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Thème
Contribution à l’étude énergétique d’une
Centrale éléctrique à Cycle combinésimple
Et Cycle samplecombiné
Introduction générale
La production d'électricité est un secteur industriel vital, elle se fait depuis la fin du XIXe siècle
à partir de différentes sources d'énergie potentielles. Depuis quelques années, une augmentation
significative des besoins énergétique, une raréfaction des ressources fossiles et des
préoccupations environnementales de plus en plus importantes sont observées. L’objectif
mondial est de trouver les meilleures options pour avoir une production flexible,
décarbonnéedécartonnée avec des rendements élevés.
En Algérie, l’énergie électrique est produite principalement à partir du gaz naturel, la part de la
puissance installée de l’ensemble des centrales utilisant cette énergie primaire dépasse les 96%.
La turbine à gaz est caractérisée par son coût relativement faible par rapport à la turbine
Actuellement le système énergetique le plus éfficace est la centrale à cycle combiné (CGVCCC),
ou la chaleur des gaz d’echappement est récupérée pour faire fonctionner une turbine à vapeur. La
puissance d’un tel cycle peut atteindre 250 à 500 Mw pour un rendement de plus de 62%.
En Algérie, le parc de production dispose actuellement de deux des centrales de type cycle
combiné en exploitation. La consommation spécifique globale de gaz est ainsi passée de 2,98
th/kWh en 2005 à 2,70 th/kWh en 2009 après l’entrée en service des ces deux centrales. Cette
amélioration s’est traduite par une économie d’un volume d’environ 1,4 milliards de m3 de gaz
en 2009.
Si la part des cycles combinés dans la puissance électrique installée globale est restée, jusqu’à
aujourd’hui assez modeste en Algérie, son intégration s’inscrit résolument dans une logique de
développement avec notamment des perspectives de conversion d’une partie des centrales à
turbines gaz existantes en cycles combinés.
Différentes options techniques peuvent être étudiées pour réaliser la transformation de ces
centrales en cycle combiné, le choix d’une option par rapport à une autre dépend des contraintes
du site d’implantation, des critères économiques liés au nombre d’équipements à ajouter, des
travaux de génie civil à réaliser, des modes d’exploitation ainsi que de l’échelonnement souhaité
pour les mises en service des groupes.
C’est dans ce cadre le plus large que ce présent travail s’inscrit pour contribuer à l’étude
énergétique et économique d’un cycle combiné via le cycle à gaz simple(cycle de base)et au
transfert technologique on prévoyant une visite pratique à la centrale SKS pour approfondir nos
connaissances pratique, organisationnelles, d’optimisation et de contrôle de ce type de centrale
qui est conçue par une technologie moderne .
ChapitreI
Etude comparative
des centrales
électrique
I.1. Introduction :
A l’époque sans éléctricité,la vie qoutidienne serait dificilement envisageable .il est donc
nécessaire de savoir la produire de manière éfficace et continue.
I.2. Historique :
La première centrale électrique, la Pearl Streets station, a été mise en service
Le 4 septembre 1882 par Thomas Edison dans le bas-Manhattan, ce qui a permis de faire
fonctionner l'éclairage électrique des bureaux du New York Times et d'autres bâtiments aux
alentours de Wall Street. La centrale ne délivrant que du courant continu ne pouvait couvrir
efficacement qu'un petit secteur géographique.
Le premier générateur, baptisé « Jumbo », était bien moins efficient que ceux d'aujourd'hui : il
avait un rendement de 3 à 4 % de l'énergie du charbon utilisé.
Six années après Edison, l'invention, par Nikola Tesla, du courant alternatif a permis de
transporter le courant électrique à bien plus grande distance que le courant continu grâce
au transformateurs et aux lignes hautes tension, et donc de limiter le nombre de centrales
nécessaires mais aussi de réduire les pertes en ligne ohmiques tout en utilisant moins de cuivre
qu'avec une ligne basse tension.
