Cours Tle Esf Et Ih
Cours Tle Esf Et Ih
Cours Tle Esf Et Ih
Un système triphasé est un réseau à trois grandeurs (tensions ou courants) sinusoïdales de même
fréquence et déphasées, les unes par rapport aux autres, d’un angle de 120° (voir Fig.2).
Le système est équilibré si les grandeurs sinusoïdales sont de même valeur efficace. Il est direct
si les phases sont ordonnées dans le sens trigonométrique et inverse dans l'autre cas.
Une ligne triphasée comporte 3 conducteurs appelés "phases" (1,2,3 ou A,B,C ou R,S,T) et
éventuellement un conducteur de référence appelé "neutre« (N). On distingue deux types de
tensions:
- Les tensions simples ou tensions étoilées (tensions entre phase et neutre). Nous les noterons :
v1(t), v2(t) et v3(t).
- Les tensions composées (ou tensions entre phases). Nous les noterons : u12(t),u23(t) et u31(t).
On appelle :
Générateur triphasé équilibré : l’ensemble de trois
générateurs monophasés.
fils de ligne : les conducteurs reliant ces générateurs aux
récepteurs.
ligne triphasé : l’ensemble des fils de ligne
Phase : G1, G2 et G3 sont appelés respectivement phase 1,
phase 2, phase 3 du Générateur triphasé
NB : Un générateur triphasé est encore appelé générateur
sans précision.
1.1. Tensions simples
On définit la tension simple par la différence de potentiel entre une phase et le neutre (réel
ou fictif). Les trois tensions simples ont la même valeur efficace V et la même pulsation
ω=2πf.
2-Intérêt du triphasé
En triphasé, le volume de fer utilisé dans les transformateurs est la moitié du volume de fer
dans les transformateurs, de même puissance utilisés en monophasé.
En distribution d’énergie, le triphasé présente un intérêt économique de 30% par rapport au
système monophasé.
3- Récepteurs triphasés équilibrés
Ce sont des récepteurs constitués de 3 éléments identiques, d’impédance Z = (IZI, φ)
On appelle courant par phase les courants qui traversent les récepteurs, on les note j.
On appelle courant en ligne les courants qui circulent dans les fils de ligne, notés i
4- Couplage étoile :
4.1. Montages
4.2. Puissances
5. Couplage triangle : ∆
5.1. Montages
Comme il s’agit des mêmes impédances : i1 + i2 + i3 = 0 et j12 + j23 + j31 = 0. Le fil neutre n’est pas
nécessaire dans le montage triangle.
5.2. Relations entre les courants
6. Résumé
Exercice 1 Sur le réseau (230/400V ; 50Hz) sans neutre, on branche en étoile trois récepteurs
identiques de résistance R = 10Ω en série avec une inductance L= 0,1H.
1/ Faire le schéma du montage en fléchant les tensions et les courants
2/ Déterminer la valeur efficace des courants en ligne, ainsi que leur déphasage par rapport aux
tensions correspondantes
3/ Les trois récepteurs sont maintenant couplés en triangle. Calculer la valeur efficace des
courants en ligne
4/ Effectuer la construction de FRESNEL dans chacun des cas précédents.
Exercice 2 : Sur le réseau (230/400V ; 50Hz), on branche en triangle trois récepteurs capacitifs
de résistance R = 25Ω en série avec une capacité C = 47µF.
1/ Faire le schéma du montage en fléchant les tensions et les courants
2/ Déterminer la valeur efficace des courants en ligne, ainsi que leur déphasage par rapport aux
tensions correspondantes.
Exercice 3 : Trois récepteurs identiques constitués d’une résistance R = 25Ω en série avec une
inductance de réactance 25Ω sont couplés en étoile sur le réseau (230/400V ; 50Hz), avec neutre.
1/ Déterminer la valeur efficace des courants enligne
2/A la suite d’un incident, la résistance de l’un des récepteurs est court-circuitée.
a/ Dessiner le schéma du circuit dans ces conditions
b/ Calculer le courant efficace dans chaque phase et dans le neutre.
Les transformateurs sont toujours accompagnés d’une plaque signalétique qui indique les
caractéristiques de l’appareil.
Exemple: 50 P/s ou 50Hz (fréquence)
220/110V (U1=220 et U2=110V) tensions
100KVA Puissance apparente du transformateur
1 ∼ courant alternatif monophasé.
NB: Le transformateur ne fonctionne pas en courant continu
3-Fonctionnement à vide
On dit qu’un transformateur fonctionne à vide lorsque le secondaire ne débite aucun courant
(i2=0).
3.1-Schéma :
1.5-Postulat de Bohr
L’atome peut prendre une série discontinue d’états stationnaires, et possède dans un état donné,
une énergie bien déterminée. Les états d’énergie de l’atome sont quantifiés (∆E = hν).
1er postulat de Bohr.
