ING 6163 DCE CCTP CFO-CFA Rénovation-Casino
ING 6163 DCE CCTP CFO-CFA Rénovation-Casino
ING 6163 DCE CCTP CFO-CFA Rénovation-Casino
SOMMAIRE
1 GENERALITE 7
1.1 Objet 7
2 LIMITES DE PRESTATION 16
2.1 Lot Gros-œuvre 16
3 COURANTS FORTS 20
3.1 Généralités 20
3.7 Liaisons 29
3.7.1 Liaisons principales des TD 29
3.7.2 Liaisons secondaires 30
3.8 Cheminements 30
3.8.1 Principe 30
3.8.2 Chemins de câbles 30
3.8.3 Goulottes de cheminement 31
3.8.4 Goulottes de distribution 31
3.8.5 Fourreaux 32
3.9 Distribution des prises de courant 32
3.9.1 Principe 32
3.9.2 Prises de courant 32
3.9.3 Matériel 33
3.10 Réseau de terre 33
3.10.1 Principe 33
3.10.2 Réseau général des masses 33
3.11.1 Principe 34
3.11.2 Système de Protection Intérieure (SPI) 34
3.11.3 Matériel 35
3.12 Alimentations des forces motrices 35
3.12.1 CVC 35
3.12.2 Plomberie 36
3.12.3 Cuisine 36
3.13 Eclairage 37
3.13.1 Généralités 37
3.13.2 Principe 37
3.13.3 Niveaux d’éclairement 37
3.13.4 Appareils d’Eclairage intérieur 39
3.13.5 Appareils d’Eclairage extérieur 39
3.13.6 Fonctionnalités suivant les zones et besoins 39
3.13.6.1 Principe 40
3.13.6.2 Commande des éclairages extérieurs 40
3.13.6.3 Protection des éclairages extérieurs 40
3.14 Eclairage de sécurité 40
3.14.1 Principe 40
3.14.2 Installation 41
3.14.3 Matériel 42
4 COURANTS FAIBLES 43
4.1 VDI 43
4.1.1 Généralités 43
4.1.2 Normes et règles applicables 43
4.1.3 Architecture générale 44
4.1.4 Répartiteur général 44
4.1.5 Distribution terminale 45
4.1.6 Liaisons 46
4.1.6.1 Constitution de la chaîne de liaison 46
4.1.6.2 Câble cuivre 46
4.1.6.3 Prise de point d’accès 46
4.1.7 Cordons de brassage 46
4.1.8 Panneaux RJ45 47
4.1.9 Cheminements 47
4.1.10 Repérage 47
4.1.10.1 Principe 47
4.1.10.2 Repérage des prises terminales 48
4.2.11 Documentation 62
4.2.11.1 Liste de la documentation attendue 62
4.2.11.2 Documentation relative aux essais 65
4.2.11.3 Révision des documents 67
1 GENERALITE
1.1 Objet
Le présent DCE concerne la rénovation de l’ancien CASINO de l’Hôtel Ivoire relatif aux installations
techniques CFO-cfa et situé sur la commune d’Abidjan – Côte d’ivoire.
Le présent cahier des clauses techniques et particulières concerne le lot Courants Forts / Courants
faibles.
L’établissement est classé en ERP de type P avec activité de type N de 3ème catégorie. La notice de
sécurité n’est pas disponible à ce jour.
Les installations seront exécutées dans le respect des textes réglementaires, applicables en France.
Le présent document ne peut en énumérer la totalité, cependant, il est rappelé que seront respectés,
par ordre de priorité :
o Les lois,
o Les décrets,
o Les arrêtés,
o Les circulaires,
o Le code du travail,
o Les normes U.T.E. et leurs publications,
o Le règlement de sécurité contre l’incendie relatif aux ERP,
o Les prescriptions particulières à certains organismes ou ministères publiques, (CIE, Orange
TELECOM, etc.),
o Les règles de l'art de la profession.
Dans le cadre des installations électriques, et d'une façon générale, il y sera plus particulièrement fait
référence :
o Au décret 73-103 du 31 Octobre 1973 relatif aux Etablissements Recevant du Public (E.R.P.),
lorsque les ouvrages concernés ont fait l'objet d'un classement par les services de sécurité,
o Décrets 2010-1016 et 2010-1017 relatifs à la protection des travailleurs dans les
établissements qui mettent en œuvre des courants électriques.
o A la NF C 14 100 relative aux branchements Basse Tension de 1ère catégorie,
o A la NF C 15 100 relative aux installations basse tension de 1ère catégorie, et guide UPTE
C15-500,
o Aux règles de câblage informatique,
o Aux règles de recette informatique suivant norme ISO,
o Aux règles NFA2P pour matériel anti-intrusion.
o Aux normes NFS61-9xx et NFS91-9xx relatives à la sécurité incendie.
o Sélectivité totale de l’installation quel que soit la source (réseau ou groupe électrogène).
o Les chutes de tension maximales admises seront :
•
• Liaisons Transfo – TGBT < 0,5 % ;
• liaisons TGBT – TD < 2,5 % ;
o L’ensemble des notes de calcul sera réalisé avec comme hypothèse de base la prise en
compte d’un taux d’harmonie 3n compris entre 15 % et 33 %.
En aucun cas, il ne sera utilisé une section de neutre réduit (Sn ≥ Sph) dans les calculs de
dimensionnement des liaisons.
o TGBT,
o TD,
o Appareils d’éclairage,
o Détecteurs de présence et capteurs,
o SSI,
o VDI,
Le lot fournira :
o La confirmation des types de matériel, prévus avec présentation des échantillons (luminaires, y
compris source, blocs éclairage de sécurité, petit appareillage…) ;
o Les plans et schémas détaillés des installations prévues. Sur les plans, chaque circuit sera
clairement repéré par :
• Son origine ;
• Son numéro de circuit ;
• Sa section.
Pour les liaisons de contrôle / commande, la section sera remplacée par l’aboutissant.
o Les tableaux électriques devront être présentés avec leur mise en enveloppe avec repérage
des équipements et la nomenclature du matériel utilisé ;
o Les plans de Génie Civil et équipement du local TGBT ;
o Les plans de réservation ;
o Les synoptiques de distribution (BT, SSI, VDI, CA, Vidéosurveillance…) ;
o Le bilan de puissance mis à jour ;
o Les notes de calcul détaillées permettant de vérifier les hypothèses prises ;
o Tous les dossiers techniques Courants Faibles comprenant :
• Analyse fonctionnelle ;
• Tableau des adresses ;
• Le paramétrage ;
o Toutes les documentations techniques ;
o Les Procès-Verbaux des matériels.
Tous les documents (y compris les notices) seront remis sous format papier et informatique. Ils seront
rédigés en français.
Tous les fichiers source de programmation devront être remis sur support informatique accompagné
d’une édition papier.
L’ensemble des documents sera parfaitement structuré avec des nomenclatures d’entrée à tous les
niveaux.
o La liste de l’ensemble des documents fournis avec leur numéro et leur indice de mise à jour;
o Le carnet de matériel comportant une fiche par matériel où il est rappelé le symbole utilisé sur
les plans, la localisation et les principales caractéristiques ;
o Les notices d’installation des matériels ;
o Les notices d’exploitation, de maintenance des matériels ;
o Les synoptiques ;
o Les zonings de distribution électrique ;
o Les schémas électriques avec la mise en enveloppe (y compris repérage des équipements) et
la nomenclature ;
o Les notes de calcul complètes ;
o Les plans de chemins de câbles sur lesquels sera repéré le cheminement des principales
liaisons ;
o Les plans éclairage, PC, FM avec les différents circuits de distribution repérés (les boîtes de
dérivation seront également représentées) ;
o Le dossier SSI avec son cahier d’essais ;
o Le dossier Sûreté (Contrôle d’accès – Vidéo surveillance – Interphonie - Intrusion) avec son
cahier d’essais ;
o Le dossier pré câblage VDI avec son cahier de recette des liaisons fibres et cuivres ;
o Le dossier d’auto contrôles comprendra au minimum :
• La vérification du bon fonctionnement de chaque équipement et de sa bonne
identification,
• La mesure d’isolement de chaque liaison et circuit ;
• Le dossier de mesures des niveaux d’éclairement pour l’ensemble des locaux ;
• Le rapport du Bureau de contrôle.
Après mise à jour suite aux remarques de maîtrise d’œuvre, le précédant dossier, éventuellement
complété, sera remis en cinq exemplaires.
1.7.1 Préliminaires
Le descriptif a pour but de faire connaître le programme général des travaux. Il fixe les objectifs à
atteindre et décrit les principes de réalisation. Il appartiendra à l’entreprise chargée de l’exécution de ces
travaux d’en déterminer les moyens pour en assurer le parfait achèvement.