L'énergie solaire : elle est utilisée soit dans des chaudières solaires produisant de la vapeur
d'eau destinée à être turbinée, soit dans des centrales constituées d'une multitude de panneaux
photovoltaïques.
L'énergie hydraulique : dans les centrales hydrauliques, c'est soit la force du courant
des rivières (centrales au fil de l'eau), soit celle de la chute d'eau (barrages, conduites forcées)
qui est utilisée pour actionner la turbine entraînant l'alternateur. La force des marées est aussi
utilisée (usines marémotrices).
Hormis dans les centrales photovoltaïques encore peu répandues, la génération d'électricité
est assurée par un alternateur entraîné par une turbine ou exceptionnellement par un
moteur à explosion (moteur Diesel stationnaire, moteur à gaz).Le rendement de conversion
mécanique/électrique est d'environ 98 %. L'essentiel des pertes se fait donc sur la
conversion thermique-mécanique, la cogénération permettant d’améliorer le rendement global
de l'installation. Plusieurs technologies de turbines sont disponibles selon le fluide utilisé pour
les actionner :
Turbine à vapeur.
Turbine à combustion (communément, mais improprement appelée turbine à gaz).
Turbine hydraulique.
Une éolienne est aussi une sorte de turbine
I.4. Présentation des modes de production d’énergie :
Les modes de production d’énéergie,type de source d’énergie,production d’éléctricité et
production de chaleur présentés dans le Tableau I.1 ci-dessous font l’objet d’une fiche dédiée
dans la suite du document :
(X) : possibilité de cogénération
Tableau I.1: Comparatif de mode de production de l’électricité [1]
I.5. Centrales nucléaires à fission :
L'uranium dégage de la chaleur lors d'une réaction nucléaire. La vapeur ainsi crée fait tourner
une turbine qui entraine l'alternateur qui produit l’électricité. Comme le montre la figure ci-dessous
Fig.I.1
Avantages :
Avantages :
Moyen de production d’électricité « dispatchable » pour répondre au demande.
Autonomie (dépendant de l’approvisionnement et du stock de combustible).
Flexibilité dans le choix du combustible (pour certaines technologies).
Longue durée de vie (30 à 40 ans).
Inconvinients :
Dans une turbine à combustion, l'électricité est générée grâce à la circulation de gaz
d'échappement issu d'une chambre de combustion et traversant la turbine qui entraine
l’alternateur qui produit l'électricité. Comme le montre la Fig. I.3
Avantages :
Moyen de production d’électricité « dispatchable » pour répondre au demande.
Forte réactivité (moins de 30 min pour atteindre la puissance max).
Autonomie et sécurité de fourniture des TG, grâce au stock de combustible sur site.
Longue durée de vie (25 à 30 ans).
Qualité de la chaleur pour cogénération (haute température).
Inconvinients :
la vapeur produite est soit directement valorisée sous forme de chaleurs soit convertie en
éléctricité par un turbo alternateur, équipé d'un module de cogénération. Comme le montre la
Fig.I.6
Valorise l’énergie contenue dans les déchets 50 % est considérée renouvelable par convection
Réduit la masse et le volume de déchets à stocker
Réduit la nocivité de certains déchets (ex : déchets médicaux).
Inconvinients :
Génère des polluants et des résidus qui doivent être neutralisés (fumées d’incinération.)
Mauvaise image due aux mauvaises pratiques par le passé quant à la gestion des polluants.
Ne doit pas constituer un obstacle au recyclage des déchets et à la réduction de leur production
Besoin d’un débouché chaleur pour la cogénération.
I.11. Unités de valorisation énergétique du biogaz (méthanisation) :
Le biogaz produit peut être valorisé sous forme d'électricité dans une Turbine ou un moteur à
gaz ou bien sous forme de chaleur dans une chaudière. Comme le montre la Fig.I.7
Avantages :
Avantages :
Les centrales hydroélectriques exploitent l’énergie potentielle gravitaire de l’eau pour produire
de l’électricité. La chute de l’eau, guidée par un réseau de conduites, entraînes des Turbines
reliées à un alternateur qui produite l’électricité. Comme le montre la Fig. I.9
Avantages :
Usage de ressources renouvelables, sans émissions de gaz à effet de serre pour la production
d’électricité.