L’énergie d’un atome ne peut prendre que certaines valeurs bien déterminées. A chaque valeur
correspond un état appelé niveau d’énergie. Un atome est dans son état fondamental lorsqu’ils
possèdent l’énergie la plus faible, tous les autres états étant des états excités.
2ème postulat de Bohr.
Une transition est le passage d’un niveau d’énergie à un autre. Les variations d’énergies ne peuvent
prendre que des valeurs bien déterminées, on dit qu’elles sont quantifiées.
Remarque :
Si n = 1, E1 = -13,6 eV, l’atome d’hydrogène est dans son état fondamental.
Si n= 2, E2= -13,6/4= -3,4Ev
Si n = l’infini, E = 0 eV, l’électron de l’atome d’hydrogène est infiniment éloigné du noyau. Il n’y
a plus d’interaction avec ce noyau, on dit que l’atome est ionisé.
Objectifs :
-définir les éléments cardinaux d’une lentille,
-connaître les relations de conjugaison et de grandissement d’une lentille mince,
1- Définition et classification des lentilles.
1-1- Définition.
Une lentille sphérique est un milieu transparent limité par deux calottes sphériques
(surfaces), ou par une calotte sphérique et un plan.
La droite passant par les centres des sphères est appelée axe principal de la lentille (fig.1 et fig.2)
e est l’épaisseur de la lentille.
R : le rayon de courbure de la lentille.
D : le diamètre d’ouverture.
O le centre optique de la lentille. C’est le point de l’axe principal tel que tout rayon lumineux
passant par ce point sort de la lentille sans être dévié.
Une lentille est dite mince si son épaisseur est faible par rapport au rayon de courbure de
ses surfaces.
1-2- Classification des lentilles minces. Les lentilles à bords minces : Elles
On distingue parmi les lentilles minces : transforment un faisceau incident
parallèle en faisceau convergent : ce
sont des lentilles convergentes.
Les lentilles à bord épais : Elles
transforment un faisceau incident
parallèle en faisceau divergent, ce sont
des lentilles divergentes.
1-3- Point objet et point image
Remarque :
Une image est réelle lorsqu’elle se forme après le système optique, on peut recueillir une telle
image sur un écran.
Une image est virtuelle lorsqu’elle se forme en avant du système optique, on ne peut donc pas
la recueillir sur un écran.
Foyer principal objet : Noté F, le foyer principal objet est le point de l’axe principale tel que tout
faisceau incident passant par ce point émerge parallèlement à l’axe principal (cas d’une lentille
convergente) ou se dirigeant vers ce point émerge parallèlement à l’axe (cas d’une lentille
divergente).
a) La distance focale.
Par convention on oriente l’axe principal de la lentille dans le sens de propagation de la lumière
(de la gauche vers la droite). Le centre optique étant pris comme origine, on appelle distance
focale d’une lentille la grandeur algébrique notée f’ = OF’, avec O le entre optique et F’ le
foyer principal image.
Remarque : -Si OF’>0, la lentille est dite convergente.
-Si OF’ <0, la lentille est dite divergente.
2- Marche d’un rayon lumineux à travers une lentille et formation d’images.
Pour construire l’image d’un objet donné par une lentille, on utilise les trois règles d’or suivantes :
un rayon incident passant par le centre optique traverse la lentille sans être dévié.
Un rayon incident parallèle à l’axe principal émerge de la lentille en passant par le foyer
image F’.
Un rayon incident qui passe par le foyer principale objet donne un rayon émergeant parallèle
à l’axe principal.
Caractéristique :
Nature : virtuelle.
Sens : droite.
Grandeur : plus grande que l’objet
Caractéristiques :
Nature : réelle.
Sens : droit.
Grandeur : plus grande que l’objet.
Caractéristiques :
Nature : virtuelle.
Sens : droite.
Grandeur : plus petite que l’objet.
Exercice d’application :
Une lentille convergente de distance focale 20cm donne d’un objet réel AB une image droite,
virtuelle et quatre fois plus grande que l’objet.
1- rappeler la formule de conjugaison. on donnera la signification de chacun des termes
figurant dans cette expression.
2- Déterminer la position de l’objet ayant permis d’obtenir cette image.
3- On accole à la lentille précédente, une autre lentille de vergence C2=-15diopties.
3.1 énoncer le théorème des vergences.
3.2 calculer la vergence de la lentille résultante ainsi obtenue.
On place à 15cm devant cette lentille résultante un objet AB de taille 2cm.
Déterminer la position et la nature de l’image A’B’ de AB à travers cette lentille.
Sur un schéma clair, construire cette image.
OA’≈15mm=cte.
OA : position de l’objet (variable)
OF’ : distance focale du cristallin (variable).
-1/OA + 1/OA’ = 1/OF’
Du point de vue optique, l’œil est constitué d’un diaphragme, d’une lentille convergente et
d’un écran.
L’iris joue le rôle de diaphragme.
Le cristallin joue le rôle de lentille.
La rétine joue le rôle d’écran.
α= AB/Dm.