L’adjudicataire devra l’intégralité des travaux nécessaires au complet achèvement des installations.
L’adjudicataire provoquera en temps utile la remise de tous les renseignements complémentaires dont
il pourrait avoir besoin et sera réputé avoir pris connaissance des lieux, de la nature et de l’emplacement des
travaux.
L’entrepreneur est tenu de respecter la réalisation de ces travaux par phases successives dans le
cadre du planning.
Les matériaux et fournitures à incorporer dans les ouvrages seront neufs, de première qualité et
adaptés à leur fonction dans la réalisation envisagée.
Tous les appareils utilisés seront conçus pour un service régulier et ininterrompu.
Les matériaux et matériels déclarés infructueux sur le chantier seront refusés et remplacés par
l’adjudicataire.
Jusqu’à réception des ouvrages, l’adjudicataire restera seul responsable de la qualité des matériaux et
matériels et de leur conformité aux prescriptions du marché.
En cas d’un choix de marque (ou type) différente de matériel proposé, elle devra être de qualité au
moins égale à celle référencée sous réserve de l’acceptation impérative par le Maître d’œuvre et du
représentant du Maître d’ouvrage.
Tous les travaux seront exécutés selon les règles de l’art de la profession et selon les meilleures
techniques et pratiques d’usage.
L’adjudicataire devra :
Mettre en œuvre tous les moyens matériels et de main d’Œuvre nécessaires pour le respect des délais
d’exécution, finitions diverses, essais, réglages et de levées de réserves mentionnées éventuellement à la
réception des ouvrages.
Surveiller personnellement les travaux de façon suivie et maintenir en permanence sur le chantier un
responsable compétent.
Maintenir sur le chantier un personnel d’exécution compétent ayant toutes les qualifications requises.
Les travaux exécutés à la lumière artificielle ne donnent droit à aucune plus-value ou remboursement
de frais.
L’utilisation de force motrice ou d’eau de ville devra faire l’objet d’une demande caractérisée avec
indication des puissances ou débits nécessaires auprès du Maître d’Ouvrage. Les frais de consommation ne
sont pas à la charge de l’entrepreneur. L’entrepreneur devra assurer les raccordements nécessaires entre
les points de livraison et les lieux de ses interventions.
Dans le cas où l’entrepreneur juge nécessaire pour ses besoins de force motrice d’établir un
branchement électrique spécial ou un branchement d’air comprimé provisoire, les frais d’installation, de
consommation, de dépose et de remise en état des lieux après sa suppression sont à sa seule charge.
L’entrepreneur doit les ajustements, les entailles, dévoiements de conduits et tous ouvrages
accessoires éventuellement nécessaires au droit des installations d’un autre corps d’état.
Le passage et la fixation des diverses canalisation et gaines ne pourront se faire qu’aux endroits ne
nuisant pas à la stabilité de la construction. Les dépenses en résultant sont implicitement à la charge de
l’entrepreneur chargé de la pose de ces canalisations ou gaines.
L’entreprise devra se conformer sans réserve aux règles d’hygiène et de sécurité édictées par
l’ingénieur sécurité représentant le Maître d’ouvrage et la réglementation en vigueur.
Obligation de déclarer tous ses sous-traitants et fournir les PHS de chaque entreprise déclarée à
l’inspection du travail.
L’entrepreneur général fournira à la Maîtrise d’œuvre et à l’ingénieur sécurité son PHS et tous les
PPSPS de toutes les entreprises intervenant sur le chantier.
L’entreprise, pour la manutention du matériel, devra établir au préalable un plan de circulation et définir
les moyens et les dispositions prises pour effectuer ces interventions. Elle devra convenir au préalable avec
le Maître d’Ouvrage de la date de cette manutention.
L’activité commerciale de l’établissement ne devant en aucune manière être perturbée par et pendant
les travaux, ceux-ci pourront être interrompus à chaque demande du Maître d’Ouvrage sans que ces arrêts
et reprises de chantier ne donnent lieu à supplément.
1.8.1 Réception
La date de fin des travaux constituera un délai contractuel établi en conformité avec planning général
des travaux. La mise à disposition de l’utilisateur ne vaudra pas réception, le fonctionnement des
installations restant sous la garantie installateur.
Avant la mise en service des installations, l’entreprise aura procédé à tous les essais nécessaires
d’étanchéité, de puissance, de débits et de pression.
Les résultats de ces essais seront consignés dans un cahier que l’entreprise devra présenter au moins
deux semaines avant la réception pour vérification du Maître d’Œuvre par contre-essais.
Il pourra être procédé à des réceptions intermédiaires en fonction de la réalisation des différentes
phases.
1.8.2 Garanties
L’approbation des documents de l’entreprise ainsi que les réceptions ne dégageront en rien les
responsabilités de l’entreprise pendant la période de garantie, qui porteront tant sur l’ensemble des
fournitures et des travaux que sur le fonctionnement des installations et leur conservation.
Les garanties impliquent le remplacement ou la réparation des matériels, les études nouvelles s’il y a
lieu, la main d’œuvre nécessaire ainsi que les frais annexes pouvant découler de ces interventions au titre
de celles-ci.
L’entreprise devra donner les explications au personnel chargé de la conduite et de l’entretien, sur la
base d’une journée d’information.
Les délais d’intervention en garantie ne devront pas excéder 24 heures en cas d’arrêt de parties des
installations ou en cas de non fonctionnement empêchant l’utilisation normale des locaux.
Toute installation, partie d’installation ou matériel qui ne permettrait pas à l’exploitation d’être optimale
tant sur les plans de la conduite et de la durée de vie que sur ceux des rendements, consommations,
accessibilité, etc… sera refusée.
La fin de garantie de l’entreprise ne pourra être prononcée qu’après un fonctionnement probant des
installations d’une durée d’un an depuis la date de la réception.
L’entreprise demeure seule responsable des dommages ou accidents causés à des tiers au cours ou
après l’exécution des travaux et résultant de son propre fait ou de celui du personnel mis à sa disposition. Le
seul fait de répondre à la présente prouvera que son assurance est et restera suffisante pour en couvrir les
risques.
L’entreprise certifie, en ce qui la concerne et ainsi qu’en ce qui concerne ses sous-traitants et
fournisseurs qu’elle est en possession des licences nécessaires pour les systèmes, procédés ou objets
employés garantissant le Maître d’Ouvrage contre tous recours qui pourraient être exercés à ce sujet par
des tiers.
Les matériels installés présenteront une garantie biennale (deux ans) à compter de la date de
réception.
2 LIMITES DE PRESTATION
2.1 Lot Gros-œuvre
o Définition des besoins et attentes électriques (puissance, implantation des câbles en attente,
tout renseignement nécessaire au lot électricité).
o Toutes les installations de force, d'asservissement, d'alarme, de commande, de contrôle de et
terre à partir des attentes laissées par le lot électricité.
o Toutes les liaisons équipotentielles.
o Le raccordement des armoires et des installations depuis les attentes laissées à proximité par
le lot CFo-CFA,
o Le raccordement électrique des appareils installés par le présent lot depuis ses armoires
générales,
o Le raccordement électrique et leurs sectionneurs des appareils isolés depuis les attentes
laissées à proximité par le lot électricité.
o L’anti-intrusion
o La distribution Courant Fort des zones clients
o L’appareillage électrique décoratif des zones clients
o Les équipements d’éclairage des zones clients
o Les enseignes
o Le matériel actif VDI
o L’Autocom
o Le contrôle d’accès
o La sonorisation
o Les équipements de vidéosurveillance
o Les serveurs vidéo et le poste de supervision
o L’alimentation générale
o La distribution Courant Fort back office
o L’appareillage non décoratif et back office
o Les équipements d’éclairage de sécurité
o Les équipements d’éclairage back office
o Les équipements d’éclairage façades et aménagements extérieurs
o Le câblage courant faible et vidéo
o Le SSI
3 COURANTS FORTS
3.1 Généralités
Il sera prévu un Tableau Général Basse Tension (TGBT) assurant la protection et l’alimentation
de l’ensemble des équipements prévus dans le cadre du projet du Casino.
Le TGBT regroupera l’ensemble des départs principaux et sera organisé en fonction des
contraintes réglementaires et d’organisation des locaux.
Le TGBT sera constitué d’une enveloppe métallique autoportante intégrant les montants de structure et
d’organisation interne de type modulaire, de portes avant pleines avec verrou à clé et de plastrons avec
dispositifs de repérage.
Les disjoncteurs de type modulaire sous un disjoncteur boitier moulé seront raccordés en amont via un
répartiteur avec bornes à ressort.
