Memoire D.E.S. DR Famakan Diakité
Memoire D.E.S. DR Famakan Diakité
Memoire D.E.S. DR Famakan Diakité
et de la Recherche Scientifique
Un Peuple - Un But – Une Foi
--------------------------
TITRE
MEMOIRE
REMERCIEMENTS
AP : Adénome pléomorphe
ANNEXES……………………………………………………………………………………………………………………………………61
RÉSUMÉ .............................................................................................................................................. 63
ICONOGRAPHIE ............................................................................................................................... 64
FICHE D’ENQUETE.......................................................................................................................... 71
INTRODUCTION
Les tumeurs des glandes salivaires sont rares. Elles représentent moins de 4% de
l’ensemble des tumeurs de la tête et du cou. Parmi les différents types
histologiques de tumeurs des glandes salivaires, l’adénome pléomorphe est le plus
fréquent et représente environ 70% [1].
L'adénome pléomorphe appelé aussi tumeur mixte bénigne est la plus commune
des tumeurs des glandes salivaires. Elle survient le plus souvent pour près de 90%
dans la parotide et pour 10% dans les glandes salivaires accessoires. Les sites
préférentiels de l'adénome pléomorphe des glandes salivaires accessoires sont le
palais, les lèvres et les joues. Les autres sites rares sont représentés par le plancher
buccal, le larynx, la langue, les amygdales, le pharynx, la région rétromolaire mais
aussi les cavités nasales. L'adénome de la joue est assez rare [2]. Dans une étude
réalisée à l’université de Lomé, 84% des adénomes pléomorphes survenaient au
sein de la parotide, 8% au sein de la glande submandibulaire et 4-6% au niveau
des glandes salivaires accessoires [1]. Dans une série publiée en 1972 par l’Armed
Forces Institute of Pathology portant sur 9993 tumeurs salivaire, seuls 10 cas
d’adénomes pléomorphes de glande submandibulaire ont été rapportés [3]. Par
ailleurs, le palais, réunissant plus de 50 % des glandes accessoires qui se
répartissent également entre palais dur et palais mou, représente le siège
préférentiel des tumeurs salivaires accessoires (deux tiers des cas) suivit de la
lèvre supérieure et la muqueuse buccale. Les sites inhabituels sont les sinus, le
larynx, l’épiglotte et la trachée [4]. D’autres localisations comme la langue, la
luette et même le conduit auditif externe ont été décrits [1].
L’adénome pléomorphe peut survenir à tout âge, avec une prédilection entre la
4e et la 6e décennie de vie et le sexe féminin semble plus touchée que le sexe
masculin [1].
L’évolution peut se faire sur plusieurs mois, voire plusieurs années avec un
risque de transformation maligne d’environ 6% [1].
Malgré son caractère bénin, de rares cas de métastases à distance ont été
rapportés, touchant plus fréquemment l'os, les poumons et les ganglions
lymphatiques. La localisation secondaire sous-cutanée a été rapportée dans un
travail [6].
OBJECTIFS
1. Objectif général
Etudier les aspects épidémiologique, clinique et thérapeutique des adénomes
polymorphes dans le service de Stomatologie et de Chirurgie Maxillo-Faciale du
Centre National d’Odonto-Stomatologie.
2. Objectifs spécifiques
Déterminer la fréquence des adénomes pléomorphes ;
Décrire les aspects cliniques des adénomes pléomorphes ;
Déterminer les aspects thérapeutiques des adénomes pléomorphes.
GENERALITES
3.1. Définition :
L’adénome pléomorphe est une tumeur bénigne affectant les glandes salivaires
majeures, en particulier la glande parotide (85% des cas) et la glande sous-
mandibulaire (5% des cas), mais aussi les glandes salivaires accessoires (10%
des cas). [1]
Les tumeurs des glandes salivaires sont rares. Elles représentent moins de 4% de
l’ensemble des tumeurs de la tête et du cou. Parmi les différents types
histologiques de tumeurs des glandes salivaires, l’adénome pléomorphe est le
plus fréquent et représente environ 70% [2].