α : pouvoir séparateur en rad, Dm distance maximale
de l’œil à l’objet. Pour un œil normale, α≈1’≈3x10-
4
rad
Un œil est myope lorsque l’image donné par cet œil d’un objet situé à l’infini se forme en avant
de la rétine : Il est donc plus convergent qu’un œil normal. Les objets éloignés vu par cet œil
sont flous car son PP est plus proche de l’œil. Pour corriger le défaut, on place en avant de cet
œil une lentille divergente.
b) L’hypermétropie.
Un œil est hypermétrope lorsque l’image d’un objet situé à l’infini, donnée par cet œil, se forme
en arrière de la rétine : Il est donc moins convergent qu’un œil normal. Il voit flou des objets
rapprochés car son PP est plus éloigné. Pour corriger ce défaut, on place en avant de cet œil une
lentille convergente.
c) La presbytie.
2.1.1) Introduction : Le pouvoir séparateur limité de l’œil ne permet pas d’observer un objet dont
le diamètre apparent est trop petit. Pour ce faire on utilise des instruments d’optiques
permettant à l’œil d’observer non plus l’objet, mais l’image virtuelle plus grande que
l’objet.
2.1.3) la puissance d’un instrument d’optique : La puissance P d’un instrument d’optique est
le quotient du diamètre apparent α’de l’image par la hauteur AB de l’objet.
P = α’/AB. Avec P(δ), α’(rad), AB
(m).
NB : On parle de puissance intrinsèque lorsque l’image est observée à l’infini.
Lorsque l’image est à l’infini, la puissance P = 1/OF’ est dite intrinsèque, elle est égale à la
vergence de la loupe.
b) Œil au foyer principal image.
2.2.4) le grossissement
a) Relation entre grossissement et puissance.
B
A2 A1
A F1 O1 F’1 O
F2 2
F
’1
B1
B2
2.3.4) La mise au point du microscope : Elle se fait en déplaçant l’ensemble objectif oculaire
par rapport à l’objet. La latitude de mise au point est très faible.
2.3.5) La puissance du microscope.
B Δ
A1 O2
A F O1 F’1 F2 α α’ F’2
1
B1
α’=A1B1/O2F2
A2B2 à l’infini
L’image A1B1 donnée par l’objectif doit se former sur le plan focal objet de l’oculaire, alors la
puissance de l’oculaire devient sa puissance intrinsèque.
La puissance intrinsèque est donnée par la relation :
Pi = Δ/O1F’1xO2F’2. Avec Δ = F’1F2, appelé intervalle optique du microscope.
On peut écrire Pi = Δ/O1F’1xP2i avec P2i = 1/O2’F’2 (la puissance intrinsèque de l’oculaire.
Objectifs :
-Connaître les propriétés des rayonnements X, UV, IR, γ et leurs applications.
-Définir période radioactive, et calculer l’énergie nucléaire.
-Connaître les applications et les dangers de la radioactivité
La spectroscopie Infrarouge est l’une des méthodes utilisées pour l’identification molécules
organiques et inorganiques à partir de leurs propriétés vibrationnelles. Elle permet de
déterminer les principales fonctions chimiques présentes dans un échantillon. Le proche
infrarouge peut être utilisé pour déterminer la teneur en lipides d’aliments.
2-Rayons X
2.1-Production : Les rayons X sont émis par un métal soumis à un bombardement intense
d’électrons animés d’une grande vitesse. Les rayons X sont des radiations de même nature que la
lumière. Leurs longueurs d’ondes sont comprises entre 10-10 et 10-8m.
2.2- Absorption : Les rayons X ont les propriétés de traverser un grand nombre de matériaux,
mais d’autant plus difficilement que le numéro atomique de la substance est plus élevé : C’est le
phénomène d’absorption.
2.3-Protection : Pour diminuer le danger des rayons X, le manipulateur se protège à l’aide de
vêtements en plomb.
2.4-Applications : Les rayons X sont utilisés pour la détermination des structures cristallines, la
destruction des cellules cancéreuses (radiothérapie) et pour localiser des fractures ou des
tumeurs.
3- Radioactivité
3.1-Définition de la radioactivité :
La radioactivité est la transformation spontanée de certains éléments en d’autres éléments par
désintégration avec émission des particules, accompagnées d’un rayonnement
électromagnétique.
3.2-Lois de conservation radioactive.
Au cours d’une réaction mettant en jeu des noyaux et des nucléons appelée réaction nucléaire,
il y’a :
- Conservation de la quantité de mouvement. -Conservation de l’énergie totale.
- Conservation du nombre de masse. -Conservation du nombre de charge.
PAR COLINCE NDE (PLEG) P a g e 20 | 50
3.2-Différents types de radioactivité
On distingue trois types :
a) La radioactivité α : Les noyaux radioactifs α émettent les particules α (noyau d’hélium 42𝐻𝑒).
