La voisine morte

Un jeune homme habitait dans un immeuble. Une nuit, quelqu'un frappe à sa porte. Il se lève pour

l’ouvrir. Il trouve une femme et elle lui demande si elle peut passer la nuit chez lui parce que son

mari la frappe. Elle le rassure en lui disant qu'elle a appelé sa famille et qu'ils viendront la chercher

demain matin. Le jeune homme lui donne une couverture et lui propose de passer la nuit sur le sofa.

À son réveil, la couverture est pliée sur le divan et la femme est partie. Il se prépare et part travailler.

Le soir suivant, on cogne de nouveau à sa porte. La même femme est à sa porte, mais cette fois-ci

elle a des bleus sur son visage. Elle lui demande une seconde fois l'hospitalité. Ne pouvant

qu'accepter, il lui propose de dormir au même endroit que la veille.

Le matin, elle n'est plus là. Cela se reproduit tout au long de la semaine. Inquiet, le jeune homme va

au poste de police pour expliquer la situation. L’agent lui montre une photo sur laquelle il reconnaît

la femme. La police lui apprend que cette femme a été battue à mort dans son immeuble par son

mari…
 Les accidents de la route

Chaque année, environ 1,3 million de personnes perdent la vie dans un accident de la route.

Les accidents de la route entraînent des pertes économiques considérables pour les victimes, leur
famille et les pays dans leur ensemble. Ces pertes proviennent du coût des traitements et des pertes
de productivité pour ceux qui en meurent ou restent handicapés à la suite de leurs blessures, ainsi
que pour les membres des familles qui doivent interrompre leur travail ou leur scolarité pour
s’occuper des blessés.

Les principales causes des accidents de la route sont la conduite sous l’emprise de l’alcool ou de
stupéfiants, les excès de vitesse, l’usage du téléphone au volant, la fatigue ou la conduite sans
permis. Pour tous ces accidents, les causes ont été identifiées et tous auraient pu être évités en
adoptant un autre comportement sur la route.

La vie est précieuse, faites attention en route.

Certes, le chômage est une situation dramatique .En fait, il a un double effet psychologique et
matériel sur l'individu .D'une part, le chômeur se sent inférieur, mortifié voire déshumanisé puisqu'il
n’est pas autonome économiquement et financièrement : il dépend toujours de l'autre. Ces entraves
l'empêchent de faire des projets et de penser à l'avenir. En plus, il se trouve méprisé et rejeté dans la
société. Cette exclusion sociale peut le rendre voleur ou même criminel.

Mais, le chômage ne doit pas conduire à un tel état de désespoir .En effet, le chômeur peut occuper
son temps libre par plusieurs activités .Notamment, le sport sur le plan individuel. Il peut alors
participer dans des associations caritatives pour être au service des autres et oublier sa souffrance
personnelle dans le but de se satisfaire.

En définitive, le chômage est une condition angoissante du fait qu'il ôte à l'individu son autonomie et
le dévalorise. Cependant, il ne doit pas conduire au malheur puisqu'on peut le surmonter grâce à des
solutions efficaces.
 La violence

La violence a existé avec l’humanité et peut-être l’une des caractéristiques de la personne, puisque
certaines personnes deviennent violentes lorsqu’ils sont en colère, déçues, ou même tristes ce qui
signifie que la violence est parfois intégrée dans nos personnages. Traditionnellement, la violence est
définie comme tout acte dur visant à blesser la personne que ce soit verbalement ou non.

Il existe différents types de violence : la violence physique et elle comprend les brûlures, les coups de
pied et les gifles ; La violence verbale et elle se caractérise par des cris et des hurlements. Elle crée
un sentiment d’insécurité et de peur ; La violence économique se traduit par une privation d’accès
aux ressources financières propres ou aux ressources du ménage et la violence psychologique est
une dévalorisation de la personne par des propos méprisants, par l’humiliation ou par le chantage.
 L'immigration

Dans notre société, de nombreux jeunes voient l'étranger comme un Eldorado.

Beaucoup pensent qu'ils peuvent réaliser leurs rêves facilement là-bas.

D'autres, au contraire, estiment qu'on peut assurer un bel avenir dans son propre pays.

Il faut d'abord rappeler que les pays de l'Europe ou de l’Amérique sont très développés sur le plan
économique et démocratique. C'est pourquoi plusieurs jeunes pensent que là-bas, ils peuvent
trouver facilement un travail et construire une vie parfaite. Non seulement le chômage et l'injustice
sociale poussent les jeunes à vouloir traverser la Méditerranée et l’Atlantique, mais aussi l'opinion
positive des immigrants sur l’étranger, surtout quand ils retournent dans leur pays d'origine, avec des
voitures et des fortunes.