3.2. Epidémiologie :
L’adénome pléomorphe ou tumeur mixte de VIRCHON en raison de sa double
origine épithéliale et conjonctivale ou encore épithélioma à stroma remanié,
représente en entité particulière en raison des intérêts qu’il suscite : Au plan,
3.3. Rappels :
Les glandes salivaires sont divisées en glandes salivaires principales et
accessoires. Les glandes salivaires principales sont la glande parotide, la
glande submandibulaire et la glande sublinguale. Les glandes salivaires
accessoires sont ubiquitaires ; elles sont localisées dans l’ensemble de la
muqueuse des voies aérodigestives supérieures ; les sites de prédilection sont
néanmoins la muqueuse de la cavité orale et de la langue, les fosses nasales et
les sinus paranasaux, l’espace parapharyngé antérieur. Leur nombre est estimé
entre 600 et 1000 [4].
3.3.1. Embryologie :
Les glandes salivaires se développent au niveau de la partie initiale de l’intestin
primitif, à partir de bourgeons épithéliaux d’origine ectoblastique pour les
glandes salivaires majeures, et mésoblastique pour les glandes salivaires
mineures. Les ébauches parotidiennes et sous-maxillaires apparaissent dès la
sixième semaine de vie intra-utérine, les ébauches des glandes sublinguales à la
neuvième semaine, et les glandes salivaires accessoires à la douzième semaine
in utero.
La production de la salive est assurée dès le huitième mois in utero, par les
ébauches des glandes salivaires [5].
3.3.2. Histologie :
Au terme de l’embryogénèse, les glandes salivaires sont organisées en lobes,
constitués de plusieurs lobules, eux-mêmes formés de plusieurs acini. On
qualifie donc les glandes salivaires de glandes lobulaires exocrines. L’unité
sécrétrice des glandes salivaires est une formation tubulo-acineuse appelée
adénomère, dont les portions terminales sont les acini. L’acinus est constitué
d’un amas de cellules sécrétrices regroupées autour d’un canal collecteur appelé
canal intercalaire.
La salive sécrétée par les acini est collectée par un réseau de canaux différenciés
qui comprend successivement : les canaux intercalaires qui collectent la salive
issue des acini, les canaux striés intra-lobulaires pour le lobule, les canaux
interlobulaires, puis le canal collecteur [6].
3.3.3. Anatomie des glandes salivaires
On distingue 2 types de glandes salivaires : [4]
- La loge parotidienne :
Elle est de forme prismatique et est située :
*à la partie supérieure et latérale du cou
* Antéro-interne
Elle renferme la glande parotide qui épouse ses contours. Elle sécrète une salive
filante qui joue un rôle dans la physiologie de la digestion du bol alimentaire.
Cette salive est drainée dans la cavité buccale par le canal de Stenon.
- La parotide et sa loge contracte des rapports très importants avec les éléments
vasculo-nerveux qui y passent et rendent la chirurgie de cette région difficile.
En effet la parotide contracte des rapports avec :
* Le nerf facial
C’est l’intimité de ses rapports avec la glande qui offre le plus d’intérêt puisqu’il
est la préoccupation majeure du chirurgien maxillo-facial.
Vascularisation :
La carotide externe
Le confluent veineux intra parotidien occupe le même interstice celluleux
inter lobaire que le nerf facial.
- Le confluent veineux intra parotidien est formé par :
Les veines afférentes
Sont au nombre de 4 confluents :
- Elément parotidien le plus profond, elle naît dans la région sterno cleïdo
mastoïdienne après un trajet vertical, puis pénètre dans la loge parotidienne
après son trajet sous glandulaire et donne plusieurs rameaux.
Le nerf auriculo-temporal
Entre dans la région parotidienne par la boutonnière rétro-condylienne de Juvara
avec les vaisseaux maxillaires interne puis pénètre dans la parotide par son pôle
supérieur où il croise les vaisseaux temporaux superficiels.
- Ces ganglions peuvent être envahis ou infectés par des lésions siégeant dans
les territoires qu’ils drainent : (parotide, oreille externe et moyenne, régions :
temporale frontale, palpébrale, nasale).
Haut
Avant
Fig 2 : Anatomie des glandes salivaires principales (D’après Henry Gray 1821-
1865. Anatomy of the Human Body 1918). [7]
3.4. Etiopathogénie
A- Théories :
Les théories classiques de BILLROTH et VIRCHOW sont basées sur la
structure epthelio-conjonctive d’où l’appellation de tumeur Mixte. La théorie de
leroux qui repose sur la structure epithelio-gandulaire.
