rajouter une inductance de
lissage en série. L’inductance de lissage sur la batterie permet de délivrer un courant quasiment
constant.
CP 10.6 : RP Masse d’un transformateur (Victor Vuillermin CCINP 2019)

Réponse : masse du cuivre, elle est déterminée si on connait le volume du cuivre, c’est-à-dire la
longueur de chaque bobinage et la section de chaque bobinage.
Section : S = IN/JN ; I1N =35.103 / 5.103 = 7 A ; I2N = 35.103 / 220 = 159 A ;
S1 = 7/2.106 = 3,5.10-6m2 ; S2 = 159 / 2.102 = 79,5 .10-6 m2.
Longueur l déterminée à partir de la résistance R = l /S.
Pour chaque bobinage P = Pc /2 = 150 W et P = RIN2 ;
R1 = 150 / 72 = 3,1   R2 = 150 / 1592 = 5,9.10-3  
L1 = 3,1*3,5.10-6/1,7.10-8 =638 m ; L2 = 5,9.10-3*79,5.10-6/1,7.10-8 = 27,6 m ;
mcu = µCu (S1. L1 + S2. L2) = 9000.(3,5.10-6 * 638 + 79,5.10-6*27,6) = 39,8 kg = 40 kg
masse du fer, déterminée à partir du volume du fer Vfer donnée par la puissance dissipée par
hystérésis, Physt = 150 W = f*aire du cycle*Vfer.
Aire du cycle = 4Br.Hc = 4*1*20 = 80 SI ; Vfer = 150/(50*80)= 3,75.10-2 m3 ;
mFe = 8000*3,75.10-2 = 300 kg

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CP 10 bis Transformateur parfait relié à un moteur (Centrale) :

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CP 15 bis Etude d’un onduleur (d’après

3. La valeur efficace d’un

CP 10.6 : RP Masse d’un transformateur (Victor Vuillermin CCINP 2019)

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