Les Organes Du Sens IBS 2

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Moduled’anatomieet physiologie

Destinéaux aidessoignants
Mr BOUNECHADA Nadjib

Auditives Olfactives Vision Toucher Gout

Année Pédagogique
2013 - 2014
I. Composition

• Le système tégumentaire.

• Le nez

• La langue

• L’oreille •

L’œil
Mr BOUNECHADA Nadjib
Introduction
qLe système tégumentaire (tegumentum =
couverture) est formé de la peau et de ses
annexes (poils, ongles, et une série de glandes, de
muscles et de nerfs).
qIl forme un ensemble complexe assumant plusieurs
fonctions, dont la plupart protectrices.
qLa peau se continue au niveau des orifices
naturels avec les muqueuses ; ces dernières
tapissent les cavités du corps qui sont en
communication avec l’extérieur.
qLa peau est également l’organe du toucher.
1.1. Caractéristiques
qLa peau est constituée de différents tissus qui
s’unissent pour accomplir des fonctions précises.
qC ‘est le plus lourd et le plus étendu des organes
du corps humain.
® Sa surface totale est de 2 m2 chez l’adulte
® Son poids est d’environ 4 kg
® Son épaisseur varie entre 0,5mm sur les
paupières et les lèvres, et 4mm sur les talons ;
elle est de 1 à 2mm sur la majeure partie du
corps.
qLa dermatologie : c’est la branche de la médecine
qui diagnostique et traite les maladies de la peau.
epiderme

papilles
dermiques dernne
récepteur du
froid
j glande
recepteur du
chaud sébacée

muscle du
poil
yaisseaux sanguing
—— glande
sudoripare

tissu conjonctif
tissu sous-
cutane

nerf
globules lipidiques
1.2. Structure de la peau
qLa peau est formée de deux (02) parties
principales :

▪La partie superficielle, appelée EPIDERME

▪La partie profonde, appelée DERME

qEt une troisième partie au-dessous du derme,


couche sous-cutanée, appelée HYPODERME (hypo =
au-dessous).
1.2.1. L’EPIDERME
qEPI signifie dessus

qIl s’agit de la principale structure protectrice


du corps (protection des tissus sous-jacents)

qC’est un épithélium de revêtement.

qIl ne referme ni vaisseaux sanguin, ni nerf.


a. Les couches de l’épiderme
qL’épiderme est un épithélium stratifié
pavimenteux kératinisé.

qIl est constitué de nombreuses couches


cellulaires superposées qui se renouvellent.

qEn effet, si l’on observe les couches cellulaires


de la profondeur à la superficie on remarque :
a.1. La couche basale
qElle est formée par les zones germinatives, couche
muqueuse de Malpighi et granuleuse.
qElle est solidement fixée au derme par une bordure
ondulée.
qCette couche est formée de cellules qui se divisent
très activement pour assurer la régénération
continuelle de la peau.
qL’épiderme n’est pas vascularisé, mais il est
sensible en profondeur.
qÀ ce niveau que se font les échanges d’éléments
nutritifs essentiels. Le contact entre derme et
l’épiderme produit de fines rainures à la surface de
la peau. Aux extrémités des doigts, se nomment
empreintes digitales.
a.2. La couche cornée
qLa plus superficielle, formée de cellules aplaties,
cellules mortes contenant de la kératine, qui
tombent continuellement, se détachent par
exfoliation : c’ est la desquamation.(ex :pellicules)
qLa kératine confère aux cellules de l’épidermedes
propriétés protectrices:
▪Elles protègent les cellulesplus profondes des
agressions de l’environnementet de la déperdition
d’eau.
▪Elle empêche également la pénétration de
substances chimiques et de bactéries dans le
milieu interne.
qCette couche est insensible.
a.3. Les cellules de l’épiderme
qLes kératinocytes (kéra = corne) cellules
produisant de la kératine qui apporte à la peau sa
dureté et lui procure des propriétés protectrices
et isolantes.
qLes mélanocytes (mêlas = noir) produisent de la
mélanine. Cette production est stimulée par
l’exposition du corps aux rayons ultraviolets du
soleil. Plus la peau contient de mélanine, plus elle
est foncée. Protège la peau des rayons
ultraviolets.
qLes macrophagocytes ou cellules de Langerhans :
ils contribuent à l’activation de notre système de
défense immunitaire.
1.2.2. LE DERME (1)
qIl est sous-jacent à l’épiderme, et constitué d’un
tissu conjonctif résistant contenant :
qDes fibres collagènes qui confèrent à la peau la
résistance et l’élasticité qui lui sont nécessaires
pour protéger le derme des piqûres et des
éraflures.De plus, elles fixent l’eau et contribuent
ainsi à l’hydratation de la peau.
qDe l’élastine intervient dans le cas d’étirement
extrême de la peau (ex : grossesse, obésité)
1.2.2. LE DERME (2)
qDes cellules comme les macrophages
qDes vaisseaux sanguins et lymphatiques
ØApport d’O2
ØNourriture de la peau : nutriments
ØÉlimination des déchets
ØRégulation thermique par vasodilatation ou
vasoconstriction
qEt des terminaisons nerveuses spécialisées
 Rôle de défense de l’individu