L’équation traduisant cette radioactivité est 𝐴
𝑍𝑋
4 𝐴−4
2𝐻𝑒 + 𝑍−2𝑌
(X noyau père et Y noyau fils)
Ex : Le radium 22688Ra est radioactif α et le noyau fils est AZRn, Ecrire l’équation de
désintégration du radium et trouver les valeurs de A et Z.
b)-la radioactivité β− : C’est l’émission d’électrons 0-1e par certain noyaux. Son équation est :
A
ZX
0
-1 e + A(Z+1)Y
Ex : le carbone 14 est radioactif β− . Le noyau fils est l’azote 14 : 146C 0
-1 e + 147N
c)- La radioactivité β+ : La radioactivité β+ est l’émission de positrons 0+1e par certain noyaux.
A
ZX
0
+1 e + A(Z-1)Y ;
Ex : 3015P 0
+1e + 14Si
30
3.1-la fusion nucléaire : C’est la fusion de deux noyaux légers conduisant à un noyau plus lourd
Exemple: 11H + 21H 3
2He ;
2 3
1 H + 1H
4 1
2He + 0n (bombe à H).
3.2-la fission nucléaire : C’est la division d’un noyau lourd en d’autres noyaux plus légers.
Ex : 115𝐵 + 10𝑛 4 7
2𝐻𝑒 + 3𝐿𝑖 + 0𝑛
1
4-Activité et période radioactives
4 .1-Activité : C’est le nombre de désintégration par unité de temps. Elle s’exprime en becquerel
(Bq) qui correspond à une désintégration par seconde.
A = λN = Où N est le nombre de noyau et λ est la constante radioactive.
4.2-Demi-vie : La période ou demi-vie, est la durée T au bout de laquelle la moitié de
l’échantillon de nucléide s’est désintégrée.
𝑙𝑛2 0,693 𝑁0 𝑁
T= = Si à t=0, on a N0 , alors à t= T, on N= et à t=nT, on N= 2𝑛0
λ λ 2
Exercice d’application 2 :
1- l'une des réactions de fission les plus courantes dans les réactions nucléaires est la
suivante:
94 140
235 1 .....Sr + 54Xe + ......10n
92U + 0n
Objectifs : -Définir longueur d’onde, intensité acoustique et niveau d’intensité sonore et les
calculer
1-Production et nature du son simple
1.1-Production : Générer un son consiste à ébranler le milieu de sa propagation, à le mettre
localement en mouvement et à lui transmettre de l’énergie qu’il se chargera ensuite de véhiculer.
1.2-Nature : Le son ou onde sonore est une onde d’oscillation mécanique de pression qui :
Se propage longitudinalement à l’oscillation dans un milieu élastique continu.
Transfère de l’énergie par déplacement alternatif localisé de matière sans transport délocalisé
de l’ensemble du milieu.
2-Propagation et célérité du son dans l’air : La vitesse de propagation ou célérité du son dans
un milieu dépend :
De la nature du milieu (corps purs, mélange, solution).
De son état physique (gazeux, liquide, solide).
De sa température
2.1-Longueur d’onde sonore : C’est la distance mesurée dans la direction de propagation, entre
deux points d’un milieu où la pression acoustique repasse par les mêmes valeurs.
1
T= 𝑓 ; T= période du son en (s)
2.2-Exercice d’application : La fréquence d’une onde sonore est f=2000Hz
1) Calculer la période de cette onde
2) Déterminer sa longueur d’onde si elle se propage dans l’air où la célérité du son est V=340m/s
3-Caractéristiques physiologique des sons acoustiques : Un son est caractérisé par :
Sa fréquence encore appelé hauteur
Son intensité
Son niveau d’intensité sonore
Son timbre ou taux d’harmoniques
1
3.1-Hauteur des sons : C’est la fréquence du son notée f. f= . plus la fréquence est élevée,
𝑇
plus le son est aigu. L’octave correspond au doublement de la fréquence d’une note.
3.2-Intensité d’un son : L’intensité du son est la grandeur physique caractérisant l’amplitude
d’une onde sonore. Elle est définie par l’expression :
Objectifs :
- S’initier à la nomenclature en chimie organique.
- Montrer l’importance des hydrocarbures.
1-Définition
On appelle hydrocarbure, tout composé constitué uniquement de carbone (C) et d’hydrogène (H).
Les hydrocarbures sont regroupés en quatre grandes classes : les alcanes caractérisés par les liaisons
de covalence simples (C−C ), les alcènes (C=C), les alcynes (C≡C ) et composés aromatique
(possède un noyau benzénique).
2-Formule générale
2.1-alcanes : Les alcanes sont des hydrocarbures saturés de formule générale CnH2n+2 (n ∈ N*).
2.2-alcènes : Les alcènes sont des hydrocarbures ayant au moins une double liaison (C=C) dans
leur chaîne carbonée. Leur formule générale est CnH2n avec n ≥ 2.
2.3-alcynes : Les alcynes sont des hydrocarbures ayant au moins une triple liaison (C≡C ) dans
leur chaîne carbonée. Leur formule générale est CnH2n-2 avec n ≥ 2.