B. Classification histologique.
1- Tumeurs épithéliales :
* Tumeurs bénignes
Adénome pléomorphe
Adénome Monomorphe = C.A.L.P
Kystes
Tumeur de Godwin
* Tumeur Mucco-épidermoïde
- Angiome
- Lipome
- Schwanome , Neurinome
* Tumeurs malignes
- Hémangiopéricytome
- Lymphomes malin (de hodgkin, NH).
- Sarcome
- Circonstance de découverte :
Il s’agit le plus souvent d’une femme qui consulte pour une tuméfaction de la
région parotidienne qui soulève le lobule de l’oreille évoluant sans signes
fonctionnels.
- Examen clinique :
- Interrogatoire précisera :
* la date et mode d’apparition rapide ou poussée inflammatoire ou non.
* Les antécédents
L’inspection montre
- Examens complémentaires :
Les Radiographies
- Sans préparation
- Face basse- profil- Hirtz) montre 2 types d’images :
- Soit absence de lésions
- Soit présence de calcification dans l’aire de projection de la parotide.
- Avec préparation = Sialographie parotidienne
* Technique : [6]
* Résultats :
- Echographie parotidienne :
Montre une image hypoéchogène hétérogène aux contours réguliers : tumeur
aux limites et contours nets à contenu hypoéchogène et ailleurs on pourra
demander :
Le scanner (en coupes axiales et coronales) montre une image hyperdense,
homogène aux limites nettes (par rapport aux parenchyme normal.
L’imagerie à résonance magnétique avec le scanner permettent
d’apprécier l’extension des volumes en profondeur.
C’est un examen cher qui est en dehors de la portée des malades.
Autres examens :
- La cytologie salivaire
Doit être fait par un cytologiste averti
Macroscopie :
Tumeur entourée d’une pseudocapsule faite d’un tassement des tissus
environnants avec des foyers extra capsulaires.
Microscopie – 3 secteurs
* Secteurs plus denses = Epithéliaux
* Epithélio-Conjonctive
* Myoepithéliales
Formes topographiques :
Formes évolutives :
* Formes volumineuses
Sont fréquentes dans nos pays. S’observent surtout à un stade tardif avec des
scarifications surinfectées ou non et des ulcérations occasionnées par des gestes
intempestifs de tradithérapeutiques.
* Formes Récidivées
Repose sur :
1 - Tumeurs superficielles
Adénopathie préponévrotique
Lipome
Angiome
Kyste sébacé
2 - Tumeurs superficielles musculaires
Tumeurs vasculaires
- Phlébectasie de la VJI
- Anévrysme carotidien ( Thrill, souffle)
Tumeurs Nerveuses
Schwanomes, Neurinome sur les nerfs crâniens et le nerf sympathique
Le problème ici est celui des adénopathies intra parotidiennes dont l’existence
doit faire rechercher :
- Unilatéralité
- Douleur
- La présence du pus au niveau de l’ostium du canal de Sténon
- Sialographie (images de plomb de chasse disséminées dans le parenchyme.
Réalise une véritable infirmité d’intensité variable qui peut conduire soit à une
hyposialie, soit à une asialie :
- Se trouve :
* Dans la maladie de GOUGEROT- SJORGREN
- Tumeurs épithéliales :
* Bénignes
6e temps : Fermeture cutanée sur Drain aspiratif de Redon pour éviter les
hématomes post-opératoires. Et cela après comblement de cavité résiduelle retro
mandibulaire par un lambeau du sterno-cléido-mastoïdien et après un lifting de
la peau.
3.7.3. Indications :
Tumeurs vierges
- Tumeurs volumineuses
C’est l’incision de rhytidectomie de lotte ou le face lifting qui sera utilisée pour
réaliser. La parotidectomie totale.
3.7.4. Résultats :
- Guérison si traitement correct
PATIENTS ET
METHODES
Patients et Méthodes :
4.4. Echantillonnage :
24 patients
RESULTATS
Nous avons colligé les dossiers de 24 cas sur une de période 3 ans soit une
incidence annuelle de 8 cas.