qCes différents éléments confèrent à cette couche


des qualités de résistance et de flexibilité.
qLes annexes cutanées se trouvent également dans le
derme.
1.2.3. L’HYPODERME
qTissu sous-cutané qui se trouve juste au-dessous de la
peau.
qIl ne fait pas véritablement partie de la peau, mais il
est en interaction fonctionnel avec elle puisqu’il permet
d’assurer certaines de ses fonctions de protection.
qIl est constitué d’un peu de tissu adipeux (réserve
énergétique) et d’un peu de tissu conjonctif.

qSes fonctions :
ØRelie la peau aux structures sous-jacentes et permet
de bouger, de s’étirer pour s’adapter aux mouvements
de ces structures.
ØEn raison de sa composition graisseuse, l’hypoderme
est également en mesure d’absorber les chocs et
d’isoler les tissus plus profonds de l’organisme contre
les pertes de chaleur.
LES ANNEXES CUTANEES
qLe système tégumentaire comporte plusieurs
annexes dérivées de l’épiderme :
Øles poils et follicules pileux = phanères
Øles ongles
Øles glandes sudoripares (sudor = sueur)
Øles glandes sébacées (sébo = sébum)
qChacune de ces annexes jouent un rôle important
dans le maintien de l’équilibre de l’organisme.
Les poils et les follicules pileux
Le poil est essentiellement constitué de cellules
kératinisées. Ces cellules contiennent un pigment qui
donne au poil sa coloration particulière.

Il comporte :
- un bulbe à la base du follicule
- une racine dans le follicule
-une tige qui émerge à la surface de l’épiderme.
A chaque poil est associé :
- un muscle redresseur du poil (horripilateur)
- une glande sébacée
Le muscle redresseur du poil est associé au follicule
pileux.
Le conduit des glandes sébacées débouche dans le
follicule pileux.
Les ongles
Les ongles constituent un revêtement kératinisé qui
protège l’extrémité des doigts. Ils dérivent du tissu
épidermique.
Les glandes sébacées
Elles sont présentent sur pratiquement toute la surface
du corps à l’exception de la paume des mains et de la
plante des pieds.

Ce sont des glandes qui sécrètent une solution


huileuse : le sébum.

Le sébum :
1.lubrifie la peau et les poils
2.empêche la déperdition d’eau par la peau
3.agit comme agent bactéricide

Ces glandes peuvent libérer leur sébum dans les


follicules pileux ou directement à la surface de la
peau.
Les glandes sudoripares
Elles sont réparties sur toute l’étendue de la peau plus
particulièrement concentrées dans la peau du front , de
la paume des mains et de la plante des pieds.

Ce sont des glandes tubuleuses et enroulées sur elles-


mêmes qui sécrètent une solution : la sueur (cette
sécrétion s’appelle la « transpiration »).

Composition de la sueur :

99% d’eau Sels


minéraux
Déchets divers
La sueur est déversée à la surface de la peau de
manière continue et transformée immédiatement en
vapeur = perspiration cutanée.

Lorsqu’elle est plus abondante, les gouttes de sueur


deviennent apparentes : c’est la sudation.

Leur conduit débouche à la surface de la peau par un


pore.

Le rôle de la sueur :

- thermorégulation
- élimination des déchets
® Les sécrétions de sébum et de sueur justifient une
hygiène rigoureuse.
Fonction de protection
La peau dresse trois types de barrières entre
l’organisme et l’environnement :
Øune barrière chimique
Øune barrière physique
Øune barrière biologique.
1. Barrière chimique : formée par les sécrétions de la
peau ® propriétés antibactériennes (sébum , sueur,
mélanine)
2. Barrière physique ou mécanique : est constituée par
la peau elle-même et la résistance à l’abrasion des
cellules kératinisées. Les poils protègent certains
orifices contre les poussières extérieures.
3. Barrière biologique : les macrophagocytes forment
une ligne défensive capable d’éliminer les virus;
bactéries qui seraient parvenues à passer à travers
l’épiderme = défense contre les microbes.
Régulation de la température corporelle
Échanges thermiques entre la température qui est variable
et la température corporellequi est constante.

Les vaisseaux sanguins dermiques et les glandes


sudoripares régis par le système nerveux jouent un rôle
important dans le maintien de cet équilibre.

Sensibilitéou sensations cutanées


La peau est riche en récepteurs sensorielscutanés. Ils
réagissent :

- à la température (froid, chaud)


- au toucher permettant ainsi de nous renseigner sur le
poids, la forme, la résistance, les dimensions des objets que
nous touchons.
- à la pression
- aux stimuli de la douleur.
Synthèse de la vitamine D
Dans les cellulesde l’épiderme se trouvent des molécules
de cholestérol modifiées qui au contact des rayons
ultravioletsse transforment en vit. D. Les capillaires
sanguins absorbent cette vitamine pour la distribuer dans
le corps.