Cependant, le désir et l'ambition des jeunes de nos jours qui veulent réaliser leurs rêves
rapidement, surtout que nous vivons dans un temps de la vitesse, les poussent à chercher des
opportunités ailleurs. L'exemple le plus éloquent est celui des jeunes diplômés, qui ne trouvent pas
du travail, et qui manifestent chaque jour devant le parlement sans que le gouvernement s'intéresse
plus aux aspirations des jeunes. Ainsi, l'étranger représente un paradis pour eux.

En conclusion, il me semble que notre pays ne peut pas encore réaliser les rêves de ses
jeunes. Néanmoins, il y a de vrais trésors qui ne se trouvent pas ailleurs : la solidarité entre les gens,
la paix et les valeurs morales.
 Le divorce

Pour les enfants, le divorce est un choc, papa et maman, les deux personnes fondatrices de leur
existence, se séparent, c'est comme si eux-mêmes allaient être coupés en deux. Pour la plupart, le
divorce est une séparation douloureuse dont les conséquences sont très graves sur les enfants. Par
contre, beaucoup de psychologues pensent que cette séparation peut être vécue normalement. Pour
qu'il n'y ait pas de victimes, les parents qui envisagent une rupture, doivent d'abord, discuter avec
leurs enfants pour qu'ils n'aient pas de sentiments affreux de culpabilité, car dans un divorce, il n'y a
pas forcément de coupable mais il y a des victimes. Ensuite, les deux parents doivent éloigner leurs
enfants de leurs conflits et de leurs problèmes. Ils ne doivent en aucun cas, les mettre au centre de
leurs disputes de peur de les obliger à choisir entre les deux êtres qu'ils aiment le plus au monde : le
choix est impossible.
 La violence contre la femme

La violence est le fait d’utiliser une force brutale envers l’autre. La femme est l’une des grandes
victimes de cet acte maléfique. Elles ont été soumises à de nombreux types de violence. Parmi les
causes de cette violence, on peut citer la disparité entre les deux genres et le silence des victimes qui
donne plus de force à l’oppresseur.

Parfois les actes d’abuse contre les femmes dans les sociétés vont au-delà de la violence pour être
mortelles. Nombreux sont les moments qu’on entend parler d’une femme qui a été tuée par son
mari, devrait-il être appelé dans ce cas la violence contre les femmes ? C’est une mort apportée par
la violence.

En définitive, il faut éduquer tout le monde à bien respecter la femme sans la distinguer de l’homme
et il faut condamner sans hésitation toute forme de violence envers la femme une fois que des
preuves concrètes existeront.
 L’addiction

Une addiction est définie par une dépendance à une substance ou à une activité, avec des
conséquences nuisibles à la santé. La dépendance se caractérise par un désir souvent puissant, voire
compulsif, de consommer ou de pratiquer une activité. Cette consommation ou cette pratique
entraînent un désinvestissement progressif vis-à-vis des autres activités.

Ainsi, une personne est dépendante lorsqu’elle se retrouve dans l’impossibilité de s’abstenir de
consommer ; Elle perd le contrôle de l’usage d’une substance ou d’un comportement et ce, malgré la
survenue de conséquences négatives sur sa santé et sur sa vie sociale.

Il existe deux types d’addictions : addictions avec ou sans substance.

Addictions avec substance est une addiction liée à la consommation de substances psychoactives,
telles que : le tabac et l’alcool, qui sont les plus répandues, le cannabis, les opiacés (héroïne,
morphine) et la cocaïne ;

Addictions sans substance ou addictions comportementales sont en lien avec un comportement

Le Nouvel An, c’est l’occasion idéale pour faire le point sur notre année et de tourner la page sur
l’année qui vient de se terminer.

Avant de commencer à faire le choix de nos objectifs pour la nouvelle année, il est important de
prendre du recul et de se poser quelques questions sur l’année que nous venons de passer.

Par exemple, qu’avez-vous accompli cette année sur les plans personnel et professionnel?

De quoi êtes-vous fier? Quels défis avez-vous rencontrés en emploi ou dans votre vie personnelle?
Comment les avez-vous surmontés?

Cette réflexion permet de prendre un certain recul et de bien visualiser l’année que nous venons de
passer lorsque nous avons pour but de faire des changements sur le plan personnel et de nous fixer
des objectifs, le temps est souvent l’excuse principale que nous utilisons. Pourtant nous pouvons
toujours prendre un peu de temps pour soi. C’est souvent la façon dont nous gérons notre temps qui
est source de problème.

Également, il est primordial de nous fixer des objectifs qui sont atteignables. En effet, il est possible
de perdre notre motivation lorsque nos objectifs sont inatteignables. Effectivement, la perte de
motivation entraine automatiquement l’abandon de notre but fixé. Vaut mieux nous faire de petits
objectifs réalisables que de nous fixer un seul et gros objectif qui pourrait être irréalisable. Fixez-vous
des objectifs qui vous permettront d’augmenter votre motivation.

Enfin, n’oubliez pas que la réussite n’arrive pas du jour au lendemain. Elle se construit petit à petit et
devient de plus en plus importante au fil de nos progrès et de nos efforts.