Compte Rendu TP CR: Associations Des Reacteurs
Compte Rendu TP CR: Associations Des Reacteurs
Compte Rendu TP CR: Associations Des Reacteurs
Sous-section B2
Binôme n° 42
USTHB
DISTRIBUTION DES TEMPS DE SEJOURS (REACTEUR PARFAITME AGITE)
INTRODUCTION :
Les réacteurs chimiques sont des objets incontournables dans l’industrie chimique et dans
les laboratoires, cela revient à leur importance cruciale dans le domaine, ils sont conçu pour
objectif la transformation de différentes espèces en d’autres qui se caractérisent avec des
propriétés uniques en leur genre.
But de la manipulation :
Définitions :
Réacteur parfaitement agité continu : Un réacteur parfaitement agité est un réacteur dans
lequel la composition est la même en tout point et à tout instant. ... est de vérifier, au cours
d'une dilution, que le réacteur étudié répond bien à la définition précédente.
Temps de séjour : Le temps de séjour est le temps moyen nécessaire à un élément pour
passer au travers d'un système à l'équilibre. Un moyen de déterminer ce temps est de
calculer le temps nécessaire pour remplir le système avec l'élément étudié.
Court-circuit : Un court-circuit est la mise en connexion volontaire ou accidentelle de deux
points (ou plus) d’un circuit électrique entre lesquels il y a une différence de potentiel, par
un conducteur de faible résistance. Il donne naissance à un courant de court-circuit et,
généralement, à une élévation de la température des conducteurs
Zone morte : il s'agit de zones où la circulation induite par mouvement de l'agitateur est
nulle. Pratiquement ces zones ne participent pas au mélange et sont considérées comme
mortes.
(1 − 𝛼)𝑄 ; C0
𝛽 VR
𝑄 ; C0 𝑄;C
s
𝛼𝑄 , C
1
(1 − 𝛽) VR
Méthodologie expérimental :
Mode opératoire :
Apres quelque minutes, quand l’eau est en train de s’écouler du troisième réacteur pour
se vide, arrêter la pompe d’alimentation de l’eau et actionner tout de suite la pompe de
chlorure de potassium avec la vitesse réglée à 60%.
Quand l’expérience est complétée, tracer graphique vs. Le temps et expliquer leurs
forme.
Q : débit moyen
d C S ( t ) −1
= dt
C S (t ) τ
On intègre :
d C S ( t ) −t
=
C0 τ
c0 t
∫ C S1 ( t ) d C S ( t )= −tτ ∫ dt
0 0
C S ( t ) −tτ
=e
C0
Ϭ= k . c
Cs= Ϭ /k
Partie Partie
Expérimental théorique
Aplication numérique :
A t= 2 min
C s 0.0272 −2
Fexp= = =0.272 et Ftheo=e 11.66 =0.842
c0 0.1
4 2 5
Interprétation :
Le réacteur idéal présente une efficacité parfaite qui ne peut être réalisée sur la
plan expérimental, on remarque que l’erreur est très grande, dû à la différence
entre la théorie et l’expérimentale (manipulation, machines, dosage.. etc.) On n’a
pas pu obtenir des résultats satisfaisant car le réacteur idéal n’existe pas dans la
réalité.
Conclusion : On conclut qu’on ne peut pas valider le réacteur RCPA pour cette
manipulation et donc ce n’est pas le modèle adéquat.
Après intégration :
−αt
𝐶𝑠/𝐶0=1−α e β τ
−α t
P=1-F= 1- 𝐶𝑠/𝐶0 = α e β τ
Partie Partie
expérimental théorique
( )
cs αt
On a : ln c 0 =lnα− βτ
' α
lnα cest l origine et Cest la pente
βτ
t LN (1-F) 1-F
0 0 1
2 - 0,72703
0,31878 4
19
4 - 0,60892
0,49606 4
2
6 - 0,51356
0,66638 1
68
8 - 0,43219
0,83887 6
61
10 - 0,36308
1,01313
31
12 - 0,30533
1,18633 7
97
14 - 0,25896
1,35105 8
22
16 - 0,21872
1,51995 3
07
18 - 0,18372
1,69430 7
41
20 - 0,15398
1,87092 1
77
22 - 0,12860
2,05097 9
91
24 - 0,10673
2,23739 7
06
26 - 0,08836
2,42629 4
11
28 - 0,07349
2,61059 1
49
30 - 0,06036
2,80730 7
52
32 -3,01606 0,04899
4
34 - 0,03849
3,25722 5
2
36 - 0,03237
3,43049 1
38
38 - 0,02537
3,67411 2
58
40 - 0,01924
3,95036 8
92
42 - 0,01574
4,15103 8
99
44 - 0,01399
4,26882 8
29
1
f(x) = 0.965459245954643 exp( − 0.0949170298168252 x )
0
0 f(x) = 5− 0.0949170298168254
10 15 x 20 25 30
− 0.0351513883051773 35 40 45 50
-1
-2
-3
-4
-5
LN (1-F) Linear (LN (1-F))
1-F Exponential (1-F)
1 Régression linéaire
A partir du graphe :
y = -0,0949x - 0,0352
ln 1− ( cs
c0 )
=lnα−
αt
βτ
α
=0.0949 alors β=0.872
βτ
A partir du graphe :
y = 0,9655e-0,095x
−α t
p=1− cs =α e βτ
c0
α =0.9655
α
=0.095 alors β=0.8761
βτ
β=0.872=0.8761=0.87
t f(t) E(t)
0 0,04 0,0908499
44
2 0,2055 0,0751840
4 01
4 0,3425 0,0622194
35 56
6 0,4559 0,0514904
06 85
8 0,5497 0,0426115
29 91
10 0,6273 0,0352637
72 52
12 0,6916 0,0291829
27 57
14 0,7448 0,0241507
02 19
16 0,7888 0,0199862
08 28
18 0,8252 0,0165398
25 52
20 0,8553 0,0136877
63 6
22 0,8803 0,0113274
04 76
24 0,9009 0,0093741
44 94
26 0,9180 0,0077577
25 31
28 0,9321 0,0064200
61 07
30 0,9438 0,0053129
59 56
32 0,9535 0,0043968
4 03
34 0,9615 0,0036386
51 29
36 0,9681 0,0030111
81 93
38 0,9736 0,0024919
68 5
40 0,9782 0,0020622
09 44
42 0,9819 0,0017066
66 36
44 0,9850 0,0014123
76 48
1.2
0.8
f(t) et e(t)
0.6
0.4
0.2
0
0 5 10 15 20 25 30 35 40 45 50
temps
f(t) E(t)
Interprétation du graphe :
Dans le cas d'un réacteur idéal la courbe F(t) commence par l’origine. Or dans
notre cas on voit bien que la courbe ne passe pas par l’origine car une partie du
traceur ne se mélange pas avec le mélange réactionnel présent en début
d’expérience dans le réacteur et est directement évacuée vers la sortie ce qui
explique l’existence du court-circuit. On remarque aussi que la fonction E(t)
diminue plus rapidement que dans le cas du réacteur idéal ce qui explique
l’existence du volume mort.
Conclusion :
2 ( 0.04 +0.2 )
t 2= =0.24
2
t s=33.82 min
Conclusion
Conclusion général :