Réservoir sanguin
Le réseau vasculaire étendu du derme fait de la peau un
réservoir sanguin. Si besoin, ce sang peut être mis à
dispositiond’autres organes, par constrictiondes
vaisseaux sanguins dermiques.

Excrétion ou élimination
Déchets éliminerdu corps par l’intermédiairede la sueur.
Absorption
La peau absorbe des quantités négligeables de
substances hydrosolubles (imperméable), mais laisse
pénétrer certaines matières liposolubles, l’oxygène et
le gaz carbonique.

L’absorption se fait par l’orifice des glandes et des


poils. Les puits contenant les poils sont plein de
graisse sébacée ; il en résulte que seuls auront des
chances de passer les corps susceptibles de
dissoudre les graisses, d’où l’application de certains
médicaments sous forme de pommade, solutions……
Communication
Nous communiquons par notre peau de façon
volontaire et involontaire. Les terminaisons nerveuses
nous permettent de recevoir les informations de
l’environnement physique et humain : perception de la
chaleur du vent, perception de l’état physique et
émotionnel d’une personne.

La peau a une odeur, un aspect qui nous est propre.

Grâce au système végétatif, la peau peut rougir, pâlir ou


se couvrir de sueurs froides, ou voir se dresser les
cheveux sur la tête.

Toutes ces réactions sont en rapport avec les émotions


vécues par la personne.
Mr BOUNECHADA .N
Introduction
qL’œil est l’un des cinq organes de sens du corps
humain, c’est l’organe de la vue.

qLa vision est donc la perceptionde l’organe de la


vue qui est l’œil.

qCe dernier est l’organe récepteur de la lumière.


Sa fonction est de transformer l’information
lumineuse en influx nerveux transmis au cerveau.
Constitution
qIl est de diamètre de 23 à 25 mm

qIl pèse environ 8 g.

qL’anatomie de l’œil est constitué de 2 parties:

▪Le globe oculaire qui est constitué:

Øen périphérie: de 3 concentriques formant la


coque.

ØAu centre: par des milieux transparents.

▪Les annexes du globe oculaire.


1.1. Les membranes oculaires
De la périphérie vers le centre on distingue:

qUne membrane externe;

qUne membrane moyenne;

qUne membrane interne.


Membrane externe

qMembrane fibreuse qui comprend 2 parties:

▪Une membrane blanche en arrière, la

Sclérotique.

▪Une portion transparente en avant, la Cornée.


La membrane moyenne
qEst une membrane musculo-vasculaire, appelée
Uvée, composée de 3 segment:

▪La membrane choroïde en arrière.

▪Le corps ciliaire, formé par les procès ciliaires


et les muscles ciliaire(secrète l’humeur
aqueuse).

▪L’iris: diaphragme vertical et pigmenté, percé


d’un orifice central la pupille.
Chambr
Vitré
e
antérieure ---;
) : Rétine
Cornéeé ' Chorei
de
:
Sclére

Cristallin
M. droit inf. Nerf optique
Sclér
otiqu
e
Choro
ide

Hume
ur
Pupille aque
use
Retine Tache
Tache aveugl
jaune e fo
e va
Humenr vitrée/ )
La membrane interne
• C’est une membrane , nerveuse, sensorielle;
appelée Rétine.

• Elle perçoit les impressions lumineuses.

• Ces fibres se rejoignent pour former le nerf


optique au niveau d’une zone appelé papille
optique ou zone aveugle.

• La tâche jaune ou fovéa est la partie de la


rétine ou les images ont leur max de netteté.
1.2. Les milieux transparents
qIls remplissent le globe oculaire.

qOn retrouve d’avant en arrière:

▪L’humeur aqueuse.

▪Le cristallin.

▪Le corps vitré

qtous les 3 sont transparent.


1.2.1. L’humeur aqueuse
qC’est un liquide transparent constamment renouvelé
(chaque 2 à 3h), proche de l’eau.
qSecrété par le corps ciliaire
qResponsable du maintient de la pression intra-
oculaire.
qRemplit l’espace entre la cornée et le cristallin, qui
s’appelle la chambre antérieur de l’œil.
qElle est composée de:
▪99,6 % d’eau,
▪De vitamine C, de glucose, d’acide lactique, de Na et
de Cl .
▪En majorité est pauvre en protéines et en acides
aminés.
1.2.2. Le Cristallin
qLe cristallin est une lentille biconvexe transparente,
avasculaire.

qSitué derrièrel’iris, entouré d’une capsule dont les


faces antérieure et postérieure se réunissent au
niveau de l’équateur.

qSa courbure peut être modifiée grâce aux ligaments


et muscles

qLa modification de la partie antérieur de la


courbure permet l’accommodation.
Schéma anatomiquedu cristallin
1.2.3. Le corps vitré
• C’est un liquide transparent, visqueux qui remplit
le globe oculaire (90% du volume) en arrière du
cristallin.