Tous les boitiers moulés seront du type Compact NSX et seront équipés d’une unité électronique de
mesure permettant à la fois d’assurer la fonction protection et la fonction mesure.
3.3.2 Principe
Il se compose :
o D’un interrupteur général avec unité de mesure de type Micrologic. Cet interrupteur sera équipé
aussi d’un déclencheur à émission et d’un contact O/F pour la coupure d’urgence générale ;
o D’un jeu de barres 800A principal ;
o De jeux de barres divisionnaires éclairage, éclairage extérieur, prises de courant, CVC,
plomberie, alimentations spécifiques…;
o Des différents départs vers les coffrets et tableaux divisionnaires. Un départ indépendant par
tableau divisionnaire ;
o Des protections différentielles pour les départs directs des circuits locaux ;
o Des compteurs d’énergie certifiés MID;
o Des voyants de présence tension ;
o D’un parafoudre de type 2 ;
o Des borniers de raccordement.
Le tableau se présentera sous forme d’armoire électrique saillie tôlée, de type constructeur. Chacun
des composants devra être du même constructeur. Le TGBT sera conforme à la norme NF EN 61439.
o D’appareillages modulaires ;
o De portes pleines, avec fermeture par crémone et poignée verrouillable par clé ;
o De rails universels pour le support d’appareillage :
o D’une gaine à câbles ;
o De borniers de départ type WAGO ;
o De plastrons modulaires et pleins ;
o De porte‐plans ;
o Des reports GTB ramenés sur bornes sectionnables ;
o Des relais O/F pour les interrupteurs et SD pour les disjoncteurs.
Le TGBT alimentera :
3.3.3 Caractéristiques
o Armoire de forme 3b ;
o IP 30 minimum ;
o IK 08 minimum ;
o Indice de service 223 ;
o Gaine à câble.
Une centrale de mesure intégrée au tableau permettra de connaître les principales caractéristiques du
réseau électrique du site (tension, intensité, fréquence, puissance active, puissance apparente, puissance
réactive, cos PHI, taux de distorsion harmonique, compteur d’énergie, etc…).
Tous les raccordements des câbles (arrivées et départs) s'effectueront en partie avant. La pénétration
des câbles s'effectuera par le bas.
Le tableau disposera d'une réserve de 30% sur une seule zone libre afin d'être totalement fonctionnelle.
Le tableau disposera d’un jeu de barre principal horizontal sur toute la longueur du tableau et de jeux
de barres verticaux disposés dans chaque colonne de distribution.
Ils seront de type sans entretien de manière à éviter les coupures pour les opérations systématiques de
maintenance.
Le jeu de barres principal sera horizontal et disposera d’écran pour assurer une protection contre les
contacts directs.
Les jeux de barres secondaires seront disposés en fond de tableaux et protégés par des écrans IPXXB.
Les unités fonctionnelles jusqu’à 630 A sont raccordées sans perçage au moyen de connexion à pinces
ou équivalent.
Le tableau dispose d’une barre PE reprenant l’ensemble des masses du tableau et les conducteurs de
protection des câbles de distribution. Chacune des colonnes de distribution est équipée de barre(s) PE
verticale(s) et une barre collectrice horizontale interconnecte l’ensemble.
Les disjoncteurs d’arrivées et de départs de calibre important seront du type débrochable sur châssis
pour les calibres ≥ 800 A (IS 332).
En face avant, ils disposeront d’un tableau de bord comportant les fonctionnalités suivantes :
o BP d’ouverture et fermeture ;
o Voyant de signalisation (ouvert, fermé, défaut, embroché et débroché) ;
o Verrouillage de porte ;
o Poignée d’armement de la commande ;
o Témoin de position fonctionnelle ;
o Verrouillage par cadenas des positions débroché / embroché / essai.
Au regard des performances électriques et mécaniques attendus, il sera mis en place le type de
disjoncteur suivant :
Les disjoncteurs modulaires seront montés sur rails DIN et les raccordements en amont seront réalisés
à l’aide de répartiteurs de type Multiclip.
Chaque rangée de Multiclip sera protégée par un disjoncteur Compact NSX adapté ayant un indice de
service de 223.
Ils seront tous équipés de contacts de position O/F et de signalisation de défaut S/D. Le câblage est
ramené sur blocs auxiliaires débrochables.
3.3.8 Mesures
Pour permettre à l’exploitant ‘’de suivre la vie’’ de son installation, les disjoncteurs NSX seront équipés
d’une unité de protection du type Micrologic 5E permettant de visualiser les grandeurs suivantes :
Pour permettre la ‘remontée’ d’une partie de ces informations sur une Gestion Technique du Bâtiment,
tous les disjoncteurs seront communicants. Ils pourront être raccordés sur des interfaces au protocole
Modbus. Les différents bus qui seront créés seront regroupés sur bornes sectionnables pour une reprise
éventuelle par la GTB.
Sur chaque disjoncteur, les contacts auxiliaires auront les fonctionnalités suivantes :
o Disjoncteur en tiroir :
• Position embroché / test / débroché
• Ouvert / Fermé
• Défaut
o Disjoncteur déconnectable :
• Position Ouvert / Fermé
• Défaut
o Disjoncteur modulaire :
• Position Ouvert / Fermé
• Défaut.
Tous les contacts auxiliaires seront câblés et ramenés sur bornier au niveau de l’unité fonctionnelle.
3.3.10 Signalisation
Afin de permettre une meilleure visualisation des états des disjoncteurs, il sera mis en œuvre sur le
tableau :
Ces liaisons seront raccordées en amont sur les entrées / sorties déportées situées en tête de chaque
colonne et en aval.
3.3.12 Repérage
Les équipements concourant à faciliter l’intervention des Secours et l’évacuation du personnel seront
alimentés depuis un Tableau Général de Sécurité (TGS) existant, situé dans la tour.
Seul le monte-charge pouvant servir à l’évacuation de la salle de comptée sera alimenté depuis ce
TGS.
3.4.2 Caractéristiques
L’alimentation du monte-charge sera issue du TGS de la tour et sera mise en œuvre en câble CR1-C1
PR. Ce câble aura une section minimale de 10mm².
La coupure d’urgence du TGBT sera réalisée par bouton poussoir à accrochage, équipé d'une double
signalisation (rouge-vert) signalant la position de l’organe piloté.
Il agira directement sur les bobines de déclenchement à émission de tension de l’interrupteur général
du TGBT.
Selon l'article 10 Section II de la circulaire DRT 89-2 du 6 février 1989 relative aux mesures destinées à
assurer la sécurité des travailleurs contre les dangers électriques dans les Etablissements qui mettent en
œuvre des courants électriques, la coupure d’urgence des tableaux électriques sera réalisée par action sur
l’interrupteur général de l’armoire.
3.6.1 Principe
L’ensemble des équipements terminaux (postes de travail, circuits d’éclairage, équipements terminaux
CVC, etc…) seront alimentés depuis des Tableaux Electriques Divisionnaires (TD).
Afin de permettre des évolutions futures, les tableaux électriques divisionnaires disposeront d’une
réserve en puissance et en volume de 30%.
3.6.2 Architecture
o TD RDC :
o TD Cuisine :
o TD CONE 1 :
• Prises de courants (Hors lot) ;
• Eclairage (Hors lot) ;
• Eclairage de sécurité ;
• Alimentations machines à sous (Hors lot) ;
• Alimentations diverses (Hors lot).
o TD SS:
• Prises de courants ;
• Eclairage ;
• Eclairage de sécurité ;
• Baies VDI
• Equipements spécifiques casino (Hors lot).
o TD machinerie lac:
• Prises de courants ;
• Eclairage ;
• Eclairage de sécurité ;
• Equipements spécifiques plomberie piscine du lac.
La réserve à prévoir pour le dimensionnement du câble d’alimentation depuis le TGBT de la Tour est
de 55 kVA
3.6.3 Caractéristiques
Toutes les commandes d’éclairage pouvant être pilotées depuis une GTB seront mises à disposition
sur bornes.
Tous les disjoncteurs seront équipés d’un contact SD afin de réaliser une synthèse défaut par tableau.
Les tableaux enfermés dans des gaines techniques pourront être déclenchés depuis un boîtier d’arrêt
d’urgence (AU) mis en place à proximité du TD concerné.
3.7 Liaisons
3.7.1 Liaisons principales des TD
Les liaisons secondaires, issues des tableaux divisionnaires, seront mises en œuvre avec du câble
U1000 R2V.
3.8 Cheminements
3.8.1 Principe
Les cheminements seront réalisés par chemins de câbles dans les plénums de faux plafonds au sous-
sol, dans les gaines techniques et dans le faux-plancher au RDC.
Chaque cheminement traversant une paroi coupe-feu devra faire l’objet d’un rebouchage afin de
préserver le degré coupe-feu de celle-ci.
