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Résumé
Les produits «bio» sont en plein essor en Tunisie. Depuis quelques années, l’agriculture
se spécialise et la distribution de produits issus de la culture biologique, ainsi que la diététique
et commerce équitable prennent une place discrète mais grandissante.
Sensibiliser à la consommation responsable, tel est l’objectif considéré par tous les acteurs
impliqués, comme le leitmotiv de ce nouveau marché. On peut désormais trouver un rayon bio
dans un grand nombre d’enseignes de la grande distribution tunisienne, mais aussi des boutiques
spécialisées solidaires d’initiatives pour un développement durable et un monde meilleur.
Toutefois et malgré les incitations du gouvernement tunisien pour faire connaître les produits
bio au grand public, les professionnels du domaine considèrent que ce marché se développe
à un rythme assez timide comparé à nos voisins, les pays maghrébins/ le Maroc, l’Algérie ou
l’Egypte.
D’après les statistiques du ministère tunisien de l’Agriculture et des Ressources Hydrauliques
(La Presse Economie / Février 2012), le marché de l’offre et de la demande du bio est, dans
l’ensemble, bien régulé. Mais, les professionnels et les représentants de plusieurs structures
d’appui et d’accompagnement relevant du ministère considèrent que cette typologie de produits
peine toujours à intégrer le circuit de production et de consommation dans le marché local et à
gagner la confiance du consommateur qui ignore les vertus réels de cette catégorie de produits.
Toutefois et toujours d’après ce même quotidien, un constat est certain est que les produits bio en
Tunisie séduisent une clientèle vigilante, sélective et avertie. Serait-il donc, opportun de cibler
ce marché de niche ? Ce marché constitue-t-il vraiment un mythe ou un phénomène de mode,
répondant à une exigence d’adaptation à l’évolution mondiale de l’environnement, ou plutôt une
réalité dans laquelle il s’agirait d’un marché réellement opportun et une niche à exploiter afin de
se démarquer de la concurrence.
En réponse à ces interrogations, nous nous proposons dans ce travail, d’explorer à travers
une étude qualitative, les pratiques des différents acteurs dans la commercialisation et la
consommation des produits bio sur le marché tunisien. Ensuite et en se basant sur la méthode
du chaînage cognitif des moyens-fins (Valette-Florence, 1994), nous tenterons de dégager des
stratégies de communication et de positionnement pour une segmentation différenciée répondant
au marché cible.
Mots clés : Marché des produits bio en Tunisie, Distribution et Consommation des produits
bio, Pratiques adoptées sur le marché tunisien, Etude qualitative, Chaînes cognitives, Cartes
hiérarchiques.
Abstract
Products “organic” are thriving in Tunisia. In recent years, agriculture specializes and
distribution of products from organic farming, as well as dietary and fair trade are discreet but
growing up.
Awareness about responsible drinking, this is the objective considered by all actors involved,
as the leitmotif of this new market. You can now find a bio radius in many brands of large
distribution Tunisia, but also solidarity initiatives for sustainable development and a better world
specialty shops. However, despite the incentives of the Tunisian government to publicize organic
products to the general public, professionals in the field believe that this market is growing at
a rather timid pace compared to our neighbors in the Maghreb countries / Morocco, Algeria or
Egypt.
According to statistics from the Tunisian Ministry of Agriculture and Water Resources
(La Presse Economics / February 2012), the market supply and demand bio is, overall,
well regulated. But, professionals and representatives of various support structures and
support of the Ministry consider this type of product is still struggling to integrate the
circuit of production and consumption in the local market and gain the trust of consumers
who know the real virtues of this product category. However, always according to the same
newspaper, a finding is certain is that organic products in Tunisia seduce a vigilant customer,
selective and knowledgeable. Would it therefore appropriate to target this niche market?
This market is there really a myth or a fad in response to a requirement for adaptation to global
environmental change or rather a reality in which it would be a really appropriate market niche
operate to stand out from the competition.