• Entouré par une membrane appelée membrane


hyaloidienne. Il est formé de 95% d'eau.
Muscle
cilare
Ligament
s
suspense
urs
bis

Humeur
aqueus
e come
Conjon
ctive
2.1. Les paupières
qLes paupières sont des lames cutanéo musculo-
membraneuses mobiles, qui recouvrent et protègent
la partie antérieure du globe.

qLa paupière sup est plus mobile que celle inf


recouvrant totalement la cornée lors de sa
fermeture.

qLeur muqueuse interne s’appelle la conjonctive.

qL’espace qui se trouve entre la paupière et la corné


s’appelle le cul-de-sac conjonctivale
2.2. L’appareil lacrymal
qL’appareil lacrymal est constitué par :
▪Les structures qui sécrètent les larmes dont la
glande lacrymale principale et les glandes
lacrymales accessoires.
▪Les structures qui facilitent le drainage des
larmes, le système de la voie lacrymale.
qLes larmes s’éliminent à l’angle interne de l’œil.
qElles exercentun rôle protecteur, humidifient la
corné prévenant:
▪son assèchement.
▪son ulcération
qL’appareil lacrymal s’ouvre dans les fosses nasales
ou le trop plein de larmes est évacué.
2.3. Les muscles oculomoteur
qLa motilité du globe oculaire est assurée par 7
muscles oculomoteurs:
▪Le releveur de la paupière.

▪4 muscles droits:

ØLe droit sup et Le droit inf.

ØLe droit ext et le droit int.

▪2 muscles obliques:

ØLe grand oblique;

ØLe petit oblique.


2.3. Les muscles oculomoteur
qIls sont innervés par des nerfs moteurs et
sensitifs:
▪Le nerf moteur oculaire ext: (paralysie =
strabisme convergent).

▪Le nerf moteur oculaire commun: ( sa paralysie =


strabisme divergent + ptosis « chute paupière sup
»).

▪Le nerf ophtalmique est le nerf sensitif de l’œil.


2.4. la cavité orbitaire
qL’orbite est une cavité osseuse située dans la
partie sup du massif facial, au nombre de 2.
qLa cavité orbitaire contient et protège le globe
oculaire et ses annexes.
qChaque orbite est constituée par les parties de 7
os : l'os frontal, l'os zygomatique, l'os maxillaire,
l'os sphénoïde, l'os palatin, l'os ethmoïde et l'os
lacrymal, se juxtaposent pour former une cavité
tapissée d’une membrane fibreuse : le périoste
orbitaire.
qElle présente 2 orifices post:
▪La fente sphénoïdale ou passe les nerfs moteurs de l’œil.
▪Le trou optique (ou passe le nerf optique et l’artère
ophtalmique.
III. Les voies optiques
ou visuelles
3.1. La Rétine
qC’est une membrane constituée de cellule nerveuse

qElle est sensible aux impacts lumineux


(photosensible)

qElle contient des cellules visuelles,photoréceptrices


ayant 2 types:

▪Cellule à bâtonnets.

▪Cellulesà Cônes.
3.1.1. Les cellules à bâtonnets
qEnviron 800.

qElles contiennent un pigment visuel la rhodopsine.

qElles interviennent dans les luminosités de très


fiable intensité: c’est la vision crépusculaire.

qElles ne permettent pas de discerner les détails:


c’est une vision noir et blanc (comme les chiens et
les chats).
3.1.2. Les cellules à cônes
qElles contiennent des pigments visuels qui sont à
l’origine de la perceptiondes couleurs:
▪Un sensible au rouge
▪Un sensible au bleu
▪Un sensible au vert
qElles interviennent dans la vision discriminative
(vision des détails, diurne et la perception des
couleurs)
qLa tâche jaune, ne contient que des cellules à
cônes. Ce qui explique pourquoi les impressions
lumineuses sont à cet endroit plus précises et plus
nettes
3.2. Le nerf optique
qLe nerf optique commence à la papille optique et se
termine à l’angle antérieur du chiasma:
▪La papille optique: la tête du nerf optique.

▪Le nerf optique : oblique en arrière et en dedans,


présente 3 portions.

qLes gaines du nerf optique: La dure mère,


L’arachnoïde, La pie-mère.
3.3. Chiasma optique
qLes 2 nerfs optiques se réunissent au niveau d’une
bandelette blanche quadrilatère, qui est le
chiasma, et aux angles postérieures du quel
naissent les bandelettes optiques.

qIl a une forme d'X.

qA son niveau, les fibres optiques issues des


rétines nasales se croisent.
3.4. La bandelette optique
qContinuant l'angle postérieur du chiasma,

qElle forme un cordon blanc, aplati long de 3 cm.

qContourne le pédoncule cérébral.

qse termine dans le corps genouillé externe.