2.4-composés aromatiques : Ils ont des propriétés particulières en raison de leur structure. Le
plus simple est le benzène (C6H6)
3-Nomenclature
3.1-Cas des alcanes : Le nom d’un alcane s’obtient en associant le suffixe –ane au préfixe
désignant sa chaîne carbonée la plus longue.
Exemple :
H H2 H2 H H2 H2 H H2 H2 H
H3C C C C CH3 H3C C C C CH3 H3C C C C C C2H5
CH3 C3H7
CH3 CH3
2-méthylbutane 2-méthylpentane 5-éthyl-2-méthyloctane
3.2- Cas des alcènes et des alcynes
Comme pour les alcanes, on utilise le suffixe « ène » pour les alcènes et « yne » pour les alcynes.
Le préfixe est fonction du nombre d’atomes de carbone. La démarche à suivre est la suivante :
Déterminer la chaîne carbonée la plus longue contenant la liaison multiple.
Repérer la position de la liaison multiple et des ramifications.
On considèrera le sens de numérotation qui donne la plus petite position à la chaîne multiple.
CH3
H2
H3C C C C C CH3
H2C CH2
ou cyclobutane
CH3
2,2-diméthylhex-3-yne H2C CH2
3.4-Isomérie : On appelle isomères, les molécules ayant la même formule bute mais des formules
semi-développées différentes
Exemples :
Isomérie de chaine :
CH3
H2 H2 H2 H2 H H2
H2C C C C CH2 H2C C C C CH
Isomérie de position :
H3C CH3
H3C
H
C C
C C
H H CH3
H
(Z)-but-2-ène (E)-but-2-ène
3-5- Les composés aromatiques : C2H5
CH3 CH3
C 2 H5
Toluène ou méthylbenzène C2H5
1,4-diéthylbenzène 1-éthyl-3-méthylbenzène
Ou para diéthybenzène
3-Propriétés chimiques
3.1-Réaction de combustion
a) cas des alcanes : La combustion complète des alcanes dans du dioxygène conduit au dioxyde de
carbone et de l’eau.
3.2-Réaction de substitution
Une réaction de substitution est une réaction au cours de laquelle un atome d’hydrogène est
remplacé par un autre atome ou groupe d’atome monovalent.
Exemple de la chloration du méthane.
La chloration du méthane est la réaction de substitution du chlore sur le méthane en présence de
la lumière. C’est une réaction photochimique qui conduit à 4 principaux produits selon les
équations.
lumière
CH4 + Cl2 CH3Cl +HCl CH3Cl : monochlorométhane, solvant
3.3-Réaction d’addition : Une réaction d’addition est une réaction au cours de laquelle de
nouveaux atomes se fixent sur une molécule insaturée après la rupture de ses liaisons faibles.
a) Hydrogénation : L’hydrogénation est l’addition du dihydrogène.
En présence du nickel, l’hydrogénation d’un alcène conduit à un alcane :
NiouPt
Ni/pt/pd C2H6
CnH2n + H2 C
CnH2n+2 2 4H + H2 ou Pd/200°C
En présence du nickel comme catalyseur, l’acétylène donne directement l’éthane tel que :
Ni
C2H2 + 2H2 C2H6
ou H H
Ni
H C C H +2 H2 H C C H
H H
En présence du palladium comme catalyseur, l’acétylène donne l’éthylène tel que :
Pd
C2H2 + H2 C2H4
ou H
H
Pd
H C C H + H2 C C
H H
b) Addition du chlorure d’hydrogène
H2
2H3C H3C C CH2Cl + H3C C CH3
C CH2 + 2HCl H
H 1-chloropropane 2-chloropropane
Expérimentalement, on montre que le 2-chloropropane est le produit majoritaire car il respecte la règle de
markovnikov qui stipule que : Au cours de l’adition d’un composé hydrogéné sur une molécule
dissymétrique et insaturée, l’atome d’hydrogène du composé hydrogéné se fixe préférentiellement
sur le carbone le plus hydrogéné de la double liaison.
Le chlorure d’hydrogène réagit avec l’acétylène pour donner le chlorure de vinyle tel que :
+ HCl H2C CH
H C C H
Cl
chlorure d vinyle
c) Hydratation (addition de l’eau)
L’addition de l’eau sur un alcène conduit aux alcools
H2SO4
CH +
H O H H3C CH2OH
2HC 2 éthanol
Si l’alcène est dissymétrique, on obtient deux produits dont le plus prépondérant est celui respectant la règle
de Markovnikov.
Exemple :
H2
H2SO4 H
2 H3C C CH2 + 2H2O H3C C CH3 + H3C C CH2OH
H
propan-1-ol
OH
propan-2-ol
L’addition de l’eau sur un alcyne conduit aux aldéhydes ou aux cétones
H2SO4 O
HC CH + H2O H3C C
HgSO4 H
éthanal
1- La polymérisation.