Forte réactivité (démarrage en quelques secondes)
Production d’électricité flexible pour les centrales disposant d’un stock
Longue durée de vie (supérieur à 50 ans)
Coût marginal de production d’électricité faible (dépendant du stock).
Inconvinients :
Dans une baie ou un estuaire, la construction d'un barrage équipé de Turbine permet de
produire de l'électricité grâce au flux et refluxe de marée entre le large et la
retenue d’eau. Le potentiel énergétique depend du niveau de marnage dont un minimum de 5
mètres est requis et qui peut aller jusqu’à 20 mètres dans certaines régions du monde. Comme le
montre la Fig. I.10 Avantages :
Flottant ou installées sur les fonds marins,les hydroliennes permettent de récupérer l’énergie des
courants de marées,des courant océaniques ou des courants fluviaux pour produire de
l’éléctricité.Equivalents sousmarin des éoliennes,les hydroliennes sont constituées de pâles liées
à un couple à un alternateur qui produite l’éléctricité. Comme le montre la Fig. I.11
Avantages :
Chacun de ces systèmes est conçu pour transformer l’oscillation de la houle en électricité. Les
conditions externes de la surface de la mer impliquent des systèmes particulièrement robustes.
Comme le montre la Fig. I.12
La ressource houle motrice est généralement chiffrée en KW par mètre de front de vague .La
gamme optimale se situe entre 15 et 75 KW/m. sur la face atlantique française, la ressource
moyenne est estimée à 45 KW/m.
Avantages :
Usage de ressources renouvelables, sans émissions de gaz à effet de serre.
Abondance de la ressource
Bonne prévisibilité de la ressource à court terme (48h)
Diversité des sites éligibles (notamment en eaux profondes)
Coût marginal de production d’électricité très faible « gratuité de la ressource ».
Inconvinients :
Le principe de fonctionnement des éoliennes marines est similaire à celui des technologies
terrestres l'énergie du vent est convertie en électricité via la rotation d'un rotor relié à un
dispositif
électromécanique. Comme le montre la Fig I.14
Avantages :
Usage de ressources renouvelables, sans émissions de gaz à effet de serre pour la production
d’électricité
Intermittence de production pouvant être compensée en partie par le foisonnement des régimes de
vent sur le réseau national et européen.
Ressource en vent élevée et stable en mer.
Coût marginal de production d’électricité très faible « gratuité de la ressource ».
Inconvinients :
Intermittence et caractère fatal de la production d’électricité (variabilité dans le temps.).
Incertitude dans la prévision de la ressource.
Complexité et coût de la conception, et de la maintenance en raison du milieu marin.
Complexité et coût du raccordement.
Acceptabilité sociétale potentiellement complexe (pollution, visuelle, conflits
Avec les activités maritimes).
I.19. Systèmes solaires photovoltaïques :
Les matériaux cristallins sont les plus répandus. Les couches minces ont toute fois des
propriétés intéressantes, notamment pour une intégration aux maisons(meilleur captage du
rayonnement diffus, bonne résistance à l’échauffement … etc.). Comme le montre la Fig I.15
Avantage :
Usage de ressources renouvelables, sans émissions de gaz à effet de serre pour la production
d’électricité.
Abondance de la ressource
Coût marginale de production d’électricité très faible « gratuité de la ressource »
Forte modularité d’installation, adaptée au logement particulier et à l’autoconsommation.