3.5. Radiations optiques
qElles débutent au niveau du corps genouillé ext,
saillie ovalaire allongée, situé sur la face latérale
du pédoncule cérébral.

qLes radiations optiques relient le corps genouillé


externe au cortex occipital.
• Elles se divisent en deux faisceaux.
3.5. Le centre cortical visuel
qIl est situé sur la face int du lobe occipital, de
part et d'autre de la scissure calcarine.

qIl comprend deux aires :


▪l'aire visuelle occupe les 2 lèvres et le fond de la
scissure calcarine, Porte le nom d'aire striée.

▪l'aire visuo-psychique entoure en haut et en bas


l'aire striée.
Radia
opti
tions Tubero
ques
adrjum
ules
erFoptiqus eau
Superi
eure

Cort
vis
ex
uel
gauc
he

[Cor
vis
tex
uel
dro
it

hiasma optique [Corps


genouillélatéral
Introduction
qLa physiologie de l’œil peut être regroupée en

deux grandes parties :

▪La protection de l’œil.

▪Le mécanisme de la vision.


La protection de l’œil
qCela est assurée plusieurs éléments qui sont :
• La couche protectrice du globe oculaire
ØElle est constituée par la sclère et la cornée:
ØLa sclère, par son caractère fibreux et inextensible et
la cornée par hypersensibilité maintiennent la forme du
globe, le protège contre les agressions externes.
• La conjonctive
ØRiche en éléments cellulaires et cela procure une
défense naturel de l’œil contre les infec.
• Les paupières
ØAssurent la protection de l’œil, grâce au clignement,
• Les larmes:
Øun rôle protecteur de l’œil contre les infec
• L’orbite:
– Protège l’œil comme un para-choque .
Le mécanisme de la vision
La vision peut se décrire de plusieurs façons;
Acuité visuelle :
qC’est la capacité à discerner de fins détails comme
reconnaître un visage au loin ou de lire (c’est la
macula qui en est responsable).
qCeci est rendu possible grâce au composant optique de
l’œil.
Champ visuel :
qC’est la capacité de voir dans toutes les directions
sans devoir bouger les yeux (c’est la rétine
périphérique qui est responsable).
qElle dépend de plusieurs facteurs tels que la bonne
santé des vaisseaux rétiniens, la bonne santé du
système de la voie visuelle, la stabilité P° intraoculair
ANOMALIES DE L’ŒIL ET DE
LA VISION
Hypermétropi L’imagese formederrière
e larétine L’hypermétropevoit
lesobjetséloignésmaislavision proche est
Myopie floue
L’imagese
Astigmatisme formedevantlarétine Lemyopevoit
(astigma=absence lesobjetsprochesmaislavision éloignéeest
depoints) floue
Lespointsdelumièrese focalisentsurlarétine
Presbytie sousformede lignes (et
nonde points).
L’astigmateaunevision déforméedesobjets.
Défautd’unœilquidistinguemallesobjetsrappro
chésparsuited’une diminutionde l’élasticité
ducristallin d’accommodation.
etdeson pouvoir LePresbyteaunemauvaisevision
desobjetsrapprochés.
Cesanomaliesse
corrigentparleportdeverrescorrecteur
squipermettentàlapersonnede
conserver une autonomie.
Mr BOUNECHADA .N
I. Description
qLe nez (du latin nasus) est la saillie médiane
du visage située au-dessus de la lèvre supérieure,
Recouvre l'orifice des fosses nasales,

qIl Renferment l'organe de l'olfaction.

qIl concourt, en livrant passage à l'air, à


l'accomplissementde la respiration et de la
phonation.
II. Constitution
qLe nez est composé:
▪Des ailes, ▪De
la cloison, ▪De
poils,
▪De la racine et des narines.
qLa charpente nasale est faite :
▪Des os propres du nez.
▪Des cartilages nasaux.
▪Des muscles du nez.
2.1.Les fosses nasale
qLes fosses nasales sont 2 cavités séparées par
une cloison médiane.
qSituées:
Øau dessus de la cavité buccale,
Øen dessous de l’étage antérieur de la base du
crâne,
Øen dedans des orbites et des sinus maxillaires,
Øen arrière du nez.
Constitution des fosses nasales
qElles sont constituées d’une charpente osseuse,
recouverte par une muqueuse.

qElles présentent :

Ø2 orifices antérieur et postérieur ;

Ø4 parois :supérieur, inférieur, interne et


externe;

ØDes cavités pneumatiques annexées ou sinus.