On appelle polymérisation, l’addition les unes aux autres des molécules identiques et
insaturées. Le résultat de cette addition est appelé polymère.
Le monomère est un composé insaturé dont la molécule possède une double liaison.
Si un polymère contient n monomères alors, on dit que n est le degré ou l’indice de
polymérisation. L’équation bilan générale d’une réaction de polymérisation est :
nM Mn
Si Mpo est ma masse molaire moléculaire du polymère, Mmo, celle du monomère, on a la relation :
+ HCl H2C CH
H C C H
Cl
chlorure d vinyle
La polymérisation du chlorure de vinyle conduit au polychlorure de vinyle (PVC) te que :
H2 H
nH2C CH ( C C )
n
Cl Cl
Exercice d’application 1 :
Dans un eudiomètre, on combustion complète de 10cm3 de cet hydrure et qu’il se forme 20cm3
de dioxyde de carbone et de l’eau tous les volumes sont mesurés dans les CNTP.
En déduire la formule moléculaire de l’hydrure de carbone.
brûle un hydrure de carbone. On trouve que, 25cm3 de dioxygène sont nécessaires pour assurer
la.
Exercice d’application 2 :
A- Le 1,2-dichloroéthylène peut être polymérisé.
1. Écrire la formule développée de ce composé.
2. Écrire l’équation bilan de sa polymérisation, nommer le polymère obtenu et donner le motif
de ce polymère.
3. Déterminer son degré de polymérisation sachant que la masse molaire du polymère est de
24500g/mol. On donne en g/mol : Cl = 35,5, H = 1, C = 12
2.2-Les aldéhydes
3-Propriétés chimiques
3.1-Les alcools
a) Combustion : CnH2n+2O + 3n/2O2 nCO2 + (n+1)H2O
Exemple : CH3-CH2OH + 3O2 2CO2 + 3H2O
b) Oxydation du métal sodium (Na) :
R-OH + Na R-O- + Na+ + 1/2H2
Exemple : C2H5-OH + Na C2H5O- + Na+ + 1/2H2
Tous les alcools peuvent réagir avec le sodium, dans ce cas l’alcool est réduit en ion alcoolate et en dihydrogène.
L’ion RO- obtenu est l’ion alcoolate.
b) Déshydratation
-Intramoléculaire
Intermoléculaire
éthanoate de 3-méthylbuthyle
1.2-Technique d’extraction
Le pétrole est extrait des profondeurs du sol par des forages. Le pétrole extrait par forage est
traité par divers techniques pour donner de multiples dérivés.
1.3-Dérivés du pétrole
Les dérivés ou coupes du pétrole sont : l’essence, le fuel, le kérosène, le pétrole lampant, le
gasoil, le bitume. Une coupe de pétrole est l’ensemble des constituants du pétrole ayant la
température d’évolution voisine.
2-Constituants du pétrole et des gaz
2.1-Pétrole
Les pétroles sont des liquides visqueux de couleur brune ou noire. Ce sont des mélanges
d’alcanes, de cyclanes et d’hydrocarbures aromatiques.
2.2-Gaz naturel
Les gaz naturels contiennent toujours de l’eau, les alcanes et d’autres constituants comme le
sulfure d’hydrogène. Les opérations de traitement des gaz naturels comportent au moins
trois étapes : Le séchage, la désulfuration et la distillation fractionnée.
3-Raffinage
3.1-Définition
Le raffinage est l’ensemble des opérations de traitement du pétrole brut. Il comporte deux étapes
: la distillation, les opérations de craquage et de reformage.
3.2-Distillation
C’est le procédé de séparation des différents constituants d’un mélange homogène liquide-
liquide. Elle consiste à chauffer le mélange jusqu’à vaporisation et les premières vapeurs
recueillies sont condensées à l’aide d’un réfrigérant. Il existe deux types de distillation : la
distillation simple et la distillation fractionnée (distillation du distillat).
3.3-Craquage
C’est une opération chimique qui transforme les hydrocarbures lourds en hydrocarbures légers.
Exemple :
3.4-Le reformage
5.2-Tests d’identification
Pour distinguer les matières plastiques, on peut utiliser les tests suivants :
Test de densité : Seul le polyéthylène flotte sur l’eau.
Test au chauffage : PE, PVC, PS, et PET se ramollissent à chaud. Seul le PVC donne une
flamme verte.
Test de solubilité : le PS et le PVC sont solubles dans l’acétone alors que PE et PET ne le
sont pas.
RCOO Ca2+
- RCOO-
Ca2+
Ca2+
SiO44
- -
Ca2+
Ca2+
RCOO
RCOO
- RCOO-
En masse, l’eau est le constituant le plus abondant des plants (90%), puis la matière sèche formée
à 99% de carbone, O, N, H, P, K, Ca, Mg. Les autres éléments sont en traces on les appelle les
oligo éléments. Ils sont indispensables en faible quantité et sont prélevés dans le sol sous forme
d’ions Fe2+, Cu2+, Zn2+, Mn2+, Cl- etc.