In response to these questions, we propose in this work, to explore through a qualitative
study, the practices of different actors in the marketing and consumption of organic products on
the Tunisian market. Based on the method of cognitive chaining means-ends (Valette- Florence,
1994), we also try to identify communication strategies and positioning for a differentiated
segmentation meet the target market.
Key words: Market for organic products in Tunisia, Distribution and consumption of
organic products, Practices adopted on the Tunisian market, Qualitative study, Cognitive chains,
Hierarchical maps.
un contrat social envers la société, afin de contribuer à des changements positifs, reconnaissent les
forces et les avantages associés aux partenariats communautaires stratégiques. C’est que dans de
tels partenariats, les entreprises sont non seulement capables d’entraîner des changements sociaux
positifs, mais également d’engager un nombre plus important que jamais de consommateurs
socialement responsables et faisant preuve de discernement. Pour une entreprise, ces partenariats
se traduisent par un accroissement de la différenciation de la marque, une diminution du risque
lié à la réputation et une augmentation des occasions d’affaires. Le marketing responsable est le
nouveau paradigme en marketing, stimulant ainsi la responsabilité sociale et philanthropique des
entreprises.
performances financières, mais aussi sur leurs performances éthiques (Lavorata, 2008), et
de manière attentive et critique. De plus en plus on assiste à de nouveaux critères liés à
la responsabilité sociale des entreprises tels que l’éthique, le bio, le commerce équitable,
ou encore le socialement responsable qui sont de plus en plus intégrés dans le choix et
l’évaluation des entreprises, des marques et des produits mis sur le marché.
Cet attachement aux valeurs éthiques, au respect de l’environnement, et à la
réduction de la consommation pour un monde plus « responsable » a d’ailleurs été
rapidement exploité par les marques avec l’essor du commerce équitable, des produits
issus de l’agriculture biologique, ou encore des produits respectueux de l’environnement
(François-Lecompte et Valette-Florence, 2006). Les enseignes sont de plus en plus
nombreuses à intégrer l’éthique dans leurs stratégies. Toutefois certains consommateurs
restent sceptiques quant à ces types de pratiques dites environnementales de la part des
enseignes. En effet, ces dernières peuvent être perçues comme étant « manipulatrices »,
puisque demeurent inscrites dans une logique marchande, soutenues par des techniques
marketing et commerciales (Penaloza et Price, 1993). Les consommateurs tunisiens malgré
leurs sensibilités récentes aux variables écologiques et environnementales, affichent
une relative préoccupation et sont conscients des problèmes y afférents. En effet, ces
consommateurs pourraient boycotter les produits des entreprises polluantes ce qui est de
nature à entraver le développement de la vie économique.
années, la crainte des consommateurs qui privilégient de plus en plus la consommation de produits
exempts d’intrants chimiques et de molécules de synthèse.
Aujourd’hui, les produits bio séduisent une clientèle vigilante et sélective qui se montre de
plus en plus attentive à ce qu’elle mange. Toutefois en Tunisie et malgré les incitations, le marché
bio continue à se développer timidement. L’agriculture biologique couvre de plus en plus de
superficie dont plus de la moitié sont des oliveraies d’ici à l’horizon 2016. Le marché de l’offre et
de la demande est, dans l’ensemble, bien régulé (Le nombre d’exploitants certifiés bio en Tunisie
a été multiplié par 7 entre 2001 et 2009 et la superficie couverte par l’agriculture biologique a
été multipliée par 5 ; tiré des statistiques du ministère tunisien de l’Agriculture et des Ressources
Hydrauliques /La Presse Economie / Février 2012). Mais et bien que tout ait été mis en œuvre
depuis des années pour structurer le secteur et atteindre cet objectif, la superficie consacrée à
l’agriculture biologique n’a pas beaucoup évolué ces dernières années. La situation irrégulière de
certaines terres agricoles et la réticence des agriculteurs face au coût élevé de la production ont
constitué autant de blocages responsables de la traîne du secteur, causant ainsi une lenteur dans la
distribution et la commercialisation de cette typologie de produits.