2.2. les orifices

qOrifice antérieur ou narines : limité par les os


nasaux en haut, les maxillaires sup en bas et
sur les cotés.

qOrifice postérieur ou choanes : limités par le


corps sphénoïdal en haut, la lame horizontale du
palatin en bas, l’aile interne de l’apophyse
ptérygoïde en dehors et le vomer en dedans
2.3.Les parois (1)

qParoi sup ou voûte nasale très étroite, formée


par les os nasaux, l’épine nasale du frontal, la
lame criblée de l’ethmoïde et la surface antéro-
inf du corps du sphénoïde

qParoi inf ou plancher nasal plus large, formée par


l’apophyse palatine du maxillaire sup devant et la
lame horizontale du palatin derrière; on y trouve
l’orifice du conduit palatin antérieur
2.3.Les parois (2)
qParoi int ou cloison nasale sépare les 2 fosses
nasales. Elle est constituée par la lame
perpendiculaire de l’ethmoïde, le cartilage de la
cloison devant.
qParoi externe formée par le maxillaire sup,
l’ethmoïde, l’unguis, la lame verticale du palatin, le
cornet inférieur et l’aile interne de l’apophyse
ptérygoïde
2.4. Les sinus
qLes sinus sphénoidaux en arrière s’ouvrent sur les la
fosses nasales par un orifice sur face antérieure
du corps sphénoidal.
qLes sinus maxillaires ou antres d’Highmore creusés
dans le maxillaire sup s’ouvrent par le méat
inférieur
qLe sinus ethmoidal ou cellules ethmoidales sont
creusées en partie dans les masses latérales de
l’ethmoïde. La cellule infundibulaire des cellules
ethmoïdo-frontales se développent dans le frontal
et forme le sinus frontal. Le tout s’ouvre par le
méat moyen et le méat supérieur.
Cornet nasal

Cornet nasal
inférieur

Nasopharynx

Narine externe
3. La muqueuse des fosses nasales
qOu Muqueuse pituitaire recouvre les parois osseuses
et se prolonge à l’intérieur des sinus. Elle s’introduit
dans les différents trous et conduits.

qElle présente une tache jaune en regard de la lame


criblée de l’ethmoïde (zone olfactive) ayant des cils
olfactifs liés par des neurones au bulbe olfactif
puis au nerf olfactif (I).

qElle fait place en avant des cornets au revêtement


cutané portant les vibrisses ou poils du nez.
Vascularisation et Innervation

qLa vascularisation est assurée par :

▪artères et veines sphéno-palatine et ethmoïdales

antérieure et postérieure.

qL’Innervation est assurée par:

▪Nerf olfactif , rameaux nasaux de l’ophtalmique,

du palatin et sphéno-palatin.
Caractéristiques de la muqueuse
qLa muqueuse qui tapisse les fosses nasales est
riche en vaisseaux sanguins, d'où sa couleur rose.
qElle renferme de nombreuses glandes à mucus qui
la maintiennent constamment humide.
qCette muqueuse réchauffe, humidifie et filtre
partiellement l'air inspiré.
qÀ la muqueuse rose s'oppose la muqueuse jaune, à
rôle sensoriel.
qCelle-ci forme sur le cornet supérieur une tache de
l'ordre du centimètre carré.
Caractéristiques de la muqueuse
qElle est pauvre en vaisseaux et en glandes, mais
elle contient les terminaisons nerveuses du nerf
olfactif.
qCette zone olfactive est sensible à certaines
substances solubles dans le mucus nasal.

qQuand le mucus est rare (par temps sec),


l'olfaction est moins bonne.

qQuand, au contraire, le mucus est trop abondant


(en cas de rhume), l'odorat disparaît quasiment.
Le système olfactif

Vehicués
ccer
vers
u vea

-‘envoient
‘ver
Les le
des
bulbeignaux
s
ofact|
neurones
olactifs
s
cav
asale
te
Les
1.‘doantes
molécule
reurones
se lent
‘aux
s
r olfactis
récepteurs des

Code des
Les neurnes
couleurs:
‘dans u méme oofacis
l de
portent le méme récepteur et se eoignent
méme couleur
glomérulen
Mr BOUNECHADA .N
Introduction
qLa langue est un organe situé dans la cavité
buccale, qui sert à la mastication, à la phonation
(mimique) et à la déglutition (salive et aliments).
qC'est aussi l'organe du goût (papilles gustatives).
qC'est un organe très vascularisé.
Constitution qLa
langue mesure en moyenne 10 cm.
qElle a une forme ovoïde.
qElle est constituée de 2 parties :
▪Une partie fixe, enfoncée dans le pharynx
▪une partie mobile présentant:
Ø2 faces,
Ø2 bords,
Ø1pointe,
Ø1 base.
Charpente de la langue
qFace supérieure ou dorsum lingual divisée en 2
parties :
▪corps et

▪racine ou base par le sillon terminal ou V lingual.

qFace inférieure
La face supérieure
qOu dorsum lingual divisée en 2 parties : corps et
racine ou base par le sillon terminal ou V lingual.
qUn sillon médian va du V à la pointe. Le sillon terminal
est creusé d’une dépression.
qEn avant du V lingual,il y a les papilles selon la forme
il ya :
▪caliciformes,
▪fongiformes,
▪filiformes;
qDerrière le V, la surface est mamelonnée et remplies
de formations lymphoïdes (amygdales linguales)
Face inférieure

qElle présente une muqueuse plus fine, un sillon

médian et les veines ranines de chaque coté.

qLe sillon se termine en bas par le frein lingual.

qDe chaque coté du frein s’ouvre le canal de

Wharton excréteur de la glande salivaire

submandibulaire.
LANGUE (face inférieure)

supérieure
levre arcade

dentaire supérieure

frange
sublinguale

veine
ranine
éminence
sublingual
e

levre inférieure cupaciie


orifice de la glande
sss
sous-maxillaire
coue
s
Les bords et La pointe

qLes bords s’amincissent de la base vers la pointe

et présentent des papilles.

qLa pointe est creusée par un sillon médian qui se

continue sur les 2 faces.