Inconvinients :
Le cycle combiné consiste à récupérer l'énergie thermique des gaz, très chaudes (dépassant
désormais 600 °C) à l'échappement de la Turbine à combustion, pour produire, dans une
chaudière de récupération, de la vapeur d'eau utilisée pour alimenter un groupe turboalternateur à
vapeurVapeur. Cette solution permet une augmentation notable du rendement énergétique global
de la
centraleCentrale. Généralement, ce type de centrale comprend deux alternateurs, l'un entraîné par
la Turbine à combustion, l'autre par la Turbine à vapeur, cependant, certaines centrales n'utilisent
qu'un seul alternateur, les deux Turbines étant montées sur le même arbre. La puissance de la
Turbine à vapeur étant environ 50 % de la puissance de la Turbine à combustion, des
constructeurs de centrale ont installé sur certains sites deux Turbines à combustion entraînant
chacune un alternateur, et une Turbine à vapeur alimentée par les deux chaudières et entraînant
un troisième alternateur identique aux deux autres. Comme le montre la FigI.16
Avantage :
Les centrales au gaz à cycle simple sont des centrales au gaz naturel qui fonctionnent en propulsant le
gaz chaud dans une turbine afin de produire de l’électricité. Ils diffèrent des centrales à gaz à cycle
combiné parce que leur chaleur résiduelle n’est pas fournie à un autre moteur thermique externe, de sorte
qu’ils ne sont utilisés que pour répondre aux besoins de pointe sur le réseau électrique. Ces turbines ont
une puissance spécifique élevée, ce qui signifie que la puissance qu’elles fournissent pour leur taille est
relativement élevée.
L’énergie de base est fournie au réseau à partir de diverses centrales électriques, comme le charbon ou
le nucléaire, qui répondent aux besoins minimaux en électricité, et les centrales électriques de pointe,
comme les centrales au gaz à cycle simple, peuvent répondre aux fluctuations de la demande d’électricité.
Pour ce faire, les centrales à cycle simple disposent d’une grande flexibilité opérationnelle, ce qui signifie
qu’elles peuvent être mises en service rapidement pour répondre à ces besoins. Cependant, cela se traduit
par un rendement plus faible que celui des centrales à cycle combiné, car elles utilisent moins l’énergie
contenue dans le combustible qu’elles utilisent. L’efficacité de ces centrales est d’environ 35 %.
Là où ils manquent d’efficacité, ils compensent en coûts. L’EIA a estimé que pour une centrale à cycle
simple, le coût est d’environ 389 $US/kW, alors que les centrales à cycle combiné sont de 500 $US à
550 $US/kW
Le rendement relativement plus faible et la fonction de fournir seulement la puissance de pointe, les
centrales à cycle simple ne sont pas fonctionner très longtemps toute l’année. Cela leur donne un facteur
de capacité très faible, ce qui signifie qu’ils sont, en moyenne, pas très près de leur production maximale.
Au maximum, ces plantes ne sont généralement exploitées que quelques heures par jour.
I.22. cycles simple de Brayton :
Le Brayton Cycle est le cycle idéal pour une simple turbine à gaz et a été proposé comme cycle
directà utiliser par les réacteurs refroidis au gaz à haute température.
Une différence significative entre le cycle de Brayton et le cycle de Rankine, est que le fluide de
travail est toujours un gaz monophasé. Un cycle de Brayton simple est illustré en dessous de
. QH
Heat Exchanger
Comp.
2 3
Turbine
.
Wnet
Heat Exchanger
.
