Mémoire de fin d’études pour

l’obtention de la licence en sciences

économiques et de gestion

Sous le thème :
L’impact de l’ouverture commerciale sur les pays en

développement et les pays développés

Présentée par : Encadrée par :

Houda Belouarrak Mme Zineb Nahmed
Amal Elghaffari Idrissi

Année universitaire :
2022-2023

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 Sommaire:
Remerciements
Introduction
Partie 1 : L’ouverture commerciale stimule la croissance économique
Chapitre 1 : L’ouverture commerciale sur les pays développés
1-1-Revue de littérature

1-2- L’ouverture commerciale et l’ouverture financière

1-3- L'évolution du croissance économique des pays développés

Chapitre 2 : L’ouverture commerciale sur les pays en développement

2-1- Survol de la littérature sur l’ouverture et la croi ssance économique

2-2- Présentation des variables et du modèle d’estimation

2-3- L'evolution du croissance économique des pays en développement

Partie 2 : L’impact de l’ouverture commerciale

Chapitre 1: Effet de l’ouverture commerciale sur les pays en
développements: Cas MAROC
1-1- Revue littérature

1-2- L'impact de l’ouverture commerciale sur la croissance du Maroc

1-3- L'impact de la pandémie sur l’économie Marocaine

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Remerciements :

On tient à adresser nos profondes extrêmes et gratitudes à tous ceux qui nous a aidé,
de près ou de loin, à réaliser ce modeste projet. On tient aussi à remercier Mme.
NAHMED ZINEB d'avoir nous encadrer tout au long de la réalisation de ce projet.
Elle a été toujours disponible, à l'écoute de nos nombreuses questions, et toujours
intéressé par l'avancement de nos travaux. Nous remercions également le corps
professoral de la filière Gestion économique 3ème année qui a été toujours présent
pour assurer la bonne formation.

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Introduction Général :
Au cours de ces derniers années, l’économie mondiale a connu d’importants
changement.

Ces changements ont transformé un commerce purement national en un commerce

mondial, c’est à dire un commerce dans lequel le marché représente tout le monde .

L’ouverture commerciales s’inscrit dans un contexte plus vaste de mondialisation,

elle représente également une explication potentielle qui se repose sur des bases
théoriques éprouvés, elle fonctionne comme un mécanisme de transmission du
progrès technologique et des retombes générés par l’amélioration des connaissances
dans les pays commerciaux. Partant de là, l’objectif de ce papier est d’étudier
empiriquement l’impact de l’ouverture commerciale pour le cas des pays développés
et les pays en développement à travers une analyse économétrique afin de démontrer
si cette ouverture traduit un impact positif négatif ou neutre sur la croissance
économique des pays sur le long et le court terme.

Notre recherche s’applique à répondre à la problématique suivante : L’impact de

l’ouverture commerciale constituerait-elle un élément positif sur les pays
développés et les pays en développement ?

Partie 1 : L’ouverture commerciale stimule la croissance économique

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Introduction:

L’ouverture commerciale est la relation d’une éco)nomie avec le reste du monde à

travers le commerce, elle est déterminée par son avance technologique et son niveau
de productivité et par sa dotation relative en facteurs de production. Par conséquent,
les pays se spécialisent dans la production des biens pour lesquels ils sont les plus
compétitifs : les pays développés produiraient d’avantage de biens manufacturés
tandis que les pays en développement seraient plus tournés vers la production de
bien contenant plus de travail non qualifié.
L’ouverture commerciale fonctionne comme un mécanisme de transmission du
progrès technologique et des retombées générées par l’amélioration des
connaissances dans les pays partenaires commerciaux. L’accès, par le commerce
international, à une grande variété de biens intermédiaires et de nouveaux produits
finaux aura une incidence sur la croissance de la productivité d’un pays. Les
politiques d’ouverture mises en place dans ces pays leur permettraient non seulement
d’exploiter leurs faibles coûts, mais également de produire des biens imités
similaires à ceux des pays développés, ce qui suppose une acquisition de plus de
savoir-faire et un taux d’investissement élevé.
L’ouverture commerciale constituent un facteur de rationalisation tous azimuts au
sein des économies.
Au niveau microéconomique la concurrence commerciale accélère de facto l’effort
d’adaptation à la demande, la recherche de gains de productivité, et sous certaines
hypothèses le rythme de l’innovation.
Au niveau macroéconomique l’ouverture constituerait un facteur d’orientation des
politiques structurelles vers plus de flexibilités et partant vers une meilleure
allocation globale des ressources et un facteur disciplinant en matière de conduite
des politiques conjoncturelles.