Les câbles principaux ne seront en aucun cas mélangés en torons avec d’autres alimentations. Leurs
cheminements seront clairement indentifiables. Un intérêt tout particulier sera apporté au rangement des
câbles et leur fixation, les torons de plus de 6 câbles. Les câbles non rangés ne seront pas acceptés.
o CFO
o Cfa – VDI - SSI
Les chemins de câbles courants forts et courants faibles seront totalement indépendants. Ils seront
séparés d’une distance minimale de 30 cm sur tous cheminements communs parallèles. Si cette distance
minimale ne peut être respectée, le cheminement courant faible devra être capoté.
Les chemins de câbles en fils d’acier soudés ne seront pas acceptés pour les cheminements
informatiques ou téléphone.
Tous les changements de direction, les dérivations, les éclissages seront réalisés à partir de pièces
préformées adaptées à la gamme des produits mis en œuvre. Les supportages seront adaptés aux parois
sur lesquelles ils seront mis en œuvre ainsi qu’aux dimensions des dalles et à leur contenu.
Les chemins de câbles et leurs accessoires seront électrozingués (suivant Norme NF A 91.102).
Ceux-ci seront du type BS (tôle) ainsi que tous les accessoires de dérivation, de fixation et de finition.
Un chemin de câbles sera utilisé dès que plus de 4 câbles emprunteront un même trajet.
Les goulottes de cheminement seront utilisées dans tous les cas de cheminements visibles hors des
plénums de faux plafond ou gaines techniques. Il sera réalisé par une goulotte de grande contenance,
dimension 230x60 multi-compartiments.
Elle sera constituée d’un profilé PVC teinté dans la masse formant fond et séparation, il sera pré-percé
afin de faciliter la mise en œuvre. Les câbles seront maintenus par des agrafes ou par des colliers.
Les dimensions des rainures devront être choisies de façon à ce que les conducteurs ou câbles se
logent librement.
Les fixations des accessoires de dérivation (prises de courant, prises téléphoniques, etc...) ne devront
pas gêner le passage des câbles.
Les goulottes seront constituées d’un profilé PVC teinté dans la masse formant fond et séparation, il
sera pré percé afin de faciliter la mise en œuvre. Tous les changements de direction, de dérivation et les
jointures de longueurs seront réalisés par des pièces d’adaptations préformées spécifiques au matériel mis
en œuvre. Dans le cas de mise en œuvre en plinthe les goulottes seront équipées d’un joint souple de
liaison avec le sol.
Chaque compartiment doit pouvoir recevoir des appareillages au format 45x45 sans pièce adaptative
par simple clip. Les appareillages seront montés sur le compartiment médian, les compartiments hauts et
bas seront réservés au cheminement des câbles.
Les dimensions des rainures devront être choisies de façon à ce que les conducteurs ou câbles se
logent librement.
Les fixations des accessoires de dérivation (prises de courant, prises RJ, etc...) ne devront pas gêner le
passage des câbles.
3.8.5 Fourreaux
Il sera utilisé des fourreaux à chaque fois que des réseaux chemineront dans des cloisons ou en
encastrés dans des maçonneries. Ils seront impérativement d’un diamètre minimal de 20mm.
Dans les locaux dont le cloisonnement est réalisé par des panneaux isothermes les encastrements ne
seront pas autorisés sauf autorisation du cuisiniste. Les câbles chemineront sous tubes rigides disposés en
saillie et fixés par des colliers avec embase adaptée. Les changements de direction seront réalisés avec des
pièces adaptées. Les pénétrations de câbles dans les appareillages seront réalisées par le bas afin de
conserver le degré IP.
Les prises de courant seront obligatoirement de type encastré dans un boîtier de protection et du type à
fixation par vis. Les griffes sont proscrites.
L’indice de protections (IP) et d'indice de résistances aux chocs (IK) de l’appareillage sera sélectionné
suivant la nature des locaux.
Tous les socles de prises de courant posséderont des alvéoles à obturation automatique.
Il sera installé 1 prise 2P+T 16A tous les 10 m dans les circulations.
Les modèles seront selon les applications du type standard dans les locaux fonctionnels d’un standard
soigné dans les locaux exigeant un certain niveau décoratif, et de type étanche dans les locaux techniques.
L’implantation des prises électrique est indiquée sur les plans d’implantation joints au présent dossier.
3.9.3 Matériel
Le circuit de terre est existant et est composé d’un ceinturage en fond de fouille en câblette cuivre nu
de 50mm².
Depuis ce circuit, il existe une remontée sans coupure sous fourreau de protection sur une barrette de
coupure suivie d’un collecteur de terre dans les locaux électriques et tous les locaux techniques.
Toutes les masses métalliques (d'appareils d'éclairage, armoires, tableaux, prises de courant,
tuyauteries métalliques, etc.) accessibles ou non et susceptibles d'être mises accidentellement sous tension,
seront reliées à la terre par un conducteur approprié.
La prise de terre des locaux informatiques-télécoms sera directement issue du répartiteur de terre. Elle
permettra le raccordement des équipements et masses métalliques du local.
L'objectif de la réalisation d'un plan de masse est d'assurer la meilleure équipotentialité possible du
site. Ce réseau contribue à réduire les effets des perturbations électromagnétiques.
Ce plan de masse sera en grande partie réalisé à l’aide des chemins de câbles courants forts et
courants faibles.
Une câblette cuivre de 50 mm² sera mise en place sur l'ensemble des chemins de câbles.
En cas de cheminement parallèle ou superposé entre chemins de câbles de différentes natures, il sera
utilisé une seule câblette (chemin de câble Courants forts) avec une interconnexion tous les 10 m avec les
autres cheminements.
La continuité électrique des chemins de câbles sera assurée. Lorsque ces derniers doivent être
interrompus, une tresse cuivre de 2 cm de large sera mise en œuvre pour assurer la continuité électrique du
chemin de câble (la longueur de la tresse devra être la plus courte possible et, en tous cas, inférieure ou
égale à 30 cm).
Tous les éléments métalliques concourant à améliorer le plan masse du site seront également
interconnectés.
o La protection contre les effets directs qui regroupent les conséquences liées à l’impact direct
d’un coup de foudre ;
o La protection contre les effets indirects de la foudre dus à des surtensions pouvant avoir
plusieurs origines :
• Surtensions résultant d’un impact direct sur un conducteur ;
• Surtensions résultant de la montée du potentiel au sol ;
• Surtensions induites dans le câblage sous l’effet d’un champ électromagnétique.
Il est à noter que la foudre est un phénomène naturel et aléatoire. Il n’existe donc pas de risque zéro et
aucun système ne peut garantir une protection absolue des structures, personnes ou biens.
Cependant, la mise en œuvre d’une installation de protection reposant sur des principes connus et
normalisés à ce jour, permet de réduire de façon significative les risques.
Afin d’éviter l’apparition de tensions destructrices, la norme NF EN 62305-4 et le guide UTE C 15-443
définissent la mise en œuvre d’un Système de Protection Intérieure (SPI). Les moyens de protection
possibles sont les suivants :
o Equipotentialité ;
o Ecrans magnétiques et cheminement des conducteurs ;
o Parafoudres coordonnés.
3.11.3 Matériel
Afin de lutter contre les perturbations conduites et rayonnées, il sera installé dans chaque Tableau de
Distribution (TD) un parafoudre multipolaire de type 2.
Conformément à la NF C15-443, les longueurs de raccordement seront respectées afin d’assurer
l’efficacité de ces équipements.
La distribution Force motrice concerne essentiellement les départs directs à des alimentations
spécifiques et consommatrices (armoires CTA, Désenfumage, Armoires divisionnaires, Ascenseurs…).
La réalisation se fera en câbles U1000 R2V Cuivre ou câble CR1 suivant l’affectation, et dans des
cheminements en chemin de câbles, fourreaux et gaines techniques. Les lignes ascenseurs seront réalisées
en câble CR1.
En règle générale, il sera laissé en attente à proximité des équipements à alimenter un câble avec une
longueur supplémentaire lovée de 3 m.
En cloison, les câbles en attente à destination des équipements se feront impérativement par sortie de
câbles. Toute sortie directe de fourreau sera refusée.
3.12.1 CVC
Depuis le TGBT :
Local CVC :
o TD CTA 18kW Tri+N+T – 400V
Extérieur :
Depuis le TD Cuisine:
Terrasse cuisine:
o TD Ventilation 23kW Tri+N+T – 400V
3.12.2 Plomberie
Depuis le TGBT :
Local Plomberie :
o TD ECS 20kW Tri+N+T – 400V
3.12.3 Cuisine
Depuis le TD Cuisine:
3.13 Eclairage
3.13.1 Généralités
L’ambiance lumineuse et son confort participent au bien-être du personnel, favorisant de ce fait l’activité
de l’ensemble du bâtiment.