Les éléments C, O, H sont assimilés par les plantes lors de la synthèse chlorophyllienne
(photosynthèse).
l’élément azote (N) est assimilé à l’état d’ion NO3- contenu dans la solution du sol ou à l’état
d’ion NH4+ qu’on trouve dans le CAH. L’azote est indispensable à la croissance des plantes.
L’élément phosphore (P) est assimilé sous forme d’ion PO43-, d’hydrogénophosphate (HPO42-
) et de dihydrogénophosphate (H2PO4-). Le phosphore et essentiel à la reproduction d’une
plante et la fructification des fruits.
L’élément potassium est assimilé sous la forme d’ion K+. Il est indispensable à la synthèse
chlorophyllienne, favorise la croissance des plantes et augmente la résistance de celles-ci.
Les éléments calcium (Ca) et magnésium (constituant de la chlorophylle) sont prélevés du sol
sous forme d’ions Ca2+ et Mg2+.
4.3 Les engrais minéraux : Ils se caractérisent par les éléments fertilisants qu’ils contiennent :
L’azote (N), le phosphore (P) et le potassium (K)
Le mauvais emploi des engrais les rends dangereux pour l’environnement les ions PO43- sont
moins entrainés parce que retenus par le CAH.
Mais, sur les pentes, ils sont entrainés vers les lacs et les cours d’eaux ou ils fertilisent les
plantes aquatique qui absorbent le dioxygène dissout dans l’eau ce qui entraine la disparition
de la faune (ensemble de animaux aquatique) : c’est l’eutrophisation.
Les ions NO3- constituent la plus grande source de pollution car ne sont pas retenus par le
CAH. Ils sont facilement entrainés vers les lacs et les cours d’eaux. La consommation d’eau
riche en nitrate provoque l’anémie. Ces ions sont cancérigènes en grande dose.
Objectifs:
1.2-Structure atomique de métaux purs : L’étude aux rayons X montre que les métaux ont une
structure cristalline. Les métaux purs sont constitués d’ions positifs identiques. Les métaux
cristallisent dans les systèmes suivants :
S’il montre un produit homogène, l’alliage est une combinaison chimique définie
(C.C.D).
S’il montre un produit hétérogène, l’alliage est un Eutectique.
Les deux courbes (liquidus et solidus) divisent le diagramme en zones. Considérons l’alliage
constitué par x% de M2.
A la température 𝜃1 , son point représentatif de coordonnées (x, 𝜃1 ) se trouve en P1, au-
dessus du liquidus : l’alliage est sous forme liquide (phase liquide).
A la température 𝜃2 , en P2, l’alliage est en cours de solidification (liquide + solide).
A la température 𝜃3 , en P3, l’alliage est solide (phase solide).
Les métaux se trouvent dans le sol sous forme de minerais (mélange métaux et impuretés ou
gangues). Les minerais sont d’abord soumis à des traitements mécaniques qui ont pour but
d’éliminer le plus de gangue possible : ils sont triés, broyés, lavés ou flottés, ou triés
magnétiquement.
Les minerais subissent ensuite un traitement chimique afin d’en extraire le métal.
2.2-Sidérurgie
Tous les minerais de fer sont en majorité des oxydes de fer en particulier la magnétite Fe2O3.
Pour obtenir le fer, il suffit donc de les réduire par l’oxyde de carbone.
L’amine secondaire :
Dans cette classe l’atome d’azote est fixé à deux groupes carbonés et à un atome d’hydrogène, leurs
formules générales sont :
R-NH-R’ ; R-NH-R ; Ar-NH-R. ; Ar-NH-Ar.
Exemple :
H
N CH3
H
H3C N CH3
L’amine tertiaire :
Dans cette classe d’amine, l’atome d’azote est fixé à trois groupes carbonés. Ses formules générales peuvent
être :
Ar R
N R
Ar N Ar R
Exemple :
Ph
N N C2H5
CH3
3. Nomenclature des amines.
Pour nommer les amines, deux nomenclatures peuvent être utilisées :
Le nom de l’amine s’obtient en remplaçant le « e » final de l’hydrocarbure correspondant à la
chaine carbonée principale par le suffixe « amine ».
On peut aussi ajouter le suffixe amine au nom du groupe alkyle correspondant à la chaine carboné
principale.
N H2 H
H3C C N CH2CH3
triphénylamine diéthylamine
Les amines dissymétriques :
Le nom principale d’une amine dissymétrique est celui qui dérive de la chaine carboné principale précédé
du préfixe (N-) dans le cas d’une amine secondaire ou (N,N-) dans le cas d’une amine tertiaire.
