Rapport Incid Com
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Après avoir détecté le premier cas atteint par le corona virus en chine, le virus a continué à
se propager pour frapper tous les continents.
L’organisation mondiale de santé (OMS) a déclaré le 11 Mars 2020 la maladie Covid-19
causée par le corona virus comme une pandémie. Suite à cette déclaration, presque tous les
pays du monde ont pris des mesures à titre exceptionnelle de l’état d’urgence sanitaire.
Ces mesures sont traduites par, interdiction d’événements publics, fermetures d’écoles, de
commerces jugés non-essentiels et des frontières, chose qui a engendré une crise sont à la
fois globales et multidimensionnelles qui impactent plusieurs aspects, à la fois sanitaire,
psychologique, économique, et social et économique. Les restrictions ont en effet contraint
les dépenses des agents et les échanges entre pays provoquant un choc de demande qui
s’est diffusé à l’ensemble du tissu productif mondial.
Cette situation a provoqué une forte dégradation du marché du travail, absorbée dans de
nombreux pays principalement par des mesures de chômage partiel, autrement dit par une
socialisation des salaires.
Au-delà des revenus de substitution, les gouvernements ont également pris de nombreuses
mesures de soutien à la trésorerie des entreprises et apporté une garantie à leurs prêts ; par
ailleurs ils ont dû accroître leurs dépenses de santé. Bien que la politique budgétaire de
chaque pays se soit révélée essentielle pour amortir les conséquences économiques et
sociales de la crise, elle a été appuyée par l’action des banques centrales qui ont baissé le
niveau des taux sans risque et déployé à nouveau l’arsenal des mesures non
conventionnelles.
La pandémie a envahi tous les pays comme une trainée de poudre, et, bien évidement le
Maroc n’était pas épargné de cet impact ; il s’est confronté à une crise sanitaire et
économique inédite et sans précèdent suite à la prolifération accélérée du coronavirus sur le
territoire.
le Maroc a connu un double choc, d'une part au niveau des secteurs de tourisme, automobile
et le textile considérés comme pierre angulaire de l’économie marocaine et qui ont connu
une grande détérioration et d'une autre part au niveau du ralentissement économique dû à la
relation avec l'espace européen .
Quels sont les mesures prises pour combler les impasses engendrées par la crise sanitaire ?
Pour traiter cette problématique, il est indispensable de commencer au premier lieu par un
perçue générale de l’impact de covid-19 sur l’économie du Maroc, et du à ces impacts ou
apparait les mesures quand va les détailler dans la deuxième partie du rapport et on
finassera par une étude de cas celle de MARSA MAROC.
L’impact du covid-19 sur le tissu économique marocain
1. Au niveau du Tourisme
2. Secteur automobile
Le secteur était dans la situation de l’arrêt suite aux décisions de Renault et de PSA,
locomotives du secteur automobile au Maroc, de suspendre temporairement leur
activité au Royaume à compter du 19 mars 2020.
La suspension temporaire de l’activité des deux groupes européens avait comme un impact
inéluctable sur tout le secteur. Alors que l’arrêt temporaire de l’activité de Renault au niveau
de ses deux sites de production de Tanger et de Casablanca concerne 11 000
collaborateurs, la suspension des activités de PSA à Atlantic Free Zone touche 1 600
collaborateurs et a des répercussions sur ses équipementiers et ses 66 fournisseurs.
L’arrêt de l’activité pourrait à terme se répercuter sur les 180 000 individus employés
par l’industrie automobile, les 250 équipementiers automobiles opérant au Maroc
autour de neuf écosystèmes (Câblage, intérieur véhicules & sièges, métal emboutissage,
batterie, PSA, moteurs, Renault, Delphi et Valeo).
En tant que premier secteur exportateur du pays (27% des exportations en 2019 avec
un chiffre d’affaires à l’export de plus de EUR 7 Md), toute baisse de son activité aura un fort
impact sur la balance commerciale.
Il est important de souligner que l’effet net de la contre-performance du secteur enregistré en
2020 sur les équilibres externes est à relativiser et peut être moins prononcé, pour deux
raisons principales : la première est relative au positionnement du Maroc en haut de la
chaîne de production, faisant de lui un importateur de produits intermédiaires, surtout pour
les activités d’assemblage ; ainsi, tout ajustement à la baisse du chiffre d’affaires à
l’exportation se traduirait par une réduction proportionnelle des intrants importés. La
deuxième raison est liée à la prépondérance du capital étranger dans l’écosystème de
l’industrie automobile, qui fait que l’abattement de l’activité à l’exportation ne manquerait pas
d’affecter la rentabilité des entreprises et in fine leur capacité à rapatrier leurs bénéfices.