Un soin particulier sera ainsi porté au concept de l’éclairage qui prendra en compte les impositions en
termes de performance.
Pour favoriser la tenue du niveau d’éclairage dans le temps, le confort du personnel, le nettoyage des
luminaires, il est privilégié l’utilisation de :
o Luminaires fermés ;
o Luminaires à sources LED ;
o Gestion de présence ;
o Gestion du niveau d’éclairement.
3.13.2 Principe
L’éclairage répondra aux normes en vigueurs et aux modalités de l’arrêté du 1er août 2006 relatif à
l’accessibilité des handicapés.
Les appareils d’éclairage répondront aux exigences normatives en termes de niveau d’éclairement et
de performances énergétiques actuelles. Des sources lumineuses de type LED seront privilégiées (gain en
coût d’exploitation et maintenance).
La position et le nombre sont indiqués à titre indicatif et l’entreprise devra faire les calculs d’éclairement
afin de mettre en œuvre le nombre d’appareils d’éclairage correspondant. Les niveaux d'éclairement
minimum seront ceux recommandés par l’AFE (Association Française de l’Eclairage).
Locaux
techniques 200 0,6 4000 > 80 Sans exigence
Locaux de
service 200 0,6 4000 > 80 Sans exigence
Sans
Extérieur 25 0,7 2700 à 3000 exigence Sans exigence
Sauf indication, les niveaux d’éclairement sont mesurés au niveau du plan de travail (h=0,85m)
Ces niveaux d’éclairement seront obtenus en prenant les facteurs de réflexion suivants :
o Locaux administratifs :
• Plafond 80 %
• Murs 50 %
• Façades vitrées 10 %
• Sol 30 %
o Locaux techniques :
• Plafond 50 %
• Murs 30 %
• Sol 10 %
En l’absence d’indication sur le niveau d’éclairement souhaité, l’entreprise prendra en compte les
exigences de la NF EN 12 464-1.
LU1 : Downlight LED 15W encastré 4000K gradable de type Syl-Lighter 195 de marque
SYLVANIA ou techniquement et esthétiquement équivalent.
Localisation : Circulations et sanitaires Sous-Sol
LU2 : Downlight LED 15W saillie 4000K gradable de type Syl-Lighter 195 de marque SYLVANIA
ou techniquement et esthétiquement équivalent.
Localisation : Circulations et sanitaires RDC
LU3 : Hublot LED 9.7W gradable de type BOS 5014 de marque iGUZZINI ou techniquement et
esthétiquement équivalent.
Localisation : Escaliers
LU4 : Applique LED 10.2W, classe 2, IP44, IK07 de type LS LED de marque SYLVANIA ou
techniquement et esthétiquement équivalent.
Localisation : Sanitaires
LU5 : Luminaire saillie étanche LED 30W classe 1 IP66 de type Nextrema G3 B 4000-B40 de
marque TRILUX ou techniquement et esthétiquement équivalent.
Localisation : Locaux techniques
LU6 : Luminaire saillie LED 30W avec option dimmable de type Lucipanel de marque LUCIBEL ou
techniquement et esthétiquement équivalent.
Localisation : Back office RDC
LU7 : Luminaire encastré LED 30W avec option dimmable de type Lucipanel de marque LUCIBEL
ou techniquement et esthétiquement équivalent.
Localisation : Bureaux Sous-Sol
EXT1 : Projecteur LED 11W, IP66 IK07, de type WOODY BA43 de marque iGUZZINI ou
techniquement et esthétiquement équivalent.
Localisation : Entrée casino, Terrasse restaurant.
3.13.6.1 Principe
Dans le cadre de ce projet et suivant les zones, les circuits d'éclairage seront pilotés soit par :
o Des détecteurs de mouvements avec seuil de luminosité réglable dans les circulations,
escaliers et les sanitaires ;
o Interrupteurs simple allumage et boutons poussoirs pour les locaux techniques ;
o Les luminaires des bureaux et back office seront commandés par gradateur.
Tous les éclairages pourront être également repris sur une GTB (Hors Lot).
Pour les luminaires sans gradation commandés par des détecteurs fournis par le présent lot, le câblage
s’effectuera de la façon suivante :
o Directement sur le détecteur pour les luminaires installés dans les locaux (sanitaires…) ;
o Pour les luminaires en circulation, les détecteurs commanderont des contacteurs implantés
dans les TD. Ceci permettra de pouvoir piloter ces circuits également depuis une GTB (Hors
lot) et de les forcer à l’extinction. A cet effet, les contacts de commande et de positions (allumé
et éteint seront ramenés sur bornes pour utilisation éventuelle sur une GTB) ;
Les plans d’implantation CFO joint au présent CCTP propose le principe de commande décrit ci-
dessus.
L’éclairage extérieur sera piloté par un Interrupteur crépusculaire associé à une horloge avec possibilité
de marche forcé.
Le TGBT sera équipé de 4 départs 10A 300mA monophasé pour l’alimentation de l’éclairage extérieur.
L’éclairage de sécurité sera réalisé par blocs autonomes adressables à source LEDs de type SATI.
Les blocs phares assureront l’éclairage d’ambiance des locaux supérieurs à 100m².
L’éclairage de sécurité devra être conforme aux dispositions particulières définies par les articles EC7 à
EC15 du règlement de sécurité.
Conformément à la réglementation, il sera mis en œuvre un éclairage de sécurité réalisé par blocs
autonomes non permanent de 45 lumens en balisage et 300 lumens en ambiance, conforme aux normes NF
C 71-800, NF C 71-801 et NF C 71-820, équipé du système automatique de test intégré SATI.
Les BAES seront de technologie adressable pour permettre leur contrôle à distance depuis un poste
superviseur pour optimiser la maintenance. La technologie sera du type SATI et sera relié à une centrale de
gestion des blocs communicante.
Le bus de télécommande 2 fils sera ramené aux blocs de télécommande situés dans les TGBT.
Les BAES seront implantés au niveau des sorties, des changements de direction, tous les 15 mètres et
pour signaler des obstacles. Des blocs d’ambiance seront implantés dans les locaux de plus de 100 m²
disposant de sortie directe sur l’extérieur, de plus de 50 m ² sur les autres niveaux et en chaufferie.
3.14.2 Installation
o Blocs autonomes d’évacuation à Leds non permanent 60 lumens, IP 43, IK 05, débrochables.
Ils seront équipés soit de flèche soit d'indication de sortie. Lorsqu’ils seront mis en œuvre en
plafond, ils seront équipés d’un verre diffuseur vertical recevant la signalétique.
o Blocs autonomes d’évacuation 60 lumens non permanents, IP 66, IK 08, pour locaux
techniques,
o Blocs autonomes d’ambiance 360 lumens, non permanents, IP 66, IK 08, débrochables monté
en saillie.
Les blocs autonomes seront du type autogestion intégrée et réaliseront automatiquement les tests
réglementaires, soit :
Le résultat de chaque test (lampe, batterie) sera mémorisé par LED sur chaque bloc.
3.14.3 Matériel
• Sources : Leds ;
• Garantie : 4 ans ;
• 100 % recyclable ;
• 45 lms à 1h ;
• IP/IK = 43/05 ;
• Consommation : 0,5 W
• Sources : Leds ;
• Garantie : 4 ans ;
• 100 % recyclable ;
• 45 lms à 1h ;
• IP/IK = 66/08 ;
• Consommation : 0,5 W.
• Sources : Leds ;
• Garantie : 4 ans ;
• 100 % recyclable ;
• 360 lms à 1h ;
• IP/IK = 66/08 ;
• Consommation : 1,1 W.
4 COURANTS FAIBLES
4.1 VDI
4.1.1 Généralités
Le présent chapitre décrit les critères de conception, les principes de dimensionnement et les
performances proposées pour la réalisation de l’infrastructure du pré-câblage VDI (Voix / Données / images).
Il sera composé de :
Normes d’installation :
Les normalisations portant sur les différents protocoles informatiques sont les suivantes :
o IEEE 802.3 ab pour 1000 Base T, Gigabit Ethernet sur câble cuivre.
o IEEE 802.3 an pour 10 gigabit Ethernet sur câble cuivre.
o IEEE 802.3 af pour la transmission de la puissance sur paire torsadée Power Over Ethernet
(POE).
L’architecture est composée d’une distribution terminale banalisée organisée en étoile autour du RG.
Suivant le nombre des points à desservir, le câble sera du type 1x4paires ou 2x4paires en câble cuivre
S/FTP de catégorie 6A.Les longueurs entre le RG et le point d’accès (nourrice comprise) ne devront pas
dépasser 90 mètres.