La base de langue
qElle est unie à :

▪l’os hyoïde et à la mandibule par des muscles et


lames fibreuses,

▪l’épiglotte par 3 replis glosso-épiglottiques : (1


médian et 2 latéraux) qui limitent de chaque
coté une fossette glosso-épiglottique : ce sont
les vallécules.
La charpente linguale
qElle est faite de 17 muscles ,

q2 lames fibreuses (septum lingual qui la sépare

en 2 moitiés et la membrane hyo-glossienne)

qUne muqueuse ayant des papilles gustatives.


Base langue

vallécules

vestibule

Sinus piriforme
Muscles de la langue (17)
Muscles Attaches externes, innervation

Génio- Apophyses géni supérieure vers le milieu et pointe de langue,


glosse XII
Corps et grande corne os hyoide , fibres latérales vont dans
Hyo-glosse l’épaisseur de la langue, XII

Stylo-glosse Apophyse styloide vers la base de langue et le dos de la


langue, XII
Lingual inférieur Petites cornes de l’os hyoide vers la pointe de langue, XII

Glosso-staphylin Aponévrose palatine descend dans le pilier antérieur vers le


ou palato-glosse corps de la langue, (seul muscle innervé par le IX)

Pharyngo-glosse Faisceau du constricteur supérieur se continuant sur les bords


de langue, XII
Amygdalo- Muscle inconstant allant de la coque amygdalienne à la base de
glosse langue, XII
Fibres allant de la muqueuse des bords au septum lingual, XII
Transverse
Seul muscle impair, va de la petite corne os hyoide et épiglotte
Lingual vers la face dorsale de la langue, XII
supérieur
Muscles de la langue
Les papilles
qles papilles circumvallées(ou caliciformes), au
nombre de 9, formant le V lingual qui délimite les
2/3 antérieur du 1/3 postérieur de la langue ;
qles papilles fongiformes, disséminées sur la pointe
et les 2/3 antérieur de la langue ;
qles papilles filiformes, celles qui sont présentes en
plus grand nombre et donnent à la langue sa
texture particulière et situées de par et d'autres
du sillon médian
qLes papilles foliées (ou coralliformes), situées sur
les bords latéraux et postérieurs de la langue.
Innervation

qLa langue possède une triple innervation:

qMotrice: la langue possède des muscles


intrinsèques (forme de la langue) et extrinsèques
(position de la langue).

qSensitive: comme toute muqueuse, la surface de


la langue est sensible aux stimuli mécaniques, au
chaud, au froid, à la douleur.

qSensorielle: la langue est l'organe du goût.


Les saveurs fondamentales

qLes bourgeons gustatifs captent seulement 4

saveurs:

▪Salé

▪Sucré

▪Amer.

▪Acide.
Généralités

L’ouie fait partie des cinq organes des sens, seuls


outils dont nous disposons pour communiquer avec
notre environnement et avec les autres.
Entendre est une fonction physiologique de l’appareil
auditif. C’est une fonction passive et involontaire.
Ecouter est un acte volontaire qui demande attention
et effort. La qualité de l’écoute dépend de la
capacité de présence.
Anatomie de l’oreille

L’oreille se divise en trois grandes régions :

® L’oreille externe, qui capte les ondes sonores et

les dirige vers l’intérieur

® L’oreille moyenne, qui achemine les vibrations à la

fenêtre du vestibule

® L’oreille interne, qui abrite les récepteurs de

l’ouïe et de l’équilibre.
Partie osseuse
‘ ©) Chaine des osselets
Enc m
lue
Nerf
auditi
f
Pavillon
Cond
auditif
uit

Cochlée Tympan
Tro
d’Eus
mpe
tache

Orei Or
externe moyenne
lle ei
interne
ll
e
1. L’Oreille Externe
Elle est composée du pavillon de l’oreille et du conduit
auditif externe.
Le pavillon : appellé « oreille » en langage courant.
Il s’agit de la partie saillante en forme de coquille et est
constitué de cartilage élastique recouvert d’une mince
couche de peau et de poils clairsemés.
Il a pour rôle de diriger les ondes sonores dans le conduit
auditif externe.
Le conduit auditif externe : tube court et courbé creusé
dans l’os temporal qui relie le pavillon à la membrane du
tympan.
La peau qui le recouvre comporte des poils, des glandes
sébacées spécialisées: les glandes cérumineuses. Ces
glandes sécrètent une substance cireuse de couleur jaune
brunâtre appelée cérumen, qui emprisonne les corps
étrangers et chasse les insectes.
1. L’Oreille Externe