3. Le secteur du textile-Habillement
Ce secteur qui a amplement souffert de la concurrence des produits turque, a été largement
impacté par la crise causée par la pandémie Covid-19, Les ventes à l’étranger ont enregistré
un recul de 29,5%. Les 1.200 entreprises de ce secteur ont rencontré des problèmes
simultanément au niveau de l’approvisionnement, les principaux fournisseurs n’ont pas pu
assurer leur engagement vis-à-vis des clients. Et également, au niveau de la demande, le
confinement et la clôture des magasins de distribution ont fait en sorte que ce secteur soit
gelé.
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Les incidences comptables
De covid-19
Les dons se présentent sous plusieurs formes. La forme la plus courante est l'argent. Les
dons à l'association se font en espèces, chèque ou virement bancaire. Les entreprises
peuvent choisir de fournir des biens usagés ou obsolètes. Ces dons en nature, qu'il s'agisse
de denrées alimentaires ou d'autres biens, sont évalués au prix coûtant.
Les dons sont souvent comptabilisés selon l’activité de l’organisation, les associations à but
non lucratif qui ont pour activité principale l’octroi des dons comptabilisent ces derniers dans
un compte de charge d’exploitation, puisqu’il s’agit d’une activité habituelle de l’entreprise.
Pour les entreprises qui octroient les dons de façon occasionnelle pour faire œuvre de
charité, elles utilisent le compte de la charge non courante pour comptabiliser ses dons
Les immobilisations en non valeurs correspondent à l’ensemble des charges qui contribuent
à la création ou à la croissance de l’entreprise, d’où la charge de fonds sociale covid-19 est
considéré comme une immobilisation en non-valeur car
En vertu d’une décision exceptionnelle de gestion et en raison de leur caractère propre les
charges à repartir sont portées à l’actif selon le CGNC.
Dans le cadre de charges courantes Dans le cadre des charges
non courantes
A l’instar des immobilisations en non-valeurs, les charges à répartir sont amortissables sur
une durée maximum du 5ans
Le montant des
Schéma 1 : Incidence des charges a repartie sur plusieurs
exercices
À la date de réception :
« En outre, les entités concernées doivent mentionner dans l'ETIC, notamment au niveau de
l'état B923, les engagements pris par elles au titre des subventions et autres aides dont elles
ont directement bénéficié ou qui ont bénéficié à leur personnel. » (avis 13)
Les provisions
Actif Passif
Des De TP Risque
De Charge
immobilis créance s
ations stock Et TVP s
s clients
8. Information à mentionner dans l’ETIC au titre des évènements postérieurs à la
date de clôture (31 décembre 2019)
GENERALITE
Le plan d'amortissement est défini à l'entrée du bien à l'actif (PCG art. 322-4-6 ; voir partie 2
du dossier, RF Comptable 334, décembre 2006). Il est la traduction comptable de la
répartition de la valeur d'un actif selon le rythme de consommation des avantages
économiques attendus de cet actif.
Ultérieurement, l'estimation faite à l'origine peut ne plus paraître appropriée en raison
notamment :
- d'une mauvaise appréciation de la consommation des avantages économiques attendus,
- d'une modification significative de l'utilisation faite du bien ou de changements techniques
conduisant à réviser le mode ou la durée d'utilisation ;
- de modifications de la consistance du bien (apparition de composants, dépenses
conduisant à augmenter les performances ou la durée de vie, modification de la valeur
résiduelle) ;
- de modifications de la base amortissable résultant de la constatation ou de la reprise de
dépréciation.
Une révision du plan d'amortissement est alors nécessaire pour assurer la régularité et la
sincérité des comptes (décret 83-1020 du 29 novembre 1983, art. 8, et PCG art. 322-4).
Reprenant le même exemple précèdent de l’E/SE ABC, en tenant compte des incidences du
covid-19 sur la capacité du machine, mais à ce niveau l’E/SE décide d’appliquer
l’amortissement fonctionnel.
Le plan d’amortissement a 2020 aura comme VE= VNA(2020) qui sera amortie sur la duree
restante n=5-2=3ans.
Article 4 « Dans le cadre de la loi n° 9.88 relatives aux obligations comptables des
commerçants, notamment ses articles 16 et 20, l'arrêté des comptes selon le principe de
continuité d'exploitation n'est pas remis en cause par des évènements ayant pris naissance
après la clôture de l'exercice.
Dans l'hypothèse où le principe de continuité d'exploitation serait remis en cause par des
évènements postérieurs à la clôture, de tels événements relèvent de l'information à
mentionner également dans l'ETIC et ne Justifient pas la production de comptes en valeurs
liquidatives. Les prescriptions qui précèdent s'appliquent aux états de synthèse de l'exercice
clos le 31 décembre 2019 ainsi qu'à ceux des exercices clos en 2019 mais avant le 31
décembre dans les cas où les comptes ne sont pas encore arrêtés par l'organe habilite ».