NB/ Nous utiliserons tout le long de ce qui suit, l’appellation « produits bio » pour désigner les
produits issus principalement de l’agriculture biologique, végétaux ou minéraux, (Exemple :
produits alimentaires, produits d’entretien ou produits cosmétiques).
systèmes logistiques et leurs services, les grandes enseignes de distribution s’alignent à leurs pairs
pour s’adapter à leur environnement et adopter les vertus du « Marketing Responsable ». A titre
d’exemple, Monoprix Tunisie est la 1ière enseigne dans la grande distribution qui s’est lancée le défi
de gagner le pari de cette nouvelle orientation dans le monde en développant un comportement
d’éco-citoyens chez ses clients et en menant diverses pratiques marketing : lancement de produits
verts, produits bio, écolo, responsables, éthiques, etc. (La presse Économiques Tunisie 2011)
En s’orientant vers le développement d’un comportement d’éco-citoyen, plusieurs
recherches ont été menées en Tunisie et ont consisté principalement à étudier le comportement du
consommateur face aux pratiques éthiques et de protection de l’environnement (Basma B.Alaya,
R.Kamoun et K.Ghozzi 2012). L’orientation écologique de ces enseignes a-t-elle vraiment
réussi à développer l’adhésion du consommateur tunisien, a t-elle affecté considérablement son
comportement en développant chez lui un comportement réel d’éco-citoyen basé sur une forte
culture environnementale ?
Ces études ont justement relevé que les résultats n’étaient pas aussi optimistes auxquels les
distributeurs ambitionnaient; faudrait-il probablement déceler des niches de clientèle bien décrites,
faudrait-il réfléchir sur des stratégies de communication bien segmentées, faudrait –il se positionner
clairement dans le nuage de la grande distribution en Tunisie si jeune soit-il ?
Nous allons chercher tout le long de ce travail à répondre à ces questions en scrutant d’abord
les pratiques des principaux acteurs impliqués dans le processus de commercialisation et de
consommation des produits bio dans la grande distribution.
Cette connaissance est importante tant sur un plan théorique, afin d’approfondir la connaissance
de l’acheteur de produits bio, que sur un plan « managérial », afin de mettre en œuvre des stratégies
de segmentation différenciées au fur et à mesure que se développe ce marché.
Au sein des études qualitatives, cette orientation reposant sur l’analyse des chaînages
cognitifs constitue « un potentiel excessivement intéressant permettant une meilleure stratégie de
communication publicitaire et de positionnement mais aussi par la qualité prédictive de ce type
d’approche » Valette-Florence (1994). Dibley et Baker (2001) ajoute que ce choix de méthode
permet une analyse psychologique affinée des perceptions individuelles des enquêtés.
effet, cette méthode est adaptée à la découverte d’une représentation plus détaillée et largement non
sollicitée des perceptions et croyances des individus (Russel et alliii 2004).
a. Analyse des résultats : A travers les guides d’entretien, nous avons tenté de tracer des
cartes à différents niveaux hiérarchiques, pour comprendre d’une part les motivations et freins
relatifs à la consommation des produits bio dans les enseignes de la grande distribution et d’autre
part les pratiques des distributeurs dans la commercialisation de cette catégorie de produits.
Les chaînes mineures, intermédiaires et majeures générées dans les cartes qui suivent, reflètent
l’intensité de l’importance des attributs, des conséquences et des valeurs exprimées par chacun des
répondants (A1 ; A2).
L’analyse des résultats nous a permis de confronter les comportements des offreurs et des
demandeurs du marché des produits bio. Notre finalité, étant de proposer des recommandations
quant à la stratégie commerciale appropriée au segment cible.
♦
♦Présentation de la carte hiérarchique des motivations relatives à l’achat des
produits bio auprès des enseignes de la grande distribution
La carte (Figure1) présentée au niveau agrégé donne une vision d’ensemble des motivations
d’achat des produits bio auprès de la grande distribution.