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Chapitre 1 : L’ouverture commerciale sur les pays développés

1-1-Revues de littérature :
La relation entre l’ouverture commerciale et croissance économique fait l’objet
d’une littérature abondante. En effets les théories classiques entrainent une
spécialisation des économies sur la base des avantages comparatifs. Dans ce sens
Ricardo (1817) a affirmé que l’ouverture permet une reconversion des ressources
rares vers les secteurs les plus influent et par conséquent un progrès du bien-être de
la population de nombreux travaux empiriques ont été réalisé afin d’étudier la nature
de la relation entre l’ouverture commerciale et la croissance économiques.
Les modèles pratiques qui font la différence entre ces études. Jusqu’au 1990, la
plupart des travaux ont démontrer une relation positive entre la croissance
économique et le commerce international on peut indiquer à titre d'exemple les
travaux de :
Dollar (1992) ; Sachs et Warner (1996) ; Harisson (1996) ; Edwards (1997)
Dollar (1992) a réalisé une régression multiple entre les distorsions du taux de
change réel et la croissance du revenu par tête et sa mobilité, ainsi que le taux
d’investissement dans 95 pays entre 1967 et 1985.Dollar démontre que l’ouverture
sur l’ouverture sur l’extérieure a un impact fortement positif sur la croissance et les
développements.
Pour Sachs et Warner (1995) les pays qui acceptent une politique d’ouverture
affectue un taux de croissance plus élevé que ceux des pays fermes. De son côté
Harisson (1996) a des conclusions identiques en utilisant une variété d’indicateur
d’ouverture.
Edwards (1997) conclut pour 93 pays en coupe instantanée, sur la période 1960 –
1990.
Il existe une relation positive entre le taux de croissance d’une économie et son degré
d’ouverture.

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Jin (2004), qui voulait s’assurer si la relation ouverture –croissance était également
valide au niveau provincial. En incluant le changement technologique qui dépend
lui-même du degré d’ouverture du pays, il a construit son modèle sur la fonction de
production usuelle.

Sarkan (2008) a analysé le lien entre la croissance économique et l’ouverture

commerciale à partir des données de panel pour 51 pays moins développés
spécifiquement les pays de l’Asie de l’Est. Sur la base des résultats obtenus, il
conclut que pour un grand nombre de pays, la relation positive entre la libéralisation
et la croissance sauf pour le groupe des pays à revenus intermédiaire, n’existe pas à
long terme.
Mansouri (2009), en cherchent à connaitre l’impact de l’IDE et de l’ouverture
commerciale sur le PIB par tete , il a estimé un modèle en séries chronologique pour
l’économie marocaine.