Ces tumeurs ont représenté 1,66% des interventions chirurgicales et 6,36% des
cas de tumeurs maxillo-faciales.
La tranche d’âge ] 45-65] a été la plus représentée avec 45,8% des cas.
La moyenne était de 3,33. L’écart type était de 1,04.
La majorité de nos patients étaient du sexe masculin soit 66,7% des cas.
Le sex-ratio était de 2.
Les ouvriers ont été les plus représentés avec 37,5% des cas.
La tuméfaction était le motif de consultation de tous nos patients soit 100% des
cas.
Tableau V. Répartition des patients en fonction de la durée d’évolution
Dans notre population, 33,3% des patients ont consulté après 2 ans d’évolution
de la maladie.
Tableau VI. Répartition des patients en fonction du traitement préalable
33,3
Combinés 8
Total 24 100,0
Tous nos patients ont été pris en charge sous anesthésie générale soit 100% des
cas.
La majorité de nos patients n’avaient pas fait de complications soit 79,2% des
cas.
Narration 3. Répartition des patients en fonction de la récidive
DISCUSSION
Méthodes
Avantages : cette étude a été menée dans une grande discrétion, peu couteuse,
peut jeter des bases solides pour toute étude portant sur le même problème à
l’avenir.
6.1. Epidémiologie :
Les tumeurs des glandes salivaires sont rares. Elles représentent moins de 4% de
l’ensemble des tumeurs de la tête et du cou. Dans notre étude les tumeurs
maxillo-faciales ont représenté 6,36% des cas. Ce qui est relativement supérieur
au taux de la littérature [1].
6.2. Clinique :
Quel que soit son siège, l’adénome pléomorphe évolue habituellement selon un
mode très lent et paucisymptomatique ; il est souvent découvert après quelques
années d’évolution, sous la forme d’une tuméfaction isolée de la région
intéressée [9,14, 20]. Dans notre série d’étude, la découverte a été faite après 2
années d’évolution dans 33,3% des cas. Tuméfaction isolée dans 100% des cas.
6.3. Traitement :
Le traitement de l’adénome pléomorphe est chirurgical quel que soit sa
localisation. L’exérèse peut se faire sous anesthésie locale ou générale [14, 24,
20]. La parotidectomie totale ou superficielle reste l’indication de choix pour les
tumeurs parotidiennes [1]. La parotidectomie totale doit être réalisée devant
toute tumeur parotidienne lors que l’examen extemporané n’est pas possible.
Dans notre série d’étude la parotidectomie superficielle a été chez 45,8% de nos
patients alors que notre service ne dispose pas d’examen extemporané. La
submandibulectomie sous anesthésie générale est indiquée pour les tumeurs de
la glande submandibulaire.
Si les voies d’abord conventionnelles restent largement utilisées, Guerrissi et
Taborda ont rapporté deux submandibulectomies endoscopiques par voie
endorale [25].
Les tumeurs du palais doivent bénéficier d’une exérèse complète par voie
endorale [10, 15]. Les tumeurs à localisation para-pharyngée peuvent être
opérées par voies endorale, cervicale ou mixte [26, 5]. Quelle que soit la voie
d’abord adoptée, l’exérèse de la tumeur doit se faire en totalité en évitant la
rupture capsulaire qui est source de récidive [18, 22, 27]. Tous nos patients ont
bénéficié d’une prise en charge chirurgicale sous anesthésie générale.
CONCLUSION
RECOMMANDATIONS
1. A la communauté :
- Consulter précocement devant toute tuméfaction maxillo-faciale ;
- Eviter l’auto-médication et les traitements traditionnels sur les tuméfactions
maxillo-faciales.
2. Aux agents de santé (Médecins généralistes, Chirurgiens-dentistes,
Assistants médicaux, Infirmiers d’état, Techniciens de Santé et Aide-
soignants) :
Référer chez le Chirurgien Maxillo-facial tout cas de tuméfactions maxillo-
faciales.
3. Aux autorités :
- Equiper en matériels adéquats et suffisants les services de Stomatologie et
Chirurgie Maxillo-faciale.
- Mener des campagnes de sensibilisation sur les pathologies maxillofaciales.