qLes ondes sonores qui entrent dans le conduit


auditif externe frappent la membrane de tympan,
ou tympan, limite entre l’oreille externe et
l’oreillemoyenne.
qIl a la forme d’un cône aplati dont le sommet
pénètre dans l’oreille moyenne.
qLes ondes sonores font vibrer le tympan, qui
transfère cette énergie aux osselets de l’ouïe
situés dans l’oreille moyenne et les fait vibrer.
le pavillon
os temporal

le tympan
conduit
auditif
anat physiooreille 3/03/2008 113
2. L’Oreille Moyenne
qOu caisse du tympan, est une petite cavité, remplie d’air et tapissée d’une
muqueuse. La paroi antérieure de l’oreille moyenne est unie à celle du
pharynx par une ouverture qui relie l’oreille moyenne au nasopharynx:la
trompe auditive (trompe d’Eustache).
qcette trompe est aplatie et fermée, mais la déglutition et le bâillement
l’ouvrent momentanément pour équilibrer la pression de l’air entre l’oreille
moyenne et l’oreille externe.
qC’est un mécanisme important car le tympan ne peut vibrer librement que si
la pression exercée sur ses deux surfaces est égale.
qDans le cas contraire, le tympan fait saillie vers l’intérieur ou l’extérieur, ce
qui entrave l’audition (les voix semblent lointaines) et peut causer une otalgie.
qL’équilibration de la pression de l’oreil
2. L’Oreille Moyenne
La caisse du tympanrenferme les trois plus petits os du corps, les
osselets de l’ouïe:
- le marteau -
l’enclume
- l’étrier
Les osselets transmettentle mouvementvibratoire du tympanà la fenêtre
du vestibule qui, à son tour, agite les liquidesde l’oreille interne.
Ce sont les mouvements de ces liquidesqui excitent les
récepteurs de l’audition.
Canaux semi-circulaires,

Nerfs
et
auditi
vestibu
t
laire

Marteau ——= NN
Etrier

‘Tympan ~ 2 Enclume
q muscles et ligaments

l'enclume

l'étrier

le marteau
la fenétre
ovale

le tympan moyenne os lenticulaire


(ai
r) R la fenétre ronde

la trompe
d'eustaches
Soa
muscles péristaphylins
3. L’Oreille interne
qAppelée aussi labyrinthe, étant donné sa forme
compliquée.
Elle comprend deux grandes divisions :
▪le labyrinthe osseux
▪le labyrinthe membraneux
qLe labyrinthe osseux est rempli de périlymphe.
qLe labyrinthe membraneux flotte dans la
périlymphe et il contient l’endolymphe.
qLa périlymphe et l’endolymphe transmettent les
vibrations sonores et réagissent aux forces
mécaniques produites lors des changements de
position du corps et de l’accélération.
3. L’Oreille Interne
qLe vestibule abrite les récepteurs de l’équilibre
qui réagissentà la force gravitation-nelle et
encodent les changements de position de la tête.
Le conduit auditif interne
qC’est un canal creusé dans le rocher ; son orifice
interne s’ouvre à la base du crâne.
qCe conduit interne livre passage au :
▪Nerf facial
▪Nerf vestibulo-cochléaire : nerf vestibulaire
(équilibre)
▪Nerf cochléaire (audition)
Mécanisme de l’audition
Le son produit dans l’air des vibrations qui frappent
le tympan, qui ébranle une chaîne d’osselets qui
poussent le liquide de l’oreille interne contre des
membranes, qui créent des forces de cisaillement
qui tirent sur des cellules sensorielles ciliées, qui
stimulent les neurones à proximité qui engendrent
des influx qui aboutissent au cerveau qui interprète
ces influx ® et nous entendons !
La transmission des sons :
Au niveau de l’oreille externe, est aérienne
Au niveau de l’oreille moyenne, est osseuse
Au niveau de l’oreille interne, est liquidienne
Mécanismede l’équilibreet de
l’orientation
▪Le sens de l’équilibre ne nous fournit pas de «
sensations » à proprement parler mais réagit aux
divers mouvements de la tête. Ce sens repose sur
des influx provenant non seulement de l’oreille
interne mais aussi des yeux et des récepteurs de
l’étirementsitués dans les muscles et les tendons.
Mécanismede l’équilibreet de
l’orientation

▪Les récepteurs de l’équilibre sont situés au niveau


de l’oreille interne: ils constituent l’appareil
vestibulaire. Dans les conditions normales, les
messages qu’ils envoient à l’encéphale déclenchent
les réflexes nécessaires tant aux simples
changements de position qu’à l’exécution d’un
service précis.
Mécanismede l’équilibreet de
l’orientation
▪Les récepteurs de l’équilibre de l’oreille interne
se divisent en deux groupes : ceux de
l’équilibre statique, et ceux de l’équilibre
dynamique.

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