Les répondants, en recherchant les attributs « origine, composition et contrôle labellisé des
produits », visent des valeurs fondamentales de bien être et de bonne santé à travers ce qu’ils
consomment. En effet, plus ils retrouvent ces attributs dans les produits achetés, et plus leur
motivation d’achat augmente et leur confiance en ce qu’ils achètent devient plus importante. Si
nous affinons les relations hiérarchiques dans un but de segmentation d’un profil type plus précis de
consommateur, nous constatons que les attributs « Contrôle labellisé et Composition du produit »
cités, ont pour conséquences tracées à travers des liens intermédiaires, une plus grande confiance
à l’égard des produits et une perception de produit d’une qualité supérieure. De même que pour la
recherche d’un large choix de produits distinctifs et l’importance de la fréquence d’achat affectant
les valeurs ultimes recherchées par le consommateur (Figure1).
Cette typologie de consommateurs est commandée par une volonté forte d’une consommation
dite « consciente » pour le respect de l’environnement s’inscrivant dans une logique de
développement durable.
Figure 1 : Carte hiérarchique des motivations relatives à l’achat des produits bio auprès
des enseignes de la grande distribution
Ainsi, on constate que les motivations des consommateurs à adopter les produits bio sont
plurielles et peuvent même être de nature divergente, voire parfois contradictoire. L’étude a identifié
deux catégories majeures de motivations intrinsèques à agir en faveur de l’environnement :
- Les motivations rationnelles, qui se traduisent par une logique essentiellement matérielle :
Exemple : utiliser des produits alimentaires, contrôlés et sans additifs chimiques, et non alimentaires
«meilleurs» pour la santé, encourager la fabrication locale des produits bio, prendre soin de sa
ligne, etc.
- Les motivations émotionnelles, qui incitent les consommateurs à chercher une cohérence
entre l’offre et leur comportement, à soulager une culpabilité et à présenter à la société une image
de citoyen responsable. En renforçant leur estime d’eux-mêmes par ces actions «citoyennes», les
consommateurs en tirent ainsi des bénéfices de valorisation personnelle auprès de leur entourage et
affirment leur place au sein de la société.
On constate que pour la majorité des participants de l’étude, les motivations rationnelles
prennent le dessus sur les motivations émotionnelles, ce qui se traduit majoritairement par un frein
face aux comportements responsables au-delà des “actions basiques”, faciles et sans contraintes
particulières. On observe donc un décalage entre d’une part l’image que chacun cherche à se
donner, et d’autre part le comportement et l’implication réelle des personnes interrogées.
Présentation de la carte hiérarchique des freins relatifs à l’achat des produits
bio auprès des enseignes de la grande distribution
Après avoir procédé à l’analyse des motivations à l’achat des produits bio auprès des enseignes
de la grande distribution, nous avons interrogé les interviewés afin de les amener à s’exprimer sur
les barrières qui les freinent à adopter cette catégorie de produits.
Le constat frappant des interrogés est que nous avons relevé que les prix des produits bio sont
jugés chers par rapport aux produits classiques, surtout pour les produits alimentaires (produits les
plus fréquemment demandés). En effet, une grande part des interviewés sont freinés par le niveau
élevé des prix, même s’ils sont orientés « consommation responsable ».
Ils proposent que les distributeurs acceptent de commercialiser ces produits avec des marges
plus faibles que celles pratiquées sur les produits classiques pour que les prix des produits bio
correspondent mieux à leur pouvoir d’achat. Par contre, si les lieux d’achat sont les magasins
spécialisés, le consommateur accepte de payer un surplus de prix s’il trouve que ses attentes ont
été bien respectées.
C’est pourquoi, les répondants émettent une forte réticence vis-à-vis de ces produits. En effet,
cette réticence spontanée, traduite par une faible fréquence d’achat (Figure 2) ne peut que conforter
leur regard critique à l’égard de cette catégorie de produits. Ce regard critique est alimenté par
l’absence d’intérêt causé par le prix élevé des produits.
Par ailleurs, le manque de référencement des produits bio chez les distributeurs amène leur
manque fréquent en termes de disponibilité d’où un mauvais repérage dans les rayons des magasins
fréquentés et une absence totale de valorisation de ces produits. Cela nous permet de tirer une
conséquence légitime, est que les produits bio ne sont pas très présents dans les habitudes de
consommation du tunisien. D’où un double regard critique qui s’impose à l’esprit du consommateur,
c’est celui développé à l’égard des pratiques des distributeurs. En effet, le consommateur ne perçoit
pas une volonté réelle de la part des stratèges de la grande distribution d’instaurer cette nouvelle
orientation de consommation même pour une niche de clientèle très pointue.