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1-2- L’ouverture commerciale et l’ouverture financière :
Le taux de l’ouverture commerciale est la somme des recettes d’exportations
annuelles de biens et de services rapportée au PIB.
Le taux de l’ouverture financière est la somme des flux annuels de capitaux au titre
des investissements directs et des investissements directs et des investissements de
portefeuille elle-même rapportée au PIB.
Sur la base des figures n°1 et n°2 facilement distinguer trois –sous périodes (1970-
1975) correspond à une croissance modérée de l’ouverture commerciale. Cette
croissance s’accélère durant la deuxieme sous periode (1976-1986) vers le milieu
des millieux des années quatre-vingt. La troisième sous période (1987-1995)
correspond à un palier, relativement stable. Le même découpage applique à
l’ouverture financière fait apparaitre la troisième sous période comme celle d’une
accélération, qui s’interrompt toutefois des 1994-1995 dans les pays développés en
1995en Amérique latine.
SOURCE : REVUE FRANÇAISE D 'ECONOMIE A NNEE 2000 15-1 PP. 3-33

Figure1: Evolution de l’ouverture commerciale

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Figure 2 : L’évolution de l’ouverture financière

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Chapitre 2 : L’ouverture commerciale sur les pays en développement
2-1- Survol de la littérature sur l’ouverture et la croissance
économique
Pour un pays en développement, ayant peu de capital, on constate
généralement trois avantages de l’appel au financement extérieur. Tout
d’abord, sa croissance est élevée à cause de l’ouverture qui permet de
diminuer le taux d’intérêt au niveau international pendant que
l’investissement se fixe de façon telle que la productivité du capital soit pareil
au taux d’intérêts. Au seconde lieu, l’ouverture aux marché financière permet
de se libérer de la contrainte budgétaire. En troisième lieu, l’ouverture permet
de diminuer l’incertitude à condition que les investisseurs extérieurs acceptent
une part de risque, c’est à dire s’ils adoptent de financer les marges de
revenues lors des chocs transitoires et de se payer dans les situation inverses.
Les fondamentaux de l’ouverture et la croissance, attribuées à Smith (1776)
et Ricardo (1817), démontre des gains statiques de l’ouverture qui sont
appréhendés en termes de niveau de productivité. Bon nombre d'études à ce
sujet de relation (Romer, 1990 ; Grossman et Helpman, 1991 ; Rivera-Batiz
et Romer, 1991), sont basées sur l'idée que l'ouverture commerciale entraîne
la croissance économique, dans un cadre de la théorie de la croissance
endogène, via plusieurs canaux de transmission d’effet liés en particulier aux
économies d’échelle et à la diffusion du progrès technique.
SOURCE : REVUE REPERES ET PERSPECTIVES E CONOMIQUES , VOL.7, N°1, MARS 2023

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 2-2- Présentation des variables et du modèle d’estimation
L’étude se base sur la fonction de production néoclassique, où la croissance
économique (variable endogène) représentée par le Produit Intérieur Brut (PIB), est
une fonction de capital (K), de la main d’œuvre (L), et du progrès technologique
(T) :
𝑃𝐼𝐵 = 𝑓(𝐾, 𝐿, 𝑇)
Ce modèle indique toutes les contributions relatives à la problématique traitée, à
savoir les théories classiques et modernes qui considèrent le progrès technologique
comme endogène. De ce fait nous allons adopter ce modèle en remplaçant la
variable explicative T par le degré d’ouverture commerciale (OUV), qui sera
mesuré par le ratio de la somme des exportations (X), des importations (M) et le
PIB.
Le capital (K) sera mesuré par la Formation Brute du Capital Fixe (FBCF), et le
travail (L) par la Population Active Occupée (PAO).
➢ Le Produit Intérieur Brut (PIB) : la croissance économique d’un pays est
mesurée par la croissance de son PIB, qui représente le principal agrégat de mesure
de la production de richesse d’un pays.
➢ L’ouverture commerciale (OUV) : désigne l’intensité des relations d’un pays
avec le reste du monde. Elle est généralement mesurée par le ratio d’ouverture
commerciale, c’est un taux qui mesure le degré de participation d’un pays au
commerce international de biens et services.
Degré d’ouverture : 𝑂𝑈𝑉 = 𝐼𝑚𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 + 𝐸𝑥𝑝𝑜𝑟𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛𝑠 / 𝑃𝐼𝐵
➢ Formation Brute du Capital Fixe (FBCF) : la Formation Brute du Capital Fixe
désigne l’agrégat qui mesure les investissements effectués par les agents
économiques du pays : « comprend les améliorations des terres (clôtures, fossés,
drains, etc.), les usines, la machinerie et les achats d'équipement, la construction de
routes, de chemins de fer, etc. y compris les écoles, les bureaux, les hôpitaux, les
unités résidentielles privées et les édifices commerciaux et industriels ».
La Formation Brute du Capital Fixe a été utilisée dans plusieurs études (Barro
1999 ; Balasubramanyam et al. 1996 ; Kahpaiboon, 2004).