L’ensemble des équipements permettra l’utilisation des applicatifs POE/POE+ norme IEEE 802.3.
Les équipements seront mis en place dans 2 baies 42 U, de format 19 pouces de dimension 800x800
afin de pouvoir accueillir le serveur rackable. Une baie sera dédiée aux équipements actifs du réseau, l’autre
sera dédiée aux brassages informatique et téléphonique, ainsi qu’à la vidéo.
Constitution du local :
o Hauteur 42U;
o Dimension 800x800 mm ;
o Un bâti ossature constituée de profilés pliés et ajourés (en face avant et arrière de chaque
baie) au pas de 25 mm ;
o Un toit ajouré avec 4 ventilateurs 400 m3/h minimum ;
o Flancs aux deux extrémités ;
o Une porte avant vitrée transparente ;
o Une porte arrière pleine, démontable ;
o Montants 19" avant et arrière réglables en profondeur ;
o Montant 19" passe-câble ou anneaux latéraux :
o Support horizontal de câbles arrière ;
o Un socle fixe, hauteur minimum 10 cm ;
o Les kits de mise à la masse (barre de cuivre toute hauteur placée en face arrière) ;
o Les anneaux de levage ;
o Tous les éléments de visserie, serrurerie, nécessaires à l'assemblage de l'ensemble ;
o Une pochette de documents ;
o Les chemins de câbles sur les côtés ;
o Deux bandeaux de 8 prises de courant 10/16 A détrompées avec voyants lumineux de
présence tension ;
o Etiquette dilophane gravée, visée, centrée sur la baie en partie supérieure portant le numéro de
la baie ;
o Deux anneaux guide cordons seront placés sur les montants 19’’, de part et d’autre des baies
(4 anneaux par montant)
La distribution capillaire sera réalisée à partir de bandeaux 24 ports catégorie 6A. Pour permettre
d’organiser le brassage, des panneaux guide-cordons seront également mis en œuvre.
Depuis le répartiteur général, la distribution capillaire sera réalisée par câble S/FTP 4 paires, LSOH,
100 ohms de catégorie 6A, présentant une bande passante de 500 Mhz.
Le point terminal sera composé d’une connectique RJ45 avec reprise du blindage sur 360°.
Il sera également prévu des attentes pour prises RJ45 pour les caméras de vidéosurveillance (Hors
fourniture).
Il sera également mis en œuvre, pour chaque poste informatique, un ensemble équipé de :
4.1.6 Liaisons
4.1.6.1 Constitution de la chaîne de liaison
La performance de la chaîne de liaison sera égale à celle définie pour le ‘Permanent link’ classe EA au
sens de la norme ISO 11801 2ème édition amendement 2 de Février 2010.
Ce câble sera conforme aux exigences de l'impédance de transfert, compatible avec les normes PoE
de 13W et PoEP+ de 25W qui permettent de télé alimenter des équipements (téléphone IP, caméras
vidéos…)
Tous les câbles utilisés pour la distribution terminale auront les caractéristiques suivantes :
Tous les câbles cuivre seront testés et recettés après leur mise en œuvre.
La prise terminale permettant la connexion de tout type d’équipement sera de type RJ45 catégorie 6A :
Seules les prises RJ45 dédiées aux postes informatiques des back offices sont à mettre en œuvre.
Pour des raisons d’homogénéité et de performance, tous les cordons de brassage neufs seront fournis
par l’exploitant et seront en catégorie 6A de type S/FTP.
La reprise de blindage sera assurée sur 360° et la continuité sera assurée entre le câble, la prise et le
panneau. Le connecteur RJ45 sera démontable par l’avant.
Le repérage par étiquette sera obligatoirement possible, par le dessus du connecteur ou le dessous,
permettant la visualisation de l’étiquette en fonction de l’orientation des cordons de brassage. Des clips
latéraux caches vis de couleur pourront être utilisés pour repérer les ressources.
Un panneau passe cordons à 4 crochets minimum sera installé entre chaque panneau RJ45.
La connexion rapide de la masse permettra une continuité automatique des écrans aux panneaux et
donc à la terre de la baie (par le biais de la barre de terre fixée toute hauteur sur le montant 19’’).
Les panneaux de brassage doivent être choisis de manière à permettre le raccordement indépendant
de chaque panneau sur la barre de terre de la baie.
4.1.9 Cheminements
L'ensemble des supportages principaux et secondaires relatifs au câblage réalisé en VDI sera réalisé
au présent lot.
Le cheminement principal sera sur chemins de câbles de type dalle perforée galvanisée à chaud.
Ces chemins de câbles seront mutualisés pour recevoir les câbles de la partie Sûreté et GTB.
La continuité électrique des chemins de câbles sera assurée. Lorsque ces derniers doivent être
interrompus, une tresse cuivre de 2 cm de large minimum sera mise en œuvre pour assurer la continuité
électrique du chemin de câble (la longueur de la tresse devra être la plus courte possible et, en tous cas,
inférieure ou égale à 30 cm).
Les descentes des terminaux seront mise en œuvre en tube IRO. Chaque tube sera repéré à l’aide
d’une étiquette fixée par collier Rilsan.
4.1.10 Repérage
4.1.10.1 Principe
Tous les matériels fournis seront repérés conformément aux règles générales présentées ci-après.
o Lisibles ;
o Ineffaçables ;
o Placées de telle façon que l’élément concerné (chemin de câbles, câble, baie..) puisse être
identifié sans ambiguïté.
Tous les types de repérage mis en place sont soumis à l’accord préalable de la MOE ou du MOA.
Le marquage sera effectué à l’aide d’étiquettes dilophane gravées et collées, indiquant la baie d’origine
et le numéro de la prise en utilisant le tramage du bâtiment et un numéro d’ordre.
L’étiquetage des prises dans une zone se fait dans le sens des aiguilles d’une montre en partant de
l’entrée principale de la pièce. Chaque prise terminale RJ45 est repérée par un numéro porté sur la prise
elle-même et sur le bandeau de prise RJ45 situé dans la baie de brassage associée. Ainsi chaque point
d’accès est repéré par le numéro de la trame à laquelle il appartient.
o Au tenant du câble ;
o A l'aboutissant du câble ;
o A chaque traversée de local technique ;
Le marquage sera effectué à l'aide d'une étiquette gravée fixée par rilsan (sans serrage excessif). Il
indiquera le tenant et l’aboutissant.
Les câbles seront repérés à 0,50 mètre de leurs extrémités, et à 0,50 mètre avant et après tout
changement de direction.
Le marquage sera effectué à l’aide d’une étiquette gravée indiquant le repère du local aboutissant et les
numéros d’ordre des points de connexion.
4.1.11 Recette
4.1.11.1 Contrôle des performances
Un contrôle des performances du pré-câblage sera réalisé. Celui-ci permettra de valider la catégorie 6A
par application de la norme ISO 11801 2ème édition amendement 2 de Février 2010.
Les mesures seront réalisées avec le testeur adapté à la liaison et aux composants installés, à savoir :
Les vérifications visuelles sont effectuées régulièrement, pendant toute la durée des travaux.
Ces vérifications périodiques permettent de constater que les travaux sont conformes aux
spécifications du présent document, à savoir :
Essais statiques
Les essais statiques à effectuer après mise en œuvre et raccordement des points terminaux sont les
suivants :
Essais dynamiques
Les essais dits dynamiques permettent d'évaluer et de contrôler les performances de transmission de
la liaison. Mesures en classe EA (de 0 à 500 Mhz).
Les mesures :
Les essais statiques et dynamiques seront effectués à l'aide de testeurs 10 MHz à 500 MHz.
Les tests seront édités sur des fiches (1 fiche par prise) avec identification de la prise testée.
Toutes les mesures devront s'inscrire dans les limites autorisées par la norme ISO 11801 amendement
2 classe EA.
Pour les composants catégorie 6A, les tests de la liaison (câbles, connecteurs d'extrémités, avec
interface cordon de l’appareil de tests) devront être effectués en classe EA permanent link et s'inscrire dans
les limites autorisées par la norme ISO 11801 2ème édition amendement 2 de Février 2010.
DEFINITION DU LIEN
FD
Les rapports de tests seront fournis, conformément aux exigences suivantes. Chaque dossier à
remettre sera constitué :
o d'un exemplaire papier informatique sur CR ROM de tous les réflectogrammes des liaisons
optiques ; ils seront précédés d'un sommaire indiquant le numéro de la liaison, le sens de la
mesure et le bilan détaillé et global des deux mesures ;
o d'un exemplaire des fichiers correspondants sur CD-ROM.