1 4
La figure 2 illustre ces processus sur les diagrammes T-S et P. Nous pouvons analyser la
performance du cycle de Brayton en notant que pour un gaz monophasé,
I.1. comparaison entre déférentes centrales électriques : On peut comparer entre ces
centrales par les indicateurs techniques suivants :
Centrales Gamm Taux de Durée de Type de Facteur Rendement
électrique e de disponibilit fonctionnemen machine de
s puissance é t charge
Centrale nucléaire à 1.6 GWe 75 à 90 % 6000 à 8000 h /an 75 à 90% 35 à 36%
fission base
Centrale thermique à 600 MWe 80 à 85% 2000 à 6000 h/an 20 à 85 % 32à37% électricités
flamme semi-base 46 à 47 % chaleur
Centrale à cycle à gaz 100 85 à 95% < 1000 h/an pointe 10 à 90 % 30 à 42% gaz/fuel
centralisées ; 50 à 90% chaleur
Centrale à cycle 825 MWe 80 à 90 % 2000 à 8000 h/an 20 à 90 % 57 à 62%
combiné semi-base
Moteur à combustion 220 MWe 85 à 95% < 100 h/an extrême 1 à 70 % 25 à 43%
interne/groupe pointe
électrogène
Centrale électrique à 150 MWe 90 à 95 % 2000 à 8000 h/an 20 à 90% 15à40%
combustion semi base /base
biomasse
solide
Unités d’incinération 80Mwe 85 à90% 7500 à7900 h/an 20 à 90 % 20 à 35 %
des base
ordures
ménagères
Unités de valorisation 2MWe 70 à 90% 6500 à 7900 h/an 50 à 90 % 30à40%
énergétique du biogaz base
Unités de 100MWe 80 à90 % 2000 à 8000 h/an 20 à 90 % 20 à 30 %
valorisation semi -base /base
énergétique du gaz de
synthèse
Centrale 1.8 Gwe 85 à 95% < 2000 h/an pointe 20 à 95% 85 à 95%
hydroélectriques
Usines marémotrices 238 MWe 85 à 95% 2000 à 2500 h/an 25% 80 à 90%
base
Fermes hydroliennes 0.5 MWe 85 à 95% 4000 à 5000 h/an 40 à 55% 35 à 45%
base
Ferme houle motrices 0.5 MWe 85 à 95 % 6000 à8000h/an 30 à 50 % 30 à 40%
base « fatale »
Fermes éoliennes 20 MWe 97% 6000 à 7500h/an 20 à 25 % 35 à 45%
terrestres base « fatale »
Ferme éoliennes 500 MWe 97% 6000 à 7500h/an 30 à 45% 40 à 45%
marines base « fatale »
Système solaire 12 MWe 95 à 98% 4000h/an 10 à 20% 6 à 25%
photovoltaïques base« fatale »
A ce stade et sur la base des informations fournies, l’évolution probable du parc de production en
Algérie (puissance installée en MW et répartition par filière) sur la période considérée se présente
comme suit :
Le gaz est utilisé dans des centrales thermiques à vapeur, à gaz, ainsi que dans les
centrales à gaz et à vapeur appelées centrales à cycle combiné. En effet, les cycles combinés
peuvent se présenter selon deux configurations : Mono-arbre ou multi-arbre. Un cycle combiné
mono-arbre est constitué d’une seule turbine à gaz, d’une seule chaudière de récupération qui
alimente une turbine à vapeur et d’un unique alternateur dimensionné pour les deux turbines.
En Algérie [3], le parc de production dispose actuellement de deux centrales de type cycle
combiné en exploitation. L’introduction de ces centrales dans un parc constitué quasi-
exclusivement de turbines à vapeur et de turbines à gaz a, indéniablement, contribué à
réduire les quantités de gaz dédiées à la production de l’électricité. La consommation
spécifique globale de gaz est ainsi passée de 2,98 th/kWh en 2005.
À 2,70 th/kWh en 2009 après l’entrée en service de ces deux centrales. Cette
amélioration s’est traduite par une économie d’un volume d’environ 1,4 milliards de m3 de
gaz en2009.
Ces centrales à cycle combiné en fonctionnement on les trouve dans les wilayas suivantes :
Conclusion:
Les cycles combinés gaz-vapeur offerent les meilleurs rendements et les coûts
les plus bas pour la production d’énergie éléctrique dansles installations de
grande puissance (plus de 1000MW).
pour les installations plus petites le coût de la turbine à vapeur du cycle combiné
représente une part importante du coût global de l’installation. Cela nous pousse à
approfondir plus dans l’étude energétique de ces centrales à cycle combiné dans le
but de metriser leurs technologie .