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➢ Population Active Occupée (PAO) : « La population active occupée, en
participant à la production de biens et services comprend toutes les personnes,
âgées de 7 ans et plus pendant une brève période de référence spécifiée et toutes les
personnes pourvues normalement d'un emploi, mais absentes de leur travail pour
un empêchement temporaire. Il s'agit d'un concept large qui englobe tous les types
d'emplois, y compris le travail occasionnel, le travail à temps partiel et toutes les
formes d'emplois irréguliers ».
Les théories de la croissance d’inspiration néoclassique s’appuient, en revanche,
sur des fonctions à facteurs substituables, dont la plus connue est celle de Cobb-
Douglas spécifiant que :
𝒀 = 𝒄 × 𝑲𝜶 × 𝑳 𝜷
Le modèle à estimer s’écrit donc comme suit :
𝑷𝑰𝑩 = 𝜷𝟎 ∗ 𝑭𝑩𝑪𝑭𝜷𝟏 ∗ 𝑷𝑨𝑶𝜷𝟐 ∗ 𝑶𝑼𝑽𝜷𝟑
Ainsi le modèle statistique est :
𝒍𝒏 (𝑷𝑰𝑩) = 𝜶𝟎 + 𝜷𝟏 𝒍𝒏 (𝑭𝑩𝑪𝑭) + 𝜷𝟐 𝒍𝒏 (𝑷𝑨𝑶) + 𝜷𝟑 𝒍𝒏 (𝑶𝑼𝑽) + 𝜺𝒕
Où 𝜺𝒕 : représente le terme d’innovation, qui permet de résumer toute
l’information qui n’est pas prise en compte dans la relation qu’on cherche à établir
entre le PIB et les trois variables explicatives. 1.
BANQUE MONDIALE . HTTPS://DONNEES.BANQUEMONDIALE.ORG/INDICATOR/NE.GDI.FTOT.KD ( CONSULTE LE 31-10-2019). 2.

HCP. WWW.HCP.MA/GLOSSARY/ ( CONSULTE LE 31-10-2019).

REVUE MAROCAINE DE GESTION ET D ’E CONOMIE , VOL 6, N°11, J UILLET –DECEMBRE 2022.

2
2-3- L'evolution du croissance économique des pays en développement :
A l’instar de plusieurs pays en développement le Maroc a cru, depuis des
décennies aux bienfaits des recommandations néolibérales du consensus de
Washington pour embrasser le chemin du développement. Durant les années 2000,
le Maroc a fait le choix d’une stratégie d’ouverture commerciale et financière de
son économie qui s’est développée à travers la signature d’une cinquantaine
d’accords de libre-échange et pas la mise en place d’une panoplie de subventions
économiques, fiscales et réglementaire réservés aux investisseurs étrangers.
Durant toute cette période, la politique de croissance tournée vers l’extérieure
s’est protégé d’une stratégie de grands chantiers dits structurant dont l’objectifs
était d’améliorer le rendement du capital privé et d’augmenter l’attractivité du
pays.
Le Maroc a connu depuis son indépendances des progrès non négligeables dans
plus des domaines. Contrairement à l’Algérie ou a l'Égypte par exemple, il a choisi
un modèle libéral avec une ouverture extérieure forte orientée vers les pays
occidentaux.
Cette ouverture s’est confirmée avec la signature d’une multitude d’accords
d’association avec l’Union européenne (UE) au milieu des années 1990, puis avec
les pays arabes (accord d’Agadir), les États-Unis et plus récemment la Turquie.
On peut mesurer de manière très précise les progrès réalisés depuis plusieurs
années et plus particulièrement depuis une décennie. À titre d’illustration, on peut
citer par exemple la déconnexion progressive de la croissance économique des
aléas climatiques, la progression des taux de scolarisation, l’amélioration de
l’infrastructure (transports, routes, télécommunications), l’intensification de la
lutte contre l’habitat insalubre, l’augmentation du nombre des ménages ayant
accès aux services de base (eau, électricité).
https://doi.org/10.4000/anneemaghreb.474