4.1.11.6 Réception
La validation technique sera réalisée par le maître d'ouvrage ou son représentant. Elle consistera à
s'assurer de la bonne exécution des travaux et de la validité des tests électriques remis par l'entreprise.
o la qualité de réalisation ;
o la conformité d'exécution par rapport au cahier des charges ;
o le contrôle des résultats des mesures réalisées sur les liaisons cuivre ;
Lors des visites de contrôle, la présence d'un responsable de l'entreprise, assisté du personnel
nécessaire, sera obligatoire. Ils devront être munis des instruments de mesure et du matériel destiné aux
essais (cordons de tests, etc.).
La réception sera prononcée lorsque tous les contrôles techniques et vérifications visuelles auront été
effectués, et auront montré la conformité de la réalisation au présent document.
A partir de 5 % d'erreur sur la zone testée, les contrôles de validation s'arrêteront et l'entreprise devra
remédier aux défauts puis en redemander le contrôle. Elle supportera les frais complémentaires liés à
chaque contrôle réalisé en supplément.
Cette réception sera formellement prononcée par la signature d'un Procès-Verbal de réception par
l'ensemble des parties.
L’établissement est classé en ERP de type P avec activité de type N de 3ème catégorie. Le cahier des
charges du coordonnateur SSI n’est pas disponible à ce jour.
Le SSI du Casinosera une extension du SSI de catégorie A de la Tour (Détection automatique incendie
+ Alarme de type 1).
4.2.2.2 Normes
Les installations seront exécutées dans le respect des textes réglementaires contre l’incendie,
applicables en France :
Le SSI assurera :
o La détection de tout début de sinistre par la mise en place de déclencheurs manuels et d'une
détection automatique d'incendie dans le cône 1 ;
o L'évacuation des personnes par la diffusion de l’alarme générale via des diffuseurs sonores
associés à des flashs lumineux ;
o La réalisation d'asservissements automatiques pour la mise en sécurité du bâtiment (Arrêts
techniques) avec la mise à disposition de commandes manuelles.
Les équipements de l’installation à mettre en œuvre au titre de cette opération doivent être conformes
aux normes relatives à leur catégorie, en particulier les normes de la série NFS 61930 à 61940 et NFS
61950 ainsi que la norme interprétative FD S 61-949.
Le Système de sécurité d’Incendie (S.S.I.) de catégorie A avec un Equipement d’Alarme (E.A.) de type
1 est existant et est situé dans le PCS de la Tour.
Il sera équipé d’un Tableau de Report d’Exploitation (T.R.E.) du S.D.I. et du C.M.S.I. déporté dans
le bureau se situant derrière la caisse.
4.2.4 Zoning
ZD ≤ ZF ≤ ZC ≤ ZA
ZA = Zone d’alarme
La commande de désenfumage est de type manuel par action directe sur la commande manuelle
intégrée au CMSI ou depuis les coffrets de commandes manuelles implantées dans les circulations.
Des déclencheurs manuels seront installés aux issues de secours et à proximité des ascenseurs et
escaliers de secours.
Des avertisseurs sonores et des alarmes sonores complétées d’une alarme visuelle.
La centrale permettra l’asservissement des issues de secours gérées par contrôle d’accès
(déverrouillage sur détection incendie).
4.2.6.3 Capteurs
Dans les volumes où une détection est prévue, l'implantation des détecteurs sera effectuée suivant la
NFS 61-970 et garantira une détection de début de sinistre fiable et rapide.
Les détecteurs seront de type débrochable pour permettre leur interchangeabilité et faciliter la
maintenance. Leur sensibilité ne pourra être réglée que par des personnes qualifiées.
Après une période de fonctionnement de 6 mois, l'installateur devra procéder à l'échange standard
gratuit des têtes qui apparaîtraient trop sensibles.
Chaque détecteur sera équipé d’un porte étiquette et de son étiquette de repérage.
Pour faciliter les interventions, tous les locaux fermés équipés d’une détection automatique d’incendie
seront équipés d’un indicateur d’action qui sera visible depuis les circulations ou dégagements les
desservants.
L'alarme manuelle sera donnée à l'aide de déclencheurs manuels installés en apparent et implantés :
Le centralisateur de mise en sécurité incendie est existant et est situé dans le PCS de la Tour. Il est de
marque CHUBB et assure :
Elle est intégrée à l’UCMC (existant) et permet l’animation des voyants (positions, défauts)
normalement imposée par les normes.
La diffusion de l’Alarme générale sera réalisée par diffuseurs sonore avec flash. L’alarme devra être
audible en tout point de la zone d’alarme ZA.
Un module de surveillance de ligne sera mis en place de manière à détecter tout incident sur ce
câblage (coupure, etc…) et le signaler au niveau de l’UGA (défaut liaison).
Des déclencheurs manuels adressables seront implantés à proximité des issues de secours au rez-de-
chaussée, à environ 1m30 du sol fini.
Les déclencheurs manuels seront de type « à membrane déformante » avec étiquette munie d’un volet
de protection, transparent avec clip de plombage en nylon. Ils comporteront également une possibilité de
test par clé.
Les lignes principales et secondaires du SDI doivent être réalisées en câbles de catégorie C2 et avoir
une section minimale de 9/10 mm² par conducteur. Chaque ligne principale doit être raccordée directement
au tableau de signalisation.
L’usage de boîtiers de regroupement est strictement interdit. L’ensemble de ces lignes doit être
surveillé.
Tous les câbles reliant directement l’ECS au premier point (sur l’aller et le retour en cas de circuit de
détection rebouclé) doivent être en catégorie CR1.
Les lignes principales et secondaires doivent permettre une extension de 15% de points au minimum,
sans qu’il soit nécessaire de mettre en œuvre un câble depuis le tableau de signalisation.
Par point, il faut entendre les détecteurs automatiques ou les déclencheurs manuels.
Le câblage depuis le départ du TGBT doit être réalisé en câble de catégorie CR1, de section adéquate
d’au moins 1,5mm² par conducteur.
Les voies de transmission doivent être réalisée en câble de catégorie CR1 de 1mm² de section au
minimum pour un multi conducteur et de 1,5mm² pour un mono conducteur.
Les lignes de commande des DAS particuliers fonctionnant par émission de courant doivent être
réalisées en câbles de la catégorie CR1, sauf lorsqu’elles cheminent dans la zone de sécurité qu’elles
desservent où elles peuvent être réalisées en câble de catégorie C2.
Les lignes de commande des dispositifs sonores d’alarme générale et sélective, ainsi que celles des
DAS communs, doivent être réalisées en câble de catégorie CR1 tout le long de leur parcours.
Suite à un défaut sur une ligne de diffuseur sonore d’une UGA, celle-ci de doit pas perdre plus de 32
diffuseurs sonores.
Les lignes de commande des dispositifs fonctionnant par rupture de courant peuvent être réalisées en
câbles de catégorie C2 tout le long de leur parcours
Leur section minimum est de 1 mm² pour un multi conducteur et de 1,5 mm² pour un mono conducteur.
Quel que soit le mode de commande des dispositifs, les lignes de contrôle doivent être réalisées en
câbles de la catégorie CR 1, sauf lorsqu’elles cheminent dans la zone de sécurité qu’elles desservent où
elles peuvent être réalisées en câbles de la catégorie C 2.
Les lignes de commandes et de contrôles de position reliant un matériel déporté du CMSI à un DAS
peuvent ne pas être surveillés si :
Les lignes de commande techniques seront réalisées en câbles de catégorie C2 si leur alimentation est
à manque de tension. La section minimale par conducteur doit être de 1,5 mm².
4.2.8 Cheminement
L'ensemble des supportages principaux et secondaires relatifs au câblage réalisé en SSI sera réalisé
au présent lot.
Le cheminement principal sera sur chemins de câbles de type dalle perforée galvanisée à chaud.
La continuité électrique des chemins de câbles sera assurée. Lorsque ces derniers doivent être
interrompus, une tresse cuivre de 2 cm de large sera mise en œuvre pour assurer la continuité électrique du
chemin de câble (la longueur de la tresse devra être la plus courte possible et, en tous cas, inférieure ou
égale à 30 cm).
Chaque ICT et tube sera repéré à l’aide d’un étiquette fixée par collier Rilsan.
4.2.9 Repérage
DIaa/Lx-yyy/BB-nnn/TYP, (Champ1/Champ2/Champ3/Champ4)
Avec :
SMSIaa/Lx-yy/BB-nnn/TYP, (Champ1/Champ2/Champ3/Champ4)
Avec :
Le repérage s’effectuera par technique de rattachement (ici I pour Incendie) / tenant / aboutissant.
A noter d’ailleurs, que tous les installateurs mettant en œuvre une partie du S.S.I devront les
documents de résultats de leurs essais systématiques exhaustifs (autocontrôles et essais conjoints avec le
CE SSI) permettant l'élaboration du Procès-Verbal de réception du S.S.I.