Figure 2 : Carte hiérarchique des freins relatifs à l’achat des produits bio auprès des
enseignes de la grande distribution
Figure 3 : Carte hiérarchique relative aux pratiques des distributeurs des produits bio
b. Recommandations : D’après les données collectées, nous avons constaté que la plus part
des interviewés engagés dans cette orientation comportementale vers les produits bio, sont des cadres
supérieurs appartenant à une tranche d’âge de 30/40 ans et habitant des quartiers « relativement
aisés » de Tunis la Capitale. Leur engagement s’explique par une conscience à l’égard de leur santé
et du respect de l’environnement. Pour eux, il est important d’être en harmonie avec eux-mêmes
soucieux d’un bien être individuel et collectif et adepte d’une consommation responsable.
Sur un plan « managérial », cette recherche a contribué à une meilleure définition des éléments
propres aux stratégies de positionnement et de communication par des critères de segmentation
utiles à une communication ciblée.
La nécessité d’un étiquetage sur les produits bio (à l’instar des écolabels) a été soulignée,
et s’accompagne de diverses attentes en matière de conseils, d’agencement clair et agréable et
de valorisation de l’offre. En effet, certains distributeurs préconisent la mise en place d’un
rayon spécialisé en produits bio, accompagné par un ensemble d’actions de communication
et de sensibilisation. Considérant que le marché des produits bio en Tunisie est un marché de
niche opportun dont la demande existe réellement, nous résumons les actions entrepreneuriales
proposées dans les points du plan d’action suivant :
L’insertion du bio dans la stratégie commerciale des distributeurs ;
La redynamisation des structures professionnelles ;
L’adéquation de produit au marché en termes de prix ;
Le développement du géo marketing pour une meilleure rentabilité et ce en tenant compte
de la variabilité de la demande en fonction des zones géographiques ;
Le renforcement des actions de sensibilisation et de développement de l’offre locale ;
Le développement des actions marketing visant la sensibilisation des consommateurs et la
promotion de l’offre des produits bio ;
La valorisation d’un label spécifique aux produits bio.
A 1/ Fréquence des Attributs, des Conséquences et des Valeurs chez les consommateurs
des produits bio
Fréquences Fréquences
ATTRIBUTS
absolues relatives
CONSEQUENCES
VALEURS
A2 / Fréquence des Attributs, des Conséquences et des Valeurs chez les distributeurs des
produits bio
Fréquences Fréquences
ATTRIBUTS
absolues relatives
CONSEQUENCES
VALEURS
- Responsabilité sociétale 7 70%
Bibliographie
• Abdmouleh R. (2002) « La communication environnementale et son impact sur le public
tunisien », Bouhouth Jamiyya (Recherches universitaires), Revue de la Faculté des Lettres et
Sciences humaines de Sfax (Tunisie), n° 2.
• Agribio en Tunisie (2012), Rapport annuel du Ministère de l’Agriculture et des Ressources
Hydrauliques.
• Alexandre, Lapeyre, Annie Bonnefont, « Evocations du développement durable par les
consommateurs : étude exploratoire par la méthode projective des collages » Centre de
Recherche en Gestion/ Université es Sciences Sociales de Toulouse 1-IAE.
• Basma Ben Alaya, Rym Kamoun et Kaouther Ghozzi. (2012) « Perception du Consommateur
Face aux Pratiques Ethiques d’une Enseigne de la grande distribution installée sur le Marché
Tunisien », Revue Marocaine de Recherche en Management et Marketing REMAREM n° 6-7.
• Christophe Sempels et Marc Vandercammen.(2009), Oser le marketing durable, Éditions
Pearson.
• Claude Hugonnet. (2013), Les nouvelles tendances de consommation.
• Elizabeth Pastore-Reiss. (2006), Le Marketing durable, Éditions Eyrolles.