Exemple :
H2 H2 H C2H5
H
N C CH3 H3C C C N
H2 H CH3
H3C C N CH2CH2CH3
CH3
N-éthylpropanamine N-ethylbenzenamine N-éthyl,N-méthyl-1-méthylpropanamine
NH2
7-phenylheptan-1-amine
Un acide α-aminé est un composé organique possédant à la fois un groupe amino (-NH2) et un groupe
carboxyle (-COOH) porté par le même atome de carbone. La formule semi-développée générale des
acides α-aminés est alors :
O
H
R C C
OH
NH2 Le groupe R peut être un atome d’hydrogène, un groupe alkyle, un groupe aryle ou
encore un groupe possédant des fonctions alcools, amines, amides etc.
2.1 Nomenclature.
Les acides α-aminés sont généralement désignés par leur nom courant utilisé en biologie.
Dans la nomenclature systématique, un acide α-aminé dérive formellement d’un acide carboxylique par
remplacement d’un atome d’hydrogène de la chaine carbonée de l’acide par un groupe amino.
La carbone du groupe carboxyle est compté et porte le numéro (1) et le groupe amino est porté par le
carbone (2) encore appelé carbone en α.
Remarque :
A l’état pur les acides α-aminés se présentent généralement sous la forme d’un Amphion.
Le zwitterion possédant le groupe ammonium (NH3+) est susceptible de libérer un proton (H+), on
peut donc conclure qu’il est un acide. Il s’établit alors l’équilibre suivant :
H H
R C COO- R C COO- + H+
NH3+ NH2
Étant en milieu aqueux,
H H
R C COO- R C COO- + H3O+
+ H2O
NH3+ NH2
L’Amphion possédant le groupement carboxyle (-COO-) est susceptible de capter un proton, on
peut donc conclure qu’il s’agit d’une base, il s’établit l’équilibre :
H H
COO- R C COOH
R C
+ H+
NH3+ NH3+
Étant en milieu aqueux,
H H
C COO- + R C COOH + H2O
R + H3O
NH3+ NH3+
groupement amide
Il est possible à partir de plusieurs acides α-aminés d’obtenir des polypeptides caractérisés par la présence
de plusieurs liaisons peptidiques.
Pour synthétiser un dipeptide, la condensation s’effectue soit avec deux acides α-aminés identiques, soit
avec deux acides α-aminés différents. Dans ce second cas, il apparaît généralement deux isomères.
Pour nommer un polypeptide, on nomme successivement par leur abréviation tous les acides
α-aminés dont il dérive en commençant toujours par l’extrémité de la chaine portant le groupe amino
libre et l’on terminera par celui portant le groupe carboxyle.
Exemple d’application :
A partir des acides α-aminés ci-dessous, quels sont les dipeptides susceptibles d’être obtenu ?
H O
H O H3C C C
H C C
OH
OH
NH2 NH2
acide 2-aminoéthanoique acide 2-aminopropanoique
(glycine) (alanine) .
Solution :
Possibilités de dipeptides : gly-gly ; Ala-Ala ; Ala-gly ; gly-Ala.
a)
H2 O H O
H2 H2 H H2
H2N C C + N C COOH H2N C C N C COOH + H2O
OH H
gly gly gly-gly
b)
O H O
H H H H H
H2N C C + N C COOH H2N C C N C COOH + H2O
OH H
CH3 CH3 CH3 CH3
ala ala
ala-ala
c)
Exercice d’application :
Écrire la formule semi-développée du tripeptide : Ala-Val-gly.
On donne :
CH3
H
H3C C C COOH
H
NH2
valine
Remarque : Pour synthétiser préférentiellement un isomère et nom pas l’autre, il suffit :
De bloquer ou de désactiver les groupes fonctionnels ne devant pas réagir d’une part, et d’activer les groupes
devant réagir d’autre part et en fin nous pouvons régénérer les fonctions bloquées après formation de la
liaison peptidique. La fonction acide est bloquée en la transformant en ester et elle sera activée en la
transformant en chlorure d’acyles ou en anhydride d’acide. La fonction amine est bloquée en la transformant
en amide.
OH
4. Faire réagir le deux composés obtenus tel que :
CH3 CH3 O
H H O
CH + H2 H
H3C C C N H3C C C C NH
H H2N C C O R H
C O
O NH CH2
Cl
O CH C O
R
+
HCl
5. Activer les fonctions bloquer en faisant réagir le produit obtenu avec de l’eau tel que :
val-gly
CH3 O CH3 O
H
H3C C C C NH H
H H2O H3C C C C NH
+ H
NH CH2
NH2 H2C COOH
O CH C O
+ HO R + Cl CH
O
O
R
Exercice d’application :
La leucine est un acide alpha aminé de masse molaire M=131x10-3Kg/mol, et dont le groupe R est un radical
alkyle saturé à une seule ramification.
1- Déterminer la formule brute de la leucine.
2- La molécule de Leucine ne comporte qu’un seul atome de carbone asymétrique. En déduire la
formule semi – développée de la leucine. Préciser son nom en nomenclature systématique.
3- Représenter les deux énantiomères de la Leucine en utilisant la projection de Fischer. Préciser leur
nomenclature.
4- Des deux énantiomères précédents, quel est celui que l’on trouve dans la matière vivante ?