Sont nécessaires, à chaque phase d’essais relative aux opérations préalables à la réception du SSI :
o 1 personne de l’Entreprise titulaire des présents travaux (terrain) munie des accessoires
nécessaires au déclenchement des têtes et au réarmement des DM ;
o 1 personne de l’Entreprise titulaire des présents travaux (au PC Sécurité/Poste de garde) ;
o Au moins une personne de chaque Entreprise prestataires en interface au CE SSI. A chaque
détection le réarmement local des DAS ne devra pas excéder 5 minutes ;
o Les moyens de communications (talkies) fournis par l’Entreprise titulaire des présents travaux :
opérationnels et en nombre suffisant (Prévoir réserve cause décharge progressive des
batteries) ;
o Le coordonnateur SSI.
Les essais préalables à la réception du S.S.I. seront effectués par échantillonnage à partir des
documents d'étude d'exécution et d'essais exhaustifs fournis par les installateurs comme indiqué
précédemment.
Il sera notamment prévu d'effectuer dans ces conditions le choix d'un certain nombre de détecteurs ou
déclencheurs manuels.
4.2.11 Documentation
4.2.11.1 Liste de la documentation attendue
Documentation technique
L’Entreprise prévoira un plan général de ce type pour chaque niveau + un plan de ce type par Zone
géographique et par niveau.
o Implantation de toute la DAI. Chaque DAI devra être repéré suivant codification en vigueur (voir
chapitre codification ; ne sera utilisé ici que les champs 1 et 2, le champ 3 étant indiqué de par
le plan lui-même (cartouche), et le champ 4 par une symbolique adaptée) ;
o Implantation des tableaux de reports SDI (avec leur repérage), s’il en existe ;
o Indication du cheminement des câbles (en horizontal et vertical) ;
o Toute la filerie ;
o La légende avec quantitatif par type de matériel installé.
Ces plans seront édités dans un format adapté, et seront parfaitement lisibles (utilisation de la couleur
obligatoire)
En plus des plans de recollement il devra être prévu des plans d’exploitation du SDI et du SMSI au
format A3 mais parfaitement exploitables. En effet la visualisation des éléments ainsi que des textes si
rapportant devront être parfaitement lisible à ce format.
L’Entreprise prévoira un plan général de ce type pour chaque bâtiment, ainsi qu’un plan de ce type par
zone.
Ces plans seront établis sur des fonds de plans sur lesquels figureront obligatoirement l’ensemble des
DAS fournis par les autres prestataires avec leur repérage.
o Implantation de tous les équipements déportés et terminaux du SMSI fournis par l’Entreprise
titulaire des présents travaux : module d’asservissement, DS, AES déportées. Chaque
équipement devra être repéré suivant codification en vigueur (voir chapitre codification) :
o Pour les MD ne seront utilisés ici que les champs 1 et 2, le champ 3 étant indiqué de par le
plan lui-même (cartouche), et le champ 4 par une symbolique adaptée ;
o Pour les DS câblés en aval de MD, ne seront utilisés ici que les champ1et 2 (champ 3 si
différent du plan traité / MD / Champ 6).
o Indication précise des VTP, avec implantation et repérage des équipements implantés à
l’intérieur de ceux-ci ;
o Indication du cheminement des câbles (en horizontal – y compris le câblage entre module
d’asservissement et DAS - et vertical),
o Toute la filerie,
o Légende avec quantitatif par type de matériel installé.
Ces plans seront édités dans un format adapté, et seront parfaitement lisibles (utilisation de la couleur
obligatoire).
Nomenclature SDI
A présenter par unité de traitement, et par ligne (ou bus) dépendant de l’unité de traitement en
référence.
Pour chaque ligne (ou bus) seront données les informations séquentielles suivantes sous forme de
tableau EXCEL (ou équivalent) :
Nomenclature SMSI
A présenter par unité de traitement, et par ligne (ou bus) dépendant de l’unité de traitement en
référence.
Pour chaque ligne (ou bus) seront données les informations séquentielles suivantes sous forme de
tableau EXCEL (ou équivalent) :
Paramétrage SDI
Paramétrage SMSI
En cohérence avec les scénarios, l’Entreprise élaborera un document « Paramétrage SMSI », qui se
présentera par fonction UCMC et par fonction US, ou par fonction UCMC / US si confondues (Tableau
EXCEL ou équivalent), avec :
En cohérence avec la grille de corrélation, l’Entreprise élaborera un document de type tableau EXCEL
(ou équivalent) avec : pour chaque ZD, la liste de ZD programmées sur le SDI correspondantes, la liste des
fonctions activées (voir chapitre ci-dessus).
Plans du SSI
Sont attendus ici, la formalisation des résultats des autocontrôles entreprise relatifs au SDI. (test
unitaire, élément par élément).
Sont attendus ici, la formalisation des résultats des autocontrôles entreprises (CE SSI + CE interfaces)
relatifs au SMSI. (Test unitaire, DAS par DAS (ou groupe de DAS si commandés simultanément sur la
même adresse).
Ainsi pour chaque unité de traitement, et pour chaque ligne ou bus dépendant de l’unité de traitement
en référence, seront données les informations séquentielles suivantes sous forme de tableau EXCEL :
o Identification des équipements commandés par adresse, et s’il existe un contrôle de position
l’indiquer ;
o Date du test ;
o Résultat du test (OK, pas OK) ;
o Réserves (exemples : Matériel déporté défectueux. A changer / N’atteint pas sa PS : cause
pressostat, empoussièrement…) / Pb de câblage, à revoir par Entreprise : A nommer / …) ;
o Date de levée des réserves.
Sont attendus ici, la formalisation des résultats des autocontrôles entreprises (CE SSI + CE interfaces)
relatifs au SMSI (test unitaire, Fonction par Fonction).
Pour chaque fonction UCMC et chaque fonction US, (ou pour chaque fonction UCMC / US si
confondues) identifiée sera donc :
Chaque équipement commandé ou contrôlé aura son repérage + le repérage de l’équipement SSI dont
il dépend + adresse utilisée.
o La date du test ;
o Le résultat du test (OK, pas OK) ;
o Les réserves (exemples : Matériel déporté défectueux. A changer / N’atteint pas sa PS : cause
pressostat, empoussièrement…) / Pb de câblage, à revoir par Entreprise : A nommer / …) ;
o Les dates de levée des réserves.
Sont attendus ici, la formalisation des résultats des autocontrôles entreprises (CE SSI + CE interfaces)
relatifs au SMSI (test unitaire, ZD par ZD).
Pour chaque ZD, sera listé chaque ZD correspondante programmée sur le SDI, avec la liste des
fonctions activées.
o La date du test ;
o Le résultat du test (OK, pas OK) ;
o Les réserves (exemple : Oubli de programmer les arrêts techniques. A reprendre) ;
o La date de levée des réserves.
Chaque modification apportée sur un document diffusé, devra faire l’objet d’un nouvel indice de
révision.
Chaque modification sera clairement repérable (exemple : bulle sur les documents graphiques, gras
pour les autres documents, …) et identifiée quant à son origine (exemple : demande Bureau de Contrôle du :
date, référence, oubli, modification suite études Entreprise, Fiche modif n°, …).
ANNEXE 1
BILAN DE PUISSANCE
Jardin Nord 1 0 1
EXT
Jardin Sud 1 0 1
Terrasse 1 1
Pont et Arrivée 0.5 1
9.5 3 5
Accueil 1 2 2
Vestiaire 1 2 1
Bureau 1 3 2
Caisse 1 2 2
TD RDC
Coffre 1 1 2 2
Coffre 2 1 2 2
Salon 1 5 3
Escalier S/Sol 0.5 1
Salle polyvalente 3 8 5
Toilettes salle
1 1 1
polyvalente
Restaurant 3 5 5
TD CUISINE TD CONE 1
RDC
Salle de jeux
3 90 5
MAS/Tables
BAR 1 6 8
Arrière BAR 0.5 3 2
Cuisine et annexes 2 20 60
21 151 101
Escalier 0.5 1
Couloir 1 1 1
TD SS
Vestiaires 1 2 2
Salle de pause 1 3 3
Cantine 1 3 5
Bureaux paysagers 1 5 5
Stockage 1 3 3
Salle video 1 5 5
Back office 1 5 5
Locaux techniques 1 5
Local serveurs 1 10
11.5 27 46
Groupes froid 75
CTA 52
TGBT
Divers 10
ENERGIES
EF/ECS 25
Onduleur 100
162
TOTAL I en
K=1
KVA
537
A 775
TOTAL I en
K=0,85
KVA
456.5
A 659