Conclusion :

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Au terme de cette partie portant sur la stimulation de l’ouverture et la croissance
économiques commerciale, principalement sur l’ouverture effectués sur les pays
développés et les pays en développement , que le degré de l’ouverture
commerciale sur l’économie régionale et mondiale joue un rôle important au
niveau du développement économiques et institutionnel.
On en déduit donc que pour bénéficier pleinement des avantages de l’ouverture,
les nouveaux pays en développement doivent l’accompagner d’une politique
éducative qui consiste à améliorer leur capital humain quantitativement et
qualitativement. L’ouverture ne peut jouer pleinement son rôle en matière de
croissance et développement que si certaines conditions, internes aux pays, soient
remplies tels que l’infrastructure, le capital humain, le cadre macroéconomique
général.

Bibliographie

2
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capital humain à la croissance économique des pays en développement », Centre
d‟économie du développement, IFReDE-GRES, Université de Bordeaux IV.

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(2019 ed.). Laboratoire d’Économie Appliquée, Policy Center for New South &
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• Ref éco ;Yasser Yeddir Tansamani n°03/2021

• REVUE MAROCAINE DE GESTION ET D’ECONOMIE RMCE VOL6 N°11, JUILLET DECEMBRE 2022
BANQUE MONDIALE. HTTPS://DONNEES.BANQUEMONDIALE.ORG/INDICATOR/NE.GDI.FTOT.KD
(CONSULTE LE 31-10-2019). 2.
• HCP. WWW.HCP.MA/GLOSSARY/ (CONSULTE LE 31-10-2019).
• REVUE MAROCAINE DE GESTION ET D’ECONOMIE, VOL 6, N°11, JUILLET–DECEMBRE 2022.
• MOHAMED KARIM &ABOU BACAR ATTOUMANE : L’IMPACT DE L’OUVERTURE COMMERCIALE SUR LA
CROISSANCE ECONOMIQUE ,29 JANVIER 2021 REVENUE ECONOMIQUE C23, F14 ,040
• CONFERENCE AFRICAINE 2009 , DR BRAHIM MANSOURI : EFFET DES IDE ET DE L’OUVERTURE
COMMERCIALE SUR LA CROISSANCE ECONOMIQUE AU MAROC
• UNIVERSITE D’AVERGNE -CLERMONT –FERROND 1 2007 , G ILBERT NIYONGALO
• L'IMPACT DE L'OUVERTURE COMMERCIALE | RECHERCHE | SITE INSTITUTIONNEL DU HAUT-
COMMISSARIAT AU PLAN DU ROYAUME DU MAROC (HCP.MA)
• https://revues.imist.ma/index.php/AME/about/submissions#onlineSubmissions

2
 • REVUE MAROCAINE DE GESTION ET D’ECONOMIE, N°6, JANVIER- JUIN 2016 ANALYSE DE LA
RELATION ENTRE OUVERTURE ET CROISSANCE ECONOMIQUE DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT
• OFFICE DES CHANGES. (2020). RAPPORT ANNUEL : COMMERCE EXTERIEUR DU MAROC