REFERENCES
12. Beckhardt RN, Weber RS, Zane R, et al. Minor salivary gland tumors of
the palate: clinical and pathologic correlates of outcome. Laryngoscope
1995;105(11):1155-60
13. Simon M. et al. Pleomorphic adenoma of a molar salivary gland. Oral
Oncology extra 2005; 42: 170-2.
14. Lomeo P, Finneman J. Pleomorphic adenoma of the soft palate.
Otolaryngol Head neck Surg 2001;125:122.
15. Maamouri M, B Hamouda R. et al. Adenome pleomorphe du septum
nasal a propos dʼun cas. J Tun ORL 2008 ; 21 :68-72.
16. Kumagai M, Endo S, Koizumi F, Kida A, Yamoto M. A case of
pleomorphic adenoma of the nasal septum. Auris Nasus Larynx 2004;
31:439-42.
17. Ruis-Laza L, Infante-Cossio P, Garcia-Perla A, Hernandez-Guisalo JM,
18. Gutierrez-Perez JL. Giant pleomorphic adenoma in the parapharyngeal
space: report of 2 cases. J Oral Maxillofac Surg 2006; 64: 519-23.
19. Cwalina P, Skorek A, Narozny W, Stankiewicz C. Pleomorphic adenoma
of minor salivary glands. Otolaryngol Pol 2002;56:737-40.
20.Morita N,Miyata K, Sakamoto T,Wada T. Pleomorphic adenoma in the
parapharyngeal space. J Oral Maxillofac Surg 1995; 53:605-10.
21. El Kohen A, Essakali L. et al. Adenome pleomorphe de la base de la
langue. Rev Stomatol Chir Maxillofac 2007 ; 108 :215-17.
22. Guerrissi JO, Taborda G. Endoscopic excision of the submandibular
gland by an intraoral approach. J Craniofac Surg 2001;12:299-303.
23. Abdoulaye dit Modibo GANABA, Adénomes pléomorphes à localisation
extra-parotidienne à propos de deux cas Mémoire de DES, FMOS, 2021.
24. Ayoub OM, Bhatia K,Mal RK. Pleomorphic adenoma of the parotid
gland: is long term follow-up needed? Auris Nasus Larynx 2002;29:283-
5.
25. Lopes MA, Kowalski LP, Santos GC, Almeida OP. A clinicopathologic
study of 196 intraoral salivary gland tumors. J Oral Pathol Med 1999; 28:
264-7.
26. Bentz BG, Hughes CA, Ludemann JP, Maddalozzo J. Masses of the
salivary gland region in children. Arch Otolaryngol Head Neck Surg
2000; 126: 1435-9.
ANNEXES
FICHE SIGNALETIQUE
Nom : DIAKITE
Prénoms : Famakan
Nationalité : Malienne
Contact : +223.79.08.66.21
Email: famakan.diakite80@gmail.com
Ville: Bamako
RÉSUMÉ
Introduction :
Objectif :
Patients et Méthodes :
Résultats :
Conclusion :
ICONOGRAPHIE
FICHE D’ENQUETE
Q1 Numéro du dossier :…………….
Q2 Numéro anonyme…………….
Q3 Age: ………………………...
Q4 Sexe :………..
a) Féminin
b) Masculin
Q5 Résidence :
a) Bamako
b) Hors Bamako
Q6 Profession :……………………
Q7 Motifs de consultation :
a) tuméfaction /___/
b) douleur /___/
c) paralysie faciale /___/
Q8 Durée d’évolution de la maladie : /___/
Q9 Traitement préalable………….
Q10Antécédents médicaux :……..
Q11 Antécédents Chirurgicaux :…….
Q12 Habitude alimentaire :
a) Tabac
b) Alcool
f) Néant
Q13 Etat général
Q14 Siège de la tuméfaction…………
Q15. Examens complémentaires :
a) Echographie
b) TDM
Q16 Méthode chirurgicale……….
Q17 Accident peropératoire…………
Q18 Type d’anesthésie utilisée :
a) Anesthésie locale
b) Anesthésie loco-régionale
c) Anesthésie générale
Q19 complications post-opératoires :………………
Q20 Récidive : a) Non /___/ b) Oui /___/